Pegging

J'entrais dans le salon, où m'attendait Maîtresse A. Elle me regarda. - Au pied, Rufus! Sans attendre, je me mis à quatre pattes devant elle, le cul légèrement relevé, comme elle aimait. Maîtresse n'était vêtue que de ses sous-vêtements en dentelle noir, son visage souligné par un loup en dentelle, de couleur assortie. J'avais opté pour la même couleur de vêtements : mes bas, mon tanga en dentelle et les longs gants recouvrant mes avant-bras étaient noir. Seul mon corset était bleu nuit. Je portais également une perruque blonde, de coupe mi-longue. Maîtresse s'avança légèrement. - Lèche mes pieds, et applique toi sur les orteils, m'ordonna-t-elle. Je m'exécutais pendant qu'elle m'observait, caressant mon dos de l'extrémité de sa cravache. - Relève encore tes fesses. Bien, je vois que tu as mis ton plug. Je léchais ses pieds encore quelques instants, jusqu'à recevoir un léger coup de cravache sur le côté de la fesse. - A genoux! Je me redressais, les mains jointes dans le dos. Maitresse me mis le manche de sa cravache dans la bouche, et attrapa des pinces reliées par une chainette. - Un peu plus serré que d'habitude, cette fois... Elle plaça les pinces sur ma poitrine et repris sa cravache. Je sentais la chaleur irradier dans mes tétons enserrés. - Je ne suis pas très satisfaite par ton dernier massage, Rufus. Je vais devoir te punir. 25 coups de cravache. Tu vas les compter. A terre! A peine me mettais-je à quatre pattes que le premier coup fusa, claquant fortement sur ma fesse gauche. - Un, dis-je en cachant une grimace. Le second frappa la fesse droite. - Deux! Je comptais les deux suivants, qui furent pour la plante des mes pieds. Maîtresse s'arrêta un instant et repassa devant moi, une moue dubitative sur le visage. - Ça ne va pas. C'est une punition, tu devrais me remercier pour le mal que je me donne à tenter de t'apprendre à être un esclave à peu près correct. On reprend de zéro. Elle sorti de mon champ de vision. Le premier coup claqua, en plein sur mes testicules. - Un! Merci Maîtresse. - Ah bah voilà. C'est bien mieux comme ça! Continuons. Je comptais chacun des 25 coups, la remerciant à chaque fois. A la fin de la punition, je sentais la chaleur se diffuser dans mes fesses, mon entre-jambe et dans le bas de mon dos. - Redresse-toi, esclave. Me dominant de toute sa taille, Maîtresse se pencha sur moi et se saisi de la chaine pendue à mes seins. L'utilisant comme une laisse, elle tira dessus pour m'emmener face au canapé, cul tourné vers l'assise. D'un coup de cravache, elle me fit comprendre de me mettre à quatre pattes. Je l'entendis la poser sur la table, et elle me banda les yeux. Elle prit ensuite ce que je saurais bientôt être la tapette à lanière dont elle adorait le bruit. - Et maintenant, pour mon plaisir! Maîtresse s'assit sur le canapé, juste derrière moi. Les coups commencèrent à claquer sur mes fesses et mes cuisses. - Couine, Rufus! Ordonna-t-elle en me donnant un nouveau coup droit dans les couilles. J'émis de petits bruits, accompagnant de nouveaux claquements. Je sentais son excitation monter à mesure que les coups devenaient plus fort. Après plusieurs minutes de ce traitement, Maîtresse se leva brusquement. - Sur le dos, esclave. Tu vas me lécher, mais je veux avoir accès à mes jouets! Sachant qu'elle parlait de mes couilles, mon sexe se raidi davantage si possible à cette idée. Sans la faire attendre, je me retournais et m'allongeais au sol. - Mais! s'exclama-t-elle. Je l'entendis attraper quelque chose. Il s'agissait de la cravache, comme me le confirma le puissant coup que je reçu sur mes testicules et mon sexe en érection. Je gémis, essayant de ne pas trop bouger pour ne pas m'attirer plus ses foudres. - Ta