PonyBoy13001Po
PonyBoy13001
Salut cherche homme cavalier
Je veux me mettre à quatre pattes, et que tu viennes t'asseoir sur moi, comme si j'étais ton cheval.
J'aime me sentir soumis entre les jambes d'un cavalier et que tu me chevauches vraiment comme si j'étais un cheval, bien entendu dans le respect.
Je peux te porter sur mon dos et te laisser me guider .
Je suis serieux, et je respecte les limites.
Si tu es curieux et que l'idée t'amuse de me monter sur le dos, comme si j'étais un cheval, écris-moi . Je suis un mec soumis. Je tiens à préciser que je suis de marseille et si quelqu'un interessé par mon annonce , contacter moi ! Merci
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herissonhe
herisson
BONJOUR
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19/07/25
herissonhe
herisson
tu devra etre ultra docile et performant car les mauvais pony sont CASTRES pourpas toucher aux juments
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19/07/25
herissonhe
herisson
tu deviendrais pony HONGRE
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19/07/25
PonyBoy13001Po
PonyBoy13001
oui
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19/07/25
herissonhe
herisson
DIRE BYE BYE aux femmes et a tes testicules
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20/07/25
Je cherche une chienne de chenil , capable de venir dans les Landes pour être dressée et servir son Maître
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Très belle cage de chenil !… bravo pour l’aménagement … bises amicale sur vos pieds
Bianca était heureuse en femme soumise et surtout en pets. Quand son maître, un ambassadeur très doué avait été muté dans un pays du moyen orient, son coeur s’était déchiré. Bon prince, Maitre Carl rencontré sur XXX lui avait dit avec des larmes dans les yeux, qu’elle pouvait vivre sa vie. En guise de réponse, elle répondit simplement que les autres hommes ne l’intéressaient pas. Ce fut un grand moment de déchirement, quand la porte s’était refermée. L’un et l’autre n’arrivaient pas à rompre les dernières minutes, d’une relation idyllique.
Bianca sombra dans la déprime pendant quelques mois avant d’être rattrapée par la vie, avec sa mère sombrant dans la vie d’Alzheimer. Ce nouveau « loisir » si difficile à vivre poussa un peu la déchirure précédente. Après l’avoir placée en maison de retraite spécialisée, elle s’était retrouvée. Retrouvée seule sans obligation autre que son travail, seule sans envie particulière. Pendant le premier confinement, la solitude devint pesante, elle ne pouvait même plus aller boire un verre avec ses copines du travail.
« Dans nos appartements, nous sommes comme enfermés dans des cages » lui avait dit une copine au travail. Pour Bianca ce fut comme un déclic. Elle avait toujours sa cage, une vraie cage à chien que Maitre Carl lui avait laissée, avec toutes leurs petites affaires de pets-play et d’autres accessoires BDSM. Pendant tout le trajet en transport en commun, elle ne pensa qu’à ça. Malgré les masques, les voyageurs pouvaient apercevoir la détresse de cette femme perdue dans ses pensées.
Arrivée chez elle, mue par une impérieuse envie de revivre, Bianca se rendit au garage pour ouvrir la malle poussiéreuse, contenant leurs petits secrets achetés sur un sexshop en ligne Tout était là, soigneusement emballé dans des poches plastiques. Contre le mur, la cage démontée semblait lui faire de l’oeil. Elle eut comme une décharge électrique quand elle l’attrapa pour la rentrer dans la maison. En se traitant de folle, Bianca l’installa dans la chambre puis remonta tous les éléments de son futur lit. Sans même prendre sa douche, après s’être mise nue, elle rapporta la fameuse malle devenant magique. Après avoir posé son collier qu’elle serra plus que d’habitude, Bianca suça le rosebud du plug queue de chienne pour le lubrifier et se le mit dans les fesses.
Dans la folie de cette envie de revivre sa vie de pets, elle réinstalla les gamelles sur le sol dans la cuisine, l’une avec de l’eau, l’autre avec une boite de Corn flakes avec du lait. Comme si elle était pressée, Bianca fonça dans sa chambre pour attraper ses genouillères, les ceintures, sa cagoule de chienne. Assise sur le lit, elle mit les genouillères puis plia les jambes pour les bloquer avec les petites ceintures. Après avoir mis sa cagoule, pour lier ses bras pliés l’un sur l’autre avec les ceintures, elle galéra un peu en maugréant.
Ce n’est qu’à ce moment là qu’elle se vit dans le miroir de sa penderie. « Ça y est, tu es enfin revenue » se dit-elle à voix basse avant de se gronder, une chienne ne parle pas, descends du lit, tu n’as pas le droit d’y monter sans permission.
« Quelle conne, je n’ai pas éteint la lumière » pensa Bianca après être descendu du lit avec prudence. Elle s’avança à quatre pattes en appui sur ses genoux et ses coudes pour aller faire la belle contre le mur afin d’appuyer sur l’interrupteur avec son nez. Dans la pénombre de la chambre, elle distinguait encore sa cage, son refuge. Elle s’y précipita alors qu’en d’autres temps, elle râlait un peu quand Maitre Carl ne la voulait pas dans son lit. Roulé en chien de fusil, elle attendit tristement le sommeil. Il tarda à venir, elle avait perdu l’habitude de sa cage, chacun de ses mouvements lui rappelant sa condition de chienne, une chienne abandonnée, livrée à elle même, même pas conduite à la SPA.
