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loveboot

homme soumis. Vit à Île-de-France, France. 52 ans. est célibataire.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 15/08/21
Marianne est assise sur son canapé. Elle porte une robe légère. Ses pieds sont posés sur le dos nu de Sylvain qui se tient à 4 pattes entre le canapé et la table basse. Il ne porte qu’un collier autour de son cou accroché à une laisse qui pendouille ainsi qu’une cagoule en cuir avec fermeture éclaire au niveau de la bouche. Il porte également une cage de chasteté. Marianne consulte son téléphone tout en bougeant ses pieds, s’amusant à les glisser le long du corps de Sylvain. Elle le sait chatouilleux et s’amuse de ses réactions quand elle touche un point sensible. Il se contient comme il peut tandis qu’elle inspecte les surfaces de son corps en cherchant à le faire craquer. Il pousse des petits cris de panique et se contorsionne quand elle approche d’un point sensible, ce qui la pousse à explorer plus en détail cette région avec son pied. Sylvain se met à gémir sous les doigts de pied de Marianne qui arbore un sourire sadique. Sylvain tente de bouger son corps pour éviter les chatouilles en gémissant. - Non, non non dit-il - Comment ça « non » ? dit Marianne sévère mais amusée - C’est trop dur Maîtresse, répond-il Elle donne un coup de pied sur son flanc, ce qui le déstabilise et pousse son autre flanc contre la table basse. - Aie, dit Sylvain Elle pose vigoureusement son pied sur sa tête encagoulée et le pousse face contre sol. Il s’affale au sol et ne bouge plus. - Lève tes fesses, ordonne-t-elle en prenant sa cravache. Il lève doucement ses fesses tandis que son visage reste collé au sol sur le côté sous le pied de Marianne qui l’écrase de toutes ses forces. - Plus haut, ordonne-t-elle en donnant des petits coups de cravache sur ses cuisses. - Aie, aie, oui Maîtresse, dit-il en relevant ses fesses. - Bien, dit-elle en souriant. Elle fait passer la cravache sur ses fesses, puis sur son dos. Sa peau frémit au passage de la cravache. Il respire fort. Elle l’observe amusée. - Tu es bien ? lui demande-t-elle d’un ton sarcastique - Et bien ce n’est pas ma position préférée mais je m’en accommode Maîtresse, répond Sylvain Clac fait la cravache en contact de ses fesses. - Aie gémit-t-il - JE…dit Marianne en donnant un coup de cravache sur ses fesses. - JE…répète Sylvain - NE… clac - NE…. - GEMIRAI…clac ….PAS…clac…EN…clac…PRESENCE…clac…DE…clac….MA…clac…MAITRESSE…clac…ADOREE…clac - gémirai pas en présence de ma Maîtresse vénérée dit rapidement Sylvain. Elle donne un coup de cravache plus fort sur ses fesses. - AIEEEEEUUUU….Mais c’est pas juste Maîtresse, gémit Sylvain - Tu t’es trompé, dit Marianne en le fouettant à nouveau - AIEEUUUU, Non Maîtresse, j’ai répété ce que vous avez dit se défend Sylvain - Tu oses remettre en doute ce que je dis ? demande-t-elle - Euh….Non Maîtresse, murmure Sylvain Elle glisse sa main entre ses cuisses et attrape ses testicules. - Ouh la la, réagit Sylvain avec effroi. - Ca chatouille ? demande Marianne en souriant. - Oui…On peut dire ça Maîtresse, répond Sylvain. Elle serre un peu ses testicules dans sa main. - OH OH Pitié Maîtresse, crie-t-il - Alors tu disais ? Demande-t-elle avec douceur - Que je me suis trompé Maîtresse, répond Sylvain - Tu dis ça uniquement pour que je lâche tes boules, dit-elle - euh…oui Maîtresse, je l’avoue…J’ai peur pour mes boules, dit-il Marianne se met à rire. Puis elle s’arrête et regarde son visage collé au sol. Elle bouge son pied pour atteindre sa bouche. Sylvain tire la langue pour lécher la plante de son pied avec délicatesse. Elle le regarde en souriant puis elle prend la laisse et retire son pied. - Redresse toi. Mets toi à genoux, dit-elle en tirant sur la laisse. Sylvain se redresse et se met à genoux face à Marianne. Elle approche son visage du sien, pose ses main sur le cuir de sa cagoule, glisse ses doigts dans sa bouche. Sylvain lèche ses doigts et ne peut empêcher un râle de plaisir. Elle retire ses doigts. Ils se regardent dans les yeux. - J’ai dit « Maîtresse adorée » pas « Maîtresse vénérée », dit-elle Le regard de Sylvain montre qu’il réfléchit ce qui fait rire Marianne. - Oui vous avez raison Maîtresse, dit Sylvain. - Et ? demande-t-elle - Et bien, j’ai pris quelques libertés créatives Maîtresse, explique-t-il, car la vérité c’est que je vous vénère ce qui va bien au delà de l’adoration…. Elle l’écoute avec curiosité en tenant fermement la laisse. - Bien sûr Maîtresse c’est une interprétation personnelle et je suis prêt à argumenter… - En fait tu t’es trompé ? Demande-t-elle - ….Oui j’avoue Maîtresse, je me suis trompé, répond Sylvain - Et là tu tentes de te rattraper en me baratinant ? demande-t-elle - Euh…Oui Maîtresse c’est vrai, c’est du gros baratin. Elle sourit. - Tourne-toi, dit-elle en tirant sur la laisse. Il se retourne est s’assoit au sol entre les jambes de Marianne. Elle pose ses pieds sur ses cuisses et approche sa bouche de son oreille. - Sage..susurre-t-elle à son oreille Puis elle referme la fermeture au niveau de sa bouche et dépose ses lèvre sur le cuir de sa cagoule. Sylvain profite du moindre contact physique avec elle. Il reste silencieux. Puis elle prend la télécommande et allume la télévision. - Je vais regarder un épisode de la série que tu aimes tant, dit-elle avec sarcasme. - mmmmhmmhmmhmhm On peut voir l’effroi dans le regard de Sylvain. (à suivre)
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Par : le 17/06/19
Quelques minutes plus tard Angélique réapparaît dans sa tenue de cavalière, pantalon moulant noir, bottes hautes en cuir rouge à talons aiguilles, gants de cuir longs rouges également, chemisier blanc décolleté laissant entrevoir ses seins. Richard ouvre les yeux puis les écarquille devant une tenue si belle et sexy. Il ne peut empêcher une érection. Angélique fait claquer ses talons jusqu’au visage relevé de Richard qui ne bouge pas. Il se retrouve nez à nez avec les bottes dont il peut sentir le cuir. Son champ de vision est maintenant limité aux bottes d’Angélique. Elle lève son pied qu’elle pause sur la tête de Richard et la pousse vers le sol. - Allons, petite chose…Je te veux à terre. Richard tourne sa tête sur le côté et pose sa joue contre le sol sous la pression de la semelle d’Angélique. -Oui Madame Angélique appuie son talon contre la joue de Richard. - Dorénavant tu me nommeras Maîtresse petite chose. En ouvrant la bouche pour répondre, Richard permet à Angélique d’enfoncer encore plus son talon sur sa joue qui glisse entre ses dents et rend plus difficile le fait de parler. - Oui Maîtresse. Angélique sourit en l’entendant sa prononciation. - Que dis tu ? Je n’ai pas compris. Elle enfonce le talon un peu plus dans sa joue. Richard fournit un effort pour améliorer sa prononciation malgré le talon enfoncé dans sa joue. Il parle fort - Oui Maîtresse. Angélique retire son talon ce qui soulage Richard. Elle s’éloigne et revient avec sa cravache à la main. - A quatre patte. Richard obéit rapidement et se tient à quatre pattes devant Angélique. Elle s’approche et pose le bout de ses semelles sur ses mains posés au sol. Richard sent le poids des semelles sur ses mains. Il serre les dents. Sa tête se trouve maintenant entre les bottes d’Angélique. - Baisse la tête vers le sol et lève tes fesses petite chose. Richard se cambre comme il peut, élevant ses fesses le plus haut possible tout en rapprochant sa tête vers le sol. Angélique en profite pour appuyer plus fort sur ses mains, le faisant gémir de douleur. - Silence petite chose. Richard prend