À mon arrivée, je demande à Madame Simone :
— Kristos n’est pas là??
— On fait d’abord nos comptes.
Elle pourrait me répondre?! Je lui dis :
— Voici 1000 francs, Madame.
Elle me regarde, surprise, puis elle s’approche de moi et... me renifle. Elle me dit :
— Tu sens le clebs?!
En rougissant bêtement, je réponds :
— Oui, j’ai fait des photos avec son chien.
Elle lève les yeux au ciel, mais empoche les 1 000 francs. en m’annonçant :
— Ils sont tous dans la dernière villa, celle qui donne sur la plage.
— Julien aussi, Madame??
— Sans doute.
J’ai déjà dit « salope », non?? Je confirme. J’en ai marre d’elle et de sa putain de fille?! Le photographe m’a proposé de loger dans sa villa. Je serais bien là avec Julien et mon nouvel ami. Je me gratte?! Ça, c’est le seul défaut du chien jaune : il a des puces. Si j’allais loger là, il me faudrait un collier anti-puce.
Je préfère imaginer ce genre de trucs, plutôt que penser à Kristos et Kriss en train de discuter. Hélas, je l’ai dans la peau... oui, aussi vite?!
Je roule le long du chenal, qui clôt le village naturiste. De l’autre côté, ce sont les "textiles". Il y en a qui viennent en nageant.
La dernière villa est beaucoup plus petite que celle du chien jaune. Sur la plage, juste devant la villa, quelqu'un a fait un feu, ce qui n’est certainement pas autorisé. Une douzaine de personnes sont assises autour du foyer. On dirait une bande de scouts... sauf qu’ils sont à poil, qu’ils boivent de la bière et que leur musique n’est pas un chant scout, mais Hôtel California. Kristos et Kriss dansent... Je me dirige vers eux. Dès qu’elle me voit, Kriss dit :
— Tiens, Samia. Alors, on s’est fait des nouveaux amis??
— ... euh ...
— Si tu te fais monter par un chien, tu vas attraper des puces.
Ils rient tous les deux ! Merde, comment elle sait ça?? Sa mère a dû téléphoner à la villa?! Tout le monde me regarde, il y en a que ça amuse mais d’autres sont franchement dégoûtés. Je lui réponds :
— C’est pas vrai ! Menteuse !
— Ton client a téléphoné à ma mère parce que tu as oublié ton collier. Il était ravi que tu aies posé avec son chien, ou plus exactement avec le chien en toi?! Ma mère a demandé quelques photos... On va faire ta pub dans les chenils?!
Là, je pète un plomb, et mon poing lui arrive droit sur le nez et l’œil. Elle pousse un cri et me repousse avec tant de force que je m’étale sur le sable.
Elle crie :
— Maintenez-la par terre, sur le ventre?!
Plusieurs garçons me retournent et me tiennent par les chevilles et les poignets. Je crie à mon tour :
— Kristos, au secours, défends-moi?!
Il répond calmement :
— Tu ne dois pas frapper les gens, ça mérite une punition.
Ils sont tous d’accord, j’entends « Cette fille est cinglée », « C’est une Rom?! », « Punis-la, Kriss ! » et enfin la voix de Kristos :
— Tiens, prends ma sandale.
Je suis couchée sur le ventre bras et jambes écartées maintenues par plusieurs garçons. Je crie :
— Je vais porter plainte, vous ne pouvez pas me frapper !
Kriss répond :
— Et toi, tu as le droit?de me frapper ? Tiens?!
PAF?! Je reçois un méchant coup de sandale en cuir en travers des fesses. Ça fait un mal de... chien?! Je pousse un cri, et aussitôt, "PAF?!" elle me frappe à nouveau. Elle me donne une dizaine de coups de sandale. Je crie à chaque coup le visage plein de larmes. Quand elle s’arrête enfin, une fille lui dit :
— À moi, s’il te plaît Kriss.
Et quelques secondes plus tard :
— Tiens?!
PAF, c’est reparti. Je crie et je pleure dans le sable. Une autre prend sa place, je reçois des dizaines de coups de sandale depuis la pliure des genoux jusqu’en haut des fesses. Je finis par supplier, honteusement :
— Pitiééé... aïe... Mademoiselle... aïe... Kriss... aïe?!
Autour de moi, on rit et on encourage les filles qui me frappent. Enfin, ça s’arrête?! Mes fesses sont dans un volcan en éruption. Je reprends mon souffle et je me lève péniblement, tenant à peine sur mes jambes.
Je ne pense qu’à une chose : foutre le camp?! Je dois passer par le jardin pour déguerpir. En passant, je ramasse une serviette éponge qui traîne par terre. Je la mets autour de la taille. Je me demande où est passé Julien, quand je le vois arriver sur son vélo. Il me demande :
— Ça va, Samia ? Tu as pleuré ?
— Tu étais où??
— Mademoiselle Kriss m’a envoyé faire des courses...
— Va les lui donner et puis on rentre.
Je piquerais volontiers ce qu’il a acheté mais je n’ai pas envie qu’ils viennent le récupérer au camping. Je ne veux plus jamais voir ces gens, de toute ma vie. Quand il revient, je vois à sa tête qu’on lui a dit ce qui s’était passé. Je lui demande :
— Tu as vu Kriss??
— Oui... elle a le nez tout gonflé et un œil au beurre noir.
Merci Sainte Sara... Je prends l’essuie et le plie en quatre. Julien qui voit mes fesses me dit :
— Tu veux qu’on passe dans une pharmacie??
Je m’imagine montrant mes fesses à un pharmacien... Je lui réponds :
— C’est pas tes affaires?!
— Pardon, Samia.
Faire du vélo avec un derrière incandescent, c’est pas le pied. J’aurais dû être plus subtile, me venger en douce. La frapper devant témoins, c’est stupide. Elle a beau jeu de dire « C’est elle qui m’a frappé en premier », comme dans une cour de récréation.
Je ne vais pas mentir, il n’y a pas que mes fesses qui me font souffrir... Disons qu’une autre souffrance se situe derrière mon nichon gauche. On va dormir au camping. Julien a bien compris qu’il ne devait surtout pas me poser des questions.
***
J’ai dormi sur le ventre et ce matin, je ne suis pas en pleine forme. J’espère que je n’ai pas cassé le nez de Kriss, étant donné que Madame Simone a des amis et des parents qui font partie du milieu marseillais. De plus, je ne veux à aucun prix revoir Kristos. Mes fesses gardent les traces de la semelle d’une de ses sandales... Celle qu'il a passée à Kriss?!
Ce n’est pas que j’en ai marre du Cap d’Agde, je me sens bien ici, mais... pour le moment, on va redevenir des "textiles".
On va se doucher et on s’habille pour de vrai. Je mets ma jolie robe rouge, des espadrilles compensées et même une culotte ! On va prendre le petit déjeuner. Julien se tait. Quoi qu’il dise, ça ne me plaira pas. Ensuite, on va à la réception pour payer l’emplacement. Le patron me dit :
— Tu dois appeler ce numéro.
C’est celui de Madame Simone. Autant savoir ce qu’elle prépare et puis, je ne vais pas me dégonfler. J’appelle, madame Simone répond. Je lui dis :
— J’ai eu votre message.
— Je suis contente que tu appelles, Samia. Ma fille est une garce. Le photographe d’hier ne va jamais donner tes photos à personne. D’ailleurs, je regrette d’en avoir parlé à ma fille. Viens travailler, Kriss s’excusera.
— Sérieux??
— Oui. Il y a aussi deux garçons, vraiment pas mal, qui ont vu des photos de toi et qui te proposent 2 000 francs. Viens travailler.
— J’ai des marques... c’est gênant.
Elle se marre en répondant :
— Je te mettrai du fond de teint sur les fesses.
Je ris aussi...
— D’accord, on sera là à 11 h.
Ce n’est pas la première fessée que je reçois, on s’en remet. Par contre, mon amour propre a pris une raclée nettement plus douloureuse.
Je sais que Madame Simone ne fait pas ça par altruisme, mais par intérêt et parce qu’elle a besoin d’une serveuse. Moi aussi, j’ai envie de cet argent. Bientôt, je pourrai faire du shopping à Cannes, dormir dans un bel hôtel et puis retrouver mes futurs beaux parents dans le Nord?! On sort, j’annonce à Julien :
— On se déshabille.
J’enlève ma robe et ma culotte avec grand plaisir. On remonte à vélo... Ça, c’est un mauvais moment à passer, mes fesses me font toujours franchement mal. Mais ce n’est pas grave. On arrive aux Flots Bleus. Je vois Kriss, qui a un joli cerne sous l’œil droit, mais, son nez est à peine gonflé. Dès qu’elle me voit, elle vient me dire :
— Excuse-moi Samia, je n’aurais pas dû te dire ça. On oublie??
Elle me tend la main. Je la serre. De loin, Madame Simone apprécie :
— C’est bien les filles.
Kriss m’embrasse, ses seins écrasent les miens et elle me tient fermement contre elle par la taille en me disant assez bas pour que sa mère n’entende pas :
— Je m’excuse pour faire plaisir à ma mère, mais j’ai beaucoup aimé frapper tes grosses fesses et entendre tes couinements.
Sale garce?! On est les yeux dans les yeux et là... ça dérape. Je veux dire que mes hormones me font un croche-patte. Comme avec Kristos, il y a quelques jours... Kriss est tellement sûre d’elle et d’une telle désinvolture que... je baisse les yeux. Je reconnais qu’elle est la plus forte. D’ailleurs, quand elle me dit :
— Tu vas m’obéir??
Je réponds :
— Oui Mademoiselle. Mais vous ne me frapperez plus ?
— Qui a commencé??
— Oui, pardon Mademoiselle.
C’est moi qui m’excuse?! Saloperie d’hormones?! Madame Simone est un peu plus loin, mais elle a bien compris ce qui se passait. Elle soupire en levant les yeux au ciel. Kriss m’annonce :
— Maintenant au travail.
— Oui Mademoiselle Kriss. Mais... euh... Madame m’a dit qu’elle me mettrait du fond de teint sur les fesses pour cacher les marques.
— Tu rêves?! Allez au travail.
— Oui Mademoiselle.
Je vous imagine : vous soupirez en levant les yeux au ciel, comme Madame Simone?! Tant pis, c’est plus fort que moi.
Je rejoins Anaïs, on s’embrasse, puis on dresse les tables avec Julien. Je lui demande :
— Tu sais ce qui s’est passé??
— Oui, tu as bien fait de lui casser la gueule à cette garce.
A suivre.
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J'explique à Kristos ce qu'on a fait depuis son départ : poser pour des photos et servir le midi aux Flots bleus. J'ajoute :
— On pourrait poser ensemble, nous aurions du succès....
— On verra.
— Si tu veux viens dormir avec nous au camping, on se serrera.
— Vous êtes venus en stop??
— Non, à vélo. Tu verras, c'est cool d'être à poil.
— D'accord, ça m'amuserait de faire ça... Pour les photos, je ne suis pas sûr.
Il dit au revoir à ses copains. On met le sac de Kristos sur le porte-bagages de Julien. Heureusement qu'on n'a pas trop acheté. On passe par le petit bureau. Il dit à la fille de l'auberge :
— Je ne couche pas ici ce soir
La fille râle un peu mais elle doit être amoureuse de lui, vu qu'elle lui dit :
— Tu reviens, hein, Kriss??
— Je reviens toujours vers toi, ma belle, et je n'oublie pas notre projet.
Quel projet?? Grrr?! Au passage, il prend un vieux coussin et il le fixe sur le porte-bagages du vélo avec un sandow. C'est cool d'être aussi attentionné pour mes fesses. Ça peut vouloir dire qu'il a des projets les concernant. Je m'assieds sur le coussin et je me colle à Kristos. Il est sportif et on va vite... On doit attendre cette moule de Julien. On fait assez rapidement les 6 km qui nous séparent du village naturiste. Arrivés au parking, je dis à Kristos :
— Ici on doit se déshabiller.
Ce n'est pas tout à fait exact, la nudité n'est pas obligatoire, mais j'ai envie qu'ont soit nus, lui et moi, genre Adam et Ève... Et Julien fera le serpent, mais un tout petit, disons un orvet.
On se déshabille... vous voyez Julien physiquement?? Kristos c'est le contraire : grand, baraqué, des poils noirs sur la poitrine, le bas-ventre, les cuisses et un sexe à rendre rêveuse un pensionnat de jeunes filles (de plus de 18 ans, bien sûr). On forme un couple très séduisant : la belle, la bête et puis... le... la souris?!
On met nos vêtements dans le sac de Julien. On remonte sur le vélo, je mouille un peu le coussin qui est sur le porte-bagages. Je me colle à nouveau à Kristos, mes seins nus appuyés contre son large dos. Il me dit :
— Me colle pas, je vais bander?!
— Chouette.
Je veux lui montrer le village. On roule un peu et on gare les vélos en mettant l'antivol. On ne peut pas laisser le sac sur le porte-bagages. Je dis à Julien :
— Tu prends le sac et tu marches 5 pas derrière nous. Compris??
— Oui, Samia.
Kristos éclate de rire. Je lui montre la grand-rue, la plage. Derrière nous, il y a Julien, notre petit âne porte nos bagages. D'accord, le sac est lourd mais il a le spectacle de mes fesses qui se balancent juste devant lui?! C'est mieux que tous les couchers de soleil, non?? On se balade un peu sur la plage, Kristos regarde les filles, comme tous les nouveaux venus. Je ne sais pas si je ne vais pas être jalouse, moi. On achète quelques bières et on les boit en regardant la mer, en ce qui me concerne, les filles en ce qui concerne Kristos. Je voudrais qu'il ne regarde que moi?! Il me demande :
— J'ai la dalle, on va acheter des sandwichs??
— On peut aller dans un petit restaurant où ils font des sardines grillées.
Nous laissons nos vélos, le restaurant est tout près.
On mange, on boit, l'ambiance est sympa. On discute avec le patron. Vers 11 h, je paye. Kristos attend un mandat, il me remboursera.
On va au camping en vélo, mes seins sur le large dos de Kristos. Notre tente est du genre ringard, mais comme il "fait la route", ça ne le dérange pas.. Il s'occupe enfin de moi... Il me couche sur le dos pour me faire un cunni, c'est une grande preuve d'intérêt, car les hommes qui habitent autour de la Méditerranée ne font pas ça souvent. Il me lèche habilement, tandis que je caresse son dos de mon talon gauche... Il fait ça beaucoup mieux que Julien. J'ai l'impression de me faire lécher par un caméléon tellement sa langue est longue et s'immisce dans tous les recoins de ma... vulve. Un mot pas très classe, mais tellement excitant.
Quand il arrête de flirter du bout de la langue avec tous les recoins de ma chatte, il la fait tourner autour de mon clito. Je sais que je ne vais pas tenir longtemps... Quelques minutes plus tard, je grimpe aux rideaux de la tente... Je vais finir par avoir la peau de ces putains de rideaux?! Heureusement que c'est une image. C'est bon?! Il est beau, il lèche bien et il est à moi. J'ai un amant et un esclave. Je lui demande :
— Tu veux que je te suce??
— Non, mets-toi sur le côté, j'ai envie de bien sentir tes fesses.
C'est gentil aussi, ça... Je me couche et il se met derrière moi... Plus besoin de préliminaires, ma chatte est devenue préhensile, elle attrape son sexe et l'enfonce en elle?! Il me remplit... de bite et de plaisir, je lève une de mes jambes en disant :
— Julien?!