Au milieu de la nuit, rattrapée par une envie pressante, elle quitta la cage quasiment à l’aveugle pour aller toujours à quatre pattes se soulager dans la douche. Si Maitre Carl avait appris qu’elle avait quitté sa cage sans permission, il l’aurait grondée. Sur le chemin du retour, tenaillée par une petite faim, elle se rendit à la cuisine en se disant qu’il faudrait qu’elle trouve un moyen de s’imposer de rester dans la cage. Avant il arrivait que son Maître la verrouille pour l’obliger à attendre. Elle devait trouver le moyen de revivre son passée de pets comblée. Le nez dans la gamelle, elle grignota un peu de Corn flakes puis but un peu d’eau en lapant avant de retourner se coucher.
Il était là, il la tenait par la laisse et la prenait en position Doggystyle. Elle s’entendit couiner, ce qui la réveilla. Triste retour à la réalité que de passer du rêve à la réalité. « J’ai la chatte qui me démange » pensa vulgairement Bianca. Cela faisait un an qu’il était parti, un an de deuil, un an sans le moindre orgasme, sans le moindre plaisir solitaire. S’être remise à jouer seule, lui ouvrit les yeux, elle avait le droit de vivre sa vie de femme. Cette dernière pensée déclencha chez Bianca, le besoin de rêver et de fantasmer à nouveau.
Vivre sa sexualité avec un autre homme n’était pas concevable. Elle décida de chercher de quoi s’amuser seule, se faire plaisir en version BDSM. C’est sur ses pensées aussi coquines que motivées, qu’elle quitta sa cage et se libéra. A la suite de quoi, elle prit sa douche et un café devant son ordinateur. Après avoir réactivé son compte sur le nouveau Fessestivites, elle se lança sur les forums qui sont surveillés et où l’on trouve de bonnes idées, de bons renseignements. C’est là qu’elle tomba sur la rubrique selfbondage. Bianca avait déjà parcourus quelques scénarios de selfbondage, avec comme idée de trouver des trucs pour s’offrir entravée à son Maître, comme cadeau d’anniversaire.
Dans sa tête, les idées s’entrechoquaient, un an de sagesse et privation libéré en une nuit, cela fait faire quelques folies. Elle commença par suivre le lien indiquant comment trouver des cadenas électroniques. Cela lui permettrait de fermer sa cage sur une durée et surtout, de s’interdire d’en sortir. Et là, elle découvrir que sur ***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***, il y a aussi des scénarios de selfbondage qui sont proposés avec certains produits.
Prise dans sa folie des achats, elle téléphona au bureau pour dire qu’elle était souffrante et que, par précaution avec ce covid, elle ne viendrait pas travailler.
- Cliquets de corde pour bondage et selfbondage x 2- Collier BDSM métalliques avec cadenas x 1- Un coffre électronique de BDSM ABDL ou chasteté- 2 sangles 2 mètres pour vos bondage et selfbondage x 2- Menottes poignets en métal x 2- Cadenas électronique bondage et selfbondage x 2
Elle en était là quand elle consulta son panier sur ABCplaisir, quand elle tomba sur le Lot sex-machine complet 225 coups par minute. Ce fut sa dernière folie dans ses achats compulsifs ! ! !
Après avoir fait « fondre » sa carte bleue, Bianca revint sur Fessestivites. Elle dévora tous les scénarios de selfbondage qu’elle découvrir dans les articles. Son but était simple : se former, apprendre, trouver des trucs et des astuces ! Nue sous son peignoir de bain, elle constata que ses tétons pointaient. « tiens, ils se remettent à vivre eux aussi » se dit Bianca. Naturellement attirés par son entrejambe, ses doigts trouvèrent les lieux très humides. Presque honteusement, c’est en regardant les vidéos de selfbondage qu’elle décida de se caresser. Le plaisir fut au rendez-vous « des anciens de la vie », les retrouvailles des doigts solitaires avec son intimité furent généreux et même épuisants.
- J’ai fait des folies sur ABCplaisir ! Se dit soudain à haute voix Bianca une fois rassasiée.
Pour mettre un terme à ses moment d’égarement, elle s’habilla pour aller travailler avec plus de deux heures de retard. Elle allait soudain mieux....
......................
Le soir même, Bianca recommença ses petites folies solitaires en vivant sa vie de pets-girl célibataire. Pour ses bras, elle ne mit pas les ceintures pour cause de petites douleurs aux coudes mais enfila les moufles en cuir sur ses petites mains. Une heure plus tard, elles étaient retirées, surfer sur Fessestivites avec des moufles, ce n’est pas pratique. Elle commença à faire des scénarios à la façon de Petifou-Selfbondage.
- Comment m’attacher au radiateur en guise de punition avec mon bâillon os.
- Comment fermer la cage pour une nuit- Comment utiliser la sex-machine comme si je n’étais pas volontaire
Dans chacun de ses scénarios écrits sur des fichiers Word, Bianca notait méticuleusement tous les détails. Pour la nuit imposée en cage, pour s’éviter de dormir dans son urine, elle avait même prévu une couche pour personne incontinente alors qu’elle déteste ça. Pour le scénario avec la sex-machine, elle avait décidé qu’elle ne devait pas pouvoir se soustraire avant la fin du temps décidé. Ce fut le scénario le plus compliqué à écrire et lui imposant même de faire des tests de position. Dans un état d’excitation avancé, elle voulut s’interdire de se caresser avant que les nouveaux accessoires ne soient livrés. Cette résolution ressembla à toutes celles prises le premier janvier.... « J’aurai aussi du prendre une ceinture de chasteté » se dit Bianca en se traitant de S......
