A propos du groupe
BDSM
Créateur

Qu'est ce que le pegging ?

Le pegging est une pratique sexuelle qui consiste pour une femme à pénétrer l'anus d'un homme à l'aide d'un gode ceinture, godemiché ou d'un sextoy adapté, souvent fixé à un harnais autour de la taille. Cette pratique peut être réalisée dans le cadre de jeux BDSM ou simplement comme une expérience sexuelle non-conventionnelle. Bien que le pegging ait été longtemps considéré comme un sujet tabou dans la société, il est de plus en plus populaire auprès d'une grande variété de personnes. Les pratiquants du pegging peuvent être des couples hétérosexuels ou homosexuels, et ils peuvent être de tout âge, de toutes origines ethniques, de toutes orientations sexuelles, et de tous niveaux d'expérience sexuelle. Le pegging est une façon d'expérimenter des rôles de genre inversés, ou pour explorer la domination et la soumission sexuelle. Le pegging peut également être une pratique bénéfique pour les hommes souffrant de troubles de la fonction érectile ou de la prostate, en stimulant cette zone érogène souvent négligée. Il est important de souligner que le pegging, comme toute pratique sexuelle, doit être pratiqué en toute sécurité et avec le consentement mutuel. Les partenaires doivent s'assurer que le matériel utilisé est de qualité, que les précautions d'hygiène appropriées sont suivies et que les limites de chacun sont respectées tout au long de l'expérience.

Mur de commentaires

Melanie
Maitresse A gara la voiture dans une allée, menant à une petite maison cachée au milieu des haies. - Tu peux enlever ton manteau, tu n'en auras plus besoin maintenant. Met ta perruque et ton loup. J'enlevais, soulagé, le manteau qui avait caché ma tenue le temps du trajet, mais qui était largement superflus par ce temps de fin de printemps. Ouvrant le sac à mes pieds, je mis en place mes cheveux couleur argenté, ainsi qu'un loup en dentelle. Je chaussais également mes nouvelles chaussures, et sorti hésitant de la voiture, peu habitué à porter des talons. Maîtresse mit elle aussi un loup, en dentelle noir comme le mien, mais bien plus élaboré, et sorti à son tour. - Petit tour d'inspection avant de rentrer, dit-elle. Elle me regarda rapidement, fit quelque ajustement à ma tenue, et recula, l'air satisfait. - C'est la première fois que je présente mon esclave à une autre maîtresse, je ne tiens pas à ce que tu me fasses honte. Outre la perruque et le loup, je portais une robe noire mi longue, moulante, fendue sur le côté et largement ouverte dans le dos, laissant apercevoir mon corset. Je portais également des bas noir opaque, avec effet broderie sur le côté, et retenu par un porte jarretelle également en dentelle noir. Ma barbe avait été taillée, et Maîtresse m'avait maquillé les yeux et les cils en noir, et les lèvres en rouge foncé. Enfin, je portais mes nouveaux escarpins à talon mi haut et large qui, pour le moment, rendait ma démarche peu assurée. - Approche. Je m'exécutais, m'extasiant intérieurement sur la beauté de ma Maîtresse. Ses cheveux en chignon soulignaient son visage, et elle portait un maquillage discret mais accentuant son regard. Je savais que son chemisier noir et son pantalon de la même couleur cachaient un magnifique ensemble en dentelle. Maîtresse ne portait pas de bas, désirant que ses pieds soient à tout moment accessible à mes lèvres ou mon front. En marchant vers elle, je sentis mon tanga frotter contre le plug qu'elle m'avait inséré avant notre départ. Maîtresse m'embrassa fougueusement en me pinçant un téton, et me donna les dernières consignes. - Tu appelleras notre hôtesse Madame, car c'est moi ta Maîtresse. Son esclave fera la