Bonjour à toutes et à tous.
Je vais vous raconter cette fois ci, l’agréable soirée de découverte que nous avons vécu à notre retour de vacances.
Un soir, Valérie reçoit un appel téléphonique de Laurence, la femme de Christophe, c’est un couple avec lequel nous avons eu déjà plusieurs relations amoureuses et partagées.
Elles ont discuté toutes les deux pendant 45mn, pour finir par demander à Valérie qu’ont les rejoignes chez eux.
Dès que Valérie a raccroché, elle me dit que Laurence l’a excité et qu’elle meure d’envie d’aller la voir. Elle me raconte que Laurence et Christophe ont une chose importante à nous dire.
Laurence a demandé que nous allions chez eux habillé nu sous nos ensemble Kway.
Je n’étais pas trop enthousiaste à le faire mais je m’exécute, une fois nu j’ai enfilé le pantalon et la veste Kway bleu marine et j’ai remonté la fermeture jusqu’au menton pour ne pas être vu en sortant.
Valérie est arrivée face à moi, avec un ensemble rose pal qui est semi transparent.
Je me suis dit que nous allions encore vivre des sensations inconnues.
Pendant le trajet, Valérie a commencé à se toucher les seins et l’entre cuisse à travers le tissu.
Il faisait chaud dans la voiture car Valérie m’a obligé à couper la clim pour être bien chaud.
Avec cette chaleur nous avons transpiré sérieusement, d’une façon tellement importante que le tissu a collé sur le corps de ma dulcinée on se serait cru dans un hammam.
La vision par transparence des seins et du nombril, il n’en fallait pas plus pour m’exciter.
Arrivé devant la maison de notre couple d’amis, Valérie est encore plus frétillante et me presse de la suivre.
Arrivé devant la porte, elle s’ouvre directement sans avoir à frapper ou à sonner.
C’est Christophe qui est devant nous, habillé d’un ensemble en Kway rouge.
Sa poutre est apparente et qui a l’aire déjà au top de l’excitation.
Laurence est derrière lui, habillée aussi en kway de couleur blanc de haut en bas.
On voit la poitrine plaquée sur le tissu et on devine les seins pointés sur le tissu.
Pendant que j’embrasse Christophe, Valérie va enlacer et embrasser Laurence.
Christophe me choppe le sexe à travers le Kway, et comprends que je suis dans un état d’excitation identique à la sienne.
Christophe me lâche la bouche pour me dire : « Vous êtes redevable ! et on va passer tout de suite au choses sérieuses »
Moi : « Pourquoi redevable, normalement c’est vous qui auriez dû venir chez nous ! »
Christophe : « Tu crois que je n’ai pas reconnu tes histoires sur HDS ? Tu es doué pour restituer et relater toutes vos rencontres avec Valérie, mais vous nous aviez caché certaines choses ! »
Je viens de comprendre que j’étais face à deux lecteurs, qui nous ont reconnu.
J’ai piqué un phare, j’étais devenu rouge de honte.
Même ma femme qui savait que j’avais réalisé les récits, a eu un moment de gêne et d’embarras, par rapport aux ébats que nous avions eu sans eux.
Laurence : « Nous avons lu toutes vos histoires et nous avons pensé qu’il serait nécessaire que nous devions vous faire voir tous nos désirs pour que vous puissiez écrire de nouvelles histoires. »
Pris par la gêne mais aussi envie de satisfaire Valérie d’une nouvelle rencontre avec Laurence, sa maitresse, je regarde Valérie en lui faisant un signe des yeux pour savoir ce que je devais dire ou faire. Christophe a vu mon appel à l’aide à Valérie.
Christophe : « Nous avons compris comment et pourquoi vous étiez un couple très agréable avec nous et le partage du plaisir que vous donnez. Ce sont les valeurs que nous aimons. Dès la première fois que nous avons fait connaissance, avec Laurence nous avons compris que nous pouvions partager avec vous notre fétichisme et passions du désirs ».
Laurence : « Vous êtes formidable et Valérie, est la femme qui sait plaire, vous êtes nos amants et nous espérons que cela pourra durer longtemps ».
Christophe : « Maintenant nous vous proposons de se faire un bain habillé tous les 4 en Kway, dans la piscine, cela va vous rafraichi ! Bien que Valérie soit bien trempée sous son Kway ! ».
Sans un mot mais surpris, nous allons vers la piscine. Je ne suis pas vraiment emballé par la chose car je pensais déjà, que si les kway étaient trempés, de quelle façon nous pourrions repartir, je ne pourrai pas remonter dans notre voiture. Mais finalement nous allons rester plus que la soirée chez eux.
Arrivé devant la piscine, Laurence a plongé directement et lorsqu’elle est ressorti, nous avions une image sublime du Kway blanc collé sur la peau de Laurence. Valérie a plongé aussitôt pour la rejoindre et se coller à elle. Quel beau tableau, je n’avais pas d’autre solution que de me jeter aussi à l’eau, suivit par Christophe.
Nous ne savions pas quoi dire tous les 4 et c’est instinctivement que nous avons commencé à nous caresser, branler et nous resserrer dans l’eau.
Quelle sensation d’être dans l’eau en kway ! Les mains qui se baladent, me caressent et font glisser le tissu sur ma peau avec l’eau entre deux, c’est très agréable.
Valérie et Laurence se sont enlacées et caressées frénétiquement dans l’eau. Christophe et moi nous les avons prises en sandwich et chacun s’est occupé de la femme de l’autre.
Nous avons passé plus d’une heure dans l’eau et lorsque l’excitation est montée très haut, Christophe nous a séparé pour sortir.
Laurence m’a attrapé la main pour que je la caresse avec tendresse dans l’entre cuisse et elle m’embrasse directement. Je regarde Valérie de côté qui est ruisselante et Christophe se laisse ploter par ma femme. Le tissu du Kway collé à la peau, met en évidence son sexe bien raide. Valérie lui porte une main sur la veste et fait glisser le tissu sur le pantalon pour exciter d’avantage le mâle en rut.
Après quelques minutes de frottements, Valérie baisse brusquement le pantalon pour laisser jaillir le sexe comme une éguille qui pointe 1h00.
Oh le salo ! il bande mais vraiment excité comme j’aime voir une bite gorgée de sang avec un gland luisant et les veines super gonflées.
A ce moment-là, je ne vous cache pas que je me voyais bien la prendre en bouche pour avoir la primeur, mais Valérie se met à genoux et engouffre le gland violacé dans un premier temps et aspire rapidement la moitié du phallus.
Laurence quant à elle, me caresse sur le kway trempé et se frotte l’entre cuisse sur ma jambe que je lui avais positionné pour qu’elle se masse dessus.
Quelle belle image de voir ce corps à travers le tissu blanc du kway et le sexe déjà bien excité, rose appliqué sur le tissu trempé.
Je l’ai écarté de moi pour aller embrasser son sexe à travers le tissu. Dès que mon visage est venu s’appliquer, elle a entamé un rythme avec son bassin pour écraser sa vulve sur ma bouche. La vue de se sexe lisse sur le tissu transparent m’excite super bien. Je lui ai bien tendu le tissu en lui enfonçant le pantalon entre les fesses. Avec l’eau, ses formes ont bien été mise en évidences.
Je ne pensais pas que cette déviance de la relation sexuelle, pourrait m’exciter autant.
Pour ma part, je fais comme Valérie, je m’applique à genoux à donner le meilleur de moi-même pour le désir de Laurence et j’applique le Kway sur la peau pour voir apparaitre le sexe lisse sans poils, par transparence du tissu mouillé.
Nous avons fait plusieurs positions et Christophe m’a demandé s’il pouvait pénétrer Valérie avec la capuche du Kway, comme me l’avait fait Nasurdine sur la plage.
J’ai compris qu’ils avaient réellement lu toutes mes histoires.
Moi : « Si tu veux mais demande directement à Valérie et peut être que nos dulcinées souhaitent essayer toutes les deux ? Valérie va préparer Laurence mais il va falloir retirer au moins un kway !»
Christophe : « Ne t’inquiète pas Laurence va aller chercher plusieurs vestes de notre collection ».
Laurence est allée chercher en quelques secondes, à croire qu’elle avait préparé cette situation, 4 vestes kway. Il y avait un noir, un gris argenté brillant, un kaki et un doré brillant.
Des couleurs sympathiques et visiblement neufs.
Je prends le noir, mais Christophe me dit qu’il doit être réservé pour la finale. Mais qu’est ce qu’il envisage dans le terme « la finale » ?
Il me tend alors le gris argenté et je me le porte au visage pour constater qu’il sent le tissu neuf, mais le tissu est très doux et souple. Bizarrement j’ai l’impression d’avoir la même texture que le latex des capotes dans la main. Alors l’idée de pénétrer Valérie ou Laurence me semble comme une nouvelle expérience et je m’imagine déjà mon sexe, nager dans la jouissance et dans la cyprine des belles amazones qui sont devant nous.
Valérie vient à moi en me disant qu’elle aimerait bien être prise en sandwich entre nous deux. Laurence accepta de passer en deuxième mais à la condition que Valérie prenne Christophe avec un gode ceinture pour finir.
Alors Valérie lève une jambe face à moi, après avoir positionné la capuche du kway sur ma bitte bien raide, je l’ai saisi par les anches, je me présente à l’entrée de la vulve pour faire rentrer l’ensemble bite en kway. Laurence passe une main délicatement dans l’anus de Valérie et Christophe a glissé une des siennes entre nous deux, pour mettre ses doigts et écarter les petites lèvres de la vulve de Valérie puis lui masser le clitoris.
J’ai alors forcé un peu pour que le kway rentre au maximum avec la pression de ma queue très bien excité.
Pendant ce temps-là Christophe est venue derrière moi avec le kway doré et avec son doigt il me l’a introduit en profitant de chaque coup de reins que je donnais à la vulve de Valérie pour faire rentrer dans mon anus le tissu.
