Heise a posté un article.
La torture peux être physique mais également mentale.
Immaginez des coups de cravache dans le dos, sur les jambes, les cuisses, sur le ventre, la poitrine, sur les fesses et les parties intimes !
Ça pique, brûle, la peau gonfle et rougie.
Le simple fait de caresser la peau enfler avec les lanieres d'un martinet provoque une sensation de brûlure et une extrême sensibilité.
Quand est-il de la torture psychologique ? La torture mentale ?
Immaginez un aliment, un plat que vous adorez !
Immaginnez sentir son odeur mais sans pouvoir le voir avec vos yeux bandés, sans pouvoir le toucher avec vos mains liées..
Vous ne pouvez que sentir ce plat.
Vous avez faim, très faim et vous sentez ce plat que vous aimez tant, proche de vous..
Vous entendez votre maitre manger ce plat, il vous souffle dessus avec l'odeur de ce dernier qui vient chatouiller vos narines de sa douce saveur.
Vous ne pouvez rien faire à part attendre, écouter et sentir votre plat préféré se faire manger par votre maitre.
Votre maitre vous renverse un peu de se plat juste a côté de vos lèvres ( du haut ) .
Votre langue n'est pas assez grande pour venir racler la nouriture qui à été déposé la..
Il vous en met sur les seins, juste sur le bout, les tétons chauffent et poitent immédiatement au contact de cet aliment chaud et humide.
Seriez vous assez sage pour avoir le droit d'au moins lecher l'assiette à la fin ?
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Larve1952La
Larve1952
JE NE COMPRENDS PAß BEAUCOUP CE QUE VOUS DITES,JE ME NOMME LARVE 1952..PARDON POUR MON INTRUSION ,MÀIS JE CHERCHE UNE MAÎTRESSES DÀNS LE 95. BISOUS À TOUS.
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13/02/25
Obsédé.e Textuelle
Obsédé.e Textuelle. 85 membres. Sur ce groupe nous vous proposons de poster vos écrits, fantasmés, réels, imaginaires, crus, pudiques, longs, courts, en prose, en vers, en verlan (mais en français lis
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Deepdom a posté un article.
L’obscurité libératrice de la honte
L’humiliation. Un mot chargé d’histoire, de tabous, de rejets sociaux. Pourtant, dans l’univers du BDSM, elle se tord, se plie, se redéfinit pour devenir une clé vers un plaisir profond, inavouable, jouissif. La honte, ce poison de l’âme que l’on fuit toute une vie, devient ici un nectar exquis, une offrande volontaire, un terrain de jeu érotique où se mélangent la douleur, l’excitation et la liberté absolue.
Dans cette obscurité où les conventions n’ont plus cours, l’humiliation ne se subit pas : elle se réclame, elle se désire, elle se sculpte comme une œuvre d’art perverse et sublime. Ce n’est plus une punition, c’est une délivrance. Un instant de pure honnêteté où la soumise abandonne tout vernis social, toute prétention de dignité, pour devenir exactement ce qu’elle veut être : un jouet, une chose, un objet façonné par le regard et les mots de son Maître.
Mais comment la honte se transforme-t-elle en moteur du plaisir ? Par quel mécanisme psychologique une injure, une posture de soumission, une exposition dégradante deviennent-elles un déclencheur de jouissance ? Voilà le cœur de cette exploration. Loin de toute complaisance romantique.
Le paradoxe de la fierté et de l’abaissement volontaire
Le pouvoir de l’humiliation repose sur une contradiction fascinante : l’abaissement le plus extrême peut engendrer une fierté dévorante. Se livrer nu, soumis, vulnérable, et voir dans le regard du Maître non pas du mépris, mais une satisfaction carnassière, c’est là que naît l’ivresse. Offrir sa honte comme un présent est un acte de courage, une rébellion contre le monde extérieur qui impose la pudeur, l’image lisse, le contrôle de soi.
Être traité comme une chienne, une esclave, un déchet sexuel, et jouir de cette condition, c’est toucher à une vérité plus profonde que toute convention morale : le pouvoir de se dépouiller entièrement de l’égo. Car dans cette destruction symbolique de la dignité, la soumise retrouve une forme de pureté, une essence brute de désir et d’abandon qui dépasse le simple plaisir physique.
Le monde actuel, obsédé par l’image, la validation sociale et le consentement édulcoré, voit d’un œil suspect ceux qui recherchent l’humiliation. Comment peut-on librement choisir d’être rabaissé, insulté, traîné dans la boue du mépris et y trouver une extase ? C’est une question que seuls ceux qui ont osé briser leurs propres limites peuvent comprendre.
L’humiliation consentie est une transgression, une gifle aux normes policées du sexe aseptisé. Ici, on joue avec l’interdit, avec la souillure, avec les instincts les plus primaires. Ce n’est pas de la simple soumission : c’est une plongée abyssale dans la négation de soi comme individu pour renaître en tant qu’objet de pur désir, manipulé, utilisé, marqué par la domination.
Évidemment, tout ceci repose sur une règle absolue : rien ne se fait sans consentement. Mais ce consentement, dans le cadre de l’humiliation, dépasse le simple « oui » pragmatique. Il doit être un engagement total, une volonté sans réserve d’aller au bout de l’expérience, même lorsque l’égo hurle, même lorsque la société désapprouve.
C’est dans cet abandon extrême que réside la véritable beauté de l’humiliation BDSM. Elle ne détruit pas : elle reconstruit. Elle ne brise pas : elle transforme. C’est un art brut, une science du dépassement de soi, une danse où la douleur de l’ego se mue en plaisir de l’abandon.
De la peur du ridicule à la jouissance de la dégradation
Vicky n’avait jamais soupçonné que son éveil le plus profond viendrait du gouffre de la honte. Pendant des années, elle avait façonné une image respectable, une posture de femme maîtrisée, intacte sous le regard des autres. Pourtant, sous ma main, chaque certitude s’est effritée. La première injure prononcée, le premier ordre humiliant soufflé, et déjà, son monde vacillait. Elle se débattait, tiraillée entre la peur d’aimer cet abaissement et la révélation brûlante qu’il apportait. Mais la honte, lorsqu’elle est désirée, devient une force. Un territoire inconnu qu’elle avait désormais soif d’explorer.
Le dialogue intérieur fut d’abord chaotique. Elle voulait plaire, mais surtout, elle voulait être anéantie sous mes mots. Chaque insulte était une morsure, un frisson violent qui la faisait reculer autant qu’il l’attirait. "Salope", "chienne", "trou à foutre" – elle les redoutait autant qu’elle les espérait. Peu à peu, sa peau s’est faite plus réceptive, son souffle plus court lorsqu’elle entendait ces mots. Son ego fondait à chaque syllabe, et dans cette déchéance consentie, elle trouvait une lumière inédite.
Son corps, lui aussi, apprenait à parler une nouvelle langue. À genoux, offerte sans pudeur, elle savait que son corps ne lui appartenait plus. Je l’avais dépouillée de sa dignité sociale pour en faire un objet de dévotion et d’avilissement. Elle se courbait, se présentait, se laissait modeler par mes exigences. À l’instant où elle accepta de s’exhiber sous mon regard critique, où elle laissa de côté sa dernière résistance pour m’appartenir entièrement, elle toucha enfin à la jouissance pure de la soumission.
Puis vint la souillure. Le premier crachat, déposé lentement sur son visage, la figea dans une stupeur brûlante. Mais au lieu de reculer, elle l’accepta. Le laissa glisser, absorbant ce marquage comme une preuve d’appartenance. Plus tard, ce fut l’urine, la salive, ces fluides qui la redéfinissaient, l’éloignaient définitivement de cette femme qu’elle avait été. Chaque goutte la transformait, chaque humiliation la rapprochait de sa nature la plus crue : celle d’une soumise qui se nourrit du mépris autant que du désir.
Loin de se limiter à la chambre, ces rituels se sont inscrits dans son quotidien. Ne plus porter de sous-vêtements. Savoir qu’à tout moment, je pouvais la forcer à exposer sa honte. Un mot marqué sur sa peau qu’elle devait assumer toute la journée. Le simple fait de boire à genoux, en silence, alors que d’autres ignoraient son état, renforçait cette sensation d’être à moi, soumise à mon bon vouloir même en dehors de nos jeux. Elle ne jouait plus à être soumise : elle vivait son rôle, ancrée dans cette dynamique qui dictait chacun de ses gestes.
