Ma Reine…
C’est ainsi que j’aime nommer Lady Liliam : Ma Reine…
Ce n’est pas un simple « titre » mettant en évidence sa supériorité. C’est le fondement même de ma soumission à cette Femme extraordinaire.
Souvent, lorsque je m’exprime ici, j’ai le sentiment que mes mots n’ont pas la teneur et la portée que je souhaiterai qu’ils aient.
Alors, pour ceux qui seraient curieux de voir à travers le prisme de mon regard, voici comment je la perçois :
Il vous faudra tout d’abord faire un saut dans le temps et replonger près de 500 ans en arrière. En cette fin de moyen âge où chevalerie, loyauté, fidélité et abnégation prenaient tous leur sens.
Et entrer avec moi dans cette immense salle du trône où mon impératrice règne de toute sa magnificence.
Elle est cette Déesse inatteignable vers qui tous les regards et toutes les espérances convergent. Depuis que je suis en âge de penser, Elle est mon rêve, mon utopie.
Le simple fait d’être aujourd’hui présent, au milieu de cette foule me transporte de bonheur. Avoir simplement l’immense privilège de pouvoir la contempler, même perdu dans la masse et anonyme me transporte de bonheur.
Juste rêver qu’un jour peut-être, Elle posera son regard sur moi me semble un absolu…
Depuis toujours je me prépare, je m’entraine, je bâti ma vie et mon chemin pour être prêt à répondre à sa moindre demande. Et depuis toujours, j’attends. Patient, amoureux fou de ce rêve dont je sais qu’il faudrait un miracle pour qu’il devienne une réalité.
Je ne suis rien. Un chevalier noyé dans le flot des innombrables prétendants. Sans fortune, sans exploit pour me distinguer, sans rien d’autre que ma volonté farouche et inébranlable de la servir et de la rendre heureuse. Même si Elle ne devait jamais rien en savoir. Même si Elle ne devait jamais me connaître… Trop conscient de ne pouvoir jamais être digne d’Elle. Trop conscient de toutes mes faiblesses que ma naïve dévotion ne saurait compenser.
Et puis…
Et puis un jour, ma Reine pose son regard sur moi.
Comment Vous dire l’extraordinaire de l’instant ! Pas un mot, juste un regard ! Mais qui me dis que j’existe dans son univers !
Et comment vous faire percevoir la puissance et la force qu’un tel regard insuffle en moi ? Je lui appartenais déjà dans le secret de mon âme, mais à compter de cette instant, je me sens capable de tous les exploits pour Elle !
Moi qui ne me sentais personne, je suis tout à coup investi de toute sa force, de toute sa puissance. Plus rien ne pourra me faire peur, plus rien ne pourra m’atteindre !
Je rêve maintenant de combattre pour Elle ! De me surpasser pour Elle ! Elle m’offre par se regard un but, un sens à ma vie.
Et a se regard, s’ajouteront des mots. De sa douce voix s’adressant à moi. Me désignant une route, un chemin à parcourir pour gagner sa confiance.
Alors je vais me jeter à corps perdu dans cette quête. Fou de l’espoir insensé d’un jour peut être gagné son cœur.
Je vais poser à ces pieds tout ce que je suis. Lui offrir tout le courage et toute la volonté dont je dispose.
Jusqu’à ce premier baiser…
Vous pouvez maintenant revenir dans notre monde. Vous pouvez laisser de cotés « armures » et « chevalerie ». Regarder ce que j’écris, ce que je vis grâce à Elle avec le regard des mythes et des codes du BDSM.
Je n’en reste pas moins ce chevalier éperdu de reconnaissance, d’amour, de dévotion et d’admiration pour ma Reine…
Parce que « Ma REINE » elle demeurera toujours… Avec l’extraordinaire puissance que ce titre à pour moi….
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1/ Je joue 80% du répertoire de Cabrel à la guitare
2/ Je n'aime pas les gents... Je les supporte par obligation, seul de très rare perles trouvent grâce à mes yeux
3/ Je cours après quelque choses sans vraiment savoir quoi: Le temps, l'argent, le bonheur... Éternel insatisfait, la phrase qui revient le plus dans ma bouche c'est: Vivement demain!
