Revenons au quotidien de notre grande amie Chantal. A ce stade en 2025 elle aura été plus en inactivité qu'au travail. Depuis 20 ans à la retraite, 10 ans pour élever ses deux filles et deux garçons et ayant fini ses études d'ingénieure à 26 ans elle vient de prendre conscience que sa retraite de cadre plus la reversion de son défunt mari donnent un pouvoir d'achat superieur à sa periode active. Au surplus elle est propriétaire de son apart à Courbevoie plus une splendide hacienda vers St Jaques de Compostelle. Aussi elle est tombée follement amoureuse d'Eveline. Même si elles ne font pas ménage commun et malgré la différence d'âge Chantal reste la guide sexuelle et caressante. Bien sur Sultan reste l'amoureux mâle unique et lorsque Eveline s'instale le pauvre Sultan peste sur le balcon on passe ses journées dehors dans son enclos de St Jacques. Eveline ne supporte pas le chien et ne veut même pas essayer une caresse encore moins un gamahuchage comme Chantal en est friande.
Bien sur qu'à 80ans Chantal avec sa stature sportive et soignée en parait 20 de moins mais quand elles sortent en amoureuses on les prend pour mère et fille. C'est sans doute ce qui a attiré la belle Eve. A l'anniversaire de Shona elle se sont flashé d'un coup d'un seul. Chantal se refaisait une beauté aux toilettes et Eveline sortait du cabinet. Elle passa sa main dans le cheveux poivre et sel et pris la bouche de Chantal. Eveline prenant la taille de sa conquette la força a de nouveau entrer au cabinet, ferma le verrou et l'embrassa de façon si passionnée que Chantal se laissa faire ; car quelque années sans tendresse ni attouchement vous laisse en position de demandeuse. A 80 balais cette assaut n'est qu'un rève pour certain-e-s mais ce soir là le temps était suspendu et les léchages, mordilleries eurent raison de cet abandon. Chantal n'est pas en reste et plonge directement dans le jean se reprend, defait la ceinture Gucci, déboutone la braguette et fonce sur cette belle et douce peau, Eveline ne porte jamais de string ou de culotte. Chantal si car depuis sa ménaupose quelques gouttes de pipi et quelques traces de feces l' obligent à garnir cette pièce de dentelle.
Sa petite chatteChantalienne coule entre ses doigts preuve que les caresses en rond sur ce gros clitoris, toutes surprenante qu'elle soient réagissent chez Eve et Chantal. Cette gluance vient sceller ce flash à présent réciproque. Eveline s'assied sur le wc, baisse la belle culotte satin de Chantal et viens la languer en lui plantant ses ongles manucurés dans le flasque fessier octogénère pour écarter ce bel anus jauni mais dispinible
Chantal reste tendue et appuie ses mains contre le mur comme pour éviter de s'éfondrer. Elle reste contractée jusqu'au moment où le majeur, l'annulaire de la main droite d'Eve s'introduisent dans ce qui fût un de paliatifs à la conception : recta.
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Shona s'est couchée sur le coté et on devine que le magnum reste en place mais plus modestement. Les mains jointes entre ses jambes apaisant son mont de vénus, les yeux mi- clos, assoupie dans sa belle robe chifonnée et tachée par endroit. Elle est calme.
Jean est assis par terre cul nu et la flasquitude en main s'en est fini pour lui : le Maître n'est plus que l'ombre de lui même, transparent et fondu dans ce décor.
Et Chantal ? Son chemisier est froissé sa culotte envolée et son bas gauche plissé à la cheville. Elle a tout de la granny disjonctée mais abandonne la pause genuflectée en se relevant. Fait un tour d'horizon et vient chevaucher l'acoudoir du sofa en cuir crème. Un main écarte ses petites lèvres et commence un lent frotis- frota. La scène attire Eveline qui, bien que la crinière en brouillon reste souriante devant ce tableau. Tous coupables pense-t-elle. Elle a la chatte en éruption sentant les fluides quis coulent le long de ses jambes.
Eveline saisie par la taille Chantal, la galoche et lui mord la langue de la lèvre supérieure. Chantal se finit et se doigte la porte étroite de l'amour. De nouveau Eveline caresse ces vieux pendards et vient les téter gouluement.
Chantal sort de son acoudoir et vient s'empaler sur le pied de table de salon qu'elle ensageait il y a plus d'une heure. Eveline la rejoint et elle aussi se plante sur le pied disponible. Elles se font face et montent et descendent comme des enfant sur la balançoire. Chantal sera seule à vibrer, estatique sur son amant menuisier.
Maître Jean maugrée en jurant que ces salopes on dépassé l'entendement. En effet aucune d'entre elle ne dit mot. Elle planent à dix mil pieds. Dans quelques minutes le repas sera servi. Bonne nuit les ami-e-s et à bientôt pour d'autres aventures
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5- Jean se lève du sofa, enlève son pantalon et le plie avec soin pour le déposer sur le dossier de la chaise. Attrapant par les cheveux Chantal il baisse le caleçon sort son membre et l'introduit sans tendresse dabs la bouche dégoulinante de foutre et comme il dirige la maneuvre Chantal manque de s'étoufer et hoquette jusqu'à vomir son champ et des reliefs de petits fours. Le maître la gifle et lui remet en bouche cette belle queue dont l'anneau brille malgre la faible lumière à présent que la nuit est installée.
Un nouveau claquement de doigt interromp cette violence phallocrate. Shona coule encore et se répends en un jus collant depuis ses belle cuisses halées. Eveline lui prend la main s'avance vers la table roulante, boit au goulot de la bouteille de champ. Puis pose à terre le magnum de Piper Heidsick. Elle dirige Shona pour qu'elle s'empale doucement sur ce gode improvisé. Shona descend doucement sur ces talon qui limitent cette pénetration au haut de l'étiquette. Elle soupire puis se relève d'autant, prend du recul ; Eveline comprend que le goulot est à présent dans la petite rosette offerte et lubrifiée par tant de caresses bien placées. Shona est totalement enchristée sur ce magnum et se branle avec furie le clito en s'enfonceant quelques doigts dans le sexe qui coule encore et encore de ciprine et d'urine mélangés. Ses yeux sont révulsés elle grogne comme une truie qu'on égorgerait.
Chantal s'est agrippée au caleçon du maître et fini de vomir le sperme et la nourriture. Elle spasme mais ne s'exprime pas à la vue du gode géant qu'Eve lui amène. Elle relève la pantelante Chantal qui vibre encore de ses reflux lui passe une main experte entre les cuisses et lui extirpe le sein gauche pour mordre son téton.
Jean se glisse sous la jupe et commence à gamahucher l'intimité d'Eveline en se branlant la queue et proférant cris et mots étranges. Peut-être des injures ou des cris d'amour, là n'est pas l'important.