même chose, dans l'autre sens. Garde les yeux baissés, ne parle que si on te donne la parole. Si on vous dit d'attendre, c'est à genoux, les bras croisés dans le dos. Il va sans dire que toute infraction à ces consignes sera punie. C'est compris, Rufus? Entendant mon nom d'esclave, je sus que cela avait commencé. Je reculais d'un pas, baissant les yeux et croisant mes bras dans le dos, et répondis. - Oui, Maîtresse. Nous marchâmes jusqu'au portail, qui s'ouvrit immédiatement après que Maîtresse eu sonné. L'allée, courant dans les massifs de fleurs et les pelouses parfaitement entretenue, menait à une porte d'entrée qui s'ouvrit à notre approche, dévoilant notre hôtesse, tout sourire. Madame L était une belle femme dans nos âges, aux cheveux brun attachés en longue tresse. Un masque fin, bleu nuit faisait ressortir ses yeux noisette clair. A peine plus grande que ma Maîtresse, ses quelques rondeurs était élégamment mit en avant par sa robe en cuir noir et ses bottes montante. A ma grande surprise, elle accueillit ma Maîtresse d'un baiser sur les lèvres, baiser qu'elle lui rendit passé une seconde d'étonnement. Madame L nous fit rentrer dans un salon élégant. Un grand canapé d'angle, entouré de bibliothèque, faisait face à une table basse, deux fauteuils et un meuble télé. Dans un angle, un fauteuil tantra attendait, à côté d'une table recouverte d'une grande nappe trainant au sol. De l'autre côté de la grande pièce, une table à manger ronde, couverte d'accessoire pour la suite de la journée, avait visiblement été déplacé afin de pouvoir installer deux croix de saint André contre le mur. Un peu plus au centre de la pièce, d'un crochet au plafond, pendaient des menottes reliées par une longue chaine. - Rufus, me dit Maîtresse, voici Madame L. Tu devras lui obéir comme à moi. Salut la comme il se doit. Madame L avança légèrement l'un de ses pieds, que ma Maîtresse me montra d'un signe de tête. Comprenant, je me mis à genou et embrassait le pied que l'on me tendait, et me relevait en voyant du coin de l'œil le discret signe d'approbation de Maîtresse A. - Suis-je bête! s'exclama soudain Madame L. Elle se dirigea vers la table jouxtant le canapé. - Mon esclave est puni depuis ce matin, il a fait cramer l'un des gâteaux que j'avais prévu. J'ai dû le refaire moi-même! Elle enleva d'un geste la nappe, révélant non pas une table mais une cage dans lequel attendait son esclave. Elle le libéra, et lui fit signe de se diriger vers nous. C'était un homme semblant avoir quelques années de plus que nous, un peu plus petit que moi, bien plus fin quoique visiblement aussi peu sportif que moi. Il portait une cagoule ne laissant voir que ses yeux d'un bleu intense, une fermeture éclair cachant sa bouche. Il n'était vêtu que d'un harnais en cuir sur son torse et le haut de ses jambes. Mains attachées derrière le dos, il ne portait en guise de sous-vêtement qu'une cage enfermant son pénis de taille... plus que généreuse. - Médor, lui dit-elle en lui détachant les mains et en ouvrant l'ouverture de sa cagoule, voici Madame A. Comme tu l'as entendu, tu devras également lui obéir comme si c'était moi. Allez, salue là! Ma Maîtresse tendit son pied, et Médor se pencha pour l'embrasser. Je pus constater que lui aussi avait droit au plug. Maîtresse A tendit à notre hôtesse les boissons que nous avions apportés. Elles s'installèrent sur le canapé pour parler pendant que Médor et moi apportions les boissons et les cakes prévu pour briser la glace. Bien sûr, comme nous ne devions pas parler sans autorisation, nous attendîmes en position d'attente, pendant que nos Maîtresses discutaient en riant. - Regarde-les, à attendre là, tous