Aussitôt, il vient coller sa bouche à ma chatte et au sexe de Kristos qui va et vient en elle. Je l'ai bien dressé. J'aime le savoir là, en dessous, la bouche collé à nos sexes. J'ai joui il y a seulement quelques minutes mais je suis de nouveau super excitée par ce sexe en moi et cette langue qui me lèche.
Kristos sait se retenir... longtemps. Il me fait jouir à nouveau, avant d'inonder ma vulve (excitant, non??) de son foutre (ça aussi?!)... Ensuite il reste en moi... et on s'endort, avec Julien à nos pieds.
***
Le lendemain, quand on se réveille, je montre à Kristos le cérémonial du matin. Julien embrasse et lèche ma chatte qui est à peine réveillée et toute collante de nos ébats de la veille. Ça excite Kristos et son sexe remplace rapidement la langue de Julien. C'est un "quickie" comme on dit à Buckingham Palace, une petite baise express, mais ça fait un bien fou pour commencer la journée.
On se douche et on va déjeuner. Ensuite nous partons aux Flots bleus. Je suis sûre qu'on demandera à Kristos de poser avec moi. On entre dans le bar. Je dis bonjour à Madame Simone et à Kriss. Je leur présente Kristos en disant :
— Il serait d'accord de poser avec moi.
Il me répond aussitôt :
— Ah non, sorry petite, j'ai réfléchi et comme je fais des études en histoire de l'Art à Barcelone, je ne veux pas poser nu.
Merde?! Histoire de l'art comme Kriss?! C'est quoi, cette connerie?? Kristos le routard, un étudiant??
Et, bien sûr, Kriss lui dit :
— Moi aussi, je fais Histoire de l'art, mais à Aix en Provence.
Ils commencent aussitôt à parler études, universités, Barcelone et ah, Gaudy et oh, la Sagrada Familia. Et ça dure... Madame Simone finit par me dire :
— Il est l'heure, va dresser les tables, Samia.
— Oui, Madame (grrrr?!)
Je me tourne vers Kristos et lui dis :
— Si tu as envie de faire un tour sur la plage, je finis à 2 h 30 '
Madame Simone intervient :
— Non, tu as des photos en début d'après-midi.
— Mais Madame, je voulais rester avec lui...
J'en ai les larmes aux yeux?! Madame Simone poursuit :
— C'est bien payé... et j'ai dit que tu le ferais.
C'est aussi l'avis de Kristos :
— Bien sûr, fais-le. Tu pourras m'aider en attendant mon mandat.
Mouais... Madame Simone clôt la conversation en disant :
— Allez, au travail, Samia?!
Je vais aider Anaïs et Julien qui ont déjà commencé. Madame Simone et Kriss continuent de discuter avec Kristos. Je les entends rire tous les trois, ça me fait râler. Et ce n'est pas fini. Vers midi, les premiers clients arrivent et je vois que Kriss fait asseoir Kristos dans la partie de la terrasse où Anaïs fait le service. Je vais lui dire :
— Tu ne voulais pas te balader sur la plage??
— Ta patronne m'a proposé de manger ici. Elle est vraiment sympa. Sa fille aussi, d'ailleurs.
Justement, cette salope fonce sur moi en disant bien haut :
— On ne te paye pas pour discuter.
Je lui arracherais bien une oreille avec les dents?! Je fais comme si tout ça était normal, mais intérieurement, je suis enragée... Je me concentre sur mon service. C'est interminable, ce midi et ça n'arrête pas, je cours plus que jamais pour servir ma moitié de terrasse. D'autant plus que Madame Simone a dit qu'elle avait besoin de Julien en cuisine. Le coup de grâce, c'est quand Kriss va s'asseoir en face de Kristos.
Enfin, il est 2 h 30. Kriss fait la caisse. Elle partage les pourboires. Madame Simone me fait un petit plan pour trouver le photographe. C'est dans la plus belle partie du village. J'appelle Julien, mais Madame Simone me dit :
— Il veut une fille seule. Julien peut rester ici, il me donnera un coup de main. Le client te veut à 3 h.
Bon... J'aurai toute la soirée avec Kristos. Il discute toujours avec Kriss. Je vais lui dire :
— Je serai de retour à 6 h, on ira manger, je connais...
— D'accord, bonnes photos.
Je veux l'embrasser mais il a repris sa discussion avec Kriss. Ce n'est pas mon jour. Seule chose positive, Julien me regarde d'un air suppliant, il veut rester avec sa maîtresse. Je vais lui dire :
— Je reviens à 6 h. Tu obéis à Madame Simone.
— Oui, Samia...
Voilà un homme comme je les aime. Non, ce n'est pas vrai, c'est Kristos, mon genre d'homme, bien sûr. Je prends mon vélo... Cet après-midi, la magie n'opère pas : ma chatte reste presque sèche sur la selle. Je vais montrer mon cul à un connard alors que j'espérais passer une après-midi en amoureux avec Kristos. Et Julien pour tenir la chandelle.
Le monde ne s'arrête pas de tourner parce que je ne serai dans ses bras que ce soir. Je me ressaisis et je termine le trajet en gigotant un peu sur mon vélo. Ça marche enfin : ma chatte me remercie silencieusement...
La villa est belle, le mec sympa, je dois me déshabiller... mais non, j'arrive toute nue. Un vicieux me demanderait de m'habiller. Je fais les photos qu'il veut, je me caresse même la chatte mais avec distinction, genre le petit doigt levé, toujours comme à Buckingham Palace, là où on fait des "quickie". Je joue avec son chien, un grand clebs jaune de marque indéterminée.
Il est très affectueux et il a une longue langue légèrement râpeuse. L'appareil crépite... Au début, j'ai Kristos en tête, mais rapidement la chienne en moi prend le dessus?!
À la fin de la séance tout le monde est content, moi qui ai reçu 1000 francs?! Le photographe qui a des super clichés et le chien jaune qui a l'impression de m'avoir fait plein de petits chiots. Mais ça s'peut pas, bien sûr... Enfin, j'espère.
Il m'embrasse, c'est mignon et... troublant...
Je repars vers les Flots bleus... Je colle à la selle, oui, à cause du chien jaune. Je vais vers la maison.
A suivre.
Un tout grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
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On va vers le bar pour faire les comptes avec Madame Simone. Je me souviens bien de l'avertissement de Jo, le premier photographe : elle a de la famille dans le milieu. C'est la fin de l'après-midi et il y a déjà pas mal de monde sur la terrasse. Dès qu’on est entrés, Madame Simone me demande :
— Alors, ça s'est bien passé??
— Oui Madame. On a fait des photos... corsées.
Je mets tout l'argent sur le comptoir. Kriss, qui n'est pas loin, siffle en voyant les billets. Elle fait remarquer :
— Maman devient une maquerelle.
Connasse?! On a fait des photos et on a baisé parce que j'en avais envie et un peu pour l'argent. Madame Simone retient 20 %. C'est vite gagné pour elle.
On lui dit « à demain ». J'ignore Kriss.
J'ai encore un peu de sperme de Luigi qui coule le long de ma cuisse. On va un peu nager, puis on se sèche en marchant sur la plage. Lorsqu’on est sec, on récupère nos vélos. Ce soir, sardines grillées au menu, et là, au moins, on n'a pas besoin de vêtements. Le loup, ce sera pour plus tard.
***
Le lendemain, je me réveille vers 9 h. Je réveille Julien pour qu’il vienne embrasser ma chatte. C'est le rituel, la marque de soumission de l'esclave à sa Maîtresse. Je ne sais pas s'il aime ma chatte au réveil, collante de la nuit, mais moi j'aime sentir ses lèvres fraîches sur mes grandes lèvres.
Je traîne un peu, puis on déjeune. Ensuite, on se lave et on s'habille... ou pas?! D'avoir baisé avec le marin me donne des envies de bites en moi... Kristos devrait être revenu?! Cet après-midi, on va aller à Agde faire des courses.
À 10 h 30, on est aux Flots bleus. On range, on met les tables... Madame Simone est toujours aussi directive. Je gagne de l'argent grâce à elle, bien sûr, mais il faut aussi que je puisse m'amuser. Kriss donne également des ordres à Julien, et c'est normal, mais aussi à moi, genre : « Samia?! ça fait deux fois que la 7 demande l'addition, tu es sourde ou quoi ? » La 7 est de mon côté mais je ne peux pas tout faire en même temps.
Heureusement, on se fait toujours de bons pourboires. Quand on s'apprête à partir, Madame Simone me dit :
— J'ai une enveloppe pour toi.
Il s'agit de photos faites par Jo, le premier photographe. Elles sont super : on me voit gambader nue dans un peu d'eau. Qu'est-ce que je suis belle?! Il y en a une où je plonge et on ne voit dépasser de l'eau que mes fesses et ma chatte qui fait une moue boudeuse. Il y a une photo de Julien que j'adore : l'eau froide a encore fait rétrécir son petit sexe. Dans cet état, il pourrait baiser la fée Clochette, ça ne risquerait pas de lui faire du mal. Je remercie Madame Simone et on s'en va. Je suis pressée. On prend nos vélos et ensuite, direction camping. Là, je mets ma robe rouge et des sandales. Ça fait bizarre. Je dis à Julien de s'habiller aussi. Après avoir mis un jean et un polo, il me demande :
— Est-ce qu'on pourrait manger un peu??
— Non, tu mangeras plus tard.
Eh, oh, je ne suis pas sa bonne?! Il a faim?? C'est une bonne maladie. On reprend nos vélos. Direction Agde. Il y a environ 6 km.
Là, on va d'abord chez un tatoueur. Il n'y en a qu'un, j'ai trouvé son adresse dans l’annuaire téléphonique du camping. C'est un grand mec d'une quarantaine d'années qui a l'air d'un biker alcoolo. Il y a deux clients ou amis qui ont le même look. Le tatoueur me demande :
— Qu'est ce que tu veux comme tatouage, petite??
Je sors de mon sac un dessin sur un morceau de nappe en papier. C'est un gitan rencontré aux Sainte-Marie qui me l'a fait. J'avais dansé et il avait griffonné ça sur la nappe. Il représente une jolie gitane, moi, qui danse le flamenco. Ils viennent tous regarder. Je lui dis :
— Je voudrais juste le contour comme sur le dessin.
— Facile. Tu le veux où??
— J'hésite, j'avais d'abord pensé sur la fesse, je vais vous montrer.
Je me retourne, lève ma jupe et mets mon doigt un peu au-dessus de ma fesse gauche en disant :
— Ici, mais comme je pose pour le magazine "Belle et nue au soleil", ce serait mieux sur mon bras.
Je rabats ma jupe. Il demande :
— Et le jeune homme??
— Je voudrais une phrase à l'intérieur de son biceps "j'appartiens" et en dessous "à Samia".
Ils sont surpris, Julien aussi. Mais, oh?! Il m'appartient ou pas?? Le tatoueur me dit :
— Écoute, ça me serait utile de faire quelques photos pendant que je vous tatoue. Je pourrai faire de la pub dans le village naturiste. Si je peux te photographier nue et le jeune homme aussi, pendant que je vous tatoue, je ne te ferai rien payer.
— D'accord.
À partir de maintenant, je veux tout faire à poil et ne plus jamais payer?! Il se tourne vers Julien en disant :
— Toi aussi tu es d'accord??
C'est moi qui réponds :
— Je décide pour lui.
Un des clients dit :
— Normal, s'il t'appartient.
Il a tout compris?! Le tatoueur ferme le magasin pour une heure.
J'ôte ma robe et me retrouve en costume d'Ève. Ouf, mon corps respire?! Je vais m'asseoir dans un des deux fauteuils. Les tatouages, si vous passez parfois vos vacances à Berck, vous connaissez. Pour ceux qui vont plutôt en vacances au Touquet, j'explique rapidement comment ça se passe. Le tatoueur me met du désinfectant sur le bras. Ensuite il fait le dessin de la gitane, très fidèlement et enfin, il pique. On le sent, mais c'est très supportable, surtout parce qu'il ne s'agit que d'un contour.
Il faut environ 15 minutes pour me tatouer la gitane. C'est simple mais joli... comme moi?!
Un de ses copains a fait des photos pendant qu'il me piquait en s'assurant qu'on voie mes nichons. Je me lève et je montre mon touage sous tous les angles pour qu'il puisse photographier mon cul.
Au tour de Julien. Je le regarde et ça suffit. Il enlève son polo et son pantalon. Trois paires d'yeux regardent son sexe, puis moi. Vous voyez en deux temps sa bite puis moi-même. Je leur explique :
— Il n'a pas fini sa croissance... enfin, j'espère.
Ils se mettent à rire, mais bien, un rire gras de biker fumeur de Gauloises et de joints.
Au tour de Julien. Le tatoueur écrit à l'intérieur de son bras "j'appartiens" en petit, puis en dessous "à" et en grand "SAMIA". Julien couine un peu quand le tatoueur le pique. Je le prends par le menton et lui relève la tête pour le regarder dans les yeux, en demandant :
— Ça te plaît de montrer que tu m'appartiens??
— Ouiii Samia, mais ça fait mal...
— Tu veux une bonne raison de chouiner??
— Non Samia, pardon.
Un des gars me demande :
— C'est un peu comme ton esclave??
— Oui, c'est ça, je l'ai acheté... mais il était en solde?! Il a un défaut.
On rigole. Celui qui fait les photos nous demande de poser à deux en montrant nos tatouages. Je prends Julien contre moi et instantanément, il bande... C'est bien, un esclave réactif à sa Maîtresse.
Voilà, le tatoueur a ses photos, moi et mon esclave, nos tatouages. Ils me proposent de passer la soirée avec eux. C'est tentant, je leur dis :
— Ce serait avec plaisir mais demain ou après-demain. Ce soir, on a rendez-vous chez des amis à la sortie de la ville. Je téléphonerai.
On se rhabille, on s'embrasse, ils me pelotent les fesses... et on monte sur nos vélos, direction l'auberge de jeunesse. Oui parce que... euh... mon but, en venant à Agde, c’était voir si Kristos est revenu ou s'il y a un message pour moi.
On entre dans l'auberge, la gamine mal embouchée est là avec des jeunes qui louent une chambre, je veux dire un tout petit bout de dortoir. Je veux demander à la fille :
— Est-ce que...
Elle me coupe :
— Tu ne vois pas que je suis occupée??
Toujours aussi mal embouchée, la garce?! Je lui mettrais bien mon poing dans la figure, mais je me retiens, il faut qu'elle me renseigne sur Kristos.
Elle plaisante avec les deux types... Quand ils ont fini, elle se tourne vers moi et je lui demande :
— Tu as des nouvelles de Kristos??
— Il est là?!
— Mais je t'avais demandé de me prévenir
— Tu crois que je n'ai que ça à faire?? Il est arrivé ce matin et il est dans la cour, mais c'est réservé aux clients de l'hôtel.
Là, je lui rentre dedans?! Elle doit s'en rendre compte car elle ajoute :
— C'est bon, je t'autorise à y aller
C'est ce qui compte?! Dans la cour, Kristos boit une bière, assis sur une vieille banquette de camion. Il est avec des copains. Je lui dis :
— Kristos?! Oh, je suis contente que tu sois revenu.
— Mais moi aussi... euh... petite...
Ce salaud a oublié mon prénom?! Décidément, c'est pas mon jour. Heureusement, il ajoute :
— Samia, c'est ça, hein??
