BDSM & Masturbation

La masturbation, souvent considérée comme l'une des premières expressions de la sexualité humaine, a longtemps été entourée de mythes, de tabous et de malentendus. Pourtant, au fil des décennies, la science et la société ont progressivement reconnu son rôle crucial dans la découverte de soi, le bien-être émotionnel et la santé sexuelle. Elle est non seulement une source de plaisir, mais aussi un moyen d'explorer et de comprendre son propre corps, ses désirs et ses limites.

Dans le vaste univers du BDSM, où les jeux de pouvoir, la douleur, le plaisir et la confiance se croisent et s'entremêlent, la masturbation trouve une place unique. Elle peut être à la fois un acte d'affirmation de soi et un outil de soumission ou de domination. Alors, comment cet acte intime et personnel s'intègre-t-il dans le monde complexe et nuancé du BDSM? Cet article se propose d'explorer les intersections fascinantes entre la masturbation et le BDSM, en mettant en lumière les différentes façons dont ils peuvent se compléter et s'enrichir mutuellement.

La masturbation de l'antiqué au donjons BDSM

La masturbation, bien que présente depuis la nuit des temps, a traversé une histoire tumultueuse, oscillant entre acceptation et réprobation. Dans l'Antiquité, certaines cultures la considéraient comme une pratique normale, voire bénéfique. Les Grecs anciens, par exemple, n'avaient pas de mot spécifique pour désigner la masturbation et la percevaient comme une autre forme d'expression sexuelle. Cependant, avec l'avènement de certaines doctrines religieuses au Moyen Âge, la masturbation a été stigmatisée, associée à la culpabilité et considérée comme un péché.

Au fil des siècles, la science a tenté de comprendre la masturbation, la classant parfois comme une maladie mentale ou une déviance. Ce n'est qu'au XXe siècle, avec les travaux de sexologues tels que Kinsey et Masters & Johnson, que la masturbation a commencé à être reconnue pour ce qu'elle est : une composante naturelle et saine de la sexualité humaine.

Dans le contexte du BDSM, la perception de la masturbation a également évolué. Dans les premières communautés BDSM, la masturbation, en particulier masculine, était parfois vue comme un signe de faiblesse ou d'incapacité à trouver un partenaire. Cependant, à mesure que la culture BDSM s'est développée et diversifiée, la masturbation a été réévaluée et intégrée dans de nombreux jeux et scénarios. Elle est devenue un outil de pouvoir, un moyen d'explorer la douleur et le plaisir, et une façon d'approfondir la connexion avec soi-même ou avec un partenaire.

Aujourd'hui, dans la culture BDSM moderne, la masturbation est célébrée pour sa capacité à renforcer la confiance en soi, à explorer des fantasmes spécifiques et à jouer avec les dynamiques de pouvoir. Qu'elle soit pratiquée en solo ou sous les ordres d'une personne dominante, elle est devenue un élément essentiel de l'expérience BDSM pour de nombreux pratiquants.

Masturbation et jeux de pouvoir

Le BDSM, dans son essence, joue avec les dynamiques de pouvoir, créant un équilibre délicat entre le contrôle et la reddition. La masturbation, en tant qu'acte intime et personnel, peut être intégrée dans ces jeux de manière profonde et significative.

La masturbation comme acte de soumission ou de domination

Dans le contexte BDSM, la masturbation peut être utilisée comme un acte de soumission ou de domination. Pour le soumis, se masturber sur ordre d'un dominant peut être une expérience d'humiliation ou d'exposition, où il est vulnérable et ouvert à l'observation et au jugement. Inversement, un dominant peut se masturber devant un soumis pour affirmer son pouvoir et sa position, transformant un acte généralement privé en une démonstration de contrôle.

Ordres, contrôles et restrictions liés à la masturbation

Les jeux de pouvoir autour de la masturbation ne se limitent pas à l'acte lui-même. Les dominants peuvent donner des ordres spécifiques sur quand, comment et où un soumis peut se masturber. Ces ordres peuvent inclure des restrictions sur la durée, l'intensité, ou même les fantasmes auxquels le soumis est autorisé à penser. De tels jeux peuvent intensifier le sentiment de contrôle du dominant et la sensation de soumission du soumis, renforçant ainsi leur dynamique BDSM.

La chasteté et les dispositifs de chasteté comme outils BDSM

La chasteté joue un rôle particulier dans le BDSM, en particulier dans les jeux de pouvoir liés à la masturbation. Les dispositifs de chasteté, qu'ils soient pour hommes ou pour femmes, sont conçus pour empêcher la masturbation ou l'orgasme. Ils peuvent être portés pendant des périodes prolongées, avec le dominant détenant généralement la clé ou le moyen de libération. Ces dispositifs renforcent la dynamique de pouvoir, où le dominant contrôle non seulement le plaisir du soumis, mais aussi son propre corps. Pour le soumis, cela peut être une expérience profondément érotique, mêlant frustration et anticipation.

Masturbation et auto-BDSM

L'auto-BDSM, ou la pratique du BDSM en solo, est une forme d'exploration personnelle qui permet à l'individu de naviguer entre les rôles de dominant et de soumis, tout en étant à la fois l'exécuteur et le récepteur. La masturbation, dans ce contexte, devient un outil puissant pour explorer les limites entre douleur et plaisir.

Exploration de la douleur et du plaisir en solo

L'auto-BDSM offre une opportunité unique de découvrir ses propres limites et d'expérimenter la douleur et le plaisir à son propre rythme. Sans la présence d'un partenaire, l'individu peut se concentrer pleinement sur ses propres sensations, apprendre ce qui fonctionne pour lui et ce qui ne fonctionne pas, et ajuster l'intensité en conséquence. Cela peut être une expérience libératrice, permettant une introspection profonde et une meilleure compréhension de ses propres désirs.

