
Melanie
C’est vendredi soir, nous avons réservé un manoir pour le week-end. Mon Maître ouvre la portière arrière de la berline où je suis attachée et encagée. Il me tend la main. Je pose un escarpin sur le sol caillouteux et sors de la voiture. Maître Elias tient ma laisse, et je marche à quatre pattes jusqu’à la porte, au risque de déchirer ma robe scintillante bleu nuit. Je lâche le gros trousseau de clés que je portais en bouche dans la main délicate de mon Maître. Nous découvrons un endroit sombre et spacieux. Les rideaux rouges créent une ambiance tamisée que nous édulcorons de quelques chandelles. Nous savons bien sûr à quoi elles serviront, mais nous ne savons pas encore où.
Je suis excitée. Je sens le bas de mon ventre se tordre de stress et d’impatience.
Elias s’assoit sur le canapé et je me place à ses pieds. Je m’incline pour lécher ses chaussures, ses semelles. Il en profite pour écraser mon visage de femelle. Je me mets à genoux et défais ses lacets. Je retire ses chaussures et les lèche une nouvelle fois. Je frotte mon visage contre ses pieds et attends mon tour. Il le sait, il attend et profite de ma dévotion. Au bout d’un moment, il me fait signe de me lever et de m’allonger sur ses genoux. Un de mes jeux préférés. Je sais que je vais subir. Il saisit mon bras droit pour le tenir fermement dans mon dos, puis commence à me fesser. Très vite, très fort, et me fait compter. Je commence à hurler. Je sais que nous sommes seuls, je peux tout sortir. J’ai mal, et j’aime ça.
À la fin du châtiment, il me permet de boire dans la gamelle qu’il me sert.
— Tu n’as pas oublié les croquettes, j’espère ? dit-il d’un air malicieux.
— Non, Maître... dis-je timidement. En effet, j’ai perdu un pari. Je savais que ce jour arriverait, d’une manière ou d’une autre.
— Mais d’abord, c’est l’heure de la douche.
Mon Maître m’emmène dans le jardin, face à un trépied où est accrochée une caméra. Il m’attache les bras en l’air à un arbre, et devant le regard des internautes, me gifle, me fouette avec sa ceinture, et me fesse. Il s’absente dans la cabane du jardin et revient avec des cisailles. Il les rapproche de mon visage, puis de mes seins, et coupe deux ronds au niveau de mes tétons. Il les tire, les mord, et y accroche deux petits poids à clochettes. Il met sur ma tête des oreilles de vache et fourre dans mon cul un plug avec une queue de chienne. Il découpe ma robe au niveau du ventre, laissant apparaître ma chatte trempée. Il me maquille un peu, me dessine des moustaches, écrit « SALOPE » sur mon front et « grosse vache » sur mes mamelles. Je suis sa grosse vache maintenant.
— Vas-y, je sais que t’en meurs d’envie...
— ...
— Allez, fais pas ta prude, c’est un ordre.
— Meeeeuh.
— Plus fort !
— MMMEEEEEEUUUUUH !
Mmmh, me voilà transformée. Il rapproche la caméra pour montrer mes seins au grand public, se délectant des commentaires. Certains lui donnent des idées. Voilà qu’il me coupe les cheveux. Il coupe une énorme mèche sur le côté droit et me fait une coupe au carré — mes cheveux arrivaient jusque sous mes épaules. Je commence à avoir peur de leurs idées et de l’enthousiasme couplé de mon Maître bien-aimé. Je crie « ROUGE », notre safe-word, et il pose les ciseaux. Nous nous sommes arrêtés à temps. J’ai aimé qu’il me fasse la tête au carré.
Enfin, il ouvre l’arrivée d’eau et remplit un petit seau d’eau froide qu’il déverse au-dessus de mon visage. Je me dandine en escarpin, les poignets liés à l’arbre du jardin qui s’assombrit. Il met le flash de son téléphone, qui m’éblouit, pour continuer à nous éclairer. Le calvaire continue, je frissonne, je compte encore, il s’arrête au quinzième seau.
— Mais pour celui-ci, tu pencheras la tête vers le haut et garderas les yeux ouverts.
— Oui Maître, Meeeeuh, Maître.
— Bonne grosse vache, ça.
Nous rentrons. J’ose croire avoir le droit de me réchauffer, mais Elias me réserve une autre peine. Il commence à pleuvoir, et il y a une cage qui orne le manoir, donnant sur la vallée, dehors. Il m’y enfourne. Mes jambes dépassent un peu des trous des barreaux. C’est terrifiant. Il vient me narguer en bas, me filme encore. Et j’aime ça. Il s’en va, me laissant une demi-heure, tandis qu’il se réchauffe dans un bain.