sur lui et arrête de gémir. Angélique sourit de satisfaction en voyant les efforts qu’il fait pour lui obéir. Elle lève sa cravache et lui donne un coup sec sur les fesses. Le corps de Richard a comme un spasme au moment du coup de cravache. Il pousse un petit cri qu’il renfrogne immédiatement. Angélique l’observe sans bouger. Puis elle retire ses semelles des mains de Richard et lui tourne autour lentement, faisant bruyamment claquer ses talons, agitant sa cravache en frôlant sa peau. - Qu’est ce qu’un bon soumis ? Richard réfléchit à la bonne réponse. - Un soumis obéissant Maîtresse. - Oui, mais encore ? - Il vénère sa Maîtresse - Très bien…Et ? - Il… Angélique brandit sa cravache. - Il est puni s’il fait une erreur Maîtresse. Angélique baisse sa cravache et s’arrête pour réfléchir. - Moui, c’est vrai aussi. - Merci Maîtresse Puis subitement elle brandit à nouveau la cravache et le frappe encore plus fort. Richard est surpris et sent ses fesses qui brulent. - Je suis désolé Maîtresse. - Pourquoi es-tu désolé ? - Ma réponse n’était pas satisfaisante Maîtresse. - Ai-je dit cela ? - Euh…Non Maîtresse, mais… Angélique donne un coup de cravache sur le dos de Richard qui serre les dents. - Tu penses à ma place petit chien ? - Non Maîtresse, je… Angélique le frappe encore fortement avec sa cravache. - Tu quoi ? - Je …je vous présente mes excuses Maîtresse. - Penses-tu mériter une punition ? Tandis que Richard réfléchit à sa réponse, Angélique le frappe à nouveau avec sa cravache. - Oui Maîtresse, je le mérite. - Hum, te voilà expert en domination donc. - Non Maîtresse, je… Angélique assène un nouveau coup de cravache sur le dos rougeoyant de Richard. - Que dis-tu ? Richard reprend son souffle. Angélique se pose en face de lui, ses bottes proches de son visage. - Je…Je vous fais confiance Maîtresse. Richard se sent à la fois excité et brulant. La proximité de son visage avec le cuir des bottes d’Angélique lui font oublier la douleur. Angélique s’amuse de cet état et en sourit. - Désires-tu lécher le cuir de mes bottes ? - Oui Maîtresse, répond Richard sans la moindre hésitation, ce qui fait rire Angélique. - Te voilà plus sûr de toi tout d’un coup. - Oui Maîtresse. - Mais pourtant tu as déjà passé des heures avec mes bottes et mes chaussures ce soir. - C’est différent quand vous les portez Maîtresse. - Ah oui ? Pourquoi cela ? Richard cherche un moyen d’exprimer sa réponse. Angélique, n’étant guère patiente, lui donne un coup de cravache. - Je préfère lécher vos bottes quand vous les portez Maîtresse. Elle lui donne un nouveau coup de cravache. - Je t’ai demandé pourquoi. - Parce que C’est vous Maîtresse. Parce que je vous aime et que vous êtes magnifique dans vos bottes. - Hum….Bon j’accepte cette réponse mais il faudra faire mieux par la suite. - Oui Maîtresse. - C’est tout ? - Je… Elle frappe à nouveau Richard avec sa cravache. - Je vous présente mes excuses Maîtresse. Je vous assure que je ferai mieux. - Oh. Contente de l’entendre. Elle lui donne un nouveau coup de cravache. Richard pousse un cri de douleur qu’il n’arrive pas à retenir. - Je suis désolé d’avoir crié Maîtresse. - Tu peux crier. Ce sont les gémissements qui me dérangent. - Merci Maîtresse. - A plat ventre. Richard s’écroule au sol avec délectation en poussant un soupir. Angélique s’éloigne un peu de lui et se tient devant lui, les jambes légèrement écartées. - Tu as mérité une petite friandise. Rampe jusqu’à moi et lèche mes bottes petit chien. - Oui Maîtresse. Richard redouble d’énergie pour ramper jusqu’à elle et se précipite pour lécher ses bottes avec passion. Angélique se met à rire devant une telle motivation. Elle lui donne un coup sur son visage avec sa botte. - Applique toi. Rappelles-toi que ce sont mes bottes que tu lèches sale chien. - Pardon Maîtresse. Je vous présente mes excuses. Je vais m’appliquer. Angélique fait claquer son talon au sol. - Au travail. Richard sort sa langue et l’applique avec force et délicatesse sur le cuir de la botte. Angélique l’observe avec attention en agitant sa cravache. - Je veux un résultat impeccable. Je ne plaisante pas. - Oui Maîtresse. Je saurai vous satisfaire. - Bien. Angélique en profite pour poser sa cravache et prendre son téléphone portable pour consulter ses messages. Elle se promène dans le salon tandis que Richard la suit tant bien que mal en tirant la langue. Elle le bouscule quand il est sur son chemin et n’hésite pas à la pousser d’un coup de talon. Finalement elle va s’installer sur le canapé et croise ses jambes et continue à utiliser son smartphone. Richard s’installe à genoux devant elle et reprend le travail avec application, s’assurant de n’oublier aucune zone de cuir de chaque botte. Au bout d’un moment, Angélique lâche son smartphone et regarde Richard qui termine la deuxième botte. Elle peut voir que son excitation est grande. - Bien, ça suffit. Richard s’arrête de lécher et se tient à genoux devant elle. Angélique regarde ses bottes pour juger le travail de richard puis elle le regarde en souriant. - Tu fais ça si bien petit chien. - Merci Maîtresse. Elle croise ses jambes et fait bouger sa jambe bottée devant Richard. - Approche. Richard s’avance tout en restant à genoux. - Encore. Dépêche toi, je n’aime pas attendre. Il s’avance, passant ses jambes par dessus la botte d’Angélique qui en profite pour remonter sa jambe et coller ainsi le cuir de sa botte sur les parties intimes de Richard. - Stop. C’est très bien comme ça. Richard retient son souffle en sentant la pression sur ses boules. Angélique le regarde fixement. - Regarde moi. Il lève les yeux vers elle et voit son regard déterminé qui l’impressionne. Elle sourit en poussant sa botte contre ses boules ce qui lui fait prendre une grande aspiration. - Tu me fais confiance ? - Oui Maîtresse….Je vous fais confiance. Elle caresse son sexe avec la pointe de sa botte ce qui ne manque pas de faire réagir Richard qui respire fort d’excitation. - chuuut, calme-toi, sois sage. - Oui Maîtresse - Tu m’appartiens maintenant Richard. - Oui Maîtresse. - Es-tu heureux ? - Oui Maîtresse, je suis comblé. - Bien. Elle retire sa jambe. - Viens ici, lui dit-elle en lui désignant le bord du canapé à côté de ses jambes. Richard s’approche et se tient à genoux à côtés des jambes d’Angélique. Elle glisse alors sa main dans ses cheveux et tire son visage pour le poser sur ses genoux. Elle caresse son visage, puis son dos encore brulant du fait des coups de cravache. Richard soupire de plaisir. - Je vous aime Maîtresse, dit-il à voix basse. - Je sais, dit-elle en le regardant avec douceur. FIN
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Par : le 14/04/19