— Oui.
Il m'embrasse sur la bouche. Quand sa langue sort de ma bouche, il dit à ses copains :
— C'est la petite que j'ai tirée il y a une semaine.
Ils s'en foutent, les copains, puisqu’ils picolent. Kristos ajoute :
— Ton mari fait toujours faire le guet quand tu baises??
C'est vrai que je lui ai dit que Julien était mon mari. Je réponds :
— Bien obligé. Tu as vu qu'il est monté comme un canari?! Je ne sens absolument rien quand on baise. Tiens, je vais te montrer.
Je sors deux des photos de Jo, une de moi et l'autre de Julien et moi. Kristos les regarde en disant :
— ?? ????? ????... quel beau cul?!
Un de ses copains lui dit :
— Passe.
Kristos les lui tend et les photos passent de mains. D’accord, mais faut pas me les abîmer?! Je vais acheter des pochettes en plastique pour les protéger. Les exclamations des copains de Kristos sont de deux sortes, flatteuses pour moi, genre « mate le cul de cette salope » et nettement moins pour Julien. Pauvre... Non, je rigole. J'adore le voir humilié et lui, ça doit lui plaire aussi. D’ailleurs je ne l'ai pas attaché avec une chaîne, donc il est libre de partir quand il veut?!
A suivre.
Si vous aimez mes histoires, soyez gentil, dites le moi.
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On monte dans le zodiac avec Luigi, le marin/garde du corps. Je dis à Julien :
— Tu commences.
Comme ça, je vois comment ça se passe. Il est tout fluet, ça m'étonnerait qu'il y arrive. Luigi lui montre bien la position et Julien se retrouve dans l'eau avec des skis. Il n'est pas à l'aise du tout, on dirait qu'il va pleurer. Quelle petite moule?! Le marin met en route le moteur et accélère. Et, là... Julien sort de l'eau?! Je suis très étonnée. Gilou a un appareil avec un gros télé pour le photographier. Ensuite, c'est mon tour. Je chausse les skis et je vais aussi dans l'eau. Il ne faut pas que je me plante?! Le bateau accélère et je sors également de l'eau. J'adore cette sensation, j'ai presque l'impression de voler. Je vole au-dessus des vaguelettes, nue et mouillée.
C'est trop bien. Je demanderai à lui aussi d'avoir des photos.... Je ne tombe qu'une fois, mais je repars. Je skie encore un long moment, je fais un peu la conne en me tortillant et je tombe. Le zodiac vient près de moi. Gilou me dit :
— Remonte, on termine avec Moira et Luigi.
Oh??! ça sent la partouze marine, ça?! Oui, mais c'est plus de l'érotique. Gilou sort un billet de sa poche et me donne 1000 F de plus?! Bon, va pour la partouze marine. Il dit :
— Pour commencer, je voudrais que le petit se mette à genoux à hauteur des seins de ma femme pour qu'elle le suce. Luigi s'occupera de toi.
Moira est un peu descendue sur le lit de plage pour être à plat et elle a levé les bras, dévoilant les buissons roux de ses aisselles. Julien va délicatement se mettre à genoux au-dessus d'elle, manquant de l'éborgner avec sa bite. Je rigole?! Il met son tout petit engin sur les lèvres de la belle rousse, tandis que son mari mitraille. Elle ouvre la bouche et l'engloutit littéralement. Il est tellement menu qu'elle arrive à enfourner sa bite et ses couilles en même temps. Ce n'est plus un homme... mais entre nous, ça ne l'était pas beaucoup avant que sa virilité disparaisse dans la bouche de la dame?! Elle le ressort. Ouf?! il est redevenu un homme. Enfin, je veux dire un garçonnet.
Luigi s'est déshabillé et il vient se coller à mon dos. Oh?! c'est pas un garçonnet ou un lutin, lui, mais un vrai mâle. Son sexe est dressé sur mes reins (il est beaucoup plus grand que moi) et il me caresse les seins. Il tire sur mes tétons avec juste ce qu'il faut de brutalité pour que je me frotte à lui en gémissant. Son patron fait des photos, bien sûr. Quand il s'arrête, c’est pour dire à sa femme :
— Ne le laisse pas jouir.
Julien se retire, son petit service trois-pièces tout luisant de salive. Clic, clic, clic... Gilou me dit :
— Lèche ma femme, ma belle.
Moira me sourit et dit :
— Attention, je sens la ménagerie.
— Pas plus que je ne suis une voleuse, Madame.
Je me mets à genoux et je me penche pour lécher sa chatte, mais elle la couvre de sa main en disant :
— Demande.
— Euh...
— Demande la permission de me lécher !
Elle veut jouer... mais, bon, avec ce que je suis payée, on ne va pas discuter. Donc je lui dis :
— Je peux vous lécher la chatte??
— Mieux que ça.
— Je vous en prie, j'ai tellement envie de vous lécher, Madame.
Un hochement de tête. Le flirt avec Luigi et maintenant ce jeu avec elle, je commence à être vraiment excitée. Si un exocet ou poisson volant fait un bond hors de l'eau et atterrit sur ma chatte, je jouis?! Je pose ma bouche sur ses grandes lèvres tout en me cambrant pour présenter mes fesses aux éventuels marins qui passeraient par là. Allez-y les gars : à l'abordage?!
Moira a posé son pied sur le haut de mon dos tandis que je la lèche du vagin au clito. Difficile de décrire deux actions simultanées, mais tandis que je la lèche, Luigi pose son gland à l'entrée de mon vagin?! Si mon sexe avait des mains, il l'attraperait et se l'enfoncerait bien profond. Mais vas-y, merde?! T'as peur?? Ah non, il s'enfonce complètement dans ma chatte et ses couilles viennent même claquer sur mes cuisses. Voilà, on est en accord, ma langue dans une chatte et une bite dans la mienne. Je ne suis pas la seule à être très excitée, Moira caresse mon dos avec un pied tandis que de la main, elle m'ébouriffe les cheveux comme on fait à un chien. Je lèche et je suce son clito. Je me dis, « Attends petite snobinarde, je vais t'envoyer en l'air?! Tu vas griffer les mains de ta mère » (c'est une image?!). Ça y est, elle colle mon visage contre sa chatte et jouit comme la première Romanichelle venue.
Les clics clics n'ont pas cessé, tandis que Luigi continue à me baiser lentement... Je tortille un peu mon cul, en espérant qu'il accélère... Bobby dit à sa femme :
— Tu pourrais bouger, ma chérie??
Il prend sa place en me disant :
— Lèche ma bite sans la prendre en bouche.
Je fais coulisser sa peau — clic, clic — et sors bien la langue pour lécher son gland — clic, clic. Luigi commence à me baiser plus rapidement... Mon vagin se resserre tandis que dans mon cerveau, mon hypothalamus s'apprête à lâcher une bonne dose d'endorphines. On est en pleine mer, il y a peu de voisins, à part dans le ciel et dans la mer. Alors je peux me laisser aller à gueuler :
— Ohhhh oouiiiiii..... c'est boooooooonnnnnnn?!
Evidemment, j'affole un peu les mouettes, mais putain, ça fait du bien?!
Je sens que la bite de Luigi quitte ma chatte, qui lui fait plein de bisous au passage. Il a du self-control, le matelot?! Gilou demande :
— Pour terminer, tu as des idées Moira ?
Elle réfléchit... Je réponds à sa place :
— Moi j'ai une idée, c'est...
Moira me coupe :
— Tu t'appelles Moira??
— Non... pardon, mais...
— Allez, vas y. Crache-la, ton idée. Mais si elle n'est pas bonne, on te met aux fers dans la cale.
Elle plaisante, hein??
— C'est que des photos de Luigi et moi, ça pourrait être bien.
Elle répond :
— Dis plutôt que tu as envie d’encore te faire baiser par lui.
— Euh... oui... c'est vrai.
— Allez, montre ce que tu sais faire.
OK. Je me colle à lui comme une moule à son rocher, je l'embrasse tandis qu'il me caresse les fesses. Quand nos bouches se séparent, j'embrasse sa poitrine, le nez dans ses poils... Je descends jusqu'à me mettre à genoux à ses pieds. J'embrasse ses couilles, je les lèche, les mordille.. Ensuite j'embrasse son sexe de la base jusqu'au gland qui a si bien fouillé mon vagin... Quelle belle queue?! Je me relève et je mets mes bras autour de son cou en lui demandant :
— Tu veux bien me prendre par les fesses et m'asseoir sur ta bite, mon beau marin ?
Entendons-nous, je fais ça... pour que Gilou ait de belles photos, bien sûr. Luigi positionne son sexe sur ma chatte, la gravité fait le reste... Oh, je suis pleine de sa bite... Avant de me laisser au plaisir de me faire baiser, je dis vite à Bobby :
— Gardez quelques photos pour la fin.
— D'accord.
Luigi m'a solidement empoignée par les fesses et il me fait monter et descendre sur les 22 ou 23 cm de chair durs de sa bite. Je commence par gazouiller, puis je chante, genre :
— Oh oui... c'est boooon, défonce-moi?! Plus fort.... je sens rien?! Aaaiiieee?! Oui, comme ça, aaaahhhhhhhhhh....
Ça y est, je grimpe aux rideaux (il doit sûrement y en avoir dans les cabines)?! Et, foin de son self-control, Luigi jouit en moi...
J'imagine ses spermatozoïdes super costauds partir en bande pour aller violer un de mes ovules.. Enfin, violer, c'est un grand mot. Si mes ovules me ressemblent, elles doivent les accueillir, genre "welcome strangers"...
Voilà, c'est fini. Luigi me fait descendre... J’ordonne à Julien :
— Couche-toi sur les dos.
Dès que c'est fait, je m'accroupis au-dessus de son visage et j'ai la générosité de lui faire ce cadeau : des globules de sperme et de sécrétions qui tombent dans sa bouche. Il en sort 2, puis 3... Je m'assieds, la chatte sur sa bouche, en lui disant :
— Fais le ménage?!
J'adore l'idée... Quelques minutes de nettoyage plus tard, je me relève. N'allez pas dire « pôv' Julien », il aime ma chatte même pleine du foutre d'un autre. La preuve : il bande?! Enfin, il bande comme un ouistiti pygmée...
Quand je me relève, Moira me dit en souriant :
— T'es une vraie salope toi, de traiter ton petit frère comme ça.
— Enfin un mot gentil !
Luigi me dit :
— Très bonne séance de photos. Et avec Dennis, ça s'est bien passé ?
— Oui, il va même m'envoyer des photos, dont une ou deux signées.
— Garde-la précieusement, il devient de plus en plus célèbre.
Cool. Il va sûrement nous inviter à manger avec eux. Je regarde Gilou... Il parle avec Moira d'une invitation chez des amis. Ça me va aussi...
J'interromps leur conversation pour lui demander :
— Vous voudrez bien donner quelques photos à Simone des Flots bleus ?
— Oui, oui... si j'y pense.
Quel rat?! Pendant qu'on faisait des photos, il était tout miel?! Moira me dit :
— On est train de parler, là... Luigi va vous reconduire.
On ne mange pas ensemble, on ne s'embrasse pas, on ne se parle même plus?! Sales riches?! J'ai compris : n’étant pas du même monde, on est congédiés?! Je leur dirais bien : le père de Julien est aussi riche que vous. Qu'ils aillent se faire voir?! Luigi nous dit :
— Venez dans le zodiac, les enfants.
On s'installe. Je lui fais remarquer :
— En fin de compte, ils sont vraiment pas sympas.
— Qu'est-ce que tu veux, ce sont des riches.
Ah, qu'est-ce que je disais?! Il ajoute :
— Le principal pour toi, c'est que tu as été très bien payée.
— Oui, c'est vrai. On va se revoir??
— Pourquoi pas. Tu as une petite chatte... accueillante.
C'est tout?? J'aime pas les larbins des riches?! Il nous dépose devant « Les Flots bleus ». Je lui dis :
— Salut... et peut-être à un de ces jours.
— C'est ça, tu me liras les lignes de la main.
Bon, passons à autre chose.
A suivre.
Je suis ici mia.michael@hotmail.fr et je suis sympa.
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On arrive près du bateau. Un homme d'âge mûr, avec un gros ventre et une bite mollassonne, nous regarde arriver en souriant. Ce n'est pas vraiment mon genre de beauté. Mais bon, après tout, il sera derrière son appareil. On monte à bord et il m'embrasse... sur la bouche. Il embrasse aussi Julien... L'est plutôt familier, le gros. Il nous demande :
— Vous êtes Samia et Julien??
— Oui, c'est ça...
— Moi, c'est Gilou. Vous allez d'abord faire des photos avec un de mes amis un photographe américain connu, puis avec moi.
— Madame Simone m'a dit que ce ne serait qu'une séance de photos.
— Ce sera deux séances, comprenant des photos érotiques. Elle m'a dit que vous faisiez ça.
— C'est que...
— J'ai déjà payé Simone, mais voici pour vous décider.
Il sort une liasse de billets de sa poche et me tend deux billets de 1000 francs (plus de 300 euros). D'accord??
Je lui fais un grand sourire en répondant :
— Qui doit-on tuer pour ce prix??
Il rit... puis me dit :
— Venez, je vais vous présenter le photographe.
On va vers la poupe. Il y a une table, des sièges et des chaises longues. Un homme est assis dans un fauteuil, il a une jolie femme sur les genoux. Elle est uniquement vêtue de lunettes de soleil et d'un grand chapeau, elle n'a pas l'air emballée de nous voir. Gilou nous dit :
— Je vous présente Moira, ma femme, et Dennis X, mon ami, qui est un grand professionnel.
Elle n'est pas sympa, mais je la trouve très séduisante. C’est une rousse auburn, avec des poils qui forment une flamme sur son pubis et même des petites flammes en dessous des bras. Elle me demande :
— C'est vous qui êtes des Roms??
— Euh... oui...
— On ne vole rien ici, hein??
Norman dit précipitamment.
— Ma femme plaisante.
Non mais, elle est malade?! Elle me regarde, intéressée par la façon dont je vais réagir. Nous pourrions sauter à l'eau et regagner la plage, mais on est franchement loin. Et puis, il y a ma ceinture porte-monnaie qui ne peuy pas aller dans l'eau et puis, j'ai envie de faire du ski nautique... Donc on reste, mais je lui réponds quand même :
— On ne va rien voler. Il ne faut pas croire tout ce qu'on dit, les Roms ne sont pas tous des voleurs, loin de là, et toutes les rousses ne sentent pas la ménagerie.
Il y a un flottement, puis elle éclate de rire. Après s'être calmée, elle dit :
— Tu as du répondant, j'adore?!
Bon, ça, c'est fait. Mais qu'est-ce que Madame Simone a besoin de dire partout que je suis une Rom?! Ce n'est pas que j'aie honte...
Norman s'adresse au photographe :
— Tu veux commencer, Dennis??
— Oui, merci, cher ami.
Dennis est grand et il a un fort accent. Il nous dit :
— Venez avec moi dans la cabine, on va choisir des accessoires.
On prend l'escalier jusqu'à une grande cabine. Il nous détaille en disant :
— Vous êtes beaux et vous avez de très jolis kious (en fait, il veut dire "culs"). Il me regarde et ajoute :
— Et toi, tu as une jolie poitrine, mais un peu trop pour ce projet, je te prendrai de derrière.