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3- Shona va ouvrir et acceuille Eveline et Chantal , elles s'embrassent fougueusement et semblent très liées. Ces 2 invitées vont saluer Jean au salon pendant que Shona passe en cuisine ranger ses courses et prepare des glaçons pour le seau à champagne les verres, les petits fours, et dispose le tout sur la table roulante, mets le champ à rafraîchir puis l'amène au salon. Bruit de verres car le plancher n'est pas régulier.
Jean débouche le champ se sert et laisse le service : chacun se sert. Il se rassois son verre à la main.
4- Shona se lève puis part dans la chambre jouxtant la salle de bain. Eve la suit avec sa coupe de champ. Shona est nue dans la salle de bain elle va prendre un douche. Sous la pluie fine elle fait mousser le gel douche, se caresse tendrement. Eve lui tend le peignoir d'une main et de l'autre s'atarde sur l'entre jambe offert et masturbe vigoureusement Shona qui s'ouvre les fesses : Eve lui enfonce presque la main. Shona fini par uriner en tendant sa bouche pour y recevoir un langoureux baiser d'amour saphique. Shona se branle à nouveau mais Eve la giffle puis lui passe le peignoir. Elle lui frotte la poitrine, attache la ceinture du peignoir, la pousse contre le mur et reviens lui caresser le pubis totalement glabre, puis la branle de nouveau et l'embrassant. Eve à la main bien trempée pourtant la douche est éteinte. Shona n'a rien dit quand bien même le sol est mouillée de sa ciprine, de son urine et du reste de la douche.
Pendant ce temps Chantal à sorti la belle verge de Jean qui a un prince Albert de belle taille, rendant la fellation plutôt malaisée. Les doigts experts de Chantal sont tout de même venus à bout de ce gros sexe car elle étale le jus sur la hampe, s'essuie la main sur le caleçon et d'un revers de la main enlève le trop bu de sa bouche pulpeuse. Son chemisier est totalement ouvert sur un soutif à balconnet trop grand pour cette modeste poitrine bien flasque. Normal Chantal a plus de 80 hivers. Mais comme elle doit savoir que le beau Jean ne peut pas la sodomiser, rapport au prince Albert, elle ne peut que le sucer, le branler et le boire sans un mot é changer... Bien sur Chantal branle de la main droite son mâle du soir, mais sa gauche s'affaire furieusement sur sa vulve et son anus. Elle espère cette nuit un gode de Shona, le noir et blanc un super modèle pour zoophile équestre. Pourtant Chantal se contante de son grand amour avec Sultan resté garder fidèlement l'apartement à la Courneuve. Avec lui pas besoin de capote, juste lui mettre des chausettes car il ne faudra pas rayer mamandamour. Le jus de Jean semble moins salé que son Sultan raison pour laquelle la coupe de champ est à demi consommée ou bien qu'elle était trop pressée d'engloutir ce gros phallus en ce début de soirée. Jean a bien juté et il n'a pas quitté pour autant ses Rayban. La nuit est tombée.
Shona a été habillée d'une robe de dentelle noire et bleu. Le plastron est ouvert en V du col collier au nombril, depuis le bassin fendue jusqu'au talon. Pas de culotte et en guise de soutien gorge une belle chaîne d'or reliant les bouts de seins dejà turgescents car Eve s'est chargée de les sucer avec application. Il est vrai que Shona rempli ses bonnets DD et qu'en belle libanaise ses aréoles sont foncées limite indis et qu'à force de succion lesbiennes ses bouts se dressent en toute occasion : chaud, froid, émotion, pleurs, envies pressantes, orgasmes, la liste est longue.
Chantal et Jean ont semble-t-il transformé le salon. Le piano est contre le mur, la table roulante dans l'enfilade du grand fauteuil la table basse est disposée à l'envers à gauche du sofa et la banquette du piano est au milieu de la piéce sur le tapis rond et bleu de cochinchine. Inhabituel chez Jean qui passe pour un maniaque, lui n'est pas que rigide dans son caleçon...
Shona fait son entrée au salon suivie d' Eve qui pour l'occasion à defait son beau chignon fauve-roux-feux. Chantal se lève lui prend la main et la conduit à la banquette du piano au cuir noir trop brillant.
Chantal allume le petit lampadaire et étends le central. Shona demande : Maître puis-je m'assoir. Un claquement de doigts Shona relève sa robe comme un salut , une courbette jusqu'à terre et s'assied. Le cuir est froid et sa vulve et son anus encore mouillés semblent embrasser ce siège.
Chantal vient de quitter sa jupe plissée rose et reste en chemisier, bas couture et porte- jaretelles bleu sur des petits escarpins roses à boucle dorée. La jupe trône au beau milieu de la pièce. Elle prend place à terre écartant le jambes de Shona, enlaceant de ses bras sa taille pour l'attirer à ses lèvres, la langue chantalienne tourne déjà autour du petit bouton rose et o n perçoit le bruit de succion fait par la mouille de Shona, l'avide Chantal la tette avec une application methodique de vieille goudou.
Jean ne dit mot mais tourne la tête afin sans doute de mieux entendre ?
Eve se rapproche de la banquette et prends place afin que Shonna s'appuie le dos sur ses longues jambes. Ainsi installée Shona s'abandonne aux bonnes lapées chantaliennes, coule encore et encore. Son sexe s'ouvre sa rosette en fait autant et son sein droit est dans la main de Eve qui du pouce et de l'index presse sur son téton à présent plus dur et gonflé de plaisir.
Un claquement de doigt du Maître interromp cette envolée chantalienne et la prise en mai evelienne.
Chantal s'extirpe de sa position d'accueuil en langue et aspirente. Eve continue ses caresses et passe ses longs doigts sur l'aréole du sein ganche tout en pressant le teton droit. Shona goutte à goutte elle soupire en douceur, sort de la torpeur du décollage initialisé aux bonnes pratiques de Chantal.
Comme on le subodore le protocole a été défini par Jean Eve et Chantal. Shona est allongée sur la banquette de cuir. Chantal reprends son rôle mais ainsi placée le tronc de Shona est étendu, les jambes écartées Eve déboutonne sa robe longue, pose sa vulve sur la langue demandeuse de Shona qui pilonne ses grandes lèvres. Eve complexe depuis la petite enfance d'être doté d'un pareil vestibule. Certaines de ses conquêtes lui on fait remarqué la taille "anormale" de ses petites et grandes lèvres qui plus est sont bruyantes à la branlette mais sucent mieux que la bouche tout objet oblong ou turgescent qui en dehors d'un cuni exceptionnel ajoutent au plaisir masculin et participent à l'accompgnement d'un coït. Eve s'acharne sur les tétons et Chantal vient de glisser quatre doigts dans la rosette offerte et lui aspire son beau clitoris dans un mouvement synchrone de trio rompu à l'exib et aux plaisirs sans taboo.