Par chance, le colis fut livré le samedi matin. Elle put le réceptionner sans aller faire deux heures de queue à la poste. Rien que d’ouvrir le carton la mit dans tous ses états, tout comme la vue de la sex-machine et son phallus soudain très attirant. « J’ai du cicatriser en bas » se dit Bianca avec humour.
Une fois la porte et les volets fermés, elle testa le collier en premier. Il ne la quitta plus jusqu’au lundi. Elle mit en charge les cadenas électroniques puis étudia le fonctionnement du coffre électronique qu’elle testa sur deux minutes. Conformément à ce que qui était indiqué, il était impossible à ouvrir avant la fin du compte à rebours. Pour bien démarrer son week-end de pets, Bianca mit sa combinaison de chienne et sa cagoule préférée. Elle fixa une paire de menottes au radiateur puis les clés dans le coffre électronique. Les clés des menottes étant attachées avec de la ficelle à ses menottes comme le conseille Petifou-Selfbondage, quand le coffre s’ouvrirait elle n’aurait qu’à tirer sur la ficelle pour récupérer les clés. Par peur que le coffre ne fonctionne pas et sécurité, elle attacha le deuxième jeu de clés de menottes à son rouleau de ficelle à rôti qu’elle déposa le plus loin possible.
Tout étant prêt et sécurisé, Bianca s’entrava une heure au radiateur avec les poignets menottés. cette heure lui parut longue, et en même temps, l’excita un peu par le fait de ne pouvoir fuir. Elle décida qu’il faudrait qu’elle s’achète une chaîne pour s’attacher par le cou comme une chienne ou qu’elle essaye de coincer la laisse avec les cadenas électroniques.
Toujours très prudente, Bianca teste ensuite les cadenas électroniques pour voir s’ils s’ouvrent comme prévu. A la suite de quoi, elle se penche sur la sex-machine. Après l’avoir branchée elle joue avec la télécommande et découvre en se pinçant les lèvres de gourmandise, que l’oeuf vibrant et le mini gode sont aussi puissants voir plus que son Magic Wand Massager. Elle en ouvre et ferme ses cuisses d’excitation.
L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence !
Bianca imprime son scénario puis se rend dans sa chambre pour l’installer. Placée au fond de sa cage, la machine ne pourra pas reculer. Pour s’interdire toute fuite en avant, elle a prévu de mettre une ceinture avec un cliquets de corde qui sera fixée au barreau. Avec deux autres cliquets de corde fixés également à sa ceinture, elle s’interdira de fuir sur les côtés.
Pour ses poignets, Bianca a prévu les deux paires de menottes, une de chaque côté de la cage avec les cadenas électroniques. Ainsi, si l’un tombe en panne, l’autre lui libèrera une main menottée ce qui lui permettra alors d’attraper les clés posées devant elle.
L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence ! (Bis)
Pour être encore plus dans l’ambiance de chienne couverte à un mâle assoiffé de sexe, elle se met son bâillon os. Au lieu de mettre sa queue de chienne, Bianca décide de se mettre l’oeuf vivrant de la sex-machine dans les fesses. Elle serre ses cuisses et ses jambes avec des ceinture pour avoir encore plus la sensation d’être prisonnière. Elle n’a pas besoin de lubrifiant quand elle entre à reculons dans la cage, le phallus glisse en elle sans difficulté. Avant de tendre les cliquets de corde, elle fait un petit essai et savoure avec délice les premiers mouvements. « Je vais m’éclater comme une folle » si dit Bianca en tendant un peu trop les 3 cliquets de cordes. Elle ne peut ni bouger sur les côtés ni avancer.
Dans son état d’excitation démesuré, elle règle les cadenas électroniques sur une heure puis, passe la menotte dans l’anneau du cadenas électronique. Elle démarre la sex-machine puis l’oeuf vibrant. Les yeux fermés et en mordant son bâillon, Bianca savoure les vibrations anales et le phallus s’enfonçant en elle à un rythme régulier. « Ça va être l’extase totale » se dit elle en décidant d’accélérer un peu la vitesse du phallus.
Elle décide donc de finir son selfbondage de pets à faire « couvrir » en fermant la deuxième paire de menottes. Elle a donc les bras écarté fixés aux angles de la cage, elle ne peut pas avancer ni même bouger sur les côtés, la ceinture et les cliquets de corde l’en empêchent.
L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence ! (Ter)
Toutes les conditions sont réunies pour qu’elle s’éclate et « se fasse défoncer » longuement en étant entravée. Sentant le plaisir arriver, sans penser à la durée, Bianca pousse la machine à son maximum ainsi que la puissance de l’oeuf dans le creux de ses reins. Et dans ce moment de folie, elle jette aussi loin que possible la télécommande. Grossière erreur ! ! !
Grossière erreur car 225 coups par minute c’est vraiment beaucoup. Si c’est extraordinaire sur une courte durée avant la jouissance, pendant la jouissance c’est ..... trop. Trop bon la première fois, puis, lorsque les jouissances s’enchaînent, c’est trop rapide, trop fort, trop puissant.
L’orgasme est fulgurant, Bianca mord le bâillon os comme une folle pour ne pas hurler. La machine ne ralentissant pas tout comme l’oeuf dans ses fesses, un autre orgasme arrive quasiment de suite. Elle essaye en vain d’attraper la télécommande pour ralentir la machine. Jetée trop loin, il lui est même impossible d’attraper le fil pour la tirer. Elle n’est qu’à une quinzaine de centimètre de ses doigts tendus. Foudroyée par un autre orgasme, elle abandonne cette idée et essaye de se libérer car une heure à ce rythme là, c’est inconcevable.