Je pense «?pour deux mille francs, tu peux me prendre par où tu veux?!?» Il me demande de mettre un grand chapeau de paille avec des fleurs, qui ressemble à celui de la rousse. Il donne à Julien une casquette blanche à galons, un rien nous habille. Il y a un grand miroir et je me trouve franchement mignonne avec mon grand chapeau. Julien n'est pas mon mal non plus en mini-capitaine. On remonte sur le pont et il nous photographie à différents endroits du bateau.
On commence par faire des photos sur lesquelles on se tient par la main, puis Julien de face contre le bastingage et moi regardant la mer. Je suppose qu'il veut avoir mon kiou et le tout petit robinet de Julien... Je ne vais pas tout décrire. Je sens néanmoins qu'on va basculer dans des photos un peu moins convenables quand il me dit :
— Embrasse le sexe de ton frère.
Rien qu'à entendre ça, Julien se met à bander comme un... mais, non, pas comme un âne. J'enlève mon chapeau pour me mettre à genoux devant lui et délicatement, je tire sur la peau pour dégager le gland. Dennis s'écrie :
— Merveilleux, il brille au soleil?!
Ben oui, il est excité et mouillé, mais de là à trouver ça merveilleux?! Dennis fait plusieurs photos. Je tire bien la langue et lèche le gland en l'enduisant de salive. Il brille encore plus. Notre photographe pousse des cris d'extase?! Il a la trique. Oui, lui aussi... Sauf que la sienne, c'est pas un zizi de mulot, mais une bite d'âne?! Il me propose un marché :
— Si vous me léchez tous les deux, je te ferai cadeau du lot de photos et j'en signerai même une.
Oh?! Les photos, ça me fait plaisir, mais pourquoi une signée?? Croyant que j'hésite encore, il ajoute :
— Je vous en signerai deux.
— D'accord.
Si ça lui fait plaisir... Il me dit :
— Je les développerai demain, j'ai hâte de voir ça. Donne-moi ton adresse et je te les enverrai.
Je lui donne mon nom et l'adresse du camping. On monte sur le pont et il choisit un endroit ensoleillé. Monsieur veut sans doute briller du gland, lui aussi. Quand il est assis, je vais me mettre à genoux à côté de lui en disant à Julien :
— Viens te mettre en face de moi.
Il m’obéit, bien sûr. Je vous ai déjà dit que c'était mon boy?? On se retrouve l'un en face de l'autre, de chaque côté d'une bite de belle taille, heureusement. Je veux dire, heureusement pour les photos... Dennis me dit :
— Dégage mon gland et léchez-moi à deux, en tirant bien la langue... et en me regardant.
Je tire sur la peau, je vous évite les détails. Julien fait un peu la moue. Quoi?? Elle n'est pas assez propre pour ce petit singe?? Je lui dis sèchement :
— Lèche?!
Il tire bien la langue et lèche le gland. Putain, ça m'excite de le voir?! Quand il a bien léché, je tire la langue et lèche aussi. Au-dessus de nous, ça ?fait "clic clic clic". Dennis nous dit :
— Regardez-moi
On lève les yeux. On doit avoir l'air de deux adolescents qui se partagent une grosse glace dans un cornet. Je préfère les glaces. On entend toujours "clic clic", mais aussi des grognements de plaisir. Je sens qu'il va jouir, alors je vise bien le visage de Julien, en lui disant :
— Ferme les yeux.
Je sais que le sperme dans l'œil, ça pique. Si, si... demandez à votre femme quand elle revient du bureau, après avoir essayé d’obtenir une augmentation. Ce n'est pas que je chouchoute Julien, mais si je le punis, ce sera sur son cul, pas dans ses yeux. Dennis gueule :
— Fuck, I'm cumming?!!
Aussitôt, le visage de Julien est décoré de guirlandes de foutre chaud qui arrivent par saccades, c'est mignon. Dennis continue de faire des photos, en grognant. Avec les doigts, je nettoie le visage de Julien, c'est-à-dire que je lui fais lécher le sperme sur ma main. Il avait les bourses pleines à craquer, l'Amerloque. Julien aura eu son petit goûter?!
Notre photographe me dit :
— Tu es une belle salope. Je te reprendrai.
Oh?! C'est gentil. Je suis une belle salope avec "kiou" du tonnerre?!
Il ajoute :
— Je vais commencer à développer. Vous, allez rejoindre Gilou.
Il n'est pas loin, Gilou. Juste un peu plus haut, dans la cabine de pilotage, pour faire le voyeur. Il nous dit :
— J'arrive.
Lui aussi, il nous fait poser un peu partout sur le bateau, autant Julien que moi. Ensuite, on doit poser à deux. Il nous dit :
— Embrassez-vous.
On remet ça?! Je prends Julien contre moi en disant :
— Tu as envie que je t'embrasse??
— Oh oui, Samia?!
On se fait un baiser chaste. Il se laisse embrasser comme une fille?! Il s'abandonne comme moi quand un vrai mâle m'embrasse. Comme je suis contre lui, je sens quelque chose me chatouiller la cuisse. Un moustique??? Ah non?! C'est Julien qui bande. Gilou me dit :
— On va faire des photos en ski.
A suivre.
Je suis ici : mia.michael@hotmail.fr et je réponds gentiment....
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En quittant le bar, Julien se traîne un peu. Il faut dire qu'on l'a fait courir et que c'est sans doute la première fois de sa vie qu'il fait un travail un peu physique.
Je sais ce qu'il voudrait : aller se coucher sur un matelas de plage en sirotant des cocktails. Ce n'est pas ce que j'ai prévu, mon coco. On va manger et puis faire quelques achats.
On va s'installer à une terrasse sympa et je commande deux glaces, des Brésiliennes king size avec de la chantilly et deux cocas. J'aime commander pour Julien sans lui demander son avis, il faut qu'il dépende complètement de moi. Je suis sa drogue, son gourou, sa Maîtresse. Et puis, si ça se trouve, il aime les glaces et le coca.
Ensuite, on va dans la rue commerciale. J'achète une ceinture porte-monnaie et un joli collier en perle de corail. Il faut louer des vélos. Le village naturiste est grand, le camping où on dort et "Les flots bleus" sont à l'opposé l'un de l'autre. Je loue deux vélos de fille, Julien ne se plaint pas. Heureusement pour lui, sinon, je lui louais un vélo avec deux petites roues à l'arrière, ce serait assorti à sa bite?!
On monte sur nos vélos et... Oooohhh... Quand je roule, c'est comme si j'étais sur un gode vibrant. Ça donne envie de faire de grandes promenades?!!
Avant de visiter le village, il y a une urgence : on passe au camping. Nos voisins Chtis doivent être à la plage. Dans la tente, je me couche sur mon sac de couchage, les cuisses écartées. Du doigt, je montre à Julien ma chatte mouillée, à cause du vélo. Il se couche aussitôt et sa langue me... lape. Ça s'appelle faire obéir un esclave au doigt et à l’œil?! Je vais jouir trop vite, je le sens, alors je dis à Julien :
— Sans ta langue, juste les lèvres et le nez. .
Ouf?! Sauvée de justesse d'un orgasme foudroyant... mais je ne vais pas tenir longtemps. Le bout de son nez sur mon clito, ça me fait trop d'effet. J'abandonne : je prends mes grandes lèvres à deux mains pour les écarter. Ouch?! Mon bas ventre se serre presque douloureusement et quelques secondes plus tard, je grimpe aux rideaux de la tente. Et ça dure... mmmhhh... que c'est bon d'avoir un esclave sexuel !
Quand je redescends des rideaux, je lui dis :
— Bouge
Je ferme les yeux... Il faut dire que j'ai fait beaucoup de choses : les photos, le service, un cunni avec mon sexe-slave... Je m'endors.
Un quart d'heure plus tard, je me lève, Julien aussi, fatalement. On s'habille... mais non, on ne s'habille pas, on part en vélo. Ça y est, la selle recommence à me chauffer. Je vais devoir me tremper les fesses dans la mer...
Je repère les magasins, les restaurants... J'ai envie de voir ce qu'il y a moyen de faire d'amusant. On va sur une plage où on peut faire du ski nautique et même du parachute ascensionnel... vous imaginez : s'envoler à poil comme un oiseau ! Hélas, c'est cher... Je vais attendre d'avoir plus d'argent ou essayer de me faire inviter.
On va se baigner et on se balade sur la bande de sable dur, que la mer vient lécher. Je commence à avoir faim, je n'ai mangé qu'une glace à midi. J'ai envie de poisson, pas de hamburger ou de pizza.
On roule dans le village... c'est toujours aussi troublant, mais je ne peux pas aller me tremper les fesses dans la mer toutes les 5 minutes.
J'aperçois un restaurant avec une belle terrasse ombragée. Il y a un grill et j'ai l'impression de sentir l'odeur du loup grillé au fenouil.
On gare nos vélos et je regarde la carte. L'odeur plus la carte, je salive. Par contre, quand je vois les prix, ça me refroidit un peu. Ce sera peut-être pour demain... Avec les pourboires du midi et les photos qu'on aura sans doute l'après-midi, on se paiera un loup, enfin moi, je prendrai un truc bon marché pour Julien... On reprend nos vélos et on va vers le port. Les établissements sont plus simples ici. Je vois un petit bar-restaurant avec un barbecue, ça ne sent plus le loup mais la sardine. Bah, ça fera l'affaire.
Il y a pas mal de monde. Des clients sont en culotte de maillot, mais il y a aussi des gens habillés, c'est bizarre. Un homme d'une cinquantaine d'années s'occupe du barbecue. Il me regarde et me dit :
— Tu n'as pas envie de goûter mes sardines, mignonne??
— On n'a pas pris de vêtements...
— C'est normal, ici. Moi, j'ai mis un pantalon pour ne pas me griller le zob?!
Je rigole avec lui. Il ajoute :
— Installe-toi à cette table avec ton mari. Tu vas attirer les clients, je te ferai un prix.
Mon mari... oui, bientôt, j'espère. On nous appelle gens du voyage, moi, je vais voyager socialement. Ma vie a débuté dans une roulotte en Roumanie et si j'épouse Julien je roulerai en Porsche...
Elles sont bonnes, les sardines. C'est pas du loup, évidemment, mais ce n'est pas cher. Je discute un peu avec Julien, juste ce qu'il faut.
On rentre à la tente. Le vélo, vous savez ce que ça me fait?! Julien doit me faire un câlin, mais à l'étage en dessous. C'est si agréable d'avoir une langue pour remplacer mon majeur...
***
Le lendemain, on dort plus tard. Je bâille en m'étirant... puis je dis à Julien :
— Viens m'embrasser.
Pas sur la bouche, évidemment mais sur les grandes lèvres. J'aime sentir sa bouche sur ma chatte pour commencer la journée. Pas plus, je lui donne un petit coup de talon sur le dos et il arrête.
On va prendre une douche, puis je mets de la crème solaire sur les épaules et le dos de Julien. Ça surprend, même lui. Il a une peau de blond et je ne veux pas qu'il devienne tout rouge. Ce minet avec son sexe d'enfant plaît à certains hommes et aux cougars qui ont envie de... materner.
Il est un atout pour moi, pour faire des photos. Donc je prends soin de mon atout. On s'habille... ou pas. Je ne mets que mon collier de perles de corail rouge, des sandales et une petite pochette avec nos papiers et l'argent. Julien, lui il a juste des sandales. J'ai envie de lui faire faire un bracelet avec l'inscription "J'appartiens à Samia".
On va déjeuner à la cafeteria du camping. Ensuite, on prend nos vélos et on se balade dans le village... C'est calme le matin, tout le monde est à la plage. Nue à vélo, ça me fait toujours autant d'effet. J'espère que Kristos va bientôt revenir à l'Auberge de Jeunesse. J'ai envie de lui lécher les couilles et de lui offrir mes fesses. C'est cette selle entre les cuisses qui m'excite.
À 11 h, on se pointe aux "Flots bleus". J'embrasse Anaïs et je salue "Madame" Simone et "Mademoiselle" Kriss.
Madame Simone me dit qu'on a des photos à 3 h, cet après-midi. Cool. On installe tout pour le repas de midi. Kriss continue à nous donner des ordres. Quand elle doit répondre au téléphone, je dis à Anaïs :
— Quelle petite garce, elle a notre âge et elle nous donne des ordres sans arrêt.
— Oui, elle a toujours été comme ça.
— Tu la connais depuis longtemps ?
— C'est ma cousine.
On sursaute quand Emma nous dit :
— Et alors, on vous paie pour bavarder??
On s'active aussitôt. C'est dingue qu'Anaïs doive appeler sa cousine Mademoiselle Kriss?!
Les clients arrivent et on commence à faire le service. Je suis aimable et souriante avec tout le monde. Ceux qui sont chiants, je crache en douce, dans leur assiette. C'est ce que font toutes les serveuses?! Soyez sympas avec elles, sinon c'est ce qui risque de vous arriver?! Julien fait ce qu'il peut mais on doit tout lui dire. Je l'engueule devant les clients, j'adore son air penaud quand ça arrive. Je remplace les joints, la coke et l'alcool. Il est shooté à Samia. Il faut dire qu'Anaïs s'amuse aussi à le faire courir.
On se plaint de Kriss et de sa façon de nous traiter, mais on fait la même chose avec Julien.
Ce midi, il y a des amis de Madame Simone. Ce sont des gens d'un certain âge et ils savent que je suis une Rom. Avec un fort accent méridional, l'homme me demande :
— Alors comme ça, tu es une gitane??
— Oui, Monsieur.
Il me tend sa main, paume vers le haut, en disant :
— Dis-moi mon avenir.
Je la prends et la pose sur mes seins pour mieux voir. Je lui dis :
— Je vois... une superbe ligne de vie, vous allez devenir centenaire... Je vois aussi que vous avez une très belle ligne de chance. Vous êtes aussi très généreux et vous donnez toujours de gros pourboires.
Ça les fait rire. Kriss me crie de loin :
— Va débarrasser la 14, Samia?!
L'homme est un peu rouge, peut-être parce que j'ai mis le dos de sa main sur mes seins. Je vais vite débarrasser. Kriss me prévient :
— Tu n'es pas ici pour dire la bonne aventure.
Pas la peine de lui dire que c'est le type qui me l'a demandé, je réponds :
— Oui, Mademoiselle Kriss.
Si votre mère ou votre femme ou vous-même avez déjà travaillé pour des patrons, vous savez qu'il vaut mieux ne pas discuter.
À 2 h 30, on fait la caisse et surtout, on partage les pourboires en deux. Pas mal. On donne encore un petit coup de main pour ranger la cuisine.
À 3 h, un homme costaud arrive. Il est en short, impossible de voir sa bite. Oui, j'ai pris l'habitude ! Il annonce à Madame Simone :
— Je viens chercher les jeunes pour les photos.
Elle nous désigne en disant :
— C'est eux.
On se dit bonjour, je demande :
— On va faire les photos avec vous??
— Non, avec mon patron et un de ses invités, un photographe connu.
On va sur la plage. Il nous dit :
— On va aller sur le yacht de mes patrons.
— Oh, c'est cool. Dites, ils sont sympas??
— Pour des patrons, oui.
D'accord, je vois le genre. Au bout de la plage, il y a un couloir délimité par des flotteurs, c'est là qu'on peut arriver en bateau. Enfin, c'est un zodiac qui nous attend. Il nous montre un bateau ancré un peu plus loin en disant :
— C'est le bateau.
C'est un navire énorme. Enfin, je veux dire très grand. Il me demande :
— Tu as déjà fait du ski nautique ?
