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Il était petit mais charpenté, brun et bronzé. Sa peau tatouée portait les marques d’une vie. Une force brute et un cœur tendre, doux contraste de celui qui est mon Maître. Une main de fer dans un gant de velours.
Une voix douce et pourtant grave, autoritaire, ferme.
Il est mon idéal, mon commandant, mon chef, mon alpha.
Son regard dur et noir, lorsqu’il prend sa position dominante, me fait plier à ses ordres, me mettre à genoux à ses pieds.
Sa prestance est presque militaire. On lui demande souvent s’il l’est vraiment. Cela le fait sourire.
Maître Dorian n’est pas militaire, mais il est fils d’un père ayant servi dans les services secrets. Peut-être a-t-il cela dans le sang.
Un sang brûlant, incandescent. Né d’un père algérien, d’une famille espagnole, avec une pointe basque.
Je suis sous son charme, mais bien plus encore…
Il me dévore.
Un soir, je rentrais du travail. Lorsque j’ouvris la porte et franchis le seuil, il était là, debout, m’attendant.
C’était d’autant plus troublant qu’il portait un uniforme militaire.
Je flanchai.
Ses yeux se posèrent sur moi, sourcils froncés, et sans un mot je m’agenouillai à ses pieds, tête baissée.
Dans sa main, une laisse en cuir reliée à mon collier qu’il me sangla autour du cou.
— C’est l’heure de la promenade, Mylena.
Il tira alors sur la laisse et m’entraîna dans la cuisine, où je rampai à quatre pattes.
— Mais avant, il faut que je finisse le repas de ce soir. Tu vas attendre à côté de moi, bien sagement, pendant que je cuisine.
Ses mots ne faisaient qu’attiser mes ardeurs, que je sentais déjà glisser dans ma culotte.
— J’imagine que tu as soif après une telle journée. Mais ne te réjouis pas trop vite. Tu n’auras pas ce à quoi tu penses. Tiens, voici une gamelle d’eau pour ma petite chienne.
Il déposa la gamelle au sol. Ma bouche était sèche, contrairement à ma chatte. Ma respiration s’accélérait, ce qui l’asséchait davantage. J’hésitais, humiliée, mais excitée. Finalement, je lapai un peu d’eau.
L’odeur qui émanait de la cuisine était enivrante, autant que la posture dans laquelle je me trouvais, aux pieds de mon Maître.
Il éteignit la plaque et la hotte : le repas était prêt.
Il s’assit sur une chaise, m’attirant d’un geste sec sur la laisse. Il déboutonna son treillis, laissant jaillir son sexe, dur et gonflé.
Il claqua des doigts. Je savais ce qu’il attendait.
Je le pris à pleine bouche, mes lèvres épousant sa verge gonflée, ses veines dessinées. Ma culotte ne suffisait plus à retenir ma cyprine qui coulait le long de mes cuisses.
Il gémissait et je m’en délectais presque autant que de sa queue. J’avais faim. J’avais tellement envie qu’il jouisse dans ma bouche et de le regarder quand j’avalerais son sperme.
Mais il s’arrêta avant l’orgasme. Il ne jouissait pas systématiquement. Maître Dorian était dur à faire jouir.
Malgré toute ma volonté et mon application, j’étais devenue une pro de la pipe, du léchage de couilles, une experte de la fellation sous tous ses angles : étouffement, gorge profonde, succion, masturbation, deep throat… Je pourrais donner un cours ou écrire un récit entier sur l’art de la pipe que j’aime tant.
Je pouvais le sucer pendant une heure, jusqu’à en avoir des crampes à la mâchoire, la langue anesthésiée, la bouche desséchée.
Et chaque fois, je mouillais tellement que je trempais le sol sous moi.
— Lève-toi. On va faire un peu d’entraînement avant le dîner. Un entraînement spécial.
Dans la chambre-salle de sport, des haltères et des cordes côtoyaient des jouets : gode ventouse, womanizer…
Il installa une chaise et, d’un geste sec, ventousa un gode dessus. Je sursautai.
Sa main effleura ma chatte trempée.
— Vu que tu es déjà bien échauffée, on va commencer par une série de squats.
Chronomètre en main, il m’ordonna de faire le maximum de squats en deux minutes, le gode planté jusqu’à la garde.
Les premières secondes étaient maladroites, mais ma cyprine facilitait tout. Rapidement, mon corps prit le rythme, comme si ma chatte aspirait ce gode qui m’arrachait des gémissements d’effort et de plaisir.
L’épreuve suivante : les pompes.
Je pouvais les faire sur les genoux, étant novice. Mais je devais empaler le gode, cette fois dans ma bouche.
Le souffle manquait, mes poumons brûlaient, et chaque reprise d’air se heurtait à cette bite artificielle qui m’étouffait.
Je tins malgré tout.
— Mylena, un peu de gainage pour ta récupération.
Je me mis en planche. Il m’ordonna d’écarter plus les jambes. Puis il colla le Womanizer contre mon clitoris.
