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BxSteel

Homme Dominateur. Vit à Bordeaux, France. 48 ans. BxSteel est en couple.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 27/11/23
Depuis que nous jouons ensemble, nous avons beaucoup échangé sur nos envies communes, nos délires, nos fantasmes les plus enfouis. Etonnamment, même si elle a des envies plutôt modérées, elle rêve de kidnapping, simulacre de viol. J’avoue que cette idée n’est pas totalement pour me déplaire. Après, je ne me vois pas organiser un enlèvement en pleine rue et la jeter ligotée à l’arrière d’un fourgon.  Personnellement, j’ai été fortement influencé dans ma jeunesse par la BD extraordinaire de Milo Manara « Le Déclic ». Un homme implante un dispositif dans le cerveau d’une femme et contrôle à l’aide d’une télécommande son désir sexuel lui donnant à la demande un appétit vorace. J’adore absolument l’idée mais personnellement, j’ajouterai un bouton du style ON / OFF, la plongeant si besoin dans une sorte de comma télécommandé. Le but ultime est de pouvoir rendre la soumise inconsciente pour qu’à son réveil, elle soit dans un lieu, une posture, une contrainte qu’elle découvre, bref jouer avec l’inconnu, la surprise ultime. J’ai essayé d’assouvir ce phantasme il y a bien des années avec une soumise et amie mais ce fut un échec pour diverses raisons. Aujourd’hui, J’ai envie de faire plaisir et surprendre cette nouvelle partenaire et prendre également un pied absolu en assouvissant mon vieux phantasme. Après quelques longues recherches et autres discussions, une solution simple et sans risque est trouvée, il faut passer à l’acte. Tout d’abord, il faut un cadre. Pour ça, c’est facile, la grange d’une vielle maison de famille sera parfaite. Elle est grande, intrigante et pleines d’accessoires pouvant être détournés. Je suis allé y passer quelques heures pour préparer le lieu. Tout est bon de ce côté-là. Aujourd’hui c’est le grand jour. Ce samedi matin, nous avons décidé de nous retrouver et d’aller faire un tour en ville. Je gare la voiture dans mon parking habituel est nous partons en balade. Je prétexte à la sortie du parking un oubli pour retourner à la voiture. Le piège se referme… Elle ne se déplace jamais sans sa gourde et la laisse en voiture, c’est trop facile. Je l’ouvre et y met la dose de liquide qu’on m’a donnée. Après une balade que j’ai volontairement écourtée, nous reprenons la voiture. Dès que nous roulons, son premier réflexe est de boire quelques longues gorgées de son infusion. Il ne faut pas bien longtemps pour qu’elle s’assoupisse profondément. Je continue tranquillement les quelques kilomètres qui nous séparent de son lieu de détention. Nous arrivons. Je gare ma voiture à l’abris des regards, ouvre la grange et y porte mon colis. Elle semble dormir très profondément. Je la déshabille doucement, puis pose les contraintes que j’avais prévu sur ce sublime corps. Je m’installe confortablement dans un coin que je m’étais aménagé pour attendre son réveil. Comme elle n’a pas beaucoup bu et que j’ai mis une dose raisonnable, ça ne devrait pas trop tarder. Au bout d’une heure, un bruit de chaine me sort le nez de mon PC portable, elle se réveille, je ne bouge pas. Très rapidement, les premiers gémissements étouffés par sa cagoule de bondage se font entendre, je ne bouge toujours pas. Puis elle bouge franchement essayant se mouvoir. Je ne l’ai volontairement pas immobilisée comme j’aime souvent le faire. Je voulais qu’elle puisse se débattre, bouger dans les limites que j’avais déterminées. La voir se débattre m’excite. En plus de sa cagoule, des mitaines en cuir l’empêchent de se servir de ses mains. Une chaine relie ses chevilles avec une trentaine de centimètres de « liberté ». Ses escarpins sont verrouillés sur ses chevilles. Enfin, une chaine d’un mètre relie le collier d’acier qu’elle porte au cou à un anneau au sol. Sa longueur bien trop courte lui interdit de tenir debout. Cette grange à un écho, une odeur qu’elle ne connait pas. Le sol froid et irrégulier participe à l’angoisse que je sens monter en elle. Elle se débat depuis quatre ou cinq minutes testant tour à tour les limites imposées. Sans faire de bruit, je m’approche le pose ma main sur sa tête. Surprise, elle a d’abord un mouvement de recul, puis vient naturellement chercher le contact et se blottir contre moi. Maintenue à genoux par sa chaine, elle vient maintenant se