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###PROFIL BANNI###Bℓσσ∂яєιиα Brat / Brat tamer
Il me l’a annoncé cet après-midi. Pour fêter mes 27 ans, nouvelle séance de 2 heures environ, dîner à la maison, une seule consigne : tenue publique.
Tenue publique fait partie du vocable du contrat : Petit haut boutonné sur le devant, jupe courte, escarpins assortis. Bien entendu, aucun sous vêtement. J’ai eu tout le temps nécessaire pour me préparer. Une douche minutieuse, un lait légèrement parfumé pour le corps, quelques retouches épilatoires, maquillage, coiffure.
Le dress code « tenue publique » me laisse quelques options, jupe plus ou moins courte, haut plus ou moins transparent. Voyons… Dîner à la maison signifie que nous ne sortirons pas. Je pourrais me permettre une petite initiative en portant un chemisier très fin, à peine opaque, qui laisserait entrevoir mes seins. J’hésite… Et me ravise : La consigne était simple et ne laissait aucune place à l’improvisation. Je reste donc dans les clous avec une mini-jupe à volants qui m’arrive un peu au-dessous des fesses, et un chemisier à boutons cintré mais somme toute, assez pudique.
Quelle imbécile ! Dans quoi j’étais embarquée et pourquoi j’avais commis cette erreur. La vie était simple et agréable, pas de gros moyens mais beaucoup de temps libre et puis cette sottise il y a environ un mois, cet adultère, qui avait failli ruiner mon couple et ma vie. Sept ans d’amour, de connivence et bien sûr, de fidélité. Qu’est ce qui m’a pris !
De l’abattement, il était passé à la colère, puis aux décisions : séparation, vente, divorce. Heureusement, aucune progéniture, c’est déjà ça. Bien penaude et paniquée par sa détermination, j’essayais de relativiser, de faire peser ces sept années sans accroc. Sans aucun succès.
Il est 19 heures. C’est l’heure, je descends.
Comme à chaque fois, un sentiment m’envahit. L’appréhension : je n’ai aucune idée de ce qui va se passer.
J’ai mis au point une technique : Je respire profondément, je vide mon esprit de toutes préoccupations matérielles, je rentre dans une espèce d’état second dans lequel je deviens un objet, une chose qui ne m’appartient plus. Mon Dieu, qui aurait dit que j’étais capable de faire ça ! Deux heures par semaine d’abandon et d’obéissance avec des règles que je dois respecter à la lettre.
Je suis en bas, je traverse l’entrée, la porte vers la pièce à vivre est ouverte. Il m’accueille.
« Tu es très belle ma chérie ».
« Merci » (ça fait toujours chaud au cœur de l’entendre quand cela vient de l’homme qu’on aime)
« Tu es prête ? Tu peux encore faire marche arrière, tu le sais »
Oh, je sais ce que ça veut dire : séparation, vente, divorce. Affreux chantage mais bon, je m’y suis mise toute seule dans cette situation.
Et puis, pour être honnête, au fil des séances et grâce à ma technique, il m’est arrivé de prendre du plaisir. De plus en plus même. Ben oui ! Ça y est je l’ai dit. C’est compliqué : Bien sûr, ce chantage, cette domination qu’il exerce sur moi me dégoûte. Mais…cette attention qu’il me porte pendant les séances pour que je n’ai jamais froid, pour que les douleurs qui me sont infligées soient non seulement supportables mais même excitantes, pour que je me sente belle et désirée à tout instant, me font perdre mes aprioris.
« Je suis prête » Je respire profondément.
Au rez de chaussée, l’entrée donne sur la pièce principale qui comprend une vaste salle à manger avec cuisine intégrée et un petit salon contigu. La table est longue, massive. Elle peut recevoir jusqu’à huit convives. Quatre fenêtres s’ouvrent sur la rue, distante de quelques mètres de pelouse. Il s’assoit.
« Alors nous allons commencer ! Position n°1 ! »
Depuis un mois, même à raison d’une fois par semaine, j’ai eu le temps d’apprendre les positions.
Position n° 1 : Je me tourne vers lui, je baisse les yeux, je mets mes deux mains sur la tête, j’écarte légèrement les jambes. Ne jamais avoir les jambes serrées.
« Oui monsieur ! »
Je fais le vide dans mon esprit. Je ne pense plus qu’a sa voix, aux ordres qu’il me donne, et à la façon d’obéir au plus près de ses attentes et même, si je peux, un peu au-delà. Ça y est, ça commence : En relevant les bras pour mettre mes mains sur la tête, j’ai fait ressortir ma poitrine et j’ai senti le tissu glisser sur la pointe de mes seins. Pas assez pour m’emmener au septième ciel, bien sûr, mais comme je n’ai plus que ça en tête, j’ai l’impression que mes tétons ont commencé à durcir. J’ai les yeux baissés mais je sais que c’est précisément l’endroit de mon corps qu’il observe et cette fois ci, c’est sûr, malgré moi, mes tétons pointent à travers le tissu. Quelle Chienne !
Ah oui ! Pendant les séances, je suis sa chienne, sa salope et sa pute. A l’occasion, je suis également sa pisseuse et sa suceuse. Cette vulgarité et ce manque de respect ont étés spécifiés sur le contrat que j’ai signé. La première fois, ça fait drôle. Je me suis dit : c’est fini ! Il ne m’aime plus du tout et même, il me méprise pour m’insulter de la sorte. J’ai vécu l’enfer pendant toute la première séance, persuadée que c’était la fin de notre amour.
« Bois un verre d’eau ! » Ah ? Bon !
« Oui Monsieur ! »
Le verre est là sur la table. Il l’avait déjà mis en place. Curieux ! Je bois puis je reprends la position. Je n’avais pas vraiment soif mais la température est en hausse et ce verre d’eau ne m’a pas fait de mal.
« Place toi devant la fenêtre ! »
« Oui Monsieur »
J’avance vers la fenêtre, toujours les mains sur la tête. Je m’arrête devant la vitre, j’écarte légèrement les jambes.
Nous sommes en été, il est 19 heures et il fait grand jour. Je sais que je suis visible de l’extérieur. Rien de bien méchant puisque, de la rue, on ne doit voir que la partie haute de mon corps à partir du nombril et mon chemisier est tout ce qu’il a de plus correct. Quand même, s’il y a des passants, ils doivent se demander ce que je fais dans cette position.
« Retrousse ta jupe pour que je puisse voir tes fesses ! »
« Oui Monsieur, je suis une bonne petite pute ».
Toujours le contrat : j’ai des seins de chienne, une chatte de salope, des fesses et un petit trou de petite pute. C’est comme ça, j’ai signé. Et je ne dois pas manquer une occasion de le dire. A voix haute en privé, à voix basse en public. C’est le contrat.
Me voilà donc face à la fenêtre, mains sur la tête et le postérieur à l’air. Dans cette tenue, je me sens terriblement exposée, je sens le regard de mon homme sur mes fesses et un petit courant d’air me rappelle que je ne porte pas de culotte.
