Déplacer pour recadrer votre photo
My

Mylena

femme soumise. Vit à Nantes, Pays de la Loire, France. 35 ans. est engagé(e).
a partagé ...
Soyez la première personne à aimer.
a mis à jour sa photo de couverture.
21 personnes aiment ça.
a mis a jour son propre profil.
Soyez la première personne à aimer.
a partagé une photo
Il était petit mais charpenté, brun et bronzé. Sa peau tatouée portait les marques d’une vie. Une force brute et un cœur tendre, doux contraste de celui qui est mon Maître. Une main de fer dans un gant de velours. Une voix douce et pourtant grave, autoritaire, ferme. Il est mon idéal, mon commandant, mon chef, mon alpha. Son regard dur et noir, lorsqu’il prend sa position dominante, me fait plier à ses ordres, me mettre à genoux à ses pieds. Sa prestance est presque militaire. On lui demande souvent s’il l’est vraiment. Cela le fait sourire. Maître Dorian n’est pas militaire, mais il est fils d’un père ayant servi dans les services secrets. Peut-être a-t-il cela dans le sang. Un sang brûlant, incandescent. Né d’un père algérien, d’une famille espagnole, avec une pointe basque. Je suis sous son charme, mais bien plus encore… Il me dévore. Un soir, je rentrais du travail. Lorsque j’ouvris la porte et franchis le seuil, il était là, debout, m’attendant. C’était d’autant plus troublant qu’il portait un uniforme militaire. Je flanchai. Ses yeux se posèrent sur moi, sourcils froncés, et sans un mot je m’agenouillai à ses pieds, tête baissée. Dans sa main, une laisse en cuir reliée à mon collier qu’il me sangla autour du cou. — C’est l’heure de la promenade, Mylena. Il tira alors sur la laisse et m’entraîna dans la cuisine, où je rampai à quatre pattes. — Mais avant, il faut que je finisse le repas de ce soir. Tu vas attendre à côté de moi, bien sagement, pendant que je cuisine. Ses mots ne faisaient qu’attiser mes ardeurs, que je sentais déjà glisser dans ma culotte. — J’imagine que tu as soif après une telle journée. Mais ne te réjouis pas trop vite. Tu n’auras pas ce à quoi tu penses. Tiens, voici une gamelle d’eau pour ma petite chienne. Il déposa la gamelle au sol. Ma bouche était sèche, contrairement à ma chatte. Ma respiration s’accélérait, ce qui l’asséchait davantage. J’hésitais, humiliée, mais excitée. Finalement, je lapai un peu d’eau. L’odeur qui émanait de la cuisine était enivrante, autant que la posture dans laquelle je me trouvais, aux pieds de mon Maître. Il éteignit la plaque et la hotte : le repas était prêt. Il s’assit sur une chaise, m’attirant d’un geste sec sur la laisse. Il déboutonna son treillis, laissant jaillir son sexe, dur et gonflé. Il claqua des doigts. Je savais ce qu’il attendait. Je le pris à pleine bouche, mes lèvres épousant sa verge gonflée, ses veines dessinées. Ma culotte ne suffisait plus à retenir ma cyprine qui coulait le long de mes cuisses. Il gémissait et je m’en délectais presque autant que de sa queue. J’avais faim. J’avais tellement envie qu’il jouisse dans ma bouche et de le regarder quand j’avalerais son sperme. Mais il s’arrêta avant l’orgasme. Il ne jouissait pas systématiquement. Maître Dorian était dur à faire jouir. Malgré toute ma volonté et mon application, j’étais devenue une pro de la pipe, du léchage de couilles, une experte de la fellation sous tous ses angles : étouffement, gorge profonde, succion, masturbation, deep throat… Je pourrais donner un cours ou écrire un récit entier sur l’art de la pipe que j’aime tant. Je pouvais le sucer pendant une heure, jusqu’à en avoir des crampes à la mâchoire, la langue anesthésiée, la bouche desséchée. Et chaque fois, je mouillais tellement que je trempais le sol sous moi. — Lève-toi. On va faire un peu d’entraînement avant le dîner. Un entraînement spécial. Dans la chambre-salle de sport, des haltères et des cordes côtoyaient des jouets : gode ventouse, womanizer… Il installa une chaise et, d’un geste sec, ventousa un gode dessus. Je sursautai. Sa main effleura ma chatte trempée. — Vu que tu es déjà bien échauffée, on va commencer par une série de squats. Chronomètre en main, il m’ordonna de faire le maximum de squats en deux minutes, le gode planté jusqu’à la garde. Les premières secondes étaient maladroites, mais ma cyprine facilitait tout. Rapidement, mon corps prit le rythme, comme si ma chatte aspirait ce gode qui m’arrachait des gémissements d’effort et de plaisir. L’épreuve suivante : les pompes. Je pouvais les faire sur les genoux, étant novice. Mais je devais empaler le gode, cette fois dans ma bouche. Le souffle manquait, mes poumons brûlaient, et chaque reprise d’air se heurtait à cette bite artificielle qui m’étouffait. Je tins malgré tout. — Mylena, un peu de gainage pour ta récupération. Je me mis en planche. Il m’ordonna d’écarter plus les jambes. Puis il colla le Womanizer contre mon clitoris. Je suffoquais de plaisir, à deux doigts d’exploser, mais à la place ce furent des sanglots qui sortirent. — Chez les militaires, on ne pleure pas, Mylena. On serre les dents. Prends ça et tais-toi. Il s’enfonça à nouveau dans ma bouche avec violence, m’utilisant comme un simple trou. Mes larmes ruisselaient, mes cheveux tiraillés craquaient entre ses doigts, ma gorge s’arrachait. Il accéléra, me pinça le nez, et j’étouffai, jusqu’à son jaillissement qui éclata sur mon visage. Je repris mon souffle comme si je découvrais l’air pour la première fois. Mon mascara avait coulé, ma peau était rouge, mon visage recouvert de sperme. — Je vous félicite, Mylena. Vous avez montré ténacité, endurance et discipline. Vous êtes prête pour un gang bang. Ses mots me rendirent fière. J’enroulai mes bras autour de ses jambes, les caressant comme pour le remercier. Puis il m’amena sous la douche. L’eau glissa sur moi, ses mains me savonnaient, pinçaient mes tétons, jouaient avec mon clito. J’étais aux anges. ©️MYLENA
21 personnes aiment ça.