Quelques heures plus tard, Angélique revient chez elle. Elle se dirige vers la chambre après avoir retiré son manteau et retrouve Richard en train de lécher une de ses bottes en cuir. - Richard, j’espère que vous n’avez pas nettoyé que mes bottes. Richard s’arrête et met un peu de temps avant de pouvoir parler car sa langue est gonflée par le léchage intensif. - Non Madame, j’ai fait toutes les chaussures. - Hum, toutes les chaussures en si peu de temps ? Je vais devoir vérifier votre travail. - Oui Madame. - Bien. En attendant faisons une pause. Suivez-moi. Richard commence à se lever. - Que faites-vous ? - Euh…Je me lève pour vous suivre Madame. - Restez à quatre pattes, Richard. - Oui Madame. Richard se met à quatre pattes et suit Angélique dans le salon. Angélique s’installe confortablement sur son canapé et attrape sa tablette numérique. Richard reste à quelques mètres et semble agité. Angélique le regarde. - Et bien Richard ? Au pied. - Madame ? - Oui ? - Puis-je aller aux toilettes ? Richard commence à avoir du mal à se retenir. Angélique le regarde en souriant. Elle n’avait pas pensé à cela et n’avait donné aucune consigne. Elle sourit en voyant que Richard avait préféré se retenir. - Vous ne pouvez pas vous retenir ? demande Angélique avec un sourire provocateur. - Cela devient difficile Madame. - Allez-y Richard. Vous me faites de la peine. Il se tourne rapidement puis s’arrête sans savoir où aller. - Au fond du couloir à gauche dit Angélique en riant. Richard se précipite à quatre pattes dans le couloir. Pendant ce temps, Angélique consulte l’enregistrement vidéo de la webcam qu’elle avait installée dans sa chambre. Elle regarde la vidéo en mode accéléré. Richard réapparaît soulagé et toujours à quatre pattes. Il s’approche des jambes d’Angélique. - Tenez-vous sur le côté que je puisse poser mes jambes sur vous. Il se positionne à quatre pattes devant Angélique, offrant son dos pour qu’elle puisse y poser ses jambes. Elle pose sa jambe gauche sur son dos et la pointe de son talon droit sur sa fesse en appuyant légèrement . Richard sent le talon aiguille s’enfoncer dans sa fesse. - Je suis en train de regarder votre prestation Richard. - Oui Madame. J’espère que vous êtes satisfaite. Angélique s’amuse avec son talon sur la fesse de Richard. - Vous avez bien travaillé. - Merci Madame. Angélique retire ses pieds et pose sa tablette. - Richard, dit-elle. Mettez-vous à genoux en face de moi. Il faut qu’on parle. Il obéit à cette demande et se retrouve face à elle. Il ne peut s’empêcher de baisser les yeux. - Regardez-moi, dit-elle avec douceur. Il lève les yeux sur elle. - Que ressentez-vous ? - Ce que je ressens pour vous Madame ? - Oui, mais pas seulement. Dites moi ce que vous ressentez quand vous vous soumettez à moi. Richard semble hésiter. - Il n’y a pas de mauvaise réponse Richard. - Et bien, dit-il, J’ai de forts sentiments pour vous Madame. - Des sentiments d’amour ? - Oui. Je vous aime. Je pense tout le temps à vous. Je ne souhaite qu’une chose, passer du temps avec vous. - Et la soumission ? - C’est venu naturellement avec vous Madame….J’ai ces fantasmes depuis longtemps et comme vous le savez je suis également fétichiste. Mais vous êtes la première femme avec laquelle la soumission me semble naturelle. Je me sens moi même avec vous Madame.  - J’apprécie votre honnêteté Richard et je ne peux que constater la sincérité dans votre soumission…Tout cela est nouveau pour moi. Mais comme pour vous, cela me semble naturelle. - J’en suis heureux Madame. - Mais vous devez être conscient que ce que je ressens pour vous n’est pas de l’amour. Je ne souhaite pas vous induire en erreur. Nous ne formerons pas un couple. - Je comprends Madame. - Alors dites-moi ce que vous espérez. Richard réfléchit. - J’espère avoir votre autorisation de vous aimer à la folie Madame. Je rêve d’avoir le privilège de vous vénérer, de vous servir, d’être à votre entière disposition….de vous appartenir Madame. - Sans rien demander en retour ? - Je ne souhaite que vous satisfaire Madame. - Même si ce n’est pas de l’amour, je ressens quelque chose pour vous Richard….Je veux que vous m’obéissiez, que vous me vénériez, que vous subissiez mes humeurs et mes désirs de vous malmener. Je veux vous dresser, vous enchaîner, vous enfermer, vous contrôler. - Je ne demande que cela Madame. - Je vous crois Richard… Angélique s’approche de Richard et pose délicatement sa main sur sa joue. Son visage est proche du sien, elle le regarde dans les yeux. - Je serai parfois impitoyable, parfois douce…Et vous devrez me vénérer tout le temps….Je veux être votre obsession, celle sans qui la vie n’a pas de sens. Je veux votre amour inconditionnel, votre dévouement total… - Je vous aime Madame. Angélique approche son visage et embrasse Richard qui ne peut retenir un gémissement de plaisir. Puis elle glisse sa main dans ses cheveux et tire doucement la tête de Richard vers le bas. - A mes pieds maintenant…ma petite chose. Richard s’allonge aux pieds d’Angélique, il ferme les yeux et savoure cet instant. Angélique pose son pied sur le dos de Richard et se lève. - Sage… Elle se dirige vers la chambre. Richard entend ses talons claquer tel une douce mélodie. Il reste immobile, les yeux fermés.
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Par : le 05/03/19
Richard a voulu faire les choses bien ce soir. Il a repassé son seul costume avant de s’en revêtir. Auparavant il avait bien entendu pris une douche minutieuse et s’était rasé de près. Il est sorti pour acheter un bouquet de roses et une bouteille de champagne qu’il a pris soin de mettre au frais jusqu’au moment de son départ. Il est parti tôt car il voulait être sûr de ne pas être en retard. Allez savoir ce qu’il peut se passer sur un banal trajet de nos jours. Tout peut arriver, un orage, un carambolage, un bouchon. Pas question de prendre le moindre risque. D’ailleurs il était un peu inquiet. Excité aussi bien sûr. Comment ne pas l’être ? Cette femme si belle, si élégante, si sûre d’elle. Il voulait tout lui donner, il voulait se donner à elle. Cette rencontre était comme un rêve pour Richard. Toute sa vie il avait fantasmé sur une telle femme, et voilà qu’elle se présentait devant lui et qu’elle avait baissé son regard vers lui, alors qu’elle aurait pu l’ignorer totalement, le dédaigner même. Mais non. Pas Madame Angélique. Elle n’était pas comme les autres femmes qu’il pouvait croiser dans le cadre de son travail. Ces femmes qui faisaient comme s’il n’existait pas. Pour Angélique, il existait et c’était déjà beaucoup pour Richard. C’est à 19h27 qu’il arrive devant l’immeuble où habite Angélique. - Bon, se dit-il, je ne suis pas en retard. Mais pas question d’arriver en avance non plus. Il décide donc d’attendre de l’autre côté de la rue. - Que va-t-elle me faire ? se demande-t-il en surveillant l’heure. Après les événements de ce jour, Richard a toutes sortes de pensées qui se bousculent dans sa tête. Angélique avait pris le contrôle sur lui et il avait adoré cela. Mais qu’avait-elle ressenti ? C’est en regardant sa montre pour la cinquième fois que Richard réalise avec effroi qu’elle affiche 19h35 ce qui confirme que le temps est relatif. Cette attente est déjà une torture pour lui. Il ne pense qu’à une seule chose, la retrouver, le plus vite possible. Il se décide donc à marcher un peu afin de compenser un peu la tension et essayer de se détendre. Ce n’est pas pratique de se promener avec un bouquet de roses et une bouteille de champagne dans les mains. Mais c’est toujours mieux que de rester planter devant la porte comme un idiot. C’est en passant devant une vitrine d’un magasin que Richard constate de quoi il a l’air dans son vieux costume avec sa bouteille et ses roses à la main. C’est dans ses moments là que l’on réalise qu’il est nécessaire d’avoir un grand miroir chez soi afin de pouvoir évaluer son allure avant de sortir. Richard n’a pas ce type de miroir et constate avec horreur que son vieux costume ne le met pas vraiment en valeur. Il se regarde, dépité, dans la vitrine. - J’ai l’air d’un plouc, dit-il à haute voix, faisant sourire les passants qui peuvent l’entendre. Ne pouvant se prendre la tête dans ses mains, il se contente de laisser tomber sa tête en avant et pousse un long soupir. Puis il réalise que cela fait un moment qu’il n’a pas vérifié l’heure. Il est 19h52 sur sa montre et c’est pris de panique qu’il se met à courir vers l’entrée de l’immeuble d’Angélique. Ce serait un comble d’arriver en retard. - Nom de dieu de nom de dieu, dit-il en courant Finalement, il arrive quelques minutes avant l’heure fatidique, un peu essoufflé mais soulagé. Angélique est chez elle. Elle porte une robe de soirée courte, des bas et des escarpins en cuir verni avec talons aiguilles. Elle termine son maquillage au moment où l’interphone sonne. Elle regarde sa montre. Il est 20h. Elle sourit et se dirige vers l’interphone qu’elle décroche. - Oui ?