Utilisation de jouets et d'accessoires BDSM pendant la masturbation

L'intégration de jouets et d'accessoires BDSM peut enrichir l'expérience de la masturbation. Menottes, pinces à tétons, fouets, plumes, et bien d'autres, peuvent être utilisés pour stimuler, punir ou récompenser. Les jouets vibrants, en particulier, peuvent être utilisés en conjonction avec d'autres accessoires pour intensifier le plaisir. L'utilisation de ces outils permet de créer une ambiance, de renforcer le jeu de rôle et d'ajouter une dimension supplémentaire à l'expérience.

Les précautions à prendre lors de la pratique de l'auto-BDSM

Bien que l'auto-BDSM puisse être une expérience enrichissante, il est essentiel de prendre certaines précautions. Sans la présence d'un partenaire pour surveiller et intervenir en cas de problème, la sécurité devient primordiale. Il est crucial de connaître ses propres limites, d'avoir un moyen de se libérer rapidement en cas de besoin (surtout lors de l'utilisation de contraintes) et d'éviter les situations qui pourraient entraîner des blessures. De plus, il est recommandé de ne jamais se bâillonner seul et d'éviter toute pratique qui pourrait compromettre la respiration.

Les bienfaits de la masturbation dans le BDSM

La masturbation, bien au-delà de sa fonction biologique et de son rôle dans le plaisir personnel, offre une multitude de bienfaits, en particulier lorsqu'elle est intégrée dans le contexte du BDSM. Ces avantages transcendent le simple acte physique pour toucher des aspects plus profonds de la psyché et du bien-être émotionnel.

Renforcement de la confiance en soi et de la connaissance de son propre corps

La masturbation permet une exploration intime et personnelle du corps. Dans le cadre du BDSM, où le corps peut être à la fois un instrument de plaisir et un terrain d'exploration des limites, se masturber peut aider à renforcer la confiance en soi. En découvrant ce qui procure du plaisir, ce qui est inconfortable ou ce qui est douloureusement agréable, on apprend à mieux connaître son propre corps. Cette connaissance peut renforcer l'estime de soi, car elle permet de s'affirmer dans ses désirs et ses limites lors d'interactions BDSM avec des partenaires.

Exploration de ses propres limites et désirs

La masturbation, surtout lorsqu'elle est combinée avec des éléments BDSM, offre un espace sûr pour tester et repousser ses propres limites. Sans la pression ou les attentes d'un partenaire, on peut explorer des fantasmes, des jeux de rôle ou des scénarios spécifiques. Cela peut aider à identifier des désirs latents ou à clarifier des aspects du BDSM qui sont particulièrement stimulants ou gratifiants.

Réduction du stress et amélioration de la santé mentale

De nombreuses études ont montré que la masturbation peut aider à réduire le stress, à libérer des endorphines et à améliorer l'humeur. Dans le contexte du BDSM, où la libération émotionnelle peut être amplifiée par des jeux de pouvoir, de douleur et de plaisir, la masturbation peut offrir une évasion mentale profonde. Elle peut servir de mécanisme d'adaptation, permettant une pause des tracas quotidiens et offrant un moment de concentration purement sur soi-même et ses sensations.

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A propos du groupe

La masturbation est une pratique sexuelle en solitaire ou à plusieurs, consistant à provoquer l'éjaculation ou le plaisir sexuel par la stimulation des parties génitales ou d'autres zones érogènes, généralement à l'aide des mains, ou parfois d'objets tels des godemichets ou autres jouets sexuels. Les variantes sont donc très nombreuses, et sans aucune discrimination. Il est évidemment important de ne pas oublier lors de ces pratiques de prendre toutes les précautions nécessaires pour se protéger des MST. Ceci étant dit, faites-vous plaisir.

