C’est à ce moment-là qu’elle est entrée dans le jeu. Au départ, je lui ai simplement partagé ma démarche : un mois d’edging, sans éjaculer, en solo. Rien de plus. Mais elle a tout de suite su comment prendre le contrôle à distance. Comme si elle avait attendu cette opportunité pour me pousser plus loin. Elle a pris les rênes sans forcer, avec une autorité naturelle, sensuelle… redoutable. Et moi, je me suis laissé faire. Volontairement. Excité. Terrifié.
Sur Obedient App, elle a commencé à distiller ses défis. Subtils d’abord. Puis de plus en plus cruels.
« Edge 5 fois aujourd’hui sans jamais dépasser 90 %... et dis-moi exactement à quel moment tu as failli craquer. »
« Frotte-toi dans ton pantalon pendant 10 minutes sans sortir ton sexe… et enregistre les sons de ton souffle. »
« Porte un sous-vêtement trempé de ton propre pré-cum toute la journée. »
Et mon préféré :
« Filme-toi au moment précis où tu es sur le point d’exploser… puis arrête-toi. Je veux voir l’instant exact où tu te retiens. »
Ce n’était plus juste mon désir que je contrôlais. C’était devenu une offrande, une dévotion, une torture offerte à quelqu’un d’autre. Et ça me rendait fou. Mon corps réagissait à chacun de ses ordres. Mon sexe se dressait avant même que je ne lise entièrement ses messages. Mes doigts glissaient sous mon jean dès que je trouvais une minute seul, dans un parking, dans des toilettes, chez moi à peine la porte fermée.
Je devenais une machine à soupirs. Chaque respiration devenait profonde, tremblante. Ma peau moite, mon front légèrement perlé. Je gémissais parfois à peine, juste ce petit son rauque que je ne reconnaissais pas comme étant le mien. L’air devenait lourd autour de moi, chargé d’une odeur entêtante : un mélange de frustration, de désir bloqué, de sexe tendu à l’extrême.
Mon sexe, lui, était constamment douloureux, gonflé, sensible à l’excès. Parfois, juste le contact du tissu me forçait à m’arrêter, à appuyer ma tête contre un mur, à inspirer fort. Le pré-cum ne cessait de couler pendant mes sessions. Épais, chaud, collant, il glissait le long de ma verge sans même que je me stimule directement. Par moments, il traversait mon boxer, humidifiant mes vêtements, comme un cri muet de mon corps qui ne comprenait plus ce qui lui arrivait.
Et pourtant, j’adorais chaque seconde. Chaque défi. Chaque retenue.
Elle me poussait toujours plus loin. Et je m’y abandonnais, avec un mélange d’extase et de torture. Chaque soir, je terminais mes sessions allongé, haletant, la main encore tremblante, mon sexe battant dans le vide, ruisselant de pré-cum… sans une seule goutte de sperme libérée. Juste cette chaleur. Ce besoin. Cette obsession.
Mais ce n’était que le début de ses jeux.
Et la suite… allait me faire franchir un nouveau cap. Peut-être trop loin.
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Une semaine était passée, et l’envie ne me quittait plus. Mon corps tout entier réclamait ce plaisir que je lui refusais, me hantant à chaque instant. La journée, mes pensées dérivaient sans cesse vers l’idée de céder, de sentir ce frisson ultime me traverser. Chaque mouvement, chaque frottement devenait une tentation insoutenable. Il suffisait que mon jean effleure mon sexe pour qu’une vague de chaleur me traverse. Mon esprit s’égarait, et dès que j’étais seul, mes doigts retrouvaient leur chemin, glissant lentement sur ma peau brûlante, déclenchant une nouvelle montée d’excitation à chaque contact.
Chaque session d’edging devenait un rituel enivrant et insupportable à la fois. Dès que je m’autorisais à me toucher, une vague de chaleur me submergeait. Mes doigts se refermaient autour de mon sexe durci, glissant lentement, explorant chaque millimètre de peau sensible. L’excitation montait rapidement, mes reins se creusaient sous l’intensité du plaisir. J’atteignais le point de non-retour en quelques minutes à peine… puis je stoppais net, haletant, le souffle court, sentant mon sexe trembler sous l’onde de plaisir retenue. L’air autour de moi était chargé d’une odeur entêtante, témoin silencieux de ma frustration. Chaque soupir s’échappait de mes lèvres, lourd de désir et d’attente.
À chaque fois, c’était plus difficile. L’envie de continuer devenait une obsession. Mes doigts frôlaient mon gland hypersensible, jouant avec la tension, savourant chaque picotement de frustration. Parfois, je relâchais un peu la pression… juste assez pour sentir le pré-cum perler lentement, marquant ma peau d’une trace brûlante de mon désir inassouvi. Je n’en pouvais plus, et pourtant, je ne pouvais pas arrêter ce jeu. Plus je m’en privais, plus l’envie devenait insoutenable. Mon souffle devenait saccadé, ponctué de gémissements étouffés, trahissant le combat que je menais contre moi-même.
Chaque moment de la journée était une lutte constante. Il suffisait que je croise une femme séduisante, que mon esprit s’attarde sur une image suggestive, et immédiatement, mon corps réagissait, me poussant à chercher un moment seul pour céder à une nouvelle session. Chaque caresse était une torture délicieuse, une montée d’adrénaline sans fin. Dans ces moments-là, ma respiration devenait rauque, brisée par l’intensité du désir qui montait en moi, me consumant lentement.