bite à encore coulé partout, espèce de dégeulasse! Si c'est comme ça à chaque fois, je vais devoir te mettre une pince sur le bout de ta queue! Pour te faire pardonner, tu as intérêt à t'appliquer! Lança-t-elle, menaçante. Je l'entendis allumer son vibro, et le régler sur le rythme qu'elle désirait. Elle me le mit dans la main, et me suréleva la tête à l'aide d'un coussin. Maîtresse s'installa ensuite au-dessus de moi, posant son sexe dégoulinant de plaisir sur ma bouche. Je commençais immédiatement à faire jouer ma langue sur son clitoris, glissant doucement le vibro entre ses lèvres, à l'entrée de son sexe. Elle soupira de contentement, me malaxant les couilles sans ménagement. Je la léchais avec application durant un moment, tandis qu'elle me mordait les cuisses et le sexe, sans cesser de tirer, serrer et pincer durement mon entre-jambe. - Dans la chambre! ordonna Maîtresse en se redressant subitement. Toujours aveuglé, je me relevais maladroitement, ce qui me valu un coup de cravache pour me faire accélérer. Elle attrapa la chaine et, tirant fermement dessus, me guida jusqu'à la chambre, me donnant des coups sur le coté des fesses avec sa tapette pour me faire avancer, bien que je n'eusse pas vraiment besoin d'être motivé. Arrivé à la chambre, Maîtresse me poussa doucement sur le lit, où je me mis en position, a genoux, torse sur le lit, afin de bien lui présenter mon cul. Plusieurs coups de tapette résonnèrent sur mes fesses, mes cuisses et le bas de mon dos. Je l'entendis enfiler le gode-ceinture. J'eu encore droit à quelques fessées de ses mains, puis je sentis qu'elle s'agenouillait derrière moi. Attrapant d'une main mes couilles qu'elle sera fortement par à-coups, elle enleva doucement le plug de son autre main. Jouant avec l'entrée de mon anus, Maîtresse déclara. - Il va-t'en falloir un plus gros, Rufus, comme ça, ton cul sera prêt pour ma main. - Oui, merci Maîtresse, répondis-je. - Aller, penche-toi plus. Je perçu la fraicheur du lubrifiant coulant sur mon anus, et sentis ses doigts entrer en moi pour finir de me préparer à la suite. S'en suivit de nouvelles claques sur mes fesses, puis je sentis l'extrémité du gode se poser à l'entrée de mes fesses. Grace au travail du plug et de ses doigts, Maîtresse me pénétra facilement et commença son va et vient. Elle s'allongea sur mon dos. J'accompagnais le mouvement de son corps, finissant complétement allongé sur le lit. Je lâchais complétement prise, grisé par la sensation de la sentir en moi, de suivre les mouvements de son corps, d'être complétement à elle. Je sentis l'excitation de Maîtresse monter de plus en plus tandis que son mouvement s'accélérait et qu'elle me mordait les épaules. Son orgasme explosa sur un coup de rein, et Maîtresse poussa un profond soupir de jouissance en enfonçant ses ongles dans mon dos. Après quelques instant pris pour redescendre, elle se retira doucement et m'ordonna de grimper à genoux sur le fauteuil. Debout derrière moi, elle me pénétra de plus belle, m'arrachant des gémissements de plaisir. Ses amples mouvements de bassin venant jouer directement sur ma prostate, je vins rapidement sans que j'eu vraiment besoin de jouer avec mon sexe. Elle se retira, s'allongeant sur moi en m'embrassant le dos et jouant des dents sur ma nuque pour me faire frissonner, l'un de ses jeux post orgasmes préférés. Après ces quelques instants câlins, sans que je m'y attends, Maîtresse me remis doucement le plug. M'enlevant le bandeau des yeux, elle me tendit ma culotte en dentelle. - N'enlève que tes gants, Rufus. Remet ta culotte, passe un pantalon et un sweat, et va nous acheter un gouter. Seulement après, je réfléchirais à libérer ton anus et tes seins. Allez, j'ai faim!