4/ J'ai une véritable préférence pour les gens de moins de 30 ans: Rien à voir avec le sexe (quoi que! ceci n’empêche pas cela!) mais je trouve qu'après 25/30 ans, la masse devient trop conne, chiante et convenue... Bref, elle m'ennuie.
5/ Ne faites pas d'enfants! les plus beaux et les plus intelligents, je les ai déjà fait!! Vous ne pourriez que faire moins bien!!
6/ J'ai lu plus de 10 fois "fortune de France" (13 volumes de 800 pages!)et 4 fois "les rois maudits"!! Je suis incollable sur la période: Philippe le bel / louis 15!!
7/ Je parle de tout très bien, y compris de ce que je connais pas du tout! Avec de l'assurance, on peut inventer presque n'importe quoi, l'inculture ambiante ne se rend compte de rien!
8/ Je suis un bordélique né... Ranger m'ennuie, nettoyé m'ennuie, bref, si vous arrivez chez moi à l'improviste: Attendez vous à un paysage de zone de guerre!
9/ Je cuisine merveilleusement bien.... Les plats que je prend chez le traiteur!!
10/ Si je n'aime pas les gens: J'adore les rencontres: C'est comme une pochette surprise: Dans 99% des cas, c'est un truc à deux balles, mais parfois, c'est une vrai merveille: Et je suis un éternel optimiste pour ça!!
11/ Ne me provoquez jamais: Je suis bien assez con pour mettre dans ma réponse une énergie complètement disproportionnée pour avoir raison! (quoi que j'essaye de me soigner)
12/ J'ai toujours raison jusqu'à preuve irréfutable du contraire
13/ Je suis un amoureux des théories du complots: Prenez ce que vous voyez ou entendez, imaginez le scénario le plus retord et le plus tordu: Multiplié cela par 1000 et Vous vous approcherez de la vérité...
14/ Je suis un ardent défenseur des "causes perdues"! Je ne me place presque jamais du coté des majorités: Pour moi, les masses ont toujours tord: Un de mes grand principe pour réussir: Si tout le monde le fait, fait autrement...
15/Je suis hyper sociable: Je peux m'entendre avec tout et avec tout le monde (ou presque)... Mais ne vous fiez pas à mes sourires... Je ne suis pas mauvais acteur...
16/ Je suis patron parce que je ne supporte pas l'autorité...Et je suis un patron qui ne supporte pas d'être autoritaire
17/ J'ai collé 4 de mes anciens employeur au prud homme et j'ai gagné à chaque fois!
18/ Je me moque complètement de l'écologie!
19/ J'ai le porte feuille à droite... Mais le coeur à gauche: Et il m'est arrivé de voter au centre...
20/ Le BDSM est pour moi une vrai passion: Je ne peux concevoir de construire durablement une relation vanille.
Mille millions de merci @Heartbeat! 20 c'est largement suffisent!!
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Les liens du sang….
