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EN SOMMEIL Sisyphe_44
Bien con et frotable ?
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09/03/22

métislopesoumise
Bonjour oui moi aussi!
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11/03/22

métislopesoumise
Alberto, précisez car j'ai pas compris votre remarque....pourquoi bien con?
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11/03/22

métislopesoumise
J'adore sandra
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07/04/22

métislopesoumise
tout à fait volubilis
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28/05/22

métislopesoumise
Jusqu'a ce que sont Maitre ou sa Maitresse la sorte charliejoliejolie
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28/05/22

Travnina62
Un délice.
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Hier, 02:59:19
38 personnes aiment ça.
@segnieurmaitre : bonsoir, je suis sa Maîtresse unique. C'est ma chienne et je suis fière d'elle. 🌸🙂😇
Superbe photo !! Le rêve d être à sa place ou à côté ! A t elle finis sa gamelle ??…
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Hier, 02:56:58
C’est vendredi soir, nous avons réservé un manoir pour le week-end. Mon Maître ouvre la portière arrière de la berline où je suis attachée et encagée. Il me tend la main. Je pose un escarpin sur le sol caillouteux et sors de la voiture. Maître Elias tient ma laisse, et je marche à quatre pattes jusqu’à la porte, au risque de déchirer ma robe scintillante bleu nuit. Je lâche le gros trousseau de clés que je portais en bouche dans la main délicate de mon Maître. Nous découvrons un endroit sombre et spacieux. Les rideaux rouges créent une ambiance tamisée que nous édulcorons de quelques chandelles. Nous savons bien sûr à quoi elles serviront, mais nous ne savons pas encore où.
Je suis excitée. Je sens le bas de mon ventre se tordre de stress et d’impatience.
Elias s’assoit sur le canapé et je me place à ses pieds. Je m’incline pour lécher ses chaussures, ses semelles. Il en profite pour écraser mon visage de femelle. Je me mets à genoux et défais ses lacets. Je retire ses chaussures et les lèche une nouvelle fois. Je frotte mon visage contre ses pieds et attends mon tour. Il le sait, il attend et profite de ma dévotion. Au bout d’un moment, il me fait signe de me lever et de m’allonger sur ses genoux. Un de mes jeux préférés. Je sais que je vais subir. Il saisit mon bras droit pour le tenir fermement dans mon dos, puis commence à me fesser. Très vite, très fort, et me fait compter. Je commence à hurler. Je sais que nous sommes seuls, je peux tout sortir. J’ai mal, et j’aime ça.
À la fin du châtiment, il me permet de boire dans la gamelle qu’il me sert.
— Tu n’as pas oublié les croquettes, j’espère ? dit-il d’un air malicieux.
— Non, Maître... dis-je timidement. En effet, j’ai perdu un pari. Je savais que ce jour arriverait, d’une manière ou d’une autre.
— Mais d’abord, c’est l’heure de la douche.
Mon Maître m’emmène dans le jardin, face à un trépied où est accrochée une caméra. Il m’attache les bras en l’air à un arbre, et devant le regard des internautes, me gifle, me fouette avec sa ceinture, et me fesse. Il s’absente dans la cabane du jardin et revient avec des cisailles. Il les rapproche de mon visage, puis de mes seins, et coupe deux ronds au niveau de mes tétons. Il les tire, les mord, et y accroche deux petits poids à clochettes. Il met sur ma tête des oreilles de vache et fourre dans mon cul un plug avec une queue de chienne. Il découpe ma robe au niveau du ventre, laissant apparaître ma chatte trempée. Il me maquille un peu, me dessine des moustaches, écrit « SALOPE » sur mon front et « grosse vache » sur mes mamelles. Je suis sa grosse vache maintenant.
— Vas-y, je sais que t’en meurs d’envie...
— ...
— Allez, fais pas ta prude, c’est un ordre.
— Meeeeuh.
— Plus fort !
— MMMEEEEEEUUUUUH !
Mmmh, me voilà transformée. Il rapproche la caméra pour montrer mes seins au grand public, se délectant des commentaires. Certains lui donnent des idées. Voilà qu’il me coupe les cheveux. Il coupe une énorme mèche sur le côté droit et me fait une coupe au carré — mes cheveux arrivaient jusque sous mes épaules. Je commence à avoir peur de leurs idées et de l’enthousiasme couplé de mon Maître bien-aimé. Je crie « ROUGE », notre safe-word, et il pose les ciseaux. Nous nous sommes arrêtés à temps. J’ai aimé qu’il me fasse la tête au carré.
Enfin, il ouvre l’arrivée d’eau et remplit un petit seau d’eau froide qu’il déverse au-dessus de mon visage. Je me dandine en escarpin, les poignets liés à l’arbre du jardin qui s’assombrit. Il met le flash de son téléphone, qui m’éblouit, pour continuer à nous éclairer. Le calvaire continue, je frissonne, je compte encore, il s’arrête au quinzième seau.
— Mais pour celui-ci, tu pencheras la tête vers le haut et garderas les yeux ouverts.
— Oui Maître, Meeeeuh, Maître.
— Bonne grosse vache, ça.
Nous rentrons. J’ose croire avoir le droit de me réchauffer, mais Elias me réserve une autre peine. Il commence à pleuvoir, et il y a une cage qui orne le manoir, donnant sur la vallée, dehors. Il m’y enfourne. Mes jambes dépassent un peu des trous des barreaux. C’est terrifiant. Il vient me narguer en bas, me filme encore. Et j’aime ça. Il s’en va, me laissant une demi-heure, tandis qu’il se réchauffe dans un bain.
Il vient me chercher et me permet d’en prendre un aussi. Il me lave, me caresse, glisse ses doigts dans ma chatte mouillée. Il va au plus profond, de tous ses doigts. En sortant, il me vêt d’un peignoir soyeux et applique de l’huile sur mon corps, sans omettre aucun endroit.
Je ne porte plus rien à part mes escarpins, mes oreilles, et ma queue. Je me déplace à quatre pattes tout le temps maintenant. C’est douloureux, mais à portée de queue. Pratique. Je suce mon Maître pendant des heures tandis qu’il partage des vidéos de nos performances.
Il m’emmène dans la cave, où il m’attache et continue de me fouetter. Il accroche des poids plus gros à mes mamelles et décide d’accepter chaque proposition des spectateurs. Je finis rapidement godée par tous les trous. À l’unanimité, nous retournons dans le jardin. Je subis de nouveau la torture de l’eau fraîche sur mon corps maltraité. Ils recouvrent mon corps d’écritures, d’insultes : « déchetterie » sur le bras, « baleine » sur le ventre, « bonne à prendre » dans le bas du dos, « trou à bite » autour de la bouche.
— Tu es ridicule, ma salope.
— MMEEEEEUHHHHH...
Tant que le ridicule ne tue pas, je suis prête à tout. J’aime être humiliée.
Soudain, nous entendons une voiture se garer de l’autre côté du manoir. Mon Maître y va, et revient au bout de quelques minutes avec un vieil agriculteur. Ils éclatent de rire en me voyant, en plein désarroi et gênée, puis finalement épuisée. L’homme s’approche, retire les énormes pinces brutalement de mon sein et tête immédiatement mes mamelles. Il fourre un doigt dans ma chatte, puis le lèche et m’embrasse pendant de longues minutes ainsi.
Après une courte pipe, on me bâillonne, on me bande les yeux, et on m’emmène dans la voiture. Elle roule sans qu’on m’informe de sa destination. Cela dure une demi-heure. Le bâillon étire ma mâchoire, ça devient douloureux. Je bave terriblement au-dessus d’un seau qu’ils ont placé sous ma bouche.
Nous arrivons. J’entends des bruits d’animaux. Au sol, je ressens du foin.
On m’attache le cou et la taille, puis on me retire mon bandeau. Je suis dans l’étable, entourée de vaches. Je sens une aspiration sur mes tétons et pousse un cri.