— Pas vraiment...
Il me regarde surpris, puis rit. C'est vrai que c'est... spécial, comme réponse.
A suivre.
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Il nous examine, comme une ménagère américaine du 18e siècle devait examiner les esclaves avant d'en choisir une. Il a l'air d'être prêt à nous acheter, car il nous dit :
— D'accord. Je vous prends. Mais il faut que le jeune homme se rase.
Julien passe la main sur ses joues qui sont aussi lisses que des fesses de bébé?!
Il précise :
— Le bas-ventre.
Ah ouais, d'accord. Madame Simone vient près de nous en disant :
— J'ai ce qu'il faut. Venez, on va s’en occuper.
On entre dans le bar vers une porte marquée "Privé". Là, il y a une grande pièce. Madame Simone me donne de la crème dépilatoire. Je dis à Julien :
— Couche-toi sur la table et écarte bien les cuisses.
J'étends de la crème sur ses poils. Je tiens son sexe entre deux doigts et presque aussitôt, il bande. Il dit aussitôt :
— Pardon Samia, mais c'est que...
La suite ne vient pas, car Madame Simone lui dit :
— T'en fais pas mon garçon, il ne nous fait pas peur, ton petit instrument.
On rit toutes les deux. Je lève ses jambes à la pliure des genoux comme on le fait pour changer le lange d'un bébé?! Après avoir mis de la crème partout et laissé reposer, j'enlève la mixture avec ses poils. Madame Simone m'apporte de l'eau pour le rincer. Je le remets debout et je prends par la main. On retourne sur la terrasse. Monsieur Jo nous dit :
— Bien?! Comme ça, vous êtes très beaux, mes enfants (il parle comme le prêtre de l'autocar?!). On va faire de belles photos.
Madame Simone lui demande :
— Combien tu les payes??
Tête de Jo qui répond :
— C'est toi qui t'occupes d'eux??
— Oui.
— 300 francs (environ 50 euros)
— On veut 600. Regarde comme ils sont beaux, retournez-vous les petits.
On montre nos fesses. Jo lui dit :
— 400, tu sais bien que...
— 500.
Il pousse un gros soupir en disant :
— Bon d'accord.
J'ai été bien inspirée de la prendre comme agent. Je vais près d'elle pour lui dire :
— Merci, Madame Simone.
Avant de partir, je lui demande :
— Est-ce que je pourrais passer un coup de téléphone à l'Auberge de Jeunesse d’Agde pour dire qu'un ami peut nous joindre ici ?
— Oui, vas-y.
J'avertis la gamine de ce qu'elle doit dire à Kristos. Monsieur Jo m'appelle :
— Viens, on y va.
— Oui, oui, j'arrive.
On va sur la plage et on commence par des photos plutôt sages.
Ensuite, il m'explique :
— On ne va pas faire de l'érotique, mais des photos prises sur le vif. Parfois, elles peuvent être assez révélatrices. Par exemple, si tu ramasses un ballon... Tu vois ce que je veux dire??
— Je crois... Un peu comme ça??
Je m'approche de l'eau en lui tournant le dos et... Oh?! C'est quoi ça?? J'écarte les jambes et je ramasse une coquille de moule. J'entends "clic"?! Je crois qu'il l'a bien eue, la moule. Enfin, la mienne?! Il a l'air ravi en disant :
— C'est exactement ça.
— Vous ne regrettez plus votre argent, Monsieur Jo??
— Non petite, mais tu sais, il y a des filles qui sont coincées du cul. Manifestement, c'est pas ton cas.
Ah, non... En plus, si on peut faire plaisir et gagner de l'argent. On enchaîne sur des photos couchée sur le sable, moi genre je ne me rends pas compte qu'on voit tout. Ensuite je vais dans l'eau avec Julien. Monsieur Jo nous demande de faire les dauphins : on plonge de façon à ce qu'on voie juste nos deux paires de fesses qui sortent de l'eau. On doit aussi nous promener au bord de l'eau, la main dans la main. Bref, on fait tout ce qu'il veut. Il est ravi. En fin de séance, il me dit :
— Je voudrais que Julien te prenne sur ses épaules.
On pèse à peu près le même poids, mais moi je travaille depuis que je suis née ou presque. Lui n'a jamais levé le petit doigt. Je fais remarquer à Jo :
— Il va s'écrouler si je monte sur ses épaules, vous ne préférez pas qu'on fasse l'inverse??
— Oh si, super idée Samia. Tu crois que tu y arriveras??
Je m'accroupis et dès que les jambes de Julien touchent mon dos, il bande. C'est dingue, l'effet que je lui fais. Il me monte dessus maladroitement. Je sens ses fesses sur mes épaules, ses jambes sur mes seins et son tout petit zizi qui se presse contre ma nuque. J'avoue que je dois faire un effort pour me redresser, mais je fais "han" et j'y arrive, tandis que lui fait "iiiiiii", un petit cri de souris qui a perdu son bout de fromage. Il se tient solidement à ma tête. Jo est ravi, on a droit à un :
— Merveilleux, mes enfants !
Je cours avec Julien sur mes épaules. Jo nous prend sous toutes les coutures. Au bout de 10 minutes, je lui dis :
— Ça devient quand même un peu lourd.
— Oui, bien sûr poussin, tu peux le déposer. Il est presque 11 h, on doit retourner chez Simone, si tu fais le service.
Je suis devenue "poussin"?! On marche le long de l'eau pour retourner chez Simone. Jo me met négligemment une main sur les fesses, en disant :
— Tu n'as pas les plus belles fesses du Cap d'Agde, mais de tout le Sud.
Il a l'air sincère. Pourtant, il doit en voir vues, des fesses. Une main sur mon cul avec un compliment, même embrouillé, ça me plaît.
Quand on approche des Flots Bleus, il y a nettement plus de monde et il retire sa main en disant :
— Un conseil d'ami, petite. Fais attention que tes comptes soient toujours justes avec Simone, elle a des amis... coriaces à Marseille.
— Merci, je ferai attention.
Madame Simone nous regarde arriver et elle nous dit :
— Comment ça s'est passé??
C'est Jo qui répond :
— Très, très bien
— J'aurais dû te demander plus.
C'est pour plaisanter, je crois. Elle ajoute :
— Venez à l'intérieur, on va faire les comptes.
Jo lui donne l'argent convenu. Elle retient 20 % et me donne ce qui reste. C'est pas mal pour une matinée de travail. Elle lui dit :
— Apporte-moi quelques photos pour faire la pub des petits.
— D'accord.
Elle se tourne vers moi :
— Va aider Anaïs à dresser les tables
— Oui, d'accord.
— Dis Madame, c'est mieux
— D'accord, Madame.
Faire le service, je connais et dire "Madame", je m'en fous. Elle ajoute :
— Tu vas devoir mettre ça.
Pas un uniforme quand même?? Non, elle me tend une casquette américaine, blanche, avec l'inscription "flots bleus" et une ceinture porte-monnaie. Elle me dit :
— Occupe-toi du côté droit, Anaïs fera l'autre.
Anaïs a écouté notre conversation. Elle me dit :
— Si tu as un problème, dis-le moi.
— Merci, tu es gentille.
On dresse les tables... C'est Madame Simone qui cuisine et c'est de la petite restauration. Sa fille, Kriss, devrait être contente de ne plus faire un job aussi humiliant que serveuse, mais elle n'est pas plus sympa pour autant.
Je fais le service, je souris, je fais bouger mes seins et mes fesses, je me baisse pour ramasser une allumette par terre. Oh mon Dieu, mais je montre tout?! Pour être franche, une des raisons qui m'a fait accepter ce job, c'est que je suis nue et que je me faufile entre des gens nus. Un homme distingué me donne un gros pourboire. Je le remercie chaleureusement et il pose la main sur mes fesses. Il faut dire qu'on est dans la partie la plus "libérée" du village. Des clients ont vu ça et bientôt, quelques mains supplémentaires s'égarent sur ma chute de rein. Il y a même une grand-mère qui me caresse en disant :
— Tu en as un beau petit cul.
— Merci Madame.
Et... ding : gros pourboire. Ça marche mieux ici que dans le petit bistrot de Berck-sur-Mer. Je m'aperçois qu'Anaïs se laisse aussi caresser au passage. Je la vois même coller son pubis contre l'épaule d'un client. J'aime cette ambiance... de sexe. N'empêche, on court beaucoup, donc c'est dur.
Je vais demander à Madame Simone :
— Mon frère pourrait nous aider, Madame??
Elle réfléchit un instant, puis répond :
— D'accord mais je ne le paie pas. Allez, retourne vite travailler.
Anaïs a déjà trouvé une casquette "Les flots bleus". J’annonce à Julien :
— Tu mets ça et tu fais ce qu'on te dit.
Comme serveur, il est nul, bien sûr. Anaïs et moi, on le fait débarrasser les tables ou aller chercher des choses simples. Kriss a une personne de plus à qui donner des ordres. Je me fais un petit bas de laine avec ce que je gagne ici, plus les photos, et dès qu'il y a assez, on part... à Saint-Tropez.
— SAMIA !! Débarrasse la 12.
— Oui, Mademoiselle Kriss.
Connasse?! J'attends des nouvelles de Kristos et on part à St Trop' avec lui.
Vers 14 h 30, il ne reste plus qu'une table occupée. Ce sont des clients qui terminent leur café et ils ont déjà payé. Anaïs me dit :
— Viens, on va faire la caisse avec Madame.
On laisse Julien nous prévenir s'ils veulent quelque chose ou s'il y a d’autres clients qui arrivent. Madame Simone et Kriss sont assises dans le fond du bar. Anaïs et moi, on est en sueur...
En ce qui concerne les pourboires, il y a une règle. Je ne sais pas si vous avez déjà été serveur ou serveuse. Non?? Peut-être votre mère ou votre femme?? Non plus?? Bon, j'explique : les serveurs et les serveuses partagent leurs pourboires. Les filles, si elles sont jolies et un peu souriantes, recevant beaucoup plus de pourboires que les hommes. Ici, on est deux filles et Anaïs est presque aussi jolie que moi.
Vous pensez bien que je n'ai pas mis de temps en temps un billet dans ma poche?! D'abord, je n'ai pas de poche, ensuite, j'ai pris au sérieux l'avertissement de Jo et enfin, je suis honnête... dans la mesure du possible. Kriss nous donne notre part des pourboires, c'est pas mal. Elle me dit :
— Tâche d'être plus attentive, demain.
— Oui... Mademoiselle Kriss.
Dans peu de temps, ma place sera à nouveau vacante, sale bêcheuse?!
— Bon, soyez là demain à 11 h 30.
— Oui, merci Mademoiselle Kriss
J'embrasse Anaïs qui me presse contre elle. On mélange un instant nos seins et notre sueur.
A suivre.
mia.michael@hotmail.fr
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Kevin est moche, mais il sait baiser et on dirait qu'il n'a pas l'intention de s'arrêter?! Je suis fatiguée, moi, j'en ai plein le cul de Kevin, au propre et au figuré. Je joue distraitement avec le petit sexe de Julien, qui bande comme un souriceau surexcité... Je me contracte pour bien serrer la bite de Kevin, afin qu'il jouisse et ça marche?! Il pousse des grognements, jouit, puis se retire. Mon anus est à nouveau violemment étiré, mais il a connu pire. Kevin me donne une bonne claque sur les fesses en disant :
— Putain?! T'es une fameuse salope?!
Dans sa bouche, c'est un compliment. Kevin c'est pas Kristos et j'en veux pas de son sperme. Je m'accroupis au-dessus de Julien en disant :
— Ouvre la bouche.
Je pousse et voilà... le sperme coule dans sa bouche. Après m’être soulagée, je demande à Kevin :
— Tu veux qu'il te nettoie avec la langue??
Il hésite... Ça ne se fait pas dans son bled, quelque part entre Lille, Roubaix et Tourcoing. J'ajoute :
— J'ai envie de voir ça.
— D'accord.
Je regarde Julien et aussitôt, il baisse la tête et se met à lécher la grosse bite de Kevin qui est redevenue molle. C'est dégoûtant, non?? Parce qu'après tout, elle vient de sortir de mon cul. Je vérifie s'il a bien tout nettoyé...
Pour le récompenser de son obéissance, je joue avec sa petite bite jusqu'à ce qu'il jouisse. Gentil, non??
Bon, ça, c'est fait, mais je suis collante et je ne me sens pas fraîche du tout. Je dis à Kevin :
— Je prendrais bien une douche.
— Je vais te montrer où c'est.
On repasse devant sa tante. La mère est revenue, elle nous demande :
— Alors, tout s'est bien passé??
Kevin lève le pouce en l'air tandis que je mets une main sur mes fesses en disant :
— Oui, il est très gentil.
Elle rigole et ajoute :
— Je ne sais pas si c'est le mot qui convient
On va se doucher. L'eau n'est pas chaude, mais là aussi, j'ai connu pire : un seau avec quelques trous dans le fond, pendu à une branche et qu'on remplissait d'eau. Je suis émue de me laver la chatte pour la première fois... Mais non, pas de ma vie, depuis qu'elle est toute lisse.
En sortant de la douche des femmes, je me sens propre et encore plus nue. Il n'y a pas à dire, c'est mon truc.
On se balade dans le centre, Kevin me tient par la taille. Il est un peu encombrant et pas vraiment sexy. Heureusement, il me demande :
— On rentre dans deux jours, tu veux que j'essaye de rester??
— Ce serait super, mais on doit rejoindre nos parents au cap d'Antibes
— On se reverra??
— Bien sûr, je t'appellerai dès qu'on sera dans le Nord.
Deux jours, ça va. Il nous offre l'apéro : boire un pastis à poil, en public, sous le soleil, après une partie de jambes en l'air avec deux mecs, même si l'un des deux est monté comme un mulot, c'est le pied?!
Le soir, on mange avec la Kevin's family. On picole, on s'amuse. Vers 10 h, Kevin s'excuse, il a rendez-vous avec des copains. Alors ça, ça tombe bien, je n'ai aucune envie de remettre le couvert avec lui, ce soir.
Je suis fatiguée et vers 11 h, je les remercie beaucoup pour leur invitation et je leur explique :
— Demain on doit être à 9 h dans le village pour un boulot.
On va se coucher.
***
Le lendemain, je suis réveillée par Julien, qui touche mon bras. Je lui dis :
— Quoi??
— Il est 8 h 30, Samia.
Merde?! On doit encore se laver, s'habiller, se maquiller, manger... mais non, rien de tout ça. On enfile nos sandales et on va à l'adresse que nous a donnée Monsieur Miliani. Il nous a prévenus que la plage se trouve à l'extrémité du village. Les hommes me regardent avec beaucoup d'intérêt. Heureusement que j'ai mon frère pour défendre ma vertu?!
On arrive au dernier établissement de la plage. C'est pas mal du tout, il y a des matelas et des parasols comme partout, mais aussi une grande terrasse avec des tables et un bar. Derrière ce bar, il y a une grosse dame nue qui boit un café. Elle doit avoir une quarantaine d'années. Je lui dis :
— Bonjour Madame, on vient de la part de Monsieur Miliani
— Ah oui, c'est toi la petite Rom. Viens, on sera mieux sur la terrasse pour parler.
On va s'asseoir. Il y a déjà pas mal de gens, qui boivent un verre ou prennent leur petit déjeuner. Elle nous dit :
— Levez-vous, que je vous voie mieux.