les deux, dit soudain ma Maîtresse. Ils doivent s'ennuyer. Ils mangent à peine, en plus, ils ont tout le temps la bouche vide. Attends, j'ai une idée. Elle chuchota quelque chose à l'oreille de Madame L qui pouffa et se leva. Se dirigeant vers son esclave, elle sorti une clé de sa poche et lui enleva la cage. - Rufus, allonge-toi à terre, m'ordonna Madame L. Médor, en 6-9, sucez-vous un peu pour nous distraire. N'ayant jamais fait ça, je jetais un regard plein d'appréhension à ma Maîtresse. Elle claqua des mains. - Allez, enlève ta robe et tes chaussures, et en place! Je me mis en sous-vêtement, et m'allongeais. Médor se mit au-dessus de moi, le sexe au-dessus de mon visage. Sans attendre, il commença à prendre mon pénis dans sa bouche et à jouer de sa langue. Inspirant un grand coup, je fis de même. Je fus surpris de le sentir rapidement se gonfler sous mon palais. J'avais du mal à bouger ma langue, son sexe étant vraiment de taille impressionnante. - Eh ben, s'exclama Maîtresse, ton Médor se débrouille bien! - Oh, il a l'habitude, tu sais. Rufus à l'air de moins bien s'en sortir. - Attends, je vais l'encourager. Ma Maîtresse se leva et s'approcha de moi. S'agenouillant à côté de moi, elle me caressa la joue et le torse, me pinçant doucement les seins. - Vas-y, fait le pour moi, me murmura-t-elle à l'oreille. De haut en bas. Tu peux le faire, n'oublie pas que tu es ma petite pute. Elle me pinça le lobe d'oreille avec ses ongles et retourna s'installer dans le canapé. En plus de me redonner du courage, ses mots avaient fait monter en moi l'excitation, et mon sexe commençait à durcir. Après quelques minutes de commentaires salaces, mais également d'échange de caresses et de baisers entre elles, Madame L se leva. - Bon, ça suffit, pas trop de plaisir non plus. Debout, tous les deux. - Ils en ont tiré un peu trop de satisfaction à mon goût, ajouta Maîtresse en se dirigeant vers la table à manger. Je ne crois pas que c'était la consigne, une punition s'impose. Debout, les mains derrière la tête, jambes écartées! Elle revient avec deux cravaches, et en donna une a sa complice. - Mais avant... Elle tendit sa main devant moi et laissa pendre quelque chose. Une chaine en X, avec une pince à chaque extrémité. - J'ai très envie de tester ce modèle. Maîtresse me donna un coup de cravache sur chaque sein, faisant durcir mes tétons. Immédiatement, elle y plaça deux des pinces. Les deux autres allèrent sur mon scrotum, assez bas pour que la chaîne soit à la limite de la tension. - C'est bien mieux comme ça. Allons-y. vous comptez, et nous remerciez pour chaque coup. 20? - Non. Ils y ont trop pris leur pied à mon goût, je dirais plutôt 30. Tu es mon invité, à toi l'honneur. Je te suivrais pour la destination des coups. - Merci. Le premier coup parti, droit sur mes fesses. - Un! Merci Maîtresse. J'entendis un claquement qui résonna sur les fesses de mon voisin de jeu, qui compta à son tour. Le deuxième coup claqua sur mon autre fesse, beaucoup plus fort. - Joli! dit Madame L d'un air appréciateur, il va laisser une jolie marque, celui-là. La suite des coups fusa, visant les fesses, les jambes, et le torse. Nous en reçûmes également plusieurs sur les testicules, ainsi que sur le pubis et même sur nos sexes en érection. - J'ai mal au bras, déclara Madame L. En plus, je manque à tous mes devoirs, je ne t'ai même pas fait faire le tour du jardin. Il y a une surprise, en plus. Bandons leurs les yeux et attachons-les, et je te montre. Joignant le geste à la parole, Madame L attrapa Médor par son pénis et, tirant dessus sans ménagement, l'entraina à une croix ou elle commença à l'attacher, après lui avoir mis un