….cinquième étage à droite, dit-elle. Elle raccroche l’interphone et entrouvre la porte, puis retourne dans la salle de bain pour se mettre du parfum. Richard arrive et frappe doucement à la porte. Angélique sort de la salle de bain. - Entrez Richard, dit-elle. Richard pénètre dans l’appartement comme s’il s’agissait d’un lieu sacrée. Il prend soin de refermer la porte derrière lui et se présente face à Angélique avec sa bouteille et ses fleurs. Il ne peut cacher le fait d’être impressionné par la tenue d’Angélique. Elle l’observe et se met à rire. - Mon dieu Richard, dit-elle en riant, mais qu’est ce que c’est que cet accoutrement. Richard, honteux baisse les yeux pour se regarder. - Je suis désolé Madame, dit-il. C’est le seul costume que j’ai. - Mais enfin Richard, il est clair que ce costume est bon à jeter, dit-elle. Quelle idée de mettre ce vieux costume. Vous n’avez pas besoin d’être en costume. Essayez simplement de ne pas avoir l’air ridicule Richard. - Oui Madame, dit Richard toujours honteux. Je vous présente mes excuses. - Bon, dit Angélique. Nous verrons cela un autre jour. De toutes façons je vous veux totalement nu. - Oui Madame, dit Richard. Richard tend le bouquet de roses à Angélique. Elle sourit en prenant le bouquet. - C’est adorable Richard, dit-elle. Elles sont très belles. Vous pouvez mettre la bouteille au frais dans la cuisine. Angélique lui montre la direction et dépose les fleurs sur la table du salon pendant que Richard range la bouteille. Il revient rapidement et commence à se déshabiller. Angélique observe la manoeuvre avec attention avec un léger sourire. Rapidement, Richard se retrouve nu devant Angélique. Il ne peut s’empêcher de cacher son excitation et n’ose pas la regarder. - Richard ? lui dit-elle - Oui Madame ? répond-il en levant les yeux sur elle. - Pourquoi êtes-vous encore debout ? - Euh… Richard s’agenouille rapidement, fixant les pieds d’Angélique. Il la voit se déplacer et passer derrière lui. Les claquements de ses talons résonnent comme une symphonie à ses oreilles. Il sent la semelle d’Angélique sur son dos, le talon aiguille sur sa peau. Elle le pousse vers l’avant. - A quatre pattes Richard, dit-elle. Richard pose ses mains au sol et se tient à quatre pattes. Elle repasse devant lui, frôlant son corps au passage avec ses jambes recouverts de bas ce qui le fait frissonner d’excitation. Elle continue d’avancer vers la chambre puis s’arrête. Richard ne bouge pas. - Aux pieds! ordonne-t-elle Richard se précipite à quatre pattes vers Angélique qui reprend son chemin vers la chambre. En entrant dans la chambre, Richard regarde autour de lui et constate que la décoration est comme le reste de l’appartement, moderne et aérée. Il remarque la grande armoire et le grand miroir et se dit que c’est ce genre de miroir qu’il devrait se procurer pour éviter de sortir de chez lui habillé comme un plouc. Angélique ouvre les portes de l’armoire et révèle un dressing bien fourni notamment en chaussures, bottes, bottines et cuissardes. Richard remarque aussi une boîte posée au sol. - Bien, Richard, dit Angélique. Ce soir vous allez vous rendre utile et prendre du plaisir. Je vous confie mes chaussures. Vous allez le nettoyer, les cirer, leur donner l’éclat nécessaire à une femme comme moi. - Oui, Madame dit-Richard en regardant la quantité importante de chaussures dans le dressing. - Vous trouverez dans cette boîte… Angélique pointe la fameuse boîte posée au sol. - Tout le nécessaire pour faire du bon travail. Richard ouvre la boîte et y trouve du cirage, des brosses, des chiffons. - Bien Madame, dit-il. Angélique s’approche de Richard, ses jambes à quelques centimètres de son visage. - Cela ne vous fait pas plaisir ? demande-t-elle d’un ton sec - Si Madame, répond rapidement Richard. Je vous remercie pour cet honneur Madame. Angélique l’observe un moment. Richard qui a les yeux rivés au sol peut sentir son regard sévère sur lui. Il ne moufte pas. Il veut être là. - Bien, dit-elle. Je dois sortir ce soir. Je vous laisse donc ici et je m’attends à ce que tout soit terminé à mon retour. - Oui Madame, dit Richard choqué d’apprendre qu’il va se retrouver tout seul. Angélique sort un manteau et des gants de cuir de l’armoire. Elle se positionne devant le miroir pour se regarder et enfile le gants. - Commencez déjà par passer un coup de langue sur les chaussures que je porte, lui dit-elle. Et faites attention à limiter le léchage au cuir de mes chaussures et rien d’autre. - Oui Madame, dit Richard en se précipitant à ses pieds et prenant bien soin de lécher le cuir. Angélique observe la scène dans le miroir avec un sourire. Après avoir mis ses gants elle enfile son manteau et se regarde dans le miroir. - Comment me trouvez-vous Richard ? demande-t-elle Richard s’arrête de mécher et la regarde dans le miroir. - N’arrêtez pas de lécher Richard, dit-elle. Je vais être en retard à cause de vous. - Pardon Madame, dit Richard en reprenant le léchage. Vous êtes magnifique Madame. - Merci Richard, dit-elle. Bien. Cela suffira. Je dois y aller. Elle se dirige vers la porte de la chambre, s’arrête et se tourne vers Richard. - Oh j’y pense, dit-elle. J’ai installé une caméra pour vous filmer. Elle montre son smartphone. - Je pourrai suivre votre travail à tout moment, dit-elle. De plus, tout est enregistré. Vous me comprenez Richard ? - Oui Madame, répond-il. - Et bien sûr, poursuit-elle. Pas de cochonnerie. Tenez votre sexe tranquille. - Bien sûr Madame, dit-il. - J’y vais. A plus tard, dit-elle en partant. - Bonne soirée à vous Madame, dit-il tout penaud. Il entend Angélique refermer la porte derrière elle. Il regarde la quantité de chaussures, pousse un soupir, puis se ressaisit en pensant à la caméra qui le filme. Il se dit que la soirée va être longue. Heureusement l’appartement est plutôt bien chauffé. Richard constate que son sexe est revenu à sa position de repos. Il sélectionne une première paire de chaussures et commence le travail.
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Par : le 24/02/19
Le soir même, dans son lit, Richard ne peut s’empêcher de repenser à Angelique. Il se revoir frottant ses bottes et laisse son imagination prendre le dessus. Soudainement Angélique se fait plus dominante et stricte, lui ordonnant de lécher ses bottes. L’excitation de Richard monte tandis qu’il se caresse tout en fantasmant. Il ne peut retenir cette excitation et répand son foutre sous la couette. Après un moment nécessaire pour retrouver ses esprits, il soulève sa couette pour constater les dégâts et soupire. - Bien joué Richard, se dit-il Angélique est chez elle, installé sur son canapé, un verre de vin rouge à la main. Elle repense à Richard nettoyant ses bottes et ce qu’elle a ressenti. Elle se demande ce qu’elle est dans ces moments là. Elle se demande également ce qu’elle désire. Puis elle réalise que finalement, c’est surtout Richard qui a exprimé ses désirs. C’est lui qui a proposé de nettoyer ses bottes. Angélique quant à elle n’a fait que profiter de ses services. Est-ce que cela fait d’elle une dominatrice ? Est-ce vraiment elle qui mène le jeu ? Quelques jours plus tard, Angélique est de retour au club. Elle porte sa tenue de cavalière