D’ordinaire, je veux dire, dans la vie de tous les jours, je ne pense pas à mon corps d’un point de vue « érotique ». C’est même le contraire : mon corps et plus précisément les zones dites érogènes me donne plus de tracas que de plaisir. Je m’oblige à porter un soutient gorge alors que je n’en ai nul besoin, je me rase intégralement vite fait parce que sinon, dans les vestiaires, les autres femmes trouveraient que je suis négligée, je mets une culotte parce qu’il le faut, donc je mets un vieux machin, voire un slip d’homme.
Je suis tentée de relever les yeux pour voir s’il y a des passants, mais, et c’est l’erreur que je commettais au début, je sortirais du scenario et reprendrais contact avec la réalité. Non ! Plus maintenant. Pour que cela fonctionne je sais qu’il faut que je respecte les ordres et que je me concentre dessus. Alors, voyons :
1- Il m’expose à la fenêtre : je redresse ma position pour faire ressortir mes seins. Il y a peut-être des gens dehors mais je ne regarde pas. Tiens, le tissu a encore glissé sur mes tétons.
2- Il m’a fait relever ma jupe pour voir mes fesses : je me cambre et j’écarte un peu plus les jambes. Je sais qu’il apprécie quand je fais du zèle. S’il s’assoit, son angle de vue étant plus bas, il pourra voir au-dessous de mes fesses le renflement de ma chatte.
Que fait-il ? J’entends des bruits de cuisine, le tintement de verres. C’est un apéritif qu’il prépare ? Apparemment puisqu’il découpé des tranches de….
Ah ?… Une caresse dans le dos. Plus exactement, une légère griffure qui partait de la nuque et allait mourir sur les reins. Je frissonne malgré une température ambiante au-dessus de la moyenne.
D’ordinaire, disais-je, je ne pense pas à mon corps d’un point de vue érotique. Mais dans cette situation, je sens que mes fesses sont nues et exposées, je sens que mes seins saillent sous le tissu et que cela se voit de la rue, je sens l’air circuler sur chaque millimètre de ma chatte mais surtout, je sens que mon homme n’en rate pas une miette et que surement, je le fais bander.
Aaaah! …Faire bander les mecs !
Evidemment, pour une femme, c’est plutôt flatteur ! Quelque part cela veut juste dire qu’ils te trouvent désirable. Sauf que : si tu fais quoi que ce soit de manière « intentionnelle », tu n’es plus « désirable » tu es une allumeuse, une salope. Et ça, chez les femmes encore plus que chez les hommes, c’est très, mais alors TRES, mal vu. De nos jours, il est quasi obligatoire de se raser la foune, de porter des ficelles à la place des slips, de passer une heure à se maquiller, mais ça, ça n’est pas pour plaire aux mecs, non, c’est parce que c’est plus hygiénique, plus fun, plus tendance. Comment s’y retrouver ?
Là, au moins, les chose sont claires. Dans ce jeu, il me fait comprendre qu’il a envie que je me comporte comme la dernière des chiennes et que ça lui plait.
Le mois dernier, pendant les quatre premières séances, il m’a fait apprendre :
Les 5 positions.
La façon de m’habiller, de m’asseoir, de faire pipi.
Les réflexes de langage que je devais adopter.
Le tout avec des différences selon que l’on est en public ou en privé.
Il a aussi ajouté une grille au contrat avec des cases à cocher. Par défaut, tout était sur « J’accepte », mais au fil des séances j’avais modifié :
Port de pinces sur les seins : J’accepte X Ça m’excite
Port de pinces sur la chatte : J’accepte Ça m’excite X
Port d’un rosebud : J’accepte X Ça m’excite
Claques sur les seins : J’accepte X Ça m’excite
Claques sur les fesses : J’accepte Ça m’excite X
Claques sur la chatte : J’accepte Ça m’excite X
La grille s’était étoffée au fil des semaines :
Martinet sur les seins : J’accepte X Ça m’excite
Martinet sur les fesses : J’accepte Ça m’excite X
Martinet sur la chatte : J’accepte X Ça m’excite
Port d’un collier de chien : J’accepte X Ça m’excite
Être promenée en laisse : J’accepte X Ça m’excite
Boire dans une gamelle : J’accepte X Ça m’excite
Une nouvelle rubrique « exhibition » était apparue cette semaine.
Etre nue devant un inconnu : J’accepte X Ça m’excite
Séance devant un inconnu : J’accepte X Ça m’excite
Être nue devant un inconnu ? cela me terrorisait. Si j’avais pu, j’aurais tout de suite cocher « Je n’accepte pas » si la case avait existé, mais malheureusement, cela ne marchait pas comme ça. Autant dénoncer le contrat tout de suite et donc perdre mon mari. J’avais fait une grosse bêtise, il me fallait maintenant en payer le prix et j’étais là devant la fenêtre, les mains sur la tête et les fesses à l’air à attendre la suite.
Entre deux séances, j’ai le droit de demander à modifier la grille mais en dernière instance, c’est lui qui décide.
Le collier par exemple, c’était un de ces colliers pour chien en cuir noir qui me serrait le cou en me donnant une désagréable et permanente sensation d’étranglement. J’avais demandé à en changer. J’espère que…
Toc Toc Toc ! Je sursaute.
Tout s’entrechoque dans ma tête : Si quelqu’un est arrivé jusqu’à la porte d’entrée, c’est qu’il est passé devant la fenêtre et qu’il m’a forcément vue. De là où il est maintenant, la porte d’entrée étant vitrée, si la porte de la salle à manger est restée ouverte, il a vue sur mes fesses. Mon mari : d’accord mais un inconnu, c’est autre chose. Je lutte pour ne pas m’échapper. Les secondes sont des heures.
« Fais redescendre ta jupe et tourne-toi. Position n°3 ! » Ouf !
Il va vers la porte d’entrée. Je n’ai pas entendu la porte intermédiaire s’ouvrir. Aie ! Ça veut dire qu’elle était ouverte ? Et que mes fesses étaient bien visibles ? Ou alors, la porte était resté ent’ouverte et il n’a eu qu’à la pousser pour rejoindre l’entrée. Impossible de savoir.
Je rajuste ma jupe, me retourne. Cette fois, je suis dos à la fenêtre. Position n°3 c’est la position d’attente en public : Yeux baissés, bras croisés derrière le dos, jambes légèrement écartées. Je me félicite d’avoir choisi le chemisier opaque.
« Entre Laurent ! Juste à l’heure »
« Woua ! Quelle vue ! »
Le sang me monte à la tête. Est-ce qu’il parle de mes fesses ?
« Je ne savais pas que tu étais si proche de la plage »
Mais non ! Il parle de la maison. Depuis le décès de ses parents, la maison familiale est inoccupée et mon homme est venu l’habiter en attendant de régler notre histoire. Devant les fenêtres, un peu de pelouse, la rue, et juste derrière, un terrain vague qui descend vers la plage et donc : la mer.
