Cshe
le 28/04/24
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……………………….......….…❝࿋𝕮𝖘𝖍𝖊࿋❞……………….…………………….
[❝࿋Cshe࿋❞] [Homme Dominant] [Dessus] [D/s] [Sm] [Malakoff] [92] [limitrophe Paris XIVe/XVe] [41ans]
[Brat Tamer] [“Maître-Chiennes”] [Design] [BodyArt] [Needle/Blade Edgeplay] [Whipper] [Flogger] [Rigger] [Robe top] [Perform] [Humiliation] [Exhibition] [Me&Pr]
[Genres Protecteur] [Rought Punisher] [Corps/Âme]
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❝ Au cœur de mon adolescence, j’étais leader d’un groupe de Trash Metal évolutif.
Durant cette période, je fit mes armes basiques
pour un Trasher: l
es pogos violents, des fois face à des masses, couteaux de chasse à la main;
(déjà un embrillon des BladePlay planait),
le recrutement de groupies, masseuses (et +)
en backstages, feeders/alcool/care givers à la scène (je me déplaçait avec une escorte de déjà Soumises autour de moi);
les répètes, les lives, les compos… bref
en immersion 24/7.
Ce soir-là, je rencontrais “Alan”.
Un surfer punk hawaïen, crête noire rabattu sous une casquette baseball américain, il était venu partager
une beuverie collective.
Lui, ivre depuis la veille au lendemain non-stop, paradait avec un sac poubelle dans le dos
pour régulièrement ”se vider”.
Après un bon échange de cœur à cœur centré sur
le nihilisme, la déchéance et la marginalisation assumée, touché par l’altérité commune de ce débat aux profondeurs anarchistes;
subitement , il se figea.
Figé pareil à un cérémonial, il releva d’un geste vif son T-Shirt.
Deux couteaux de boucher en croix à la ceinture
se mirent à luirent dans la nuit.
Il en saisit, l’un après l’autre les manches,
les dégaina tour à tour.
Sans aucune hésitation, en un geste maitrisé, répété symétriquement de droite et de gauche, il lança ses coupes, rapides et précises.
Un bruit tout particulier chuchota dans la pénombre.
Celui des pointes qui incisaient
la chaire de ses avant-bras.
Il venait d’exécuter deux auto-scarifications,
en totale désinvolture à l’égard de son système sanguin local
.
Deux marques, me dit-il;
deux notes en mémoire de notre rencontre.
Il me montra ensuite.
Ses bras n’ayant plus la place, ses flancs aussi arboraient ces graduations zébrées.
Il passa la reste de la nuit, à me narrer les histoires inscrites sur son corps.
Entre scarifications rituelles intimement symboliques
et transformation corporelle; j
je discernais bien son véritable attrait caché:
il s’amusait de ses rencontres, de son corps,
au-demeurant et en bon Punk…
de tout.
Ce qu’il aimait avant tout?
C’était de jouer de ses lames sur sa personne, au bord de son corps, tutoyant les limites.
Sans le savoir, dans l’ombre d’un soir sur la plage
du début des années 90, je venais de le rencontrer;
il s’était introduit, à vie.
Le “Blade EdgePlay".
Et ce fût le départ d’une longue amitié,
aujourd’hui encore, fidèle.
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cf. photo 1&2
Réalisation au couteaux de tatouages traditionnels berbères. Méthode “Shawi” et écriture Tifinagh (2)
Truqeta BDSM (1)
J’ai remplacé le hénné qui est frotté ensuite dans les plaies, par une poudre atomisée réactive UV.
Maintenant, les cicatrices ne sont plus diciminables
à l’œil nu.
Mais sous lumière UV (Club, Spa, solarium)…
Je brille !
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