habituelle avec ses bottes à talons mais aussi des gants mi-longs en cuir de belle qualité. Après une promenade dans la forêt avec son cheval, Angélique rentrer calmement vers les box. Richard est bien sûr présent comme elle s’y attendait. Il prend en charge son cheval après l’avoir saluée et ne rate pas une occasion de jeter quelques coups d’oeil à ses bottes salies par la terre et la boue. Angélique en sourit de le voir ainsi vouloir cacher l’évidence mais aussi de voir sa gêne et la rougeur que cela provoque sur son visage. Richard retire la selle du cheval et forme le box. - Je vous accompagne jusqu’aux vestiaires madame. Sans dire un mot, Angélique tourne le talon et se dirige vers les vestiaires tandis que Richard la suit en portant ses affaires. Ils arrivent bientôt dans les vestiaires. Richard range les affaire d’Angélique et se tourne vers elle. - Madame. Désirez-vous que je nettoie vos bottes ? - Hum…je ne sais pas Richard. Je ne veux pas abuser, répond-elle - Pas du tout madame. Je le ferai avec plaisir. - Bien. Je suis pressé et je ne peux pas vous les laisser. Faisons cela maintenant. -Bien madame. Je vous attends dans l’atelier. Richard se dirige vers l’atelier. Angélique prend son sac et suit Richard. En voyant Angélique passer la porte de son atelier, Richard lui fait signe de s’installer sur le fauteuil. Il attend à genoux devant le fauteuil, l’escabeau posé entre ses cuisses. Angélique s’installe et pose sa semelle droite sur l’escabeau. Richard commence alors un minutieux nettoyage. Angélique soupire. Elle le regarde avec un sourire léger mais elle ressent un certain ennui. Cette séance de nettoyage de botte est certes plaisante mais cela devient répétitif à son goût. Elle souhaiterait aller plus loin mais n’ose pas. Paradoxalement, elle souhaiterait que Richard propose autre chose, lui demande de le dominer davantage. Mais à ce moment là, elle ne ferait que lui obéir. Au même moment Richard s’arrête et lève les yeux vers le visage d’Angélique. - Madame ? demande-t-il Elle ne s’attendait pas à cela et malgré elle, son oeil pétille à l’idée de ce qu’il va dire. - Oui Richard ? dit-elle en se redressant. - Et bien…J’aimerais savoir si vous désirez que je lèche vos bottes. Angélique reste un moment sans rien dire, ne sachant pas encore comment réagir à cette proposition. Richard est rouge d’excitation et n’ose pas parler. Il baisse les yeux pour éviter son regard. Angélique sentait monter la colère en elle. Ce n’était pas ce qu’elle voulait entendre. - Vous voulez lécher mes bottes Richard ? dit-elle froidement - Oui madame, répond-il, j’en serais honoré. Angélique se lève brusquement. - N’avez-vous donc pas honte ? demande-t-elle Richard est surpris par sa réaction. - Madame….je suis désolé… - Je ne suis donc qu’un objet sexuel que vous manipulez à votre guise ? Vous m’utilisez pour réaliser vos fantasmes. dit-elle avec fermeté. - Non madame…je… - Taisez-vous. Richard se tait et reste à genoux, la tête baissée, gêné de ce qui arrive. - Avez-vous pensé un seul instant à ce qui me ferait plaisir Richard ? Au lieu de ne penser qu’à vous et votre plaisir. Dit-elle avec assurance mais sans élever la voix. - Je suis désolé madame, répond inlassablement Richard. - De bien piètres excuses Richard, dit-elle. Etes-vous un homme ou un enfant ? - Je… - Vous lécherez mes bottes si j’en ai le désir et quand je le décide, dit-elle - Oui madame. - Et là tout de suite, mon plaisir est de vous voir tout nu, Richard. Elle le regarde tandis que Richard est toujours agenouillé et la tête baissée. Richard commence à se déshabiller, déposant ses vêtements retirés devant lui. Angélique se met à sourire et s’amuse à lui tourner autour. Richard se retrouve totalement nu à genoux, ses vêtements et ses bottes en caoutchouc posés au sol devant lui. Angélique repasse devant lui, donnant des coups de pieds dans ses vêtements. Elle se tient devant lui. - Et bien levez-vous Richard, dit-elle, que je puisse voir votre corps. Richard se lève doucement devant elle, gardant ses mains devant son sexe en érection. Angélique ne peut s’empêcher de savourer la situation. Elle sourit en regardant Richard. - Les mains derrière le dos, ordonne-t-elle. Richard s’exécute les yeux baissés et montre son sexe en érection. Angélique observe la plastique avantageuse de ce corps viril et musclé. Elle lui tourne autour, faisant claquer bruyamment ses talons au sol. En revenant devant lui elle remarque ses bottes en caoutchouc salis par la terre boueuse. - Oh Richard, dit-elle avec malice. Vous allez pouvoir réaliser votre fantasme. Regardez vos bottes toutes crottées. Richard regarde ses bottes sans rien dire. - Et bien Richard ? dit-elle. Qu’attendez-vous pour lécher ses bottes sales ? - Oui madame. Richard se met à quatre pattes devant les bottes et se met à les lécher. Pendant ce temps, Angélique pose sa semelle sur ses fesses. - Et bien Richard ? Où est votre gratitude ? demande-t-elle avec le sourire. - Je vous remercie madame, répond Richard tout en léchant la boue sur les bottes. - De quoi me remerciez-vous ? demande-t-elle. - De me faire lécher les bottes madame répond-il - Bien, dit-elle, en poussant son pied contre sa fesse. Au bout d’un moment, Angélique se lasse de le voir lécher la boue. - Arrêtez-vous Richard, ordonne-t-elle. Et mettez-vous à genoux. Richard obéit rapidement, soulagé de ne plus à avoir à lécher la boue. Son sexe est toujours en érection. Son visage exprime à la fois la honte et l’excitation. Angélique le regarde en souriant. Elle se tient sur son côté gauche. Il n’ose pas tourner la tête pour la regarder mais sent son regard sur lui. - Je veux que vous alliez au bout de votre fantasme Richard, lui dit-elle - Madame ? répond-il, se demandant ce qui l’attend. - Vous êtes si excitée Richard, dit-elle. Je ne peux pas vous laisser ainsi. Il faut vous libérer. - Madame…Je…. - Etes-vous stupide ? dit-elle avec sévérité. Masturbez-vous Richard. Et je veux voir votre semence jaillir sur vos bottes. - Euh…Oui madame, dit-il. Richard attrape son sexe avec sa main et commence à se caresser. Angélique passe derrière lui afin qu’il ne puisse pas la voir. Elle pose sa main gantée de cuir sur son épaule. Richard gémit en se caressant. Angélique lui parle d’une voix douce. - C’est bien Richard, dit-elle. Elle passe sa main sur son visage ce qui décuple l’excitation de Richard. Elle glisse sa main dans ses cheveux puis serre sa main pour agripper une touffe puis tire légèrement sa tête vers l’arrière. Elle colle ses jambes contre son dos, son pied contre sa fesse. Elle tire ses cheveux et pose l’autre main sur son épaule. Richard se met à jouir, éjaculant son sperme sur ses bottes et ses vêtements, poussant un râle de plaisir. Angélique le relâche, il retombe à quatre pattes. Elle se tient derrière lui, magnifique, les jambes écartées, souriante. Il respire fortement et tente de reprendre ses esprits. - Merci madame…. - Allez-vous me remercier en me montrant vos fesses Richard ? lui dit-elle amusée Richard se retourne précipitamment et se met à plat ventre devant elle, son visage à quelques centimètres de ses pieds bottés. - C’est mieux, dit-elle Richard se met à embrasser le sol. - Merci madame, dit-il. Je ferai tout pour répondre à vos désirs madame. - Hum…Nous verrons cela Richard, dit-elle Angélique sort une carte de visite de son sac et la jette au sol devant Richard. - Voici mon adresse, dit-elle. Présentez-vous à 20h….Et prenez une douche Richard. - Oui madame. Angélique sort de l’atelier en faisant claquer ses talons. Son pas est assuré. Richard reste allongé au sol.