L’agriculteur, surpris par mes cris et les coups de ceinture, est venu jeter un œil. Mon Maître lui a expliqué ce que nous faisions réellement, s’excusant par politesse, tandis que le vieux rétorquait, avouant que c’était son plus gros fantasme. Si, par hasard, le Maître était d’accord, Monsieur pouvait prêter ses lieux à des fins sexuelles. Ainsi, me voilà traitée et prise par le cul par l’agriculteur, sous la caméra de mon Maître qui commence enfin à se branler. Les spectateurs sont ravis.
Maître Elias part chercher des orties dans le jardin et caresse mon visage et mon clitoris avec les feuilles. Il finit par enfourner une main pleine dans ma chatte et y relâche les plantes. Je commence enfin à pleurer.
En prime, on me jette un nouveau seau d’eau sur le corps. Mon Maître sort les pinces électriques, et je sais que la soirée ne fait que commencer. Pendant plusieurs minutes, mon Maître électrocute mon clitoris et mes tétons, sur lesquels pendent toujours des pinces avec des poids. Je tremble de tout mon corps tandis que le vieux continue de prendre mon cul.
Une fois que le vieux a joui, nous rentrons chez lui. Je serre une bière à chacun d’eux, me fais un thé que je bois au sol, et m’allonge près du feu tandis qu’ils discutent. Je m’endors. Erreur. Je suis réveillée par une énorme baffe de la part de l’agriculteur et un coup de pied dans le ventre de la part de mon Maître.
— Tu me fais honte, est-ce des manières ?!
Pour me faire pardonner, je rampe aux pieds de mon Maître et lèche ses chaussures. Il me donne un coup de pied au visage :
— Excuse-toi auprès de Maître Georges. Pour te faire pardonner, je te confie à lui. Je reviens demain.
Sur ces paroles, il claque la porte, démarre la voiture, et me laisse telle une proie entre les griffes d’un inconnu. Je ne le sais pas, mais pendant que je dormais, mon Maître a installé des caméras, et regardera tout depuis la voiture, pas très loin.
Je gis encore au sol, et mon nouveau Maître s’allonge sur moi de tout son poids, m’asphyxie doucement. Je suffoque.
— Tu vas faire quoi hein, petite soumise ? me lance-t-il, le regard envoûté.
Il met son énorme main dans ma chatte et commence à me fister, avant de caresser mon anus de son autre main aussi gigantesque. Je jouis de bonheur. Il m’emmène dehors, de retour à l’étable. Il me fait faire le tour du propriétaire, à quatre pattes, me présente à ses animaux. Il choisit la cage des cochons et m’y place. Il en sort, me prend en photo, puis l’envoie à un de ses amis. Il se branle en me regardant plantée là. Au bout d’un quart d’heure, quelqu’un arrive. C’est son ami. Tous deux se branlent en me mattant.
Lorsqu’ils me sortent, j’en suce un tandis que l’autre me prend, et nous échangeons. Tantôt dans ma bouche, tantôt dans ma chatte et dans mon cul. L’un d’eux a essayé de rentrer dans mon nez, il a tiré sur mes narines pour les élargir et a joui dedans. Son sperme a coulé dans ma gorge. L’autre a joui dans mon cul. Il m’a fait m’accroupir au-dessus du seau qui servait auparavant dans la voiture à recueillir ma bave lorsque j’étais bâillonnée, et m’a forcée à pousser. Son sperme a jailli de mon cul, et j’ai bu tout le contenant sous les yeux ébahis de mes Maîtres.
La grosse vache est dans la place.
Je me fais de nouveau traire, l’agriculteur étant fier de montrer le spectacle à son ami.
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bonjour, bonsoir, je suis novice et je cherche une maitresse pour me soumettre d'abord virtuellement puis en réel.
messieurs pas la peine merci .:.
La domination Pet Play, c’est quoi ?
Avant de vous raconter mon histoire, je vais vous parler brièvement de la domination Pet Play pour ceux qui ne connaissent pas vraiment. C’est tout simplement un jeu de rôle animal sous forme de jeu érotique. Le comportement et les agissements de l’animal (nous parlons du soumis bien évidemment) peuvent déjà être inculqués ou vous pouvez prendre le rôle d’un dresseur.
Une première séance de Pet Play BDSM
C’était la première séance Pet Play que je réalisais avec ce soumis. J’ai donc décidé de prendre le rôle du dresseur. Pour le choix de l’animal, nous nous sommes mis d’accord assez rapidement : le chien. Un peu cliché, mais j’adore les chiens ! Nous avons également choisi le costume et les accessoires ensemble. C’était une première pour lui, j’ai donc souhaité le faire participer afin qu’il se sente à l’aise.
Une histoire de domination Pet Play
La domination Pet Play est un jeu de rôle comme les autres. Dans ce cas précis, je m’occupais de dresser mon chien. Nous avons réalisé une séance plutôt soft afin de voir comment mon toutou se comportait. Mais également pour que mon soumis puisse se rendre compte si c’est quelque chose qu’il aime vraiment.
Dressage et éducation BDSM
J’ai commencé mon dressage par la propreté. J’adore les chiens, mais je ne souhaite pas que ce dernier fasse ses besoins n’importe où dans la maison. Je lui ai donc mis à sa disposition quelques feuilles de journaux dans le coin de la pièce. Tenu en laisse, mon chien soumis a donc appris à faire ses besoins dans un endroit précis, sans lever la patte quand il s’agissait d’uriner.
La punition de mon Pet Play BDSM
Si mon Pet Play BDSM s’amusait à faire des bêtises, ou s’il ne réussissait pas à faire uniquement sur le papier journal, il avait une punition pour comprendre sa faute. Il était donc enfermé pendant un certain temps dans sa cage. Cette dernière est assez grande pour que mon soumis puisse rentrer à l’intérieur. Mais assez petite pour qu’il ne puisse pas se sentir trop à l’aise non plus.
La récompense de mon animal érotique
Pour les bêtises, il mérite une punition. Mais quand il réussissait l’exercice, mon petit animal érotique avait le droit à une récompense. Pour la recevoir, il devait s’installer en face de moi, assis (comme un chien) et me donner la patte. À ce moment, je lui donnais une petite friandise.Bien entendu, on ne peut pas forcément faire pipi et caca sur commande. J’avais donc demandé à mon soumis de ne pas aller aux toilettes de la journée. Lorsqu’il urinait, il faisait en sorte de ne pas se vider entièrement afin que le dressage dure le plus longtemps possible.
Rencontrer une domina pour du PetPlay
Il ne vous reste plus qu’à trouver une maîtresse pour vos séances de PetPlay. Pour cela, je vous conseille de vous tourner vers les sites de rencontre, notamment si vous n’habitez pas dans une grande ville. Pour vous aider à trouver la dominatrice de vos rêves
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Ptite Plume Doie
Jeune femme de 23 ans
150 lbs/ 5pieds 4 (curvy girl)
style vanille (douce)
aime tout ce qui est kinky (déguisement,
cravache, bondage, etc),
ouverte d'esprit (switch: peut dominer un
homme au lit)
Cherche un homme pour m'aider à être
rassasié sexuellement .:.
Depuis le début de ma soumission, je me considère comme une chienne, tant dans le sens lubrique, que le côté dressage et obéissance qui m’excite au plus haut point, c’est d’ailleurs ce type de vidéo que je regardais étant plus jeune et sur lesquelles je me donnais du plaisir.
Bref, j’ai ce fantasme de l’animalisation, sans non plus rentrer dans le masque, mais j’aime la queue, les oreilles et les ordres qui peuvent en résulter, qui m’excitent par l’humiliation et la domination psychologique.
L’idée d’avoir mes gamelles, de devoir parfois manger et boire dedans, avoir mon panier dans lequel Mon Maître m’ordonnerait d’aller me coucher, sont réellement un moteur d’excitation inépuisable ! Aboyer me demande énormément d’effort psychologiquement, c’est extrêmement dur mais ça vaut le coup par rapport à l’excitation et au plaisir que ça me procure !