Laurence a bien préparé cette rencontre car elle à sortie de l’arrière d’un coussin du canap, un gode ceinture d’une réalité absolument époustouflante, avec un gros gland recouvert d’un prépuce super réaliste. Je la regarde l’enfiler par-dessus sont kway blanc qui colle toujours à sa peau et laissant apparaitre les belles formes de ses seins et de la pointe de ses tétons.
Laurence avec un visage pervers est venue se positionner derrière Valérie et avec une bouteille de gel, je l’ai vu se remplir le creux de la main et descendre entre les fesses de Valérie.
Laurence a dégagé le prépuce en plastique pour laisser apparaitre le gland plus que réaliste et le badigeonner de lubrifiant. Pour finir elle a mis la capuche du kway kaki sur cette magnifique bitte en plastique.
C’est là que la finale allait avoir lieu. Moi planté dans la vulve de Valérie, Christophe à l’entrée dans mon cul et Laurence qui pénétrait l’anus de ma Valérie avec le kway noir.
Maintenant je vous retranscris normalement mot pour mot nos éclats de voix pendant nos ébats (c’est pour vous et Christophe), nous nous sommes déchainé tous les quatre
Valérie : Vas-y Laurence mets moi la.
Je m’adresse à Christophe : « Ça fait du bien de prendre une bonne bite, Je suis comme ta femme, Vas-y défonce moi le cul Christophe,
Valérie : Oh c’est bon fait toi plaisir Laurence, je suis ta grosse pute, fait ce que tu veux de mon cul, n’hésite pas à me bourrer à fond comme une pute.
Moi : Laurence n’hésite pas bourre le cul de ma salope
Laurence : Valérie tu peux te régaler ! tiens la salope, c’est bon de se faire enculé comme ça ?
Moi : Vas-y Christophe, profite bien de mon trou, tu me l’élargie bien je sens ton diamètre et le tissu du kway
Christophe : Prend ça salope, vas-y encore, oh lala ça coulisse tout seule ma salope
Moi : Oh, ah, vas-y encore des coups de bittes, c’est tout ce que je mérite, oui, oui,
Valérie : Oh chérie, Laurence est en train de me limer sérieusement en même temps que toi.
Moi : vas-y gueule salope, ma pute, Laurence continu à donner des coups plus forts et plus loin,
Valérie : Laurence, tu peux faire tous ce que tu veux de mon trou, en même temps que mon mec, vos asseaux me rendent dingue
Quand Valérie est comme ça, je vois ses yeux à chaque fois qui se ferment et elle ouvre toujours la bouche comme si elle en voulait une troisième. Généralement, elle ne tarde pas à tomber dans l’extase de l’amour.
Laurence : T’en veux encore salope, sale chienne,
Valérie : encule-moi plus vite dans tous les sens
Moi : Christophe continu encore, tu m’as écarté le trou
Christophe : Je n’ose pas sortir, ton trou est encore trop serré, mais il me chauffe la bite
Moi : vas-y pilonne moi, Ho oui
Christophe : Tu as le cul bien chaud comme ton corps dans le kway, j’aime te donner des grands coups bien profonds, Tiens, tiens…
Moi : Oui encore, Tu me baise comme une salope, une putain et tu me lime longuement j’adore
Laurence : C’est ça qu’elles aiment les salopes, de se faire mettrent bien au fond
Valérie : T’aime ça mon chéri, régale-toi,
Laurence : tu peux dire ça Lili, C’est bon dans le trou de chienne ? Tu te régale, tu en veux encore,
Valérie : tu es en train de me tuer, on va s’en rappeler tout le week-end. Eclate toi en moi, pétasse. Vas-y baise moi, avec ta grosse queue, oh ! je la sens bien, lime-moi plus fort et plus vite
Christophe : « François, écarte des fesses que je puisse aller au plus profond.
Moi : Vas-y J’écarte mes fesses et tape bien fort, à chaque coup j’en donne autant à Valérie.
Laurence : Oh ça rentre bien, T’aimes ça
Valérie : Oh putain que c’est bon.
Valérie en profite pour sortir une petite blague, « tu as été à l’école du soir pour bien m’enculer comme ça ? »
Laurence : C’est bon ? ouvre aussi ton cul de salope. Je vais te démonter la rondelle.
Valérie : chéri tu es toujours excité, c’est bien, Ça te fait bien bander ça ?
La situation est plus qu’excitante, je sens l’éjaculation arriver, alors j’ai proposé qu’on prenne une autre position.
La séparation des quatre corps a entrainé un cri de jouissance de Valérie, mais qui a été suivi d’un énorme souffle de soulagement.
Pour ma part, j’ai le fion qui est brulant et humide.
Lorsque je me suis retiré le kway est resté planté dans la vulve de Valérie et quand j’ai tiré sur la capuche, le tissu était maculé de cyprine avec une allure blanche comme du sperme.
Laurence en a fait autant en se retirant du cul de Valérie et en la complimentant sur l’aspect du tissu Kway.
Laurence : Valérie, tu as bien jouis, à toi de me prendre !
La proposition m’arrange car je voulais m’arrêter un peu pour éviter de tous lâcher
Christophe : François, alonge toi pour me lécher les couilles.
Alors que Valérie s’équipe du gode, je m’allonge par terre avec le pantalon kway baissé jusqu’au chevilles. Christophe viens se positionner au-dessus de moi, il baisse complètement son pantalon KWAY et s’assoit sur mon visage. Il me présente ses deux balloches toutes lisses.
Je me mets à le lécher mais je vois entre deux que Laurence positionne le kway noir sur ma bite et vient s’empaler directement dessus sans que je puisse dire le moindre mot.
Christophe se penche vers Laurence et me présente sa queue devant la bouche.
Les deux me prennent au dépourvu.
J’ouvre la bouche et le sexe bien gonflé et avec les veines en émergence, la pite me rentre directement en fond de gorge.
Je ne vois plus rien mais j’entends Valérie qui dit à Laurence qu’elle va lui rendre la monnaie de sa pièce.
Je suis partie pour une succion et une femme qui est entrain de s’exciter sur ma tige.
Valérie est prête et j’entends qu’elle demande à Laurence de se pencher en avant pour la prendre.
Ça y est, je sens l’insertion du gode à travers les entrailles de Laurence, sur ma bite.
Les coups de reins de Valérie, commencent à être de plus en plus rapides.
Valérie : Oh c’est bon pour les putes comme toi. T’es une femelle ouverte, t’aime te faire défoncer salope
Laurence : Oui. Saute-moi. A c’est bon ramone moi bien. Il est bon mon cul ?
Valérie : Il était serré mais là on dirait le tunnel de St CLOU, à chaque fois que je retire le gode.
Laurence : Oh putain tu sais satisfaire les chiennes ouvertes avec un cul comme le mien,
Valérie : Je t’aime Laurence mais j’aime encore plus ton gode, ces messieurs se donnent du plaisir mais toi tu m’emmène loin dans le karma de la jouissance.
C’est à ce moment là que je n’ai rien pu faire, enfin si, j’ai giclé et Christophe en a fait autant dans ma bouche. Il m’a bloqué en gorge profond, j’ai dû tout avaler.
La partie s’est terminée en plus de deux heures, mais nous ne sommes pas repartie car le couple nous a gardé le soir mais pas que pour dormir.
Dans la suite je vais vous raconter la nuit d'enfer.
N'hésitez pas à me laisser votre avis, un message même vous Laurence et Christophe!!!!
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Vraiment original cette sexualité en Kway trempé, ça donne envie d' un petit tour à Troye ....
En préambule
J'ai la faiblesse d'aimer écrire et de jouer avec les mots et de faire de l’humour. Bien que romancée, cette histoire est bien réelle. Ce texte aborde la chasteté, le bondage et l’humiliation en couche sans tomber dans l’uro.
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C'est l'histoire de deux tourtereaux qui s'aiment d'un amour profond et dont la complémentarité de personnalité et de goûts sexuels est si extraordinaire que l'on pourrait imaginer un conte de fée pour enfants, sauf que le conte abordé ici est classée X.
Dans l'intimité, les tendres tourtereaux partageaient une relation de domination soumission initiée par monsieur. Madame se découvrit progressivement une âme de dominatrice. Le gag de cette histoire, est, que malgré l'expérience de Monsieur en la matière, Madame moins pudique avançait à grand pas dans la mise en pratique de ses découvertes. Au fil des jours, l'initiateur s'offrait avec ravissement aux turpitudes de Madame lui imposant au début le port d'une cage de chasteté masculine. Equipé d'un cadenas, la CB est un accessoire pouvant être porté 24/24. Ce dispositif interdit l'accès à la verge contrainte dans un petit tube courbé vers le bas.. Pour être honnête, c'est chiant, c'est fou, c'est particulier mais c'est aussi très bon car portée plusieurs jours, elle décuple les émotions, les sensations et je l'avoue, perturbe un brin les neurones masculines.
Le 21 juin de l'an de grâce 2007 la complicité de ces tourtereaux vit sa consécration dans une harmonie parfaite. Toute la nuit, la mélodie des gémissements de plaisir rythma avec le bonheur d'une tendre connivence et s'accorda à merveille dans les folies érotiques aussi originales qu'exceptionnelles.
Monsieur, tel un caniche en manque, n'ayant eu de cesse que d'essayer de grimper sur sa congénère une bonne partie d'une nuit précédente et ce malgré sa cage de chasteté bouclée. Madame lui tint à peu près ce langage : « si tu continues, je vais devoir t'attacher la nuit si je veux dormir tranquille ». Cette monodie enflamma les sens de l'amateur de bondage qui s'aventura à provoquer Madame pour qu'elle lui accorde, par un de leurs jeux, quelques contraintes et ravissements sensuels. Tant pour répondre à la provocation qu'à l'envie de tester, Madame en prit bonne note. Le 21 juin, elle entrevue la possibilité de mater la rébellion lors d'un dîner dans un restaurant indien « entre la poire et le fromage ». L'homme profondément amoureux s'abandonna, pour ne pas dire « s'abima » en mots doux et confessions dangereuses en lui avouant qu'il s'était plus à fantasmer d'être à sa merci toute une nuit, mais qu'une habitude urologique vers 2 heures du matin, risquait de le contraindre à éveiller sa reine.