Mais la semaine suivante, tout allait se compliquer avec l’arrivée de cette femme et de ses défis virtuels sur Obedient App…
💦 Allais-je céder ? Ou allais-je prolonger encore cette délicieuse agonie ?
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Merci soumisenaiade d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
Un mois sans jouir. C’était mon défi. Un mois d’edging, à jouer avec mes limites, à me frustrer volontairement, à repousser la délivrance jour après jour.
Les premiers jours : la maîtrise apparente
J’avais déjà pratiqué l’edging, mais jamais aussi longtemps. Trois jours tout au plus, avant de craquer. Mais cette fois, pas question de céder. J’étais déterminé à explorer mes propres limites, à ressentir chaque pic d’excitation, chaque vague de frustration.
Au début, tout semblait sous contrôle. Chaque soir, je me laissais aller, savourant lentement chaque caresse, repoussant l’inévitable au dernier moment. Mon sexe pulsait, dur et brûlant sous ma main, mais je stoppais net avant l’explosion. Une fois, deux fois, trois fois… La tension retombait à peine que je recommençais, attisant la frustration. Chaque session laissait mon corps en alerte, fébrile, assoiffé d’un soulagement que je refusais de lui accorder.
La montée en intensité
À mesure que les jours passaient, la torture devenait plus insidieuse. Le pré-cum coulait plus vite, preuve que mon corps commençait à me trahir. À chaque session, mon gland tremblait sous mes doigts, hypersensible, luisant de désir. Le moindre frôlement envoyait une décharge dans mes reins, me forçant à m’arrêter au bord du gouffre, le souffle court, le ventre noué.
Mon sexe battait au rythme de mon cœur, dur et douloureux, prêt à exploser, et pourtant je résistais. Mon bas-ventre semblait en feu, chaque goutte de pré-cum un rappel cruel de mon propre supplice.
Une frustration omniprésente
Les journées devenaient une épreuve. Impossible d’échapper à cette tension omniprésente. Mon corps ne me laissait aucun répit : une simple pensée, un frottement accidentel, et l’envie me reprenait, plus forte encore.
Chaque réveil était une torture, ma queue dressée sous les draps, humide de frustration nocturne. La moindre caresse involontaire réveillait un frisson insoutenable, un besoin urgent de toucher, de céder… Mais je ne cédais pas.
Une lutte acharnée
Chaque soir, je recommençais. Mon sexe tendu, gonflé d’envie, mon ventre parcouru de frissons, mon esprit envahi par le manque. Je me rapprochais, encore et encore, jouant avec mes propres limites, sentant le plaisir monter dangereusement.
La pression était insupportable, chaque fibre de mon corps réclamant sa délivrance… Et pourtant, je stoppais net, le souffle tremblant, sentant le pré-cum s’écouler en filets chauds sur ma peau. L’instant était exquis et cruel à la fois.
Je tenais encore. Mais mon corps, lui, commençait à lutter contre moi. La véritable bataille ne faisait que commencer…
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C'est très détaillé, mais pas de Maître.sse pour forcer le edging ?
La suite arrive prochainement ! Mais pour le moment non pas de Maîtresse...
Je confirme ! Et ça engage au sein de la communauté surtout :)
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Plaisir partagé ! Je vais faire de mon mieux alors, encore merci :)
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Merci Good Girl !!
Quel accueil chaleureux ! Un grand merci pour le temps que vous avez pris afin de me présenter ce site avec autant de détails et de bienveillance. Votre message est d’une aide précieuse, et j’apprécie sincèrement l’effort que vous mettez à guider les nouveaux arrivants comme moi.
Je vais prendre le temps d’explorer les profils et les contributions des personnes que vous avez recommandées, et je me réjouis à l’idée de découvrir les discussions, récits et échanges qui animent cette communauté. J’ai déjà l’impression d’entrer dans un univers riche et passionnant, et j’ai hâte d’en apprendre davantage.
Encore merci pour votre accueil et votre générosité ! 😊
À très bientôt,
— LeKinkyToy
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À la merci du contrôle… et du plaisir refusé
Bonjour à toutes et à tous et merci de votre accueil,
Nouveau sur ici, je me présente : LeKinkyToy, soumis curieux et joueur, passionné par les jeux de contrôle et de frustration. J’aime particulièrement l’édging, le teasing, le contrôle d’orgasme et les orgasmes ruinés, où le plaisir devient un privilège accordé… ou refusé.
Être maintenu au bord, excité et privé, sentir le pouvoir d’une femme qui décide du moindre frisson, d’un soupir ou d’une délivrance… Voilà ce qui m’attire. J’aime autant la dimension psychologique que le jeu physique, l’attente insoutenable que l’instant où tout bascule.
Je suis ici pour échanger, discuter et pourquoi pas explorer des connexions, que ce soit en virtuel ou en réel. J’apprécie les conversations fluides, l’humour et les échanges respectueux, qu’il s’agisse de parler de nos envies communes ou simplement de partager un bon moment.
📲 Je suis également sur Obedient, disponible pour recevoir des ordres et jouer sous contrôle. Si l’idée d’un jouet obéissant et réceptif vous amuse, n’hésitez pas à venir tester mon dévouement.
Si ces jeux vous intriguent autant qu’ils me passionnent, je serais ravi d’en discuter ! 😏
👀 Au plaisir d’échanger !
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