Laurent est dans l’entrée, je suis dos à une fenêtre de la salle à manger, dans l’axe de la porte d’entrée. Cette fois la porte intermédiaire est fermée mais l’était-elle tout a l’heure ? J’entends la voix de mon chéri.
« Tu permets ? J’ai un mot à dire à ma femme »
Il revient, laisse la porte intermédiaire ouverte cette fois. Je pourrais voir Laurent mais j’ai les yeux baissés. Je lutte pour ne pas les relever et essayer de lire sur le visage du nouvel arrivant s’il ne m’a pas vu à moitié nue.
« Va faire un tour jusqu’à la plage et reviens dans 10 minutes, marche doucement ! »
Ce disant, il défait le bouton supérieur de mon chemisier qui déjà n’était pas fermé jusqu’au col. Ce bouton en moins c’est déjà beaucoup moins correct. Si je me penche, on peut voir mes seins par l’encolure et si je …. Qu’est-ce que ? Un autre bouton. Cette fois, le chemisier est ouvert à moitié. Nul besoin de me pencher, le simple fait d’avoir les bras croisés dans le dos écarte le tissu et dévoile ma gorge jusqu’au nombril. Les deux pans du vêtement cachent à peine les tétons et je vais devoir passer devant un inconnu qui m’a peut-être déjà vue les fesses nues. Je passe pour une sacrée salope. Ah Oui c’est vrai C’est le but. Il va falloir que je m’interroge sur la définition de ce mot : Salope. Dans certains cas c’est une insulte, dans d’autre c’est un compliment…. Compliqué. Mais ça n’est pas le moment. J’ai reçu un ordre, j’obéi, c’est simple.
« Oui Monsieur »
Toujours les yeux baissés, les bras croisés dans le dos, je passe devant Laurent qui s’efface. J’ai l’impression de sentir le feu sur mes seins. Je sors, contourne la maison, traverse la rue et m’engage sur le terrain vague.
Le savait-il qu’il y avait du vent ? Bien sûr que oui ! Il avait évalué ma jupe, déboutonné mon chemisier. Il m’avait mise en position n°3, les bras dans le dos, sans aucune possibilité de retenir les pans de mon chemisier ni ma jupe légère. Il aime me mettre dans ces situations embarrassantes. Chaque épreuve que je surmonte est pour lui un gage d’amour et c’est de ma faute s’il en a tant besoin. Il ne cherche pas à m’avilir mais il adore m’exhiber, comme on expose un beau bibelot chez soi et qu’on est fier de montrer. Je sais qu’il me trouve belle alors je veux qu’il soit fier de moi. Donc, j’y vais.
En cette soirée d’été, nombreux sont les touristes qui remontent de la plage, ainsi que les véliplanchistes qui plient leur matériel assis par terre et je suis là, en prise avec les courants d’air qui s’ingénient à dévoiler les parties les plus intimes de mon corps. Par moments, je sens l’arrière de ma jupe se soulever jusqu’à la taille puis se rabattre pour me claquer les fesses. Un pan du chemisier est parti sur le côté, mettant presqu’à nu mon sein gauche. L’instant d’après, c’est le contraire : la jupe se soulève sur le devant et puis c’est mon sein droit qui apparait.
Je lutte pour ne pas replier les bras sur mes seins, retenir la jupe qui s’envole, mais je sais que de la fenêtre, il prend plaisir à me voir ainsi, obéissante et soumise. Je suis sa chienne, sa salope, sa pute. J’ai confiance en lui et ça me détend.
« Marche doucement ! » Avait-il dit.
Malgré mes yeux baissés, je sens les regards. Moins ceux des touristes, tout à leurs préoccupations « tu as bien les clés de la voiture ? Tu as plié les serviettes ? ». Moins ceux des touristes donc, que ceux des planchistes qui eux, m’ont repérée dès mon arrivée. Certains, en apercevant furtivement mes fesses, se demandaient si je portais un string. Jusqu’à ce que le vent arrive dans l’autre sens et réponde à leur question.
En temps normal, je suis d’un naturel plutôt prude. Me retrouver, comme ça, dehors, à moitié nue n’est pas fait pour m’exciter. Il y a deux mois, j’aurais été morte de honte, imaginant que tout le monde me prenait pour la dernière des salopes ou pire si c’est possible.
Mais qu’est-ce que je fais ! je réfléchis trop ! Pour que ça marche, il faut que je me concentre sur les ordres. J’ai une technique : Je respire profondément, je vide mon esprit de toutes préoccupations matérielles. Je l’ai signé ce putain de contrat ! Et pas en cinq minutes. Deux jours ! à discuter de chaque terme, à remplir des grilles de ce qui m’attendait. On ne peut pas dire que j’ai été prise en traître.
J’arrive au bout du terrain vague, après c’est la plage. Je doute qu’il ait envie que j’aille plus loin puisqu’il ne me verrait plus. Je sais qu’il veut me voir. Pour profiter du spectacle certainement, mais aussi pour assurer ma sécurité.
Je respire profondément, je vide mon esprit etc… etc…..
Sur le retour, avec le vent dans le dos et sans avoir esquissé le moindre geste pour me couvrir, la jupe s’est plaquée sur mes fesses et les pans du chemisier se sont remis en place. J’ai cru pouvoir palper la déception chez les planchistes qui m’observaient. En effet, dans ce sens là, le vent aurait dû soulever le devant de ma jupe sur presque tout le trajet offrant ainsi la vue sur une chatte parfaitement épilée. Je crois savoir que c’est un spectacle que les hommes apprécient particulièrement.
Je marchais d’un pas tranquille, les bras dans le dos, les yeux au sol, en me demandant ce qui allait maintenant se passer. Il avait dit à Laurent : « juste à l’heure » donc cette visite était prévue. Qui était ce Laurent ? Ça y’est ! Je recommence à me poser des questions. Ce n’est toujours pas le moment. J’ai été une bonne soumise, j’ai répondu aux ordres de mon homme, je n’ai pas triché, je n’ai pas levé les yeux, je n’ai pas essayé de me cacher des regards des inconnus. Je peux être fière et rentrer près de lui.
Je frappe à la porte. Ben oui ! Ça n’est pas chez moi, ni chez nous d’ailleurs. C’est une sorte de terrain neutre ou ont lieu nos séances depuis deux mois, une fois par semaine, le temps de régler nos affaires. C’est pratique : ici et alentour, personne ne nous connaît.
Il vient m’ouvrir :
« Viens nous rejoindre au salon ! »
«Oui Monsieur ! »
Je traverse l’entrée, la salle à manger. Laurent est assis au salon, un verre à la main, je suppose qu’il me regarde, je ne sais pas, j’ai les yeux baissés. Un autre verre est posé sur la table basse, à la place que doit occuper mon chéri. Vite je revois le contrat dans ma tête.