Ce n’est pas d’empiler les jouissances qui n’est pas concevable, mais les 225 coups « de bite » par minute pendant une heure. 13 500 coups calcule la chef comptable reine des chiffres, cela va me massacrer si cela ne me tue pas se dit Bianca. A bout de souffle avec un énième orgasme, la tête posée sur le sol, elle est à deux doigts de perdre connaissance. Tout son corps tremble, ses mains, ses jambes. Elle ruisselle de transpiration et bave lamentablement.
Pleurer de trop jouir semble fou, et pourtant, c’est ce qui arrive à Bianca épuisée physiquement et nerveusement. Elle en arrive parfois à se cogner la tête par terre. « Oh mon dieu, cela commence à chauffer dans ma chatte » se dit Bianca terrorisée à l’idée d’être brûlée. Soudain sa vessie lâche, le plaisir revient, elle jouit encore et s’écroule à pendre dans sa ceinture avec la tête posée sur le sol. Le carrelage froid finit par la réveiller, quand elle ouvre les yeux, il ne reste plus que deux minutes sur le cadenas électronique bloquant sa main droite, celle qui est si proche de la télécommande. Deux minutes de défonce, de vibration et enfin l’ouverture. Si elle ne peut se libérer de suite, elle peut au moins arrêter la sex-machine et les vibrations.
Son premier réflexe est ensuite d’ouvrir la ceinture et de s’allonger sur le ventre. Geste arrachant le phallus de son chaton enflammé. Il lui faut un moment pour parvenir à reprendre ses esprits. C’est à quatre pattes qu’elle se rend à la douche, se lever serait trop dangereux. L’eau froide heurte sa tête, la tire de son état semi comateux. L’eau se réchauffe progressivement elle reste couchée dessous dans sa douche à l’italienne pendant un petit moment avant de parvenir à couper l’eau.
- J’ai du rattraper un an de jouissances en une heure ! Dit Bianca à haute voix dans sa salle de bain.
Lorsqu’elle porte la main à son sexe, l’irritation est telle qu’elle n’envisage pas de se laver de suite. Une crème réhydratant est obligatoire avant toute chose. Arrivée à la cuisine avec peine, il lui faut manger, n’importe quoi mais manger. Bianca ouvre le réfrigérateur et attrape ce qui peut être consommé comme ça sans préparation. Le camembert innocent est mordu par une chienne affamée. La bouteille de Yop est presque vidée en une seule fois.
Une sonnerie bien connu se fait entendre sur son téléphone, c’est celle de Maitre Carl. Son coeur se serre soudain. Un an sans nouvelle, sans aucune réponse à mes messages, pourquoi lui répondre quand il claque des doigts ? Pense Bianca.
- Qu’il aille au diable !
Bianca se couche, dans son lit cette fois et dort douze heures d’affilées. En remontant sur Fessestivites le lendemain, elle découvre que Maitre Carl lui a adressé un message lui indiquant qu’elle devrait lire l’email qui lui a adressé. Email dont le contenu ne doit être dévoilé à personne.
Mue par la curiosité, Bianca se rend sur sa messagerie personnelle. A la lecture de l’email elle fond en larmes.
..........................
Ma chère Bianca, mon amour,
Ce message ne doit jamais être dévoilé pour éviter un scandale et une guerre diplomatique, je compte sur ta totale discrétion. Supprime-le après lecture.
Après mon départ, je ne suis pas arrivé à l’ambassade. On m’a enlevé à l’aéroport. J’étais en captivité et l’objet de négociations entre le Pakistan et la France. Je ne peux rien te dire de plus, je n’en ai pas le droit.
Je suis enfin de retour, je t’aime et tu me manques cruellement. J’ai eu tout le temps de penser à toi, à nous. Acceptes-tu de m’épouser si je m’engage à devenir sédentaire.
Si tu refuses, je comprendrai que un an sans nouvelle, a de quoi justifier un refus de ta part. je ne t’adresserai plus aucun message si tu ne me réponds pas. Peut-être as-tu refais ta vie, chose logique, un an, c’est long surtout si tu as pensé que je t’ai abandonnée.
« Ouaf »
...........................
Le mot « Ouaf » était un des jeux de communication entre eux, envoyé par texto il signifiait « je t’aime ». Deux « Ouaf » était un code signifiant « je te veux en chienne quand je rentrerai ».
EPILOGUE
Maitre Carl n’est plus jamais parti à l’étranger, hormis en vacances avec sa « chienne », évidement. La sex-machine a été utilisée, mais cette fois, n’a été que jouissive.
Fin
TSM
Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.
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Pour Tom, nous avons toujours tous su qu'il était suiveur et pas farouche et finalement ce n'était pas une surprise. Ainsi le dressage a pu être largement facilité. Cependant mon père a dû quitter son travail, Tom ses études, pour que tous les trois se consacrent pleinement à leur Déesse et à sa perversité sans nom. Toute une famille sous sa coupe perverse.
