Frémont

Ce récit a été écrit à la demande de Maîtresse Barbara à la suite de notre première sortie dans un petit club/sauna. Maîtresse, vous m’aviez demandé ce lundi si j’avais envie de jouer. Evidemment, j’ai toujours envie de jouer avec vous et de me mettre à votre disposition pour m’utiliser en BDSM. Cela pour votre plaisir et donc pour le mien aussi. Une fois prêt, je suis ravi de partir avec vous dans ce petit club sauna où vous avez vos habitudes. Je ne connais pas cet endroit et c’est la première sortie en extérieur que nous faisons ensemble. Sitôt arrivé et en tenue, c'est-à-dire vous en paréo et moi nu sous ma serviette, vous me mettez mon collier. Il y a d’autres personnes dans le club, un couple et deux hommes seuls qui sont témoin de la scène. Cela est excitant pour moi. Cela vous positionne tout de suite en domina et moi en votre soumis. Je me doute que la conversation au bar ne va pas s’éterniser et que mon café ne va pas avoir le temps de refroidir aussi je le bois rapidement, il est d’ailleurs délicieux, c’est un Nespresso, me dit le tenant de l’établissement. What Else ? Sûrement une délicieuse flagellation… Cela ne tarde pas. Vous me demandez de me placer devant une poutre en bois et commencez à me fouetter avec les différents martinets et fouets que nous avons préparé un peu avant notre départ. J’adore vous sentir derrière moi et entendre le bruit des coups qui s’abattent sur mes fesses et mon dos. Je dois avouer préférer que vous me fouettiez les fesses, cela pique, brûle et c’est délicieux. J’aime quand cela est plus fort et à la limite du supportable, je serre alors les dents pour ne pas prononcer le Safe Word avec une sensation de vous appartenir pleinement. J’apprécie un peu moins les coups sur le dos, mais si cela est votre bon plaisir alors à moi de les supporter docilement. Vous placez ensuite des pinces sur mes tétons et vous jouez avec en appuyant dessus pour les serrer plus fort. Je sais que maintenant vous savez que cette pratique est l’une de mes préférées et qu’elle me provoque à chaque fois une érection. J’adore ressentir la douleur quand vous écrasez mes tétons ou que vous tournez les pinces. C’est parfois très douloureux mais toujours jouissif. J’apprécie ensuite que vous repreniez la flagellation en alternance avec la torture de mes tétons. J’aime aussi vos griffures et vos morsures, elles ajoutent au bonheur de la douleur une grande sensualité à ses moments BDSM. Vous proposez à la jeune femme du couple de venir essayer, sous vos indications, de me torturer, à son tour, les tétons. Je trouve cette initiative très excitante aussi. J’apprécie ensuite la pause pour redescendre un peu. Vous me proposez de prendre la douche avec vous. J’apprécie ce moment d’intimité qui ne diminue en rien votre aura de domina. Il me permet de me sentir encore plus sous votre joug surtout lorsque vous en profitez pour m’uriner dessus. Je sais qu’un jour, cette douche dorée m’inondera en dehors d’une salle de bain. Cela sera un grand plaisir alors de voir votre urine sortir de votre méat et se répandre sur moi. Nous prenons place ensuite dans une petite pièce qui ferme à clef pour être tranquille. Celle-ci est à l’abri des regards, vous avez pris le gode ceinture et je sais que vous allez me sodomiser. Etre observé ne m’aurait pas posé de problème et je dois même avouer une certaine fierté d’être vu en train de me faire prendre par vous. Mais vous dites que la vue cette pratique sodomite dérange encore souvent les personnes présentes. Après l’essai infructueux de la sling qui s’avère aussi peu confortable et adapté pour vous comme pour moi, vous me placez, après m’avoir bander les yeux, en levrette le cul en l’air. J’aime cette position complètement soumis et offert à vous. Bien lubrifié et détendu la pénétration du gode se fait facilement et cela est déjà délicieux de me sentir rempli par vous. Mon plaisir continu avec vos allez retour, parfois lents, parfois rapides et parfois aussi très profonds. Je sens le plaisir monter en moi. Vous me faites commenter ma sodomie à haute vois et cela m’excite. J’ai un premier orgasme anal, il sera suivi d’autres. Vous me demandez si je veux continuer, je répond oui, bien sûr et cela à plusieurs reprises. Comme vous répondez à mes demandes, j’enchaîne une série de délicieux orgasmes secs. Je ne m’attendais pas à une sodomie aussi longue et jouissive et je dois avouer que lorsque nous avons arrêté, j’ai mis un bon moment à redescendre. Je vous remercie, maîtresse pour ce grand moment de jouissance. Après un second café, remis de mes émotions anales. Vous souhaitez m’utiliser sexuellement pour votre plaisir. Cette fois-ci vous vous placez dans la grande pièce commune à la vue de tous. C’est un grand plaisir pour moi que vous me laissiez l’accès à votre intimité et un honneur que vous m’utilisiez pour votre jouissance. C’est toujours avec un grand respect que j’introduis mes doigts en vous avec le seul désir de faire monter votre excitation et de vous faire jouir. Vous me demandez ensuite de vous stimuler pour faire la fontaine et cela est un immense bonheur pour moi de la voir jaillir. J’aurai adoré que cela soit sur moi, une autre fois peut-être. Cette après midi dans ce petit club partagé avec vous a été, pour moi, un moment de bonheur. J’apprécie vos séances en duo chez vous mais aussi toutes les autres expériences possibles ailleurs et en groupe avec vous. Je suis soumis et à votre disposition pour réaliser vos envies comme vous le souhaiterez. Je vous remercie de la joie que vous me procurer d’être votre soumis et me frotte docilement contre votre main en ronronnant. soumis Frémont.