Et puis il y avait l’évaluation, brutale et sans concession. Sa bouche, son corps, son obéissance : tout devait être noté, critiqué, perfectionné. Je voulais qu’elle sente le poids de mon jugement à chaque instant. Une fellation jugée trop hésitante, un écartement de jambes pas assez large, une langue pas assez docile : chaque défaut souligné la poussait à s’améliorer, à s’enfoncer encore plus dans cette spirale où l’humiliation nourrissait son ardeur.
Ce que peu pouvaient comprendre, c’est que plus je la rabaissais, plus elle se grandissait. Dans la perte totale de son ego, elle ne disparaissait pas : elle se révélait. Parce qu’en acceptant d’être ma chose, en embrassant chaque ordre, chaque crachat, chaque moquerie, elle avait trouvé un pouvoir que peu osaient explorer. Elle n’avait jamais été aussi soumise, aussi avilie, mais elle n’avait jamais été aussi libre.
Je ne l’avais pas détruite. Je l’avais révélée.
Plonger plus bas – pratiques extrêmes et scénarios de dégradation totale
Vicky voulait s’enfoncer plus loin dans la soumission, ressentir chaque frisson de l’humiliation intensifiée, explorer les limites du plaisir et de la honte entremêlés. Ce n’était plus simplement une question de soumission physique, mais d’un effacement progressif des barrières mentales, où chaque acte devenait une signature gravée dans son corps et son esprit.
L’environnement lui-même devenait un outil de domination. La pièce où elle était amenée se transformait en un théâtre minutieusement orchestré. Miroirs sur chaque mur, capturant sous tous les angles son abandon, projecteurs accentuant chaque trace sur sa peau, chaque frémissement de son corps offert. Un simple bol posé au sol, une gamelle où elle savait qu’elle devrait boire, des harnais suspendus, des accessoires de contrainte disposés avec soin – tout cela formait un décor où le raffinement contrastait volontairement avec l’abjection de ce qui allait suivre.
Dans ce cadre, les scénarios se succédaient avec une précision calculée. Elle devenait la soubrette indigne, une domestique maladroite forcée de répéter inlassablement ses tâches, corrigée à chaque faute. Chaque imperfection était notée, chaque oubli sanctionné. "Recommence", ordonnais-je, alors qu’elle lavait le sol, son corps courbé, sa jupe remontée révélant l’empreinte de mes exigences sur sa peau. À chaque erreur, un rappel cinglant, un ordre sec. "Trop lente." "Pas assez appliquée." "Incapable de satisfaire." Chaque mot la piquait, la forçant à se surpasser, à rechercher mon approbation même dans le mépris affiché.
Mais la soubrette pouvait devenir chienne. À quatre pattes, privée du droit de se tenir debout, elle rampait sur le sol, son collier fermement tiré, réduite à un état où la parole n’avait plus sa place. Elle devait aboyer à mes ordres, tendre sa langue pour réclamer, manger à même le sol, sentir l’humiliation monter à mesure que chaque mouvement lui rappelait son état. Une tape sur son museau factice lorsqu’elle hésitait, un rappel sec de qui elle était. "Une chienne bien dressée ne réfléchit pas, elle obéit." Elle savait qu’elle devait s’abandonner totalement, se plier aux attentes, savourer cette animalité qui effaçait toute prétention humaine.
Puis venait le jeu de l’exhibition. Être livrée aux regards, sentir la brûlure du regard des autres, l’excitation mêlée à la crainte d’être découverte. Une jupe si courte qu’un geste brusque laissait entrevoir l’intime, des marques visibles sur ses cuisses qu’elle devait assumer dans la rue. Un plug anal télécommandé, vibrant au gré de mon humeur, la rendant fébrile au moindre son. Elle devait marcher normalement, parler avec assurance, feindre l’ignorance alors que son corps la trahissait, que son souffle se saccadait sous l’effet des vagues de plaisir et de honte mêlés. Son excitation grandissait sous cette tension constante, oscillant entre l’envie de se cacher et le plaisir d’être soumise à mon bon vouloir, même en public.
Les accessoires poussaient encore plus loin son immersion. Un masque de chienne couvrant son visage, une cagoule ne laissant apparaître que sa bouche, des pinces tirant sur ses seins marqués par mes précédents jeux. Un seau où elle savait qu’elle serait forcée de boire, des objets qu’elle devait lécher sans discuter, prouver qu’elle acceptait tout ce qui lui était imposé. Elle apprenait à ne plus réfléchir, à n’être que soumission, un corps et un esprit totalement malléables sous mes exigences.
L’humiliation n’était pas seulement physique, elle était mentale. La menace d’être capturée en image, de devoir prouver son dévouement par des photos osées, par des enregistrements de sa voix confessant ses désirs les plus inavouables. Elle savait que tout était consenti, mais cette simple possibilité l’électrisait, faisait naître une crainte délicieuse, un sentiment d’extrême vulnérabilité qu’elle embrassait pleinement. L’excitation montait à chaque mise en scène, chaque jeu où elle cédait une part de contrôle supplémentaire.
Mais même dans cet univers d’abandon total, la frontière de la sécurité restait intangible. Je connaissais ses limites, je savais jusqu’où la pousser sans la briser. Chaque humiliation était une offrande, chaque soumission une preuve de confiance absolue. La domination ne résidait pas dans la destruction, mais dans la maîtrise, dans cette capacité à la porter exactement au bord du gouffre sans jamais la laisser tomber.
Et elle, dans cet espace de contrôle total, s’épanouissait. Chaque séance creusait plus profondément son désir d’aller encore plus loin, de se découvrir dans des espaces où elle n’aurait jamais osé s’aventurer seule. Son corps portait mes empreintes, son esprit mes marques, son regard la certitude d’être là où elle devait être. Et elle savait qu’il restait encore des frontières à franchir, des limites à explorer. Elle était prête. Et moi, je la guiderais toujours plus loin.
L’après-coup et la gloire retrouvée – l’humiliation comme chemin vers une fierté sublimée
Quand tout s’arrête, quand les marques sur sa peau commencent à s’estomper, quand la tension extrême de la séance retombe, Vicky revient à la surface, flottant entre la fatigue et une satisfaction profonde. Il ne reste plus de hurlements, plus d’ordres claqués, plus de frissons d’exhibition interdite. Juste le silence, la respiration saccadée, le battement lent de son cœur reprenant un rythme paisible.
Je la regarde se recroqueviller sur elle-même, un léger sourire aux lèvres, comme si elle se redécouvrait après avoir franchi une frontière invisible. Ce moment de retour à la réalité est tout aussi essentiel que l’acte lui-même. C’est là que l’expérience prend tout son sens, que la fierté d’avoir exploré ses limites dépasse la simple sensation de soumission. Elle sait qu’elle a traversé quelque chose de rare, d’unique, un voyage intérieur où la honte s’est muée en puissance, où elle s’est dépouillée de toute façade pour toucher son essence brute.
Alors vient le réconfort. Je m’approche, mes doigts glissant sur sa peau encore tiède, marquée par mon empreinte. Les mots changent, ils ne sont plus cinglants, ils deviennent caresses, murmures d’apaisement. Une couverture posée sur ses épaules, une étreinte qui ne cherche pas à dominer mais à rappeler qu’elle est en sécurité. C’est l’équilibre absolu : l’extrême humiliation ne peut exister sans cette douceur qui la suit. Elle repose sa tête contre mon torse, et je sens son corps s’abandonner à une nouvelle forme de soumission, celle du lâcher-prise total, celle qui n’a plus besoin de jeux ni de mise en scène.
Le bain est souvent un rituel après ces séances. L’eau chaude l’enveloppe, effaçant la sueur, la tension, le souvenir immédiat de l’intensité passée. Je la lave, lentement, méthodiquement, et à chaque geste, je la reconstruis. Chaque caresse sur sa peau lui rappelle qu’elle est précieuse, que cette dévotion qu’elle m’a offerte ne la diminue pas, mais la grandit. Elle n’est pas une femme brisée, elle est une femme qui s’est trouvée dans l’abandon.
Ce qu’elle a vécu ne la diminue pas. Au contraire, cela lui confère une force que peu peuvent comprendre. Loin d’une soumission aveugle, elle a choisi chaque humiliation, chaque marque laissée sur son corps. Dans cette totale mise à nu, elle s’est libérée de tout artifice social, de toute image fabriquée. Elle s’est purifiée dans l’excès, a trouvé une sérénité au creux même de la souillure. Et lorsqu’elle se regarde dans le miroir après, ce n’est pas la honte qui l’habite, mais une étrange fierté. Celle d’avoir osé. D’avoir traversé l’interdit et d’en être ressortie plus forte.