Koala13
J’aimerais tant trouver une telle personne à proximité de chez moi !!! 😍
1 personne aime(nt) ça.
loic300
bjr suis sur remoulins
J'aime Hier, 16:03:43
Koala13
Je recherche une partenaire féminine, mais merci pour la proposition !
J'aime Hier, 17:05:29
loic300
pas souci
J'aime Hier, 21:40:39
Maîtresse Elsa
Celui qui veut dispenser la lumière doit connaître les ténèbres qu’il est amené à éclairer.
6 personnes aiment ça.
CYRUS dsl
Jésus revient seulement à partir du 25 décembre
J'aime 21/10/24
Koala13
Délicieuse !!! 😍
J'aime 21/10/24
Une incantation d une maîtresse...
J'aime 21/10/24
Jebru59
Maîtresse Elsa qui est de Cognac a peut-être été allumée par quelques effluves d'alcool locales...qui sont souvent source d'inspiration. Elle veut dire je pense, que la connaissance profonde d'un domaine méconnu, nous apporte une vérité différente et particulière par l'expérience qu'on en fait .
J'aime Hier, 03:37:24
Jebru59
Mon commentaire a été fait avec modération, en toute sobriété et sans volonté de déplaire, afin d'éviter un courroux éventuel de Maîtresse Elsa à mon sujet.
J'aime Hier, 05:43:23
minidoc
et seuls les fèlés laissent passer leur lumière intérieure
J'aime Hier, 09:12:49
Yolaine
Ça fait trois semaines que j’ai commencé ce nouveau boulot. En ville, dans une grande boîte, c’est déjà bien assez pour me déstabiliser, moi le gars de la campagne un peu asocial. Heureusement, l’accueil a été sympathique, et je commence à trouver mes marques. Le trajet bien relou en voiture, le costume qui me serre un peu, les e-mails incessants, décidément ce premier « vrai » boulot est plein de nouveautés pour moi. Je viens de finir mes études de comptabilité, et après plusieurs stages dans des petites boîtes près de chez moi, il a fallu que je me décide à prospecter en ville pour trouver un CDI. J’apprends donc, je m’adapte, et je commence même à me plaire dans cette nouvelle vie. Le seul détail qui me perturbe encore tous les jours, c’est une femme qui bosse dans le même immeuble que moi. Je la croise régulièrement dans les couloirs ou dans l’ascenseur. Une petite femme blonde aux yeux verts, la quarantaine, à la silhouette toute en courbes et reliefs, à la coiffure impeccable et aux lunettes qui lui donnent un air strict. Je ne peux m’empêcher de scotcher sur ses tailleurs, d’essayer de glisser un œil dans ses décolletés toujours trop sages pour que je distingue quoi que ce soit… Je ne sais pas pourquoi elle m’obsède autant, mais elle est mon rayon de soleil de la journée. Elle ne m’a jamais remarqué et je ne fais rien pour, car je ne saurais pas quoi lui dire. Je ne sais pas comment elle fait pour me rendre dingue, je n’ai pourtant aucun problème à aborder et à ... ... tenter de séduire les femmes, mais elle m’intimide par son élégance et sa froideur. Me voici donc, comptable à 26 ans, sorti de mon village et de mes potes d’enfance. Heureusement qu’il me reste l’escalade pour me défouler et évacuer tout ce stress citadin. Ce mardi matin, je suis dans l’ascenseur en train de réfléchir à ma prochaine sortie grimpette avec mes potes quand mon petit soleil entre dans l’ascenseur et se tient devant moi, apparition divine. Comme d’habitude je scotche sur ses formes, son fessier est rond, et a l’air ferme dans son pantalon de tailleur gris. Elle porte de jolis sneakers en cuir noir, sur lesquelles un lacet est défait. Elle s’en rend compte, et se baisse pour le renouer. Et là, je manque de m’étouffer car mon regard plonge dans son décolleté, et j’aperçois un très joli soutien-gorge bleu qui emprisonne une poitrine que je devine généreuse, très généreuse même. Immédiatement, je sens mon sexe commencer à se raidir dans mon pantalon. J’ai à peine le temps de le repositionner pour éviter la « tente » bien visible que les portes s’ouvrent, et un groupe rentre dans la petite cabine, nous obligeant à nous serrer un peu. Elle est maintenant juste devant moi, son cul d’enfer à quelques centimètres de mon érection qui continue à se développer. Je dois être tout rouge, j’ai le cœur à 10 000. Lorsque l’ascenseur redémarre, il a un petit à-coup, et elle perd l’équilibre, reculant pour se rattraper. Et c’est ainsi que son cul se retrouve collé à moi, appuyant sur mon sexe. J’ai maintenant une gaule d’enfer, il est impossible qu’elle ne sente pas ce qui se passe dans mon pantalon. Je m’attends à une belle gifle, voire un scandale en public qui pourrait me mettre dans une belle merde avec mon employeur. Je flippe donc, je sens la sueur couler sous ma chemise, je dois être plus rouge qu’une tomate. Mais elle ne bouge pas, même d’un millimètre. Son cul appuie contre mon sexe qui tressaute tellement je suis excité. Tout le reste de mon corps est tétanisé. Puis les portes de la cabine s’ouvrent sur son étage, et elle quitte l’ascenseur sans un regard en arrière. Je recommence à respirer. Avant de rentrer au bureau, je passe aux toilettes pour me passer un peu d’eau sur le visage et souffler le temps que mon érection se calme. La matinée se déroule normalement, et mon collègue Julien me propose de déjeuner au bar à salades en face de notre immeuble. Nous nous installons, et il commence à me raconter son week-end entre potes et la soirée qui lui a permis de finalement conclure avec la femme qu’il convoite depuis des semaines. Je l’écoute de plus en plus discrètement, car j’aperçois mon soleil qui entre dans le restaurant. Elle s’assoit, seule à table, à quelques mètres de nous, presque en face de moi. Je regarde son joli visage, ses lunettes rondes et sa coiffure tirée, son air strict, presque sévère malgré ses lèvres pulpeuses et ses yeux magnifiques. Je me force à reprendre le fil de la discussion et du repas, car après ... ... l’épisode de ce matin je ne veux surtout pas me faire remarquer. Mais lorsque je lève les yeux de mon assiette, je suis pris dans son regard comme un insecte devant une lumière. Elle me fixe, me vrille de ses yeux