- Et pourquoi je ne les vois pas? Ils ne sont pas à la maison? - Si, mais ils sont enfermés dans leur niche au bout du jardin - Leur niche? - Oui ce sont les deux chiens de Maîtresse - Je vois. Tu peux aller les chercher alors? - Dans une heure seulement, la serrure sera ouverte à distance. - Et d'ici là? - Maîtresse m'a donné l'ordre d'être à ton entière disposition, répondre à toutes tes questions, et faire tout ce que tu voudras. - Intéressant. (Je me reprends d'une voix dure) Tu sais que tu as perdu le droit d'être ma mère? - Oh ma chérie ... - Tu le sais n'est-ce pas? Tu es indigne, tu as mené ta famille à l'esclavage et cela par simple lubricité. - Isabelle, s'il te plaît... (Evelyne, c'est son prénom, se tord les mains) - Non à partir de maintenant je ne t'appellerai plus que par ton prénom, à moins que tu n'en ai un de chienne. - Oui, je suis Lili - Très bien Lili alors, puisque tu es une esclave, et rien que cela, je suppose que tu as du apprendre plein de choses. Vient me montrer tes talents oraux. Nous avons une heure, je suis curieuse de savoir combien de fois tu me fais jouir.
Lili semble choquée par la demande, mais elle comprend qu'elle m'a perdue comme étant sa fille. Elle obéit aussitôt, et j'écarte les jambes, je suis follement excitée encore, et non, cela n'a rien d'un inceste, puisque ce n'est pas / plus ma mère.
Après un premier orgasme divin, Lili a subi un dressage parfait de ce côté-là, je lui demande en fait de se retirer. Elle reste à genoux entre mes cuisses, le regard rivé sur mon sexe entrouvert, fascinée par les lèvres dessinées, et la peau immanquablement lisse. Je connais bien cette sensation l'ayant éprouvée par le passé, d'un côté comme de l'autre. J'ai en effet besoin de réfléchir, tout ceci est encore plus fou pour moi qui me suis enfuie de mon foyer, car je me perdais dans des relations très perverses, que je n'osais assumer devant mes parents. Et je reviens pour les trouver dans les pires délires que j'ai pu imaginer ou rédiger.
Car mon cahier renferme bien des récits, et même des dessins, allant dans le sens de ce que Lili endure aujourd'hui, racontant mes expériences, mes émotions, mes sentiments. Est-ce que ce cahier, qui semble ne pas avoir bougé, a pu générer cette situation? Ou plus probablement que c'est dans le sang de notre famille une telle perversion. Ce qui me trouble c'est le tatouage avec les chiens qui ressemble à un des dessins que j'avais fait au feutre. Pure coïncidence sans doute, mais je n'ai jamais vu un tel dessin.
En Australie j'ai eu de nombreuses aventures, tellement décevantes, même avec les femmes. Les hommes y sont encore plus stupides qu'en Europe, sans imagination ni sensualité, les femmes ce n'est guère mieux. Et je reviens pour retrouver une telle luxure à la maison. Je n'ai rien vu de mon père et mon frère, mais je crains que cela ne soit pas tellement mieux, s'ils sont enfermés dans une niche. J'ai fui pour en fait revenir dans mon cauchemar, à moins que ce ne soit mon rêve, je n'arrive pas à l'accepter.
J'avais rencontré un homme soumis et masochiste qui était prêt à des expériences et une vie extrême, et je me suis faite peur de la violence et du sadisme qu'il pouvait générer en moi. Sadisme en écho à mon propre masochisme, peut-être est-ce ainsi pour tous les dominants. Il a été à deux doigts de se castrer pour moi quand j'ai réalisé qu'il ne le faisait pas pour moi, mais pour lui, que je n'étais qu'une figure de projection, cela m'a fait horreur. Comment savoir qu'un soumis ou un esclave se donne à vous vraiment et non pas à son propre fantasme?
J'ai eu le temps d'y réfléchir, et cela passe déjà par une connaissance très profonde de soi-même, savoir précisément ce que je veux ou ne veux pas, ne tenir aucun compte de ce qu'il exprime, qu'il y prenne ou non du plaisir, cela n'a pas d'importance. L'autre point c'est de se laisser inspirer par la personne qu'on utilise, en fonction de ses réactions, de son histoire. Lorsque je domine je n'ai pas du tout les mêmes pratiques en fonction de la personne.
Et quand je me soumets? Mes attentes sont sans doute inatteignables, je m'ennuie profondément, la personne dominante semblant avoir peur sans cesse, et finalement ce n'est plus qu'un jeux de rôle. J'ai besoin de trembler, de ne pas pouvoir contrôler ou influencer les évènements, et surtout ne pas recevoir cette phrase répétitive : De quoi as-tu envie?
J'ai, ou plutôt j'avais le sentiment de revenir en étant plus mure et mature, et puis tout a volé en éclats en quelques heures. Quelle folie.
Et Lili qui reste fascinée par mon sexe rose vif. Le jour décline, plusieurs heures se sont écoulées, mais les mâles ne sont pas là!
- Lili, tu vas chercher les chiens maintenant? - Oui bien entendu Isabelle, je te les amène. Ne soit pas choquée, ils n'ont pas le droit de parler ni de montrer la moindre émotion, mais je suis certaine qu'ils vont défaillir et être profondément humiliés devant toi. - J'ai hâte de voir cela.
Lili se dirige vers un cabanon au fond du pré, et ouvre deux portes très basses, je vois deux personnes sortir à 4 pattes? L'une se redresse, l'autre reste à quatre pattes. Elle me les amène en tirant leur laisse, tandis qu'ils gardent la tête basse. J'ai le temps de les découvrir, même si je m'y attendais, je suis sidérée de ce que je vois. Leur traitement semble bien pire que celui de Lili.