Entre midi et deux, Mon Maître m’annonce que ce soir, je devrais l’attendre en position avec ma queue et remuer comme une chienne, pour lui montrer que je suis contente qu’il rentre. L’idée me trotte toute l’après-midi dans la tête, n’est-il pas tant de prendre des initiatives ? Juste la queue, c’est bien, mais si j’en fais un peu plus ? Est ce qu’il apprécierait ? Sachant que j’ai conscience que ce n’est pas un grand fan de pet play.
Je décide de tenter et de voir sa réaction, je m’apprête en me faisant deux couettes comme pour substituer à des oreilles, je fixe ma laisse sur mon collier, récupère mon jouet et l’attend en position, la laisse dans ma bouche comme une chienne qui attend Son Maître pour la promenade, les minutes s’écoulent, je rentre dans ma bulle, je me prépare mentalement à ce qui pourra se passer, l’humiliation que je vais ressentir entre autres… je suis déjà trempée.
La porte s’ouvre, il me découvre ainsi, il me dit qu’il ne s’attendait pas à tant, il est fier de moi, je remue de la queue, comme il me l’avait demandé sous ses caresses, il attrape mon jouet, me retire ma laisse car il ne trouve pas que ce soit très pratique dans notre appartement et Mon Maître me dit qu’il va jouer avec sa chienne, qu’il va me lancer pouicpouic et que je devrais le récupérer avant notre chat. Je m’exécute plusieurs fois, j’adore jouer avec Mon Maître, mon excitation est à son comble, je remue de la queue dès qu’il me caresse.
Mon Maître tient mon jouet en hauteur et me demande de faire la belle, c’est dur mais je le fais, c’est le jeu, une partie de mon esprit ce débat, l’autre s’en délecte, je dois attraper le jouet dans ma bouche, il essaie à plusieurs reprises mais malheureusement, je n’y arrive pas… il me demande de nouveau de faire la belle et me pose mon jouet sur le nez, je dois rester ainsi et ne pas le faire tomber, puis le rattraper dans ma bouche. Dans ces instants, plus rien ne compte, je me sens moi, je me sens à ma place, je ne pense plus et j’adore cette sensation. Mon Maître me demande de lui donner la patte, puis l’autre, puis les deux, je trouve ça très amusant. Puis je ne dois pas bouger et rester sur mon coussin, il va se chercher une bière et s’assoit dans le fauteuil, Mon Maître m’autorise de me mettre à ses pieds, il me dit de prendre également mon coussin, j’apporte d’abord mon jouet, puis retourne chercher mon coussin dans ma bouche, comme une bonne chienne.
Je profite des caresses de Mon Maître, il veut que nous jouions à un autre jeu, il me donne une addition et moi je dois donner le résultat en aboyant, pour moi aboyer reste l’une des choses les plus dure à faire….Mais je m’exécute, mon sexe est trempé, je suis en joie et au bord de l’implosion, je mets ma tête sur ses jambes, essaie d’avoir des câlins par tous les moyens possibles, comme une chienne le ferait quand Son Maître est absent toute la journée. Mon téléphone vibre, c’est ma mère….
Mon Maître m’ordonne de décrocher et je dois aboyer une fois pendant la conversation, c’est dur mais je le fais pour le rendre fier…. Il continu ensuite à me câliner et ses mains arrivent enfin sur ma chatte, je me frotte, il se moque à moitié, j’ai honte, mais j’aime me donner du plaisir ainsi, j’aboie dès que je jouis, il est fier, je le sens. Mon Maître me dit que comme une bonne chienne, je dois ramener ses chaussures, qu’il vient d’enlever, à leur place. Ma dualité reprend le dessus, l’envie de lui plaire et de le faire, mon dégoût pour les pieds me hurle de ne surtout pas faire ça. Je le supplie du regard, il est là, infaillible, il ne cédera pas.
Je décide de les prendre dans ma bouche, l’odeur me monte au nez, un mélange de dégoût et d’excitation, je me répugne moi-même et pourtant à ce moment je sens mon esprit léger comme si j’étais en train de faire exactement ce qu’il fallait, comme si quelque chose me murmurait qu’être une chienne et obéir à son Maître est exactement ma place. Il me rappelle, je reviens à ses pieds et j’ai le droit à des félicitations et des caresses, j’ai également le droit de le sucer et je me précipite sur lui, il me prend, me collant la tête sur le miroir, c’est brutal, comme j’adore !
Mon Maître me sert ensuite à boire dans une coupelle que je dois laper, il m’autorisera plus tard à la prendre à la main. Nous discutons de cette séance, je lui explique à quel point j’ai pu prendre beaucoup de plaisir, je demande à Mon Maître l’autorisation de retirer ma queue, peu après il est l’heure d’aller à la douche.
Mon Maître me dit que je dois m’assoir dans la douche jambes écartées et qu’il va me pisser dessus, moi qui pensais que le jeu était fini ! j’essaie de protester, même si au fond j’adore ça… je m’assois, les gouttes commencent à atteindre mon sexe, je suis à la fois honteuse et excitée, je me sens sale, mais je crois que j’aime ça…. Il me demande si je veux qu’il me rince, je lui dis que bien sûr, oui, et n’hésite pas à me surprendre avec de l’eau glacé qui m’arrache un cri,
il me rejoint dans la douche et dit qu’il va me laver, me répète à quel point je peux être sale, je suis de nouveau très excitée, l’humiliation fait son effet… Je déteste quand il me lave, j’ai l’impression d’être une enfant et pour autant, je sais aussi que ça m’excite… il balade ses mains sur moi, me touche le sexe et le cul, et décide de me plaquer contre la paroi pour me prendre, c’est bon, je jouis encore, il décide de jouer avec mon cul, m’insère des doigts, me montre à quel point je suis lubrique en jouissant par cet endroit.
Il m’épuise, me touche également la chatte, me lèche, me sodomise, me rappelle que je suis sa chose, son jouet, je hurle de plaisir, l’appelle « Mon Dieu », j’ai envie de le supplier d’arrêter, car je ne tiens quasiment plus sur mes jambes mais en même temps, j’ai envie de continuer…. Nous sortons de la douche, je me sèche en position de soumission à ses pieds tellement j’ai du mal à tenir debout mais ce n’est pas fini, il me reprend sur le lit. Je fini épuisée et heureuse, je mettrais un temps phénoménal à redescendre et très peu de temps à m’endormir, j’ai adoré cette séance tout était parfait !
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Salut cherche homme cavalier
Je veux me mettre à quatre pattes, et que tu viennes t'asseoir sur moi, comme si j'étais ton cheval.
J'aime me sentir soumis entre les jambes d'un cavalier et que tu me chevauches vraiment comme si j'étais un cheval, bien entendu dans le respect.
Je peux te porter sur mon dos et te laisser me guider .
Je suis serieux, et je respecte les limites.
Si tu es curieux et que l'idée t'amuse de me monter sur le dos, comme si j'étais un cheval, écris-moi . Je suis un mec soumis. Je tiens à préciser que je suis de marseille et si quelqu'un interessé par mon annonce , contacter moi ! Merci
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Chic et raffinée, j'épanouis ma grâce et mon pouvoir avec un esclave à ma mesure .:.
Je cherche une chienne de chenil , capable de venir dans les Landes pour être dressée et servir son Maître
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Très belle cage de chenil !… bravo pour l’aménagement … bises amicale sur vos pieds
Bianca était heureuse en femme soumise et surtout en pets. Quand son maître, un ambassadeur très doué avait été muté dans un pays du moyen orient, son coeur s’était déchiré. Bon prince, Maitre Carl rencontré sur XXX lui avait dit avec des larmes dans les yeux, qu’elle pouvait vivre sa vie. En guise de réponse, elle répondit simplement que les autres hommes ne l’intéressaient pas. Ce fut un grand moment de déchirement, quand la porte s’était refermée. L’un et l’autre n’arrivaient pas à rompre les dernières minutes, d’une relation idyllique.