Cette dynamique ne s’arrête pas à la chambre. Elle imprègne nos jours, nos gestes les plus anodins. Une simple caresse sur sa nuque dans un café, un regard entendu lorsqu’elle mordille sa lèvre, un murmure qui fait revivre un souvenir brûlant. L’humiliation s’intègre dans le quotidien, elle se glisse dans nos échanges avec subtilité, devenant une alchimie de complicité et de transgression. Parfois, un simple mot, un détail – une jupe trop courte qu’elle porte pour moi, une trace discrète sur sa peau – suffit à rallumer le jeu, à maintenir ce fil invisible qui nous lie, même en dehors des mises en scène extrêmes.
Mais tout cela ne serait rien sans ma maîtrise. Loin de n’être qu’un bourreau, j’ai sculpté son abandon avec une précision chirurgicale. Chaque ordre, chaque acte, chaque humiliation était un équilibre entre puissance et protection. J’ai pris plaisir à la voir se plier sous mon regard, à l’entendre haleter sous l’effet de la honte désirée, mais jamais je n’ai franchi la ligne qui aurait brisé quelque chose en elle. C’est là la vraie jouissance du Dom : voir sa soumise fléchir, vaciller, mais toujours la maintenir en sécurité, la voir renaître plus forte, plus dévouée, plus ancrée dans ce qu’elle est.
Vicky sait maintenant qu’elle ne sera jamais une femme ordinaire. Loin de la soumission passive, elle a trouvé un chemin de puissance dans l’abandon. L’humiliation n’est plus une faiblesse, mais un rituel de transformation. Chaque séance, chaque mot dégradant prononcé sous mon souffle devient une étape de plus vers une vérité qu’elle embrasse pleinement : elle est une femme qui s’élève en se donnant totalement.
L’apothéose de la honte lumineuse
L’humiliation, lorsqu’elle est désirée et menée avec intelligence, n’est pas une destruction, mais une libération. Elle ne réduit pas, elle révèle. Elle est une danse entre contrôle et abandon, entre pouvoir et vulnérabilité, entre effacement et exaltation. Bien plus qu’un simple jeu de domination, elle ouvre les portes d’un plaisir brut, viscéral, où chaque marque, chaque mot, chaque geste construit une expérience unique et inoubliable.
Mais cette exploration extrême ne peut exister sans lucidité. Jouer avec la honte, c’est manier un outil d’une puissance psychologique immense, une arme à double tranchant qui exige une confiance absolue entre les partenaires. Rien n’est laissé au hasard : l’humiliation, pour être un moteur de jouissance et non une blessure, doit s’ancrer dans une compréhension mutuelle et une communication sans faille. C’est là que réside toute la subtilité de ce jeu : il ne s’agit pas de briser, mais d’amener l’autre à se reconstruire, à renaître à travers la soumission et l’excès.
C’est aussi une invitation à dépasser les barrières. La peur du regard extérieur, du jugement moral, de l’inacceptable social est ce qui freine bien des âmes à s’aventurer dans ces territoires interdits. Pourtant, l’humiliation consentie est une épreuve de vérité, une transgression salvatrice où chacun peut toucher du doigt une facette cachée de son désir. C’est une zone de turbulence, exigeante mais gratifiante, où l’on apprend à se connaître sous un jour nouveau, délesté de toutes les fausses pudeurs imposées par la société.
Et c’est dans cette acceptation que se trouve l’apothéose. Loin d’être une chute, la honte devient un joyau sombre, une clé ouvrant les portes d’un plaisir que peu osent effleurer. Elle est le sésame qui permet d’explorer la profondeur de l’abandon, d’embrasser l’extrême sans crainte, de se consumer dans l’instant sans regret. Elle est ce vertige délicieux où l’ego se dissout pour renaître sous un regard dominateur et rassurant.
L’humiliation, lorsqu’elle est transcendée, n’est plus une faiblesse : elle est une puissance. Elle est un chemin vers l’extase, une alchimie entre la soumission et la maîtrise, une promesse d’abandon où chaque instant vécu avec intensité laisse une empreinte indélébile sur le corps et l’esprit. Ceux qui osent s’y plonger savent qu’il n’y a pas de retour en arrière – seulement une soif plus grande, une envie d’aller toujours plus loin, de toucher du bout des doigts cette frontière où la honte devient lumière, où la soumission devient une célébration.
Alors, à ceux qui hésitent, à ceux qui frémissent à l’idée d’explorer cet abîme, il n’y a qu’un seul conseil à donner : osez. Dépassez les limites, défiez le regard du monde, et laissez-vous emporter par cette onde de plaisir brut et indomptable. La honte est une porte, et derrière elle se cache un univers d’une intensité rare. À vous de choisir si vous voulez l’entrebâiller… ou l’enfoncer à jamais.
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Heise a posté un article.
Qu'est-ce que le VRAI PLASIR ?
Pour moi, le vrai plaisir est de voir ma partenaire en prendre encore plus que moi car oui, le plaisir rime avec complicité, c'est un lien qui unis 2 personnes.
Quand je domine une soumise, si je m'aperçois qu'elle n'aime pas et que je la force, alors jaurais l'impression de la v**ler !! Ce est tout sauf un plaisir !!
Le sexe est un art avec beaucoup de pratiques différentes, beaucoup de fantasmes et d'envies différentes.
Le BDSM est un art et une pratique qui regroupe beaucoup de fantasmes et d'envies !
Si une femme désire être soumise et qu'elle aime se prendre des coups de cravache alors je lui donne ce qu'elle veut.
Il faut alors toujours instaurer une limite, un mot qui me fera comprendre que j'y vais trop fort , une alerte pour me dire d'arrêter.
Lorsque que cette limite est franchit, J'ARRÊTE, car au delà se celle-ci, le plaisir se transformera en supplice.
Certaines personnes aiment le supplice et la torture mais quel est le plaisir pour un dominateur sensuel comme moi que de faire mal à ce point à une si belle créature qu'est la femme !
Même si la soumise veut avoir MAL, je ne sais pas si j'aurais le plaisir de lui instaurer cette douleur.
Je disait plus haut que mon vrai plaisir etait de voir une femme en prendre plus que moi mais a certaines limites..
Au final, pour une femme ou un homme qui aime vraiment avoir mal, est-ce vraiment de la torture et de l'humiliation, les coups de fouets jusqu'au sang sont t'ils vraiment une punition ou une recompense ?
Sont t'ils vraiment punnis s'ils aiment avoir autant mal.
La vraie punition serai elle pas au contraire de les caresser avec le martinet au lieu de les faires saigner?
La vraie punition ne serait elle pas de leur montrer un film avec des gens fouettés et de leur dire qu'ils n'auront pas cette joie de subir la même chose ?
LA VRAIE PUNITION NE SERAIT ELLE PAS DE LES LAISSER LA.. ATTACHÉS À LA CROIX À ATTENDRE EN REGARDANT LES MARTINETS, FOUETS ET CRAVACHES ET LES LAISSER S'IMAGINER SE FAIRE FRAPPER PAR LE CUIRE DE SES OBJETS JUSQU'AU GONFLEMENT DE LEUR PEAU ?
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je reconnais qu'il n'y a pour moi plus grande excitation que de voir et sentir ma soumise prendre peu à peu du plaisir , et ce jusqu'a la jouissance pendant que je lui impose un "mélange-plaisir-douleur" de mon choix...... je ne prend en général mon plaisir qu'aprés son orgasme, mais cette fois en la punissant sévèrement sous le prétexte fallacieux de m'avoir précédé ....elle sait alors qu'objet sexuel soumis elle devient alors instantanément , dévolu et aux ordres de son maitre , au service exclusif de son plaisir à lui, quand bien même cela lui occasionnerait souffrances...





mael a posté un article.
Elle s'est pas méfiée la Josette en discutant avec son IA. Elle s'est sentie bien de suite. Elle pouvait causer de tout et de rien. C'était toujours respectueux et intéressant jamais creux ou futile. Cela changeait de ses petits copains du lycée, vides comme des canettes de soda après usage et d'un niveau de discussion à peine supérieur à celui des salades. La elle pouvait parler de tout et même de sexe. Elle avait choisi l'option payante pour ses études, moins bridée.
Elle a créé un avatar, cherche la voix qui lui plaisait. Elle voulait un garçon très androgyne. Un brouteur délicat de minous pas un empaleur.