magnétiques. Je reste encore une fois incapable de réagir, je ne peux que baisser les yeux et faire semblant d’avaler de travers. — Ça va, mec ? T’es tout rouge ! — Non t’inquiète, je me suis étouffé sur ma salade c’est rien. — T’es sûr ? T’as l’air bizarre, ça va aller ? — Oui oui, laisse-moi respirer un peu, c’est tout. Le temps que je me remette de ça, elle s’est plongée sur son smartphone, et je passe le reste du repas à reprendre mes moyens. En sortant, nous passons juste à côté de sa table, mais elle ne lève pas les yeux. Nous retournons à nos tableurs et à nos analyses, lorsque je reçois un message sur mon téléphone, d’un numéro que je ne connais pas. Je recommence à flipper. J’ai dû me faire griller par un des autres occupants de l’ascenseur ce matin, et les conséquences pourraient être graves. Je réponds. — Pardon mais je ne connais pas ce numéro, qui êtes-vous ? Et je ne vois pas de quoi vous voulez parler. — Je suis sûre de ne pas me tromper de numéro, et j’ai bien senti ce que j’ai senti ce matin contre mon dos, donc c’est que j’ai affaire à un lâche. Est-ce que c’est vrai ? Est-ce que c’est elle ? Je recommence à suer, ça pourrait être un piège, et même si c’est bien elle, ça ne change rien au risque. Et si elle voulait une preuve pour me dénoncer ? Je dois faire très attention. Malgré la panique, je sens mon sexe qui recommence à gonfler, décidément je suis débile dès qu’il s’agit de cette femme ! Après quelques minutes sans que j’ose répondre, mon téléphone vibre à nouveau : — Alors on a perdu ses doigts pour répondre ? Tant pis. Je vais devoir en référer à ma hiérarchie. Si elle voulait me faire réagir, elle a parfaitement réussi. Je suis terrorisé. Je reprends mes esprits, et je commence à tapoter mon écran : — D’accord, c’est bien moi qui ai eu une érection incontrôlée ce matin, et j’en suis navré, cela ne se reproduira plus. Toutes mes excuses, — Bon, enfin un peu de courage ! Par contre est-ce que j’ai dit que je voulais que ça cesse ? Je suis déboussolé, mon cœur s’est arrêté quelques secondes avant de repartir beaucoup trop vite. Je ne comprends pas ce qu’elle veut. — Pardon ? — Bon, je vais être très claire : si tu veux que cette conversation continue, tu as 5 minutes pour m’envoyer une photo de ta bite prise dans les toilettes de ta boîte. Sinon j’efface ce numéro à 14 h 56, Mon sexe bondit dans mon caleçon. Moi qui ne suis pas d’un tempérament docile d’habitude, je suis sous l’emprise de cette femme. Je ne connais ni son nom ni sa voix, mais elle m’a ensorcelé en quelques mots écrits sur un écran. Je camoufle tant bien que mal mon érection, et je file dans les toilettes. À 14 h 56, la photo est envoyée. Quelques secondes plus tard, la réponse arrive : — C’était moins une ... ... mais au vu de cette queue, je garde ce numéro. Voici maintenant les règles : — Tu ne m’approches pas dans ce bâtiment, aucun contact, sinon tout s’arrête — Tu ne cherches pas à savoir qui je suis. Si j’apprends que tu as posé des questions sur moi, tout s’arrête. Tu m’appelles Ma Dame et tu me vouvoies. — Tant que tu fais ce que je demande, ça continue. C’est compris ? Je ne sais même plus comment je m’appelle. Si j’accepte, je ne sais absolument pas où je vais, mais mon cerveau bout de désir, et cette situation où je ne suis maître de rien m’excite. Si je refuse, je suis sûr qu’il ne se passera jamais rien avec elle, mais je ne prends aucun risque au niveau de mon boulot. Car au vu de sa requête, je pense que ses prochaines demandes seront plus osées et risquées. Je me lance. — C’est très bien compris Ma Dame. — Parfait, comme preuve de ton acceptation je veux que tu ailles déposer ton sous-vêtement dans les toilettes des femmes du 3e étage, dans le 3e box. Tu as 15 minutes. Je prétexte une pause clope, retourne dans nos toilettes, retire mon caleçon que je fourre au fond de ma poche. Je bande depuis une bonne demi-heure maintenant, et c’est maintenant beaucoup plus compliqué à cacher. J’y arrive néanmoins, et je descends vers les toilettes du 3e. J’attends quelques instants devant pour laisser sortir une éventuelle occupante, puis je rentre le plus discrètement possible et je me dirige vers le 3e box. Au moment où j’y entre, la porte s’ouvre et une voix féminine retentit. J’ai à peine le temps de fermer et de verrouiller la porte. La femme que j’entends est manifestement au téléphone, en mode haut-parleur car je peux écouter toute la conversation avec une autre femme. — Non, ça va, je passe une journée plutôt tranquille. Il fait beaucoup trop chaud, mais je ne finis pas trop tard donc ça ira. — Tu me rejoins tout de suite après le taf ? — Non, je vais repasser chez moi me changer. Je ne rêve que d’une chose, virer ce soutif qui me compresse depuis ce matin, je ne sais même pas pourquoi je l’ai encore celui-ci. — C’est lequel ? — Le bleu, celui qu’on avait acheté chez Aubade, il est très beau mais je crois qu’il est une taille trop petite. — Tu pourras me le donner du coup ! — Hahaha, on verra ça, mais il te conviendrait peut-être ! Par contre, le tanga sera trop grand pour toi ! — Ah parce que tu es toujours en ensemble même au boulot ? Jamais dépareillée ? — Tu me connais, je suis coquette ! Même si aujourd’hui il n’y a plus que le soutif ! — Ah bon ? Qu’est-ce qu’il t’arrive ? — Rien, j’ai eu envie de me faire un petit frisson… je suis d’humeur coquine aujourd’hui, alors je l’ai retiré ce matin et depuis, c’est le délice des courants d’air ! — Ahahah ! Allez, amuse-toi bien et à tout à l’heure, on t’attend avec les filles. Elle a maintenant raccroché mais elle est toujours dans les toilettes, même s’il n’y a pas de bruit. Je vais devoir patienter un peu. Je me retourne pour m’asseoir le plus discrètement possible ... ... quand mon regard est attiré par… un tanga bleu posé sur la cuvette. Le choc me coupe le souffle. Ma Dame porte un soutif bleu, je l’ai vu ce matin. Elle vient de dire à sa copine qu’elle avait