La problématique posée, Madame, presque attristée, promit de lui refuser une pause pipi même urgente tout en sachant que cette promesse serait impossible à réaliser sans risques pour la pôvre literie. Et là, Mesdames et Messieurs les jurés de la sainteté, dans une envolée lyrique de soumis masochiste impudique, Monsieur lui entrouvrit la porte d'une alternative par une autre de ses confidences : il avait des couches pour adultes. Cette information donnée, la curieuse voulu savoir pourquoi il détenait ce type d'article réservé aux incontinents. L'impudique très curieux des choses de la vie, redevint pudique aux pieds du mur et dût dévoiler avoir testé une paire de fois pour voir quels plaisirs pouvaient avoir les hurluberlus qui en portent et exposent leurs photos sur internet. Après deux tests solitaires, il n'avait pas trouvé de saveur à ce jeu humide mais, tel un écossé, avait conservé ces langes. L'alternative séduit Madame, le serveur apporta les cafés.
Tout le long du chemin, les tendres tourtereaux échangèrent câlins, bisous et attouchements furtifs. Le popaul emprisonné dans sa cage de chasteté souffrit beaucoup de la crise du logement. En leur logis, le dernier verre fut fatal pour Monsieur lorsque Madame lui demanda si elle l'entravait pour la nuit avec ou sans sa cage. Sûr de sa chance, l'inconscient lui proposa de jouer cette étape à pile ou face. La pièce tomba sur le côté « encagé » le privant de fait d'une libération salutaire jusqu'au lendemain soir. Après une douche obligatoire pour cause de chaleur écrasante, Monsieur décidé à satisfaire pleinement Madame, installa les instruments de sa propre contrainte avec des chainettes et des cadenas puis la couche qui allait lui faire découvrir les sensations de « l'humiliation » érotique.
Au lieu de débuter cette entrevue câline puis « bdsmiène chaste pour lui » par quelques préliminaires, Madame tint à ce qu'il mette sa couche sur le champ ! Le pauvre homme se pâma presque et le rouge de ses joues atteint l'intensité de celui des bouteilles de coca-cola ! Devant son manque d'habilité, la mère de famille retrouva ses réflexes et langea en moins de temps qu'il ne le faut pour l'écrire, le plus gros bébé qu'elle n'avait jamais langé jusqu'à cette folle nuit. Ainsi accoutré et légèrement blême, Monsieur assuma sans sourciller les responsabilités de ses confidences et accorda à maîtresse-maman toutes les caresses et attentions demandées. Les fesses emmaillotées firent beaucoup rire Madame, mais grâce à leur grande complicité amoureuse, il ne s'en offusqua pas trop. Soudain, alors que d'une langue agile il dégustait la petite fraise des bois cachée entre deux monticules humides, une voix et une poigne décidée l'interrompirent. « Ce soir, je suis solidaire, je vais comme toi, me soumettre à l'abstinence par solidarité ».
Surpris de ce retournement de situation et volontaire pour tester les plaisirs du bondage dans la durée, Monsieur se laissa entraver pour la nuit, non sans assister galamment sa maitresse débutante peu agile avec les chaînes. N'étant pas égoïste, cette dernière rassembla toute son énergie câline pour en couvrir le corps frémissant masculin qui ne tarda pas à bondir dans ses liens pour cause de sens terriblement exacerbés. C'était comme si toute ses pores étaient devenues des capteurs sensoriels. Histoire de rehausser encore l'émotivité de son buste masculin, elle entreprit de le faire rougir avec un martinet dont les lanières percutèrent parfois les petits tétons érectiles qu'elle câlina ensuite de sa langue gourmande comme pour se faire pardonner. Le côté pile n'eut pas à exprimer de jalousie, il eut également sa dose de claquements de lanières et de lèvres. Il frôla le subspace quelques instants lorsque Madame se laissa aller du martinet, au lieu de souffrir, la douleur devint voluptueuse. Forcé de se tourner à nouveau, au paroxysme de l'excitation masculine, invisible pour cause de cage de chasteté et de couche, la belle lui fit un dernier bisou avant de lui souhaiter bonne nuit puis d'éteindre la lumière.
L'adepte du bondage, se plongea dans l'océan des plaisirs agité par les flux et les reflux de son masochisme. Son sexe gorgé de désir vibrait dans sa prison, tous ses pores hurlaient leur désir d'encore comme un régiment de CGtistes en colère. Pour parfaire la volupté de l'effet de manque, Monsieur en plein festival d'émotion, cherchait à se frotter en tirant sur ses liens. Dans sa tête en ébullition, il y eut un moment la déroute totale, un moment fabuleusement excitant, ce moment où la soumission est à son comble, ce moment où on n'est plus maître de sa raison au profit d'une véritable dominante. A ce moment là il ne put que se laisser aller à l'impossible nuit de désir et d'inconfort qui l'attendait. Peuplé de rêves sensuels, cette nuit fut un pur délice d'érotisme exacerbé par l'effet de manque et les entraves, mais également son contraire pour l'inconfort.
C'est souvent par une contrainte volontairement acceptée que l'on va reculer ses limites, accepter des pratiques enfouis dans les fantasmes, ou en en découvrir d'autres. Malgré son expérience en matière de sexe, Monsieur le maso soumis en crise de délirium allait expérimenter deux nouvelles pratiques pour lui avec l'arrivée d'une envie naturelle irrépressible. Lorsqu'il comprit que luter ne servirait à rien, il réveilla Madame pour lui exprimer son problème en espérant qu'elle mettrait un terme à leur jeu. Il n'en fut rien bien au contraire, la réponse fut ferme et définitive, il avait décidé de jouer, il jouerait ! Au bout d'un certains temps, alors qu'il gigotait dans ses liens comme un poisson à l'hameçon, Madame lui rappela qu'il portait une couche et qu'elle était faite pour ça.
Ses sentiments et ses sensations étaient très mêlés, il ne parvenait plus à discerner ce qu'il ressentait, plaisir ou humiliation pour le problème urinaire à résoudre dans une couche à côté de sa femme, souffrance ou volupté pour le sexe encagé et la vessie qui manifestaient pour des problèmes de logement. La tourterelle pour ne pas trop gêner le tourtereau empêtré dans ses contradictions faisait semblant de dormir. A cet instant, c'est par obligation et sans aucun plaisir fantasmagorique qu'il força réellement sur la vessie devenue psycho-résistante afin de la soulager d'un trop plein devenu douloureux. Le manque de confiance en la couche affecta le soulagement. Il fut modéré pour ne pas dire contenu par crainte de tsunami in the bed. Après quelques instants d'attention n'en pouvant plus, il finit par s'abandonner totalement tout honteux de sentir le liquide chaud envahir son fondement.
Le popaul précédemment chargé de canaliser les flux, s'extasia tant qu'il le put comme s'il voulait pousser les murs de sa prison en générant une révolution sensorielle. Ce phénomène nouveau surpris son propriétaire car avoir l'entre-jambes plein d'urine n'avait rien d'excitant à ses yeux. La couche absorba les liquides et le laissa les fesses bien au sec.
Après une concertation neuronale face à cette voluptés inexplicable, il dut reconnaitre que la délicieuse dictature de Madame lui avait permis de découvrir que dans l'intimité respectueuse, il pouvait apprécier les jeux humiliants. Ligoté, écrasé de honte et de désir inassouvi, il sombra à nouveau dans les méandres cotonneux du sommeil peuplé de songes alimentant sa boulimie sexuelle d'une liturgie BDSM nouvelle.
Au petit matin, après qu'elle l'ait libéré, comme envouté mais sans aucune gêne il se redit à la salle de bain avec son gros paquet humide entre les jambes. Tout en prenant une douche salvatrice, il s'interrogea sur les délices inédits éprouvés. En arrivant au salon il se dit qu'il ne serait plus jamais le même parce qu'il venait de passer un cap supplémentaire avec celle qu'il aime plus que tout au monde comme accompagnatrice.
Les deux tourtereaux se retrouvèrent autour d'un café pendant lequel ils partagèrent câlins, tendres bisous et confidences mutuelle après cette folle nuit. Si avec la cage de chasteté Madame avait découvert les semaines précédentes que prendre le contrôle de la sexualité de son partenaire est l'un des moteurs les plus puissants qui soit, elle venait maintenant de constater que soumettre quelqu'un au port de la couche peut être très jouissif.
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Du Pets-play au selfbondage du désespoir
Bianca était heureuse en femme soumise et surtout en pets. Quand son maître, un ambassadeur très doué avait été muté dans un pays du moyen orient, son coeur s’était déchiré. Bon prince, Maitre Carl rencontré sur XXX lui avait dit avec des larmes dans les yeux, qu’elle pouvait vivre sa vie. En guise de réponse, elle répondit simplement que les autres hommes ne l’intéressaient pas. Ce fut un grand moment de déchirement, quand la porte s’était refermée. L’un et l’autre n’arrivaient pas à rompre les dernières minutes, d’une relation idyllique.
Bianca sombra dans la déprime pendant quelques mois avant d’être rattrapée par la vie, avec sa mère sombrant dans la vie d’Alzheimer. Ce nouveau « loisir » si difficile à vivre poussa un peu la déchirure précédente. Après l’avoir placée en maison de retraite spécialisée, elle s’était retrouvée. Retrouvée seule sans obligation autre que son travail, seule sans envie particulière. Pendant le premier confinement, la solitude devint pesante, elle ne pouvait même plus aller boire un verre avec ses copines du travail.
« Dans nos appartements, nous sommes comme enfermés dans des cages » lui avait dit une copine au travail. Pour Bianca ce fut comme un déclic. Elle avait toujours sa cage, une vraie cage à chien que Maitre Carl lui avait laissée, avec toutes leurs petites affaires de pets-play et d’autres accessoires BDSM. Pendant tout le trajet en transport en commun, elle ne pensa qu’à ça. Malgré les masques, les voyageurs pouvaient apercevoir la détresse de cette femme perdue dans ses pensées.