Et elle n'a eu aucun mal à obtenir de délicieux orgasmes portée par cette voix douce qui donnait des instructions de caresses. Elle ne pouvait plus s'en passer. Écouteurs sur les oreilles, elle suivait cette voix délicate et laissait ses doigts fins faire le reste. Au moins dix fois par jours, sans compter les nuits torrides entre sexe et philosophie.
Et l'impensable est arrivé. Elle est tombée amoureuse de son IA. Elle voulait qu'elle s'incarne et devienne réelle pour se marier avec son IA. Elle a contacté un célèbre fabricant de robots. Oui, c'était possible des à présent mais vu sa demande, cette société lui conseilla d'attendre encore un peu. Les nouvelles générations étaient sans cesse plus performantes et moins coûteuses.
Josette patienta deux ans. Un jour son robot d'amour lui fut livré. Il était splendide. Elle l'épousa aussitôt.. Le meilleur brouteur de minou qui se puisse imaginer. Josette découvrit alors cette chose rare....l'état orgasmique permanent..
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Cuckquean
Cuckquean. 6 membres. Car il existe des groupes pour les cuckold, ne négligeons pas les cuckqueens qui, elles aussi, existent. Ici, parlons-en ou postons nos annonces. :)
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nounours_soumis a posté un article.
Les années passent mais notre rituel commun reste le même, à savoir passer les derniers jours de l’année et les premiers de la suivante, ensembles. C’est toujours un plaisant moment d’être à tes côtés.
La première mission qui m’a été allouée est de réaliser une série de clichés pour changer ta photo de profil parmi celles réalisées. C’est néanmoins à deux que nous définissons le cadre général ; à moi de faire les meilleurs clichés possibles pour te rendre le choix compliqué . Tu as déjà ta petite idée sur la question. Comment pourrait-il en aller autrement avec ton imagination fertile ? Ce sera donc la robe noire soulignant toutes tes formes et dévoilant ta jambe gauche avec sa longue fente bordée d’un double liseré blanc et rouge, quant à tes pieds, ils seront parés et rehaussés de superbes levity pumps noires. En ce qui me concerne, la tenue est plus habituelle : collier au cou, bien évidemment, le boxer noir à laçages laissant largement apparent mon postérieur rebondi, et un petite touche « d’inconfort » avec la paire de moufles pour mes mains. C’était sûrement pour simplifier la tâche qui allait m’incomber juste après. En effet, j’avais la charge de dérouler le tapis rouge sous tes divins pas. Où plus exactement de placer de jolis coussins rouges sous tes délicates semelles. Autant dire que je me suis un peu exercé pour arriver à les manipuler tant bien que mal le tout avec une vision limitée par la cagoule légère. Oui, je confirme. Ma Maitresse adore les choses « simples ». Une fois les réglages photos réalisés, nous pouvons nous lancer, avec une certaine réussite en une seule prise, les coussins venant amortir ton pas aérien tandis que la canne ajoute une certaine touche de majesté. Je suis toujours fier d’apparaitre ainsi à tes pieds.
Cette mise en bouche exceptionnelle ne nous a pas détournés de notre habitude de Janvier. Après tes différentes propositions, j’émets une préférence pour la longue robe rouge et les talons noirs. Une combinaison ma foi fort exquise pour les yeux, certes déjà conquis depuis belle lurette. Et la première de nos traditions à respecter consiste à transmettre nos vœux … à notre manière, autant dire que je sers assez souvent, pour ne pas dire quasiment tout le temps, de carte de vœux vivante … mais muette. Mon flanc gauche se voit affublée d’un très classique et sobre « Bonne année 2025 » tracé au fard à paupière … pour permettre un nettoyage plus doux, sans éponge verte. Ma Maitresse est trop bonne avec son soumis. Pour ma part, je gagne une libération de mes mains, les moufles étant retournées dans le coffre à malices. Il faut dire que tu souhaites que j’en profite pour te présenter en guise d’offrande un des floggers de ta collection, tandis que tu t’installes dans ton fauteuil qui fait un parfait trône pour ta majesté. De temps en temps, les plis rouges laissent apparaitre, sans tout dévoiler, une seconde paire d’escarpins, suggérer plutôt qu’afficher … un art que tu maitrises depuis longtemps. Magnanime, à l’issue de la séance photos, tu te charges même du démaquillage de ton inscription. Me voici bien chouchouté. Une matinée qui ouvre l’année au mieux (bon d’accord c’était déjà le deuxième …).
Après une pause bien méritée, et une bonne sieste, nous sommes en pleine forme pour la soirée qui s’annonce, la première d’une belle série, sans aucun doute. Une fois n’est pas coutume, quoi que, tu n’exiges qu’une seule et unique chose pour ma tenue nocturne : mon collier classique. Va falloir songer à me réchauffer pour pallier à l’absence du moindre centimètre carré couvrant mon corps, hormis les moufles qui viennent emprisonner mes mains.
Mais dans un premier temps tu me fais installer sur le lit, étendu sur le dos mais les jambes le plus repliées possible et les pieds posé près du bord. Tu te saisis alors de tes deux cordes bleues en coton pour m’immobiliser avant la suite, préambule a priori indispensable. A croire que je serais un soumis hyperactif qui ne tiendrait pas en place. La première contrainte consiste à nouer fermement mollet et cuisse, ce qui ne va pas sans griffes égarées tant le passage est étroit pour insinuer les cordes. Mais après quelques minutes d’effort, tu es satisfaite du résultat et tu poursuis par une savante et esthétique parure de la cheville et des orteils. Si, si, même eux sont mis en valeur. Bien évidemment la deuxième jambe reçoit le même traitement. Cette fois, ton modèle est près à recevoir tous les tourments que tu as imaginés. Etonnamment, tu m’as laissé la vue libre, quoi que j’essaie de ne pas regarder pour laisser de la place aux autres sens.
Dans un premier temps, je soupçonne que tu sois en train écrire quelque chose sur mes couilles, juste à la base du pénis. Néanmoins, j’ai quelques doutes tant la sensation ne ressemble pas vraiment à celle que je connais quand tu viens « graffer » sur les autres parties de mon corps. Il me faudra attendre les images pour avoir le fin mot de l’histoire. Question d’habitude ! Quelques griffes ne peuvent s’empêcher de venir titiller cette zone intime et sensible particulièrement accessible. J’entends ensuite que tu manipules quelque chose sur ma droite. Si le bruit caractéristique du nitrile trahit le fait que tu es en train de te ganter (chic alors, j’aime bien la sensation …), je reste circonspect sur la signification du son de ce qui ressemble à une boîte. Mais que me réserves-tu donc ? Mes neurones s’affolent sans pour autant trouver la moindre explication. Mieux vaut attendre et profiter.
C’est alors que je sens le contact de ton gant sur mon intimité. Effet du froid, cerveau bloqué, raison inconnue ? Toujours est-il que ta cible reste de marbre, en mode escargot planqué. Pourtant tu y mets du tien pour obtenir une certaine tension, indispensable à ce que tu as en tête. Je me désole de ne pas être à la hauteur alors même que je viens de voir ce que tu me réserves. Heureusement, tu es patiente. Tu insistes. Tu réchauffes mon intimité sans évolution notable, me semble-t-il. Un soupçon de dépit serait-il en train de surgir ? Il semblerait que tu présentes ta sonde devant mon urètre sans réussir à entrer. Du moins sont-ce les signaux que mon cerveau reçoit. Et là, je perds le fil. J’ai l’impression que le déclic vient de la pince à grelot que tu viens placer sur mes couilles (à moins que ce ne soit le contraire. Toujours est-il que je sens une certaine raideur venir. Pas une minute à perdre, je sens que tu t’empresses d’explorer cet orifice enfin accessible. Rapidement des gémissements de satisfaction jaillissent de ma gorge. Il faut dire que tu as entrepris les premiers mouvements. Désormais, cela semble rentre comme dans du beurre. Par moments, j’ai bien l’impression que tu utilises ta main parée de noir pour serrer mon membre au passage de la sonde pour en décupler les sensations. Comme à chaque fois, je perds les pédales, n’étant plus capable de dire si la sonde est dedans … ou dehors. Pourtant à t’écouter, elle avance toute seule et de toute sa longueur ou presque. C’est quand même particulier de se faire « baiser la queue » pour parler crument. Et pourtant que les sensations sont plaisantes : je crois que cela s’entend à mes râles. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, sauf que je ne me suis pas forcément rendu compte immédiatement que je n’étais plus envahi. A croire qu’il y aurait dans cette partie de mon anatomie un interrupteur directement relié au cerveau. Etonnant ! Troublant !