bandeau. Maîtresse me banda également les yeux. Elle attrapa ensuite les chaines et m'attira à l'autre croix. - Je te propose de l'attacher au crochet du plafond. C'est la meilleure place, tout le corps reste accessible. Je te montre. Fermant la dernière attache sur son soumis, elle se dirigea vers la table et revint avec une barre terminée par deux sangles d'attache. Elle attrapa également un tabouret. Maîtresse me plaça sous les menottes, et me claqua les couilles en m'ordonnant de lever les bras. Monté sur le tabouret, Madame L ferma les pinces sur mes poignets. Elle donna ensuite la barre à Maîtresse, afin qu'elle m'attache les jambes tout en les gardant ouverte. Après avoir tiré fermement sur les chaines des pinces pour le plaisir de m'entendre gémir, Maîtresse attrapa le bras de Madame et la suivie dans le jardin. Nous restâmes attachés probablement plus d'un quart d'heure, à attendre leur retour. J'entendis leurs voix juste avant leurs pas sur la terrasse. - J'ai vraiment hâte d'essayer le jacuzzi, les jets massant ont l'air géniaux. - L'avantage, c'est qu'entre l'absence de voisin et les hautes haies, on peut s'y baigner complétement nue, personne ne peut nous voir. Elles s'arrêtèrent quelque part à l'entrée du salon. Je les entendis murmurer. J'entendis un bruit sourd que j'identifiais comme un canapé que l'on déplie, puis un froissement de tissu, celui de l'installation d'un drap, comme je le comprendrais plus tard. Je sentis une présence près de moi. Son parfum m'indiqua que c'était Madame L. je sentis des ongles me griffer doucement le dos, puis une main s'empara de mon entre-jambe et le serra avec force. Je gémis. - Remercie-moi, m'ordonna la voix de Madame L. - Merci, Madame, dis-je alors qu'elle serrait de nouveau sa main. J'entendis des coups et des gémissements venant de Médor. Nos Maîtresses avaient changé de soumis. Madame L joua un moment avec les parties charnue de mon anatomie, visiblement enchanté par le bruit qu'elles produisaient. - J'aime beaucoup le bruit de la tapette sur un esclave un peu rond. Je comprends mieux ce que tu me disais. - Je t'avais dit. Madame accrocha des petits poids à la chaine relié aux pinces, ce qui augmenta fortement la tension sur ma peau. Une nouvelle pince s'ajouta à la collection, sur le bout de mon sexe, et fut également lestée. Je l'entendis s'éloigner, et je restais là, essayant de rester immobile pour ne pas faire bouger les poids reliés à mon corps. J'entendais les gémissements de Médor et les claquements de la cravache maniée d'une main assurée par ma Maîtresse. Perdu dans mes pensées, je n'entendis pas Madame revenir et ne put retenir un cri de surprise lorsqu'elle m'enleva d'un coup sec mon plug. Je sentis qu'elle insérait immédiatement autre chose dans mon anus, plus fin et plus... humide. Je la senti se déplacer, et plusieurs coups de cravache plurent sur mes fesses. Peu à peu, une chaleur de plus en plus intense irradia de mon anus. Je compris alors qu'elle venait de m'insérer une racine de gingembre. Sans réfléchir, je bougeais vivement, ce qui fit se balancer les poids. Sous l'effet de la douleur soudaine, sans réfléchir, je bandais mes muscles... contractant mes fessiers, ce qui eut pour effet immédiat de libérer encore plus de jus. Je poussais un cri, énervé par mon manque de contrôle. Madame éclata de rire. - Eh bien, Rufus, on ne sait plus quoi faire? Attends, je vais partager un joli spectacle avec toi. Elle m'ôta le bandeau qui me couvrait les yeux. Je vis ma Maîtresse allongée sur le fauteuil tantra qui avait été amené près des croix. Elle haletait de plaisir, torturant d'une main l'un des tétons de Médor qui, détaché, léchait