Il vient me chercher et me permet d’en prendre un aussi. Il me lave, me caresse, glisse ses doigts dans ma chatte mouillée. Il va au plus profond, de tous ses doigts. En sortant, il me vêt d’un peignoir soyeux et applique de l’huile sur mon corps, sans omettre aucun endroit.
Je ne porte plus rien à part mes escarpins, mes oreilles, et ma queue. Je me déplace à quatre pattes tout le temps maintenant. C’est douloureux, mais à portée de queue. Pratique. Je suce mon Maître pendant des heures tandis qu’il partage des vidéos de nos performances.
Il m’emmène dans la cave, où il m’attache et continue de me fouetter. Il accroche des poids plus gros à mes mamelles et décide d’accepter chaque proposition des spectateurs. Je finis rapidement godée par tous les trous. À l’unanimité, nous retournons dans le jardin. Je subis de nouveau la torture de l’eau fraîche sur mon corps maltraité. Ils recouvrent mon corps d’écritures, d’insultes : « déchetterie » sur le bras, « baleine » sur le ventre, « bonne à prendre » dans le bas du dos, « trou à bite » autour de la bouche.
— Tu es ridicule, ma salope.
— MMEEEEEUHHHHH...
Tant que le ridicule ne tue pas, je suis prête à tout. J’aime être humiliée.
Soudain, nous entendons une voiture se garer de l’autre côté du manoir. Mon Maître y va, et revient au bout de quelques minutes avec un vieil agriculteur. Ils éclatent de rire en me voyant, en plein désarroi et gênée, puis finalement épuisée. L’homme s’approche, retire les énormes pinces brutalement de mon sein et tête immédiatement mes mamelles. Il fourre un doigt dans ma chatte, puis le lèche et m’embrasse pendant de longues minutes ainsi.
Après une courte pipe, on me bâillonne, on me bande les yeux, et on m’emmène dans la voiture. Elle roule sans qu’on m’informe de sa destination. Cela dure une demi-heure. Le bâillon étire ma mâchoire, ça devient douloureux. Je bave terriblement au-dessus d’un seau qu’ils ont placé sous ma bouche.
Nous arrivons. J’entends des bruits d’animaux. Au sol, je ressens du foin.
On m’attache le cou et la taille, puis on me retire mon bandeau. Je suis dans l’étable, entourée de vaches. Je sens une aspiration sur mes tétons et pousse un cri.
L’agriculteur, surpris par mes cris et les coups de ceinture, est venu jeter un œil. Mon Maître lui a expliqué ce que nous faisions réellement, s’excusant par politesse, tandis que le vieux rétorquait, avouant que c’était son plus gros fantasme. Si, par hasard, le Maître était d’accord, Monsieur pouvait prêter ses lieux à des fins sexuelles. Ainsi, me voilà traitée et prise par le cul par l’agriculteur, sous la caméra de mon Maître qui commence enfin à se branler. Les spectateurs sont ravis.
Maître Elias part chercher des orties dans le jardin et caresse mon visage et mon clitoris avec les feuilles. Il finit par enfourner une main pleine dans ma chatte et y relâche les plantes. Je commence enfin à pleurer.
En prime, on me jette un nouveau seau d’eau sur le corps. Mon Maître sort les pinces électriques, et je sais que la soirée ne fait que commencer. Pendant plusieurs minutes, mon Maître électrocute mon clitoris et mes tétons, sur lesquels pendent toujours des pinces avec des poids. Je tremble de tout mon corps tandis que le vieux continue de prendre mon cul.
Une fois que le vieux a joui, nous rentrons chez lui. Je serre une bière à chacun d’eux, me fais un thé que je bois au sol, et m’allonge près du feu tandis qu’ils discutent. Je m’endors. Erreur. Je suis réveillée par une énorme baffe de la part de l’agriculteur et un coup de pied dans le ventre de la part de mon Maître.
— Tu me fais honte, est-ce des manières ?!
Pour me faire pardonner, je rampe aux pieds de mon Maître et lèche ses chaussures. Il me donne un coup de pied au visage :
— Excuse-toi auprès de Maître Georges. Pour te faire pardonner, je te confie à lui. Je reviens demain.
Sur ces paroles, il claque la porte, démarre la voiture, et me laisse telle une proie entre les griffes d’un inconnu. Je ne le sais pas, mais pendant que je dormais, mon Maître a installé des caméras, et regardera tout depuis la voiture, pas très loin.
Je gis encore au sol, et mon nouveau Maître s’allonge sur moi de tout son poids, m’asphyxie doucement. Je suffoque.
— Tu vas faire quoi hein, petite soumise ? me lance-t-il, le regard envoûté.