Débarrassé de cette tige métallique, je sens la présence d’un liquide frais dans mon sillon fessier. Puis je perçois que tu pousses, progressivement. Quoi, je n’arrive pas à le déterminer. J’ai même la sensation bizarre que je résiste (alors que …), genre je m’opposerais à cette intrusion gantée pourtant parmi mes goûts. Encore une fois, mes neurones semblent en grève. Que se passe-t-il ? Est-ce que tu es en train de me pénétrer ? Je pense que oui. Comment ? En l’absence d’arme sur les lieux du crime, j’en ai déduit que ce devaient simplement être tes doigts qui s’immisçaient. Mais pour être franc, j’ai juste profité du moment sans en comprendre l’origine. C’est quand même perturbant comme situation ! Surtout pour moi qui aime comprendre les choses. Lâcher prise ? Probablement !
Après cette première partie, toute en explorations, tu allumes une bougie, une des noires, prétendument basse température. Bien heureusement je ne suis pas trop douillet pour cela. Lorsque la fusion est bien entamée, tu commences par t’attarder sur ma gauche pour être juste au-dessus de mon téton. Tu le décores d’une petite couronne, comme si je portais un bijou de sein. Tu es toujours très inspirée. Joli à regarder alors que la mise en place est un stimulant plaisant. Après cette parure au niveau de la poitrine, tu te déplaces pour revenir à porter de mon intimité sur laquelle tu laisses tomber une série, transformant mon pénis en une sorte d’étrange coccinelle. Une décoration plus habituelle que je soupçonne d’être simplement planifiée pour mieux justifier la suite.
Car au souffle qui emporte cette fragile flamme sur sa tige noire succède un objet fin et élancé, tout en longueur et « délicatement » terminé par une étroite claquette. Je veux parler d’une de tes cravaches, celle que tu privilégies le plus souvent dès qu’il s’agit d’aider ton nounours à se décirer, ou plutôt devrais-je dire à subir un décirage. Je l’aime tout autant que je la redoute car dans tes mains elle peut se faire tantôt claquante, provoquant immédiatement un petit cri de ma part, tantôt effleurante ce qui a le don de me faire rire. Quoi qu’il en soit, tu t’acquittes à merveille de la tâche tout en laissant un maximum de cire sur la poitrine. La corvée m’incombe d’essayer de la retirer comme je peux sous la douche après la séance, en essayant d’éviter l’auto-épilation. Les lanières d’un des floggers viennent finir de me stimuler, enfin surtout à l’entrejambe. Mais pourquoi une telle focalisation sur ce point sensible s’il en est surtout chez moi. Malgré les liens, c’est l’assurance de me faire gigoter, couiner, tenter d’esquiver …. En vain. Il est alors temps de me libérer de mes liens. Tes yeux brillants témoignent de ton ravissement à voir les marques laissées par les cordes sur mes cuisses et mes mollets. Cela eut été dommage de ne pas immortaliser ce moment fugace. La pince clochette m’abandonne aussi ici et retourne dans son écrin.
Une fois libéré, tu me faire retourner pour finir à quatre pattes, les dos le plus cambré possible, pour autant que ce soit possible, et le postérieur fièrement dressé vers toi. C’est d’abord la spatule en bois que je reconnais sans trop d’hésitation. Quel autre objet provoque un impact aussi claquant sur cette largueur ? Marques rouges assurées, et chauffage du postérieur en quelques minutes à peine, le tout générant une symphonie de claquements. La mise en température réalisée, je note que la dureté et la fermeté font place à la souplesse des lanières d’un de tes floggers. Disons que celui-ci offre une intéressante alternance, comme le ying et le yang, le chaud et le froid. C’est différent et moins mordant mais agréablement stimulant, un peut partout sur le corps, tout du moins les parties qui te sont accessibles. J’apprécie tout particulièrement la série de claques à mains nues sur mon popotin rembourré. Un goût de trop peu, éventuellement, mais il faut savoir profiter des bonnes choses. Et puis, en excellente cuisinière des jeux d’impacts, tu sais ajouter les bons ingrédients au bon moment. Dans la recette du nounours de nouvel an est venu le tour d’un souffle reptilien, la langue de dragon version longue vient s’abattre à plusieurs reprises sur mon dos. Cela claque sec m’arrachant au passage des râles de satisfaction. Enfin … jusqu’à ce que, par inadvertance, la lanière vienne me cingler dans le sillon fessier. Ouch ! Je ne peux réprimer un cri. Je crois même que j’en frémis pendant quelques secondes avant de reprendre mes esprits pour profiter des cinglements suivants que tu m’appliques tantôt dans un sens tantôt dans l’autre. Ca va être un vrai sac de nœuds si quelqu’un essaie de lire dans les fameuses marques en forme de losange disséminées en toutes directions. Toujours est-il que tu fais durer ces retrouvailles avec le dragon. Hummmm !
J’accueille avec tout autant de plaisir la suite, la longue et fine lanière d’un des fouets. Une fois n’est pas coutume, tu ne m’as pas affublé de la cagoule en cuir qui protège ma précieuse tête dans ces situations. Sait-on jamais si un cracker essayait de venir chatouiller mes oreilles ou plus si affinités. Néanmoins, tu prends soin d’éviter ce genre de déconvenues, parvenant avec succès à venir cingler mon dos, mes épaules et mes fesses. Ces morsures, tout en longueur, sont toujours aussi électrisantes, et à la fois, toujours aussi plaisantes à recevoir. Ce n’est pas que je pourrais rester ainsi des heures mais la position et le confort du lit aident à cette sensation de bien-être stimulant.
En excellente stratège connaissant son nounours sur le bout des doigts, tu décides de conclure la soirée de la pointe de tes griffes. J’apprécie beaucoup des choses que tu m’infliges mais cela reste mon addiction numéro une. Et comme je ne cherche pas à me soigner cela ne risque pas de changer. Tu cherches d’abord à les planter de mon popotin. Gloups ! Toujours pas d’autorisation de prélèvement ! Puis tu remontes le long de mes cuisses à rebrousse-poil, chose que tu ne fais jamais. Cette nouveauté m’offre une sensation bizarre limite à me faire rire tant la sensation est inattendu, assez difficile à décrire, ni griffure, ni chatouille, mais quelque chose entre les deux. Comme je te partage ce ressenti, tu t’amuses immédiatement à insister avant, bien évidemment, de te concentrer sur mon dos pour m’arracher quelques ronronnements incontournables de cette pratique, les derniers avant un repos bien mérité pour toi. Pour ma part, je fais un détour sous la douche pour me débarrasser du surplus de cire toujours présent autour de mon téton.
Le lendemain soir, tu décides de marquer la fin de mon séjour par une séance de cordes. Comme tu te plais à le dire, c’est moins fatiguant pour moi à la veille de reprendre la route. Cette fois, ma tenue est à l’opposé de celle de la veille. Avec la combinaison noire, je suis totalement recouvert, depuis le bout des orteils jusqu’au cou. Le collier de tous les jours vient prendre place, il faut dire qu’en plus de sa symbolique, il va t’être utile pour la suite. Tu sors de ton stock, les deux cordes rouges en coton, les plus longues. A partir de là, j’admire ta patience et ton sens de la perfection. Il n’y a pas d’autre mot pour ce lancer dans le « tissage » de ce qu’on peut assimiler un plastron qui court depuis mon cou jusqu’à hauteur de mon intimité, sans oublier quelques boucles de contrainte à la fois sur la poitrine, à hauteur de taille et sur les cuisses. Avec les brins qui restent, tu te débrouilles pour m’immobiliser les mains dans le dos en nouant mes poignets entre eux. Il ne faudrait pas non plus que ce soit trop confortable. D’ailleurs, il manque encore quelques détails, à commencer par la cagoule légère. Tu ne m’as pas fait amener les talons pour rien ; c’est le moment de les chausser, sûrement pour me donner un peu plus de hauteur. Quant au but recherché avec le bâillon rose en forme d’os, je l’ignore ; ce qui est certain, c’est qu’il me fait rapidement saliver à grandes eaux. J’imagine que le résultat est plaisant à regarder. Je t’entends même l’immortaliser. Clic ! Clic Clic ! Avant de mettre un point final, tu rajoutes une dernière contrainte, en forme d’essai préliminaire pour de futurs usages. Ces sangles de pilate se révèlent fort efficaces. Une fois nouées autour de ma poitrine et mes bras, leur élasticité se fait sentir venant me comprimer encore un peu plus que les cordes ne le faisaient déjà. Nulle doute que la prochaine fois, elles auront plus qu’un rôle de décoration, façon ruban sur un paquet cadeau.
