VraiEsclavagiste Obediante
Je lis: "commence pas à me casser les couilles"...
J'ai beau regarder, je ne vois pas que tu en aies...
Soyez la première personne à aimer.
Obediante
😂 Excellent !
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11/06/23
Avec le retour des beaux jours vient la légèreté
#teamsansculotte
je me prépare pour eux...patience...ce soir je serai leur élève et je compte bien apprendre de ce moment inédit pour en sortir grandie. merci maitre d'orchestrer ma liberté conditionnée...
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Livre : Semita Voluptatis
"Semita Voluptatis" est un roman qui explore la relation entre un dominant et sa soumise avec une perspective inhabituelle et approfondie, celle du dominant. Paul Fontaine, l'auteur, offre un aperçu intime et émotionnel de ses personnages, présentant le dominant comme un personnage complexe, capable de vulnérabilité ainsi que de contrôle. La soumise, loin d’être simplement une victime, est décrite comme une figure de force et de détermination, essentielle à la dynamique de leur relation. Les lecteurs apprécient la narration authentique et les descriptions équilibrées des pratiques BDSM, trouvant le livre à la fois troublant et captivant. Le roman est salué pour son approche respectueuse et réaliste, ce qui en fait une lecture incontournable pour ceux qui s'intéressent à une représentation fidèle du BDSM.
En savoir plus / Acheter le livre
Bonjour et merci pour les hommages, au plaisir de te lire...^^
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Certaines personnes ici et certains contenus partagés déclenchent un flot de sensations dans ma culotte...
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Voici un article qui me parle...
Choisir une personne en étant certain.e de ne pas éprouver de sentiments amoureux ! C'est ce qu'il me faut !!
Et vous, est-ce que vous pensez que le romantisme et le BDSM sont compatibles ?
La soumise, tellement dévouée à son maître, peut-elle échapper à l'amour ?
Théory a posté un article.
09/05/22
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"La vie est un long fleuve tranquille mais j'ai un putain de Zodiac"
Je le rencontrai sur internet, au hasard d'un forum. Son humour me plut. Une phrase simple mais j'avais la réf. Nous échangeâmes et les discussions étaient drôles, vraiment. Jusque tard dans la nuit et bien encore après le levé du jour. Invariablement, le sexe revenait dans nos discussions, basique, simple (parce que vous êtes trop cons ;-)) mais il me parla de certaines expériences que je voulais miennes.
Le sexe tôt c'est bien, mais les sextos aussi. Il me parlait des choses qu'il me ferait si j'étais présente et j'y répondais présente. Nombre de fois je me caressai sur ses ordres et récits. Mes explorations étaient maintenant suppléées par un support radio distant et ce tour du monde à la voile me semblait dès à présent moins solitaire.
Je lui envoyai une photo de moi. Et même si je ne savais rien de lui, les références dans lesquelles nous nous retrouvions me laissaient à penser que nous avions le même compteur kilométrique.
Il me retourna la faveur. Il était beau. Bon en fait pas vraiment. Disons que sur tinder, ses matchs devaient plus être dû à sa description humoristique qu'à ses (casser... pas à méditer) photos. Il m'en fit d'ailleurs la réflexion.
Je voulais le rencontrer.
Un pays entier traversé et quelques bières vidées plus tard, nous étions chez lui totalement nus et attachés. Si je le fus par des liens physiques, il le fut par des liens sentimentaux.
Il m'introduisit (hihi) à des pratiques que j'avais longtemps cherché et bien plus. Quel pied mes amis.
Néanmoins il était amoureux de moi. Et ça, et bien ce n'était pas réciproque.
Le plaisir ineffable que j’eus avec lui fut bientôt gâché par ses tentatives gauches de me marier métaphoriquement (quoique).
Les montagnes russes émotionnelles que je ressenti alors me firent vouloir remonter dans le wagonnet aussitôt mon tour terminé. Avec la ferme intention de trouver le bon.
J'avais compris mon erreur.