son clitoris en maniant un vibro enfoncé dans le sexe de Maîtresse. - Tu ne voudrais pas gâcher son plaisir par tes gesticulations incontrôlées? un peu de self contrôle! Elle replaça le bandeau sur mes yeux, et repris sa série de claques sur mes fesses, suffisamment fort pour que je me tortille, déclenchant tout à la fois le balancement des poids et la pression sur le gingembre. Après une dizaine de coups plus ou moins fort, Madame s'arrêta, et je sentis qu'on me détachait les mains. - Allonge-toi! Ayant les jambes toujours écarté par la barre, je me mis à terre avec une absence de grâce patente, sous les rires moqueurs de Madame. Je la sentis se mettre au-dessus de mon visage, les fesses sur mon visage. - Lèche-moi le cul, m'ordonna-t-elle. Je fis courir ma langue sur son anus, qui tressaillait de plaisir. Je sentis qu'elle attrapait les chaines courant sur mon corps, et se mis à tirer dessus au grès de ses envie. - Mieux que ça! J'appuyais de ma langue l'entrée de ses fesses, et entrais facilement. Je me mis à lécher le plus profondément possible. Madame soupira en tirant de plus belle sur les chaines, suffisamment pour faire sauter une partie des pinces de mon corps. Je sursautais en gémissant. - Continus, en silence! m'intima Madame en me donnant un coup sur mes tétons endoloris. Elle me remit maladroitement les pinces tombées, m'arrachant un nouveau gémissement. Un coup sur les testicules m'invita à me taire. Après quelques temps de jeu, nous fûmes détachés de nos dernières entraves, et allongés sur le canapé. Je sentis qu'on me passait un préservatif. - Lequel veux-tu? demanda Madame L - Je garde Rufus, je t'avoue que la bite de Médor ne me fait pas trop envie. - Comme tu veux. Maîtresse m'enjamba, les fesses posées sur mon ventre, et fis glisser mon pénis dans son sexe. Je pu me rendre compte à quel point tout cela l'excitait, sentant immédiatement sa cyprine couler sur moi. Elle commença ses va et vient, et je devinais que Madame L faisait de même sur son esclave. Les mouvements de nos corps firent légèrement remonter le bandeau, me permettant de voir ma Maîtresse et Madame échanger de langoureux baisers, alors que leurs mains exploraient le corps de l'autre. Mon plaisir monta rapidement, mais nos maîtresses jouirent rapidement, et se redressèrent une fois l'orgasme atteint. - Non, vous, plus tard, dit madame dans un rire. Et encore, si vous êtes gentils. - Et maintenant, jacuzzi! mais avant... -...vous devez avoir soif! On m'enleva la capote. Je sentis la main de Maitresse m'attraper par les chaines. Je me relevais en grimaçant tandis que les quatre pinces mordaient ma peau, et je fus tiré sans ménagement dans le jardin. - Allonge-toi, m'ordonna Maîtresse. Une fois à terre, elle m'enleva mon bandeau et ma perruque. Nue, elle s'accroupit au-dessus de moi. - Bois! mais interdiction de toucher! J'eu à peine le temps d'ouvrir la bouche avant qu'elle libère son jet, directement entre mes lèvres. J'avalais autant que possible, mais je sentais que ma bouche débordait sur mes joues et dans ma barbe. Une fois qu'elle eut finie, Maîtresse se redressa et m'ordonna de me rincer en m'indiquant un robinet dans le jardin. Médor était déjà en train de se nettoyer. Je m'exécutais, bien que l'eau soit glacée. J'en profitais pour vraiment me désaltérer. Nous rejoignîmes ensuite nos Maîtresses au salon extérieur, près du jacuzzi. Elles avaient passé des peignoirs en soie fine, presque transparente. A voir les courbes de ma Maîtresse, je bandais rapidement alors qu'elle remettait ma perruque. Un coup d'œil rapide me montra que Médor était dans le même état que moi. Après avoir partagé une petite