frotter contre moi à la recherche d’une caresse. Puis, sa tête vient maintenant se frotter de façon bien précise contre mon entre jambe. Je défais ma ceinture puis mon pantalon. Le bruit de la fermeture éclair l’excite indiscutablement. Je lui ôte le bâillon de sa cagoule et, sans rien dire, elle se met goulument au travail. Quel bonheur. La tache accomplie avec succès, je défais du sol sa chaine et l’amène vers le vieil établi. Je la penche en avant sur l’établi et fixe sa chaine au travers d’un trou du plateau. Elle est là, offerte, la croupe à l’air et dans l’incapacité de se relever. Comme elle n’est pas très grande, elle arrive à peine à poser ses talons au sol et cherche parfois l’équilibre sur la pointe des pieds.  Je viens me coller contre elle pour user de cet orifice présenté en offrande. Je savoure ce moment. Puis, dans de tendres caresses, je saisi ses mitaines et les relie par un mousqueton dans son dos. Je défais ensuite sa chaine de l’établi et l’aide à se redresser. Tenant sa chaine tel une laisse, le la tire hors de la grange jusqu’à la voiture. A l’aide d’un deuxième mousqueton, je relie ses bracelets de cheville lui interdisant de marcher et la bascule dans le coffre ouvert. Avec prudence, je rentre à la maison pour que nous puissions terminer le Week end
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Par : le 19/04/23
Je lui ôte ses menottes afin de finir de la dévêtir. D’un pas, elle enjambe sa jupe au sol, son chemisier tombe à son tour. Elle cherche machinalement à deviner ce lieu que ses lentilles opaques l’empêchent de voir. Je verrouille sur ses poignets de larges bracelets d’acier, puis à ses chevilles. Ses bas noirs font ressortir le brillant de l’acier, je suis aux anges. La prenant fermement par la nuque, je la pousse vers le salon. J’en profite pour observer son corps nu que je possède pour la première fois. Elle est belle. Elle n’a rien d’extraordinaire mais son corps dégage une douceur, une sensualité incroyable. Les talons très hauts de ses escarpins imposent à ce corps une délicieuse cambrure qui exacerbe sa féminité incroyable. Nous y sommes, je la retourne et la fais s’assoir sur la table basse du salon que j’avais préparée. Je la fais s’allonger et passe ses jambes de part et d’autre de la table. Avec la chaine que j’avais disposée, je relie les bracelets de ses chevilles. Je fais de même avec ses poignets les fixant au-dessus de sa tête aux pieds de la table. Une dernière chaine vient s’arrimer à son collier pour lui interdire de se redresser. Enfin, un beau bâillon gag en cuir noir vient la réduire au silence. La position de ses jambes, maintenues écartées par la table basse offre son sexe au regard. Sa fine toison est ornée de perles de rosée, son excitation est manifeste. Lors de notre repas, la semaine dernière, elle m’avait indiqué qu’il fallait en prévision de ce soir qu’elle se rase le sexe, chose qu’elle avait négligé depuis un certain temps, ce que je lui ai formellement interdit sans plus d’explication. Quelle plus belle façon de s’approprier ce corps que de le faire moi-même. J’attrape une petite tondeuse que j’utilise pour ma barbe et entame délicatement le travail. Très vite, la voilà à nue. Un peu de gel et un rasoir permettent d’obtenir enfin la douceur attendue. Nous y sommes, elle est prête. Elle est restée parfaitement immobile tout ce temps. J’ai pourtant envie de la voir se contorsionner dans ses entraves, se débattre, tenter en vain de se soustraire. J’attrape un vibro énergique et commence à caresser ses lèvres puis à approfondir les choses. Des gémissements se font vite entendre, elle gigotte et tend ses chaines. Ses poings se ferment, des vagues la font onduler. Enfin, une grande contraction de tout son corps et un hurlement de bonheur, étouffé par son bâillon, marquent la délivrance. Mes mains caressent son corps et finissent par vérifier avec attention le travail que je viens d’achever. L’excitation est totale. Ses chaines otées, je me pose sur le canapé et la tire vers moi. A tâtons, elle cherche mon corps et s’agenouille spontanément devant moi. Maladroitement à cause de sa cécité elle défait mon pantalon. Il y a des initiatives agréables qu’il faut savoir encourager. Je la caresse avec tendresse alors qu’elle me met à nu. Il devient urgent de lui oter ce bâillon qu’elle frotte tendrement sur mon sexe. Ses lèvres sont douces, tendres et fermes à la fois. Puis elle m’honore de sa langue et la douce chaleur de sa bouche. Le plaisir est total. Elle arbore maintenant un sourire incroyable, la fierté du travail accompli, du plaisir donné.  