Il met son énorme main dans ma chatte et commence à me fister, avant de caresser mon anus de son autre main aussi gigantesque. Je jouis de bonheur. Il m’emmène dehors, de retour à l’étable. Il me fait faire le tour du propriétaire, à quatre pattes, me présente à ses animaux. Il choisit la cage des cochons et m’y place. Il en sort, me prend en photo, puis l’envoie à un de ses amis. Il se branle en me regardant plantée là. Au bout d’un quart d’heure, quelqu’un arrive. C’est son ami. Tous deux se branlent en me mattant.
Lorsqu’ils me sortent, j’en suce un tandis que l’autre me prend, et nous échangeons. Tantôt dans ma bouche, tantôt dans ma chatte et dans mon cul. L’un d’eux a essayé de rentrer dans mon nez, il a tiré sur mes narines pour les élargir et a joui dedans. Son sperme a coulé dans ma gorge. L’autre a joui dans mon cul. Il m’a fait m’accroupir au-dessus du seau qui servait auparavant dans la voiture à recueillir ma bave lorsque j’étais bâillonnée, et m’a forcée à pousser. Son sperme a jailli de mon cul, et j’ai bu tout le contenant sous les yeux ébahis de mes Maîtres.
La grosse vache est dans la place.
Je me fais de nouveau traire, l’agriculteur étant fier de montrer le spectacle à son ami.
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Travnina62
Un wouaf wouaf… hummm.
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07/09/25
fabfa
fab
Très jolie partage' merci
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12/09/25
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@segnieurmaitre : bonsoir, je suis sa Maîtresse unique. C'est ma chienne et je suis fière d'elle. 🌸🙂😇
Superbe photo !! Le rêve d être à sa place ou à côté ! A t elle finis sa gamelle ??…
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08/09/25
La domination Pet Play, c’est quoi ?
Avant de vous raconter mon histoire, je vais vous parler brièvement de la domination Pet Play pour ceux qui ne connaissent pas vraiment. C’est tout simplement un jeu de rôle animal sous forme de jeu érotique. Le comportement et les agissements de l’animal (nous parlons du soumis bien évidemment) peuvent déjà être inculqués ou vous pouvez prendre le rôle d’un dresseur.
Une première séance de Pet Play BDSM
C’était la première séance Pet Play que je réalisais avec ce soumis. J’ai donc décidé de prendre le rôle du dresseur. Pour le choix de l’animal, nous nous sommes mis d’accord assez rapidement : le chien. Un peu cliché, mais j’adore les chiens ! Nous avons également choisi le costume et les accessoires ensemble. C’était une première pour lui, j’ai donc souhaité le faire participer afin qu’il se sente à l’aise.
Une histoire de domination Pet Play
La domination Pet Play est un jeu de rôle comme les autres. Dans ce cas précis, je m’occupais de dresser mon chien. Nous avons réalisé une séance plutôt soft afin de voir comment mon toutou se comportait. Mais également pour que mon soumis puisse se rendre compte si c’est quelque chose qu’il aime vraiment.
Dressage et éducation BDSM
J’ai commencé mon dressage par la propreté. J’adore les chiens, mais je ne souhaite pas que ce dernier fasse ses besoins n’importe où dans la maison. Je lui ai donc mis à sa disposition quelques feuilles de journaux dans le coin de la pièce. Tenu en laisse, mon chien soumis a donc appris à faire ses besoins dans un endroit précis, sans lever la patte quand il s’agissait d’uriner.
La punition de mon Pet Play BDSM
Si mon Pet Play BDSM s’amusait à faire des bêtises, ou s’il ne réussissait pas à faire uniquement sur le papier journal, il avait une punition pour comprendre sa faute. Il était donc enfermé pendant un certain temps dans sa cage. Cette dernière est assez grande pour que mon soumis puisse rentrer à l’intérieur. Mais assez petite pour qu’il ne puisse pas se sentir trop à l’aise non plus.
La récompense de mon animal érotique
Pour les bêtises, il mérite une punition. Mais quand il réussissait l’exercice, mon petit animal érotique avait le droit à une récompense. Pour la recevoir, il devait s’installer en face de moi, assis (comme un chien) et me donner la patte. À ce moment, je lui donnais une petite friandise.Bien entendu, on ne peut pas forcément faire pipi et caca sur commande. J’avais donc demandé à mon soumis de ne pas aller aux toilettes de la journée. Lorsqu’il urinait, il faisait en sorte de ne pas se vider entièrement afin que le dressage dure le plus longtemps possible.