Comme pour me le confirmer elle m'annonce :
- Voici riri à 4 pattes, tu auras reconnu ton ancien paternel, et fifi debout. C'est moi qui en aie la charges. Pour Maîtresse, un esclave mâle est bien moins qu'une esclave femelle, elle s'occupe peu d'eux, mais veille à ce qu'ils soient durement dressés par moi, et ils ont ce qu'ils méritent à chaque instant. - Je vois cela en effet
Par lequel commencé? Le plus facile, fifi, mon ancien frère. Il a les bras retournés dans le dos et enfermés dans une gaine en cuir. Ses épaules sont tordues et son torse jeté en avant. Ce qui permet de voir la magnifique poitrine qu'il porte, qui n'a rien à envier, au moins en volume, à la mienne. Lili m'explique que les hormones permettent un début, achevé par la chirurgie. Ses hanches sont élargies, tandis que sa taille est étranglée dans un corset de cuir rose, que je trouve incroyablement serré. Comment peut-il sortir ainsi de sa niche?
Il porte le même collier que Lili et riri, sauf que les deux mâles ont un système qui déclenche des décharges au moindre cri. Ainsi ils sont muets complètement depuis des mois, et Victoire pense que d'ici un an ou deux ils n'auront pas besoin de ce sytème. Les deux mâles ont également un large anneau dans le nez, la tête rasée avec tatoué leur nom, et un dessin obscène : Pour riri, une femme faisant caca dans sa bouche, pour fifi, un âne l'enculant. Quelle violence! D'autant que s'ils ont les mêmes marques profondes sur les fesses avec les initiales CE, celles-ci sont également gravées sur leurs joues, et très profondes. Ils ne ressemblent plus à rien! Même si fifi est très sexy avec une peau douce, de jolies hanches et une poitrine somptueuse.
Entre ses jambes un long tuyau métallique renfermant son sexe étiré de façon extrême et permanente, le prépuce, gonflé, émergeant dans une cage pour éviter qu'il se touche. Lili m'explique qu'ils sont bourrés d'hormones, féminines et masculines, et que ce sont des bêtes qui ne pensent qu'au sexe. Je veux bien le croire. Ses couilles sont étirées par des poids qui les allongent énormément, elles sont presque à son genou, les couilles étant noires, je ne suis pas certaine qu'elles soient très productives. Tout respire la souffrance, comme le pieu en acier qui émerge entre ses fesses, comme un gouvernail, scellé au corset et qui le pourfend. Je pense que je pourrais renter mes deux mains dans son cul élargi, comme dans celui de son paternel. Ce dernier a les couilles enfermées dans un système en bois, les bloquant derrière ses genoux, il ne peut absolument pas se relever.
C'est vrai qu'ils réveillent en moi le désir de castration, qui n'a comme seul inconvénient, que le plaisir est vite passé et peu reproductible. Je coule à nouveau, je suis en chaleur, je demande à nouveau à Lili de me satisfaire. J'ai hâte de découvrir Victoire et le pourquoi de ces initiales. Mille questions trottent dans ma tête, moi qui aime la tension, je suis servie.
- Et cela te plaît ainsi d'être en permanence contrainte, suppliciée, utilisée? - Oh oui, j'adore cela - Mais tu dois avoir des périodes où tu es moins excitée sexuellement quand même? - Pas vraiment, tu as vu les chiens sont bourrés de testostérone, et moi d'un cocktail qui correspond à l'ovulation, en permanence, donc non j'ai toujours l'envie, le besoin de sexe de toutes les façons. - Mmmhhh c'est très excitant. Tu es une vraie salope, un sex toy - Oui (Les yeux de Lili brillent, l'humiliation semble lui plaire) - Et les chiens sont comme toi? Heureux? - Oh personne ne leur demande leur avis, ils ont été d'accord au départ, et savaient qu'après ils ne contrôleraient plus rien, ils y ont été préparés et je crois que oui, ils sont bien là où ils sont. - Et les initiales CE, c'est quoi, j'aurais cru les initiales de Victoire - Oh c'est tout comme, en fait ce sont les initiales de son concept, Camp Extrême - Hein? Qu'est-ce que tu me racontes? - Elle a créé avec nous ce concept d'un camp de l'extrême que nous vivons ainsi en permanence, dans les perversions et les souffrances extrêmes. - Et comment faites-vous pour vivre et avoir de l'argent? - Ah cela (Je la sens hésiter), je dois répondre à toutes tes questions - Oui - Alors voilà, Victoire gagne beaucoup d'argent avec nous et le camp de l'extrême. - Elle vous prostitue? - Pas exactement, elle nous exhibe, que ce soit ici dans le camp, la propriété est complètement fermée, ou quand nous sortons. - Mais je ne comprends pas comment cela rapporte de l'argent? - Eh bien disons que notre vie, nos tourments, nos plaisirs sont filmés 24h sur 24. - Comment cela? - Eh bien la maison et le parc sont truffés de caméras avec des opérateurs qui se relaient et tout ce que nous vivons est à disposition de voyeurs, qui parfois vont plus loin que juste voir, et qui paient un abonnement pour cela. - Tout? (Je n'arrive pas trop à comprendre) - Oui - Tu veux dire que là ils écoutent et voient notre conversation. - Oui - Oh mon Dieu!
Je sursaute réalisant tout ce que j'ai fait depuis que je suis arrivée et d'imaginer des centaines de voyeurs en train de se rincer l'œil. C'est abominable. Je remets mon maillot de bain, ce qui est un peu inutile, ils ont dû voir tout ce qu'il y avait à voir.