On obéit et je prends la main de Julien, plus empoté que jamais. On fait quelques pas, on se retourne. Les clients nous regardent, un homme siffle et dit :
— Bellissima?! Une nouvelle serveuse, Madame Simone??
— Peut-être.
Elle m'examine des pieds à la tête, puis passe à Julien. Quand elle voit sa petite bite, elle me dit en riant :
— C'est encore un enfant, ton frère?!
— Il a 19 ans.
— Il fait 10 ans de moins?! Vous allez intéresser le photographe tous les deux. Tu as déjà été serveuse??
— Oui, mon père a tenu un petit café. Je connais bien le travail, je suis rapide, efficace et souriante.
— Bien... Tu as l'air décidée. C'est le midi qu'on a un coup de feu. Une des serveuses nous a lâchés et c'est ma fille qui la remplace, provisoirement. Elle doit te voir aussi.
Elle crie :
— Anaïs, demande à Mademoiselle Emma de venir.
— Oui, Madame.
Une jolie brune, avec des seins en poire avec de larges aréoles foncées et une chatte bien toilettée, arrive. Elle demande :
— Quoi, M'man??
— La petite Rom que ton oncle nous envoie.
Je lui dis "bonjour", elle répond :
— Mets-toi debout.
Décidément?! Je me lève et tourne sur moi-même. Elle fait la moue mais dit quand même :
— Mouais, pas mal... De toute façon, j'en ai marre de faire la serveuse. Si jamais mes copines de la fac me voyaient?!
— Je vais la prendre à l'essai.
Manifestement, serveuse, elle ne trouve pas ça assez bien pour elle. Elle est jolie et elle a des seins... amusants, mais ça a l'air d'être une chieuse de première?!
Je demande à la mère :
— Et mon frère, il pourrait travailler ici aussi??
— Pour les photos, certainement... Il peut t'aider aussi pour le service, mais sans être payé, dans un premier temps.
Elle baisse la voix et continue :
— Par contre, je peux certainement vous trouver des gens pour des photos. Je prends 20 % de commission.
Putain, c'est énorme?!
— Et si tu veux que je négocie avec le photographe, tu seras gagnante, même en me donnant 20 %. Il va arriver, alors décide-toi.
Je dois réfléchir à sa proposition, demander d'autres avis... ou alors, foncer comme je fais toujours. Je tends la main en disant :
— D'accord.
Elle tape sur ma paume. Voilà, on a fait un deal, j'ai un agent. Ça va trop vite pour Julien, il pose la main sur mon bras en disant :
— Tu ne crois pas que....
Je lui coupe la parole :
— Quand les grandes personnes parlent, tu te tais. Compris??
— Oui, pardon Samia.
— Va mettre tes pieds dans l'eau. Je t'appellerai quand on aura besoin de toi.
— Oui, Samia.
Il se lève et se dirige vers la mer. Sur ses fesses, je distingue encore un peu la marque laissée par les cordes. Notre petit numéro fait rire Madame Simone, la serveuse et les clients proches. Elle me dit :
— Dis donc, tu le mènes à la baguette, ton frère.
— C'est ce qu'il lui faut, à ce petit trouillard.
— Tu veux boire quelque chose en attendant Monsieur Jo??
— Oh oui, volontiers. On n'a pas eu le temps de prendre un petit déjeuner.
Elle crie :
— Anaïs, viens prendre une commande.
— Oui Madame, j'arrive
Anaïs est une jolie brune, certainement une fille de la région. Elle est en uniforme, mais à la mode naturiste : une ceinture avec un porte-monnaie sur le ventre, une casquette américaine et des baskets. C'est mignon. Elle me demande :
— Que désirez-vous??
— Deux cafés, s'il vous plaît.
Madame Simone ajoute :
— Et apporte des croissants.
— Merci, c'est gentil. Dites, votre fille est très jolie, elle ne fait pas de photos??
— Oh non, elle est en histoire de l'art à Aix-en-Provence. Elle ne se montrera jamais nue dans une revue.
Elle se lève et joute :
— N'oublie pas ton frère.
Ah, oui je l'avais effectivement oublié?! Il regarde par ici, les pieds dans l'eau. Je lui fais signe de venir.
Anaïs revient avec un plateau. Je la regarde plus attentivement. Elle a une chevelure noire nouée en queue de cheval, normal pour une serveuse. Elle a aussi de grands yeux et un petit nez. Je regarde sa chatte toute nue, toute douce, sûrement. Elle me fait un grand sourire et retourne dans le bar en balançant ses fesses. Julien revient timidement s'asseoir. Je mange un croissant. Il me regarde, je fais un petit signe de tête et il commence à manger aussi. Qu'est-ce qu'il est déjà bien dressé?!
Anaïs est jolie et sympa, l'autre, Emma, a l'air d'une vraie garce. On vient de finir de manger, quand le photographe arrive. C’est un homme d'une quarantaine avec un bedon de bon vivant et un nez rouge de buveur de "môminettes" (des petits pastis). Il embrasse Madame Simone. On se lève pour le saluer. Il nous dit :
— Bonjour les enfants. Miliani a l'œil : je cherche justement un petit couple de votre style.
À suivre.
Si vous voulez me joindre, je suis ici : mia.michael@hotmail.fr
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Je lui dis :
— Bonjour, je viens de la part de Monsieur Miliani.
— Ah, oui, il m'a téléphoné. C'est toi qui vas poser pour "Jeunes et nus au soleil"??
— Oui, avec mon frère.
— Bougez, que je vous voie mieux.
Je prends Julien par le bras, on fait quelques pas, on se retourne.
Les gens qui sont là nous regardent, surpris. Il leur dit :
— Ce sont des modèles, ils vont faire de la publicité pour le village.
Là, ils comprennent. Je fais encore quelques pas, je me retourne... J'adore être le centre de l'attention. Je devrais vivre ici toute l'année... quoiqu’en hiver, je serais moins séduisante avec la chair de poule. Le patron du camping me demande :
— Tu as une tente??
— Non...
Il prend un micro et dit :
— Joël, apporte une tente à la réception.
Puis il me demande :
— Des sacs de couchage aussi??
— Ah oui, ce serait super.
Alors il annonce :
— Et deux sacs de couchage.
Ensuite il doit discuter avec des clients qui ont un problème. Un jeune homme arrive avec une tente... de l'ancien temps. Je veux dire, il y a même des tiges en métal pour la fixer. Ouch?! Le patron me donne un plan du camping en disant :
— Regarde, c'est là que vous devez aller, au dernier emplacement.
— Merci beaucoup, je...
Mais il recommence à s'occuper d'autres clients. Je prends nos deux sacs et Julien, la tente plus le sac d'accessoires. Je regarde le plan. On entend souvent dire que les femmes ne savent pas lire un plan, moi, je sais : je suis une Rom, une fille du voyage. Julien me suit, rouge et suant sous le poids de la tente et des piquets. On prend une petite route, il y a des caravanes des deux côtés. On marche un bon moment et derrière un rideau d'arbre, on arrive devant un terrain aménagé pour des tentes. On va tout au bout. Il ne reste plus qu'un petit emplacement, à côté d'une tente assez grande. Les gens ont mis une grande table dehors. Il y a des adultes et des enfants. Je leur dis bonjour et on dépose le matériel sur la petite parcelle. Des enfants y ont abandonné des jouets. Une grosse dame me dit :
— Je vais enlever ça, les enfants mettent la pagaille.
Je connais cet accent, ce sont des Chtis. Ils viennent du Nord, comme Julien, sauf que lui est du côté des patrons. La femme se présente, elle s'appelle Gisèle, son mari, Armand et puis il y a ses parents et ses enfants. Faire des mondanités à poil : j'adore. Nous, c'est simple : on est frère et sœur, en vacances. Une gamine, qui a tout écouté, nous fait remarquer :
— Vous vous ressemblez pas du tout.
— Peut-être que notre mère n'était pas très fidèle...
Ça les fait rire.
On étale la tente et les accessoires sur la petite parcelle. Et ça ne vous étonnera pas si je vous dis que Julien a deux mains gauches?! Vous avez déjà monté une tente à poil (vous, à poil, pas la tente) ? Je ne crois pas, mais ça vaut le coup d'essayer. On doit se pencher dans tous les sens, je crois que le spectacle est intéressant. Julien est nul. Il m'énerve tellement que je lui donne un bon coup sur les fesses, avec la corde qui sert à attacher la tente aux piquets. Il fait un bond en piaillant. Puis, il s'excuse en se frottant les fesses. Les Chtis sont un peu surpris. Gisèle, la mère, me dit :
— V'sêtes dure avec vot’ p’tit frère, vous.
— Il m'énerve. Figurez-vous que si on doit dormir dans cette tente louée, c'est parce qu'il s'est fait voler son portefeuille par une fille qui lui faisait les yeux doux.
Elle rit et dit :
— Oui, alors il l'a bien mérité.
Julien a une belle marque rouge sur les fesses. Ça m'a plu de le fesser avec cette corde. Je vais la garder et gare à ses fesses?! Gisèle nous dit :
— Vous y arriverez pas, j'vais appeler l'gamin.
Elle crie
— Kevin... KEVIN !
Un jeune sort de la tente. Il est grand, plutôt mince et... nu, fatalement. Je regarde aussitôt son sexe, ce que je fais avec tout le monde depuis que je suis ici. Ouais, il est pas mal du tout à ce point de vue là. Rien à voir avec le minuscule pénis de mon petit frère?! Sinon, il a de grandes oreilles décollées et amochées, un nez cassé bien aplati. Ça doit être un mauvais boxeur qui encaisse beaucoup. Sa mère lui demande :
— Tu peux donner un coup de main à ces jeunes gens, Kevin ?
Le jeune homme n’a pas l'air emballé, mais après m’avoir bien regardée, il sourit. Il ne lui manque qu'une seule incisive. Kevin doit travailler en usine ou dans un garage, c'est un manuel, il est musclé et costaud. Lui, il sait comment monter une tente qui date de la guerre 14/18. Il dit à Julien :
— Et alors gamin, t’es pas capable de monter une tente??
— Euh... les nœuds se défont.
— Bien sûr, c'est du nylon. Y a un truc. Tous les pêcheurs de carpes savent ça.
Il se tourne vers moi et ajoute :
— Je vais te montrer.
Il se met derrière moi pour prendre mes mains et me montrer comment il faut faire un double noeud avec un fil de nylon. Pour faire sa démonstration, il se colle à moi et je sens sa bite qui vient me caresser les fesses. Il me dit à l'oreille :
— T'es trop belle, toi, tu le sens comme tu me plais??
Ah oui, je le sens bien. Je lui dirais bien « Non mais dites donc vous, un peu de tenue, on n'a pas gardé les betteraves ensemble?! » Sauf que... je ne le fais pas. Je suis dure avec Julien et j'aime ça, mais avec un vrai mec, même moche, je deviens moralement... molle. Aussi, je remue un peu les fesses contre lui. Il me dit à l'oreille :
— Je vais monter ta tente et puis je te monterai, toi. J'vais t'filer 20 cm de bite dans la chatte.
Eh, on n'est pas seuls?! Il se tourne pour dissimuler ses 20 cm de désir pour moi... et il monte la tente. En fait, je ne suis pas du tout contre l’idée de me faire monter après la tente.
Il se dissimule un peu de sa famille parce que son sexe pointe vers mes fesses comme l'aiguille de votre boussole vers le pôle Nord. Quand la tente est montée, il annonce à sa mère :
— Je vais l'essayer... la tente.
Sa mère rigole et répond :
— On va vous laisser. Je vais à la réception avec les enfants, je leur ai promis une glace.
On se glisse dans la tente, c'est sombre, mais il rabat une toile qui s'ouvre pour avoir de la lumière dans la journée. Il dit à Julien :
— T'as pas envie d'une glace, gamin?? Rattrape ma mère et si tu le lui demandes gentiment, elle t'en achètera une.
Julien le regarde bêtement et ne bouge pas, ce qui lui vaut :
— Qu'est-ce que je viens de te dire?? Tu veux mon pied au derrière??
Il me regarde, paniqué. Je dis à Kevin :
— Pourquoi, tu veux qu'il parte?? Tu as des idées derrière la tête??
— Non, dans ma bite.
C'est mignon... enfin, c'est parce que je suis excitée que je trouve ça mignon... Et puis, j'aime bien sa façon de traiter Julien. Je lui dis :
— Je voudrais qu'il reste. Tu me plais et depuis que tu m'as fais sentir ta bite, je suis chaude comme la braise, mais...
Il me coupe :
— Nous ôt' on dit chaude comme eune baraq' à frites. Tu ne veux quand même pas te faire baiser devant ton petit frère??
— Si. À 19 ans, il est toujours puceau, alors j’aimerais que tu lui montres comment on fait.
Tête de Kevin... Il répond :
— En baisant sa sœur??
— Sa demi-sœur. Allez sois cool.
— Bon, mets-toi à quatre pattes !
Dès que je suis dans la position qu'il veut, il me prend par les hanches et s'enfonce en moi. Ouch ! Heureusement que j'ai déjà vu le loup !
Il va et vient en moi... Je pourrais très bien m'en contenter mais j'ai envie de plus et puis il faut distraire le petit. Alors je lui dis d'une voix un peu hachée :
— Julien, glisse-toi en dessous de moi pour avoir le visage sous ma chatte.
Il obéit aussitôt à la grande surprise de Kevin qui me dit :
— Mais il a mes couilles dans la figure !
— Comme ça, il verra tout en gros plan et il pourra me lécher la chatte et tes couilles.
— Il verra encore mieux si je t'encule, salope !
En disant ça, il sort de ma chatte et force mon anus. Je cris :
— Aïe ! Brute !
Je la sens bien passé, mais il est dans son rôle?! Un Chti m'encule pendant que mon frère lui lèche les couilles et ma chatte.
Kevin est moche mais il sait baiser : il va et vient à toute allure dans mon cul, tandis que Julien me suce maladroitement le clito, le visage "raboté" par une paire de couilles. Il faut que je résiste, si je ne veux pas passer pour... une jouisseuse précoce?! Hélas, j'imagine obliger Julien à faire une petite toilette à Kevin. Là, j'ai plus le choix, je sens que ça vient... je me mets à gémir tandis que mon vagin se serre et...
— Ouiiii... je jouiis...
A suivre.
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Je dis à Monsieur Miliani :
— On nous a dit que vous cherchiez des jeunes pour vendre des glaces.
— Exact, mais c'est un boulot dur. Il faut marcher avec une glacière dans le sable mou. Toi, tu y arriveras peut-être, mais le jeune homme, je ne pense pas. De plus, il faut avoir 18 ans. Vous êtes ensemble ?
— Non, on est frère et soeurs.
Ça va lui plaire. Le problème, c'est que je suis aussi noire de cheveux qu'une chaude nuit d'été sans lune, tandis que Julien est aussi blond que... la lune ! J'ajoute :
— Il a 19 ans et moi 20. En fait, c'est mon demi-frère.
Il nous regarde attentivement, je me cambre un peu, mais Julien reste là tout con, quel empoté ! Miliani se lèche les babines en regardant la petite bite de Julien. Il nous dit :
— Tournez-vous.
On obéit, mes fesses sont ravissantes, si, si... mais je dois dire que le cul de Julien n'est pas mal non plus. Miliani aime et dit :
— Pas mal du tout...
On lui fait face. Il poursuit :
— Ma sœur cherche une jolie fille pour servir à midi et même ton frère pourrait aider. Je crois que ce serait de 11 h à 15 h ou un truc du genre. Tu as déjà été serveuse ?