Je cherchai jusqu'à présent celui qui me ferait chavirer. Une vision romantique influencée par Hollywood et un patriarcat toujours trop présent dans mes schémas de pensées.
Il ne me fallait pas quelqu'un qui me plaisait.
C'était la porte ouverte à tous les débordements émotionnels si redoutés.
Non !
Il me fallait un connard. Quelqu'un qui, en dehors de ces milles tourments qu'il me concocterait avec le sadisme et la méticulosité d'un sérial killeur obsessionnel, serait un parfait abruti, dégouttant et à l'opposé de ce qui peut me faire vibrer.
Dîtes adieu aux discussions sous le ciel étoilé, aux références communes, à la culture populaire.
Et dîtes bonjour au bas du front qui ne me voit QUE comme un bout de viande lui permettant d'étancher sa soif.
Voilà ce qu'il me faut... Un assoiffé !!!!!
A t-on déjà vu ça? L'agneau traquant le loup.
Je rejoignis donc ma bat-cave, mon antre démoniaque afin de fomenter un plan des plus diabolique qui me permettrait de prendre dans mes filet ce doux rebut de l'humanité.
Petit, petit, petit, petit....
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Je pense que le romantisme est la base de ma vision du BDSM même s'il est parfois inversé : le romantisme par la dégradation, l'humiliation.
Je pense que toute relation à long terme déclenche des sentiments, une forme d'amour parmi tant d'autre, de celui avec un grand A à aimer le fait de détester votre tortionnaire la palette est énorme avec beaucoup de nuances.
Ce n'est que mon point de vue de grand romantique bien sûr...
Bonjour,
Pour répondre à la question: "Est-ce que le romantisme et le BDSM sont compatibles?"
Romantisme, vous parlez sur le côté vanille?
Tout dépend du dévouement, de la sincérité, du sérieux de la soumise envers son Maître.
Si elle est capable de se dévouer: corps, âme, coeur, sa vie auprès d'un Maître exclusif en acceptant toutes les règles alors oui.
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26/05/22
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Sisyphe_44 a posté un article.
"Messieurs, ce chapitre vous est tout particulièrement destiné. Alors ne le survolez pas. Lisez-le lentement. Je sais que chacun de vous croit être passé maître dans l’art de lécher et, même si c’est effectivement le cas pour certains, la plupart d’entre vous êtes toutefois toujours perfectibles.
La plupart des hommes se conduisent comme de grandes brutes. Ils mordent plus qu’ils ne lèchent, frottent leur menton rugueux contre le clitoris de leur partenaire et ne se rendent même pas compte qu’une barbe, même rasée, reste agressive.
Nos chers compagnons commettent une autre erreur, tout à fait désastreuse. Depuis que l’on parle beaucoup de clitoris et d’orgasme clitoridien, ils se précipitent sur ce petit bouton. Ils le tètent à « bouche que veux-tu », quand ils ne le mordillent pas.
Ils oublient une fois de plus, qu’en amour, il faut toujours varier ses caresses et son rythme. C’est de ces variations que vient le plaisir.
Et si vous voulez qu’on vous mette les points sur les « i », cunnilingus est un mot latin. Cunnus signifie vulve et lingere lécher, il s’agit donc de lécher toute la vulve.
Enfin, dernier conseil avant de passer à l’action, messieurs, je vous en supplie, prenez votre temps.
Pour une femme, le cunnilingus n’est pas une simple préparation au coït. Bien gamahuchée, une femme peut atteindre plusieurs fois l’orgasme, et, contrairement à vous qui ne pouvez éjaculer quatre ou cinq fois de suite, plus une femme jouit, plus elle est excitée et prête à recommencer.
Alors oubliez vos habitudes. Après quelques petits coups de langue, ne lui sautez pas dessus parce qu’elle est toute mouillée : pour elle, le plaisir ne fait que commencer !
