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Homme switch. Vit à Paris, France. 58 ans. est célibataire.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 13/06/25
Quand j’ai dit à mon copain ce que m’avait fait le type de ma belle-mère, qu’il m’avait enculée dans la salle de bain, j’ai cru qu’il allait devenir fou. Le type, comme d’habitude, était au salon avec ma belle-mère. Ils étaient sur le canapé sous la couverture en train de baiser. On les entendait, surtout ma belle-mère qui couinait en essayant de se retenir pour faire le moins de bruit possible. Mais on les entendait. J’ai dû appuyer de toutes mes forces avec mes mains sur la bouche mon copain pour l’empêcher de hurler. Ensuite, je l’ai bâillonné à coups de baisers et je lui ai fourré ma langue dans la bouche. Mais je me suis aperçue rapidement qu’il était très excité et il m’a sautée comme jamais. Je me demandais ce qui avait produit cet effet chez lui. Peut-être que lui aussi est un pervers, peut-être que l’idée que je m’étais fait enculer l’excitait à mort. Quel chien, quand j’y pense. C’est là qu’il y a une idée qui m’est venue. Quand il m’a bien fait jouir et qu’il s’est calmé, je lui ai dit qu’on pourrait peut-être se venger du type. Comment, il m’a demandé, avec une voix qui semblait intéressée dans la nuit. Parfois, quand le type vient, il reste à dormir sur le canapé, pendant que ma  belle-mère est déjà partie au boulot. La prochaine fois, ça serait peut-être l’occasion de lui donner une bonne leçon. Et de s’amuser un peu à ses dépends. On a vaguement préparé notre coup sans trop savoir exactement comment on allait s’y prendre. Et ça n’a pas raté, quelques jours plus tard ma belle-mère est partie et quand je suis allée guetter au salon, le type était encore là à dormir sur le canapé, affalé. Apparemment, il était nu sous la couverture. J’avais déjà remarqué qu’il dormait d’une drôle de façon, sur le ventre avec un bras sous la tête et l’autre qui pendait dans le vide. Avec mon copain, on a hésité un moment. On avait prévu des menottes. Mon copain s’est approché du type et il a réussi à lui attraper les bras sans le réveiller. On l’a menotté au pied de la table qui était juste à sa tête. Il dormait toujours. Moi, j’avais qu’une envie, c’était de l’enculer. Mais on avait rien pour ça. On était là debout devant le canapé comme des patates à pas savoir quoi faire. C’est là que j’ai encore eu une idée. Je suis trop géniale! Je suis allée chercher le balai. J’ai fait signe à mon copain que j’allais l’enfoncer dans le cul du type. Il a compris. Il a écarté les fesses pour bien dégager le trou. Et moi j’ai plaqué le bout du manche à cet endroit. J’avais trop envie de lui faire mal à ce salaud. J’étais décidée à le défoncer à sec. J’ai forcé dans son cul, c’était vraiment pas facile de rentrer là-dedans. C’est là que le type s’est réveillé. Il a compris ce qu’on était en train de lui faire. Il a essayé de se débattre et de crier. Mon copain s’est assis sur lui à cheval. Il s’est penché, il a ramassé les chaussettes qui traînaient au pied du canapé et il lui a enfoncées dans la bouche pour le faire taire et moi pendant ce temps, je lui rentrais le manche à balai dans le cul, je lui ai défoncé son trou, je l’ai enculé bien à fond. C’était trop bon de faire ça. Ça me faisait mouiller grave comme c’était pas permis. Tout en maintenant le balai dans le cul de l’autre, je ne suis approchée de mon copain et je lui ai demandé de m’enfoncer deux doigts dans la chatte tellement j’étais trempée. C’est ce qu’il a fait. Et aussitôt j’ai joui, j’ai même crié tellement c’était bon. L’autre, il essayait de se dégager, mais il ne pouvait rien faire. Il nous appartenait. Mon copain a ressorti le manche à balai de son cul et, avec, il lui a cravaché les fesses comme une brute. Et l’autre, même avec les chaussettes dans la bouche, on l’entendait crier. Il se tordait sous les coups. J’ai dû arrêter mon copain, j’ai cru qu’il lui allait lui détruire le cul. Mon copain a fini par jeter le manche à balai et on est vite repartis dans la chambre. On s’est enfermés à clé. Peut-être qu’on a manqué d’imagination sur ce coup-là. On s’est recouchés. La queue de mon copain était baveuse et moi j’avais du jus plein les cuisses. Le type a fini par se dégager du pied de la table et, à un moment, on l’a entendu partir.