— Oui, je connais bien.
— J'ai peut-être quelque chose d'autre qui serait intéressant financièrement...
Là, je dresse l'oreille.
— Un de mes amis publie "Jeunes et nus au soleil." Il cherche des modèles, surtout un couple. Ça vous intéresserait ?
— Oui, bien sûr.
Il se tourne vers Julien en disant :
— Et toi ?
Je réponds avant lui :
— C'est moi qui décide pour nous deux.
Miliani est surpris, mais il dit simplement :
— Je vais lui téléphoner.
Il l'appelle :
— Bonjour Jo. Dis, j'ai des beaux jeunes gens qui poseraient pour toi.
— ............
— Une vingtaine d'années... Le garçon a une adorable petite bite et la fille un cul du tonnerre.
— .............
— Oui, je leur demande.
Il me dit :
— Vous pourriez vous comporter comme un couple??
Je prends Julien contre moi et l'embrasse sur la bouche. Ensuite, je me mets à genoux devant lui et prends son "adorable" bite en bouche.
Il reprend son téléphone :
— Oui, Jo, la fille est très délurée, elle a pris le sexe de son frère en bouche !
— .............
— Si, je te jure que c'est vrai?!
— ...............
— Bon, demain matin à 9 h chez Simone...
Il me regarde, je fais oui de la tête.
— Ils seront là, ciao?!
Il raccroche et me dit :
— Rendez-vous demain à 9 h chez ma sœur, je te donnerai l'adresse et tu verras avec elle pour le job de serveuse.
Il baisse les yeux vers mon pubis et ajoute :
— Faudra débroussailler tout ça pour les photos. Je vais te donner une adresse. Tout à fait épilée, ce serait encore mieux.
— D'accord, je vais le faire. Dites, vous n'avez pas une idée de l'endroit où on pourrait dormir et que ce ne soit pas trop cher.
— Les hôtels sont complets en été. Éventuellement le camping...
Il prend dans un tiroir un plan du village et indique le restaurant de sa sœur sur la plage, l'institut de beauté et le camping.
— Dis que tu viens de ma part au camping.
— Merci beaucoup.
Il nous prend tous les deux par la taille, il m'embrasse puis embrasse Julien et dit :
— On se reverra.
— Avec plaisir...
On sort du magasin. Première chose : me faire épiler. Tout en marchant, j'observe les gens qu'on croise. Il y a de tout, des familles, des jeunes, des retraités, non, pas ceux du car. Quelques belles filles et des beaux mecs. Marrant de voir les fesses et les seins des femmes bouger au rythme de la marche, tandis que le sexe des hommes se balance de gauche à droite. Je sens bien les regards sur ma fourrure intime, il est temps que je me fasse toiletter.
On arrive à l'Institut. Oh?! Les filles sont nues?! Oui, normal. Une blonde avec des petits seins aux pointes roses et un air déluré, regarde ma chatte en disant :
— Vous venez pour une épilation d'urgence??
Une femme plus âgée, sans doute sa patronne, la reprend :
— Suzy, un peu de tenue?!
— Oui, Madame.
J'interviens :
— Pas de problème, elle a raison. Je viens au Cap pour la première fois et je me rends compte que je dois me faire épiler.
Suzy répond :
— Ah ça oui, on dirait que vous avez un raton laveur entre les cuisses?!
La patronne dit à nouveau :
— Suzy?!
Mais elle rigole, moi aussi. Suzy me dit :
— Suivez-moi, je vais arranger ça. C'est une petite pièce, le jeune homme devra attendre ici.
Je dis à Julien :
— Assieds-toi et sois sage.
On prend un couloir, je regarde les fesses de Suzy qui se balancent devant moi... On va dans une petite pièce et je m'allonge sur la table de massage. Je lui dis :
— C'est la première fois que je fais du naturisme et je trouve ça... troublant.
— Moi aussi, au début, et d'ailleurs, ça me plaît toujours. Vous êtes très bien faite.
— Merci, c'est gentil. Je m'appelle Samia.
Elle me caresse les seins en disant :
— J'aimerais avoir des seins comme les vôtres. Bon, on va s'occuper de la petite bête que vous avez entre les cuisses.
Elle est marrante. Elle prend des ciseaux et coupe les poils les plus longs, en tirant même dessus. Elle me demande :
— Je vous fais mal??
— Euh... non, plutôt le contraire. C'est la première fois de ma vie qu'on me fait ça.
En riant, elle répond :
— Je vois bien... vous avez une de ces touffes...
— Et... euh... quand vous tirez là, c'est...
— Excitant??
— Oui...
Quand elle m'a bien raccourci les poils, elle étale de la cire par petites bandes. Quand la cire a refroidi, elle arrache la bande d'un coup sec?!
— Aïïïee!! Ça fait mal?!
— C'est parce que vous avez des longues racines.
C'est bien ma veine ! Sur le bord des cuisses, elle termine avec un petit rasoir.
Ensuite, elle m'épile le pubis, puis les cuisses et le ventre. Oui, ma chatte déborde. J'essaie de ne pas crier, je ne suis pas une chochotte. Après avoir tout enlevé, elle me dit :
— Remontez les jambes et écarte-les bien.
— Oui... euh... Suzy, la douleur et vos mains, ça m'excite.
— Vous êtes sensible, c'est bien.
Ce n'est pas le genre à être choquée... Elle enlève les poils depuis l'intérieur de mes cuisses jusqu'à mon anus. Je me tortille de plus en plus. Je ne vais quand même pas avoir un orgasme parce qu'on m'arrache les poils. Elle me dit :
— Vous allez constater que la peau qui était protégée par les poils depuis des années va être hyper sensible, une fois nue...
Elle me tamponne soigneusement la chatte et les environs avec un linge humide, tandis que je me tortille. Elle me dit :
— Très sensible, hein??
— Oh, oui?!
On rit. Voilà, c'est fini. Je vais me rhabiller.... Mais non je vais rester nue, plus que nue.
Je l'embrasse sur la joue. Ben oui, elle vient de tripoter ma chatte pendant 20 minutes, ça crée des liens. On retourne dans le magasin. Julien est assis là, il lit une brochure. Il me regarde arriver avec de grands yeux. Je lui dis :
— Alors, comment tu trouves ta sœur??
Il devient tout rouge et répond :
— Très belle.
Je paie à la caisse. Ouch?! C'est cher.... Mais ça vaut ça. Quand je baisse les yeux, j'ai l'impression d'avoir 7 ans. !
On se dirige vers l'endroit du camping. Mes poils ont disparu et ils étaient ma seule protection. Je me sens encore plus nue et je trouve ça encore plus excitant. Il y a un peu de vent qui vient de la mer et qui chatouille ma chatte nue. Un coup de mistral et je jouis?!
Je me rends compte qu'on me regarde encore plus. Serais-je plus belle, épilée?? Julien me suit avec nos sacs. Il a son air déboussolé habituel. Il n'a pas de dope, ni d'alcool, mais moi à la place, et c'est beaucoup mieux. Je l'engueule de temps en temps quand il se laisse distancer.
Dans un magasin, j'achète un rasoir et de la mousse à raser pour Julien. Je veux que son sexe soit également dépourvu de poils. Comme ça, il aura vraiment l'air d'être mon petit frère.
Après avoir marché un bon quart d'heure, on arrive au camping naturiste. Il est classe : les caravanes sont séparées par une petite haie. Ça me rappelle mon village natal, les haies en moins. Le seul problème, c'est qu'en arrivant, on voit des pancartes "complet" à différents endroits. On va à la réception, un homme d'une cinquantaine d'années en short nous regarde arriver.
A suivre.
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Kristos baise rapidement et ses doigts s'enfoncent dans mes fesses. Et, là... je sens venir un super orgasme...
— Aaaaaahhhh... je jou... ouiiiii...
Putain, c'est bon! C'est presque trop fort et trop bon. Il me fait jouir comme Vénus jouissait quand elle se faisait enfiler par Mars, le frère de son mari.
Kristos se retire. Oh! Je me sens toute vide! Je me redresse en chancelant un peu. Kristos me prend contre lui en disant :
— Alors, c'était bon ?
— Oui, merci, Monsieur.
Il me lâche. Je dis à Julien :
— Remets ma culotte, sinon le sperme va couler sur mes jambes. Il se met à genoux et m’obéit. Comme ça, il se rappelle bien sa place.
On rejoint les autres. Un garçon me demande :
— Il t'a montré la carte ?
Ça les fait rire. Je réponds :
— Oui, j'ai adoré ça.
On s'assied autour du feu avec les autres. Je me mets à côté de Kristos. Il me prend par la taille et m'embrasse. Il dit :
— Cette petite est forte pour lire les cartes.
Rires à nouveau. Julien est juste derrière moi. Il ne sait pas où se mettre, au propre comme au figuré. Je me tourne vers lui pour dire :
— Viens t'asseoir ici.
J'écarte les jambes et lui montre le sol entre elles. Il vient aussitôt s'asseoir à mes pieds. Je lui caresse les cheveux en disant :
— Tu as été sage, c'est bien.
Il est entre mes cuisses, tout près de ma culotte très humide du sperme d'un autre. J'adore l'idée. Kristos boit une rasade de bière à la bouteille, puis il me la tend. Je bois et je donne le fond à Julien. Quand il a bu, il tourne la tête pour embrasser ma cuisse, en disant :
— Merci, Samia.
Vous voyez comme il est sage ! Par contre, Kristos a les mains baladeuses.
Tard dans la nuit, on éteint le feu et tout le monde va se coucher. Kristos me dit :
— Je pars tôt demain, mais je laisserai un mot pour toi à la réception.
Il me prend contre lui et m'embrasse. Je gémis un peu :
— On se reverra, hein ?
— Dans une semaine.
— Sûr ?
Il me donne une claque sur les fesses en disant :
— Oui, je viens de te le dire.
Il rejoint les autres dans un coin du dortoir. Eh, il pourrait quand même dormir avec moi. Bah... je suis crevée. Julien et moi, on se couche sur nos paillasses et je m'endors très vite en serrant les cuisses pour garder son sperme en moi. C'est un réflexe de femelle.
***
Le lendemain, on se réveille tard. Je regarde le coin où Kristos a dormi avec ses amis, ils se sont déjà levés. Je vais quand même voir dans la cour. Ni lui ni ses amis ne sont là. Ils sont partis ! Merde ! Julien m’annonce :
— Samia, je crois que la gamine de l'auberge veut te dire quelque chose.
Ah oui, elle est à une fenêtre et me fait signe du doigt de venir. Plutôt désinvolte, la gamine. On va dans la pièce où elle se trouve. Elle me dit :
— C'est quoi ton nom ?
Elle le sait, puisqu'on a rempli des fiches, hier. Je réponds :
— Samia, mais...
Elle me tend un papier, je lis :
« Ma belle, je serai de retour dans une semaine, appelle Lucie pour dire où tu es. ??????? »
Il veut me revoir ! Je demande à la gamine :
— C'est toi Lucie ?
— Ouais, donne-moi le papier, je vais t'écrire le numéro de téléphone.
Elle écrit et je lui dis :
— Je t'appelle dès qu'on a trouvé un endroit pour dormir pour dire où on est.
— D'accord. C'est 10 F.
Normal... Elle me tient ! Je lui donne en disant :
— Merci d'avance, Lucie.
Je vous ai parlé des deux visages, non ? Kristos me plaît et si je dois me déculotter et payer pour que cette petite garce fasse le message, je le fais !
Julien prend nos sacs et on sort de l'auberge. On se dirige vers le Centre. Je n'ai pas pris de douche et j'ai toujours un peu de sperme de Kristos en moi...
On s'arrête dans un café et je commande un petit déjeuner : croissants et café, 50 F. L'argent file.
Ensuite on va jusqu'au panneau "Cap d’Agde" pour faire du stop.
Quelques belles voitures passent sans s'arrêter. Les riches ne prennent pas les auto-stoppeurs. C'est une vieille Peugeot qui nous prend. Le conducteur travaille au Village Naturiste. Il est sympa. On discute un peu du village. Il nous dit que ça donne du boulot à pas mal de gens du coin.
Un quart d'heure plus tard, on arrive dans le grand parking du village. Il y a un panneau avec les dessins d'un appareil photo et d'une caméra barrés en rouge. On doit payer 100 euros d'entrée. Ouch !
Le conducteur de la Peugeot a un abonnement. On entre dans le village et je lui demande :
— On peut se déshabiller ici ?
— Bien sûr.
J'enlève ma robe rouge, qui a besoin d'être lavée, et ma culotte que je ne laverai pas. Le chauffeur de la Peugeot me dit :
— Boudiou ! Que tu es belle.
Je l'embrasse sur la joue pour le remercier du compliment. Il en profite pour me donner une claque amicale sur les fesses. À tout hasard, je lui demande :
— Vous n'auriez pas une idée de ce qu'on pourrait trouver comme petits boulots ?
— Ici, dans le village naturiste?
— Oui.
— Gaulée comme tu es... ça ne doit pas être difficile.
Il remet la main sur mes fesses. Si ça l'aide à réfléchir, autant le laisser faire. Il me dit :
— Dans la grand-rue qui va vers les plages, il y a un glacier qui s'appelle Miliani. Tu demandes Monsieur Miliani. L'année passée, il a engagé ma petite nièce pour vendre des glaces e il a d'autres affaires, aussi.
— Merci, c'est très gentil.
Dernière claque sur les fesses. Je regarde Julien. Ce petit ahuri a gardé son slip. Je lui dis :
— À poil, petit.
Il l'enlève et on met nos vêtements dans un sac. Nous voilà nus comme Adam et Ève après qu'Ève a croqué la pomme, car on sait que c'est un péché et c'est ce qui me plaît.
Quand je me relis, je me dis qu'on pourrait penser que je parle de moi avec complaisance ou que je suis narcissique et... euh... c'est un peu vrai. J'ai conscience que je suis belle et séduisante... Je ne vais pas me décrire de nouveau en détail. À moins que vous n'insistiez. Oui ? Bon, d'accord ! J'ai une abondante chevelure brune ondulée que j'attache en une queue de cheval... sauvage. J'ai de grands yeux noirs, un petit nez, une bouche charnue naturellement... Dommage que je ne puisse pas me dédoubler et m'embrasser avec passion.
Je continue et j'aurais dû commencer par là : je mesure 1 m 70 et pèse 55 kg. Ma peau est ambrée, comme celle de mes ancêtres venant des Indes. J'ai la taille mince, des seins en poire bien ferme, des fesses bombées, des belles cuisses. Oh Samia, je t'aime ! Mais oui ma chérie, je t'aime aussi.
Pour le dire autrement : je plais et ma description flatteuse est très proche de la vérité.
Je vais aussi décrire Julien, mon esclave gadjo. Il mesure environ 1 m 70 et il est mince, mais avec un petit ventre mou : je l'ai déjà mis au régime ! Ses cheveux sont blond sale, comme on dit en anglais. Il est... banal, pas vraiment beau, pas vraiment laid. On est aussi bien assortis qu'une licorne et un mulet ou une sirène et un cabillaud.
On marche nus au milieu des gens nus. Ils ont l'habitude, mais je sens quand même les regards des hommes sur mes seins, mes fesses et surtout les poils de mon pubis. J'aime ça.