Rencontrer une domina pour du PetPlay
Il ne vous reste plus qu’à trouver une maîtresse pour vos séances de PetPlay. Pour cela, je vous conseille de vous tourner vers les sites de rencontre, notamment si vous n’habitez pas dans une grande ville. Pour vous aider à trouver la dominatrice de vos rêves
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Salut cherche homme cavalier
Je veux me mettre à quatre pattes, et que tu viennes t'asseoir sur moi, comme si j'étais ton cheval.
J'aime me sentir soumis entre les jambes d'un cavalier et que tu me chevauches vraiment comme si j'étais un cheval, bien entendu dans le respect.
Je peux te porter sur mon dos et te laisser me guider .
Je suis serieux, et je respecte les limites.
Si tu es curieux et que l'idée t'amuse de me monter sur le dos, comme si j'étais un cheval, écris-moi . Je suis un mec soumis. Je tiens à préciser que je suis de marseille et si quelqu'un interessé par mon annonce , contacter moi ! Merci
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Je cherche une chienne de chenil , capable de venir dans les Landes pour être dressée et servir son Maître
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Très belle cage de chenil !… bravo pour l’aménagement … bises amicale sur vos pieds
Bianca était heureuse en femme soumise et surtout en pets. Quand son maître, un ambassadeur très doué avait été muté dans un pays du moyen orient, son coeur s’était déchiré. Bon prince, Maitre Carl rencontré sur XXX lui avait dit avec des larmes dans les yeux, qu’elle pouvait vivre sa vie. En guise de réponse, elle répondit simplement que les autres hommes ne l’intéressaient pas. Ce fut un grand moment de déchirement, quand la porte s’était refermée. L’un et l’autre n’arrivaient pas à rompre les dernières minutes, d’une relation idyllique.
Bianca sombra dans la déprime pendant quelques mois avant d’être rattrapée par la vie, avec sa mère sombrant dans la vie d’Alzheimer. Ce nouveau « loisir » si difficile à vivre poussa un peu la déchirure précédente. Après l’avoir placée en maison de retraite spécialisée, elle s’était retrouvée. Retrouvée seule sans obligation autre que son travail, seule sans envie particulière. Pendant le premier confinement, la solitude devint pesante, elle ne pouvait même plus aller boire un verre avec ses copines du travail.
« Dans nos appartements, nous sommes comme enfermés dans des cages » lui avait dit une copine au travail. Pour Bianca ce fut comme un déclic. Elle avait toujours sa cage, une vraie cage à chien que Maitre Carl lui avait laissée, avec toutes leurs petites affaires de pets-play et d’autres accessoires BDSM. Pendant tout le trajet en transport en commun, elle ne pensa qu’à ça. Malgré les masques, les voyageurs pouvaient apercevoir la détresse de cette femme perdue dans ses pensées.
Arrivée chez elle, mue par une impérieuse envie de revivre, Bianca se rendit au garage pour ouvrir la malle poussiéreuse, contenant leurs petits secrets achetés sur un sexshop en ligne Tout était là, soigneusement emballé dans des poches plastiques. Contre le mur, la cage démontée semblait lui faire de l’oeil. Elle eut comme une décharge électrique quand elle l’attrapa pour la rentrer dans la maison. En se traitant de folle, Bianca l’installa dans la chambre puis remonta tous les éléments de son futur lit. Sans même prendre sa douche, après s’être mise nue, elle rapporta la fameuse malle devenant magique. Après avoir posé son collier qu’elle serra plus que d’habitude, Bianca suça le rosebud du plug queue de chienne pour le lubrifier et se le mit dans les fesses.
Dans la folie de cette envie de revivre sa vie de pets, elle réinstalla les gamelles sur le sol dans la cuisine, l’une avec de l’eau, l’autre avec une boite de Corn flakes avec du lait. Comme si elle était pressée, Bianca fonça dans sa chambre pour attraper ses genouillères, les ceintures, sa cagoule de chienne. Assise sur le lit, elle mit les genouillères puis plia les jambes pour les bloquer avec les petites ceintures. Après avoir mis sa cagoule, pour lier ses bras pliés l’un sur l’autre avec les ceintures, elle galéra un peu en maugréant.
Ce n’est qu’à ce moment là qu’elle se vit dans le miroir de sa penderie. « Ça y est, tu es enfin revenue » se dit-elle à voix basse avant de se gronder, une chienne ne parle pas, descends du lit, tu n’as pas le droit d’y monter sans permission.