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Par : le 24/05/25
Ce matin-là, quand je suis allée à la salle de bain, l’amant de ma belle-mère était encore là. Après l’amour, ils avaient dormi, blottis l’un contre l’autre, sur le canapé sous une couverture. Comme d’habitude, ma belle-mère est partie et je suis allée à la salle de bain. J’étais dans mon pyjama en pilou, quand, lui, il est entré. Tranquille, il était à poil. Il est venu derrière moi et on s’est regardés dans la glace, bien dans les yeux. J’ai soutenu son regard. Pas gêné, il m’a baissé le pantalon, et avant que je puisse réagir, il m’a empoignée par les cheveux et penchée vers l’avant. Je trouvais ça un peu fort, quand même, mais, après ce que ma belle-mère m’avait fait dans le lit, j’étais pas mécontente de lui faire cette vacherie. Après tout, un coup de queue ça peut pas faire de mal. Mais, lui, il a pris du savon liquide et m’a enfoncé ses doigts dans le cul. Il a bien trituré pour faire mousser le savon. J’ai pas compris tout de suite de quoi il s’agissait. Ça m’excitait grave de me faire tripoter comme ça. Tout de suite, j’ai eu les cuisses trempées, et pas seulement à cause du savon. Et puis, j’ai senti son gland entre mes fesses. C’est là que j’ai compris. Mais c’était déjà trop tard. Et il me maintenait toujours aussi fort par les cheveux, je pouvais plus lui échapper. Merde alors, prendre un petit coup le matin, d’accord, mais me faire enculer, ça alors ! Surtout que ça m’était jamais arrivée. Je me suis fait mettre en beauté ! J’ai senti sa queue qui forçait mon trou et qui entrait dans ses bourrelets. Sur le coup, ça m’a fait un choc de sentir ça et puis il a lâché mes cheveux, pour me maintenir par la taille très fort. Il m’a besognée comme une brute, j’avais mon visage qui tapait dans la glace. J’y croyais pas ! C’était presque douloureux, mais soudain j’étais trop excitée ! J’ai pas pu m’empêcher de glisser ma main entre mes cuisses qui étaient coincées contre le lavabo. Et j’ai joui comme une bête en criant. Dans la glace, on s’est fixés dans les yeux tous les deux. À ce moment-là, il a giclé au fond de mon cul, il m’en a mis partout, ça dégoulinait. Et puis il s’est plaqué dans mon dos en râlant. Il est resté comme ça un moment. Et moi aussi le front contre la glace. J’en pouvais plus. Au bout d’un moment il s’est retiré. La glace était envahie par la buée de mon souffle. Il m’a empoignée par les cheveux comme une brute, il m’a obligée à me mettre à genou, il a plaqué mon visage sur sa queue gluante, et il m’a dit "nettoie maintenant. Dépêche-toi !" J’étais à nouveau trop excitée. Je l’ai léché, il s’est remis à bander comme une bête. J’y croyais pas ! Et moi je le léchais aussi comme un animal comme une chienne… Sans qu’il demande rien, je l’ai sucé longuement. C’était trop bon ! Il s’est à nouveau mis à gicler, dans ma bouche cette fois-ci. J’en avais vraiment partout. J’ai avalé. Il s’est vite retiré et il m’a dit « dépêche-toi de te préparer, je voudrais pas arriver en retard au boulot ! » Moi aussi, je risquais d’être en retard. Alors je me suis dépêchée, tout en me demandant si j’étais pas une vraie salope.