Je la hisse sur le canapé. Machinalement, elle vient se blottir dans mes bras, elle semble tellement paisible, heureuse, je suis bouleversé. Comme nous n’étions pas là pour passer du temps à table et faire un repas gastronomique, nous avions convenu de nous commander un repas par livreur. Je passe un coup de fil et nous attendons le livreur enlacés sur le canapé à papoter et prendre soin l’un de l’autre. Le livreur sonne. J’enfile rapidement mon pantalon et reviens avec notre repas. La logique voudrait que je lui enlève ses lentilles opaques mais je n’arrive pas à m’y résoudre. J’aime trop cette dépendance et la douceur que l’hésitation donne à ses mouvements. Nous mangeons l’un contre l’autre. Entre deux bouchées, je la nourrie, telle la personne dépendante qu’elle est.  Notre repas fini, nous allons dans la chambre. Notre soirée ne fût que jeux et tendresse. Elle n’avait que peu d’expérience, nous avons donc testé plein de choses… Menottes, armbinder, baillons et harnais en tout genre, camisole de cuir,… J’affectionne particulièrement ma camisole de cuir. Elle offre une contrainte absolue et le contact de cuir est d’une sensualité incroyable. Par chance, elle a adoré également. Je pense que la camisole n’aura pas l’occasion de prendre la poussière. La nuit avançant, nous arrêtons nos jeux pour ce soir. Je lui laisse ses lentilles et les bracelets d’acier qui ornent ses chevilles et poignets. Elle blottie dans mes bras, nous nous endormons. Le réveil fut bien agréable. Je fus étonné que ses lentilles résistent à une nuit de sommeil mais elle était toujours aveugle. Comme il fallait qu’elle parte tôt pour un repas de famille, je lui propose de commencer par une douche. Je la conduis sous la douche avec ses bracelets et la nettoie avec de grandes caresses savonneuses. Elle me demande le savon me tendant la main et s’occupe à son tour de moi.  Sa cécité donne une infinie douceur à ses gestes, parcourant mon corps à tâtons. Ses caresses sont divines.   Une fois propre et sèche elle me demanda si elle pouvait revenir ce soir, après son déjeuner en famille. Comment refuser un tel plaisir ? Du coup, une vilaine idée me traversa l’esprit. « Oui, il n’y a aucun problème mais je vais mettre un peu de piment à ton repas de famille ». Je la ramena sur le lit et attacha ses poignets et chevilles aux chaines des quatre coins du lit. Un bâillon la priva ensuite de toute possibilité de protestation. Je pris un sac dans le placard et alla chercher quelques outils. Ensuite, je pris un moment à régler à sa taille une ceinture de chasteté. Une fois suffisamment ajustée, je la verrouilla. Même loin de moi, elle restera mienne. Une fois ainsi « vêtue », je la détache, lui enlève bracelets et enfin ses lentilles. Elle découvre enfin les lieux. Voyant le grand miroir de la chambre, elle se lève et va observer ce que je viens de fixer sur son corps. Elle n’ose rien dire mais je sens bien ce mélange de plaisir et de crainte que cela se voit. Il est certain que si elle passe la journée avec la jupe courte et légère qu’elle avait hier, il faudra pas qu’elle se penche ou qu’il y ait du vent. Nous descendons prendre le petit déjeuner, nus. Elle passe machinalement ses mains de façon régulière sur sa ceinture. Une fois terminé, nous nous habillons puis, après une tendre dernière embrassade, elle me quitte pour renter chez elle. Que les heures vont être longues en attendant son retour
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Par : le 16/04/23
Cela fait des semaines que nous clavardons sur le site. Il y a clairement une affinité et des envies communes qui se dessinent. La semaine dernière, nous avons mangé ensemble histoire de voir si le réel n’était pas trop différent du virtuel. Ce fut une délicieuse soirée, pleine d’humour et de complicité. Aujourd’hui, c’est le grand jour, nous nous rencontrons de nouveau mais pour passer au concret. Comme moi, elle aime jouer avec les sensations et les surprises. Je lui ai donné rendez-vous dans un café et pas chez moi. Comme à mon habitude, je suis là en avance. Je me suis posté en retrait et surveille l’entrée. Elle arrive à l’heure et m’attend devant la terrasse. Elle fait les cent pas nerveusement. Ses jambes sont belles, sur des escarpins