« Quelle conne, je n’ai pas éteint la lumière » pensa Bianca après être descendu du lit avec prudence. Elle s’avança à quatre pattes en appui sur ses genoux et ses coudes pour aller faire la belle contre le mur afin d’appuyer sur l’interrupteur avec son nez. Dans la pénombre de la chambre, elle distinguait encore sa cage, son refuge. Elle s’y précipita alors qu’en d’autres temps, elle râlait un peu quand Maitre Carl ne la voulait pas dans son lit. Roulé en chien de fusil, elle attendit tristement le sommeil. Il tarda à venir, elle avait perdu l’habitude de sa cage, chacun de ses mouvements lui rappelant sa condition de chienne, une chienne abandonnée, livrée à elle même, même pas conduite à la SPA.
Au milieu de la nuit, rattrapée par une envie pressante, elle quitta la cage quasiment à l’aveugle pour aller toujours à quatre pattes se soulager dans la douche. Si Maitre Carl avait appris qu’elle avait quitté sa cage sans permission, il l’aurait grondée. Sur le chemin du retour, tenaillée par une petite faim, elle se rendit à la cuisine en se disant qu’il faudrait qu’elle trouve un moyen de s’imposer de rester dans la cage. Avant il arrivait que son Maître la verrouille pour l’obliger à attendre. Elle devait trouver le moyen de revivre son passée de pets comblée. Le nez dans la gamelle, elle grignota un peu de Corn flakes puis but un peu d’eau en lapant avant de retourner se coucher.
Il était là, il la tenait par la laisse et la prenait en position Doggystyle. Elle s’entendit couiner, ce qui la réveilla. Triste retour à la réalité que de passer du rêve à la réalité. « J’ai la chatte qui me démange » pensa vulgairement Bianca. Cela faisait un an qu’il était parti, un an de deuil, un an sans le moindre orgasme, sans le moindre plaisir solitaire. S’être remise à jouer seule, lui ouvrit les yeux, elle avait le droit de vivre sa vie de femme. Cette dernière pensée déclencha chez Bianca, le besoin de rêver et de fantasmer à nouveau.
Vivre sa sexualité avec un autre homme n’était pas concevable. Elle décida de chercher de quoi s’amuser seule, se faire plaisir en version BDSM. C’est sur ses pensées aussi coquines que motivées, qu’elle quitta sa cage et se libéra. A la suite de quoi, elle prit sa douche et un café devant son ordinateur. Après avoir réactivé son compte sur le nouveau Fessestivites, elle se lança sur les forums qui sont surveillés et où l’on trouve de bonnes idées, de bons renseignements. C’est là qu’elle tomba sur la rubrique selfbondage. Bianca avait déjà parcourus quelques scénarios de selfbondage, avec comme idée de trouver des trucs pour s’offrir entravée à son Maître, comme cadeau d’anniversaire.
Dans sa tête, les idées s’entrechoquaient, un an de sagesse et privation libéré en une nuit, cela fait faire quelques folies. Elle commença par suivre le lien indiquant comment trouver des cadenas électroniques. Cela lui permettrait de fermer sa cage sur une durée et surtout, de s’interdire d’en sortir. Et là, elle découvrir que sur ***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***, il y a aussi des scénarios de selfbondage qui sont proposés avec certains produits.
Prise dans sa folie des achats, elle téléphona au bureau pour dire qu’elle était souffrante et que, par précaution avec ce covid, elle ne viendrait pas travailler.
- Cliquets de corde pour bondage et selfbondage x 2- Collier BDSM métalliques avec cadenas x 1- Un coffre électronique de BDSM ABDL ou chasteté- 2 sangles 2 mètres pour vos bondage et selfbondage x 2- Menottes poignets en métal x 2- Cadenas électronique bondage et selfbondage x 2
Elle en était là quand elle consulta son panier sur ABCplaisir, quand elle tomba sur le Lot sex-machine complet 225 coups par minute. Ce fut sa dernière folie dans ses achats compulsifs ! ! !
Après avoir fait « fondre » sa carte bleue, Bianca revint sur Fessestivites. Elle dévora tous les scénarios de selfbondage qu’elle découvrir dans les articles. Son but était simple : se former, apprendre, trouver des trucs et des astuces ! Nue sous son peignoir de bain, elle constata que ses tétons pointaient. « tiens, ils se remettent à vivre eux aussi » se dit Bianca. Naturellement attirés par son entrejambe, ses doigts trouvèrent les lieux très humides. Presque honteusement, c’est en regardant les vidéos de selfbondage qu’elle décida de se caresser. Le plaisir fut au rendez-vous « des anciens de la vie », les retrouvailles des doigts solitaires avec son intimité furent généreux et même épuisants.
- J’ai fait des folies sur ABCplaisir ! Se dit soudain à haute voix Bianca une fois rassasiée.
Pour mettre un terme à ses moment d’égarement, elle s’habilla pour aller travailler avec plus de deux heures de retard. Elle allait soudain mieux....
......................