Je suffoquais de plaisir, à deux doigts d’exploser, mais à la place ce furent des sanglots qui sortirent.
— Chez les militaires, on ne pleure pas, Mylena. On serre les dents. Prends ça et tais-toi.
Il s’enfonça à nouveau dans ma bouche avec violence, m’utilisant comme un simple trou. Mes larmes ruisselaient, mes cheveux tiraillés craquaient entre ses doigts, ma gorge s’arrachait.
Il accéléra, me pinça le nez, et j’étouffai, jusqu’à son jaillissement qui éclata sur mon visage.
Je repris mon souffle comme si je découvrais l’air pour la première fois.
Mon mascara avait coulé, ma peau était rouge, mon visage recouvert de sperme.
— Je vous félicite, Mylena. Vous avez montré ténacité, endurance et discipline. Vous êtes prête pour un gang bang.
Ses mots me rendirent fière. J’enroulai mes bras autour de ses jambes, les caressant comme pour le remercier.
Puis il m’amena sous la douche. L’eau glissa sur moi, ses mains me savonnaient, pinçaient mes tétons, jouaient avec mon clito.
J’étais aux anges.
©️MYLENA
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Un récit intense et parfaitement maîtrisé. Tu arrives à retranscrire la discipline, la soumission et le plaisir avec une force qui captive. On ressent à la fois la rigueur et l’abandon total d’une soumise. C’est cru, puissant et envoûtant j’aime beaucoup. Merci Mylena pour ce partage.
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Mylena vous présente une ébauche de ses créations collier / laisse faits main. D'autres créations sont en cours aux multiples couleurs & ornements. L'idée est de créer une collection adaptée à une garde robe complète car Mylena est passionnée de mode et aime le classe et sexy.
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Les shibaris esthétiques de Mylena. #autobondage #kawaii
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Maîtresse intransigeante et très investie dans sa mission d'éducatrice et de dresseuse, je maîtrise totalement mon Art... Voyons si vous serez mon nouveau soumis .:.
Bon week-end Maître 🤗
Je garde vos délicieuses empreintes sur moi ✋
La distance renforce ma dévotion pour que mon corps cède à vos prochaines pulsions 👅
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Le télétravail 👅
Sans un bruit, je m’approchai à pas de loup, les jambes un peu tremblantes. J’étais déjà mouillée rien qu’à l’idée de ce que j’allais faire.
Je me glissai sous la table, lentement, comme une chatte docile, féline, offerte. Je sentais son odeur, la chaleur de son corps tout proche…
Je défais sa ceinture avec délicatesse, effleurai sa peau du bout des doigts. Il tressaillit à peine, mais je savais qu’il avait compris.
Je le léchai sur toute la longueur de son érection, doucement d’abord, respectueusement, dans un silence délicat.
J’adorais cette sensation de l’avoir à moi. J’adorais surtout savoir que je le déconcentrais, qu’il devait garder la face pendant que je l’engloutissais.
J’aimais l’idée que ses collègues, mariés depuis de longues années et qui n’avaient plus de relations sexuelles avec leurs femmes, seraient jaloux de savoir que lui, derrière son écran, était en train de se faire pomper le gland.
Je me sentais salope, perverse… et j’aimais ça, car je savais que lui aussi adorait ça.
J’étais à genoux, au service de mon Maître, et à cet instant-là, plus rien d’autre n’existait.
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27/08/25
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Je me suis attardée un instant à faire mon lit, comme pour retarder volontairement son ordre, consciente qu’il m’attendait. En arrivant dans sa chambre, il m’a immédiatement demandé de me mettre à quatre pattes. Ses gestes ont alors pris le relais de ses mots : il m’a attaché les poignets, m’offrant cette sensation à la fois de vulnérabilité et de sécurité. Puis il a fait claquer sa ceinture en cuir sur mes fesses. Quelques petites décharges d’abord, comme pour préparer ma peau et mon esprit, puis deux plus intenses, cinglants, qui m’ont marqué. J’ai senti le feu, la brûlure, mais aussi une ivresse profonde : j’étais trempée, dégoulinante sur ses draps, entièrement ouverte à lui.
Après cette intensité, sa main a glissé doucement sur mes fesses, comme un baume. Ce contraste (la douleur suivie de la caresse) me bouleversait : il me montrait que derrière la fermeté, il y avait toujours sa bienveillance. C’était réconfortant, une preuve silencieuse que je pouvais me perdre en toute confiance sous sa direction.
LittleStacy 🍑
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J’ai beaucoup aimé ton texte, il est vraiment prenant et immersif, surtout dans la façon dont tu décris le mélange entre douleur et douceur, fermeté et bienveillance. On sent bien l’intensité de l’expérience et c’est ce qui m’a le plus plu.
Par contre, le début m’a paru un peu moins fluide ou cohérent (par exemple quand tu parles du lit puis que tu passes directement à la chambre). Peut-être qu’il y a une raison à cela, ou qu’un petit ajustement rendrait l’ensemble encore plus percutant. Mais globalement, c’est très réussi et ça m’a captivée.
Merci pour ce partage.
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