Il fallait la mettre en selle, comme à la parade. Au manège de mes fantasmes, je voulais voir son cul, bien disposé sur la selle, la vulve écrasée sur le cuir, peut-être déjà un peu entrouverte.Comme une vieille punchline, mi rai mi andalouse, ta posture latine, fière et provocante : « j’aimerai être un fauteuil dans un salon de coiffure pour dames ».En monte, un rythme presque au trot, elle doit prendre appui et s’accrocher à la selle. Point de mors, point de longe, une conduite à la main, elle ne mordra pas cette fois.Son cambre accentue la surface d’impact de ses globes, blancs dans ce tamisé rouge, je les claque sur le côté, à en faire sortir un bruit métallique, sec, bandant.Elle compte par série de 20, les yeux fermés, les lèvres ouvertes et humides traversées par le souffle de mes impacts. Notre trot a apporté son lot de chalands dans la salle, leurs regards la pèsent. Elle m’excite. Sa peau chauffe, l’entièreté de ses globes. J’ai envie d’y plonger, de sentir leur chaleur contre mon pubis. Passer d’un souffle d’impact à un plus expiration caverneuse. Je me garde, je la garde. Sa garde …
Categories: Photographie personnelle, Domination féminine
Dimension:
1200 x 2305
Taille:
199.8 Kb
33 personnes aiment ça.

Atypik
Très beau partage.
J'en ai profité pour réécouter Gnawa diffusion
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1
06/05/24

Condor
Quelle magnifique noir blanc… ..
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1
06/05/24

✡️ Aubade 🕎
"mi rai mi (andalouse):, moi, ensuite, je verrais bien Lam puis Sol...
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1
06/05/24

Azhara
J'adore...De la " pouliche énervée " à la cavalière élégante... sublime.
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3
06/05/24

Angélique
Ah mais qu'elle cavalière jolie miss classe
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1
06/05/24