Arrivée chez elle, mue par une impérieuse envie de revivre, Bianca se rendit au garage pour ouvrir la malle poussiéreuse, contenant leurs petits secrets achetés sur un sexshop en ligne Tout était là, soigneusement emballé dans des poches plastiques. Contre le mur, la cage démontée semblait lui faire de l’oeil. Elle eut comme une décharge électrique quand elle l’attrapa pour la rentrer dans la maison. En se traitant de folle, Bianca l’installa dans la chambre puis remonta tous les éléments de son futur lit. Sans même prendre sa douche, après s’être mise nue, elle rapporta la fameuse malle devenant magique. Après avoir posé son collier qu’elle serra plus que d’habitude, Bianca suça le rosebud du plug queue de chienne pour le lubrifier et se le mit dans les fesses.
Dans la folie de cette envie de revivre sa vie de pets, elle réinstalla les gamelles sur le sol dans la cuisine, l’une avec de l’eau, l’autre avec une boite de Corn flakes avec du lait. Comme si elle était pressée, Bianca fonça dans sa chambre pour attraper ses genouillères, les ceintures, sa cagoule de chienne. Assise sur le lit, elle mit les genouillères puis plia les jambes pour les bloquer avec les petites ceintures. Après avoir mis sa cagoule, pour lier ses bras pliés l’un sur l’autre avec les ceintures, elle galéra un peu en maugréant.
Ce n’est qu’à ce moment là qu’elle se vit dans le miroir de sa penderie. « Ça y est, tu es enfin revenue » se dit-elle à voix basse avant de se gronder, une chienne ne parle pas, descends du lit, tu n’as pas le droit d’y monter sans permission.
« Quelle conne, je n’ai pas éteint la lumière » pensa Bianca après être descendu du lit avec prudence. Elle s’avança à quatre pattes en appui sur ses genoux et ses coudes pour aller faire la belle contre le mur afin d’appuyer sur l’interrupteur avec son nez. Dans la pénombre de la chambre, elle distinguait encore sa cage, son refuge. Elle s’y précipita alors qu’en d’autres temps, elle râlait un peu quand Maitre Carl ne la voulait pas dans son lit. Roulé en chien de fusil, elle attendit tristement le sommeil. Il tarda à venir, elle avait perdu l’habitude de sa cage, chacun de ses mouvements lui rappelant sa condition de chienne, une chienne abandonnée, livrée à elle même, même pas conduite à la SPA.
Au milieu de la nuit, rattrapée par une envie pressante, elle quitta la cage quasiment à l’aveugle pour aller toujours à quatre pattes se soulager dans la douche. Si Maitre Carl avait appris qu’elle avait quitté sa cage sans permission, il l’aurait grondée. Sur le chemin du retour, tenaillée par une petite faim, elle se rendit à la cuisine en se disant qu’il faudrait qu’elle trouve un moyen de s’imposer de rester dans la cage. Avant il arrivait que son Maître la verrouille pour l’obliger à attendre. Elle devait trouver le moyen de revivre son passée de pets comblée. Le nez dans la gamelle, elle grignota un peu de Corn flakes puis but un peu d’eau en lapant avant de retourner se coucher.
Il était là, il la tenait par la laisse et la prenait en position Doggystyle. Elle s’entendit couiner, ce qui la réveilla. Triste retour à la réalité que de passer du rêve à la réalité. « J’ai la chatte qui me démange » pensa vulgairement Bianca. Cela faisait un an qu’il était parti, un an de deuil, un an sans le moindre orgasme, sans le moindre plaisir solitaire. S’être remise à jouer seule, lui ouvrit les yeux, elle avait le droit de vivre sa vie de femme. Cette dernière pensée déclencha chez Bianca, le besoin de rêver et de fantasmer à nouveau.
Vivre sa sexualité avec un autre homme n’était pas concevable. Elle décida de chercher de quoi s’amuser seule, se faire plaisir en version BDSM. C’est sur ses pensées aussi coquines que motivées, qu’elle quitta sa cage et se libéra. A la suite de quoi, elle prit sa douche et un café devant son ordinateur. Après avoir réactivé son compte sur le nouveau Fessestivites, elle se lança sur les forums qui sont surveillés et où l’on trouve de bonnes idées, de bons renseignements. C’est là qu’elle tomba sur la rubrique selfbondage. Bianca avait déjà parcourus quelques scénarios de selfbondage, avec comme idée de trouver des trucs pour s’offrir entravée à son Maître, comme cadeau d’anniversaire.
Dans sa tête, les idées s’entrechoquaient, un an de sagesse et privation libéré en une nuit, cela fait faire quelques folies. Elle commença par suivre le lien indiquant comment trouver des cadenas électroniques. Cela lui permettrait de fermer sa cage sur une durée et surtout, de s’interdire d’en sortir. Et là, elle découvrir que sur ***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***, il y a aussi des scénarios de selfbondage qui sont proposés avec certains produits.
Prise dans sa folie des achats, elle téléphona au bureau pour dire qu’elle était souffrante et que, par précaution avec ce covid, elle ne viendrait pas travailler.
- Cliquets de corde pour bondage et selfbondage x 2- Collier BDSM métalliques avec cadenas x 1- Un coffre électronique de BDSM ABDL ou chasteté- 2 sangles 2 mètres pour vos bondage et selfbondage x 2- Menottes poignets en métal x 2- Cadenas électronique bondage et selfbondage x 2
Elle en était là quand elle consulta son panier sur ABCplaisir, quand elle tomba sur le Lot sex-machine complet 225 coups par minute. Ce fut sa dernière folie dans ses achats compulsifs ! ! !
Après avoir fait « fondre » sa carte bleue, Bianca revint sur Fessestivites. Elle dévora tous les scénarios de selfbondage qu’elle découvrir dans les articles. Son but était simple : se former, apprendre, trouver des trucs et des astuces ! Nue sous son peignoir de bain, elle constata que ses tétons pointaient. « tiens, ils se remettent à vivre eux aussi » se dit Bianca. Naturellement attirés par son entrejambe, ses doigts trouvèrent les lieux très humides. Presque honteusement, c’est en regardant les vidéos de selfbondage qu’elle décida de se caresser. Le plaisir fut au rendez-vous « des anciens de la vie », les retrouvailles des doigts solitaires avec son intimité furent généreux et même épuisants.
- J’ai fait des folies sur ABCplaisir ! Se dit soudain à haute voix Bianca une fois rassasiée.
Pour mettre un terme à ses moment d’égarement, elle s’habilla pour aller travailler avec plus de deux heures de retard. Elle allait soudain mieux....
......................
Le soir même, Bianca recommença ses petites folies solitaires en vivant sa vie de pets-girl célibataire. Pour ses bras, elle ne mit pas les ceintures pour cause de petites douleurs aux coudes mais enfila les moufles en cuir sur ses petites mains. Une heure plus tard, elles étaient retirées, surfer sur Fessestivites avec des moufles, ce n’est pas pratique. Elle commença à faire des scénarios à la façon de Petifou-Selfbondage.
- Comment m’attacher au radiateur en guise de punition avec mon bâillon os.
- Comment fermer la cage pour une nuit- Comment utiliser la sex-machine comme si je n’étais pas volontaire
Dans chacun de ses scénarios écrits sur des fichiers Word, Bianca notait méticuleusement tous les détails. Pour la nuit imposée en cage, pour s’éviter de dormir dans son urine, elle avait même prévu une couche pour personne incontinente alors qu’elle déteste ça. Pour le scénario avec la sex-machine, elle avait décidé qu’elle ne devait pas pouvoir se soustraire avant la fin du temps décidé. Ce fut le scénario le plus compliqué à écrire et lui imposant même de faire des tests de position. Dans un état d’excitation avancé, elle voulut s’interdire de se caresser avant que les nouveaux accessoires ne soient livrés. Cette résolution ressembla à toutes celles prises le premier janvier.... « J’aurai aussi du prendre une ceinture de chasteté » se dit Bianca en se traitant de S......
Par chance, le colis fut livré le samedi matin. Elle put le réceptionner sans aller faire deux heures de queue à la poste. Rien que d’ouvrir le carton la mit dans tous ses états, tout comme la vue de la sex-machine et son phallus soudain très attirant. « J’ai du cicatriser en bas » se dit Bianca avec humour.
Une fois la porte et les volets fermés, elle testa le collier en premier. Il ne la quitta plus jusqu’au lundi. Elle mit en charge les cadenas électroniques puis étudia le fonctionnement du coffre électronique qu’elle testa sur deux minutes. Conformément à ce que qui était indiqué, il était impossible à ouvrir avant la fin du compte à rebours. Pour bien démarrer son week-end de pets, Bianca mit sa combinaison de chienne et sa cagoule préférée. Elle fixa une paire de menottes au radiateur puis les clés dans le coffre électronique. Les clés des menottes étant attachées avec de la ficelle à ses menottes comme le conseille Petifou-Selfbondage, quand le coffre s’ouvrirait elle n’aurait qu’à tirer sur la ficelle pour récupérer les clés. Par peur que le coffre ne fonctionne pas et sécurité, elle attacha le deuxième jeu de clés de menottes à son rouleau de ficelle à rôti qu’elle déposa le plus loin possible.
Tout étant prêt et sécurisé, Bianca s’entrava une heure au radiateur avec les poignets menottés. cette heure lui parut longue, et en même temps, l’excita un peu par le fait de ne pouvoir fuir. Elle décida qu’il faudrait qu’elle s’achète une chaîne pour s’attacher par le cou comme une chienne ou qu’elle essaye de coincer la laisse avec les cadenas électroniques.
Toujours très prudente, Bianca teste ensuite les cadenas électroniques pour voir s’ils s’ouvrent comme prévu. A la suite de quoi, elle se penche sur la sex-machine. Après l’avoir branchée elle joue avec la télécommande et découvre en se pinçant les lèvres de gourmandise, que l’oeuf vibrant et le mini gode sont aussi puissants voir plus que son Magic Wand Massager. Elle en ouvre et ferme ses cuisses d’excitation.
L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence !
Bianca imprime son scénario puis se rend dans sa chambre pour l’installer. Placée au fond de sa cage, la machine ne pourra pas reculer. Pour s’interdire toute fuite en avant, elle a prévu de mettre une ceinture avec un cliquets de corde qui sera fixée au barreau. Avec deux autres cliquets de corde fixés également à sa ceinture, elle s’interdira de fuir sur les côtés.
Pour ses poignets, Bianca a prévu les deux paires de menottes, une de chaque côté de la cage avec les cadenas électroniques. Ainsi, si l’un tombe en panne, l’autre lui libèrera une main menottée ce qui lui permettra alors d’attraper les clés posées devant elle.
L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence ! (Bis)
Pour être encore plus dans l’ambiance de chienne couverte à un mâle assoiffé de sexe, elle se met son bâillon os. Au lieu de mettre sa queue de chienne, Bianca décide de se mettre l’oeuf vivrant de la sex-machine dans les fesses. Elle serre ses cuisses et ses jambes avec des ceinture pour avoir encore plus la sensation d’être prisonnière. Elle n’a pas besoin de lubrifiant quand elle entre à reculons dans la cage, le phallus glisse en elle sans difficulté. Avant de tendre les cliquets de corde, elle fait un petit essai et savoure avec délice les premiers mouvements. « Je vais m’éclater comme une folle » si dit Bianca en tendant un peu trop les 3 cliquets de cordes. Elle ne peut ni bouger sur les côtés ni avancer.
Dans son état d’excitation démesuré, elle règle les cadenas électroniques sur une heure puis, passe la menotte dans l’anneau du cadenas électronique. Elle démarre la sex-machine puis l’oeuf vibrant. Les yeux fermés et en mordant son bâillon, Bianca savoure les vibrations anales et le phallus s’enfonçant en elle à un rythme régulier. « Ça va être l’extase totale » se dit elle en décidant d’accélérer un peu la vitesse du phallus.
Elle décide donc de finir son selfbondage de pets à faire « couvrir » en fermant la deuxième paire de menottes. Elle a donc les bras écarté fixés aux angles de la cage, elle ne peut pas avancer ni même bouger sur les côtés, la ceinture et les cliquets de corde l’en empêchent.
L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence ! (Ter)
Toutes les conditions sont réunies pour qu’elle s’éclate et « se fasse défoncer » longuement en étant entravée. Sentant le plaisir arriver, sans penser à la durée, Bianca pousse la machine à son maximum ainsi que la puissance de l’oeuf dans le creux de ses reins. Et dans ce moment de folie, elle jette aussi loin que possible la télécommande. Grossière erreur ! ! !
Grossière erreur car 225 coups par minute c’est vraiment beaucoup. Si c’est extraordinaire sur une courte durée avant la jouissance, pendant la jouissance c’est ..... trop. Trop bon la première fois, puis, lorsque les jouissances s’enchaînent, c’est trop rapide, trop fort, trop puissant.
L’orgasme est fulgurant, Bianca mord le bâillon os comme une folle pour ne pas hurler. La machine ne ralentissant pas tout comme l’oeuf dans ses fesses, un autre orgasme arrive quasiment de suite. Elle essaye en vain d’attraper la télécommande pour ralentir la machine. Jetée trop loin, il lui est même impossible d’attraper le fil pour la tirer. Elle n’est qu’à une quinzaine de centimètre de ses doigts tendus. Foudroyée par un autre orgasme, elle abandonne cette idée et essaye de se libérer car une heure à ce rythme là, c’est inconcevable.
Ce n’est pas d’empiler les jouissances qui n’est pas concevable, mais les 225 coups « de bite » par minute pendant une heure. 13 500 coups calcule la chef comptable reine des chiffres, cela va me massacrer si cela ne me tue pas se dit Bianca. A bout de souffle avec un énième orgasme, la tête posée sur le sol, elle est à deux doigts de perdre connaissance. Tout son corps tremble, ses mains, ses jambes. Elle ruisselle de transpiration et bave lamentablement.
Pleurer de trop jouir semble fou, et pourtant, c’est ce qui arrive à Bianca épuisée physiquement et nerveusement. Elle en arrive parfois à se cogner la tête par terre. « Oh mon dieu, cela commence à chauffer dans ma chatte » se dit Bianca terrorisée à l’idée d’être brûlée. Soudain sa vessie lâche, le plaisir revient, elle jouit encore et s’écroule à pendre dans sa ceinture avec la tête posée sur le sol. Le carrelage froid finit par la réveiller, quand elle ouvre les yeux, il ne reste plus que deux minutes sur le cadenas électronique bloquant sa main droite, celle qui est si proche de la télécommande. Deux minutes de défonce, de vibration et enfin l’ouverture. Si elle ne peut se libérer de suite, elle peut au moins arrêter la sex-machine et les vibrations.
Son premier réflexe est ensuite d’ouvrir la ceinture et de s’allonger sur le ventre. Geste arrachant le phallus de son chaton enflammé. Il lui faut un moment pour parvenir à reprendre ses esprits. C’est à quatre pattes qu’elle se rend à la douche, se lever serait trop dangereux. L’eau froide heurte sa tête, la tire de son état semi comateux. L’eau se réchauffe progressivement elle reste couchée dessous dans sa douche à l’italienne pendant un petit moment avant de parvenir à couper l’eau.
- J’ai du rattraper un an de jouissances en une heure ! Dit Bianca à haute voix dans sa salle de bain.
Lorsqu’elle porte la main à son sexe, l’irritation est telle qu’elle n’envisage pas de se laver de suite. Une crème réhydratant est obligatoire avant toute chose. Arrivée à la cuisine avec peine, il lui faut manger, n’importe quoi mais manger. Bianca ouvre le réfrigérateur et attrape ce qui peut être consommé comme ça sans préparation. Le camembert innocent est mordu par une chienne affamée. La bouteille de Yop est presque vidée en une seule fois.
Une sonnerie bien connu se fait entendre sur son téléphone, c’est celle de Maitre Carl. Son coeur se serre soudain. Un an sans nouvelle, sans aucune réponse à mes messages, pourquoi lui répondre quand il claque des doigts ? Pense Bianca.
- Qu’il aille au diable !
Bianca se couche, dans son lit cette fois et dort douze heures d’affilées. En remontant sur Fessestivites le lendemain, elle découvre que Maitre Carl lui a adressé un message lui indiquant qu’elle devrait lire l’email qui lui a adressé. Email dont le contenu ne doit être dévoilé à personne.
Mue par la curiosité, Bianca se rend sur sa messagerie personnelle. A la lecture de l’email elle fond en larmes.
..........................
Ma chère Bianca, mon amour,
Ce message ne doit jamais être dévoilé pour éviter un scandale et une guerre diplomatique, je compte sur ta totale discrétion. Supprime-le après lecture.
Après mon départ, je ne suis pas arrivé à l’ambassade. On m’a enlevé à l’aéroport. J’étais en captivité et l’objet de négociations entre le Pakistan et la France. Je ne peux rien te dire de plus, je n’en ai pas le droit.
Je suis enfin de retour, je t’aime et tu me manques cruellement. J’ai eu tout le temps de penser à toi, à nous. Acceptes-tu de m’épouser si je m’engage à devenir sédentaire.
Si tu refuses, je comprendrai que un an sans nouvelle, a de quoi justifier un refus de ta part. je ne t’adresserai plus aucun message si tu ne me réponds pas. Peut-être as-tu refais ta vie, chose logique, un an, c’est long surtout si tu as pensé que je t’ai abandonnée.
« Ouaf »
...........................
Le mot « Ouaf » était un des jeux de communication entre eux, envoyé par texto il signifiait « je t’aime ». Deux « Ouaf » était un code signifiant « je te veux en chienne quand je rentrerai ».
EPILOGUE
Maitre Carl n’est plus jamais parti à l’étranger, hormis en vacances avec sa « chienne », évidement. La sex-machine a été utilisée, mais cette fois, n’a été que jouissive.
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Je passerai bien un week-end dans la fange avec cette truie dans la porcherie moi.
C’est vendredi soir, nous avons réservé un manoir pour le week-end. Mon Maître ouvre la portière arrière de la berline où je suis attachée et encagée. Il me tend la main. Je pose un escarpin sur le sol caillouteux et sors de la voiture. Maître Elias tient ma laisse, et je marche à quatre pattes jusqu’à la porte, au risque de déchirer ma robe scintillante bleu nuit. Je lâche le gros trousseau de clés que je portais en bouche dans la main délicate de mon Maître. Nous découvrons un endroit sombre et spacieux. Les rideaux rouges créent une ambiance tamisée que nous édulcorons de quelques chandelles. Nous savons bien sûr à quoi elles serviront, mais nous ne savons pas encore où.
Je suis excitée. Je sens le bas de mon ventre se tordre de stress et d’impatience.
Elias s’assoit sur le canapé et je me place à ses pieds. Je m’incline pour lécher ses chaussures, ses semelles. Il en profite pour écraser mon visage de femelle. Je me mets à genoux et défais ses lacets. Je retire ses chaussures et les lèche une nouvelle fois. Je frotte mon visage contre ses pieds et attends mon tour. Il le sait, il attend et profite de ma dévotion. Au bout d’un moment, il me fait signe de me lever et de m’allonger sur ses genoux. Un de mes jeux préférés. Je sais que je vais subir. Il saisit mon bras droit pour le tenir fermement dans mon dos, puis commence à me fesser. Très vite, très fort, et me fait compter. Je commence à hurler. Je sais que nous sommes seuls, je peux tout sortir. J’ai mal, et j’aime ça.
À la fin du châtiment, il me permet de boire dans la gamelle qu’il me sert.
— Tu n’as pas oublié les croquettes, j’espère ? dit-il d’un air malicieux.
— Non, Maître... dis-je timidement. En effet, j’ai perdu un pari. Je savais que ce jour arriverait, d’une manière ou d’une autre.
— Mais d’abord, c’est l’heure de la douche.