- Et elle gagne de l'argent ainsi - Beaucoup oui. Elle nous sort aussi en soirée, nous sommes des sortes d'objets célèbres, évidemment toujours pour de nouvelles souffrances ou humiliations. C'est devenu très chic dans ce milieu d'avoir riri comme toilette humain par exemple, d'où le dessin sur son crâne. - Quelle dépravation! Et il y a beaucoup de gens qui suivent cela? - Environ 50 000 - Quoi? Mais il doit y avoir des gens que tu connais ou que je connais. - Oui bien entendu, une partie de nos connaissances s'est éloignée, mais une autre partie a pris beaucoup de plaisir à nous utiliser et avilir. Tu découvres que l'âme humaine est profondément perverse. - Et il va se passer quoi dans dix ou vingt ans quand tu seras trop vieille? - Nous verrons bien, mais je ne vais pas vivre aujourd'hui en fonction de ce que cela risque d'être dans vingt ans. - Pas faux mais quand même. Cependant il y a beaucoup de choses qui interdisent un retour en arrière. - Oui, comme la castration de fifi, il y a eu un grand vote, et les trois quarts étaient pour. Le plus excitant c'est qu'il n'a jamais pu se servir de sa queue, il est vierge. - Mmmhhh c'est très pervers en effet, mais un vagin lui ira mieux je trouve en effet. Toutes ces émotions m'épuisent, il y a trop d'informations à la fois. Remets les chiens dans leur niche, va me faire à manger, j'irai me coucher ensuite. Sais-tu quand je vais voir Victoire? - Elle sera là demain matin pour toi. - Et tous les voyeurs vont me regarder dormir? - Oui tu peux en être certaine. - Amusant. Ah une dernière question, est-ce que vous avez trouvé mon carnet secret? - Celui qui était caché? Oui bien entendu. J'ai toujours su où tu le cachais mais j'ai été surprise que tu ne l'emportes pas, alors je l'ai lu pour la première fois. Et le ciel m'est tombé sur la tête. - Je comprends mieux du coup - Oui car je l'ai amené pour ma première visite chez Victoire, et c'est là qu'elle m'a convaincue que c'était ma vie, ma voie et que notre famille était totalement dysfonctionnelle. - Et du coup, qu'est-ce qu'elle pense de moi? - Elle ne sait pas, que tu es une fille passionnante, mais qu'elle ne sait pas, avant de te voir, ce que tu es faite pour vivre? - C'est-à-dire? - Nous rejoindre dans l'esclavage ou prendre les rênes du centre extrême. - Oh ou alors partir en courant - C'est possible aussi.
Je suis sous la douche, histoire de repenser à tout cela. Effectivement il y a des glaces partout dans la maison, masquant des caméras si j'en crois Lili. Quelle folie. Imaginer des dizaines voire bien plus de voyeurs me regarder sous la douche, nue, eh bien, cela m'excite. Je sais que je rends les hommes dingues avec ma poitrine opulente, je la savonne longuement, je joue avec, la faisant rebondir. Ces centaines d'yeux qui me regardent m'excitent, je me savonne le sexe qui est tout lisse, je déteste les poils, je rentre quelques doigts, je gémis, autant pour le plaisir que pour stimuler mes voyeurs, le plaisir monte, mais je ne veux pas jouir tout de suite.
Je me rappelle comme jeune j'aimais faire durer cette montée du plaisir, allant parfois jusqu'à me priver d'orgasme pour garder cette fièvre. Je prends le pommeau de douche, je le dirige sur mon sexe, je baisse la pression, j'augmente la chaleur, cela me brûle, je gémis de douleur, je veux résister, j'augmente encore la chaleur, la vapeur est intense, je halète, mon sexe est rouge vif, mon clitoris est tout dur et érigé, je me demande s'ils peuvent faire une zoom dessus, cela me stimule, j'augment encore, maintenant je crie, je compte une minute, je veux tenir une minute. Alors je bascule sur de l'eau glacé, qui me fait tout autant crier, j'ai le cœur qui bat la chamade.
A peine séchée, je m'écroule sur mon lit, j'ai vérifié, ma boîte à jouets est toujours en dessous, avec son cadenas inutile. Les godes sont bien rangés, je prends le plus gros, je le lèche, impossible de le rentrer dans ma bouche, mais j'en ai déjà pris des bien plus gros. Celui-ci est court et très large, je mets de la crème pour le visage dessus, je m'acroupis, je regarde droit dans la glace en face du lit, je pointe le bout sur mon cul que j'ai ouvert sous la douche, et je me laisse doucement glisser dessus, la bouche ouverte par la sensation.
Tous ces jeux que j'adorais me reviennent en mémoire. Je sais que je n'ai pas le droit de me retirer tant que le gode n'est pas complètement enfoncé, juste de faire des pauses. Je résiste à l'envie de me soulager, je tire sur mes fesses pour m'ouvrir, et je m'enfonce un peu plus à chaque seconde. L'image sur le miroir est torride, je fais voler la couette pour qu'elle ne gêne pas les voyeurs, et avec un cri de souffrance, j'assoie mes fesses sur le lit, le gros gode est complètement en moi, je le sens qui appuie sur tout mon ventre, j'hésite, mais non il n'est pas encore temps de jouir.
Je me relève et redescends doucement, faisant coulisser les quinze centimètres du gode, jusqu'à ce qu'il sorte presque, pour à nouveau me replonger dessus. J'ai des frissons partout, c'est délicieux, comme cela m'a manqué! Voir Lili et les garçons comme cela m'a tourné la tête, replongée dans ma drogue de façon encore plus intense que jamais. Cette fois-ci je n'ai aucune envie de lutter contre, au contraire, mais de me laisser porter.