Bianca sombra dans la déprime pendant quelques mois avant d’être rattrapée par la vie, avec sa mère sombrant dans la vie d’Alzheimer. Ce nouveau « loisir » si difficile à vivre poussa un peu la déchirure précédente. Après l’avoir placée en maison de retraite spécialisée, elle s’était retrouvée. Retrouvée seule sans obligation autre que son travail, seule sans envie particulière. Pendant le premier confinement, la solitude devint pesante, elle ne pouvait même plus aller boire un verre avec ses copines du travail.
« Dans nos appartements, nous sommes comme enfermés dans des cages » lui avait dit une copine au travail. Pour Bianca ce fut comme un déclic. Elle avait toujours sa cage, une vraie cage à chien que Maitre Carl lui avait laissée, avec toutes leurs petites affaires de pets-play et d’autres accessoires BDSM. Pendant tout le trajet en transport en commun, elle ne pensa qu’à ça. Malgré les masques, les voyageurs pouvaient apercevoir la détresse de cette femme perdue dans ses pensées.
Arrivée chez elle, mue par une impérieuse envie de revivre, Bianca se rendit au garage pour ouvrir la malle poussiéreuse, contenant leurs petits secrets achetés sur un sexshop en ligne Tout était là, soigneusement emballé dans des poches plastiques. Contre le mur, la cage démontée semblait lui faire de l’oeil. Elle eut comme une décharge électrique quand elle l’attrapa pour la rentrer dans la maison. En se traitant de folle, Bianca l’installa dans la chambre puis remonta tous les éléments de son futur lit. Sans même prendre sa douche, après s’être mise nue, elle rapporta la fameuse malle devenant magique. Après avoir posé son collier qu’elle serra plus que d’habitude, Bianca suça le rosebud du plug queue de chienne pour le lubrifier et se le mit dans les fesses.
Dans la folie de cette envie de revivre sa vie de pets, elle réinstalla les gamelles sur le sol dans la cuisine, l’une avec de l’eau, l’autre avec une boite de Corn flakes avec du lait. Comme si elle était pressée, Bianca fonça dans sa chambre pour attraper ses genouillères, les ceintures, sa cagoule de chienne. Assise sur le lit, elle mit les genouillères puis plia les jambes pour les bloquer avec les petites ceintures. Après avoir mis sa cagoule, pour lier ses bras pliés l’un sur l’autre avec les ceintures, elle galéra un peu en maugréant.
Ce n’est qu’à ce moment là qu’elle se vit dans le miroir de sa penderie. « Ça y est, tu es enfin revenue » se dit-elle à voix basse avant de se gronder, une chienne ne parle pas, descends du lit, tu n’as pas le droit d’y monter sans permission.
« Quelle conne, je n’ai pas éteint la lumière » pensa Bianca après être descendu du lit avec prudence. Elle s’avança à quatre pattes en appui sur ses genoux et ses coudes pour aller faire la belle contre le mur afin d’appuyer sur l’interrupteur avec son nez. Dans la pénombre de la chambre, elle distinguait encore sa cage, son refuge. Elle s’y précipita alors qu’en d’autres temps, elle râlait un peu quand Maitre Carl ne la voulait pas dans son lit. Roulé en chien de fusil, elle attendit tristement le sommeil. Il tarda à venir, elle avait perdu l’habitude de sa cage, chacun de ses mouvements lui rappelant sa condition de chienne, une chienne abandonnée, livrée à elle même, même pas conduite à la SPA.
Au milieu de la nuit, rattrapée par une envie pressante, elle quitta la cage quasiment à l’aveugle pour aller toujours à quatre pattes se soulager dans la douche. Si Maitre Carl avait appris qu’elle avait quitté sa cage sans permission, il l’aurait grondée. Sur le chemin du retour, tenaillée par une petite faim, elle se rendit à la cuisine en se disant qu’il faudrait qu’elle trouve un moyen de s’imposer de rester dans la cage. Avant il arrivait que son Maître la verrouille pour l’obliger à attendre. Elle devait trouver le moyen de revivre son passée de pets comblée. Le nez dans la gamelle, elle grignota un peu de Corn flakes puis but un peu d’eau en lapant avant de retourner se coucher.
Il était là, il la tenait par la laisse et la prenait en position Doggystyle. Elle s’entendit couiner, ce qui la réveilla. Triste retour à la réalité que de passer du rêve à la réalité. « J’ai la chatte qui me démange » pensa vulgairement Bianca. Cela faisait un an qu’il était parti, un an de deuil, un an sans le moindre orgasme, sans le moindre plaisir solitaire. S’être remise à jouer seule, lui ouvrit les yeux, elle avait le droit de vivre sa vie de femme. Cette dernière pensée déclencha chez Bianca, le besoin de rêver et de fantasmer à nouveau.
Vivre sa sexualité avec un autre homme n’était pas concevable. Elle décida de chercher de quoi s’amuser seule, se faire plaisir en version BDSM. C’est sur ses pensées aussi coquines que motivées, qu’elle quitta sa cage et se libéra. A la suite de quoi, elle prit sa douche et un café devant son ordinateur. Après avoir réactivé son compte sur le nouveau Fessestivites, elle se lança sur les forums qui sont surveillés et où l’on trouve de bonnes idées, de bons renseignements. C’est là qu’elle tomba sur la rubrique selfbondage. Bianca avait déjà parcourus quelques scénarios de selfbondage, avec comme idée de trouver des trucs pour s’offrir entravée à son Maître, comme cadeau d’anniversaire.
Dans sa tête, les idées s’entrechoquaient, un an de sagesse et privation libéré en une nuit, cela fait faire quelques folies. Elle commença par suivre le lien indiquant comment trouver des cadenas électroniques. Cela lui permettrait de fermer sa cage sur une durée et surtout, de s’interdire d’en sortir. Et là, elle découvrir que sur ***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***, il y a aussi des scénarios de selfbondage qui sont proposés avec certains produits.
Prise dans sa folie des achats, elle téléphona au bureau pour dire qu’elle était souffrante et que, par précaution avec ce covid, elle ne viendrait pas travailler.
- Cliquets de corde pour bondage et selfbondage x 2- Collier BDSM métalliques avec cadenas x 1- Un coffre électronique de BDSM ABDL ou chasteté- 2 sangles 2 mètres pour vos bondage et selfbondage x 2- Menottes poignets en métal x 2- Cadenas électronique bondage et selfbondage x 2
Elle en était là quand elle consulta son panier sur ABCplaisir, quand elle tomba sur le Lot sex-machine complet 225 coups par minute. Ce fut sa dernière folie dans ses achats compulsifs ! ! !
Après avoir fait « fondre » sa carte bleue, Bianca revint sur Fessestivites. Elle dévora tous les scénarios de selfbondage qu’elle découvrir dans les articles. Son but était simple : se former, apprendre, trouver des trucs et des astuces ! Nue sous son peignoir de bain, elle constata que ses tétons pointaient. « tiens, ils se remettent à vivre eux aussi » se dit Bianca. Naturellement attirés par son entrejambe, ses doigts trouvèrent les lieux très humides. Presque honteusement, c’est en regardant les vidéos de selfbondage qu’elle décida de se caresser. Le plaisir fut au rendez-vous « des anciens de la vie », les retrouvailles des doigts solitaires avec son intimité furent généreux et même épuisants.
- J’ai fait des folies sur ABCplaisir ! Se dit soudain à haute voix Bianca une fois rassasiée.
Pour mettre un terme à ses moment d’égarement, elle s’habilla pour aller travailler avec plus de deux heures de retard. Elle allait soudain mieux....
......................