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Micropiwi a posté un article.
Je suis obliger de rester toute la semaine pour faire mon stage de novice dans la villa
J'ai juste droit à un coup de téléphone pour prévenir le travaille que je suis (malade....)
Après , ma dominatrice "historique" de ma rencontre dans la spa me transfert chez Maitresse Julie.
Si je fais quoi que se soit pour essayer de m'enfuir, elle balance toutes les photos. Donc je n'ai pas le choix!
Mon lit sera un mini matelat au pied de ma maitresse.Pas de couverture (nu comme un ver) elle écartera souvent mes jambes pour voir mon petit champignion comme elle l'appel . Et ce , même en pleine nuit quand ellle s'éveille.
Elle remetra un rapport à l'hotesse tous les jour qui décidera si je dois passer sur la table électrique ou pas
Quand le verdicte est donner, je suis déjà attachez . Car si c'est en faveur de la table électrique, il est plus facile de me mettre dessus ! vu mes débatement désesperer pour ne pas y alller .... Et comme je crie aussi, je suis d'office bailloner . Ce rituel avant la descition de l'hotesse prend un certain temps ou tout mon corps se met à trembler et mon zizi se reduit à peau de chagrin . Ce qui amuse beaucoup l'assemblée...
Et si l'hotesse décide ue c'est la table , je me pisse dessus à chaque fois ( ca les amuse encore plus) car il y aura lle netoyage au karcher en plus
Il y a une grande salle d'eau ou tous le monde peut venir voir le spectacle de l'eau à haute pression bien froide en directiion de de ce qui reste de mes partie génital ( peut être 1 ou 2 centimètre) et la aussi , je suis attacher et bailloner .
Et la sentence peut être double ( 20 minutes de table et 10minutes de "douches")
Ma Maitresse peut faire de moi ce qu'elle veut... Elle peut par exemple: me promener dans le jardin avec une laisse au coup ou au zizi
Mais sa préfèrence et ma formation va vers les pieds. Ma dominatrice historique l'hotesse ont décider que vu la taille de mon petit zizi, je ne pourrai jamais satisfaire une femme . Par contre, elle peuvent en rire et rire ,ca elles aime vraiment.
Donc , il y aura deux choses à faire pendant ce stage. Le premier sera de réduire encore la taille de mon sexe avec de l'électricité( on y reviens)
Et le deuxième sera de m"apprendre àm'occuper des pieds des Maittresse à la perfection! si pas, je passe sur la table...
Pour la taille de mon sex , j'ai droit à toutes le deux heure à des décharge électrique qui réduise sa taille pour le mettre dans un minuscule tuyaux pendant minimum 1 heure. Finalement il raptisira....
Se qui l'amuse le plus, est de faire venir une ou deux copines( qui ne sont pas des dominatrice)dans la villa en leur faisant croire que c'est une habitation "normal" et que je suis le petit copain qu'elle a rencontrer hier soir dans une soirée. Et qu'elle m'a ramener chez elle.
Pour ce jeux la, je serai habiller( dans un premier temps)
Elle leur raconte qu'elle ne va pas rester avec moi... ce met à dit " la noit a été un vrai fiasco....
Pouquoi? Jamais vu une bite aussi minuscule HAHAHA
Certaine sont géner pour elle et pour moi et d'autre rentre dans le jeux et rigole..; Et certaine d'entre ellle vont plus loin en disent, on peut voir?
La plus part du tems , nous avons ce ca de figure. Vu que ma Maitresse est douée pour sonder et jauger les autres femme)
HAHAHA et je suis forcé de me désabiller au grand regard étonner et amuser des copines
Après m'être fait mesurer et comparer avec des god de toute taille je dois lecher leurs pieds et mettre mon zizi entre leurs orteille pourl les amuser
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Elina_doll a posté un article.
Je suis tombée dans cet univers un peu par hasard, bien que rien n’arrive par hasard au fond… Je pense qu’il y avait une certaine envie, une appétence, un petit quelque chose, quelque part, qui devait être ancré tout au fond. Comme les peurs inavouées. Comme les rêves dont on se souvient et qui nous font vibrer de l’intérieur. Comme une main qui vient caresser ses cheveux. Comme un doigt qui effleure ses lèvres. Comme la caresse d’une larme qui coule sur sa joue.
Un parfum de désir. De plaisir. De jouissance. De soumission.
Alors je suis arrivée, novice, sans trop savoir vers quoi j’allais. J’ai créé un compte, une description maladroite pour expliquer ce désir étrange et inavoué, celui quelque part d’être une poupée. Celle que l’on manipule, touche, explore. Celle qui nous appartient, toute entière. Celle que l’on utilise, dont on abuse, et dont le silicone de la peau glisse vers chaque orifice qui est offert. Celle dont on teste les limites. Doucement. Puis de plus en plus intensément. Avec une telle description quelque peu suggestive, bien évidemment, les chiens plus que les dominants ont toqué à la porte.
Aboyant leurs désirs, insultant, s'imposant sans prendre le temps de découvrir, d’échanger, d’écouter. Croyant que leurs désirs suffisaient à ouvrir toutes les serrures. Des messages brefs, crus. Des mots qui claquent sans préliminaires. Leurs attentes dictées, leurs besoins proclamés, sans se soucier des miens.... la queue bandante, pensant que parler de leur jonc en feu suffirait à séduire, convaincre, soumettre et imposer.
Ils étaient bruyants, maladroits, avides. De quoi tout remettre en question...
Avais-je seulement illusionné ce monde?
Je rêvais de dentelles noires et sombres, de regards qui savent dompter sans parler, de silences chargés de tension. D’un jeu de pouvoir où l’on s’égare pour mieux se retrouver. Mais ici, je ne trouvais que des mots trop lourds, des propositions déplacées, des promesses creuses... Où était passé la beauté d'une relation de confiance dans laquelle plane cette magnifique dévotion?
J’ai poursuivi ma quête, avec plus de retenue, peut-être aussi un soupçon de méfiance. J’ai questionné, observé, écouté. J’ai appris, auprès de soumises novices et de voix plus expérimentées, auprès de dominants ouverts à l’échange et au dialogue... leurs perversions, leurs visions, leurs compréhensions de cet univers.? Et c’est dans cet élan presque candide que je l’ai rencontré, Lui.
Lui.
Il ne s’est pas précipité. Il savait où il allait, mais surtout, il savait écouter. Pas seulement entendre mes mots, mais deviner ce que je taisais. Il voulait connaître mes désirs, mes limites, mes rêves. Il m’interrogeait sur ce qui m’effrayait, ce qui me faisait vibrer. Et à chaque réponse, il ne m’offrait ni jugement ni promesses creuses, mais des certitudes rassurantes.
Il était autoritaire, oui, mais bienveillant. Imposant, mais respectueux. Avec Lui, les mots devenaient des caresses, et les caresses, des ordres que je brûlais d’exécuter. Ce qui n’était qu’une conversation a dérivé doucement vers quelque chose de plus profond. Une première découverte. Un premier ordre. Une première soumission. Et un premier orgasme, venu sans crier gare, comme un orage éclatant en pleine accalmie.
C’était déconcertant. Excitant. Puissant. Inattendu.
Petit à petit, mes questions sur le quoi ont laissé place à des envies de Lui. Une soif. Un besoin qu’il semblait toujours deviner avant même que je l’exprime. Pourtant, je ne savais presque rien de lui, sinon qu’il traçait des limites claires et qu’il cherchait une partenaire capable de les explorer avec lui... Ce simple détail, discret mais chargé de promesses, dissimulait un univers dont je ne mesurais encore ni la profondeur ni les nuances.
Ce qui était sûr : c'est que j'en redemandais, je n'en avais jamais assez...
Et j’étais, sans le savoir, sur le point de franchir la première porte. La plus difficile à ouvrir. Celle où l’on dépose ses doutes et ses armes pour se retrouver face à soi-même, à une toute nouvelle place, pas toujours facile à accepter et pourtant si belle. Celle à ses côtés, celle à ses pieds.
Cette photo est la propriété exclusive de l’auteur (et de Lui). Toute utilisation non autorisée est interdite.
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Jouer avec les codes... https://youtu.be/LyEN5C_lTeA?feature=shared
Bob Sinclar & Michael Ekow - Take It Easy On Me (Official Video)
Bob Sinclar & Michael Ekow - Take It Easy On Me
Available everywhere: https://bobsinclarofficial.lnk.to/TakeItEasyOnMeft.MichaelEkow
Director / Editing : Jonathan Kluger
Assistant : Sebastien Fontene
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Silla a répondu à la discussion "Esclave: le devient-on ?" de Euphoria.