retiré le bas ce matin, ça serait donc elle qui est juste de l’autre côté de la porte ? Est-ce qu’elle a tout planifié ou est-ce qu’elle a profité de l’appel pour me torturer un peu ? Je vais pour sortir du box quand je me souviens de la première règle. Je reste donc immobile, le cœur battant, la queue prête à exploser. Après quelques minutes, je l’entends qui se dirige vers la sortie. Juste avant que la porte s’ouvre, elle parle à nouveau. — C’est bien, tu te souviens des règles, c’est apprécié. Puis elle disparaît. J’aurais au moins entendu sa voix. Je saisis immédiatement le morceau de dentelle bleue. Je ne peux m’empêcher d’y porter mon nez, et je respire une odeur de femme, puissante et agréable. Après une longue hésitation, je me décide et je garde le tanga dans ma poche. Je n’oublie pas de déposer mon caleçon sur la cuvette, puis je repars discrètement vers mon bureau. Par contre, cette aventure m’a fait perdre du temps, et je suis obligé de cravacher pour rattraper mon retard, et Ma Dame sort de ma tête. Pas pour longtemps. Il est 17 h, Je suis en train de ranger mes affaires avant de rentrer chez moi quand mon téléphone vibre. — Dis donc petit voleur, est-ce que tu avais l’autorisation de voler mon tanga ? — Pardon, Ma Dame, mais je n’ai pas pu résister. — Il va falloir que je t’éduque mon petit. Pour la peine, tu seras puni. Ton caleçon est sympa, mais je préfère nettement une bite en slip. Donc ce soir, c’est shopping pour toi ! Et profites-en pour acheter un rasoir et me nettoyer tout ça, tu as peut-être une belle queue mais je déteste les poils. C’est compris ? — Oui Ma Dame. — Très bien. Dernière chose : hors de question que tu ramènes mon tanga chez toi. Tu vas donc le déposer là où tu l’as trouvé. — D’accord Ma Dame. — Et je veux ton sperme dessus. Tu as 15 minutes. Cette femme est redoutable. Je me sens complètement impuissant, mais je crois que je n’ai jamais autant bandé en une journée. Je me précipite donc dans les toilettes du 3e, par chance l’étage semble vide. Une fois dans le 3e box, je sors ma queue et l’enveloppe dans la dentelle bleue. Je me masturbe ensuite furieusement, en pensant à toute cette journée surréaliste. Je jouis en quelques instants une quantité énorme de sperme. Je m’essuie dans le tanga et le dépose sur la cuvette, on ne voit même plus la dentelle par endroit tellement j’ai joui. C’est en repartant que je remarque que le box 1 est verrouillé. Je cours vers la sortie. Mince, j’ai failli me faire griller en pleine masturbation sur mon lieu de travail ! Ce jeu est définitivement dangereux, j’espère que la femme dans les toilettes ne m’a pas reconnu, car j’ai été quelque peu bruyant dans ma jouissance. Je me dirige vers une galerie commerciale. Ma Dame a raison. Mes caleçons unis, larges, ça ... ... fait longtemps qu’il fallait que je les change. Je rentre donc dans une boutique de lingerie, et je demande à voir ce qu’elle propose pour les hommes. Je choisis plusieurs slips blancs et gris, ainsi qu’un boxer ultra-fin noir. Enfin, sans trop réfléchir, j’achète un slip en mailles noir très transparent. Je n’ai jamais porté ça mais je ne veux pas mourir idiot comme on dit. Je continue mon shopping et suis en train de payer le kit de rasage intime (une autre première pour moi) quand je reçois un nouveau message. — Eh bien, il faut croire que tu aimes ça, au vu de la quantité de sperme sur mon tanga — Il faut croire que oui, je dois dire que tout ça est très étrange pour moi. — Tu vas t’y faire, ne t’inquiète pas, et si tu es sage tu ne le regretteras pas, sois-en sûr ! — Je l’espère vraiment. — Bonne soirée, mon petit voleur, attention avec le rasoir ! Sur la route du retour à mon appartement, mon cerveau fait des bulles, je ne comprends pas ce qui m’arrive. Je me laisse complètement manipuler par une femme dont je ne sais presque rien. Et j’adore ça. Rien que de penser à cette journée, je sens mon sexe gonfler dans mon pantalon. Arrivé chez moi, je commence par le rasage. Je prends tout mon temps car je ne l’ai jamais fait, mais je suis plutôt content du résultat. Mon sexe, déjà plutôt imposant, donne l’impression d’être énorme. Il est tout doux, et je pense que je vais garder cette habitude. Je me décide à lui envoyer un message. — Ça y est Ma Dame, je me suis rasé. Et je voulais vous remercier, car j’aime bien cette sensation. — C’est bien, mais par contre, nouvelle règle, ce n’est pas toi qui m’écris, tu n’as que le droit de répondre. D’accord ? — Oui Ma Dame. — Bien. Mais comme tu m’as écrit ce soir, tu n’auras pas de nouvelles demain. Et interdit de te branler d’ici à ce que je t’écrive à nouveau, j’espère que c’est clair. Bonne nuit — Bonne nuit à vous Ma Dame. Je passe la soirée à repenser à tout ça, j’ai besoin de faire le point. Après mûre réflexion, je décide de jouer le jeu à fond, et d’impressionner Ma Dame jusqu’à ce qu’elle craque et m’invite chez elle. Je bande comme un taureau, mais son interdiction est restée dans ma tête, et je me couche sur la béquille. Le lendemain, vêtu d’un slip blanc serré sur mon sexe glabre, je monte dans l’ascenseur vide, les pensées occupées par ma journée de travail. Au moment où les portes se ferment, une main finement manucurée se glisse entre les portes, et Ma Dame se faufile juste devant moi sans me jeter le moindre regard. Je suis pétrifié, je ne sais pas comment réagir. Mon sexe lui bondit dans mon slip, ce qui m’arrache une petite grimace car cela serre beaucoup plus que mes vieux caleçons. Elle me tourne le dos, m’ignorant complètement. Elle descend au 3e, et je continue vers mon étage, déçu, excité, frustré, la queue douloureuse dans mon slip. L’ascenseur émotionnel par excellence. Ma journée se passe normalement, même si j’ai un peu de mal à me concentrer, et ... ... que je ne peux m’empêcher de sourire en allant aux toilettes. Je rentre chez moi, un peu triste de n’avoir pas eu la moindre attention de la journée. Je