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Par : le 02/01/16
Elle voit Christine en arrivant vers le box de son cheval. Christine la voit également et s’approche d’elle. - Bonjour Angélique. Comment vas-tu ? - Bonjour Christine, dit Angélique tout en préparant son cheval. Je vais très bien merci. Tout d’un coup, Christine pousse un cri d’admiration. - Oh mon Dieu les bottes, dit Christine. Angélique regarde sa nouvelle paire de botte. - Ah oui, dit Angélique souriante. Je les ai trouvé aujourd’hui. - Elles te vont à merveille, dit Christine. Et ces talons, quelle classe. - Merci, dit Angélique. - Où les as-tu achetées ? demande Christine. - Ah non, je ne te le dirai pas, répond Angélique. Angélique sort du box avec son cheval. - Allez, dis le moi, supplie Christine. - Non, dit Angélique en riant et en s’éloignant. Le sol est encore boueux aujourd’hui et en revenant de sa ballade, Angélique a pris soin de salir ses bottes. Comme une enfant capricieuse elle choisit les endroits les plus susceptibles de laisser de belles traces à nettoyer et c’est avec une certaine satisfaction qu’elle ramène son cheval au box puis se dirige vers l’accueil en espérant voir Richard. Curieusement, Richard apparaît dans son champ de vision à cet instant et se dirige vers elle pour la saluer. Angélique le regarde fixement et remarque que Richard n’a pas pu s’empêcher de regarder les bottes. - Bonjour Madame. - Bonjour Richard.Je vous remercie pour les bottes, elles sont magnifiques grâce à vous. - Je vous en prie Madame, c’était un plaisir… Je vois que vous avez de nouvelles bottes. - Oui en effet et elles sont déjà sales. Elles vous plaisent ? — Oui, elles sont très belles. Ils marchent côte à côte. Angélique sent l’hésitation de Richard. Il regarde le sol tout en marchant, elle sourit de son hésitation. - Si vous le désirez je peux nettoyer vos bottes propose Richard. Angélique bouillonne à l’intérieur et elle se dit qu’il faut tenter d’aller plus loin pour voir la réaction de Richard. - Oh c’est très gentil Richard, dit-elle, mais je voulais les porter ce soir pour sortir. Richard semble surpris par la réponse d’Angélique et semble à nouveau hésiter. - Alors je vous propose de le faire tout de suite si vous avez un peu de temps. Elle s’arrête et le regarde. - Vraiment ? demande-t-elle. Vous feriez ça pour moi ? - Oui bien sûr Madame. Vous êtes une cliente très appréciée. Belle réponse se dit-elle en souriant. - Mais je ne veux pas monopoliser votre temps, dit-elle. - Aucun problème; dit Richard. Ca ira vite. Venez avec moi dans l’atelier. J’y ai tout ce qu’il faut. Il fait signe de prendre la selle d’Angélique et elle le laisse la porter jusqu’au casier. Puis ils se dirigent vers une pièce un peu plus loin qui sert d’atelier. En entrant dans cette pièce, Angélique comprend que c’est un peu le refuge de Richard. Il lui fait signe de s’asseoir sur un fauteuil et pendant ce temps va chercher une boîte avec tout ce qu’il faut pour s’occuper des bottes. Il revient avec la boîte qui contient toutes sortes de brosses, chiffons et cirages. Il apporte également un petit escarbot qu’il pose devant les pieds d’Angélique. - Vous pouvez poser votre pied sur l’escabot dit Richard. Angélique pose sa semelle droite sur l’escabot et observe Richard qui s’agenouille devant elle et se met au travail. Il nettoie et frotte le cuir consciencieusement. Angélique prend plaisir à le regarder et sentir son travail sur sa botte. Richard n’ose pas regarder Angélique, il se concentre sur son travail et s’applique. Angélique sourit. - Vous avez de l’expérience. - Oui Madame, j’ai l’habitude. Elle bouge son pied pour voir sa réaction. Il ne réagit pas et s’adapte aux mouvements de son pied. - Si vous me permettez, dit alors Richard, je vais lever votre pied pour nettoyer les semelles. - Allez-y dit Angélique Richard attrape délicatement son pied et le lève et passe la brosse tout en le tenant par le talon pour qu’Angélique n’ai pas d’effort à faire. Cette position fait monter l’excitation d’Angélique et son imagination s’envole avec Richard qui embrasse sa semelle et elle qui pousse sa botte sur son visage. Puis Richard qui a fini de nettoyer la botte repose le pied d’Angélique au sol. - Nous allons passer à l’autre dit Richard. Angélique pose son pied gauche sur l’escabot et Richard commence le nettoyage. Il fait la même chose, soulevant le pied pour nettoyer la semelle puis le repose au sol. - Voilà Madame. J’espère ne pas avoir été trop long. - C’est très bien Richard. Angélique se lève rapidement pour se tenir debout devant Richard tandis qu’il est à genoux. Les jambes d’Angélique touchent presque le visage de Richard qui ne peut cacher son rougissement. Ce court instant où Richard semble soumis à elle provoque une sensation très plaisante à Angélique. Puis elle s’éloigne doucement en regardant ses bottes comme pour vérifier le travail de Richard. - J’ai un miroir, dit Richard. Vous pourrez mieux voir. il se lève et va chercher un miroir dans un tiroir. il arrive devant elle et s’agenouille pour poser le miroir au sol. Angélique n’en revient pas. C’est comme si Richard souhaitait s’agenouiller devant elle. Elle fait mine de regarder les bottes dans le miroir mais en réalité c’est Richard qu’elle regarde. il observe Angélique devant le miroir. Quand il croise son regard, Richard ne peut s’empêcher de baisser le regard. Angélique prend son temps et fait mine de regarder chaque détail de ses bottes pour s’assurer que tout est parfait. -Ah il me semble voir une trace sur le talon, dit soudain Angélique pour voir la réaction de Richard. Richard prend un chiffon et se dépêche de frotter le talon d’Angélique. - Je suis désolé, dit Richard. Je n’ai pas fait attention. - Je suis sûre que vous ferez mieux la prochaine fois Richard dit Angélique avec douceur. Richard se met à rougir et frotte énergiquement le talon d’Angélique qui sourit en le voyant réagir ainsi. Sa remarque était très audacieuse mais Angélique se sentait pousser des ailes à mesure qu’elle prenait l’ascendant sur lui. - Oui Madame, dit Richard. Je ferai plus attention. - Bien, dit-elle. Je dois y aller maintenant, je vais être en retard. A très bientôt Richard. Richard s’apprête à se relever. - Inutile de me raccompagner, dit alors Angélique et partant d’un pas sûr et rapide. Quand Richard est debout le miroir dans une main et le chiffon dans l’autre, Angélique est déjà partie. Il reste ainsi tout penaud et en même temps il ressent du plaisir. (à suivre)
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Par : le 29/12/15
En arrivant chez elle, Angélique décide de prendre un bain. C’est un bon moyen de se détendre et de réfléchir à ce qu’elle avait ressenti durant cette conversation avec Christine. Elle se met alors à imaginer toutes sortes de scènes, plus excitantes les unes que les autres. Richard est nu devant elle et à 4 pattes. Il nettoie ses bottes crottées avec sa langue. Elle glisse sa jambe entre ses jambes, le cuir de sa botte contre ses fesses. Elle tient en laisse par le collier attaché autour de son cou. Elle sort sa cravache et s’apprête à lui donner un coup sur le dos. Angélique se surprend à laisser aller son imagination ainsi. Elle ressent un plaisir nouveau pour elle. Heureusement, ce ne sont que des fantasmes. C’est ce qu’elle se dit en tout cas. Mais elle commence à se poser des questions. Elle connaît bien sûr ce monde BDSM ou D/s ou encore SM. Elle ne s’y était pas intéressé plus que cela, n’étant pas dans ce type de désir érotique. Elle connaissait le côté folklorique, les tenues de cuir, le latex, le vinyle. Elle avait également vu beaucoup de choses dans les sex-shop. Elle avait essayé plusieurs choses dans ce domaine et d’autres, comme soumise notamment mais de façon très soft et sous forme de jeu. Ce qu’elle ressentait en cet instant était autre chose qu’un simple jeu érotique. Le plaisir venait de la situation, de la position de chacun, Richard à sa botte et elle qui domine. C’était plus qu’un jeu. Ce qu’elle trouve si excitant c’est l’idée de cet homme qui s’offre à elle, la vénère comme une Déesse et s’épanouit en étant auprès d’elle à son service. Un homme qui lui permet d’être totalement elle même, sans code, sans barrière et sans contrainte. Le plaisir de cet homme est de la satisfaire, à tout prix. C’est troublant parce que c’est excitant et aussi parce que c’est interdit. Elle même se dit qu’elle n’accepte pas l’idée de la soumission d’un être envers un autre. Ce n’est pas dans ses principes. Et si l’autre le veut ? S’il veut se soumettre et que son bonheur en dépend ? L’amour c’est se donner à l’autre aussi. Ce type de relation est de l’amour, sous une forme différente. Le principe reste le même, seules les