@Vergne
Je ne vais étaler pas mes pratiques ici surtout que j'ai déjà abordé le sujet.
Pour la restriction d'air le mieux et l'usage d'un masque à gaz avec restriction par obturation.
Cela demande un minimum d'investissement.
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Bonjour Vergne,
Je pratique le breathplay. Que voulez vous savoir ?
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mon souhait est un soumis qui sera motivé par autre chose que son excitation primaire et l'aspect fantasmé du bdsm
que tu sois novice ou expérimenté tu répondras aux pratiques que j'aime, et l'endurance fera partie de ton éducation .:.
_Ogmios_ a répondu à la discussion "Place du désir et du plaisir sexuels du ou de la soum" de ange de Vesper.
Vous n'êtes pas la seule mais les autres sont des lecteurs silencieux. Votre question apporte un éclaircissement pour certain(e)s j'en suis sur.
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Je reprends ici l'essentiel de votre cheminement. Un concept simple est que "lorsqu'on a un doute on ne fait pas". La confiance se retire plus facilement qu'elle ne se donne. Aussi on peut accorder sa confiance à quelqu'un, en l'espèce un ou une Dominant(e) (mais on peut avoir la même réflexion pour un ou une soumise) comme s'il s'agît d'un contrat moral entre deux personnes. Et comme tout contrat la moindre défaillance peut, soit faire capoter l'affaire, rompre le lien, soit être à l'origine de nouvelles négociations. Ainsi le consentement et la vérification du consentement dans l'action est cette négociation qui peut intervenir à tout moment et permettre de relancer ou réorienter la relation, d'en écrire les nouveaux contours, surtout d'en définir les "limites". Cependant, l'émergence successives de multiples défaillances ou de rappels répétés sur les éléments de négociation (en particulier le consentement) ou sur les limites mène à des doutes sur la sincérité du contrat avec son partenaire et ne peut mener qu'à mettre un terme définitif à la relation. Le nombre de défaillance est à l'appréciation de chacun et peut malheureusement être ignoré lorsque les sentiments s'en mèlent par exemple. Dans "le" mon milieu BDSM, la multiplicité de défaillances peut également nuire à la réputation et à la fiabilité du Dominant ou de la Dominante comme du ou de la soumis(e). Ainsi un contrôle existe, un vetting sur cette réputation (un tel a des comportements dangereux, etc..), sur sa fiabilité (son jeu n'est pas encore maîtrisé, c'est un ou une novice..). C'est une information importante échangée, une "garantie" lorsque l'on confit son corps et son esprit à quelqu'un; ce qui n'existe pas quand on rencontre dans le privée ou dans l'intimité à l'abri des regards ou encore au travers des réseaux sociaux, seul(e)s avec nos propres doutes.
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@Maître SADE vous vous trompez, je ne parlais pas de sites commerciaux. Ils s'agissaient de forums personnels et de sites contributifs bdsm gratuit. Ils ont fermé car les fournisseurs d'accès ne voulaient pas avoir ce genre de site sur leurs pages (une sorte de censure commerciale).
Je vais également vous contredire sur votre vision, si vous n'arrivez pas à identifier un monde particulier alternatif, avec des protocoles précis et une culture (ou contre-culture) underground qui en découle, souvent copiée pour son expression outrancière à notre monde fade et malade, c'est que vous ne sortez pas assez. Ensuite quoique vous en dites, cette communauté reste opaque et fermée pour les non-initiés donc c'est un "milieu" indépendant. D'ailleurs souvent les personnes extérieurs nous comparent à une secte avec ses gouroux et ses personnes victimes de manipulation mentale. J'ai eu régulièrement des discussions sur ce sujet. Le sadisme sexuel effraye la population générale autant qu’il la fascine et rappelons que dans son ensemble le sado-masochisme vient tout juste de quitter la liste des paraphilies dangereuses. Bref...
Pour revenir au sujet, ma seule remarque est que BDSM.fr ne se penche peut être pas assez sur cette culture et porte plutôt sa préférence pour les photos lêchées et les écrits fantasmés. Je me rapproche de votre observation @Neilerio .