me couche tôt ce soir-là, toujours sur la béquille… Au réveil le lendemain matin, un message m’attend déjà sur mon téléphone : — Aujourd’hui, tu viendras nu sous ton pantalon au travail. Attends le reste de mes instructions. — Bien Ma Dame. Vers 10 h, juste quand tous les employés commencent à prendre un café et que je remonte de ma pause clope, ma poche vibre : — Je veux une photo de ton pantalon ouvert sur ta bite bien bandée sans que tu bouges de ton bureau — Mais je travaille en open space ! — Tu crois que je ne le sais pas ? Tu as 15 minutes. — Mais comment je vais réussir à bander dans cette situation ? — Regarde dans ton tiroir du bas Je l’ouvre, et je découvre et je découvre une culotte blanche plutôt sage, mais avec une grosse tâche d’humidité sur le devant. Je la prends au creux de mon poing, et alors que des collègues sont autour de moi, je la sens. C’est trempé, et ça sent son odeur. Mon sexe frotte contre mon pantalon immédiatement, je bande à mort. Elle est diabolique ! Elle a réussi, pendant ma pause clope, à déposer une culotte trempée de mouille dans mon tiroir, sans que personne ne s’en rende compte. Mais comment a-t-elle fait pour que sa culotte soit trempée ? Je suis soufflé par les talents de Ma Dame. Je regarde autour de moi, personne ne regarde dans ma direction, ni ne se dirige vers moi. J’ouvre mon pantalon, sors mon sexe au maximum, et je prends une photo le plus vite possible. J’ai à peine le temps de poser mon pull sur ma queue bandée qu’une collègue passe juste devant moi, me saluant avec un sourire. J’arrive tant bien que mal à ranger tout ça, et j’envoie la photo. — J’ai failli attendre… Mais c’est bien, tu as bien obéi mon petit voleur. — Merci Ma Dame. — Tu aimerais pouvoir te branler, j’imagine ? — Oui Ma Dame, j’ai un peu mal aux testicules à force de bander. — Va dans le 3e box te branler dans ma culotte, fais comme la dernière fois. Je descends donc au plus vite vers les toilettes des femmes du 3e. Je rentre dans le box et m’enferme, j’ai bien vérifié, il n’y a personne. Au moment où je suis en train d’envelopper ma queue dans le tissu humide, un nouveau message. C’est une photo. On y voit une chaise de bureau dans un open space, et deux jambes écartées dévoilent une vulve rasée brillante d’excitation, avec une main manucurée qui écarte les grandes lèvres au maximum. — Je dois avouer que ton efficacité m’étonne. Voici pour te féliciter. Maintenant, remplis ma culotte de foutre et laisse là dans les toilettes. Je commence alors à me masturber rapidement, la photo de cette superbe chatte sous les yeux, je m’astique à toute vitesse. Mais alors que je sens ma jouissance monter, j’entends la porte s’ouvrir et plusieurs femmes entrent dans les toilettes. Elles discutent entre elles alors que l’une d’elles entre dans le box à ... ... côté de celui où je me tiens la queue à la main. Et alors que mon excitation retombe et que mon inquiétude augmente car cela fait déjà quelques minutes que je ne suis pas à mon poste, je vois soudain un soutien-gorge glisser par terre provenant des toilettes à côté. Je le prends à la main. Un soutif blanc tout simple, qui complète la culotte que j’ai autour du sexe. Je n’en reviens pas. Elle est là, à discuter avec ses collègues d’un dossier administratif, et elle sait parfaitement que je suis à côté, c’est elle-même qui me l’a ordonné. Je reprends ma masturbation en évitant de faire le moindre bruit. La jouissance remonte très vite, mais je ne sais pas si je dois jouir dans la culotte ou dans le soutif. Trop tard, j’ai juste le temps de poser le bonnet devant mon gland qu’un torrent de sperme s’en échappe. Je réussis à ne pas gémir en me mordant la lèvre. Autour de moi la discussion continue, Ma Dame est toujours dans les toilettes. Je regarde alors la culotte toujours autour de mon sexe, et le bonnet du soutien-gorge qui est complètement maculé de foutre, il y a même une petite flaque de liquide dans le fond. Ce ne sont pas les instructions que j’ai reçues, mais c’est trop tard. Je glisse alors les deux sous-vêtements sous la cloison de séparation. Deux minutes plus tard, j’entends la chasse d’eau, puis les femmes retournent à leur bureau, et je peux enfin retourner bosser, mais avec une certaine appréhension quant à la réaction de Ma Dame.
15 personnes aiment ça.
Koala13
Encore ❤️🤤😋
J'aime 05/10/24
A quand la suite ?
J'aime 05/10/24
Wowwww !
J'aime 05/10/24
NestorVenezia
Très sympa ce récit. Félicitations
J'aime 11/10/24
minidoc
une belle envie d y passer
J'aime 20/10/24
Koala13
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J'aime 20/10/24
Isela
Comme j’aimerais pouvoir BAISER… Oh, comme j’ai envie d’une grosse bite épaisse tout de suite, ou mieux encore, de deux, trois, quatre ou dix bites en érection d’amants habiles pour me baiser dans tous les trous toute la journée… Et une fois de plus… Je veux du sperme chaud et délectable dans ma langue… Détache-moi, et je vais immédiatement aller mordre tout le monde ici, et me précipiter là-bas vers les mâles, tous ceux qui voudraient me baiser, qui voudraient mettre leurs énormes bites dans ma chatte, parce que j’en ai tellement envie. Détachez-moi, détachez-moi ! !! » Marie était transportée dans une institution pour individus exceptionnellement agressifs et obsédés par les idées sexuelles. Elle était attachée dans une camisole de force et bâillonnée. Parfois, des mesures spécifiques sont utilisées pour empêcher ces patients de se blesser ou de blesser les autres. Même si Marie n’est pas très agressive, elle tente tout de même de s’échapper. Le personnel médical qui la sert doit être composé de femmes puisqu’elle tente de séduire les aides-soignants et les médecins. Le véhicule l’a transportée avec ses compagnons jusqu’à l’établissement. Là, ils attendaient déjà son arrivée. Marie, âgée de 23 ans, a une libido robuste et est sexuellement active. Recommandation : elle devrait éviter les hommes. Après