Le soir même, Bianca recommença ses petites folies solitaires en vivant sa vie de pets-girl célibataire. Pour ses bras, elle ne mit pas les ceintures pour cause de petites douleurs aux coudes mais enfila les moufles en cuir sur ses petites mains. Une heure plus tard, elles étaient retirées, surfer sur Fessestivites avec des moufles, ce n’est pas pratique. Elle commença à faire des scénarios à la façon de Petifou-Selfbondage.
- Comment m’attacher au radiateur en guise de punition avec mon bâillon os.
- Comment fermer la cage pour une nuit- Comment utiliser la sex-machine comme si je n’étais pas volontaire
Dans chacun de ses scénarios écrits sur des fichiers Word, Bianca notait méticuleusement tous les détails. Pour la nuit imposée en cage, pour s’éviter de dormir dans son urine, elle avait même prévu une couche pour personne incontinente alors qu’elle déteste ça. Pour le scénario avec la sex-machine, elle avait décidé qu’elle ne devait pas pouvoir se soustraire avant la fin du temps décidé. Ce fut le scénario le plus compliqué à écrire et lui imposant même de faire des tests de position. Dans un état d’excitation avancé, elle voulut s’interdire de se caresser avant que les nouveaux accessoires ne soient livrés. Cette résolution ressembla à toutes celles prises le premier janvier.... « J’aurai aussi du prendre une ceinture de chasteté » se dit Bianca en se traitant de S......
Par chance, le colis fut livré le samedi matin. Elle put le réceptionner sans aller faire deux heures de queue à la poste. Rien que d’ouvrir le carton la mit dans tous ses états, tout comme la vue de la sex-machine et son phallus soudain très attirant. « J’ai du cicatriser en bas » se dit Bianca avec humour.
Une fois la porte et les volets fermés, elle testa le collier en premier. Il ne la quitta plus jusqu’au lundi. Elle mit en charge les cadenas électroniques puis étudia le fonctionnement du coffre électronique qu’elle testa sur deux minutes. Conformément à ce que qui était indiqué, il était impossible à ouvrir avant la fin du compte à rebours. Pour bien démarrer son week-end de pets, Bianca mit sa combinaison de chienne et sa cagoule préférée. Elle fixa une paire de menottes au radiateur puis les clés dans le coffre électronique. Les clés des menottes étant attachées avec de la ficelle à ses menottes comme le conseille Petifou-Selfbondage, quand le coffre s’ouvrirait elle n’aurait qu’à tirer sur la ficelle pour récupérer les clés. Par peur que le coffre ne fonctionne pas et sécurité, elle attacha le deuxième jeu de clés de menottes à son rouleau de ficelle à rôti qu’elle déposa le plus loin possible.
Tout étant prêt et sécurisé, Bianca s’entrava une heure au radiateur avec les poignets menottés. cette heure lui parut longue, et en même temps, l’excita un peu par le fait de ne pouvoir fuir. Elle décida qu’il faudrait qu’elle s’achète une chaîne pour s’attacher par le cou comme une chienne ou qu’elle essaye de coincer la laisse avec les cadenas électroniques.
Toujours très prudente, Bianca teste ensuite les cadenas électroniques pour voir s’ils s’ouvrent comme prévu. A la suite de quoi, elle se penche sur la sex-machine. Après l’avoir branchée elle joue avec la télécommande et découvre en se pinçant les lèvres de gourmandise, que l’oeuf vibrant et le mini gode sont aussi puissants voir plus que son Magic Wand Massager. Elle en ouvre et ferme ses cuisses d’excitation.
L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence !
Bianca imprime son scénario puis se rend dans sa chambre pour l’installer. Placée au fond de sa cage, la machine ne pourra pas reculer. Pour s’interdire toute fuite en avant, elle a prévu de mettre une ceinture avec un cliquets de corde qui sera fixée au barreau. Avec deux autres cliquets de corde fixés également à sa ceinture, elle s’interdira de fuir sur les côtés.
Pour ses poignets, Bianca a prévu les deux paires de menottes, une de chaque côté de la cage avec les cadenas électroniques. Ainsi, si l’un tombe en panne, l’autre lui libèrera une main menottée ce qui lui permettra alors d’attraper les clés posées devant elle.
L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence ! (Bis)
Pour être encore plus dans l’ambiance de chienne couverte à un mâle assoiffé de sexe, elle se met son bâillon os. Au lieu de mettre sa queue de chienne, Bianca décide de se mettre l’oeuf vivrant de la sex-machine dans les fesses. Elle serre ses cuisses et ses jambes avec des ceinture pour avoir encore plus la sensation d’être prisonnière. Elle n’a pas besoin de lubrifiant quand elle entre à reculons dans la cage, le phallus glisse en elle sans difficulté. Avant de tendre les cliquets de corde, elle fait un petit essai et savoure avec délice les premiers mouvements. « Je vais m’éclater comme une folle » si dit Bianca en tendant un peu trop les 3 cliquets de cordes. Elle ne peut ni bouger sur les côtés ni avancer.