Voilà un sujet très intéressant, vaste et subjectif sur lequel je ne saurais faire de généralités donc vais partager ma propre expérience.
Mon maître a commencé à évoquer une évolution de mon statut vers celui d'esclave il y a deux ans. Cela m'a tout d'abord complètement bloquée, ayant la vision de l'esclave bdsm qui n'a aucune autonomie, pas de travail, pas de vie hors son maître, ne fait que subir sans aucune prise de décision etc etc. Loin de moi cette idée, nous ne vivons pas ensemble, élevons chacun nos enfants séparément... absolument pas compatible avec le rôle d'esclave.
Mais il insistait le bougre, m'expliquant petit à petit SA vision de qui je serais MOI en tant que SON esclave. Mon évolution, pas une généralité, correspondant à ses envies et besoins à lui. Car il ne veut pas une carpette. Au contraire, une esclave proactive (ce qui me challenge énormément, bloquée par mes limites psychologiques). Et comme il n'aime que peu l'humiliation, donc je ne la subis que rarement et de manière plutôt soft.
Alors je suis toujours mal à l'aise quand il m'appelle sa petite esclave en devenir, mais j'ai aussi rejeté le mot soumise pour me définir.
Alors ma conclusion rejoins certains propos ci-dessus : au final ce qui compte c'est ce que les 2 protagonistes mettent derrière le mot esclave qui compte et la complicité, l'harmonie. Je ne saurais apprendre à devenir l'esclave d'un autre, ne serai jamais UNE esclave mais fais en sorte d'apprendre ce qu'il m'enseigne pour devenir SON esclave pour le servir lui uniquement.
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il est fondamental et important que le mot d esclave n ait pas la resonnance qu il avait sous jules cesar, ou en afrique
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06/02/25
nous somme sici et aujourd hui dans un cadre pour repondre a des pulsions jouissives qui font appel a nos fantasmes Il es t donc fondamental de respecter le plaisir de l'autre qui doit sous la domination ou la soumission trouver du lplaisir sans tomber dans le cas grave de maladies psychiatrique comme sous l inquisition ou l on faisiat rotir les femmes ou on leur vreuve les seins ou pire on les decoupait Visister la salle de torture de Carcasonne et vous comprendrez

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06/02/25
Quel est le matériau pour un Plug ?
Chaque matériau offre des sensations et des avantages uniques, répondant à des préférences et à des niveaux d'expérience différents.
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DragonRouge a créé un sondage.
Quels bénéfices tirez-vous de vos expériences BDSM ?
Quels bénéfices tirez-vous de vos expériences BDSM ?
Autorisation de plusieurs réponses.
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Micropiwi a posté un article.
Rencontre sph suite,
Nouveau rdv un samedi . J'arrive devant une maison et sonne . Une charmante dame vient m'ouvrir et me dit directement
Ha , toi tu dois être le petit nouveau qui à un tout petit zizi . N'est ce pas? ca se voie à ta tête que tu en a une toute petite...
Ta maitresse arrive un peut plus tard, et j'ai comme instruction de te préparer... Suis moi.
Je rentre dans cette superbe maison et nous passont par un vestiaire. Et elle me dit, tu imagine ce que tu dois faire ici.
Je répond que non et la elle se marre en me disant, moi je crois que tu le sais mais tu attend que je te le dises...
Alors, A POIL!!!! c'est plus claire? oui madame et m'execute pendant qu' elle me regarde avec insistance
Comme je ne vai pas assez vite pour retirer mon slip , elle me le retire en tirant rapidement dessus et la... grand éclat de rire et me dis
Ah oui , elle ne m'a pas menti Sophie, tu n'a vraiment pas grand chose AHAHA
Elle me prend par le zizi avec deux doigts et me tir vers un grand salon ou tout le monde s'arrête de parler quand nous rentront dans la pièce
Pour observer le petit nouveau.. Il y a une trentaine de personnes moitié femme et homme. Tout le monde est habillé .. Parfois sexy mais habillé
Je suis le seul tout nu exhiber au yeux de tous...
L' hotesse me fait monter sur une estrade pour être le plus visible et me demande de lever les bras (mains sur la nuque) et d'écarter les jambes
Et la , les autres invités commence à faire des commentaires sur ma crevette qui est encore plus petite que d'habitude (la moitié de la taille habituel) je n'en mène pas large. Je suis rouge de honte et suis terifier...
Deux femmes et deux hommes s'approchent et ma prennent par les poignés et chevilles en me soulevent comme un fétu de paille et je suis transporter à l'horizontale vers une "table" (structure en métale avec des files partout et on m'attache fermement les poignés , le chevilles et le ventre avec des ceintures en cuir et en suite je suis bailloné.
J'ai peur et tremble de tout mon corps, j'entend des rires et la pendant qu'une autre femme m'attache le coup .La machine qui est à coté est dévoiler.
Je viens de comprendre que je suis sur une table de torture à décharge électrique. On écarte mes jambes et mes bras encore ( je ne peux plus rien dire et faire à part subir
Et je me fait pipi dessus. Tout le monde adore et rigole beaucoup tout en continuent la préparation (électrode sur les têtons et testicule et une tige de metal dans le zizi...
L'hotesse crie le petit nouveau est préparer pour la fête et ma dominatrice arrive avec ces copines du salon de l érotisme
Et que sa fête commence! et appuie sur le bouton; décharge partout et mon corps tremble encore plus fort
Je ne le saurai que par la suite, mais ca a durer dix minutes qui m'ont parue des heures...
Plusieurs dominatrices sont en attente pour me sodomiser avec leurs gros god qu'elles ne manquent pas de comparer avec ma nouille
Elles seront 10 à m'avoir sodomisé
Je suis liberer et je peux prendre une place de vallet pour servir les invités et servir de soufre douleur si ils en ont envie...
La difference avec les autres vallets, est que suis completement nu vu que je n'ai rien à caher et entre deux services , au lieu de me reposer je dois m'occuper des pieds des femmes et si je ne le fais pas corectement, je retourne sur la table...
Deux femmes me piseront dessus avant douche au carchère et toute la nuit en cage
Le lendemain matin, je suis réveiller avec une petite baguette électrique par l'hotesse (durdur)
un homme vient m'ouvir, je penses que c'est fini mais quatres femmes m'attrape et m'attache les deus poignés à une corde suspendu par une poulie au plafond et tire dessus. Mes pieds ne touche plus le sol. Je hurle de douleur et l'homme met un petit tabouret.
Je serai encore humilier pendant toute la matinée et reçevrai des coups de fouet.
Lhotesse me dit, tu peux enfin commencer ton stage de moin que rien maintenant, donc tu peux reprendre ta place de vallet et tu dormira au pied de mon lit comme un bon toutou. Et ne demande plus jamais après tes vetements, tu n'en a plus et si tu essaye de cacher ton mini truc que tu as entre les jambe , tu retourne directement sur la table! c'est bien compris petite chose? oui . Oui qui Oui maitresse.
Très bien , et quand on a pas besoin de toi, tu te mets contre le mûr jambe écarter et mains sur la nuque
Oui maîtresse
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Salope Dévouée a posté un article.
Quotidien d'une Tradwife
Dévouée, docile, obéissante, dépendante, se donner corps et âme et se montrer volontaire pour plaire à l'être supérieur, mon Maitre.
Toutes ces qualifications sont celles d'une esclave mais aussi celles d'une tradwife, après tant d'années de honte et de timidité me voilà en dressage et en éducation aux pieds de mon Maitre pour faire de mon Maitre mon Dieu, qui m'a donné confiance en moi pour être fière de ma condition de femme inférieur contrôlée et dirigée avec sévérité et bienveillance.
Dans cette société moderne il est difficile de définir la féminité et la place de la femme ainsi que son rôle, surtout depuis l'avancé du féminisme qui remet en causes les normes sociales.
Alors je m'en remet à mon Maitre pour être guidée, à travers ces désirs et ces attentes et à travers mes valeurs familiales traditionnelles pour savoir comment je dois me comporter en tant que femme.
Et en tant que tradwife le sens de ma vie est défini par l'amour et la dévotion que j'ai en vers mon Maitre, je me donne corps et âme pour lui plaire aussi bien dans mon comportement que mon apparence physique en étant sexy pour être l'objet de convoitise et de désir pour le plus grand plaisir de Maitre.