règles changent. Angélique se met à rire en imaginant que Richard entend ses pensées. Quelle tête il ferait le pauvre. Il faut que je me calme se dit-elle enfin en réalisant qu’elle rit toute seule dans sa salle de bain. Elle se regarde dans le miroir et sourit. Le lendemain, Angélique retourne au centre équestre pour monter son cheval. Elle se sent toujours troublé à l’idée de croiser Richard mais en même temps est excitée. Il a plu la nuit précédente et la sol est boueux. En rentrant vers l’accueil après avoir remis son cheval au box et tenant la selle dans ses mains, Angélique croise Richard. Il s’arrête devant elle et la salue. - Bonjour Madame. Vous revenez de promenade je suppose. - Bonjour Richard, dit-elle. Oui et cette boue n’est pas des plus agréable. - Oui en effet Madame. Elle le regarde dans les yeux et Richard finit par diriger son regard ailleurs. Angélique sourit. - Madame, laissez-moi vous aider avec votre selle si vous le permettez. - C’est très gentil à vous Richard. Richard prend la selle et l’accompagne à l’accueil. Angélique marche devant d’un pas assurée. - Regardez-moi ça! dit-elle en montrant ses bottes pleines de boue. - Elles nécessitent un bon nettoyage, dit Richard. - Oui, dit Angélique en soupirant. Dans sa tête, Angélique se délecte de ce moment. Elle sent le désir de Richard et lui offre des opportunités de la servir qu’il semble prendre avec plaisir. Elle se demande s’il va proposer quelque chose suite à son allusion à ses bottes. Et elle n’a pas à attendre longtemps. - J’ai tout ce qu’il faut pour l’entretien Madame. Je peux vous les nettoyer si vous le désirez, dit Richard après ce qui semblait être une hésitation. Angélique se mit à sourire. - Oh, vous feriez ça pour moi Richard ? demanda-t-elle - Oui Madame, avec plaisir. Vous pouvez les déposer à l’accueil et je les remettrai dans votre casier ce soir. - C’est très gentil, dit Angélique. Je comptais revenir demain. - Avez-vous des chaussures de rechange ? - Oui j’ai pris une paire de basket dans le doute. - Alors c’est parfait. - Oui, dit-elle. C’est parfait… En rentrant chez elle, Angélique ne peut s’empêcher d’imaginer Richard en train de s’occuper de ses bottes. Elle se sent impatiente d’être au lendemain pour voir le résultat. Elle découvre de nouvelles sensations et adore ce qu’elle ressent. Séance shopping en sortant du bureau pour Angélique. Sa nuit fut courte car elle passa beaucoup de temps à réfléchir et fantasmer, mais elle se sent pourtant en forme. Elle souhaite se trouver une paire de bottes pour l’équitation. Plutôt que de prendre un modèle classique elle cherche quelque chose de plus sexy et après avoir tenté plusieurs boutiques elle trouve enfin son bonheur. Le modèle est cher mais elle en a largement les moyens. Ce sont des bottes en cuir avec talons. Un talon carré mais assez haut, environ 8 cm. Ils possèdent des éperons décoratif avec une légère pointe. Elles sont de couleurs marrons et noires et montent jusqu’au genou. Rien qu’en les essayant, Angélique s’imagine déjà devant Richard avec ces superbes bottes. Elle imagine son regard, son désir. Déjà dans la boutique, elles ont fait un certain effet. Angélique se sent sûre d’elle et de sa beauté. Elle se sait très désirable. Après son achat, elle se dépêche de rentrer chez elle et se prépare pour aller au centre équestre. Elle met les bottes et se regarde une dernière fois dans le miroir avant de partir. Son pas est assuré quand elle se dirige vers l’accueil du centre équestre. Elle va directement à son casier et découvrir le résultat du travail du Richard et elle n’est pas déçue du résultat. Non seulement les bottes sont propres mais elles ont en plus été cirées les rendant comme neuve. Un homme qui fait plus que ce qu’on demande, voilà un concept qui plaît décidément à Angélique. Richard a laissé un petit mot dans une enveloppe avec les bottes. Angélique prend son temps pour la lire: «Madame, j’espère que vous êtes satisfaite. Je me suis permis de cirer vos bottes. Richard.» Angélique ne peut s’empêcher de sourire à la lecture de cette note. Elle montre tout en finesse le désir de Richard de satisfaire Angélique. Elle décide de pousser cette découverte plus loin dès qu’elle en aura l’occasion. Et elle sait qu’elle aura vite une nouvelle occasion de tester la soumission de Richard, ce qui l’excite particulièrement. Angélique prend sa selle et sa cravache et part pour le box. (à suivre)
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Par : le 26/12/15
Tandis qu’elle sirote tranquillement son thé au salon, Angelique se dit qu’elle a tout pour être heureuse ou presque. C’est une belle femme dans la quarantaine qui a réussi. Elle est naturellement élégante et vit dans la sphère haute de la société. Sa carrière professionnelle la satisfait pleinement et elle a une vie sociale épanouissante. Son seul échec fut son mariage bien qu’elle ne le considère pas comme un échec. Elle s’était mariée par amour à un homme de pouvoir qui lui correspondait totalement à l’époque. Avec cette homme elle eut 2 enfants, un garçon et une fille qui sont maintenant adultes et poursuivent leur propre chemin de vie. Elle en est fier et ne regrette pas un seul instant. Mais à mesure que le temps passait, ce mariage ne lui convenait plus et voyant l’éloignement s’étirer au fil des années, elle décidait d’un commun accord avec son mari de divorcer. Elle garde néanmoins de très bonnes relations avec lui, il est même devenu un ami sur qui elle peut compter. Lui s’est remarié avec une femme plus jeune, ce qui ne fut pas une surprise pour cette homme toujours aussi ambitieux. Quant à elle, sans même y réfléchir, elle n’a pas souhaité se remettre dans une relation de couple. Ou plutôt, elle n’arrive plus à trouver l’épanouissement dans une relation longue où l’ennuie s’installe de plus en plus vite. Elle n’a aucun mal à trouver des hommes, sa beauté et son élégance attire tous les types d’homme, elle a donc l’embarras du choix.Du coup, pensant qu’elle n’est plus faite pour vivre en couple, elle se contente d’aventures qui durent plus ou moins longtemps en fonction des affinités. Il lui manque certes quelque chose qu’elle n’est pas en mesure de définir. Elle y pense parfois, comme aujourd’hui, dans le salon en buvant son thé. Elle compense ce manque en savourant sa liberté, bien installée dans son magnifique appartement au centre de Paris. Elle aime par contre toujours autant susciter le désir chez les hommes, voir leur regard admiratif et excité en la croisant. Elle porte des tenues élégantes et sexy. Elle sait comment exciter facilement un homme. Son dressing est d’ailleurs une pièce importante de son appartement. Elle passe beaucoup de son temps libre à faire de l’équitation. Elle a gardé son cheval offert par son mari et va régulièrement le retrouver dans le centre équestre en région parisienne. Elle s’assure de la qualité des conditions de vie de son cheval et ne manque pas de prendre de ses nouvelles quand elle doit s’absenter de Paris pour quelques jours. La tasse de thé vide, Angelique se décide à sortir de ces réflexions et se prépare justement pour aller au centre équestre. La tenue est parfaite et élégante avec les vêtements prés du corps, les bottes de cuir hautes et les gants mi longs pour aller avec. Elle prend également sa cravache, même si elle s’en sert rarement. En revenant de sa promenade après avoir installé le cheval dans son box, elle voit Richard qui s’approche. Elle connaît bien ce palefrenier car il s’occupe tout particulièrement de son cheval. Richard aime son travail et le fait avec minutie. C’est son amour des animaux et tout particulièrement des chevaux qui l’ont poussé à choisir ce métier. Il est d’ailleurs plus à l’aise avec les animaux qu’avec les humains, ce qui fait de lui un homme réservé, qui parle peu et n’exprime que rarement ses émotions. Angélique apprécie la discrétion et le professionnalisme de Richard. Elle sait qu’elle peut compter sur lui et il est un des rares hommes à pouvoir l’appeler sur son téléphone portable à n’importe quelle heure du jour et de la nuit. Richard respecte Angélique et apprécie la manière dont elle se comporte, aussi bien avec les êtres humains qu’avec les animaux. Richard s’approche du box tandis qu’Angélique caresse son cheval. - Bonjour madame, dit-il. - Bonjour Richard, répondit-elle, tout se passe bien ? - Rien à signaler, votre cheval est en forme et se nourrit normalement. - Bien. Je vous remercie. - Je vous en prie madame. Richard fait un signe de la tête et s’éloigne pour inspecter un autre box. Pendant ce temps, Christine, une autre cliente du centre équestre s’approche du box. Les deux femmes se connaissent depuis quelques années. Christine est également une belle femme