Dans son état d’excitation démesuré, elle règle les cadenas électroniques sur une heure puis, passe la menotte dans l’anneau du cadenas électronique. Elle démarre la sex-machine puis l’oeuf vibrant. Les yeux fermés et en mordant son bâillon, Bianca savoure les vibrations anales et le phallus s’enfonçant en elle à un rythme régulier. « Ça va être l’extase totale » se dit elle en décidant d’accélérer un peu la vitesse du phallus.
Elle décide donc de finir son selfbondage de pets à faire « couvrir » en fermant la deuxième paire de menottes. Elle a donc les bras écarté fixés aux angles de la cage, elle ne peut pas avancer ni même bouger sur les côtés, la ceinture et les cliquets de corde l’en empêchent.
L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence ! (Ter)
Toutes les conditions sont réunies pour qu’elle s’éclate et « se fasse défoncer » longuement en étant entravée. Sentant le plaisir arriver, sans penser à la durée, Bianca pousse la machine à son maximum ainsi que la puissance de l’oeuf dans le creux de ses reins. Et dans ce moment de folie, elle jette aussi loin que possible la télécommande. Grossière erreur ! ! !
Grossière erreur car 225 coups par minute c’est vraiment beaucoup. Si c’est extraordinaire sur une courte durée avant la jouissance, pendant la jouissance c’est ..... trop. Trop bon la première fois, puis, lorsque les jouissances s’enchaînent, c’est trop rapide, trop fort, trop puissant.
L’orgasme est fulgurant, Bianca mord le bâillon os comme une folle pour ne pas hurler. La machine ne ralentissant pas tout comme l’oeuf dans ses fesses, un autre orgasme arrive quasiment de suite. Elle essaye en vain d’attraper la télécommande pour ralentir la machine. Jetée trop loin, il lui est même impossible d’attraper le fil pour la tirer. Elle n’est qu’à une quinzaine de centimètre de ses doigts tendus. Foudroyée par un autre orgasme, elle abandonne cette idée et essaye de se libérer car une heure à ce rythme là, c’est inconcevable.
Ce n’est pas d’empiler les jouissances qui n’est pas concevable, mais les 225 coups « de bite » par minute pendant une heure. 13 500 coups calcule la chef comptable reine des chiffres, cela va me massacrer si cela ne me tue pas se dit Bianca. A bout de souffle avec un énième orgasme, la tête posée sur le sol, elle est à deux doigts de perdre connaissance. Tout son corps tremble, ses mains, ses jambes. Elle ruisselle de transpiration et bave lamentablement.
Pleurer de trop jouir semble fou, et pourtant, c’est ce qui arrive à Bianca épuisée physiquement et nerveusement. Elle en arrive parfois à se cogner la tête par terre. « Oh mon dieu, cela commence à chauffer dans ma chatte » se dit Bianca terrorisée à l’idée d’être brûlée. Soudain sa vessie lâche, le plaisir revient, elle jouit encore et s’écroule à pendre dans sa ceinture avec la tête posée sur le sol. Le carrelage froid finit par la réveiller, quand elle ouvre les yeux, il ne reste plus que deux minutes sur le cadenas électronique bloquant sa main droite, celle qui est si proche de la télécommande. Deux minutes de défonce, de vibration et enfin l’ouverture. Si elle ne peut se libérer de suite, elle peut au moins arrêter la sex-machine et les vibrations.
Son premier réflexe est ensuite d’ouvrir la ceinture et de s’allonger sur le ventre. Geste arrachant le phallus de son chaton enflammé. Il lui faut un moment pour parvenir à reprendre ses esprits. C’est à quatre pattes qu’elle se rend à la douche, se lever serait trop dangereux. L’eau froide heurte sa tête, la tire de son état semi comateux. L’eau se réchauffe progressivement elle reste couchée dessous dans sa douche à l’italienne pendant un petit moment avant de parvenir à couper l’eau.
- J’ai du rattraper un an de jouissances en une heure ! Dit Bianca à haute voix dans sa salle de bain.
Lorsqu’elle porte la main à son sexe, l’irritation est telle qu’elle n’envisage pas de se laver de suite. Une crème réhydratant est obligatoire avant toute chose. Arrivée à la cuisine avec peine, il lui faut manger, n’importe quoi mais manger. Bianca ouvre le réfrigérateur et attrape ce qui peut être consommé comme ça sans préparation. Le camembert innocent est mordu par une chienne affamée. La bouteille de Yop est presque vidée en une seule fois.