collation, Maîtresse pris la parole. - Nous allons profiter du jacuzzi. Vous allez attendre à coté, on vous a prévu deux petits coussins pour vous agenouiller à l'ombre. Vos ordres sont simples : répondre à nos moindres désirs. Si on a soif, ou faim, vous nous apportez ce que l'on vous demande. Gare à vous si vous nous faites attendre! Elles profitèrent d'une première session de jacuzzi, se découvrant une passion commune pour le jardinage (en plus de la maltraitance des fesses de leurs soumis). Plusieurs fois, elles exigèrent des cocktails, ou des gâteaux accompagnés de fruits frais dénoyautés, et à chaque fois, elles soulignèrent notre lenteur à combler leurs désirs. Lorsque la première session de bulles prit fin, Maîtresse pris un air boudeur. - C'était trop court. - On va relancer, lui répondit Madame en lui caressant la joue. - Attends, avant ça... je pense qu'il y a quelques punitions à distribuer. - C'est vrai. Je les envois chercher les cravaches? - Pas pour moi, je te remercie. Elles sortirent du jacuzzi. Madame ordonna à Médor d'aller chercher l'outil de sa punition. Me regardant, Maîtresse me donna une gifle légère, sans douleur mais particulièrement humiliante en public. - Alors comme ça, on fait attendre sa Maîtresse! Grimpe là-dessus, à quatre pattes! M'ordonna-t-elle en me montrant le large muret entourant le jacuzzi. Je m'exécutais. - Tu m'as fait attendre 3 fois, ce sera donc 15 coups à compter. Qu'est-ce qu'on dit? - Merci Maîtresse de m'apprendre à mieux vous servir. - C'est bien. Commençons! Les 5 premières claques furent pour mes fesses. Les 10 suivantes furent pour mes testicules. - Descends, et baise moi les pieds! Je fis comme ordonné, pendant que la punition de Médor touchait à sa fin. - Ils m'ont tendu, ces idiots! bougonna Madame L. J'ai vraiment besoin d'une deuxième session aquatique! Elles relancèrent le jacuzzi, pendant que nous reprenions notre place. Peu à peu, leur conversation fut remplacée par des baisers et des caresses de plus en plus sensuelles. - Il reste une vingtaine de minute de jacuzzi, dit soudain Madame, la voix haletante. Arrêtez de jouer les voyeurs, et allez vous laver, dedans comme dehors. Médor, tu lui montre où c'est. Et revenez complétement nus, à part vos plug. - Tu gardes tes cheveux, précisa Maîtresse. Et tu te remaquilleras, tu ne ressembles à rien. Tout est dans le sac! Dégagez! Quittant la terrasse, nous allâmes nous préparer, alors qu'elles poursuivaient leurs caresses. Vingt minutes après, nous nous présentâmes nus et propre à nos Maîtresses, qui nous attendait dans le canapé, un verre à la main. Ma Maîtresse fit une petite moue en me regardant. - Bon, ce n'est pas encore ça, le maquillage. Tu vas devoir faire des efforts. Bon, à genoux devant nous! Elles se redressèrent sur l'assise pendant que nous prenions place. Maîtresse continua
14 personnes aiment ça.
SwitchLoicbidu59
Beau texte
J'aime 22/10/25
docile 41
Bonjour, merveilleux
J'aime 23/10/25
Soumis17
Bonjour, très intéressant, une Très Bonne Maîtresse et un Bon Soumis 1f44b.png1f60d.png . Excusez-moi toutes & tous bien que j'ai mis une annonce reçu aucune réponse ? Je profite de ce message : Je suis un soumis très obéissant très soumis à la recherche d'une Maitresse pour du long terme département 91 Essonne ou 17 Charente-Maritime. Merci à vous toutes et tous. 1f44b.png1f60d.png1f60d.png
J'aime 23/10/25 Edité
docile 41
Des Maîtresses comme tous soumis aimerais obéir !
J'aime 23/10/25
Un texte d'un grand régal à lire et même à relire. Mon imagination s'en est trouvé stimulé et ma cage n'a pas cessé de remuer. Grrr, Merci Madame pour ce moment.
J'aime 24/10/25
😲Wowwwww beau
J'aime 01/11/25