Laissez votre Maîtresse s’installer comme il lui convient le mieux pour pouvoir se relâcher et prendre tout son plaisir, glissez vos mains sous ses fesses et pétrissez-les. Vous devez vous trouver entre ses cuisses ouvertes.
Dans cette position, les grandes lèvres s’ouvrent, mais pas suffisamment pour une bonne séance de cunnilingus. Ecartez-les davantage à l’aide de vos deux mains. Approchez votre bouche. Attention ! Laissez passer l’air ! La muqueuse rose de la vulve est bourrée de nerfs que le moindre souffle excite.
Pointez votre langue sur le tour de l’anus. Revenez le long du périnée. Commencez alors à lécher rapidement et d’une langue légère la vulve de haut en bas. Une langue agile et qui vibre est plus efficace qu’une langue molle et lourde.
Lorsque vous approchez du clitoris, ne le mordez pas, ne le sucez pas ! Assouplissez votre langue qui doit accomplir un mouvement tournant et enveloppant autour du clitoris. Il est particulièrement sensible. Comme il se trouve à la commissure des petites lèvres, en tiraillant délicatement celles-ci vous l’exciterez par la même occasion.
Le grand art du cunnilingus consiste à retarder le plus longtemps possible l’orgasme de votre partenaire. Quand votre Dame commence à gémir et à se tordre, écartez-vous de son clitoris.
Enserrez les petites lèvres de vos lèvres buccales (n’oubliez pas que ce sont en fait les lèvres les plus longues). Pendant ce temps, votre langue couvre en mouvements amples, le pourtour de la fente, du périnée, de l’anus. Elle effleure le méat urinaire, puis frôle l’ouverture du vagin. Enfin, dardée, elle y plonge comme un pénis miniature. Ensuite vous pouvez retourner vous occuper de son clitoris.
Le plus important est de savoir jouer avec sa langue. Elle doit devenir tour à tour : large, souple, dure, tendre, raidie, pointue. C’est un muscle que l’on peut durcir à volonté ou au contraire relâcher. Profitez-en !
Jusque là vous pratiquiez le cunnilingus dans le sens de la fente : de bas en haut ou de haut en bas. Je vous propose d’essayer une variante qui ravira votre Maîtresse.
Mettez votre tête latéralement entre ses cuisses. Vos cheveux exciteront la face interne d’une de ses cuisses, votre menton l’autre. Dans cette position, vos lèvres se poseront exactement sur les siennes. C’est le moment d’affiner votre technique et de découvrir le « bouche à bouche » de face.
Cunnilingus impérial
A être Reine, on n’en est pas moins Femme… et amatrice de cunnilingus ! La seule différence c’est qu’on peut adapter la loi ou l’étiquette à son bon plaisir. C’est ce que fit l’impératrice Wu Hu de la dynastie des Ts’ang.
Trouvant que la révérence ne lui rendait pas suffisamment hommage, elle exigea que tous les dignitaires, ou hommes d’un certain rang admis en sa présence, saluent son impériale personne par un savant cunnilingus. De vieilles estampes la représentent, robe retroussée, en train de se faire lécher le sexe par un noble agenouillé à ses pieds.
En voilà une qui savait ce que dominer les hommes veut dire. Heureusement pour les chefs d’état occidentaux que la Chine a changé de régime !"
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Très intéressant, de nouvelles choses a tester, reste à trouver sur qui... J'en profite pour vous remercier de votre amitié nouvelle.
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20/04/22
Bonjour jeune Femme.
Merci pour l'acceptation (ça fait FB non?)
Voilà encore une jolie photo.
"Quand un corps se dénude, c'est ma vue qui se voile..."
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Vous arriveriez a me faire courir... Enfin presque, je vous attendrais et m'occuperais de vous sous la douche bien volontiers...
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20/04/22
douceur, sadisme et fétichisme ...
Que tu sois un homme ou une femme, expérimenté(e) ou débutant(e), mes pratiques seront adaptées... nous fixons ensemble tes limites... puis, je dispose de toi à volonté... .:.
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