Lier son âme à une autre et qu’un coup de cravache
Vienne bénir et graver cette sublime attache
Déposer enfin mes armes pour cesser d’être un autre
Terrassant d’un rire, mes craintes mes doutes et mes fautes
Avoir le bonheur de Vous toucher, de Vous sentir, de Vous caresser,
Et laisser Nos deux corps se mêler dans un ultime brasier
Assumer ses démons, et les changer en plaisir
Séduire, enfin, pour les partager, les offrir et en jouir
Rattraper un oiseau qui s’est perdu en vol
Panser ses plaies, le chérir jusqu’au nouvel envol
Découvrir un univers aux mœurs différentes
En goûter les saveurs, voilà ce qui me tente
Me repaître de ton œil, de ton souffle, de ta sueur,
Et voir naître enfin le plaisir qui succède à la peur
Avancer pas à pas dans l’immense obscurité
Pour malgré la pénombre, voir bien plus de clarté
Ressentir votre fouet s’approprier mes fesses
Et savourer ce geste comme une douce caresse
Abandonner sous Vos yeux toutes résistances
Maître, Vous l’êtes désormais de mes sens
Éclairez mes pas qui naissent par Vous dans l'ombre
Et oublier en jouissant que c’est Vous que je comble
Découvrir ensemble La subtile alchimie
Vous offrir ma reddition qui lui donnera vie
Naviguer sans relâche entre les mots et les maux
Ne cesser de nager, de se perdre entre ces deux eaux…
S'offrir des marqueurs pour dessiner sur nos murs,
Nos postures, nos brûlures et nos luxures au cyanure
Te réduire à néant et dans un souffle d’amour brûlant
Te faire naître à nouveau plus fort encore qu’avant
Fondre dans ses bras, renaitre dans ses mains,
Craindre de Le décevoir, s'abandonner enfin,
Frémir sous Son souffle, exister dans Ses regards,
Accepter d'être aujourd'hui pour devenir plus tard
Mourir entre Tes mains de mille petites morts,
Te subir, Te craindre, mais T'espérer encore,
Tressaillir dans le silence précédant Tes assauts,
Puis le déchirer de mes râles quand Tu éprouves ma peau,
M'abandonner enfin à Tes tourments les plus doux,
N'être plus rien, m'oublier, mais pour toi, être tout
Me soumettre, c'est ce plaisir d'être à Ses pieds, de L'honorer,
C'est être Sienne, impatiente de combler Ses volontés...
Me soumettre, c'est tisser des liens de chairs et de sang,
Et ressentir le moindre désir, le moindre chuchotement...
Etre ton idéale, ta féérie, ton ultime abandon
T’accorder sous mon fouet la totale absolution
Participation et réécriture : Empire
Merci pour leur vers à :
Heatbeat, Camille, Lady Liliam, Panthère, Mistrall, Maestria, Meline, Joliepulpeuse, Paradoxale, Lilirose, Inoha, Laikadomsoum, Maîtresse Valandréa, Hopen, Tily, Lise, sluttyboy, Selena Sensei et un modérateur de BDSM.fr
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Le film est terminé depuis longtemps… La neige remplis leurs pupilles dilatés. Leurs regards se perdent, s’accrochent, se tiennent désespérément un instant et se perdent à nouveau. Pour toujours…
Allongé sur le sol, il tire par automatisme sur le cône de papier. La cendre est tombée sur ses joues.. Elle fixe ce point rougeoyant à ces pieds. … C’est le signe qu’il respire : Ce point rouge dans la pénombre qui s’anime et meurt pour s’animer à nouveau. C’est le signe que son cœur bas, que son sang circule, coule dans ses artères, dans ses veines… Dans sa vie…Dans sa verge…. Dans sa verge… Dans sa verge… Dans Sa belle verge, Sa queue, Sa bite ! La Sienne ! A elle !
Comme mu par une force extérieur, elle regarde sa cuisse glissée doucement. Son pied prendre son envol, et venir se poser sur la branche de chaire. A son contact, l’arbre immobile semble reprendre vie…...
Flash ! Une seconde, chaque détail de la pièce explose et lui brule les yeux qu’elles plissent : Lui, nu, sur le sol. Les pilules multicolores qui jonchent le sol, les cendriers renversés, les godes souillés, les bouteilles brisées, les fouets, les restes de pizza, les aiguilles encore figées dans ses tétons, sa culotte déchirée, se sang qui perle par endroit sur l’écorce déchirée …
Et l’écran qui se met en veille… Ou peut-être n’a-t-il jamais été allumé. NOIR
Juste le membre qu’elle sent sous son pied. L’arbre qui gémis au loin à son contact et sa rivière qui soudain gronde à nouveau en elle, encore plus fort, se gonfle, hurle, lui brule le ventre et jaillit d’entre ses cuisses ouvertes, l’inonde et la submerge. Envahi la pièce, le sentier, la foret… Les pilules qui flottes et danse avec les bouteilles vides…
Le niveau monte, monte vite, trop vite !!! C’est un torrent de mouille qui va la noyer ! L’emporter ! Elle ne peut refermer ces cuisses, le flot est bien trop puissant ! il l’écartèle !
S’accrocher ! Vite ! A n’importe quoi !!! N’importe quoi qui flotte !!! A l’arbre ! à la branche !
Planté son trou sur cette bite et faire cesser le flot !