Mon Maître m’emmène dans le jardin, face à un trépied où est accrochée une caméra. Il m’attache les bras en l’air à un arbre, et devant le regard des internautes, me gifle, me fouette avec sa ceinture, et me fesse. Il s’absente dans la cabane du jardin et revient avec des cisailles. Il les rapproche de mon visage, puis de mes seins, et coupe deux ronds au niveau de mes tétons. Il les tire, les mord, et y accroche deux petits poids à clochettes. Il met sur ma tête des oreilles de vache et fourre dans mon cul un plug avec une queue de chienne. Il découpe ma robe au niveau du ventre, laissant apparaître ma chatte trempée. Il me maquille un peu, me dessine des moustaches, écrit « SALOPE » sur mon front et « grosse vache » sur mes mamelles. Je suis sa grosse vache maintenant.
— Vas-y, je sais que t’en meurs d’envie...
— ...
— Allez, fais pas ta prude, c’est un ordre.
— Meeeeuh.
— Plus fort !
— MMMEEEEEEUUUUUH !
Mmmh, me voilà transformée. Il rapproche la caméra pour montrer mes seins au grand public, se délectant des commentaires. Certains lui donnent des idées. Voilà qu’il me coupe les cheveux. Il coupe une énorme mèche sur le côté droit et me fait une coupe au carré — mes cheveux arrivaient jusque sous mes épaules. Je commence à avoir peur de leurs idées et de l’enthousiasme couplé de mon Maître bien-aimé. Je crie « ROUGE », notre safe-word, et il pose les ciseaux. Nous nous sommes arrêtés à temps. J’ai aimé qu’il me fasse la tête au carré.
Enfin, il ouvre l’arrivée d’eau et remplit un petit seau d’eau froide qu’il déverse au-dessus de mon visage. Je me dandine en escarpin, les poignets liés à l’arbre du jardin qui s’assombrit. Il met le flash de son téléphone, qui m’éblouit, pour continuer à nous éclairer. Le calvaire continue, je frissonne, je compte encore, il s’arrête au quinzième seau.
— Mais pour celui-ci, tu pencheras la tête vers le haut et garderas les yeux ouverts.
— Oui Maître, Meeeeuh, Maître.
— Bonne grosse vache, ça.
Nous rentrons. J’ose croire avoir le droit de me réchauffer, mais Elias me réserve une autre peine. Il commence à pleuvoir, et il y a une cage qui orne le manoir, donnant sur la vallée, dehors. Il m’y enfourne. Mes jambes dépassent un peu des trous des barreaux. C’est terrifiant. Il vient me narguer en bas, me filme encore. Et j’aime ça. Il s’en va, me laissant une demi-heure, tandis qu’il se réchauffe dans un bain.
Il vient me chercher et me permet d’en prendre un aussi. Il me lave, me caresse, glisse ses doigts dans ma chatte mouillée. Il va au plus profond, de tous ses doigts. En sortant, il me vêt d’un peignoir soyeux et applique de l’huile sur mon corps, sans omettre aucun endroit.
Je ne porte plus rien à part mes escarpins, mes oreilles, et ma queue. Je me déplace à quatre pattes tout le temps maintenant. C’est douloureux, mais à portée de queue. Pratique. Je suce mon Maître pendant des heures tandis qu’il partage des vidéos de nos performances.
Il m’emmène dans la cave, où il m’attache et continue de me fouetter. Il accroche des poids plus gros à mes mamelles et décide d’accepter chaque proposition des spectateurs. Je finis rapidement godée par tous les trous. À l’unanimité, nous retournons dans le jardin. Je subis de nouveau la torture de l’eau fraîche sur mon corps maltraité. Ils recouvrent mon corps d’écritures, d’insultes : « déchetterie » sur le bras, « baleine » sur le ventre, « bonne à prendre » dans le bas du dos, « trou à bite » autour de la bouche.
— Tu es ridicule, ma salope.
— MMEEEEEUHHHHH...
Tant que le ridicule ne tue pas, je suis prête à tout. J’aime être humiliée.
Soudain, nous entendons une voiture se garer de l’autre côté du manoir. Mon Maître y va, et revient au bout de quelques minutes avec un vieil agriculteur. Ils éclatent de rire en me voyant, en plein désarroi et gênée, puis finalement épuisée. L’homme s’approche, retire les énormes pinces brutalement de mon sein et tête immédiatement mes mamelles. Il fourre un doigt dans ma chatte, puis le lèche et m’embrasse pendant de longues minutes ainsi.
Après une courte pipe, on me bâillonne, on me bande les yeux, et on m’emmène dans la voiture. Elle roule sans qu’on m’informe de sa destination. Cela dure une demi-heure. Le bâillon étire ma mâchoire, ça devient douloureux. Je bave terriblement au-dessus d’un seau qu’ils ont placé sous ma bouche.
Nous arrivons. J’entends des bruits d’animaux. Au sol, je ressens du foin.
On m’attache le cou et la taille, puis on me retire mon bandeau. Je suis dans l’étable, entourée de vaches. Je sens une aspiration sur mes tétons et pousse un cri.
L’agriculteur, surpris par mes cris et les coups de ceinture, est venu jeter un œil. Mon Maître lui a expliqué ce que nous faisions réellement, s’excusant par politesse, tandis que le vieux rétorquait, avouant que c’était son plus gros fantasme. Si, par hasard, le Maître était d’accord, Monsieur pouvait prêter ses lieux à des fins sexuelles. Ainsi, me voilà traitée et prise par le cul par l’agriculteur, sous la caméra de mon Maître qui commence enfin à se branler. Les spectateurs sont ravis.
Maître Elias part chercher des orties dans le jardin et caresse mon visage et mon clitoris avec les feuilles. Il finit par enfourner une main pleine dans ma chatte et y relâche les plantes. Je commence enfin à pleurer.
En prime, on me jette un nouveau seau d’eau sur le corps. Mon Maître sort les pinces électriques, et je sais que la soirée ne fait que commencer. Pendant plusieurs minutes, mon Maître électrocute mon clitoris et mes tétons, sur lesquels pendent toujours des pinces avec des poids. Je tremble de tout mon corps tandis que le vieux continue de prendre mon cul.
Une fois que le vieux a joui, nous rentrons chez lui. Je serre une bière à chacun d’eux, me fais un thé que je bois au sol, et m’allonge près du feu tandis qu’ils discutent. Je m’endors. Erreur. Je suis réveillée par une énorme baffe de la part de l’agriculteur et un coup de pied dans le ventre de la part de mon Maître.
— Tu me fais honte, est-ce des manières ?!
Pour me faire pardonner, je rampe aux pieds de mon Maître et lèche ses chaussures. Il me donne un coup de pied au visage :
— Excuse-toi auprès de Maître Georges. Pour te faire pardonner, je te confie à lui. Je reviens demain.
Sur ces paroles, il claque la porte, démarre la voiture, et me laisse telle une proie entre les griffes d’un inconnu. Je ne le sais pas, mais pendant que je dormais, mon Maître a installé des caméras, et regardera tout depuis la voiture, pas très loin.
Je gis encore au sol, et mon nouveau Maître s’allonge sur moi de tout son poids, m’asphyxie doucement. Je suffoque.
— Tu vas faire quoi hein, petite soumise ? me lance-t-il, le regard envoûté.
Il met son énorme main dans ma chatte et commence à me fister, avant de caresser mon anus de son autre main aussi gigantesque. Je jouis de bonheur. Il m’emmène dehors, de retour à l’étable. Il me fait faire le tour du propriétaire, à quatre pattes, me présente à ses animaux. Il choisit la cage des cochons et m’y place. Il en sort, me prend en photo, puis l’envoie à un de ses amis. Il se branle en me regardant plantée là. Au bout d’un quart d’heure, quelqu’un arrive. C’est son ami. Tous deux se branlent en me mattant.
Lorsqu’ils me sortent, j’en suce un tandis que l’autre me prend, et nous échangeons. Tantôt dans ma bouche, tantôt dans ma chatte et dans mon cul. L’un d’eux a essayé de rentrer dans mon nez, il a tiré sur mes narines pour les élargir et a joui dedans. Son sperme a coulé dans ma gorge. L’autre a joui dans mon cul. Il m’a fait m’accroupir au-dessus du seau qui servait auparavant dans la voiture à recueillir ma bave lorsque j’étais bâillonnée, et m’a forcée à pousser. Son sperme a jailli de mon cul, et j’ai bu tout le contenant sous les yeux ébahis de mes Maîtres.
La grosse vache est dans la place.
Je me fais de nouveau traire, l’agriculteur étant fier de montrer le spectacle à son ami.
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@segnieurmaitre : bonsoir, je suis sa Maîtresse unique. C'est ma chienne et je suis fière d'elle. 🌸🙂😇
Superbe photo !! Le rêve d être à sa place ou à côté ! A t elle finis sa gamelle ??…
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08/09/25
avec élégance et finesse, j'aime guider, modeler et asservir celui qui veut découvrir l'étincelante noirceur de la soumission .:.
Salut cherche homme cavalier
Je veux me mettre à quatre pattes, et que tu viennes t'asseoir sur moi, comme si j'étais ton cheval.
J'aime me sentir soumis entre les jambes d'un cavalier et que tu me chevauches vraiment comme si j'étais un cheval, bien entendu dans le respect.
Je peux te porter sur mon dos et te laisser me guider .
Je suis serieux, et je respecte les limites.
Si tu es curieux et que l'idée t'amuse de me monter sur le dos, comme si j'étais un cheval, écris-moi . Je suis un mec soumis. Je tiens à préciser que je suis de marseille et si quelqu'un interessé par mon annonce , contacter moi ! Merci
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Je cherche une chienne de chenil , capable de venir dans les Landes pour être dressée et servir son Maître
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Très belle cage de chenil !… bravo pour l’aménagement … bises amicale sur vos pieds
Bianca était heureuse en femme soumise et surtout en pets. Quand son maître, un ambassadeur très doué avait été muté dans un pays du moyen orient, son coeur s’était déchiré. Bon prince, Maitre Carl rencontré sur XXX lui avait dit avec des larmes dans les yeux, qu’elle pouvait vivre sa vie. En guise de réponse, elle répondit simplement que les autres hommes ne l’intéressaient pas. Ce fut un grand moment de déchirement, quand la porte s’était refermée. L’un et l’autre n’arrivaient pas à rompre les dernières minutes, d’une relation idyllique.