avoir terminé l’examen, le jeune médecin l’a mis de côté. Une belle jeune femme aux cheveux noirs bouclés l’observait. Elle avait l’air attirante et suppliante avec des yeux qui juraient de rendre la pareille au libérateur de toutes les manières imaginables et inconcevables. C’est ainsi que les patients fraîchement arrivés à sa pension de famille voient le médecin chevronné. Allez, mon beau, détachez-moi et retirez le bâillon de ma bouche, et je le recouvrirai instantanément de votre sexe. Je le sucerai, avalerai les excréments de ton médecin, puis le sucerai à nouveau… Je veux que vous me baiser dans le cul maintenant, alors s’il vous plaît baiser moi … » Le médecin a regardé les aides-soignants. Il n’y avait qu’une seule dame qui s’occupait des patients dans la pension de famille, et c’était son jour de congé ; bien sûr, personne ne recruterait plus de personnel pour le bien d’un seul patient. « Amenez-la dans la salle d’examen », a ordonné le médecin aux aides-soignants. Alors qu’il prenait instantanément la jeune fille dans ses bras, elle s’est mise à sangloter, comme tout le monde. Elle criait, mais personne ne pouvait ou ne voulait comprendre ce qu’elle disait. Même si elle le voulait, il était difficile de comprendre ce qu’elle disait à cause du bâillon qui couvrait complètement ses lèvres. De toute évidence, elle parlait de sexe et demandait à être baisée immédiatement. Comme elle n’avait pas été touchée par les mains d’un homme depuis des semaines, elle a très probablement ressenti une excitation et un désir intenses à ce moment-là, et elle a peut-être même joui. Dans la salle d’examen, elle a été placée sur une chaise d’où elle ne pouvait pas se lever. Le médecin a salué Marie et a demandé à l’aide-soignante d’ouvrir la bouche de la jeune fille. – « Bonsoir, docteur », a-t-elle résisté en lui accordant des faveurs sexuelles de manière agressive. Marie avait auparavant libéré ses lèvres et attendait maintenant la libération de ses membres et de ses jambes pour s’enfuir. – Quelles sont vos émotions ? Fatiguée par les voyages ? – Bien sûr, docteur, j’aimerais m’allonger maintenant. S’il vous plaît, allongez-vous avec moi ; vous pouvez amener un compagnon. Ces déclarations ont fait que les aides-soignants se sont regardés les uns les autres et ont commencé à grimacer. De toute évidence, ils se rendraient dans la chambre de cette beauté dès que le docteur rentrerait chez lui, ce qui était imminent. L’histoire selon laquelle ils étaient sur le point de mettre au monde une femme atteinte de la rage utérine, qui ne refusait jamais personne, circulait depuis longtemps entre les murs de cet établissement. De telles femmes ne sont pas rares ; néanmoins, Veronica se distingue par sa jeunesse et sa beauté. Une célébrité sur Instagram, comme on dit. Jeune, athlétique et naturellement attirante, elle capte l’intérêt des hommes de tous âges. Dans les fantasmes de tous ceux qui les voient, ses lèvres pleines ornent le haut de son pénis. En général, les dames âgées et les femmes excessivement peu attirantes présentant les symptômes de Marie sont admises, mais les aides-soignants leur rendent visite par désœuvrement. Marie est un cas unique. Aujourd’hui, personne ne passerait devant une telle femme, et tous les hommes du bâtiment entreraient dans sa chambre. – « Oui ? « , dit le médecin, « et qu’allons-nous faire avec le petit lit ? » – Si vous voulez qu’il soit rétréci, je le ferai pour vous, docteur. Vous pouvez me pincer les reins comme bon vous semble. Ou je ferai le contraire et je le resserrerai. Ce sera exactement comme vous le voulez, docteur. En entendant cela, l’enthousiasme de Marie a augmenté. Elle ne pouvait plus s’asseoir droit et se balançait continuellement d’avant en arrière sur le coussin de la chaise avec ses fesses. Son pantalon lui irritait légèrement l’entrejambe et elle était prête à jouir. – Marie, n’as-tu pas simplement envie de dormir, de lire un livre ou de regarder la télévision ? Voudrais-tu mettre de la pornographie pour moi ? Nous pouvons faire pire que dans les films, docteur. Elle désigna les mâles qui salivaient déjà devant cette beauté et dit : « Il est évident que les aides-soignants ne veulent pas examiner la profondeur de mon vagin, alors pourquoi pas vous, docteur ? C’est ce que je demande. Docteur, baiser moi Les aides-soignants se sont regardés avec colère et ont tenté de faire une grimace pour indiquer que la fille mentait, mais il était évident qu’ils étaient tous deux en train de développer des bites à cause de tout ce bavardage. Le médecin a regardé chacun des aides-soignants avant de reporter son attention sur Marie. « S’ils tentent d’avoir des relations sexuelles avec vous ce soir, ils seront licenciés immédiatement. Vous n’êtes pas venue ici pour être affligée, mais pour apprendre à la contrôler. Les portes de la salle seront fermées à clé, et seule Marta en aura la clé, » dit le docteur aux aides-soignants. Qui assumera la responsabilité du service demain matin ? Moi. Et personne, pas même nous deux, ne pourra se faufiler dans votre chambre. Dans quelques mois, vous devriez vous sentir soulagé. Oh, avec Marta, quel que soit son nom… Vous voulez nous baiser toutes les deux simultanément, Docteur. Je n’ai aucune objection, mais je ne veux pas partager votre bite avec Marta. Cependant, je m’en remettrai si je peux avoir votre bite en moi. Docteur, pourquoi est-ce qu’on parle tous ensemble ? Permettez-moi de vous sucer maintenant, de défaire ma braguette et vous, » dit-elle en se tournant vers les aides-soignants, « de me détacher ! Évidemment, personne ne l’a détachée. Ce débat n’a pas duré longtemps, car on a immédiatement injecté à Marie des somnifères et une ceinture spéciale a été placée autour de son minou chaud, empêchant toute possibilité d’activité sexuelle.
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Koala13
J’ad
J'aime 18/10/24
daniela_soumise
