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Photo IA, récit fictif, tout est fake 😂😂😂 Je la rencontre enfin à la terrasse d'un café, je suis là depuis une dizaine de minutes quand elle arrive vêtue d'une mini-jupe en jeans qui rend encore plus longues ses jambes blanches laiteuses. Évidemment elle ne porte pas que ça, mais avec sa longue chevelure rousse c'est ce qui font retourner tous les regards autour d'elle... Du moins je le crois car je ne peux décrocher le mien de sa silhouette... Je suis là souriant intérieurement, avec toujours cette fâcheuse envie de me l'a jouer déçu à tous mes premiers rendez-vous.. Ce doit être mon sadisme complexé qui ne se manifeste que dans mes anticipations fictives... à moins que ce ne soit encore une pitrerie, un besoin de prendre en dérision notre trouille sempiternelle de paraître avant d'être aux yeux de l'autre. Avec elle, j'ai envie de tenter l'expérience, ne serait ce que parce qu'elle ne doit pas être coutumière de ce genre de réaction et qui sait. sur un malentendu, elle pourrait bien aimer ça ??? Elle n'est pas à dix pas quand elle me reconnais et, sourire aux lèvres, lève un seul bras bien haut plein de doigts fins et souples qui gestivulvent... son autre bras étant retenu derrière elle par une petite valise baise en ville rose qui lui donne un petit air d'hôtesse de l'air. Trop tard, j'ai détourné mon regard et fais mine de regarder partout alentours comme si je la cherchais encore, la laissant seule, ne sachant que faire de son bras tendue qu'elle hésite à faire redescendre. Elle est déjà dépitée quand elle arrive à ma hauteur et l'absence de mon sourire en la voyant ne la rassure pas davantage. Feignant hésiter entre la bise et la poignée de main, je finis par lui tendre cette dernière et c'est le "je VOUS en prie" en lui tirant une chaise pour l'inviter à s'asseoir, qui sonne le glas. Oui, à la longue, on avait fini par se tutoyer pendant nos longs échanges épistolaires... C'est rapetissée d'une demie tête qu'elle s'assoit avant que je ne prenne place devant elle. Son regard semble étonné, interrogatif, en attente et je dois résister pour ne pas lui offrir ce large sourire libérateur qu'elle n'attend plus. Je sais que trop faire durer son calvaire, de penaude elle passera en mode outrée et il sera trop tard pour être son sauveur... surtout ne pas lui laisser le temps de réagir... Je me relève, tout aussi froidement, me dirige derrière elle et l'enserrant de mes bras je lui ris à l'oreille "je suis content de te voir enfin ma consœur soumise" et c'est, rapetissée de deux demies épaules, mais cette fois de soulagement, qu'elle tourne son doux visage vers moi et que je lui tend mes lèvres sur ses joues. "Viens Clara ! lèves toi deux minutes" et je l'entraîne vers ma place et l'invite à t'asseoir sur mes genoux. Effrayée tu regardes tout alentour... "Tu as l'âge d'être une fille qui retrouve son vieux père et qui veut un câlin, viens poser ta tête sur mon torse "... tu t'exécutes, poussée par la curiosité et le réflexe de tes soumissions passées. Tous mes creux se remplissent alors de toutes tes rondeurs et je suis surpris de voir qu'aucun vide ne subsiste rendant ton poids insignifiant. Le visage enfoui, du coin de l'oeil, je perçois les sourires attendris de nos voisins de table quand je dépose un baiser sur ton crâne. Je sens alors ton corps s'abandonner plus encore dans cette position fœtale. Les yeux fermées, tu visualises la scène que nous formons... toi petite fille dans les bras d'un vieil homme, culotte certainement perceptible qui doit capturer l'attention de tous les pervers avoisinants et te doutant bien que passer pour la fifille à papa ne trompait personne en réalité... Bizarrement tu t'y sens bien, rassurée, comme si tu y trouvais ta place, comme si être exhibée te permettait d'être enfin toi-même, à la fois femme assumée, petite fille et chienne fidèle et aimée... Tu pourrais presque somnoler si une durceur sur ta fesse lovée ne venait pas réjouir ta fierté d'allumeuse irrésistible, éveillant ton côté brat qui ne pût résister à la tentation de me maintenir dans cet état en me murmurant à l'oreille la voix moqueuse "je suis trempée ma consœur soumise"...