Bianca sombra dans la déprime pendant quelques mois avant d’être rattrapée par la vie, avec sa mère sombrant dans la vie d’Alzheimer. Ce nouveau « loisir » si difficile à vivre poussa un peu la déchirure précédente. Après l’avoir placée en maison de retraite spécialisée, elle s’était retrouvée. Retrouvée seule sans obligation autre que son travail, seule sans envie particulière. Pendant le premier confinement, la solitude devint pesante, elle ne pouvait même plus aller boire un verre avec ses copines du travail.
« Dans nos appartements, nous sommes comme enfermés dans des cages » lui avait dit une copine au travail. Pour Bianca ce fut comme un déclic. Elle avait toujours sa cage, une vraie cage à chien que Maitre Carl lui avait laissée, avec toutes leurs petites affaires de pets-play et d’autres accessoires BDSM. Pendant tout le trajet en transport en commun, elle ne pensa qu’à ça. Malgré les masques, les voyageurs pouvaient apercevoir la détresse de cette femme perdue dans ses pensées.
Arrivée chez elle, mue par une impérieuse envie de revivre, Bianca se rendit au garage pour ouvrir la malle poussiéreuse, contenant leurs petits secrets achetés sur un sexshop en ligne Tout était là, soigneusement emballé dans des poches plastiques. Contre le mur, la cage démontée semblait lui faire de l’oeil. Elle eut comme une décharge électrique quand elle l’attrapa pour la rentrer dans la maison. En se traitant de folle, Bianca l’installa dans la chambre puis remonta tous les éléments de son futur lit. Sans même prendre sa douche, après s’être mise nue, elle rapporta la fameuse malle devenant magique. Après avoir posé son collier qu’elle serra plus que d’habitude, Bianca suça le rosebud du plug queue de chienne pour le lubrifier et se le mit dans les fesses.
Dans la folie de cette envie de revivre sa vie de pets, elle réinstalla les gamelles sur le sol dans la cuisine, l’une avec de l’eau, l’autre avec une boite de Corn flakes avec du lait. Comme si elle était pressée, Bianca fonça dans sa chambre pour attraper ses genouillères, les ceintures, sa cagoule de chienne. Assise sur le lit, elle mit les genouillères puis plia les jambes pour les bloquer avec les petites ceintures. Après avoir mis sa cagoule, pour lier ses bras pliés l’un sur l’autre avec les ceintures, elle galéra un peu en maugréant.
Ce n’est qu’à ce moment là qu’elle se vit dans le miroir de sa penderie. « Ça y est, tu es enfin revenue » se dit-elle à voix basse avant de se gronder, une chienne ne parle pas, descends du lit, tu n’as pas le droit d’y monter sans permission.
« Quelle conne, je n’ai pas éteint la lumière » pensa Bianca après être descendu du lit avec prudence. Elle s’avança à quatre pattes en appui sur ses genoux et ses coudes pour aller faire la belle contre le mur afin d’appuyer sur l’interrupteur avec son nez. Dans la pénombre de la chambre, elle distinguait encore sa cage, son refuge. Elle s’y précipita alors qu’en d’autres temps, elle râlait un peu quand Maitre Carl ne la voulait pas dans son lit. Roulé en chien de fusil, elle attendit tristement le sommeil. Il tarda à venir, elle avait perdu l’habitude de sa cage, chacun de ses mouvements lui rappelant sa condition de chienne, une chienne abandonnée, livrée à elle même, même pas conduite à la SPA.
Au milieu de la nuit, rattrapée par une envie pressante, elle quitta la cage quasiment à l’aveugle pour aller toujours à quatre pattes se soulager dans la douche. Si Maitre Carl avait appris qu’elle avait quitté sa cage sans permission, il l’aurait grondée. Sur le chemin du retour, tenaillée par une petite faim, elle se rendit à la cuisine en se disant qu’il faudrait qu’elle trouve un moyen de s’imposer de rester dans la cage. Avant il arrivait que son Maître la verrouille pour l’obliger à attendre. Elle devait trouver le moyen de revivre son passée de pets comblée. Le nez dans la gamelle, elle grignota un peu de Corn flakes puis but un peu d’eau en lapant avant de retourner se coucher.
Il était là, il la tenait par la laisse et la prenait en position Doggystyle. Elle s’entendit couiner, ce qui la réveilla. Triste retour à la réalité que de passer du rêve à la réalité. « J’ai la chatte qui me démange » pensa vulgairement Bianca. Cela faisait un an qu’il était parti, un an de deuil, un an sans le moindre orgasme, sans le moindre plaisir solitaire. S’être remise à jouer seule, lui ouvrit les yeux, elle avait le droit de vivre sa vie de femme. Cette dernière pensée déclencha chez Bianca, le besoin de rêver et de fantasmer à nouveau.
Vivre sa sexualité avec un autre homme n’était pas concevable. Elle décida de chercher de quoi s’amuser seule, se faire plaisir en version BDSM. C’est sur ses pensées aussi coquines que motivées, qu’elle quitta sa cage et se libéra. A la suite de quoi, elle prit sa douche et un café devant son ordinateur. Après avoir réactivé son compte sur le nouveau Fessestivites, elle se lança sur les forums qui sont surveillés et où l’on trouve de bonnes idées, de bons renseignements. C’est là qu’elle tomba sur la rubrique selfbondage. Bianca avait déjà parcourus quelques scénarios de selfbondage, avec comme idée de trouver des trucs pour s’offrir entravée à son Maître, comme cadeau d’anniversaire.
Dans sa tête, les idées s’entrechoquaient, un an de sagesse et privation libéré en une nuit, cela fait faire quelques folies. Elle commença par suivre le lien indiquant comment trouver des cadenas électroniques. Cela lui permettrait de fermer sa cage sur une durée et surtout, de s’interdire d’en sortir. Et là, elle découvrir que sur ***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***, il y a aussi des scénarios de selfbondage qui sont proposés avec certains produits.
Prise dans sa folie des achats, elle téléphona au bureau pour dire qu’elle était souffrante et que, par précaution avec ce covid, elle ne viendrait pas travailler.
- Cliquets de corde pour bondage et selfbondage x 2- Collier BDSM métalliques avec cadenas x 1- Un coffre électronique de BDSM ABDL ou chasteté- 2 sangles 2 mètres pour vos bondage et selfbondage x 2- Menottes poignets en métal x 2- Cadenas électronique bondage et selfbondage x 2
Elle en était là quand elle consulta son panier sur ABCplaisir, quand elle tomba sur le Lot sex-machine complet 225 coups par minute. Ce fut sa dernière folie dans ses achats compulsifs ! ! !
Après avoir fait « fondre » sa carte bleue, Bianca revint sur Fessestivites. Elle dévora tous les scénarios de selfbondage qu’elle découvrir dans les articles. Son but était simple : se former, apprendre, trouver des trucs et des astuces ! Nue sous son peignoir de bain, elle constata que ses tétons pointaient. « tiens, ils se remettent à vivre eux aussi » se dit Bianca. Naturellement attirés par son entrejambe, ses doigts trouvèrent les lieux très humides. Presque honteusement, c’est en regardant les vidéos de selfbondage qu’elle décida de se caresser. Le plaisir fut au rendez-vous « des anciens de la vie », les retrouvailles des doigts solitaires avec son intimité furent généreux et même épuisants.
- J’ai fait des folies sur ABCplaisir ! Se dit soudain à haute voix Bianca une fois rassasiée.
Pour mettre un terme à ses moment d’égarement, elle s’habilla pour aller travailler avec plus de deux heures de retard. Elle allait soudain mieux....
......................
Le soir même, Bianca recommença ses petites folies solitaires en vivant sa vie de pets-girl célibataire. Pour ses bras, elle ne mit pas les ceintures pour cause de petites douleurs aux coudes mais enfila les moufles en cuir sur ses petites mains. Une heure plus tard, elles étaient retirées, surfer sur Fessestivites avec des moufles, ce n’est pas pratique. Elle commença à faire des scénarios à la façon de Petifou-Selfbondage.
- Comment m’attacher au radiateur en guise de punition avec mon bâillon os.
- Comment fermer la cage pour une nuit- Comment utiliser la sex-machine comme si je n’étais pas volontaire
Dans chacun de ses scénarios écrits sur des fichiers Word, Bianca notait méticuleusement tous les détails. Pour la nuit imposée en cage, pour s’éviter de dormir dans son urine, elle avait même prévu une couche pour personne incontinente alors qu’elle déteste ça. Pour le scénario avec la sex-machine, elle avait décidé qu’elle ne devait pas pouvoir se soustraire avant la fin du temps décidé. Ce fut le scénario le plus compliqué à écrire et lui imposant même de faire des tests de position. Dans un état d’excitation avancé, elle voulut s’interdire de se caresser avant que les nouveaux accessoires ne soient livrés. Cette résolution ressembla à toutes celles prises le premier janvier.... « J’aurai aussi du prendre une ceinture de chasteté » se dit Bianca en se traitant de S......
Par chance, le colis fut livré le samedi matin. Elle put le réceptionner sans aller faire deux heures de queue à la poste. Rien que d’ouvrir le carton la mit dans tous ses états, tout comme la vue de la sex-machine et son phallus soudain très attirant. « J’ai du cicatriser en bas » se dit Bianca avec humour.
Une fois la porte et les volets fermés, elle testa le collier en premier. Il ne la quitta plus jusqu’au lundi. Elle mit en charge les cadenas électroniques puis étudia le fonctionnement du coffre électronique qu’elle testa sur deux minutes. Conformément à ce que qui était indiqué, il était impossible à ouvrir avant la fin du compte à rebours. Pour bien démarrer son week-end de pets, Bianca mit sa combinaison de chienne et sa cagoule préférée. Elle fixa une paire de menottes au radiateur puis les clés dans le coffre électronique. Les clés des menottes étant attachées avec de la ficelle à ses menottes comme le conseille Petifou-Selfbondage, quand le coffre s’ouvrirait elle n’aurait qu’à tirer sur la ficelle pour récupérer les clés. Par peur que le coffre ne fonctionne pas et sécurité, elle attacha le deuxième jeu de clés de menottes à son rouleau de ficelle à rôti qu’elle déposa le plus loin possible.