En public, si cela reste discret, je dois m’asseoir en relevant l’arrière de ma jupe de façon à ce que mes fesses soient à même l’assise. C’est d’autant plus réalisable, quand je porte un manteau. Ensuite je dois écarter légèrement les jambes et, quand c’est possible, faire en sorte qu’il ait vue sur ma chatte. Je choisi donc la place qui fait face à mon mari, tout en m’asseyant je relève l’arrière de ma jupe dans un seul mouvement. Avec un peu de chance, si Laurent regarde ailleurs, il n’y verra que du feu. Sinon… Eh ben sinon, tant pis. Le cuir est un peu froid, c’est agréable. Le devant de ma jupe est remonté très en haut de mes cuisses. Pour Laurent qui est à ma droite, le tissu cache mon intimité mais pour celui qui est en face, la vue est imprenable. J’écarte un peu les jambes. Toute à mon calcul, j’avais un instant oublié que mon chemisier ouvert ne cachait pas grand-chose, surtout pour quelqu’un situé à mon côté. Je sens le rouge monter à mes joues. Je respire profondément. Je place les bras le long de mon corps, les mains posées à plat sur les accoudoirs. Je ne cherche pas à cacher mes seins sinon je serais punie.
Alors !… C’est pareil. Les punitions, c’est compliqué. Parce que comme j’ai coché sur le contrat ce qui m’excitait, ben… quelque fois, j’ai juste envie d’être punie.
Il revient avec mon cocktail préféré qu’il pose devant moi.
« Ou en étions-nous Laurent ? Ah oui ! Tu t’es mis au tennis la semaine dernière ?» Passionnant !
Laurent semble gêné :
« Oui ……mais… excuse moi, mais….. Tu ne m’as pas présenté ta femme. C’est bien ta femme… enfin, c’est bizarre….. »
Je prends une gorgée de ce cocktail, je prends bien le temps d’avaler pour ne pas m’étouffer.
Mon chéri, très à l’aise :
« Qu’est ce qui est bizarre ? »
« Ben.. Tu fais sortir ta femme dès mon arrivée sans même me la présenter. Ensuite tu passes ton temps à la fenêtre, et puis quand ta femme revient, tu ne me la présentes toujours pas et puis il y a…. »
« Il y a quoi ? «
« Non rien, mais bon c’est bizarre … et puis elle ne dit rien »
« Je comprends, je te dois des explications : Ma femme et moi avons mis en place un jeu selon lequel, à certains moments, elle doit se soumettre à certaines règles. Ce soir est un de ces moments. Mais si ça te gêne, je peux lui demander de se retirer dans une chambre et nous passerons la soirée tous les deux. »
Curieusement, j’ai envie de tout sauf ça. Je n’ai toujours pas levé les yeux sur Laurent mais après tout je m’en fiche de savoir à quoi il ressemble. La soirée toute seule dans une chambre ? Non merci !
Laurent reprend :
« Je ne comprends pas : certaines règles ? comme quoi par exemple ? C’est un truc à la Christian Grey ou je sais pas quoi ?»
Mon homme opine :« Oui si tu veux. C’est un jeu à connotation sexuelle. »
Il ressert son invité
« Je te passe les détails, mais elle a accepté, à certains moments définis à l’avance, d’obéir à tous mes ordres. Sans discuter. »
Je ne vois pas Laurent mais je sais qu’il me regarde. Incrédule.
« Tu veux dire que tu peux lui demander tout ce que tu veux et qu’elle va accepter ? Mais je croyais que ta femme était médecin ou un truc comme ça ».
Mon chéri ne relève même pas.
« C’est ça ! Tu veux voir une démonstration ? »
« Ben…. Oui »
Nous y voilà ! Je comprends pourquoi la rubrique exhibition est apparue dans le contrat. Donc, cette fois ci, je passe pour une salope devant un de ses amis. D’ailleurs, un ami ? c’est curieux ! Au bout de sept ans de vie commune, je croyais tous les connaître. Je respire profondément, je vide mon esprit.
Un ordre fuse :
« Mets-toi debout. »
« Oui Monsieur ! » Ma jupe est sympa, elle est, semble-t-il, redescendue toute seule.
« A quatre pattes et viens vers moi !»
« Oui Monsieur ! » J’obéi : je pose les genoux puis les mains au sol et j’avance lentement à quatre pattes vers lui. Laurent est maintenant juste derrière moi. N’importe quelle femme dans cette situation aurait passé une main derrière elle pour vérifier que la jupe était bien en place et même tirer un peu sur le tissu. Moi je n’ai pas le droit. Si la jupe s’est mal repositionnée, j’offre actuellement une vue sur mes fesses, ma chatte et peut être même mon petit trou à un parfait inconnu. Une fois à destination je pose ma joue sur la cuisse de mon homme. C’est le moment décisif. Soit Laurent s’offusque et tout se termine là, soit il se prend au jeu.
« Oui Monsieur ? Woua !!! ça a l’air trop cool »
Ah ! ces mecs, tu leur montre un bout de nichon et ils disjonctent.
« Aie !! » Une bonne claque sur les fesses. Mon chéri a dû deviner mes pensées. C’est vrai, je me déconcentre.
Je me cambre au maximum, j’écarte un peu plus les jambes. Je sens les lèvres de ma chatte se séparer. Je prie pourque ma jupe couvre bien mes fesses. J’ai des picotements tout autour du clito.
« Tu veux essayer ? »
Tu parles Charles. Bien sûr qu’il veut essayer.
Il se lance :
« Euh… Met-toi debout et Euh….Lève une jambe !»
« Oui Monsieur » Je me lève, me retourne vers lui, je lève la jambe droite et je suis comme ça : une chose, un pantin, une esclave. Tiens pour un peu, je trouverais ça drôle et même ridicule. Mais je sais qu’on en est qu’au début.
Mon homme intervient :
« Enlève ton haut. Position n°1 ! »
Je repose ma jambe, je défais les deux derniers boutons, je retire mon chemisier. Je me cambre pour bien faire ressortir les seins et surtout je n’oublie pas de dire, puisqu’il s’agit de mes seins :
« Je suis une petite chienne »
J’ai les yeux baissés mais je devine un air ébahit sur le visage de Laurent. En tous les cas il ne dit mot.
C’est la première fois que je montre ostensiblement mes seins à un inconnu. Pendant sept ans mon mari n’a pas cessé de me dire que j’étais jolie. Il est vrai que je suis assez grande, mince, j’ai les traits du visage fins et harmonieux, les yeux bleus, une chevelure blonde et longue, j’ai, je crois, tous les archétypes de la beauté. Enfin tous ? Peut-être pas. En effet, d’aucun dirait que ma poitrine manque d’opulence. Je remplis à peine ce bonnet B dont, de toutes façons je n’ai nul besoin et que je porte très rarement.