Mais je ne suis pas ici pour jeter l'opprobe ou porter des conclusions attives. Je reconnais le mérite des créateurs de BDSM.fr qui ont réalisé un site qui tient la route depuis plusieurs années (cocorico il est français) et qui ne manque pas de contenus si on cherche au bon endroit. D'ailleurs, Il est tout à fait possible que, à terme, pour des raisons réglementaires intra-européennes il détrône fetlife s'il accorde plus de place à d'autres opinions et d'autres visions du bdsm ou en ce qui me concerne personnellement du SM.
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Bonjour,
J'utilise fetlife de manière régulière afin de rester en contact avec des amis et partenaires. Ces personnes ont été rencontrées ailleurs et dans le réel, et bdsm.fr n'y est jamais proposé comme moyen de communiquer (à mes yeux et pour beaucoup, le site est "désynchronisé" du milieu). Fetlife est le site le plus utilisé dans le milieu bdsm. Il offre de diffuser très rapidement des événements, des invitations et de consulter ceux proposés. Il permet de parler, d'échanger et de publier des projets (hors sang pour les images public puisqu'il s'agît d'une des rares limites de ce site). Une version copiée européenne existe..pour l'Europe du Nord, il s'agît de Fetopia. Et vous découvrirez si vous y faites un tour une sérieuse différence sur les termes et la réglementation. D'ailleurs, il est important de préciser que plusieurs sites et forums bdsm ferment petit à petit car moins attractifs et les auditeurs rejoignent fetlife et plus rarement bdsm.fr
Vous avez peut -être raison sur le coté élitiste de Fetlife. Mais le public, par lui-même, est totalement différent,
Enfin il est important de signaler que contrairement à fetlife, les bots des moteurs de recherche (et bientôt l'IA) peuvent accéder aux textes publiés ici.
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_Ogmios_ a répondu à la discussion "Place du désir et du plaisir sexuels du ou de la soum" de ange de Vesper.
Bonsoir,
J'interviens uniquement pour répondre aux propos de @Silla : "Le bdsm non sexualisé, faudrait m'expliquer ce qui est mis derrière ça".
Je suis sadomasochiste dans le sens strict du terme. Je suis SM avant d'être bdsm. Et ma paraphilie : "éprouver du plaisir dans la douleur en qualité de donneur ou de receveur" ne demande aucune pratique sexualisée ni aucun acte génital pour que j'obtienne mon plaisir. Je suis excité à la fois par le produit des sensations, de l'impact ou d'autres stimulations physiques ou mentales, par l'abandon de mon ou ma partenaire et/ou la détermination de ma Reine. Les jeux sont tels que je rejoins rapidement un état de subspace ou de surexcitation lorsque je suis Top et lorsque nous agissons en dyade cette excitation est décuplée. Voilà, il n'y a aucune référence sexuelle dans mon SM. Je le pratique avec différents partenaires sans distinction de genre. Lorsque je fais du sexe d'une manière très très épicée, j'obtiens plus de satisfaction lorsque l'acte frôle ma paraphilie que dans le plaisir du coït lui-même. Alors le sexe vanille "beurk" très peu pour moi.
Voilà, j'espère avoir répondu à votre interrogation.
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Bonsoir @Curious,
Je pratique le breathplay avec des partenaires que je connais très très bien. C'est une pratique que je réalise principalement à la main pour des raisons de spontanéité et cela nécessite donc un contact intime. J'ai pratiqué auparavant des strangulations mais sans pour autant obtenir les mêmes satisfactions. Et sa dangerosité potentiel affectait le jeu. On peut maitriser son geste mais pas maitriser la réaction de l'autre.
Pour en revenir à mon "jeu de respiration", son but est principalement de créer la peur et un sentiment de dépendance ne serait-ce que pour respirer de la part de son Dominant(e) ou Top. En aucun cas la finalité est de rendre insconciente la personne ou d'agir au-delà de règle basique de sécurité pouvant provoquer des séquelles psychologiques ou physiques.
Ce jeu ne peut pas se pratiquer sans connaissance préalable de la condition physique et morale de son ou sa partenaire. Il faut être certain de sa capacité immédiate à rompre le jeu. Et il serait dangereux que cette capacité de réponse soit altérée par l'usage de substances ou d'alcools.