Le soir même, Bianca recommença ses petites folies solitaires en vivant sa vie de pets-girl célibataire. Pour ses bras, elle ne mit pas les ceintures pour cause de petites douleurs aux coudes mais enfila les moufles en cuir sur ses petites mains. Une heure plus tard, elles étaient retirées, surfer sur Fessestivites avec des moufles, ce n’est pas pratique. Elle commença à faire des scénarios à la façon de Petifou-Selfbondage.
- Comment m’attacher au radiateur en guise de punition avec mon bâillon os.
- Comment fermer la cage pour une nuit- Comment utiliser la sex-machine comme si je n’étais pas volontaire
Dans chacun de ses scénarios écrits sur des fichiers Word, Bianca notait méticuleusement tous les détails. Pour la nuit imposée en cage, pour s’éviter de dormir dans son urine, elle avait même prévu une couche pour personne incontinente alors qu’elle déteste ça. Pour le scénario avec la sex-machine, elle avait décidé qu’elle ne devait pas pouvoir se soustraire avant la fin du temps décidé. Ce fut le scénario le plus compliqué à écrire et lui imposant même de faire des tests de position. Dans un état d’excitation avancé, elle voulut s’interdire de se caresser avant que les nouveaux accessoires ne soient livrés. Cette résolution ressembla à toutes celles prises le premier janvier.... « J’aurai aussi du prendre une ceinture de chasteté » se dit Bianca en se traitant de S......
Par chance, le colis fut livré le samedi matin. Elle put le réceptionner sans aller faire deux heures de queue à la poste. Rien que d’ouvrir le carton la mit dans tous ses états, tout comme la vue de la sex-machine et son phallus soudain très attirant. « J’ai du cicatriser en bas » se dit Bianca avec humour.
Une fois la porte et les volets fermés, elle testa le collier en premier. Il ne la quitta plus jusqu’au lundi. Elle mit en charge les cadenas électroniques puis étudia le fonctionnement du coffre électronique qu’elle testa sur deux minutes. Conformément à ce que qui était indiqué, il était impossible à ouvrir avant la fin du compte à rebours. Pour bien démarrer son week-end de pets, Bianca mit sa combinaison de chienne et sa cagoule préférée. Elle fixa une paire de menottes au radiateur puis les clés dans le coffre électronique. Les clés des menottes étant attachées avec de la ficelle à ses menottes comme le conseille Petifou-Selfbondage, quand le coffre s’ouvrirait elle n’aurait qu’à tirer sur la ficelle pour récupérer les clés. Par peur que le coffre ne fonctionne pas et sécurité, elle attacha le deuxième jeu de clés de menottes à son rouleau de ficelle à rôti qu’elle déposa le plus loin possible.
Tout étant prêt et sécurisé, Bianca s’entrava une heure au radiateur avec les poignets menottés. cette heure lui parut longue, et en même temps, l’excita un peu par le fait de ne pouvoir fuir. Elle décida qu’il faudrait qu’elle s’achète une chaîne pour s’attacher par le cou comme une chienne ou qu’elle essaye de coincer la laisse avec les cadenas électroniques.
Toujours très prudente, Bianca teste ensuite les cadenas électroniques pour voir s’ils s’ouvrent comme prévu. A la suite de quoi, elle se penche sur la sex-machine. Après l’avoir branchée elle joue avec la télécommande et découvre en se pinçant les lèvres de gourmandise, que l’oeuf vibrant et le mini gode sont aussi puissants voir plus que son Magic Wand Massager. Elle en ouvre et ferme ses cuisses d’excitation.
L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence !
Bianca imprime son scénario puis se rend dans sa chambre pour l’installer. Placée au fond de sa cage, la machine ne pourra pas reculer. Pour s’interdire toute fuite en avant, elle a prévu de mettre une ceinture avec un cliquets de corde qui sera fixée au barreau. Avec deux autres cliquets de corde fixés également à sa ceinture, elle s’interdira de fuir sur les côtés.
Pour ses poignets, Bianca a prévu les deux paires de menottes, une de chaque côté de la cage avec les cadenas électroniques. Ainsi, si l’un tombe en panne, l’autre lui libèrera une main menottée ce qui lui permettra alors d’attraper les clés posées devant elle.
L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence ! (Bis)
Pour être encore plus dans l’ambiance de chienne couverte à un mâle assoiffé de sexe, elle se met son bâillon os. Au lieu de mettre sa queue de chienne, Bianca décide de se mettre l’oeuf vivrant de la sex-machine dans les fesses. Elle serre ses cuisses et ses jambes avec des ceinture pour avoir encore plus la sensation d’être prisonnière. Elle n’a pas besoin de lubrifiant quand elle entre à reculons dans la cage, le phallus glisse en elle sans difficulté. Avant de tendre les cliquets de corde, elle fait un petit essai et savoure avec délice les premiers mouvements. « Je vais m’éclater comme une folle » si dit Bianca en tendant un peu trop les 3 cliquets de cordes. Elle ne peut ni bouger sur les côtés ni avancer.
Dans son état d’excitation démesuré, elle règle les cadenas électroniques sur une heure puis, passe la menotte dans l’anneau du cadenas électronique. Elle démarre la sex-machine puis l’oeuf vibrant. Les yeux fermés et en mordant son bâillon, Bianca savoure les vibrations anales et le phallus s’enfonçant en elle à un rythme régulier. « Ça va être l’extase totale » se dit elle en décidant d’accélérer un peu la vitesse du phallus.
Elle décide donc de finir son selfbondage de pets à faire « couvrir » en fermant la deuxième paire de menottes. Elle a donc les bras écarté fixés aux angles de la cage, elle ne peut pas avancer ni même bouger sur les côtés, la ceinture et les cliquets de corde l’en empêchent.
L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence ! (Ter)
Toutes les conditions sont réunies pour qu’elle s’éclate et « se fasse défoncer » longuement en étant entravée. Sentant le plaisir arriver, sans penser à la durée, Bianca pousse la machine à son maximum ainsi que la puissance de l’oeuf dans le creux de ses reins. Et dans ce moment de folie, elle jette aussi loin que possible la télécommande. Grossière erreur ! ! !
Grossière erreur car 225 coups par minute c’est vraiment beaucoup. Si c’est extraordinaire sur une courte durée avant la jouissance, pendant la jouissance c’est ..... trop. Trop bon la première fois, puis, lorsque les jouissances s’enchaînent, c’est trop rapide, trop fort, trop puissant.
L’orgasme est fulgurant, Bianca mord le bâillon os comme une folle pour ne pas hurler. La machine ne ralentissant pas tout comme l’oeuf dans ses fesses, un autre orgasme arrive quasiment de suite. Elle essaye en vain d’attraper la télécommande pour ralentir la machine. Jetée trop loin, il lui est même impossible d’attraper le fil pour la tirer. Elle n’est qu’à une quinzaine de centimètre de ses doigts tendus. Foudroyée par un autre orgasme, elle abandonne cette idée et essaye de se libérer car une heure à ce rythme là, c’est inconcevable.
Ce n’est pas d’empiler les jouissances qui n’est pas concevable, mais les 225 coups « de bite » par minute pendant une heure. 13 500 coups calcule la chef comptable reine des chiffres, cela va me massacrer si cela ne me tue pas se dit Bianca. A bout de souffle avec un énième orgasme, la tête posée sur le sol, elle est à deux doigts de perdre connaissance. Tout son corps tremble, ses mains, ses jambes. Elle ruisselle de transpiration et bave lamentablement.
Pleurer de trop jouir semble fou, et pourtant, c’est ce qui arrive à Bianca épuisée physiquement et nerveusement. Elle en arrive parfois à se cogner la tête par terre. « Oh mon dieu, cela commence à chauffer dans ma chatte » se dit Bianca terrorisée à l’idée d’être brûlée. Soudain sa vessie lâche, le plaisir revient, elle jouit encore et s’écroule à pendre dans sa ceinture avec la tête posée sur le sol. Le carrelage froid finit par la réveiller, quand elle ouvre les yeux, il ne reste plus que deux minutes sur le cadenas électronique bloquant sa main droite, celle qui est si proche de la télécommande. Deux minutes de défonce, de vibration et enfin l’ouverture. Si elle ne peut se libérer de suite, elle peut au moins arrêter la sex-machine et les vibrations.