riche dans la quarantaine qui aime l’équitation. - Angélique, dit-elle. Tu ne m’as pas dit que tu venais aujourd’hui. - J’ai décidé au dernier moment dit Angélique. - Contente de te voir en tout cas. Comment vas-tu ? - Très bien, je profite du beau temps, comme toi j’imagine. - Oui répond Christine pensive en observant Richard travailler plus loin dans un box. - il est bizarre quand même cet homme, dit Christine. - Comment ça ? - Je ne sais pas, je le trouve distant. - Il est discret, dit Angélique. - Oui la discrétion est certes une qualité mais il ne doit pas oublier pour qui il travaille. - Je trouve qu’il fait bien son travail. - Disons qu’il devrait montrer plus d’enthousiasme, plus de dévotion. - Tu es exigeante dit Angélique en souriant. - Oui bien sur dit Christine, si nous ne l’étions pas ces gens là se laisserait aller. - Oh, je vois dit Angélique. - Regarde-moi ce plouc, dit Christine. Si ça ne tenait qu’à moi il serait déjà en train de nettoyer mes bottes crottées et avec le sourire. Angélique se sentit troublée subitement. Elle fut d’abord surprise par le terme «plouc» qu’elle n’avait pas entendu depuis bien longtemps et ne put s’empêcher de rire en l’entendant de la bouche de cette femme d’un autre temps. Mais elle fut surtout troublée par l’image de Richard agenouillé au sol nettoyant ses bottes. Cette image restait dans sa tête et provoquait une excitation qu’elle n’imaginait pas ressentir un jour. Christine continuait son discours anachronique mais Angélique n’écoutait plus. Reprenant ses esprits et le contrôle, Angélique sort du box. - Je dois y aller, je suis en retard. - Bien sûr, moi aussi dit Christine coupée dans son élan. On s’appelle. - Oui. Bonne soirée. Les deux femmes se séparent et Angélique se dépêche de rentrer chez elle. (à suivre)
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Par : le 09/04/15
Dès les premiers échanges sur un tchat BDSM, je l’ai remarquée. Elle avait du style de la prestance et une certaine douceur dans sa façon d’écrire. J’y suis sensible. Sur sa fiche, l’image d’une paire de jambes féminines vêtues de cuissardes. J’y suis également sensible. C’est stupide. Les images de femmes en cuissardes pullulent sur le net et il n’est pas si difficile d’avoir de la prestance sur un tchat, il suffit de le vouloir et de prendre son temps avant d’écrire. Mais j’ai senti quelque chose avec Elle, tandis que nous échangions sur un salon peuplé de soumis et de quelques dominatrices. Et j’avais le désir qu’Elle me remarque, je voulais faire la différence, parce qu’Elle me plaisait. Je suis d’un naturel assez réservé, même sur un tchat. Mais cette fois là, je me suis dit qu’il fallait agir, ne pas passer à côté d’une opportunité. Je préférais ne pas plaire plutôt que de ne pas savoir. J’ai su me faire remarquer, j’ai su lui plaire, pour mon plus grand bonheur. Rapidement nous échangions par message privé, puis par mail et par sms. Tous ces échanges ne faisaient que confirmer ma première impression et j’étais heureux d’apprendre que je lui plaisais. Vinrent les échanges de photos, une femme magnifique avec un regard irrésistible. Mais je n’étais pas son type, pas moche mais pas le soumis qu’elle s’imaginait. Elle semblait douter, l’attirance cérébrale était forte. L’attirance physique ne se discute pas vraiment. Je devais bien m’incliner. Néanmoins nous gardions contact, les échanges étant toujours si intenses, si agréables. On se comprenait. Pour Elle j’eus de l’audace. Je lui exprimais mon admiration, mon désir de la vénérer, l’image de Déesse que j’avais d’Elle. Je n’avais pas le moindre doute, une sensation nouvelle pour moi… l’évidence. Ce que j’ai toujours cherché. D’une certaine manière je lui restais fidèle, même si Elle n’était pas ma Maîtresse. Je voulais simplement la satisfaire, être à sa disposition sans être envahissant, disponible pour Elle. Puis vinrent les échanges en skype, la voir bouger, sourire et surtout me regarder. Le photos ne lui rendaient pas honneur. Elle était encore plus fabuleuse en mouvement. Et ce regard sur moi, indescriptible, un instant de bonheur. Puis Elle changeait d’avis. Elle me voulait pour lui appartenir, être sa chose. J’en fus bien sûr très heureux et dès ce moment, je l’appelai Maîtresse. La relation démarra à distance car nous étions distants. Impossible de se voir spontanément. La distance, les vies à mener de chaque côté, pas simple de se voir. Pour la première fois je vivais la relation à distance, sans réel, sans contact physique, frustrant aussi bien pour Elle que pour moi. Mais mon plaisir fut pourtant bien plus grand comparé à mes précédentes relations réelles. A ma grande surprise j’y prenais beaucoup de plaisir, lui raconter ma journée chaque soir, parfois suivre ses ordres ou ses consignes. Je fus parfois puni, je me suis parfois rebellé mais la relation continuait, toujours forte, de plus en plus complice. Avec moi Elle pouvait être totalement Elle-même. Je m’adaptais à son humeur, à ses désirs et j’y prenais un grand plaisir. Je me rendais disponible pour Elle. J’avais un surnom juste pour Elle. Au bout d’un certain temps elle décida de faire le trajet pour venir passer un week end chez moi. Le passage en réel peut être délicat, d’autant plus quand il y a de la distance. Mais je n’avais aucun doute. J’acceptais l’idée de ne pas lui plaire en réel, sa simple présence me suffirait. Je l’attendais à la gare, impatient et stressé, le genre d’instant dont on se souvient, qui nous rappelle qu’on est en vie. Elle apparut enfin, souriante, j’étais à Elle. Un baiser sur la joue, c’est ce qui était convenu. Puis je prenais sa valise et l’emmenait chez moi. Le soir même j’étais nu et à genoux devant Elle. Elle avait apporté plusieurs paires de bottes, Elle savait bien sûr que j’y étais sensible. Elle me demanda quelle paire je préférais. Je n’osais pas répondre, mais Elle le fit pour moi. Elle avait deviné, Elle me connaissait déjà si bien. A sa demande je me mettais à 4 pattes pour lcher ses bottes tandis qu’Elle me cravachait les fesses. Au cours de ma vie j’ai eu l’occasion de vivre ce genre d’expérience plusieurs fois. Et souvent je ne pouvais m’empêcher de réfléchir tout en léchant les bottes. Je me visualisais pendant cette situation. Parfois je me demandais pourquoi je faisais ça, je me demandais si j’y prenais du plaisir. Cette fois là, ce fut différent. Je ne réfléchissais pas, j’obéissais, je me soumettais à ma Maîtresse. Je découvrais à quel point j’y prenais du plaisir et à quel point ce plaisir pouvait être intense. Je ne me visualisais pas, je vivais l’instant. Malgré la cravache, la soumission je ressentais une grande douceur venant d’Elle. Une puissance devant laquelle je m’inclinais avec bonheur. Pendant ses déplacements et sans le vouloir, son pied marcha sur ma main. Nous en furent surpris tous les deux. Et sans réfléchir, je redoublais de ferveur avec ma langue sur le cuir de ses bottes, comme pour exprimer ma soumission. Même sans faire exprès, Elle était ma Maîtresse et je devais lui montrer que j’étais prêt à subir pour Elle. Elle s’arrêta et je pus sentir son plaisir ce qui fit redoubler le mien. Ensuite Elle s’installa sur le fauteuil et m’ordonna de m’approcher d’Elle à genoux. Elle prit mon sexe dans sa main avec lequel Elle joua un moment, provoquant parfois la douleur, toujours compensé par une extrême douceur comme sa joue contre la mienne, ses lèvres sur mon visage. Puis je dus lui donner du plaisir avec ma langue, aussi longtemps qu’Elle le désirait. Ce plaisir fut intense pour moi. Et enfin je pus me masturber dans ma main, jouissant au moment où Elle le décidait. Le week-end passa ainsi, fait de discussions, de plaisir et de soumission à Elle. Parfois je ne portais que mon collier juste pour discuter. Puis Elle repartit après ces deux jours qui passèrent trop vite. La relation continua un moment à distance. Puis Elle fit une rencontre vanille face à lequel je ne pouvais représenter aucune concurrence si ce n’est son désir de dominer. Elle fit un choix, celui de vivre l’amour vanille. Bien sûr j’avais le regret de perdre cette intensité mais je souhaitais son bonheur et j’avais la confirmation que j’aimais être soumis à une femme. J’avais aussi compris grâce à Elle que je n’étais pas soumis à toutes les femmes et qu’il ne suffisait pas de porter des bottes ou des cuissardes pour que je ressente cet intensité. C’est bien la femme qui compte avant tout et la relation qui se construit avec Elle, la complicité qui émerge et se fortifie avec le temps. La capacité de deviner les désirs de l’autre et partager plus que des séances. Je ne sais pas si c’est de l’amour, mais c’est ce que je recherche… loveboot
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