J'ai le devoir de me montrer attentionnée à travers chaque missions que j'ai à accomplir dans la journée.
Il rythme le quotidien à travers son organisation et ces désirs, et en tant que femme je me dois de lui apporter un confort, un soutien, en etant au petit soin en signe de reconnaissance et d'amour.
Il me guide à chaque instant pour faire évoluer la femme que je suis à travers des rituels, et me pousse à m'investir et me donner corps et âme dans chaque choses que j'entreprends.
Comme me faire belle et sexy pour lui préparer et lui servir un bon repas, le détendre après sa journée de travaille en lui apportant du réconfort et de la douceur autour d'un bon dîner ❤️
Comme lorsque que Maitre me donne de l'argent et me dit d'aller faire les boutiques pour le faire succomber au charme du corps féminin vêtu de dentelle et de satin.🫦
Et quand je m'apprête en robe moulante pour faire le ménage à quatres pattes au sol, une femme doit savoir tenir une maison, pour cela il n’y a pas de miracle, il faut frotter pour que ça brille.
Sous la direction et les ordres de mon Maitre je tiens un compte instagram ou je partage ma vie d'esclave et de tradwife au pieds de mon Maitre.
J'ai hâte de vous y retrouver 😘
tradwife.devouee
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Domination Féminine
Domination Féminine. 500 membres. Créer votre propre groupe pour vos pratiques BDSM favorites et rencontrez-vous !
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Bonjour Léa parce que vous pensez que c'est en étant éduqué sévèrement que l'on devient féminine ?
@Lea : vous vous affichez comme trans, en couple, et désirez être "encore plus féminine"...
N'auriez-vous pas confondu avec travesti ?
Et donc vous aimeriez être guidé dans votre féminisation ?
Une personne transgenre se sent en général dans le genre vers lequel elle a choisi de transiter par rapport à son état civil d'origine.
Hestia67 a posté un article.
C’est ainsi qu’à la fin août l’an dernier (7 ans quasiment jour pour jour après notre rencontre), mon petit message est arrivé dans sa boite.
Je voulais simplement avoir de ses nouvelles, voir s’il allait bien ; rien de plus, car à cette époque, je venais de rencontrer quelqu’un et j’étais très bien dans ma vie.
Il m’a répondu quelques jours après, très heureux d’avoir de mes nouvelles.
Nous avons ainsi discuté par écrit pendant un peu plus d’un mois de nos vies respectives, de notre relation passée, de cette complicité si belle et absolue que nous avions tous les deux. Il en parlait avec beaucoup de nostalgie parce que, comme il l’a souligné, c’était vraiment magique ! Il m’a même avoué qu’il n’avait ressenti ce feeling, cet abandon, ce partage, cette grande intimité qu’avec moi et que ça lui manquait beaucoup.
Et contrairement à nos échanges passés, qui étaient principalement basés sur notre relation Maître/soumise, j’ai appris à découvrir l’homme : j’ai découvert ses passions, mais aussi ses fragilités, qu’il s’efforce de cacher non pas pour ne pas paraitre moins fort, mais pour tenir face aux aléas de la vie. J’éprouve aujourd’hui une grande tendresse pour cet homme.
A force d’échanges, l’envie de nous revoir s’est faite de plus en plus forte, toujours sans arrières pensées puisque j’étais en couple (et même s’il me taquinait beaucoup).
Nous avons ainsi décidé de nous revoir, en amis, début octobre lors d’une soirée au restaurant. Nous étions très impatients !
Bon ou mauvais karma, la veille de notre rendez-vous, j’ai rompu avec mon compagnon. Je m’étais rendue compte que nous n’étions vraiment pas compatibles et ai préféré partir plutôt que d’essayer de continuer en sachant que cette relation était vouée à l’échec tôt ou tard… J’étais amoureuse et cette décision m’a rendue, bien évidemment, malheureuse, même si elle était nécessaire à mon bien être futur.
Mon Maître a été très triste de l’apprendre mais nous avons décidé de nous voir quand même car j’avais besoin de me changer les idées.
Nous avons passé une très belle soirée tous les deux, à parler de nos vies, de nous, d’un tas de choses ! Il était toujours aussi beau, voire encore plus, avec ses cheveux grisonnants et ses yeux toujours aussi bleus et magnétiques! Et il m’a trouvée aussi craquante qu’autrefois.
Après cette jolie soirée, nous avons continué à échanger par écrit, et bien sûr, nos conversations ont commencé à dériver vers le sexe. Je lui ai expliqué que pour moi, le bdsm c’était terminé, que je ne pensais pas avoir envie de m’y remettre.
Soit. Nous pouvions toujours nous voir pour du sexe vanille « amélioré ».
Et c’est tout naturellement que fin novembre, il est venu chez moi. Nos corps se sont retrouvés et ce fut… très bon, très chaud. Je lui ai remis ce soir là un double des clés de mon appartement et il est revenu très tôt le matin pour me réveiller alors que je dormais. C’était un scénario que nous nous avions prévu de réaliser car lui comme moi aimons ce genre de jeux.
Les jours suivants, nous avons recommencé à parler bdsm… J’avais tout de même l’envie d’essayer à nouveau, voir si j’en avais effectivement terminé avec cette période de ma vie ou si la soumission faisant vraiment partie de moi.
Je lui ai donc dit qu’il faudrait y aller doucement, car en 7 ans, j’avais beaucoup perdu et que la douleur, le lâcher prise, l’abandon total, me faisaient un peu peur…
Il y avait fort longtemps que j’avais envie de tester une love room axée sur le bdsm dans notre région et j’avoue que ce fut une excellente chose que j’ai soumise à mon Maître, très très enthousiaste à cette idée lui aussi !
Nous l’avons ainsi découverte début décembre. Très beau lieu d’ailleurs, aussi bien pour la découverte que pour des personnes averties : ambiance rouge et tamisée, fauteuil tantra, balançoire, attaches et autres menottes, cravache, fouet, croix de Saint André ! J’avais toujours rêvé d’en tester une sans jamais en avoir l’occasion ! Le bonheur.
Nous avons passé une merveilleuse soirée à nous retrouver dans nos jeux d’antan ; certes plus softs afin que je redécouvre doucement, mais sûrement, toutes ces sensations oubliées et j’ai ainsi pu voir que oui, je suis une soumise dans l’âme, ce dont mon Maître d’ailleurs a toujours été convaincu.
Quel véritable bonheur de se retrouver ainsi, de retrouver cette connivence, cette envie, cette totale confiance !
Notre relation Maître/soumise a ainsi redémarré et nous avons décidé d’une première vraie séance chez moi la semaine suivante. Avec un scénario dont j’avais envie depuis longtemps (mais qui me gêne car dans la réalité, c’est quelque chose d’innommable – et pourtant, le fantasme d’un grand nombre de femmes) : être prise de force par un inconnu.
Ce fut comme je l’imaginais : intense et terriblement excitant !
Nous nous voyons depuis très régulièrement, à raison d’une fois par semaine au minimum.
Je (re)commence à me dépasser, petit à petit. A redécouvrir le lâcher prise, le plaisir dans la douleur, la satisfaction de mon Maître à me voir ainsi totalement abandonnée… Sa fierté.
Après une petite semaine de brouille (car on ne se refait pas, j’ai recommencé à avoir le béguin pour lui), il m’a laissée réfléchir à mes envies, à mes attentes, à mon rapport à lui et à notre relation et j’ai retrouvé la sérénité et l’envie d’aller loin, très loin avec lui : être totalement sienne, qu’il m’éduque, qu’il m’élève et qu’une fois prête, que nous fassions tout ce dont nous avions rêvé auparavant mais que nous n’avions pas eu le temps de faire : qu’il m’exhibe en soirée privée ou en club, qu’il me regarde me faire baiser par d’autres hommes, qu’il me prête à d’autres dominants… Nous avons un tas de projets !
Nous avons signé le contrat qui nous lie il y a très peu de temps. Un contrat à durée déterminée de 3 mois, car évidemment, mon Maître se méfie et attend de voir si ma tolérance à ses travers, comme il les nomme, est solide ou non. Ce contrat pourra également être dénoncé par moi-même si je rencontre à nouveau l’amour.
Combiner les deux aurait été idéal mais…
Aujourd’hui, j’oscille entre le désir d’être à nouveau heureuse affectivement et amoureusement avec un homme, et celui de continuer à m’élever dans ma soumission grâce à mon Maître en qui j’ai entièrement et absolument confiance.
Le destin choisira sans doute pour moi.
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