Tout étant prêt et sécurisé, Bianca s’entrava une heure au radiateur avec les poignets menottés. cette heure lui parut longue, et en même temps, l’excita un peu par le fait de ne pouvoir fuir. Elle décida qu’il faudrait qu’elle s’achète une chaîne pour s’attacher par le cou comme une chienne ou qu’elle essaye de coincer la laisse avec les cadenas électroniques.
Toujours très prudente, Bianca teste ensuite les cadenas électroniques pour voir s’ils s’ouvrent comme prévu. A la suite de quoi, elle se penche sur la sex-machine. Après l’avoir branchée elle joue avec la télécommande et découvre en se pinçant les lèvres de gourmandise, que l’oeuf vibrant et le mini gode sont aussi puissants voir plus que son Magic Wand Massager. Elle en ouvre et ferme ses cuisses d’excitation.
L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence !
Bianca imprime son scénario puis se rend dans sa chambre pour l’installer. Placée au fond de sa cage, la machine ne pourra pas reculer. Pour s’interdire toute fuite en avant, elle a prévu de mettre une ceinture avec un cliquets de corde qui sera fixée au barreau. Avec deux autres cliquets de corde fixés également à sa ceinture, elle s’interdira de fuir sur les côtés.
Pour ses poignets, Bianca a prévu les deux paires de menottes, une de chaque côté de la cage avec les cadenas électroniques. Ainsi, si l’un tombe en panne, l’autre lui libèrera une main menottée ce qui lui permettra alors d’attraper les clés posées devant elle.
L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence ! (Bis)
Pour être encore plus dans l’ambiance de chienne couverte à un mâle assoiffé de sexe, elle se met son bâillon os. Au lieu de mettre sa queue de chienne, Bianca décide de se mettre l’oeuf vivrant de la sex-machine dans les fesses. Elle serre ses cuisses et ses jambes avec des ceinture pour avoir encore plus la sensation d’être prisonnière. Elle n’a pas besoin de lubrifiant quand elle entre à reculons dans la cage, le phallus glisse en elle sans difficulté. Avant de tendre les cliquets de corde, elle fait un petit essai et savoure avec délice les premiers mouvements. « Je vais m’éclater comme une folle » si dit Bianca en tendant un peu trop les 3 cliquets de cordes. Elle ne peut ni bouger sur les côtés ni avancer.
Dans son état d’excitation démesuré, elle règle les cadenas électroniques sur une heure puis, passe la menotte dans l’anneau du cadenas électronique. Elle démarre la sex-machine puis l’oeuf vibrant. Les yeux fermés et en mordant son bâillon, Bianca savoure les vibrations anales et le phallus s’enfonçant en elle à un rythme régulier. « Ça va être l’extase totale » se dit elle en décidant d’accélérer un peu la vitesse du phallus.
Elle décide donc de finir son selfbondage de pets à faire « couvrir » en fermant la deuxième paire de menottes. Elle a donc les bras écarté fixés aux angles de la cage, elle ne peut pas avancer ni même bouger sur les côtés, la ceinture et les cliquets de corde l’en empêchent.
L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence ! (Ter)
Toutes les conditions sont réunies pour qu’elle s’éclate et « se fasse défoncer » longuement en étant entravée. Sentant le plaisir arriver, sans penser à la durée, Bianca pousse la machine à son maximum ainsi que la puissance de l’oeuf dans le creux de ses reins. Et dans ce moment de folie, elle jette aussi loin que possible la télécommande. Grossière erreur ! ! !
Grossière erreur car 225 coups par minute c’est vraiment beaucoup. Si c’est extraordinaire sur une courte durée avant la jouissance, pendant la jouissance c’est ..... trop. Trop bon la première fois, puis, lorsque les jouissances s’enchaînent, c’est trop rapide, trop fort, trop puissant.
L’orgasme est fulgurant, Bianca mord le bâillon os comme une folle pour ne pas hurler. La machine ne ralentissant pas tout comme l’oeuf dans ses fesses, un autre orgasme arrive quasiment de suite. Elle essaye en vain d’attraper la télécommande pour ralentir la machine. Jetée trop loin, il lui est même impossible d’attraper le fil pour la tirer. Elle n’est qu’à une quinzaine de centimètre de ses doigts tendus. Foudroyée par un autre orgasme, elle abandonne cette idée et essaye de se libérer car une heure à ce rythme là, c’est inconcevable.
Ce n’est pas d’empiler les jouissances qui n’est pas concevable, mais les 225 coups « de bite » par minute pendant une heure. 13 500 coups calcule la chef comptable reine des chiffres, cela va me massacrer si cela ne me tue pas se dit Bianca. A bout de souffle avec un énième orgasme, la tête posée sur le sol, elle est à deux doigts de perdre connaissance. Tout son corps tremble, ses mains, ses jambes. Elle ruisselle de transpiration et bave lamentablement.
Pleurer de trop jouir semble fou, et pourtant, c’est ce qui arrive à Bianca épuisée physiquement et nerveusement. Elle en arrive parfois à se cogner la tête par terre. « Oh mon dieu, cela commence à chauffer dans ma chatte » se dit Bianca terrorisée à l’idée d’être brûlée. Soudain sa vessie lâche, le plaisir revient, elle jouit encore et s’écroule à pendre dans sa ceinture avec la tête posée sur le sol. Le carrelage froid finit par la réveiller, quand elle ouvre les yeux, il ne reste plus que deux minutes sur le cadenas électronique bloquant sa main droite, celle qui est si proche de la télécommande. Deux minutes de défonce, de vibration et enfin l’ouverture. Si elle ne peut se libérer de suite, elle peut au moins arrêter la sex-machine et les vibrations.
Son premier réflexe est ensuite d’ouvrir la ceinture et de s’allonger sur le ventre. Geste arrachant le phallus de son chaton enflammé. Il lui faut un moment pour parvenir à reprendre ses esprits. C’est à quatre pattes qu’elle se rend à la douche, se lever serait trop dangereux. L’eau froide heurte sa tête, la tire de son état semi comateux. L’eau se réchauffe progressivement elle reste couchée dessous dans sa douche à l’italienne pendant un petit moment avant de parvenir à couper l’eau.
- J’ai du rattraper un an de jouissances en une heure ! Dit Bianca à haute voix dans sa salle de bain.
Lorsqu’elle porte la main à son sexe, l’irritation est telle qu’elle n’envisage pas de se laver de suite. Une crème réhydratant est obligatoire avant toute chose. Arrivée à la cuisine avec peine, il lui faut manger, n’importe quoi mais manger. Bianca ouvre le réfrigérateur et attrape ce qui peut être consommé comme ça sans préparation. Le camembert innocent est mordu par une chienne affamée. La bouteille de Yop est presque vidée en une seule fois.
Une sonnerie bien connu se fait entendre sur son téléphone, c’est celle de Maitre Carl. Son coeur se serre soudain. Un an sans nouvelle, sans aucune réponse à mes messages, pourquoi lui répondre quand il claque des doigts ? Pense Bianca.
- Qu’il aille au diable !
Bianca se couche, dans son lit cette fois et dort douze heures d’affilées. En remontant sur Fessestivites le lendemain, elle découvre que Maitre Carl lui a adressé un message lui indiquant qu’elle devrait lire l’email qui lui a adressé. Email dont le contenu ne doit être dévoilé à personne.
Mue par la curiosité, Bianca se rend sur sa messagerie personnelle. A la lecture de l’email elle fond en larmes.
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Ma chère Bianca, mon amour,
Ce message ne doit jamais être dévoilé pour éviter un scandale et une guerre diplomatique, je compte sur ta totale discrétion. Supprime-le après lecture.
Après mon départ, je ne suis pas arrivé à l’ambassade. On m’a enlevé à l’aéroport. J’étais en captivité et l’objet de négociations entre le Pakistan et la France. Je ne peux rien te dire de plus, je n’en ai pas le droit.
Je suis enfin de retour, je t’aime et tu me manques cruellement. J’ai eu tout le temps de penser à toi, à nous. Acceptes-tu de m’épouser si je m’engage à devenir sédentaire.
Si tu refuses, je comprendrai que un an sans nouvelle, a de quoi justifier un refus de ta part. je ne t’adresserai plus aucun message si tu ne me réponds pas. Peut-être as-tu refais ta vie, chose logique, un an, c’est long surtout si tu as pensé que je t’ai abandonnée.
« Ouaf »
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Le mot « Ouaf » était un des jeux de communication entre eux, envoyé par texto il signifiait « je t’aime ». Deux « Ouaf » était un code signifiant « je te veux en chienne quand je rentrerai ».
EPILOGUE
Maitre Carl n’est plus jamais parti à l’étranger, hormis en vacances avec sa « chienne », évidement. La sex-machine a été utilisée, mais cette fois, n’a été que jouissive.
Fin
TSM
Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.
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Bonjour
Je suis daddy (DDLG) de base, j'ai eu une expérience virtuelle en PetPlay et cela m'a bien plu.
Je recherche à essayer/réessayer cette expérience, idéalement IRL
Je suis du coin de Metz (57) et une présentation sur mon profil
Bonne journée
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Jeune puppy débutant cherche des maître et maîtresse pour discuter de pet play et peut être ce rencontrée ^-^
Coucou ^-^
Je cherche des gens pour m'aider à découvrir et m'épanouir dans mon rôle de puppyboy ^^
J'ai actuellement du mal à faire des rencontres autour de ça donc je tente ici ^^
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Bonjour ;…. Envie d évoluer dans ce domaine… de progresser… un maître pet de mon secteur… ami
Soyez la première personne à aimer.










































