Suis-je un soumis ???
Je crois oui au regard de mes victoires et défaites... Est-ce que je le désire ??? J'ai du mal encore à faire le distinguo ou trouver les nuances entre soumission, servitude, fétichiste, passivité, esclave, contrition, lâché prise... je me reconnais plus ou moins un peu dans toutes ces catégories, de là à m'auto-réduire à un de mes penchants, j'ai besoin de plus pratiquer pour enlever tout équivoque.
Suis-je masochiste ???
Il y a pour moi 3 manières de l'être... à condition de les associer au plaisir...
1- Aimer la douleur bien sûr physique et/ou psychique
2- Aimer avoir peur
3- Aimer être humilié
Bien sûr, être maso n'empêche pas d'être parallèlement soumis aussi, c'est à dire adjoindre aux maux la responsabilité de son évolution à un Thiers.
S'il est évident que l'adrénaline que la peur provoque en moi est très excitatoire, ma quête d'humiliation est plus récente et a à voir avec une ou plusieurs revanches sur mes humiliations passées et involontaires.
Concernant la douleur, là, les raisons sont tout autre. J'aime autant me plaindre d'avoir mal que j'en retire une certaine fierté. Il y a toujours eu ce je ne sais quoi... un mini bonheur à me sentir endolori... Et tardivement je me suis découvert une connection direct entre certaines douleurs physiques et ma sexualité.
Je vois dans le BDSM tellement d'orientations différentes que je ne peux que me réjouir de toutes les combinaisons possibles. Depuis peu je regarde de près les jeux d'aiguilles... aucun intérêt pour moi d'être piqué pour être piqué, par contre, ces petites douleurs (oui, on m'a assuré que ce n'est pas douloureux), peuvent être délicieusement jouissives si je les associe à l'œuvre qui est en train de se créer et à la conscience que je suis la page blanche qui le permet... oui, mon plaisir n'est pas toujours que physique... il est bien plus souvent cérébrale et n'a pas besoin de s'exprimer par une érection. Il en est de même pour le shibari... j'aime l'inconfort que peut procurer certains bondages et j'aime la beauté des noeuds et des cordes sur un corps... deux façons complètement opposées d'apprécier une même pratique et j'y trouve pareillement mon compte...
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PhatBrat
Réflexions intéressantes, merci du partage 

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18/04/25

Badbubby
J'imagine oui Marie... Sûrement comme toutes les pratiques BDSM.... Ça peut dépendre de la taille des aiguilles et des parties qui sont transpercées... Encore une fois, je crois que ma résistance à la douleur a beaucoup plus à voir avec le type de relation avec mon partenaire, le pourquoi de la pratique, les ouvertures psychiques, les émotions autres qui surgissent qu'au plaisir d'avoir mal.
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19/04/25

Tindalos

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19/04/25

soumyvbi
Les joies et les plaisirs du BDSM ,sont infinis!!!















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19/05/25