Pour Maîtresse Barbara avec mon humble dévotion. Je devais accompagner, comme soumis, Maîtresse Barbara à une soirée BDSM en club. Malheureusement une crise de lombalgie m’a cloué au lit. Ce fut un grand moment de frustration pour moi. Maîtresse m’a demandé d’écrire un récit pour raconter la soirée que j’aurai aimé passer à ses cotés. Bien sûr ceci est une fiction et la réalité que j’espère vivre une autre fois ne dépendra que des envies de ma maîtresse. Maîtresse m’a trouvé une tenue de soumis pour l’accompagner à cette soirée BDSM dont le dress code est d’être habillé en noir. Il s’agit d’un pantalon en simili cuir plutôt moulant, elle a bien sûr ajouté un collier que je dois porter dès le trajet. Arrivé au club maîtresse me met en laisse et me fait la suivre à quatre pattes, juste condition de mon rôle de soumis. Elle salut ses ami(es) et connaissances en m’ignorant totalement. Elle a amené également un autre soumis qui a droit au même traitement. Elle semble satisfaite d’exhiber deux de ses soumis mais ne le montre pas comme si cela était tout fait naturel. Une fois assise, elle discute avec une amie dominatrice elle aussi. Elle s’aperçoit alors que je matte autour de moi les autres personnes : dominateurs et dominatrices, soumis et soumises. Elle me demande alors d’ôter mon tee shirt et se met à me pincer les tétons en représailles de ne pas être totalement concentré sur divine personne. Elle propose ensuite à son amie dominatrice d’essayer mes tétons, celle-ci à beaucoup plus de poigne aussi je ne peut m’empêcher de pousser un petit cri tant c’est douloureux mais aussi si bon comme j’adore. Maîtresse n’est pas du genre à discuter des heures, elle aime l’action. Elle me conduit alors dans une pièce avec deux autres soumis pour nous travailler. Nous nous retrouvons tout les trois en levrette, nos culs en l’air et offerts. Je suis entre les deux autres soumis, étant un farouche hétérosexuel, cette promiscuité m’indispose quelque peu. Maîtresse nous travaille alors tout les trois avec différents fouets et martinets, parfois doucement, parfois plus fortement en nous cinglant les fesses. L’un des soumis est plutôt douillets mais l’autre est très endurant alors je sers les dents pour encaisser les coups qui sont aussi douloureux que jouissifs. Maîtresse demande à son amie dominatrice de participer et ce sont deux maîtresses qui nous flagellent de concert. Certaines autres personnes passent la tête pour profiter du spectacle. A ce moment, je ressens une énorme reconnaissance pour maîtresse qui s’occupe si bien de me faire délicieusement souffrir. Je redoute toute fois la promesse qu’elle a fait à l’autre soumis bi de me faire une fellation. Cela ne tarde pas, elle me fait me relever, me travaille les tétons pour me faire bander et enfourne ma queue en érection dans la bouche de l’autre soumis bi. Je suis farouchement hétéro et je n’accepte les pratiques bisexuelles qu’imposées dans le cadre du BDSM par une dominatrice. Je me laisse donc sucer et je me sens très humilié par la situation surtout que d’autres personnes profitent toujours du spectacle. Soudain, elle interrompt le jeu pour frustrer son soumis et du coup c’est un soulagement pour moi. Maîtresse lui colle un plug dans le cul et un gode dans la bouche. Elle me demande de l’aider à mettre son harnais de gode ceinture sur lequel est fixé un gode en Jelly transparent de belle dimension. Qui va le prendre dans le cul, cette fois-ci ? Maîtresse ne m’a sodomisé qu’une seule fois à ce jour. J’adore cette pratique anale et cela m’enchanterait que cela soit moi même si je trouve très humiliant d’être observé par d’autre en train de me faire prendre et défoncer le cul. Maîtresse me fait languir, elle place des pinces sur mes seins et les tortures, j’ai de nouveau une érection. Elle frappe alors mes couilles pour me punir de celle-ci. C’est très douloureux mais je suis totalement excité et dans un état presque second. Elle m’assène aussi une forte fessée qui me fait bien rougir les fesses enfin elle plante ses griffes dans mes flancs et sur mes fesses. La douleur est extatique. Elle me demande de me cambrer et après avoir mis une noisette de lubrifiant me pénètre profondément. Elle alterne une sodomie parfois lente, parfois rapide et profonde. Elle profite aussi de la situation pour me lacérer le dos avec ses griffes. Mes joues sont rouges, mon souffle court. Elle me demande de commenter à haute voix mon ressenti en disant que je ne suis qu’une lopette qui aime se faire enculer. Je suis au comble de l’humiliation d’être exposé dans cette situation mais plein de gratitude pour ma maîtresse qui me comble de plaisir masochiste. Ma jouissance est cérébrale et je ressens de multiples orgasmes mentaux mais aussi physiologique en anal. Maîtresse cesse sa sodomie qui me laisse vidé psychologiquement et béat. Elle me demande d’aller nettoyer les jouets. Elle me suis dans la salle de bain et comme je suis nu, elle me demande de me placer dans la douche et urine sur mon corps et mon visage. Je reçois un peu de son champagne dans la bouche que je recrache. Je perçois le goût de sa liqueur, peut-être que la prochaine fois je l’avalerai si elle me le demande. Le club va bientôt fermé, nous nous rhabillons et repartons. Je ressens une immense plénitude et une reconnaissance sans fin pour ma maîtresse. Fin de la fiction, à quand la réalité ? Frémont, soumis de son état en dressage avec Maîtresse Barbara.