lassie
le 26/05/24
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Photos de Maîtresse Déesse - Photos personnelles - Punition 3/3
Bonjour,
j'étais la propriété de Maîtresse Déesse qui habitait à 15 minutes de route de chez moi. C'était au mois de janvier. je faisais office de boniche, secrétaire, j'accueillais les soumis qui venaient pour une séance, je les guidais vers la douche et les introduisais dans le donjon où Maîtresse Déesse les attendait. Ce jour là Maîtresse Déesse me convoque sans me donner aucune raison. je lui demande si je peux amener une galette des rois, la réponse est positive.
En arrivant je me prosterne à Ses pieds pour lécher Ses escarpins. Maîtresse Déesse profite un bon moment de cet instant avec son regard dédaigneux et supérieur que je devine facilement. je lèche un escarpins puis l'autre. je ne me souviens plus comment Maîtresse Déesse m'a utilisé ce jour là. je me souviens uniquement de la punition. j'avais apporté avec la galette des rois une bouteille de champagne sans en avoir parlé à Maîtresse Déesse, je n'avais donc pas l'autorisation...
Maîtresse Déesse m'a équipé comme Vous pouvez le voir sur la photo, m'a fait mettre à 4 pattes, normal pour une chienne, et a commencé à se défouler sur mes fesses et le haut des cuisses avec une vigueur que je ne connaissais pas encore.
La douleur ne cessait de progresser et vinrent les larmes sans que l’intensité ni la fréquence des coups de martinet ne diminue. Les lanières délaissaient mon fessier pour venir sur mon dos où la punition fut moins intense. Maîtresse Déesse connaissait mes problèmes de dos.
Une fois que je fus suffisamment zébré de presque partout, les bougies remplacèrent le martinet : « Trouve ce que j’écrit sur ton dos ! ». Les gouttes de cire tombaient d’une hauteur plus faible que d’habitude, la brûlure sur ma peau n’en était que plus forte. Je restais secoué par les spasmes provoqués par le martinet et criais pour chaque goutte de cire. Mon esprit n’était pas au jeu et je ne raisonnais plus correctement : « Un O ? ».
« Tu peux mieux faire ! ».
Je ne trouvais pas le D de Déesse…
Les gouttes de cire suivantes furent plus brulantes les unes que les autres. Les mots humiliants et dégradants fusaient de la bouche de Maîtresse Déesse. Puisque je n’étais pas capable de reconnaître le nom de Celle qui me prenait sous son joug, j’allais endurer un autre supplice.
« Debout, lève-toi ! ».
j’obtempérais, jambes écartées, mains sur la tête, regard vers le sol. Maîtresse Déesse installa sans ménagement une pince à sein sur chacun de mes tétons et tira sur les ficelles, une fois à gauche, une fois à droite, une fois vers le haut, une fois vers le bas… j’accompagnais chaque geste de Maîtresse Déesse de cris. Les larmes qui venaient de cesser se remirent à couler.
« Amuse-toi toute seule, tire sur tes pinces ! ».
j’obéissais sans trop de conviction.
« Plus fort ou c’est moi qui fait le faire ! ».
je tirais plus fort, sous le regard amusé mais dédaigneux de Maîtresse Déesse. je me torturais les tétons en pleurant.
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