Son premier réflexe est ensuite d’ouvrir la ceinture et de s’allonger sur le ventre. Geste arrachant le phallus de son chaton enflammé. Il lui faut un moment pour parvenir à reprendre ses esprits. C’est à quatre pattes qu’elle se rend à la douche, se lever serait trop dangereux. L’eau froide heurte sa tête, la tire de son état semi comateux. L’eau se réchauffe progressivement elle reste couchée dessous dans sa douche à l’italienne pendant un petit moment avant de parvenir à couper l’eau.
- J’ai du rattraper un an de jouissances en une heure ! Dit Bianca à haute voix dans sa salle de bain.
Lorsqu’elle porte la main à son sexe, l’irritation est telle qu’elle n’envisage pas de se laver de suite. Une crème réhydratant est obligatoire avant toute chose. Arrivée à la cuisine avec peine, il lui faut manger, n’importe quoi mais manger. Bianca ouvre le réfrigérateur et attrape ce qui peut être consommé comme ça sans préparation. Le camembert innocent est mordu par une chienne affamée. La bouteille de Yop est presque vidée en une seule fois.
Une sonnerie bien connu se fait entendre sur son téléphone, c’est celle de Maitre Carl. Son coeur se serre soudain. Un an sans nouvelle, sans aucune réponse à mes messages, pourquoi lui répondre quand il claque des doigts ? Pense Bianca.
- Qu’il aille au diable !
Bianca se couche, dans son lit cette fois et dort douze heures d’affilées. En remontant sur Fessestivites le lendemain, elle découvre que Maitre Carl lui a adressé un message lui indiquant qu’elle devrait lire l’email qui lui a adressé. Email dont le contenu ne doit être dévoilé à personne.
Mue par la curiosité, Bianca se rend sur sa messagerie personnelle. A la lecture de l’email elle fond en larmes.
..........................
Ma chère Bianca, mon amour,
Ce message ne doit jamais être dévoilé pour éviter un scandale et une guerre diplomatique, je compte sur ta totale discrétion. Supprime-le après lecture.
Après mon départ, je ne suis pas arrivé à l’ambassade. On m’a enlevé à l’aéroport. J’étais en captivité et l’objet de négociations entre le Pakistan et la France. Je ne peux rien te dire de plus, je n’en ai pas le droit.
Je suis enfin de retour, je t’aime et tu me manques cruellement. J’ai eu tout le temps de penser à toi, à nous. Acceptes-tu de m’épouser si je m’engage à devenir sédentaire.
Si tu refuses, je comprendrai que un an sans nouvelle, a de quoi justifier un refus de ta part. je ne t’adresserai plus aucun message si tu ne me réponds pas. Peut-être as-tu refais ta vie, chose logique, un an, c’est long surtout si tu as pensé que je t’ai abandonnée.
« Ouaf »
...........................
Le mot « Ouaf » était un des jeux de communication entre eux, envoyé par texto il signifiait « je t’aime ». Deux « Ouaf » était un code signifiant « je te veux en chienne quand je rentrerai ».
EPILOGUE
Maitre Carl n’est plus jamais parti à l’étranger, hormis en vacances avec sa « chienne », évidement. La sex-machine a été utilisée, mais cette fois, n’a été que jouissive.
Fin
TSM
Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.
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Pour Tom, nous avons toujours tous su qu'il était suiveur et pas farouche et finalement ce n'était pas une surprise. Ainsi le dressage a pu être largement facilité. Cependant mon père a dû quitter son travail, Tom ses études, pour que tous les trois se consacrent pleinement à leur Déesse et à sa perversité sans nom. Toute une famille sous sa coupe perverse.
- Et pourquoi je ne les vois pas? Ils ne sont pas à la maison? - Si, mais ils sont enfermés dans leur niche au bout du jardin - Leur niche? - Oui ce sont les deux chiens de Maîtresse - Je vois. Tu peux aller les chercher alors? - Dans une heure seulement, la serrure sera ouverte à distance. - Et d'ici là? - Maîtresse m'a donné l'ordre d'être à ton entière disposition, répondre à toutes tes questions, et faire tout ce que tu voudras. - Intéressant. (Je me reprends d'une voix dure) Tu sais que tu as perdu le droit d'être ma mère? - Oh ma chérie ... - Tu le sais n'est-ce pas? Tu es indigne, tu as mené ta famille à l'esclavage et cela par simple lubricité. - Isabelle, s'il te plaît... (Evelyne, c'est son prénom, se tord les mains) - Non à partir de maintenant je ne t'appellerai plus que par ton prénom, à moins que tu n'en ai un de chienne. - Oui, je suis Lili - Très bien Lili alors, puisque tu es une esclave, et rien que cela, je suppose que tu as du apprendre plein de choses. Vient me montrer tes talents oraux. Nous avons une heure, je suis curieuse de savoir combien de fois tu me fais jouir.
Lili semble choquée par la demande, mais elle comprend qu'elle m'a perdue comme étant sa fille. Elle obéit aussitôt, et j'écarte les jambes, je suis follement excitée encore, et non, cela n'a rien d'un inceste, puisque ce n'est pas / plus ma mère.
Après un premier orgasme divin, Lili a subi un dressage parfait de ce côté-là, je lui demande en fait de se retirer. Elle reste à genoux entre mes cuisses, le regard rivé sur mon sexe entrouvert, fascinée par les lèvres dessinées, et la peau immanquablement lisse. Je connais bien cette sensation l'ayant éprouvée par le passé, d'un côté comme de l'autre. J'ai en effet besoin de réfléchir, tout ceci est encore plus fou pour moi qui me suis enfuie de mon foyer, car je me perdais dans des relations très perverses, que je n'osais assumer devant mes parents. Et je reviens pour les trouver dans les pires délires que j'ai pu imaginer ou rédiger.
Car mon cahier renferme bien des récits, et même des dessins, allant dans le sens de ce que Lili endure aujourd'hui, racontant mes expériences, mes émotions, mes sentiments. Est-ce que ce cahier, qui semble ne pas avoir bougé, a pu générer cette situation? Ou plus probablement que c'est dans le sang de notre famille une telle perversion. Ce qui me trouble c'est le tatouage avec les chiens qui ressemble à un des dessins que j'avais fait au feutre. Pure coïncidence sans doute, mais je n'ai jamais vu un tel dessin.
En Australie j'ai eu de nombreuses aventures, tellement décevantes, même avec les femmes. Les hommes y sont encore plus stupides qu'en Europe, sans imagination ni sensualité, les femmes ce n'est guère mieux. Et je reviens pour retrouver une telle luxure à la maison. Je n'ai rien vu de mon père et mon frère, mais je crains que cela ne soit pas tellement mieux, s'ils sont enfermés dans une niche. J'ai fui pour en fait revenir dans mon cauchemar, à moins que ce ne soit mon rêve, je n'arrive pas à l'accepter.
J'avais rencontré un homme soumis et masochiste qui était prêt à des expériences et une vie extrême, et je me suis faite peur de la violence et du sadisme qu'il pouvait générer en moi. Sadisme en écho à mon propre masochisme, peut-être est-ce ainsi pour tous les dominants. Il a été à deux doigts de se castrer pour moi quand j'ai réalisé qu'il ne le faisait pas pour moi, mais pour lui, que je n'étais qu'une figure de projection, cela m'a fait horreur. Comment savoir qu'un soumis ou un esclave se donne à vous vraiment et non pas à son propre fantasme?