à talons magnifiquement hauts et fins. Sa jupe légère très distinguée lui va à merveille. J’arrive et de suite elle m’embrasse avec un sourire complice et plein de désir. Nous nous installons en terrasse pour profiter de ces premiers beaux jours. Très vite, elle m’indique qu’il lui tarde d’être chez moi, au moins, c’est clair. Nous commandons un verre. Nous attendons d’être servis mais ma première injonction tombe. « - Tends ta jambe sous la table et pose ton pied sur ma cuisse. » Je la sens étonnée mais elle s’exécute sans discuter de suite. Ma main caresse sa cheville et remonte sur son mollet. Que ces bas lui font de jambes douces et sensuelles....  Discrètement, je plonge mon autre main dans la poche de ma veste et en sors un bracelet que je verrouille sur sa cheville.  Elle devient instantanément toute rouge ne sachant pas à quoi s’attendre. «- Tu es maintenant à moi » lui dis-je. J’aime ces bracelets. Ce mince ruban d’acier inoxydable passe pour un bijou de cheville presquee ordinaire mais la bélière sur l’extérieur laisse peu de place au doute pour un œil averti. Elle retire sa jambe et regarde avec curiosité à la fois heureuse et inquiète sa cheville sous la table. Un large sourire montre son bonheur. Nous buvons rapidement nos consommations. Dès qu’elle a fini son verre, je lui ordonne d’aller aux toilettes et de se laver les mains méticuleusement avant de revenir. Elle me regarde avec stupéfaction ne comprenant rien mais s’exécute. Dès qu’elle a quitté la table, elle marque un arrêt pour regarder sa cheville et se retourne vers moi avec un large sourire et repart. A son retour, je sens un peu d’anxiété en elle. Une fois assise, je lui tends une paire de boite : « c’est une paire de lentilles de contact, mets les ».  Une fois la stupéfaction passée, elle ouvre la première boite et installe avec difficulté la première lentille, puis la deuxième. Se sont des lentilles opaques. « - Alors, que vois  tu ? Euh… rien, juste un peu de lumière  Bien, lève toi, nous y allons » Je prends sa main puis la passe autour de mon bras pour la guider et nous partons lentement. J’avais pris le soin choisir un café à quelques mètres du parking souterrain où j’ai mes habitudes. Dans l’ascenseur, elle cherche de la main où je suis et vient avec un grand sourire se coller à moi. Je la prends dans mes bras et l’embrasse. Nous arrivons au dernier sous-sol. Je la guide hors de l’ascenseur puis jusqu’au recoin ou j’ai garé mon véhicule. Avec tendresse, je la plaque sur la voiture et lui pose les mains sur le toit. Je passe une jambe entre les siennes et, d’un geste du pied lui fais écarter les jambes.  «  Je vais vérifier si tu as bien respecté mes consignes. »  Une fouille à corps permet de vérifier qu’elle ne porte rien sous son chemisier dont je profite de l’occasion pour défaire un bouton supplémentaire. Mes mains descendent le long de ses hanches puis ses jambes et remontent sous sa jupe caressant une cuisse de part et d’autre. Pas de culotte, c’est parfait.  Je ramène une de ses mains dans le dos et attrape dans ma poche la paire de menottes que j’avais préparée. Au tour du deuxième poignet. Je la place dans la voiture et boucle sa ceinture. Je prends place et nous partons. Le bonheur des voitures automatiques fait que nous avons une main de libre. J’en profite pour poser ma main droite sur sa cuisse. Ses bas sont d’une douceur exquise. Au fil de la route, ma main devient plus inquisitrice. Après avoir joué avec la dentelle de ses bas, je remonte doucement. « Tiens, il n’y pas que moi que la situation excite » lui dis-je. Elle me fait un large sourire. Nous arrivons, le portail s’ouvre puis se referme après notre passage. Je descends et l’aide à sortir du véhicule. Debout, elle vient immédiatement se coller contre moi. Je place ma main dans le creux de son dos. Son visage cherche le mien à tâtons et m’embrasse avec une grande tendresse. Je la guide vers la porte. Une fois rentrés, je la plaque le dos à la porte et déboutonne d’une main pleine de douceur son chemiser puis fait tomber sa jupe sur ses chevilles. J’attrape sur le guéridon un large collier en acier que je verrouille sur son cou. Passant mon doigt dans l'anneau de son collier, je tire pour amener son visage contre le mien, joue contre joue, peau contre peau, et lui murmure à l'oreille : «  Ce soir et cette nuit tu seras mienne »
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