GreyFondor
le 15/03/24
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SOUVENIR N°6
J'avais fini plus tôt mon travail, ce qui m'avait permis de venir te chercher.
Juste le temps d'avaler un sandwich, nous voilà dans un cinéma "art & essai" à voir un film extrêmement intéressant, dont nous reparlerons pendant tout le trajet de retour.
A peine les manteaux enlevés, je te prend dans mes bras, te serre contre moi.
Nous nous embrassons doucement, avec tendresse.
J'entreprends alors de te déshabiller, lentement, en caressant à chaque fois la peau si douce que je dénude au fur et à mesure.
J'adore te voir frissonner et ta peau s'horripiler.
Les pointes de tes seins pointent et durcissent : je les agasse doucement, les caresse, les embrasse, les suce, doucement.
Nous sommes allongés, nus, peau contre peau, nos mains caressant nos corps.
Nos lèvres se touchent, nos langues se caressent, les yeux sont plongés dans le regard de l'autre.
Je me mets à caresser tout ton corps avec les mains, puis avec mes lèvres.
Je passe et repasse au-dessus puis à coté de ton sexe, sans le toucher, le frôlant juste de mon souffle, ce qui t'affole.
Tes jambes s'ouvrent, sans aucune pudeur, afin que je puisse me délecter de la vision que tu m'offres ainsi de toute ton intimité.
Tes lèvres intimes, encore serrées, laissent couler ta mouille. J'ai toujours aimé tes effluves que j' hume avec plaisir.
Ma langue déplie alors tes nymphes pour débusquer ton bouton turgescent si sensible.
Tu soupires, tu ondules, tu t'ouvres totalement à ma caresse.
Le temps s'écoule sans compter, et tes râles se font plus bruyants, plus profonds.
J'aime goûter ta liqueur, la douceur extrême de ta peau, sa chaleur, et je m'enivre de ton parfum.
Je te caresse maintenant avec mon vit durcit d'excitation et d'envie, avant que celui-ci investisse lentement ce lieu si chaud et humide.
Nos bassins bougent lentement mais se poussent l'un l'autre afin de rendre plus profonde, plus totale la pénétration.
Nous frissonnons de plaisir, yeux dans les yeux, bouche contre bouche.
Puis dans cette houle de plus en plus frénétique qui finit par nous emporter dans l'explosion de nos sens, nous nous affaissons l'un contre l'autre.
Nous restons alors enlacés en nous souriant.
Après un long moment d'épuisement, tu me couvres de bisous jusqu'à ma verge que tu embrasses, lèches, suces, nettoies, pour avoir en bouche le goût de mon plaisir, de notre plaisir.
Tu te retournes et tes fesses viennent s'encastrer sur mon bassin. Mes bras t'enlacent.
Je te caresse l'épaule, la hanche, le bras.
Tu ronronnes d'un plaisir calme et reposant.
Je dépose un doux baiser sur ta nuque.
Ce soir il n'y a eu ni lien, ni bandeau, ni bâillon, ni étouffement ... *
Pas de fessée, pas de claque, pas de pincement, pas de mots ...*
Juste ce parfum vanille qui flottait ...
Et nous nous endormons ainsi, blottis l'un contre l'autre ...
Pour notre plaisir.
( * n'en déplaise à certains lecteurs / certaines lectrices ! )
Propriété de GreyFondor, copie et usage interdits
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Taille: 74.42 Kb
5 personnes aiment ça.
MisterTaurus916
L'avantage des mots, le partage de tout et pouvoir être transporté, j'adore !
J'aime 15/03/24