J'ai eu le temps d'y réfléchir, et cela passe déjà par une connaissance très profonde de soi-même, savoir précisément ce que je veux ou ne veux pas, ne tenir aucun compte de ce qu'il exprime, qu'il y prenne ou non du plaisir, cela n'a pas d'importance. L'autre point c'est de se laisser inspirer par la personne qu'on utilise, en fonction de ses réactions, de son histoire. Lorsque je domine je n'ai pas du tout les mêmes pratiques en fonction de la personne.
Et quand je me soumets? Mes attentes sont sans doute inatteignables, je m'ennuie profondément, la personne dominante semblant avoir peur sans cesse, et finalement ce n'est plus qu'un jeux de rôle. J'ai besoin de trembler, de ne pas pouvoir contrôler ou influencer les évènements, et surtout ne pas recevoir cette phrase répétitive : De quoi as-tu envie?
J'ai, ou plutôt j'avais le sentiment de revenir en étant plus mure et mature, et puis tout a volé en éclats en quelques heures. Quelle folie.
Et Lili qui reste fascinée par mon sexe rose vif. Le jour décline, plusieurs heures se sont écoulées, mais les mâles ne sont pas là!
- Lili, tu vas chercher les chiens maintenant? - Oui bien entendu Isabelle, je te les amène. Ne soit pas choquée, ils n'ont pas le droit de parler ni de montrer la moindre émotion, mais je suis certaine qu'ils vont défaillir et être profondément humiliés devant toi. - J'ai hâte de voir cela.
Lili se dirige vers un cabanon au fond du pré, et ouvre deux portes très basses, je vois deux personnes sortir à 4 pattes? L'une se redresse, l'autre reste à quatre pattes. Elle me les amène en tirant leur laisse, tandis qu'ils gardent la tête basse. J'ai le temps de les découvrir, même si je m'y attendais, je suis sidérée de ce que je vois. Leur traitement semble bien pire que celui de Lili.
Comme pour me le confirmer elle m'annonce :
- Voici riri à 4 pattes, tu auras reconnu ton ancien paternel, et fifi debout. C'est moi qui en aie la charges. Pour Maîtresse, un esclave mâle est bien moins qu'une esclave femelle, elle s'occupe peu d'eux, mais veille à ce qu'ils soient durement dressés par moi, et ils ont ce qu'ils méritent à chaque instant. - Je vois cela en effet
Par lequel commencé? Le plus facile, fifi, mon ancien frère. Il a les bras retournés dans le dos et enfermés dans une gaine en cuir. Ses épaules sont tordues et son torse jeté en avant. Ce qui permet de voir la magnifique poitrine qu'il porte, qui n'a rien à envier, au moins en volume, à la mienne. Lili m'explique que les hormones permettent un début, achevé par la chirurgie. Ses hanches sont élargies, tandis que sa taille est étranglée dans un corset de cuir rose, que je trouve incroyablement serré. Comment peut-il sortir ainsi de sa niche?
Il porte le même collier que Lili et riri, sauf que les deux mâles ont un système qui déclenche des décharges au moindre cri. Ainsi ils sont muets complètement depuis des mois, et Victoire pense que d'ici un an ou deux ils n'auront pas besoin de ce sytème. Les deux mâles ont également un large anneau dans le nez, la tête rasée avec tatoué leur nom, et un dessin obscène : Pour riri, une femme faisant caca dans sa bouche, pour fifi, un âne l'enculant. Quelle violence! D'autant que s'ils ont les mêmes marques profondes sur les fesses avec les initiales CE, celles-ci sont également gravées sur leurs joues, et très profondes. Ils ne ressemblent plus à rien! Même si fifi est très sexy avec une peau douce, de jolies hanches et une poitrine somptueuse.
Entre ses jambes un long tuyau métallique renfermant son sexe étiré de façon extrême et permanente, le prépuce, gonflé, émergeant dans une cage pour éviter qu'il se touche. Lili m'explique qu'ils sont bourrés d'hormones, féminines et masculines, et que ce sont des bêtes qui ne pensent qu'au sexe. Je veux bien le croire. Ses couilles sont étirées par des poids qui les allongent énormément, elles sont presque à son genou, les couilles étant noires, je ne suis pas certaine qu'elles soient très productives. Tout respire la souffrance, comme le pieu en acier qui émerge entre ses fesses, comme un gouvernail, scellé au corset et qui le pourfend. Je pense que je pourrais renter mes deux mains dans son cul élargi, comme dans celui de son paternel. Ce dernier a les couilles enfermées dans un système en bois, les bloquant derrière ses genoux, il ne peut absolument pas se relever.
C'est vrai qu'ils réveillent en moi le désir de castration, qui n'a comme seul inconvénient, que le plaisir est vite passé et peu reproductible. Je coule à nouveau, je suis en chaleur, je demande à nouveau à Lili de me satisfaire. J'ai hâte de découvrir Victoire et le pourquoi de ces initiales. Mille questions trottent dans ma tête, moi qui aime la tension, je suis servie.
- Et cela te plaît ainsi d'être en permanence contrainte, suppliciée, utilisée? - Oh oui, j'adore cela - Mais tu dois avoir des périodes où tu es moins excitée sexuellement quand même? - Pas vraiment, tu as vu les chiens sont bourrés de testostérone, et moi d'un cocktail qui correspond à l'ovulation, en permanence, donc non j'ai toujours l'envie, le besoin de sexe de toutes les façons. - Mmmhhh c'est très excitant. Tu es une vraie salope, un sex toy - Oui (Les yeux de Lili brillent, l'humiliation semble lui plaire) - Et les chiens sont comme toi? Heureux? - Oh personne ne leur demande leur avis, ils ont été d'accord au départ, et savaient qu'après ils ne contrôleraient plus rien, ils y ont été préparés et je crois que oui, ils sont bien là où ils sont. - Et les initiales CE, c'est quoi, j'aurais cru les initiales de Victoire - Oh c'est tout comme, en fait ce sont les initiales de son concept, Camp Extrême - Hein? Qu'est-ce que tu me racontes? - Elle a créé avec nous ce concept d'un camp de l'extrême que nous vivons ainsi en permanence, dans les perversions et les souffrances extrêmes. - Et comment faites-vous pour vivre et avoir de l'argent? - Ah cela (Je la sens hésiter), je dois répondre à toutes tes questions - Oui - Alors voilà, Victoire gagne beaucoup d'argent avec nous et le camp de l'extrême. - Elle vous prostitue? - Pas exactement, elle nous exhibe, que ce soit ici dans le camp, la propriété est complètement fermée, ou quand nous sortons. - Mais je ne comprends pas comment cela rapporte de l'argent? - Eh bien disons que notre vie, nos tourments, nos plaisirs sont filmés 24h sur 24. - Comment cela? - Eh bien la maison et le parc sont truffés de caméras avec des opérateurs qui se relaient et tout ce que nous vivons est à disposition de voyeurs, qui parfois vont plus loin que juste voir, et qui paient un abonnement pour cela. - Tout? (Je n'arrive pas trop à comprendre) - Oui - Tu veux dire que là ils écoutent et voient notre conversation. - Oui - Oh mon Dieu!
Je sursaute réalisant tout ce que j'ai fait depuis que je suis arrivée et d'imaginer des centaines de voyeurs en train de se rincer l'œil. C'est abominable. Je remets mon maillot de bain, ce qui est un peu inutile, ils ont dû voir tout ce qu'il y avait à voir.
