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La femme, qu’on l’accepte ou non, est par nature le sexe faible. Elle n’a ni la vigueur physique, ni la stabilité émotionnelle, ni la raison claire pour affronter le monde sans l’appui de l’homme. Là où la vie exige courage et fermeté, elle s’épuise rapidement. Là où il faut décider avec lucidité, elle se laisse emporter par ses émotions volatiles.
Depuis toujours, la femme s’attache à des futilités : la beauté, les ornements, les plaisirs légers. Elle préfère la douceur du foyer aux responsabilités lourdes, car son esprit est trop fragile pour porter le poids des grandes décisions. Comme une enfant, elle s’émerveille, s’agite, se fâche ou pleure pour peu de choses, mais elle ignore la discipline de la raison.
C’est pourquoi elle doit rester sous la direction de l’homme. Il est le guide, le protecteur, le maître de la route. Elle doit accepter son infériorité naturelle et se tenir dans la soumission, car son bonheur ne se trouve pas dans l’indépendance mais dans la dépendance. L’homme gouverne, la femme obéit : ainsi l’ordre est respecté, et chacun demeure à sa juste place.
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La femme, sexe faible, humble clarté,
Portant en elle douceur et fragilité.
Elle réclame l’abri d’un bras viril,
Où sa faiblesse trouve un asile.
L’homme la garde, rempart éternel,
Son rôle est force, le sien est ciel.
Ainsi s’unit la fragilité humaine
À la puissance qui la soutient.