Linsoumise au Parloire: interdite.

A part ce temps imbécile, délivré des secondes en cavales;j’encre Lins-temps aux silences adhésifs.Figée aux assises, voire expressive en berne! L’immobilisme entêtant, se prête à la contemplation. Humm..Égrainant le chanvre, t’essouffles lentement. J’écoute des yeux, ton confort dolosif.Croisée d’impensables, eaux solubles illusions en désirs impossibles.possibles aussi, j’y songe … en observateur névrotique.Hais toi, cherchant tes yeux opprimés, ma paresse en un clic.Guettant l’heurt indolore des délivrances à temps dues. Imprenable objection au Parloire, des-espérances magnifique.J’épelle ta condition, comme cette flamme fragile. J’énerve ma patience en ruine, en livrée vacillante, pâle lueur chaleureuse. Au chant de tes mélancolies avenirs. L’air siffle entre commissures et volutes tressées.Écoutes donc de tes yeux infirmes le soupir du Lion IL te fixe..IL mâche déjà ta nuque, Femelle..Ce temps imbécile m’impatiente.Je me Domine, je me domine…Éclipse passagère, j’ombre en pleine lumière.Décroises donc que j’observe au possessif.Accordée aux plis injonctifs, déchue fantasmatique.Rampe et tant due à mes pieds. Je ronge mes paradoxes.Fentes sublimes, en commissures inter-dites.L’ange contraint en puissance se dresse ainsi repliée.Forte de mon inaccessible, j’ai tissé chaste ce soir au Parloire.