Elle lance son bassin vers le sol et s’empale littéralement… Mais l’arbre réagit peine ! Pourtant elle à tout sentie. Millimètre par millimètre. Elle a senti chaque veine, chaque aspérité lui remplir la chatte. Révulsant ses pupilles dans une vibration qui l’emporte là-haut. Tout là-haut ! Jusqu’à ce que la queue butte contre sa matrice. Que le frottement cesse.
Alors un instant elle flotte dans les airs, loin, si haut. Le sexe écartelé sur sa queue. La sienne, en elle…. Et puis la chute ! Elle tombe, elle hurle ! Elle a envie, besoin, absolument, maintenant ! Dans un élan désespéré, elle lance ses bras au ciel. Le mouvement la soulève… Elle reprend son envole quand la hampe glisse à nouveau hors d’elle. Ses lèvres s’entrouvrent, la salive s’écoule. Le mouvement prend fin, la retombée l’empale a nouveau. Lui permet de voler encore un instant… Puis plus rien… Et l’arbre qui ne bouge pas… Il gémit, mais ne bouge pas !
« Bouge !!! », « bouge » , « Baise moi salope », « baise moi putain !!!! Ahhhhh !!! »
Elle le gifle.. Un sursaut, un mouvement dans son ventre… un court envole…
Elle serre son poing et frappe, un autre mouvement plus violent, elle s’envole à nouveau. Elle ne veut plus descendre ! Elle frappe, frappe et frappe encore. Chaque coup plus violent impose sa secousse plus violente encore…
« Encore ! Encore ! T’arrête pas »… Comme si elle se parlait à elle-même, comme pour oublier l’insoutenable douleur dans ses phalanges, et les bruits des os qu’on frappe, des mâchoires qui s’entrechoquent, du nez qui se brise !!
Elle est encore loin de jouir ! Et la musique envahi son crâne, un bit lourd qui la prend toute entière ! Elle frappe en rythme, chaque fois plus fort, chaque fois plus dure ! Des deux mains ! Partout ! il faut qu’il bouge ! Elle ne le peut pas ! Trop terrifier par sa mouille qui monte et va la noyer, par sa mouille et par le sang qui coule de l’arbre…
Elle jette sa tête en arrière. Pour la maintenir hors du flot. La bouche grande ouverte pour avaler l’air vitale à son voyage.
Jouir !! Jouir avant de mourir mais jouir !
« Encore bon dieu !! »… Mais il ne réagit plus ! Plus du tout !
Elle attrape les tessons de bouteille qui flottent dans le jus sanglant. Elle le frappe à nouveau ! il Bouge enfin !!! Enfin !!! Enfin !!! Bientôt ! Encore ! Maintenant !!!
C’est sur ses propres cuisses qu’elle frappe à présent ! Pour les forcer à réagir ! A l’empalé !!!
« Oui ! Oui ! Oui ! OUI !!!! Arhhhhhhhhhhh »
Ca y est ! Enfin !!!!
Elle s’est libérée !!! Elle flotte !
Dans l’arborescence secrète d’un arc en ciel qui lui cède le passage en souriant ! Elle n’a qu’à avancer le doigt pour toucher le vol des palombes et des cithares mélodieuses…
Alors l’arc en ciel se déploie pour la prendre avec lui. L’immense porte des enfers s’ouvre devant elle et Satan se branle frénétiquement en hurlant de rire :
- « welcom Lady ! »
Quand les pompiers enfonceront la porte, elle laissera échapper dans un dernier soupir, le visage plaqué sur le masque de chair ensanglanté de son amant :
« ………….Ne fermer pas la porte, je ne vais pas rester………………………………….. »
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Elle dort à poings fermés. J’ai encore le temps…
Comme chaque matin, je me suis extrait du lit en mesurant chaque geste. Ce n’est qu’une fois la porte de la chambre refermée que je relâche un peu mon attention. Je ne peux m’empêcher de sourire, c’est mon premier plaisir de la journée : Comme toujours, la poignée et la porte n’ont fait absolument aucun bruit. Je les démonte discrètement chaque mois pour les graisser.