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Souvenir de la MDT.
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Soumise trav
C'est la récompense pour la soumise
J'aime 15/10/24
daniela_soumise
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Travail anal.
J'adore me masturber en cam devant vous mesdames, et je me fais une ejac faciale a la fin! :)
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CocuEnviePassif
Moi aussi j'ai essayé de me faire ejac facial... J'ai pa réussi à vise8. M'en suis mis partout lol
J'aime 19/09/24
CocuEnviePassif
C'est pas moi.. Mais j'ai essayé dans cette position
J'aime 19/09/24
1f604.png question d'entrainement 1f609.png
J'aime 19/09/24
Chocolat
J'arrive avec un regard de femme. Les salopes me demandent en club
J'aime 29/09/24
Soumisxa
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Je suis devenu ( selon Maîtresse) un excellent masturbateur et donneur d’orgasmes … étant soumis et encagé permanent ( hormis quelques « sorties « autorisées par Maîtresse, au terme de 6ou 8 semaines) , que ce soit de mes doigts , de ma bouche ou à l’aide d’accessoires. Maîtresse attend de moi le maximum….
Candela
Trop de liberté fait peur aux gens, certains s'en débarrassent comme on se décharge d'un poids trop lourd, c'est pourquoi il y a des dominés et des dominants
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La liberté ultime au contraire n'est elle pas dans l'offrande de sa soumission, de choisir le dominant à qui la femme va s'offrir corps et âme? Sans les soumises qui s'offrent, il n'y a aucun dominant...
J'aime 16/09/24
Vos échanges sont trés intéressants. Ce qui fait peur dans la liberté c est que l on se retrouve face à soi même, et l on est obligé d affronter qui l on est, pas de mensonge possible, pas d échappatoire, pas d obligation. La soumission peut dans certains cas être un prétexte pour ne pas s affronter soir même.
J'aime 17/09/24
@ Socrate Effectivement, j'ai connu une soumise qui tentait d'échapper à ses propres fantômes en se lançant dans une énième relation d/s vouée à la échec, puisqu'elle n'était pas stable psychologiquement et émotionnellement. Elle est toujours suivie, et me manque toujours beaucoup. Je ne peux effectivement qu'approuver votre remarque. 🙏
J'aime 17/09/24
Je serai intéressé d avoir des explications sur les motivations d une femme dominatrice? Outre l argent, ou des raisons basiques, si une dominatrice pouvait exprimer ses motivations dans cette suite de message je serai preneur ?
J'aime 18/09/24
###PROFIL BANNI###minahd
bonsoir le monde, je me présente je m’appelle Youssra j’ai 26 ans et je préviens je suis très très dominatrice, ditent pour ce que vous aimez 🫢🫢
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Koala13
Dommage tu habites trop loin !!!
J'aime 12/09/24
###PROFIL EN SOMMEIL###——
Je propose une séance de masturbation en ligne ;)
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novicesoumis
Bonjour Legoat, tu la propose quand cette séance?
J'aime 31/08/24
J'aimerais bien participer aussi
J'aime 08/09/24
👍
J'aime 10/09/24
Orion  ☀️ ☯️
11 personnes aiment ça.
Mandrin
Sublime cliché
J'aime 05/09/24
Bonjour à toutes et à tous nouveau sur le site, Situé à mi chemin du 54 et 88 j'aime particulièrement la masturbation de ma partenaire soumise à mes désirs, alternant plaisir et frustration de l'orgasme. Jeu finissant par un plaisir intense pour les deux bien évidemment. Si une femme du secteur souhaite se soumettre et partager des moments de plaisir basés sur le respect et les écoute de ses désirs. Au plaisir de vous lire
Jofe
Looking for women to teach me from being any of one help
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travestiepourtoi44
bjr a tous si vous voulez je peu vous masturber et méme plus si voulez dans la nature sur NOZAY 44 entre Nantes et rennes
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CYRUS dsl
bien heureux ceux qui s'adonneront à l'exercice par ces températures encore clémentes
J'aime 27/08/24
travestiepourtoi44
je peu vous masturber et voir plus méme dans la nature sur NOZAY entre Nantes et RENNES en journée lapres midi merci
Ondiniste77
a partagé une photo
Personnellement les meilleurs souvenir de masturbations que j'ai eu, solo ou à deux, elle ou moi, ont toujours étaient en lien avec des plaisirs uro sensuels, la complicité de se laisser aller ensemble à cette petite transgression, la douce chaleur et le soulagement. quel plaisir
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Ondiniste77
je suis d'accord
J'aime 23/07/24
Guimonk
Elle me donne envie je donne cette photo nue pour vous sucer assez vite
J'aime 13/08/24
Cette photo fait remonter des souvenirs, elle adorait être caressée longuement au travers du tissu de soie ou en lycra, qui finissait par être imbibé de mouille avant de lui arracher quelques bruits de jouissance et des petits mouvements de son corps De temps en temps quand l'extase était trop intense, il lui arrivait d'uriner involontairement. quel plaisir de la voir s'abandonner ainsi.
J'aime 27/08/24
Tattoo bodmod
Bonjour je recherche une femme pour masturbation simultané cam ou reel
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le pro fesseur
mais pas dit ferré..........
J'aime 27/08/24
Spartiatmaz
Bonjour, je me présente, je suis tout nouveau sur ce site et dans ce milieu varié.. je recherche une femme ou un couple ou juste des expériences à plusieurs, je suis totalement novice.. et j'aimerais expérimenté pas mal de choses pour connaître vraiment mon orientation 🙈 donc je sais pas çi vous pouvez m'aider un peu a rentré dans votre monde... ce serai super, n'hésitez pas à me contacter, je me trouve dans le 84 ' Vaucluse '
Comte de noirceuil
Différents jeux concernant la masturbation masculine. Reprise d'un article de mon site. https://comtedenoirceuil.com/lart-de-la-masturbation-masculine/
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