Mon mari reprend le contrôle :
Mets-toi en mode privé ! et position n°1 !»
« Oui Monsieur ! »
Alors… Le mode privé c’est entièrement nue. Bon sang ! Là c’est autre chose. Les seins d’accord, parce-que bon ! Il n’y a pas si longtemps, toutes les femmes étaient seins nus sur les plages, mais là, je vais dévoiler ce que j’ai de plus intime, ma chatte, mes fesses enfin tout quoi. Et puis cette satanée mode de l’épilation intégrale. Avant, le sexe d’une femme, c’était principalement une touffe de poil à travers laquelle on ne distinguait rien, mais maintenant c’est la petite bosse du mont de venus puis la fente, avec le renflement des deux grandes lèvres, et même un peu des petites qui dépassent en dessous. Plus nue c’est impossible. Mais bon ! J’ai signé.
Je respire mon esprit ?, Heu !…. Je vide profondé…. Bref, j’évite de penser. Ma jupe glisse jusqu’aux chevilles. Je ramasse le vêtement que je dépose sur un fauteuil.
Position 1 : les mains derrière la tête. Ça me fait drôle d’être entièrement nue devant deux hommes. Les jambes un peu écartées, contrat oblige, j’offre une vue intégrale sur tout mon corps et ils ne doivent pas s’en priver. Mes seins et ma chatte sont exposés dans les moindres détails. Je reste comme ça un moment pendant que les hommes discutent.
« Alors Laurent, qu’est-ce que tu en penses ? »
« Ben…Elle est super belle ! »
« C’est-à-dire ? »
Je vois ou il veut en venir. Je suis là, entièrement à poil devant eux et ils vont se mettre à parler de mon cul. Comme si on était à la foire aux bestiaux.
« Ben…moi j’aime les seins pas trop gros alors…et puis elle est entièrement épilée, on voit tout »
Les entendre parler ainsi des parties intimes de mon corps commence à m’échauffer malgré moi et je sens comme une moiteur à l’entre jambe. Il a dit : « on voit tout ». Ça veut dire qu’il a bien regardé tous les détails de mon minou ? Mon Dieu, si ça se trouve, ça se voit que suis humide. Quelle salope je fais !
« Position n°2 ! »
Je ne sais pas si c’est le cocktail ou la situation, mais j’ai l’esprit un peu embrumé. Heureusement, j’ai un moyen mnémotechnique pour les positions. On part du haut vers le bas :
la tête, les mains sur la tête.
les seins, je présente mes seins en les soulevant par-dessous avec les mains.
le dos, bras croisés dans le dos.
la chatte, je présente ma chatte en l’écartant avec les deux mains
les fesses, je présente mon petit trou en écartant les fesses avec les deux mains.
Numéro deux, c’est présentation des seins. Allons y.
« Oui Monsieur ! » Je passe mes mains sous les seins, je les soulève et les tends vers l’avant. C’est la position qu’il a inventé pour la pose des pinces.
C’est bien ça, les pinces sont là, dans les mains de mon homme. Il a choisi celles avec les clochettes. Elles sont réglées pour pincer juste ce qu’il faut pour exciter mes tétons sans provoquer de vraie douleur. Quand je les porte, j’entends les clochettes tinter, me rappelant que j’ai des seins de petite chienne qui bougent au gré de mes mouvements. Quand je me fais prendre en levrette, le tintement se fait entendre de façon plus nette et j’adore ça.
Une petite morsure à droite, une autre à gauche. Elles sont posées.
« Merci Monsieur, Je suis une bonne petite chienne » J’ai rajouté un « merci » je sais qu’il apprécie.
« Position n° 4 ! »
Je sens que je vais avoir droit à la totale. La n°4 c’est présentation de la chatte. Deux autres pinces ? ou alors un doigt pour constater si je mouille.
Je connais la procédure : J’avance le bassin pour faire ressortir la vulve, j’écarte largement les grandes lèvres et je n’oublie pas de dire, s’agissant de ma chatte :
« Je suis une bonne petite salope »
Dans cette position, j’expose carrément mon clitoris. Je l’ai senti quand j’ai écarté les lèvres, il a frémi et cette onde est remonté dans mon dos. J’ai senti un creux dans mon bas ventre. Un doigt se promène à l’entrée de mon vagin, c’est mon homme qui vérifie. Le doigt rentre facilement, je suis plus mouillée que je ne pensais. Le doigt bouge, je sens tous les contours de l’intérieur de ma chatte et je me prends à avoir envie de quelque chose de plus gros. C’est plus fort que moi, je laisse échapper un petit gémissement de plaisir. Ça n’est pas le tout de le dire parce que j’y suis obligée par contrat, mais Je suis officiellement, car devant témoin, une vraie salope.
Le doigt fait des va et vient et dans le même temps le pouce de mon homme appui fortement sur le clito en le massant. Ça y est ! C’est les chutes du Niagara.
Quand il retire son doigt, il est trempé.
« Merci Monsieur »
« Assieds-toi et finis ton cocktail »
« Oui Monsieur »
En mode privé je dois m’asseoir d’une certaine façon : je pose mes fesses sur l’assise, j’écarte les jambes au maximum, je me penche d’un côté en écartant la fesse opposée avec une main, je me penche de l’autre côté en écartant l’autre fesse, de sorte que mon petit trou soit bien en contact avec le cuir. Ça c’est une trouvaille ! Assise comme ça, je sens mon petit trou qui touche le cuir frais. Pour parler crument, ça énerve mon trou du cul. Avec l’excitation, à chaque contraction de mon périnée, mon petit trou se décolle du cuir puis se recolle. J’ai alors pleinement conscience d’être une petite pute. Quand c’est le cas, puisqu’il s’agit de mes fesses cette fois, je dois dire :
« Je suis une bonne petite pute »
Je prends mon verre qu’il a rempli et je…Ah ! Ça y’est, j’ai compris ! il veut me faire boire mais pas pour m’enivrer, il a une autre idée en tête.
Non ! Il ne va pas faire ça ? Je vais mourir de honte.
Laurent, qui maintenant ne regarde plus que moi, veut en savoir plus :
« Mais comment vous en êtes venus à … Enfin à ça ? »
Mon homme explique :
« Disons que nous avons mis en place ce jeu pour diversifier notre vie sexuelle. Nous sommes en phase de découverte. C’est un jeu dangereux pour des personnes qui s’aiment et on se demande si tous les fantasmes sont faits pour être réalisés ».