Une sonnerie bien connu se fait entendre sur son téléphone, c’est celle de Maitre Carl. Son coeur se serre soudain. Un an sans nouvelle, sans aucune réponse à mes messages, pourquoi lui répondre quand il claque des doigts ? Pense Bianca.
- Qu’il aille au diable !
Bianca se couche, dans son lit cette fois et dort douze heures d’affilées. En remontant sur Fessestivites le lendemain, elle découvre que Maitre Carl lui a adressé un message lui indiquant qu’elle devrait lire l’email qui lui a adressé. Email dont le contenu ne doit être dévoilé à personne.
Mue par la curiosité, Bianca se rend sur sa messagerie personnelle. A la lecture de l’email elle fond en larmes.
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Ma chère Bianca, mon amour,
Ce message ne doit jamais être dévoilé pour éviter un scandale et une guerre diplomatique, je compte sur ta totale discrétion. Supprime-le après lecture.
Après mon départ, je ne suis pas arrivé à l’ambassade. On m’a enlevé à l’aéroport. J’étais en captivité et l’objet de négociations entre le Pakistan et la France. Je ne peux rien te dire de plus, je n’en ai pas le droit.
Je suis enfin de retour, je t’aime et tu me manques cruellement. J’ai eu tout le temps de penser à toi, à nous. Acceptes-tu de m’épouser si je m’engage à devenir sédentaire.
Si tu refuses, je comprendrai que un an sans nouvelle, a de quoi justifier un refus de ta part. je ne t’adresserai plus aucun message si tu ne me réponds pas. Peut-être as-tu refais ta vie, chose logique, un an, c’est long surtout si tu as pensé que je t’ai abandonnée.
« Ouaf »
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Le mot « Ouaf » était un des jeux de communication entre eux, envoyé par texto il signifiait « je t’aime ». Deux « Ouaf » était un code signifiant « je te veux en chienne quand je rentrerai ».
EPILOGUE
Maitre Carl n’est plus jamais parti à l’étranger, hormis en vacances avec sa « chienne », évidement. La sex-machine a été utilisée, mais cette fois, n’a été que jouissive.
Fin
TSM
Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.
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Bonjour
Je suis daddy (DDLG) de base, j'ai eu une expérience virtuelle en PetPlay et cela m'a bien plu.
Je recherche à essayer/réessayer cette expérience, idéalement IRL
Je suis du coin de Metz (57) et une présentation sur mon profil
Bonne journée
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Jeune puppy débutant cherche des maître et maîtresse pour discuter de pet play et peut être ce rencontrée ^-^
Coucou ^-^
Je cherche des gens pour m'aider à découvrir et m'épanouir dans mon rôle de puppyboy ^^
J'ai actuellement du mal à faire des rencontres autour de ça donc je tente ici ^^
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Bonjour ;…. Envie d évoluer dans ce domaine… de progresser… un maître pet de mon secteur… ami
Soyez la première personne à aimer.
Le livre PonyGirl est enfin sorti.
Comme je l’évoque dans mon texte sur les dix ans de nos pratiques du PonyGirl, j’ai enfin trouvé quelqu'un pour m’aider à finaliser ce projet. Nous avons travaillé en binôme pendant plus d’une dizaine heures pour le mettre en forme et, par la suite, l’envoyer chez un éditeur.
Ce livre raconte le parcours que nous avons réalisé moi et Alcyone avec les expériences acquises et les difficultés que nous avons surmonté qui nous ont permis d’avancer.
Au final onze années de travail assidu et d’aventure pour que notre amour conjoint du PonyGirl soit résumé en une cinquantaine de textes et de photos.
Enfin un livre en français qui, je l’espère, permettra aux passionnés de pony de découvrir une histoire vraie et réelle.
Bonne lecture.
https://www.thebookedition.com/fr/ponygirl-p-414003.html
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Je recherche un homme soumis digne de ce nom afin de le dresser, et l'éduquer à ma guise pour une relation sérieuse et durable. Le BDSM fait partie de ma nature, de ma personnalité que j'ose imaginer la plus aboutie possible avec ce sens particulier que j'ai donné à ma vie. .:.
Bonjour à tous je suis a la recherche d'une formation petplay novice en la matière mes motivé
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Bonjour, avec ma chienne O/on vous souhaite une bonne année 2025 à toutes et à tous. Photo perso, ne pas diffuser merci.
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merci Flamedra, Vous pouvez voir mieux le harnais sur cette photos https://www.bdsm.fr/photo/1067363/2024-06-29-0326/feed_465862