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Par : le 17/05/25
Première séance pour un esclave. Il est allé chercher l’esclavage dans une tour du 13e, dans un appartement minuscule. C’est dans la chambre que ça s’est passé. Un réduit miteux qui avait renforcé en lui l’impression d’abandon dans l’humiliation. Son Maître avait été clair, ce serait « baise et suce hard et soft selon mes envies ». Il était tellement en manque de tout qu’il acceptait même de payer pour se faire traîner dans l’ordure. Dès que le Maître eut reçu l’enveloppe et qu’il eut vérifié l’exactitude de la somme, il lui cria de se foutre à poil. Ensuite, le Maître s’assit sur le lit et, comme un adjudant, lui ordonna de se mettre à quatre pattes. Pendant ce temps, il enlevait ses Nike, ses chaussettes et il baissa son pantalon qu’il jeta par terre. Il mit un pied sur le visage de son esclave en devenir et lui ordonna de lécher. Ça dura un certain moment. Le soumis dut lécher les deux pieds et sucer les orteils aux cris de « applique-toi ». Puis, le Maître lui enfonça la pointe d’un pied au fond de la bouche. Ce n’était qu’une mise en bouche, si l’on peut dire… Il y avait une petite table, le Maître a empoigné son esclave par les cheveux et l’a plaqué dessus. L’autre a gémi que son cul était étroit, qu’il fallait le lubrifier abondamment. Le Maître, trop bon, l’a tartiné en lui enfonçant les doigts profondément. Ensuite, avec sa queue bien dure, il l’a enfilé. C’est presque rentré facilement. L’esclave se tortillait, plaqué sur la table, en gémissant. Le Maître lui a giclé dans le cul, abondamment, en longs spasmes qui le faisaient tressaillir de tout son corps. C’était comme un baptême pour l’esclave, il a reçu l’onction du sperme répandu dans son cul. Le Maître s’est laissé tomber sur le lit et s’est fait nettoyer la queue ramollie par la langue de son nouvel esclave. Presque aussitôt il s’est remis à bander très dur. Il a empoigné la tête de l’esclave et l’a attirée pour enfoncer sa queue dans sa bouche, bien profond, jusqu’à presque l’étouffer. Après, il s’est fait lécher et sucer, toujours aux cris de « applique-toi », pour finir par remplir sa bouche de son foutre débordant. Difficile de dire si le Maître était pleinement satisfait, mais, comme pour marquer son pouvoir, il acheva cette brève séance par des coups de ceinture en cuir sur son esclave qui se roulait à terre.
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Par : le 19/04/25
Je surprends ma belle-mère.   J’ai surpris ma belle-mère en train de se faire sauter dans le salon. Elle était affalée sur le canapé et je voyais de dos le type qu’elle avait invité. Il avait passé ses bras sous ses genoux, elle avait les jambes et les pieds qui ballotaient en l’air. Lui il avait baissé son pantalon. Je voyais son cul qu’il s’agitait, il la défonçait  et elle gémissait. À un moment, elle s’est couchée sur le côté, et elle m’a vue. J’étais tétanisée. J’avais enfoncé ma main dans le pantalon en pilou de mon pyjama. J’avais mes doigts dans ma chatte trempées. Je me caressais pour me faire jouir comme une bête. Elle m’a vue, elle m’a regardée dans les yeux. Elle m’a fait un clin d’œil. Et elle s’est mise à gémir tout en me regardant. À ce moment-là ça a été plus fort que moi, j’ai joui et j’ai failli crier. Je suis vite partie honteuse me coucher. Impossible de m’endormir. J’ai entendu le type qui partait et ma belle-mère à la salle de bain en train de se brosser les dents. On habite un petit deux-pièces. Et quand ma belle-mère vient chez nous, elle dort sur le canapé et si son fils n’est pas là, elle vient dormir avec moi. J’étais seule dans mon lit. Au bout d’un moment elle est arrivée. Elle a dit « il fait froid » Et j’ai vu qu’elle était nue. Elle s’est glissée sous la couette et a dit en riant « Je ne sais pas ce que j’ai fait de ma chemise de nuit ». Elle est venu6 se blottir contre moi et elle m’a demandé « tu as joui? ». Je n’osais pas répondre. Elle m’a redemandé « tu as joui? ». J’ai bégayé un « oui ». Elle a dit en riant « moi aussi ». Et elle a ajouté « viens on se caresse chacune mutuellement ». Je ne savais pas quoi faire. Je n’ai rien dit. Elle a pris ma main et l’a fourré entre ses cuisses. Elles étaient mouillées. Et aussitôt elle a glissé sa main dans mon pantalon. Elle m’a caressée ma chatte qui a aussitôt explosé. Elle m’a ordonné « Caresse-moi » et je l’ai caressée, elle s’est mise à crier et elle a joui comme une folle. J’avais trop honte. Je me suis dit que j’étais une salope.
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