« Et elle ? elle en a des fantasmes ? »
« Elle y réfléchit »
Pour l’instant, je suis entièrement nue, les jambes écartées, la chatte ouverte, les fesses disjointes sur le cuir d’un fauteuil, en présence de deux hommes habillés qui discutent tranquillement. Je suis un objet sexuel exposé, dont ils vont profiter toute la soirée. Bien sûr, je devine les regards, je sais que mon corps est l’attraction, j’entends que l’émotion est dans les mots et je me surprends à me demander si ça n’est pas moi qui mène le jeu. Etonnement ça n’est pas ça qui m’excite. Je n’ai nulle envie de dominer deux hommes. Ni même un seul d’ailleurs. Moi, mon homme, je veux qu’il soit male Alpha, que ce soit le meilleur, le plus fort…Alors ce n’est pas pour l’attacher et lui donner le fouet ou lui enserrer les parties génitales dans un carcan hérissé de pointes.
Non ! Je n’ai pas envie de mener ce jeu : Ce doit être fatigant d’hourdir des plans, de passer des annonces, d’organiser des rencontres. Bénie soit la testostérone. Pour ma part, faire la gazelle effarouchée, traquée et abusée par des prédateurs, c’est ça qui me fait mouiller. J’en ai presque honte. A notre époque ou le féminisme est roi, sexuellement, c’est en étant la proie que je me sens vibrer.
En parlant de vibrer, c’est autre chose qui m’arrive maintenant et c’est normal avec tout le liquide que j’ai ingurgité : j’ai envie de faire pipi.
Dans le contrat, pendant les séances en privé, quand j’ai envie d’uriner, je dois dire :« Je suis une petite pisseuse ».
Ensuite, deux solutions : soit il me met un collier et une laisse pour aller à quatre pattes faire sur la pelouse, soit il me demande d’aller chercher ma gamelle pour faire pipi dedans, devant lui.
Le collier, la laisse, la gamelle c’est un truc qu’il m’a fait faire à la deuxième ou la troisième séance. Après m’avoir mis un collier de chienne, il a rajouté une laisse et il m’a fait faire tout un tas d’exercices à quatre pattes en me guidant avec des petits coups de cravache sur les fesses. J’ai appris par exemple à manger et à boire dans un bol pour chien posée à terre, les coudes au sol, les fesses très relevées, les jambes très écartées, cambrure maximum. Vu de derrière, ce doit être un régal. Enfin bref… Pour le moment, Je ne tiens plus. Pour me retenir, je contracte mon périnée et….je sens mon petit trou qui se détache du cuir, ce qui me ramène à ma situation actuelle : entièrement nue, les jambes, la chatte et les fesses écartées avec une furieuse envie de faire pipi, pendant que deux hommes à côté et en face de moi devisent gentiment. J’attends une pause dans la conversation et je dis :
« Je suis une petite pisseuse »
Laurent en reste bouche bée, enfin je crois, je n’ai toujours pas levé les yeux.
Mon homme doit sourire.
« Va chercher ta gamelle »
Je ne sais pas lequel est le pire. Faire pipi debout devant un étranger ou aller dehors, tenue en laisse, pour me soulager à quatre pattes. De toutes façons, le choix ne m’appartient pas. Je me lève, je vais chercher la gamelle dans laquelle je mange parfois, je reviens et je m’installe debout devant mon homme.
« Je pense que Laurent aimerait aussi en profiter »
Je recule et me tourne un peu vers Laurent pour qu’ils soient tous les deux aux premières loges. J’écarte les jambes, j’avance le bassin. D’une main je dégage les lèvres de ma chatte pour qu’elle soit bien ouverte et de l’autre main je positionne le récipient entre les cuisses.
En termes d’humiliation on est bien ! Me retrouver dans cette position est très, très gênant. Déjà que Laurent avait tout vu de mon corps mais là je lui mettais carrément mon clito sous le nez. Toute à mon envie de faire pipi, je n’avais pas pris conscience de la situation. Nue devant deux hommes, le bassin tendu en avant, m’écartant la chatte au maximum et m’apprêtant à me soulager comme la dernière des chiennes.
J’exerce une profession médicale, j’ai fait des études, passé des concours. J’ai une vie normale avec une famille, des amis, des collègues : Qu’est-ce que je suis en train de faire ? C’est sexuel, c’est ça ? C’est vrai ! Le sexe c’est à part de tout. Des l’instant où on est entre adultes consentants on peut se lâcher. Mais quand même !
Ah ! ça vient. Le jet est dru et résonne dans la gamelle en métal. Les hommes se taisent, ils ont les yeux rivés sur ma chatte béante. C’est moi qui mène le jeu ? Non ! je n’ai pas envie, moi je fais la chienne, la salope, la pute.
Le contrat : Quand j’ai fini, je m’essuie avec mes doigts et je dis :« Je suis une bonne pisseuse » ensuite j’attends l’ordre. Quelque fois, il peut se passer plusieurs minutes et je dois rester dans cette position extrêmement humiliante, bassin en avant, un bol sous ma chatte et les doigts mouillés de mon pipi.
Je compte les secondes. J’ai honte, mais je sais que mon homme jouit de cette situation et ça me plait de l’exciter.
« Va ! »
Je me redresse, je vais vider et nettoyer la gamelle dans les toilettes, je me lave les mains. J’entends la conversation dans le salon. C’est Laurent :
« Ben mon salaud, tu t’emmerdes pas. Et ça va jusqu’où votre histoire ? »
Ça, j’aimerais bien le savoir ! D’après le contrat, il n’est pas question d’avoir une relation sexuelle avec un étranger, pas de gang bang ou autre partouse. Il n’a pas été prévu que je me fasse sauter par qui que ce soit d’autre que mon mari.
J’ai confiance en lui. Je reviens vers le salon.
« Position n°5 ! »
Je révise. Voyons…. Mnémotechnie, 1 2 3 4, 5 c’est la présentation des fesses. Jambes écartées, penchée en avant, les deux mains écartent les fesses. C’est la position idéale pour la pose d’un plug anal par exemple. C’est ça, mais vers qui ? Sur le contrat, je dois toujours, sauf indication contraire, privilégier mon homme. Donc je me mets dos à lui, je penche, j’écarte. Je sens mon petit trou qui se détend. Il n’y avait plus que ça que Laurent n’avait pas vu en détail : Ma rondelle en train de se dilater. Eh bien comme ça, il m’aura vue sous toutes les coutures.
Je tiens la position. Je m’attends à recevoir le rosebud dans mon cul, et là, contre toute attente :
« Ça m’a fait plaisir de te revoir Laurent. Une prochaine fois, plutôt qu’un apéritif, on dîne au restaurant ? »
Laurent est cueilli, mais, bien élevé, il fait semblant que tout est normal :
« Oui moi aussi… Bla Bla …… Bla Bla….. » Et ce jusqu’à la porte , « Bon ben Salut » Le voilà parti.
Je ne sais pas l’heure qu’il est. Peut-être 20h 30, j’ai l’impression que la séance est terminée. Mon mari range les verres et les bouteilles. Je suis toujours dans le salon en train de m’écarter les fesses.
Et quand est-ce qu’il me baise
Soyez la première personne à aimer.