Je constate que beaucoup de femmes sont épilés, ou au moins "toilettées". Moi, j'ai une forêt vierge sur le pubis et entre les cuisses. Enfin, disons une forêt tropicale.
Tout d'abord, il faut trouver un job pour mon gadjo. On va chez le glacier. C'est un bel établissement, où deux serveuses nues servent des glaces à des clients nus, pour la plupart... C'est dingue ! Je demande Monsieur Miliani à une des serveuses. Elle m'indique une porte où il est écrit "Privé" en disant :
— Demandez à la secrétaire.
On y va. Dans le bureau, je dis à une femme habillée :
— Je voudrais voir Monsieur Miliani pour lui...
Elle me coupe, tout en regardant les poils de mon sexe d'un air dégoûté :
— Vous devez téléphoner pour prendre un rendez-vous. Monsieur Miliani est très occupé.
Elle est franchement pas sympa, mais j'essaie quand même de lui dire :
— C'est important.
Elle hausse les épaules et répond en articulant bien :
— Prenez rendez-vous. Maintenant, si vous voulez me laisser, j'ai du travail.
J'hésite entre lui balancer mon poing sur le nez ou renverser sa carafe d'eau sur le clavier de sa machine à écrire électrique. Une tête apparaît au-dessus d'une vitre opaque, séparant le bureau voisin de celui-ci. Un homme nous regarde et me sourit. Il tape sur le carreau, la secrétaire lève la tête et le regarde. Il lui fait signe. Elle me regarde en disant :
— Partez maintenant, je dois aller dans l'autre bureau.
— Je crois que votre patron a envie de nous voir.
Oh qu'elle n'aime pas! Elle se lève et va dans le bureau voisin. Deux minutes, plus tard, elle revient et on dirait qu'elle vient de mordre dans un citron pas mûr! Elle nous annonce :
— Monsieur Miliani va vous recevoir.
Nous entrons dans le bureau. Monsieur Miliani est un gros type au crâne rasé, moustache, polo couleur lavande. Il sent le parfum Infinity et ses mains sont soignées... donc, il est... gay ! Cool, je ne devrai pas le sucer pour avoir le job, par contre c'est peut-être Julien qui devra s'y coller ! Il nous dit :
— Que puis-je pour vous ?
Il regarde avec gourmandise le tout petit "service-trois pièces" de Julien. Il est gay !
Il se lève et tourne autour de nous, C'est surprenant.
A suivre.
"Samia, fille du voyage" est publié. Infos : mia.michael@hotmail.fr
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Je réponds aussitôt :
— D'accord.
Eh! C'est beaucoup 400 F. En Roumanie, sur les parkings de l'autoroute Soarelui, c'est beaucoup moins cher, enfin, à ce qu'on m'a dit. Et puis, si on peut faire plaisir surtout à des prêtres... Je me mets à genoux entre les jambes du Père et il rabat sa soutane sur moi. Heureusement que je n'ai pas peur du noir, enfin pas trop, et heureusement que le père n'est pas trop fâché avec le savon.
Il est plutôt bien monté, pour un prêtre... Mais, après tout, les curés sont des hommes! Je caresse un moment son sexe avant de dégager le gland. Je le lèche un peu puis ma bouche va et vient sur son sexe. Tout ça dans le noir, heureusement que j'ai une certaine pratique. On doit apercevoir de drôles de mouvements sous la soutane. Bon, je ne vais pas y passer des heures, je suis dans le noir et ça manque d'air. J'accélère les mouvements, tout en emprisonnant ses couilles dans une main. Je tiens un prêtre par les couilles... Il remue un peu et je sens qu'il va tout lâcher. Juste avant, je me recule et je vise le sol... Hélas, pour lui c'est le bas de sa soutane qui prend tout ! Il n'y a rien sur ma robe, c'est le principal.
Je sors de sous sa soutane et je respire une grande bouffée d'air frais, puis je replonge sous la soutane du père Lucas. Ouch! Il est moins net. Je mets vite son sexe dans ma bouche, une partie de l'odeur disparaît. Je le suce tout aussi soigneusement que son collègue. Il est plus jeune et plus sensible aussi, rapidement, je décore le bas de sa soutane, aussi. Voilà, voilà...
Le père me tend l'argent. Je lui dis assez bas pour ne pas réveiller les gens devant nous:
— Merci mon père. Ça ne vous dérange que mon frère me fasse un petit câlin?
Je vois presque leurs yeux briller dans le noir. Ils ne seraient pas un peu vicieux, ces deux-là? Oui, moi aussi, d'accord. Je dis à Julien:
— Viens m'embrasser, petit frère
Il obéit tout de suite... Je m'installe bien: à moitié couchée sur le père Martin, je mets une jambe sur les cuisses du père Lucas. J'imagine ma chatte offerte à la langue de mon frère. Il me lèche, bien. Je sais qu'il est accro à mon odeur, à mon goût et à ma façon de le traiter. C'est quand même un peu périlleux de faire ça au milieu de tous ces gens qui dorment ou somnolent...
Je prends les mains des deux prêtres et je les pose sur mes seins.
Je suis sans doute la seule fille au monde à se faire lécher la chatte, pendant que deux prêtres lui caressent les nichons... J'aime cette idée. Je pousse un peu sur la tête de Julien en murmurant:
— Suce mon clito...
Là, je sens que mon vagin se serre, il se prépare quelque chose....
Oh oui, oui... ouiiiii, je jouis.... Quel bel orgasme, presque unique au monde. Je repousse Julien... J'ai dû gémir un peu fort, car plusieurs personnes se retournent. Le Père Martin leur dit:
— Elle a fait un mauvais rêve.
Le reste du voyage se passe bien. Quelques retraités doivent se douter de quelque chose et j'ai droit à des sourires... complices.
On arrive à Marseille, le car s'arrête dans un parking, près de la friche La Belle de Mai, un joli nom pour une ancienne manufacture transformée en lieu culturel. On dit au revoir à tout le monde, les prêtres m'embrassent, l'un me caresse la chatte, l'autre les fesses, pas trop discrètement. Ils nous donnent leurs adresses dans les Ardennes.
Nous voilà à Marseille... Mon but, c'est les Saintes Maries. On marche un bon moment, Julien geint un peu. Je lui demande s'il veut une bonne raison de pleurnicher.Non, il s'arrête de geindre.
On arrive à une entrée de l'A 7. Je fais du stop et rapidement, une voiture nous prend. Le conducteur est un représentant sympa. Il nous dépose à la sortie qui nous permet d'aller vers la N 113. On est pris par un couple du coin. Julien est surpris de la facilité avec laquelle les gens nous embarquent. J'inspire confiance! Les gens sont gentils, enfin, avec les gens jeunes et beaux, les autres peuvent attendre. Je crois que je donne trop de détails, accélérons un peu.
On arrive aux Saintes Maries et on va directement à l'église. Je mets un foulard sur mes cheveux. Sara était la servante noire de Marie Salomé et Marie Jacobé. Moi aussi, je me sens comme une étrangère, dès qu'on sait que je suis une Rom.
Je reste un moment pour la remercier et discuter avec elle. Elle me remonte un peu les bretelles, mais dans l'ensemble, elle m'a à la bonne, à voir son air impassible.
On sort de l'église. C'était la partie religieuse de mes vacances. Enfin, je veux dire la visite à Sainte Sara. Les prêtres qui m'ont "forcée" à faire des choses pas convenables. Je préfère le dire comme ça, tant qu'on est si près de l'église. Maintenant, la partie sexy des vacances: le Cap d'Agde. J'ai envie d'être nue et que tout le monde me regarde... D'accord, il y aura peut-être quelques gays qui regarderont Julien et sa petite quéquette.
On reprend l'A113. Deux voitures et un camion plus tard, on se retrouve à Agde. Le couple qui nous a pris nous dit qu'on est à 15' du village naturiste.
C'est la fin d'après-midi, on doit trouver où se loger à Agde... Je veux dépenser le moins possible. On va dans le centre et je repère des jeunes qui font la route. Je le sais parce qu'ils ont des sacs à dos, ils sont sales et ils boivent de la bière! Je vais leur parler:
— Dites, les gars, on est fauchés. Vous ne savez pas où on peut dormir?
Le grand à qui je me suis adressée, parce qu'il a l'air cool et un peu pété, répond:
— Tout est hors de prix ici, ma belle. Mais je peux te donne une adresse.
— Oh oui, volontiers!
Il sort un bout de papier et me griffonne un truc. Je le remercie. Il me demande:
— T'as pas envie de continuer la route vers Carcassonne?
— C'est gentil, mais on doit rejoindre des amis au Cap.
On part dans la direction qu'il nous indique. Nous marchons pendant un bon quart d'heure. Julien est derrière moi avec nos sacs.
On finit par arriver à la sortie de la ville, presque dans la campagne, devant un grand bâtiment qui doit être une ancienne ferme. Sur la façade, quelqu'un a écrit sur une planche "Auberge de Jeunesse" et en dessous "Pris résonables" (les fautes ne sont pas de moi). Vous avez déjà été dans ce genre d'endroit? Non, je ne crois pas. C'est sommaire. La catégorie en dessous, c'est dormir sur un sac en plastique dans un taillis.
Nous entrons et je demande des renseignements à une gamine assez jolie vêtue d'une robe pas très propre et d'une casquette des « Yankees de New York ». Elle nous dit:
— C'est 50 F par personne. Il y a une douche et des draps propres pour 2 F. Vous voulez voir?
En la suivant, on arrive dans une très grande pièce. Il y a des rangées de petits matelas alignés à 50 cm les uns des autres. Je ne sais pas si je l'ai dit, mais je suis une Rom et j'ai connu pire. Par contre, Julien est très surpris. Je l'élève à la dure! J’annonce à la gamine:
— On prend 2 lits.
— Ça fera 100 F. Il y a un distributeur pour les draps en papier. Avant 22 h, vous pouvez acheter des boissons et des sandwichs "faits maison". À 22 h, vous n'avez plus accès qu'à la chambre et au jardin. Il y a un gardien à partir de cette heure-là. Vous pouvez vous adresser à lui, s'il y a une vraie urgence.
Je la paie et elle me donne un papier avec les numéros de nos lits. J'achète 4 sandwichs et 4 bouteilles de bière. On va dans le jardin, qui est en fait la cour de la ferme. À côté, il y a une "casse" où se trouvent des carcasses de voiture. Un groupe s'est installé autour d'un petit feu.
Je dis « bonjour » à ceux qui lèvent la tête à notre arrivée. Un garçon nous dit:
— Venez avec nous. On fait cuire des marshmallows comme aux USA.
Marrant! J'ai jamais mangé de la guimauve grillée. On va s'asseoir avec eux. Nous mangeons nos sandwichs et de la guimauve. Il y a un joint qui tourne, je prends une taffe, Julien me dit:
— S'il te plaît... Samia.
Les autres sont un peu surpris. Je lui réponds:
— Exceptionnellement.
— Oui, merci Samia.
Les jeunes sont sympas. On partage nos 4 bières et on boit aussi du rosé. Beaucoup d'entre eux continuent la route vers l'Espagne. Je leur dis la vérité... ou presque: on est en vacances, mais mon mari — oui, ça surprend — s'est fait voler presque tout notre argent, le con! On va aller au village naturiste où une fille qui a un tour de poitrine de 90 B naturel, comme moi, doit forcément trouver un petit boulot. Un jeune gars, cheveux noirs bouclés, visage d'ange déchu, me dit:
— Ils sont vrais tes nichons?
— Cent pour cent bio.
— Montre.
— Demande à mon mari s'il est d'accord.
Le jeune regarde Julien en disant:
— Ta femme peut montrer ses seins?
Réponse embrouillée de Julien:
— Euh... comme on va au... Cap d'Agde et que...
Je baisse les bretelles de ma robe pour leur montrer mes nichons. Je tourne un peu pour qu'ils les voient bien. J'ai droit à quelques coups de sifflet admiratifs et à des compliments.
Le jeune homme se met aussitôt à me caresser les seins. Je me défends en riant, puis je remonte ma robe en disant:
— Devant mon mari! T'es pas gêné, toi!
Manifestement, il se fiche de mon mari. Montrer ses seins, c'est fou ce que ça aide à briser la glace. Une autre fille montre les siens en disant:
— Moi aussi, ils sont vrais!
C'est vrai et ils sont presque aussi beaux que les miens. On nous offre des bières, on rigole. Il y un mec qui a une guitare et qui joue. Une fille se met à chanter pas mal du tout. La nuit tombe et l'éclairage de l'auberge se limite à quelques ampoules nues.
Le jeune qui m'a caressé les seins s'appelle Kristos et il est grec. Il est beau, aussi. Il me dit:
— Il y a un plan d'Agde et du Cap près du bureau. Tu veux que je te montre les endroits où tu peux trouver un job?
— Oui, volontiers.
Je me lève, Julien aussi. Kristos me dit à l'oreille:
— Ton mari, c'est obligatoire qu'il nous suive?
— Il fera le guet, si tu veux encore jouer avec mes nichons.
Grand sourire carnassier de l'ange grec. On va dans le couloir, mais on reste juste derrière la porte. Je dis à Julien:
— Tu surveilles!
— Oui, Samia.
Ça m'excite de flirter juste à côté de lui. Kristos descend son pantalon sur ses chevilles et un sexe plus de 20 cm se dresse vers moi. Il a beaucoup de poils très noirs qui montent vers son nombril. Il me dit:
— À genoux et commence par me lécher les couilles!
Les gens peuvent avoir deux visages, non? Je veux un mari qui fait tout ce que je veux... mais, j'aime me faire baiser par un Homme avec un grand H qui me traite comme une femelle avec un petit f!
Je me mets à genoux sur le carrelage et en prenant ses fesses en main, je couvre ses couilles de baisers. J'ai le nez dans ses poils et il sent l'homme... viril, un peu trop, mais mon petit f aime ça ! Je lèche même ses couilles et j'ai le goût salé de sa sueur en bouche. Après quelques minutes il me dit :
— Maintenant suce-moi.
Je tire sur la peau de son sexe et dégage le gland. L'odeur virile devient très marine. Je le prends en bouche et ma tête va et vient sur son sexe. Je ne le suce pas très longtemps. Dès que son gland est propre, il retire son sexe de ma bouche et me dit :
— Présente tes fesses.
Je me lève et je retire ma culotte que je donne à Julien - vous voyez bien qu'il sert à quelque chose. Ensuite, je remonte ma jupe jusqu'à la taille et je me mets à quatre pattes. Kristos me dit :
— Demande.
— Baisez-moi.
Il me donne une bonne claque sur les fesses.
— Aiiieeeee !
— Demande mieux que ça et remue ton cul.
Tout en roulant un peu des hanches, je dis :
— Baisez-moi, Monsieur, s'il vous plait.
— Aiiieee... aaahhh.... oooohhh...
Il m'a pénétrée jusqu'à ce que ses couilles viennent claquer sur le haut de mes cuisses. Ensuite, il me baise à grands coups de reins. C'est bon, je gémis de plus en plus fort, ce qui me vaut une nouvelle claque tandis qu'il grogne.
— En silence !
Il ajoute pour Julien:
— Embrasse ta femme pendant que je la baise.
Il ne serait pas un peu vicieux le Grec ? Julien vient se mettre à genoux devant moi. Je l'embrasse, pour la première fois en fait - je vous rappelle qu'on n'est que fiancés.
A suivre.
Si vous voulez me joindre, ce qui me ferait plaisir, je suis ici : mia.michael@hotmail.ftr
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