Il faut commencer petit et progresser selon la réceptivité de l'autre. Certaines personnes retrouvent le coté cotonneux du lacher-prise tandis que d'autres moins receptifs captent l'excitation de l'instinct de survie.
Le meilleur détecteur de situation dans cette pratique est pour moi au travers du regard mais d'autres capteurs sont possibles, le main à main est très intéressant.
La proximité est excitante dans cette pratique : contraindre tout en maintenant un contrôle respiratoire, mais on peut également prendre une distance par la pratique de "l'ensachage" et jouer sur le volume disponible. Attention à la saturation de CO2.
Enfin l'usage du masque à gaz est très intéressant et permet par différents dispositifs de gérer la respiration sur son volume, sa régulation...
En ce qui concerne les principes génériques je suis d'accord avec vous @Ekho
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_Ogmios_ a répondu à la discussion "Quand le BDSM devient un prétexte au manque de respect" de soumise_.
Chère @melyara,
Vos propos sont une évidence.
J'attire toutefois votre attention sur ce terme "– jouer au "Dom" un jour et se poser en "soumis" le lendemain, selon l’humeur,". J'ose espérer que ces propos n'intègrent pas les personnalités réellement "switch" ou assimilées dans le milieu et, qui n'ont aucune appétance à la sexualisation ni à la manipulation de leurs partenaires.
En ce qui concerne le phénomène des Dom ghost. Cette situation n'existe que sur les rencontres au hasard des réseaux sociaux virtuels. Car dans la réalité de la scène, les Dominants ont une réputation à tenir et si elle est entâchée par plusieurs événements distincts. Ils sont exclus des événements publics (quoiqu'on en dise, la communauté se protège). Pour ma part, je porte une grande attention à ce que je vois mais je reste plus circonspect en ce qui concerne ce que j'entend (le bouche à oreille) et ce que je lis (sur les réseaux sociaux) même si j'accorde une grande importance aux victimes de dérives et d'abus.
Et c'est dans ce même cheminement que je vais vous préciser autre chose, pour moi et c'est mon point de vue, un Dom ou une Domina n'existe et ne peuvent prétendre à ces titres "à mes yeux" qu'à partir du moment où j'ai vu leur activité dans des événements et la sincérité perceptible de leurs jeux. Il en est de même de la soumission.
Merci pour votre attention.
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Le gravier c'est intéressant et ça se trouve partout sauf à la maison. Ha deg..
Heureusement, on peut piquer les Legos des mômes, voir balancer du riz de la cuisine et si on part dans l'extrème du garage : des copeaux de bois, des boulons et des écrous. C'est très désagréable et dans la discipline il ne faut jamais se limiter.
Mais c'est encore plus jouissif si au lieu de s'épuiser à faire du sexe en s'abaissant au sol... ah quel horreur.
On invite plutot la soumise à se tenir à genou sur ce gravier, lego, riz et autres objets pour réaliser la plus belle pipe de tout les temps. Elle ne se relève pas si elle n'a pas fini.
Un moment très agréable à partager avec votre soumise et si vous fatiguez, n'hésitez pas à vous appuyer sur elle. Si vous n'êtes pas fumeur demandez lui plutôt de tenir votre verre pendant que vous regardez la télévision. Vous la verrez se dandiner bizarrement. Il sera temps de lui demander de se relever avec ses jolis genoux tout rougis. Il sera temps de lui faire un bon calin.
PS : je ne conseille pas le fist au lego, j'ignore encore où sont passées certaines briques, ni les écrous d'ailleurs..
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Otez moi d'un doute.
Bien au-delà du fist fucking qui est simplement un poing dans un cul donc pas très compliqué pour comprendre que plus c'est étroit et plus ça pique. Et dans la vie il faut que ça glisse. sinon ça coince.
Je n'arrive pas à comprendre cette phrase : " j ai décidé en commun accord que ma maîtresse pratique sur ma personne un fist fucking".
Votre Maîtresse vous laisse l'opportunité de décidé des pratiques ?!?
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en sélection d'un nouvel esclave motivé pour se dépasser afin de me satisfaire toujours plus.
j'apprécie également de former et modeler un novice.
vénalité exclue / hygiène et discrétion assurées-exigées .:.
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