Je compte cent allers et retours, lents et profonds, mon cul est divinement ouvert, j'aime follement cette sensation, j'aimerais que Lili vienne me lécher pour me faire jouir, mais je ne peux pas bouger. Je vais m'en passer, et je me fais jouir dans des cris stridents avant de m'affaler sur le lit. Je m'endors ainsi, sans couette, le gode encore à moitié en moi, remarquant le miroir au-dessus de mon lit. Décidément, ils ne perdent rien.
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Mais c'est quoi tous ces profils qui publient des récits piqués à droite, à gauche ?
https://french.literotica.com/s/une-famille-sous-influence?page=2
Bonjour
Je suis daddy (DDLG) de base, j'ai eu une expérience virtuelle en PetPlay et cela m'a bien plu.
Je recherche à essayer/réessayer cette expérience, idéalement IRL
Je suis du coin de Metz (57) et une présentation sur mon profil
Bonne journée
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Jeune puppy débutant cherche des maître et maîtresse pour discuter de pet play et peut être ce rencontrée ^-^
Coucou ^-^
Je cherche des gens pour m'aider à découvrir et m'épanouir dans mon rôle de puppyboy ^^
J'ai actuellement du mal à faire des rencontres autour de ça donc je tente ici ^^
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Bonjour ;…. Envie d évoluer dans ce domaine… de progresser… un maître pet de mon secteur… ami
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Le livre PonyGirl est enfin sorti.
Comme je l’évoque dans mon texte sur les dix ans de nos pratiques du PonyGirl, j’ai enfin trouvé quelqu'un pour m’aider à finaliser ce projet. Nous avons travaillé en binôme pendant plus d’une dizaine heures pour le mettre en forme et, par la suite, l’envoyer chez un éditeur.
Ce livre raconte le parcours que nous avons réalisé moi et Alcyone avec les expériences acquises et les difficultés que nous avons surmonté qui nous ont permis d’avancer.
Au final onze années de travail assidu et d’aventure pour que notre amour conjoint du PonyGirl soit résumé en une cinquantaine de textes et de photos.
Enfin un livre en français qui, je l’espère, permettra aux passionnés de pony de découvrir une histoire vraie et réelle.
Bonne lecture.
https://www.thebookedition.com/fr/ponygirl-p-414003.html
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Bonjour à tous je suis a la recherche d'une formation petplay novice en la matière mes motivé
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Bonjour, avec ma chienne O/on vous souhaite une bonne année 2025 à toutes et à tous. Photo perso, ne pas diffuser merci.
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Merci StellaMaris de Ngu59fr d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
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merci Flamedra, Vous pouvez voir mieux le harnais sur cette photos https://www.bdsm.fr/photo/1067363/2024-06-29-0326/feed_465862
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Bonjour
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Au puppy qui semble avoir effacé sa publication suite à une réponse qui ne lui a pas plu… (ce qui n’est pas très respectueux car quand une personne prend le temps de répondre la discussion ne devrait pas être supprimée).
Bonjour,
Vous faites un énorme raccourci, le petplay peut, certes, aller jusqu’à une identification mais c’est une forme de jeu de rôle avec des règles définies et des limites claires.
Les relations little / Daddy ne sont pas non plus de relations pédophiles.
Les relations SM ou D/s ne se sont pas abusives non plus.
Les pratiques BDSM ne sont pas des fantasmes, ce sont des relations saines et équilibrées où il y a un transfert de pouvoir consenti d’une personne à une autre personne.
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Jai supprimer ma publication car je me suis rendu compte que j'avais mal formuler ma question, je voulais la récrire, pardon si j'ai offenser cette personne je me suis d'ailleurs excuser en commentaires. Pour en revenir à ma publication récemment j'ai eu une discussion avec plusieurs membres de la communauté bdsm, et on m'as dis qu'un non pet qui veut le faire avec un pet est un zoophile, j'ai mal formulé la question est ce que c'est réellement de la zoophilie ou non désolé si j'ai offensé des gens ayant moi même eu des relations avec des non pup entant que pup
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05/08/24
Vous auriez pu garder votre message et y mettre ceci en réponse.
« On », « plusieurs membres de la communauté BDSM », c’est vague.
Quant aux fantasmes, ce ne sont pas des passages à l’acte…
Tout acte relevant du BDSM est un acte de consentement éclairé entre adultes.
Désolée pour le post en doublon, j’ai un réseau défaillant.
Lolita14000, je l’ai supprimé, toutes mes excuses.
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05/08/24
Si vous vous préoccupez de ce que pensent les autres, arrêtez tout de suite de vivre. 😉
Tant que respect de la loi et du ou des partenaire(s) et consentement sont présents vous ne faites rien de pénalement répréhensible.
C’est envers la personne qui a pris le temps de vous répondre (Tindalos) que vous devriez vous excuser.
Sujet incompréhensible tellement de manques et impossible a suivre. Se censuré soit même, apporte la confusion. Dommage 😭
Lire la définition dans le dico .zoophobie ne peut être comparée avec des humains entre deux .peux importe ceux qu ils font
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15/08/24
Bonsoir
Je viens de vous lire
Alors je vous répondrais par une autre question
Si quelqu'un a peur d'un chien, aura t'il peur de quelqu'un déguisé en chien ?
Si la personne est saine dans sa tête, elle saura faire la différence
Sinon, je lui conseille d'aller consulter tout comme ceux qui pensent que l'on pratique la zoophilie, ces gens là ont l'esprit mal tourné
... Retourne sagement dans son terrier....