- Et elle gagne de l'argent ainsi - Beaucoup oui. Elle nous sort aussi en soirée, nous sommes des sortes d'objets célèbres, évidemment toujours pour de nouvelles souffrances ou humiliations. C'est devenu très chic dans ce milieu d'avoir riri comme toilette humain par exemple, d'où le dessin sur son crâne. - Quelle dépravation! Et il y a beaucoup de gens qui suivent cela? - Environ 50 000 - Quoi? Mais il doit y avoir des gens que tu connais ou que je connais. - Oui bien entendu, une partie de nos connaissances s'est éloignée, mais une autre partie a pris beaucoup de plaisir à nous utiliser et avilir. Tu découvres que l'âme humaine est profondément perverse. - Et il va se passer quoi dans dix ou vingt ans quand tu seras trop vieille? - Nous verrons bien, mais je ne vais pas vivre aujourd'hui en fonction de ce que cela risque d'être dans vingt ans. - Pas faux mais quand même. Cependant il y a beaucoup de choses qui interdisent un retour en arrière. - Oui, comme la castration de fifi, il y a eu un grand vote, et les trois quarts étaient pour. Le plus excitant c'est qu'il n'a jamais pu se servir de sa queue, il est vierge. - Mmmhhh c'est très pervers en effet, mais un vagin lui ira mieux je trouve en effet. Toutes ces émotions m'épuisent, il y a trop d'informations à la fois. Remets les chiens dans leur niche, va me faire à manger, j'irai me coucher ensuite. Sais-tu quand je vais voir Victoire? - Elle sera là demain matin pour toi. - Et tous les voyeurs vont me regarder dormir? - Oui tu peux en être certaine. - Amusant. Ah une dernière question, est-ce que vous avez trouvé mon carnet secret? - Celui qui était caché? Oui bien entendu. J'ai toujours su où tu le cachais mais j'ai été surprise que tu ne l'emportes pas, alors je l'ai lu pour la première fois. Et le ciel m'est tombé sur la tête. - Je comprends mieux du coup - Oui car je l'ai amené pour ma première visite chez Victoire, et c'est là qu'elle m'a convaincue que c'était ma vie, ma voie et que notre famille était totalement dysfonctionnelle. - Et du coup, qu'est-ce qu'elle pense de moi? - Elle ne sait pas, que tu es une fille passionnante, mais qu'elle ne sait pas, avant de te voir, ce que tu es faite pour vivre? - C'est-à-dire? - Nous rejoindre dans l'esclavage ou prendre les rênes du centre extrême. - Oh ou alors partir en courant - C'est possible aussi.
Je suis sous la douche, histoire de repenser à tout cela. Effectivement il y a des glaces partout dans la maison, masquant des caméras si j'en crois Lili. Quelle folie. Imaginer des dizaines voire bien plus de voyeurs me regarder sous la douche, nue, eh bien, cela m'excite. Je sais que je rends les hommes dingues avec ma poitrine opulente, je la savonne longuement, je joue avec, la faisant rebondir. Ces centaines d'yeux qui me regardent m'excitent, je me savonne le sexe qui est tout lisse, je déteste les poils, je rentre quelques doigts, je gémis, autant pour le plaisir que pour stimuler mes voyeurs, le plaisir monte, mais je ne veux pas jouir tout de suite.
Je me rappelle comme jeune j'aimais faire durer cette montée du plaisir, allant parfois jusqu'à me priver d'orgasme pour garder cette fièvre. Je prends le pommeau de douche, je le dirige sur mon sexe, je baisse la pression, j'augmente la chaleur, cela me brûle, je gémis de douleur, je veux résister, j'augmente encore la chaleur, la vapeur est intense, je halète, mon sexe est rouge vif, mon clitoris est tout dur et érigé, je me demande s'ils peuvent faire une zoom dessus, cela me stimule, j'augment encore, maintenant je crie, je compte une minute, je veux tenir une minute. Alors je bascule sur de l'eau glacé, qui me fait tout autant crier, j'ai le cœur qui bat la chamade.
A peine séchée, je m'écroule sur mon lit, j'ai vérifié, ma boîte à jouets est toujours en dessous, avec son cadenas inutile. Les godes sont bien rangés, je prends le plus gros, je le lèche, impossible de le rentrer dans ma bouche, mais j'en ai déjà pris des bien plus gros. Celui-ci est court et très large, je mets de la crème pour le visage dessus, je m'acroupis, je regarde droit dans la glace en face du lit, je pointe le bout sur mon cul que j'ai ouvert sous la douche, et je me laisse doucement glisser dessus, la bouche ouverte par la sensation.
Tous ces jeux que j'adorais me reviennent en mémoire. Je sais que je n'ai pas le droit de me retirer tant que le gode n'est pas complètement enfoncé, juste de faire des pauses. Je résiste à l'envie de me soulager, je tire sur mes fesses pour m'ouvrir, et je m'enfonce un peu plus à chaque seconde. L'image sur le miroir est torride, je fais voler la couette pour qu'elle ne gêne pas les voyeurs, et avec un cri de souffrance, j'assoie mes fesses sur le lit, le gros gode est complètement en moi, je le sens qui appuie sur tout mon ventre, j'hésite, mais non il n'est pas encore temps de jouir.
Je me relève et redescends doucement, faisant coulisser les quinze centimètres du gode, jusqu'à ce qu'il sorte presque, pour à nouveau me replonger dessus. J'ai des frissons partout, c'est délicieux, comme cela m'a manqué! Voir Lili et les garçons comme cela m'a tourné la tête, replongée dans ma drogue de façon encore plus intense que jamais. Cette fois-ci je n'ai aucune envie de lutter contre, au contraire, mais de me laisser porter.
Je compte cent allers et retours, lents et profonds, mon cul est divinement ouvert, j'aime follement cette sensation, j'aimerais que Lili vienne me lécher pour me faire jouir, mais je ne peux pas bouger. Je vais m'en passer, et je me fais jouir dans des cris stridents avant de m'affaler sur le lit. Je m'endors ainsi, sans couette, le gode encore à moitié en moi, remarquant le miroir au-dessus de mon lit. Décidément, ils ne perdent rien.
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Mais c'est quoi tous ces profils qui publient des récits piqués à droite, à gauche ?
https://french.literotica.com/s/une-famille-sous-influence?page=2
Bonjour
Je suis daddy (DDLG) de base, j'ai eu une expérience virtuelle en PetPlay et cela m'a bien plu.
Je recherche à essayer/réessayer cette expérience, idéalement IRL
Je suis du coin de Metz (57) et une présentation sur mon profil
Bonne journée
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Jeune puppy débutant cherche des maître et maîtresse pour discuter de pet play et peut être ce rencontrée ^-^
Coucou ^-^
Je cherche des gens pour m'aider à découvrir et m'épanouir dans mon rôle de puppyboy ^^
J'ai actuellement du mal à faire des rencontres autour de ça donc je tente ici ^^
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Bonjour ;…. Envie d évoluer dans ce domaine… de progresser… un maître pet de mon secteur… ami
Soyez la première personne à aimer.
Le livre PonyGirl est enfin sorti.
Comme je l’évoque dans mon texte sur les dix ans de nos pratiques du PonyGirl, j’ai enfin trouvé quelqu'un pour m’aider à finaliser ce projet. Nous avons travaillé en binôme pendant plus d’une dizaine heures pour le mettre en forme et, par la suite, l’envoyer chez un éditeur.
Ce livre raconte le parcours que nous avons réalisé moi et Alcyone avec les expériences acquises et les difficultés que nous avons surmonté qui nous ont permis d’avancer.
Au final onze années de travail assidu et d’aventure pour que notre amour conjoint du PonyGirl soit résumé en une cinquantaine de textes et de photos.
Enfin un livre en français qui, je l’espère, permettra aux passionnés de pony de découvrir une histoire vraie et réelle.
Bonne lecture.
https://www.thebookedition.com/fr/ponygirl-p-414003.html
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Bonjour esclave, je suis une Maitresse expérimentée, passionnée, exigeante, intransigeante, autoritaire, perverse, capricieuse, sévère, élégante et cultivée.
Être Dominatrice est ma nature profonde...
à ton clavier ... .:.
Bonjour à tous je suis a la recherche d'une formation petplay novice en la matière mes motivé
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dominatrice de coeur et de passion
glamour et raffinée j'exècre tout ce qui en rapport avec la vulgarité .:.