En semaine, je serais déjà sorti chercher des croissants frais et à 7h00, tout serais déjà prêt sur la table du salon. Elle n’aime pas déjeuner au lit . Mais nous sommes samedi, et il est presque 8h lorsque je sors.
C’est toujours un moment critique. Il est possible qu’elle se réveille avant que je ne revienne. Oh, bien sûr, elle ne m’en tiendrait absolument pas rigueur. C’est juste moi qui serais déçu. Même si pour rien au monde je ne le lui montrerais.
Je suis de retour à peine 15 minutes plus tard. Rien n’a bougé dans la maison. Ma Reine dort toujours. Le café est prêt dans la machine, j’ai pressé des oranges qui attendent au frais dans un verre parfaitement propre dans le frigo. J’ai vérifié la nappe immaculée.
Second plaisir de la journée : Je suis prêt, tout est prêt… Il ne me reste plus qu’à attendre, dans le plus grand silence, guettant le bruit si ténu des draps qui se froisseront. Je suis assis à côté de la machine à café, les sens en éveils.
10h00… Le silence est absolu. J’ai appris avec le temps à différencier les bruits de notre lit. Je sais quand elle ne fait que se retourner ou quand elle se lève.
10h47… Le signe que j’attendais arrive : Je mets le café en route… 27 secondes interminables… C’est le moment que je ne maîtrise pas. Elle peut entrer trop vite dans la pièce et me trouver en mouvement. Or, c’est un tour de magie que je veux pour ma Reine…
Ce matin encore, je le réussi. Quand elle entre, le café fumant est déjà servi, tout est parfais, et je suis installé dans le canapé en train de lire. J’ai fait très vite. Mon cœur bat un peu fort. Mais elle n’en verra rien… Troisième plaisir de la journée.
- « Bonjours mon amour »
- « Bonjour ma chérie, bien reposé ? »
Elle s’installe et plonge ses lèvres dans son jus frais…
- « Hum.. Hum » (ça veut dire oui !) elle le murmure en buvant.
Elle aime le calme le matin. Je me lève donc.
- « Je vais prendre ma douche ma chérie, à tout à l’heure ». Je lui dépose un baisé tendre sur le front, elle prend ma tête entre ses mains et dépose un baisé sur mes lèvres
- « Merci »
- « de rien ma belle, à tout de suite »
J’ai le temps, inutile de me presser, Malgré tout, je prends une douche rapide et tiède. Je ne veux pas que la salle de bain soit pleine de buée. Je vérifie rapidement mon corps : L’épilation à la cire est très efficace, mais certains poils s’obstinent à ne pas pousser au même rythme que les autres.
Rasé de près, parfumé, parfaitement épilé, je remets la salle de bain un place : Un drap de bain propre et doux posé sur le sèche serviette pour qu’il soit parfaitement chaud, et je change la serviette au pied de la douche. Elle ne prend que très rarement des bains. Et jamais le matin.
Je m’habille et reviens dans le salon. Elle a fini de déjeunée et s’est installée dans le canapé. D’un coup d’œil, j’ai vu qu’elle avait ramassée et déposée dans l’évier sa tasse et son verre, le plateau est resté sur la table.
A mon entrée, elle se tourne vers moi et me tend une main. Je souri et viens m’installé à côté d’elle. Elle me parle d’un film qui va sortir dans quelques semaines dont elle vient de voir la bande annonce à la tv. Puis elle me parle d’une de ces amis. J’ai retenu le nom du film, je le noterais plus tard et je vérifierais la date de sortie.
Nous discutons un long moment. Je blague, écoute, m’intéresse vraiment. Je donne mon avis quand je sens qu’elle me le demande. En discutant, ses pieds nus sont venus sur mes cuisses. Je les masses doucement. C’est extrêmement naturel.
Il est presque 13h quand elle se lève pour prendre sa douche.
J’en profite pour ramasser le plateau et mettre la tasse et le verre dans le lave-vaisselle avant de préparer le repas.
Une salade composée, avec une escalope de poulet que je passerais au grill au dernier moment, et une salade de fruit frais. C’est mon gros point faible, je suis un bien piètre cuisinier. J’ai beau m’acharner à faire des essaies, le plus souvent, c’est un échec.