Mr Xavier
Un récit intense et parfaitement maîtrisé. Tu arrives à retranscrire la discipline, la soumission et le plaisir avec une force qui captive. On ressent à la fois la rigueur et l’abandon total d’une soumise. C’est cru, puissant et envoûtant j’aime beaucoup. Merci pour ce partage.
J'aime 04/10/25
lion81220
miamiam 1f61b.png1f60b.png1f60d.png2665.png
J'aime 17/10/25
Nicolille
le texte et cette photo, c'est juste superbe
J'aime 31/10/25
le pro fesseur
Une plume qui sait danser sur le fil du désir sans jamais tomber dans le vulgaire. Maître Dorian y impose une présence magnétique, brutale, mais tenue, et ta façon de le raconter garde cette ligne rare entre érotisme, loyauté et élégance. C’est sensuel, vivant, assumé sans sur jeu. On sent que tu n’es pas seulement dévorée : tu choisis d’appartenir, et ça, c’est puissant...alegria.... Un mâle honnête
J'aime 11/11/25
Soyez la première personne à aimer.
a partagé quelques photos
Mylena vous présente une ébauche de ses créations collier / laisse faits main. D'autres créations sont en cours aux multiples couleurs & ornements. L'idée est de créer une collection adaptée à une garde robe complète car Mylena est passionnée de mode et aime le classe et sexy.
10 personnes aiment ça.
lion81220
jolies
J'aime 17/10/25
a partagé quelques photos
Les shibaris esthétiques de Mylena. #autobondage #kawaii
Soyez la première personne à aimer.
a partagé une photo
Le télétravail 👅 Sans un bruit, je m’approchai à pas de loup, les jambes un peu tremblantes. J’étais déjà mouillée rien qu’à l’idée de ce que j’allais faire. Je me glissai sous la table, lentement, comme une chatte docile, féline, offerte. Je sentais son odeur, la chaleur de son corps tout proche… Je défais sa ceinture avec délicatesse, effleurai sa peau du bout des doigts. Il tressaillit à peine, mais je savais qu’il avait compris. Je le léchai sur toute la longueur de son érection, doucement d’abord, respectueusement, dans un silence délicat. J’adorais cette sensation de l’avoir à moi. J’adorais surtout savoir que je le déconcentrais, qu’il devait garder la face pendant que je l’engloutissais. J’aimais l’idée que ses collègues, mariés depuis de longues années et qui n’avaient plus de relations sexuelles avec leurs femmes, seraient jaloux de savoir que lui, derrière son écran, était en train de se faire pomper le gland. Je me sentais salope, perverse… et j’aimais ça, car je savais que lui aussi adorait ça. J’étais à genoux, au service de mon Maître, et à cet instant-là, plus rien d’autre n’existait.
17 personnes aiment ça.
Mr Xavier
Bonsoir, tres jolie texte qui mêle la subtilité du bdsm mais aussi des aveux qui retranscrit nettement lsituation. J’aime beaucoup merci pour ce partage très intense .
J'aime 29/08/25
Merci pour votre retour encourageant 1f60a.png
J'aime 29/08/25
Mr Xavier
Je t’en prie… Ton écriture a quelque chose de troublant, d’excitant. Chaque phrase semble vouloir dresser et défier à la fois. C’est vraiment très bien, et je t’encourage sincèrement à poursuivre dans cette voie où l’écriture se mêle au désir
J'aime 29/08/25
Ça donne envie de passer son télétravail à vos côtés 😍
J'aime 01/09/25
a posté un article.
16 personnes aiment ça.
MaitreLo31
Beau texte et très belles marques
J'aime 27/08/25
Mr Xavier
J’ai beaucoup aimé ton texte, il est vraiment prenant et immersif, surtout dans la façon dont tu décris le mélange entre douleur et douceur, fermeté et bienveillance. On sent bien l’intensité de l’expérience et c’est ce qui m’a le plus plu. Par contre, le début m’a paru un peu moins fluide ou cohérent (par exemple quand tu parles du lit puis que tu passes directement à la chambre). Peut-être qu’il y a une raison à cela, ou qu’un petit ajustement rendrait l’ensemble encore plus percutant. Mais globalement, c’est très réussi et ça m’a captivée. Merci pour ce partage.
J'aime 01/09/25
Merci pour votre retour positif . Oui si on a pas le début de l'histoire ça peut paraître flou en effet 😊. Et c'est aussi le but recherché, de la suggestion. C'est un extrait avant tout. Mais je note 😉
J'aime 01/09/25
Mr Xavier
Ahhh d’accord, vu comme ça je comprends mieux… Tu donne envie d’en imaginer encore plus 😈. La suggestion, ça marche très bien finalement et donne envie de découvrir le reste.
J'aime 01/09/25
Nicolille
le feu, la brulure et l'ivresse profonde, donc l'ivresse de la douleur qui vous emmène dans une bulle? dans un état second?
J'aime 08/10/25
Voir les publications suivantes