Heureusement pour moi, elle aime cuisiner ! Mais quand je peux, je le fais.
J’ai deux projets de prêt pour cette après-midi : Une expo de sculpture en cuir ou un film que j’ai téléchargé (je sais, ce n’est pas légal !!). Il fait gris et froid, elle n’aura peut-être pas envie de sortir.
Et pour ce soir, trois possibilités ! Ce n’est pas toujours autant bien sûr !) : L’un de mes amis m’a proposé d’aller boire un verre dans un club ou joue un groupe qui pourrais plaire à ma belle, un second film téléchargé (je sais ce n’est toujours pas légal) si elle a envie de cocooning, et enfin, restaurant qu’elle avait adorée et où nous ne sommes pas retourné depuis très longtemps.
Le téléphone sonne : C’est sa sœur.
La douche s’est tue, elle doit être en train de s’habiller.
Je lui amène le téléphone et je sors.
Elle vient me rejoindre toujours au téléphone. Elle n’est pas encore habillée et son peignoir entrouvert m’est un merveilleux spectacle. Je ne me lasse pas de son corps. Ne vous y trompez pas. Elle sait parfaitement ce qu’elle fait. Et l’effet qu’elle me fait. L’ouverture de son peignoir n’est pas le fruit du hasard. Je ne suis pas le seul à faire attention à l’autre.
Je comprends à la teneur de la conversation que je n’aurais pas besoin de mes projets : Sa sœur vient passer l’après-midi avec son mari et ses enfants.
Mentalement, je passe en revue les placards de la cuisine : soda, gâteau, et s’ils restent ce soir, pates à la Carbonara (c’est l’un des rares plat que je maîtrise ! lol), vin blanc à mettre au frais.
Dans l’après-midi, je servirais tout le monde, je mettrais deux machines à laver en route, puis au sèche-linge, je débarrasserais la table, servirais le café… Sans à aucun moment me couper vraiment des conversations, ou me départir d’un sourire.
Alors qu’ils seront en pleine conversation, je m’éclipserais pour changer les draps et refaire le lit.
Ils ne repartiront qu’à 1h du matin après une belle soirée très gaie et très arrosée !
Ma reine à un peu bu, elle semble fatiguée et se glisse avec bonheur dans les draps frais… Comme je pose ma main sur sa hanche, elle me tire vers elle et se blotti contre moi.
je bande très fort, je veille à ce que ma queue ne la touche pas. Alors qu’elle semble s’endormir, sa main s’égare entre mes cuisses… Sans bouger, elle joue avec ma hampe, doucement…
-« Bonne nuit mon amour »…
-« Bonne nuit ma chérie »
Et parce que ma Reine sait se laissé aller à ses envies, elle plaque ses fesses contre mon sexe tendu. Elle ondule doucement… Je l’embrasse délicatement dans le cou…
Alors elle se retourne, m’embrasse à pleine bouche, me mord les lèvres et se plaque violement contre moi…
C’est de l’homme dont elle a envie…
Elle m’attire sur elle, ses cuisses se relèvent, ses chevilles s’enroulent derrière mon cou.
« Baise-moi ! »
Je la prends… J’entre d’un seul coup jusqu’à la garde et reste un instant planté à fond. Elle aime cet instant où elle se sent empli…
Elle gémi, sa tête part en arrière, je la sens qui se plaque contre mon ventre… Avec force… Ses ongles s’enfoncent dans mes épaules, lacèrent ma peau… Et puis elle relâche l’étreinte et une danse infernale commence… Elle me gifle, me griffe, rugit… Alors qu’elle est toute proche, elle trouve la force de penser à moi :
« Garde ton jus ! Tu m’entends ! Garde le que je puisse te traire demain ! »
Je n’aurais pas trop de mal à me retenir… Elle jouit vite… Fort…
Voir jouir ma Reine… Le plus beau des cadeaux… Et demain, peut être….
Elle trouvera le sommeil blottie dans mes bras, après de long baisés et autant de « je t’aime »….
Demain… vers 8h, je me réveillerais… Une question d’habitude… Et une nouvelle merveilleuse journée commencera….
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