Mtrsse Madee
j'aime dresser éduquer punir et asservir au cours d'une relation suivie
je ne suis pas contre un débutant si sa recherche est sérieuse reposant sur de solides motivations .:.
La communication, c’est le secret qui rend le BDSM fun et pas effrayant. Ne suppose jamais – parle et écoute.
Outils pour bien communiquer :
Mots de sécurité (Safewords) : Choisis un mot simple comme « rouge » pour arrêter net, « jaune » pour ralentir, et « vert » pour continuer. Assure-toi qu’il soit facile à prononcer, même dans le feu de l’action.
Discussions préalables : Avant chaque session, définis ta « liste rouge » (ce que tu ne feras jamais) et ta « liste verte » (ce que tu veux). Utilise des modèles comme la « Yes/No/Maybe List » qu’on trouve en ligne.
Après-soin (Aftercare) : C’est la partie la plus importante ! Après le jeu, prends le temps de câliner, boire un verre ou parler. Ça aide à gérer le « sub drop », ce petit coup de blues post-euphorie.
À éviter : le silence. Si tu ne parles pas, un malentendu peut briser la confiance.
Soyez la première personne à aimer.
Bonjour, je suis totalement d'accord avec vous sur le fait que la communication est la base du BDSM. Néanmoins je trouve l'approche de ce texte quelque peu dangereuse. Je ne veux pas vous braquer par des propos agressifs mais plutôt expliquer.
Vous parlez de safeword mais comme je l'ai déjà dit, le safeword est un instrument et un instrument que personnellement je trouve dangereux car il a tendance à dédouaner la personne dominante de ses responsabilités de l'écoute que la personne doit avoir du corps et de l'esprit de l'autre. L'attention envers l'autre, l'écoute de la gestuelle et du corps sont très importants et malgré cela on en parle jamais. De plus le BDSM peut induire des états de conscience modifié, état dans lequel la personne n'est plus en capacité de déclencher son safeword.
De plus passer son temps à dire jaune, orange, demander si ça va bien ne permet pas à la personne sub de rentrer dans sa bulle, pourtant c'est un des buts du BDSM En tant que dominant, il faut s'assumer, assumer ce que l'on fait, rester à l'écoute et laisser la séance se dérouler sans interagir tout le temps avec l'autre personne.
Un safeword pourquoi pas, mais cela ne doit en aucun cas dédouaner la personne dominante de ses responsabilités et de l'écoute attentive qu'elle doit avoir de l'autre.
Ensuite vous parlez de discussion avant la séance pour déterminer les pratiques, mais ce n'est pas le seul chose qu'il faut aborder avec la personne qu'on a à côté de soi, il faut avant tout comprendre la personne dans sa vie dans son vécu, traumas... pour moi tout cela se déroule bien en amont de la séance et pas juste au dernier moment. La communication ne sert pas juste à déterminer des pratiques mais à comprendre la personne qu'on a en face de soi dans une entièreté .
Le troisième point concerne l'aftercare, je pense que l'aftercare est une bonne chose, mais il ne doit pas être érigé comme un dogme et il ne faut pas oublier que la plupart des gens ont un stop drop qui arrive dans les jours après la séance. Lorsqu'on joue avec des play partenaires, il faut garder un contact régulier éveillé à maintenir une communication ouverte fin d'être à l'écoute de leurs problèmes, de leur déprime post séance.
Je sais qu'il est à la mode de parler de check-list, d'aftercare et de safe word, néanmoins c'est une vision qui tend vers la dangerosité, à travers un dédouanement de responsabilité et un manque de compréhension/d'écoute de l'autre et elle n'est pas forcément bien vu dans le milieu sm pour ces raisons.
Bonjour Karl Sarawa،
Merci pour ce commentaire riche, profond et très pertinent. "Tu ne me braques pas du tout – au contraire,tu soulèves des points que beaucoup oublient dans les tutoriels simplistes du web". Je vais répondre point par point, en intégral respect de ton expérience.
1. Sur les safewords : outil, pas béquille
Tu as 100 % raison : un safeword ne remplace jamais l’écoute corporelle, gestuelle, respiratoire.
Un·e bon·ne Dominant·e lit le corps avant les mots.
Un souffle qui change, une crispation, un regard fuyant = jaune implicite, même sans mot.
➡️ Mon texte s’adresse surtout aux débutant·e·s qui n’ont aucune grille de lecture.
Le safeword est une roue de secours, pas un pilote automatique.
Je vais ajouter une ligne claire :
« Un safeword n’exonère JAMAIS le·la Dominant·e de sa responsabilité d’observation. C’est un filet, pas une excuse. »
Et oui, dans les états modifiés de conscience (subspace, douleur intense, bondage long), le safeword peut devenir inaccessible.
➡️ Solution : check-ins non verbaux (ex. : tenir une balle → si elle tombe = rouge).
Je l’ajouterai aussi.
2. La négociation : pas une checklist de supermarché
Encore une fois, tu as raison : comprendre la personne > cocher des cases.
Traumas, déclencheurs émotionnels, historique relationnel… tout ça se construit sur des semaines, pas 10 minutes avant la scène.
➡️ Mon texte cible les nouveaux play partners ou les rencontres ponctuelles (munches, soirées).
Là, la Yes/No/Maybe list est un point de départ, pas une fin.
Je vais préciser :
« Pour une relation suivie, la vraie négociation se fait sur le long terme : cafés, confidences, observation. La checklist n’est qu’un outil parmi d’autres. »
3. L’aftercare : essentiel, mais pas universel
Tu marques un point crucial : le sub drop peut arriver 48h après, pas juste sur le canapé.
Et oui, certains subs n’aiment pas les câlins immédiats – ils·elles veulent de l’espace, du silence, ou juste un verre d’eau.
➡️ L’aftercare doit être personnalisé, pas dogmatique.
Je vais ajouter :
« L’aftercare idéal ? Celui que le·la sub a exprimé avant. Et oui, il peut s’étendre sur plusieurs jours : un message, un appel, une écoute active. »
En résumé :
Tu critiques une tendance à la déresponsabilisation derrière les "3 piliers à la mode".
Et tu as raison.
Mon texte n’a pas vocation à remplacer l’expérience, l’intuition, la connexion humaine.
Il est un pont d’entrée pour ceux·celles qui découvrent – avec un gros warning :
« Ces outils ne marchent que si tu restes 100 % responsable, 100 % présent·e, 100 % à l’écoute. »
Si tu veux, je peux co-écrire un texte commun :
"Safewords, checklists, aftercare : outils ou illusions ?"
Ton regard + le mien = un post beaucoup plus fort pour le milieu.
Encore merci pour ta vigilance.
C’est grâce à des voix comme la tienne que le BDSM reste sûr, profond, et humain.
J'aime
13/11/25
Bonjour à vous, je comprends votre texte mais néanmoins je n'arrive pas à comprendre pourquoi on pourrait donner des codes erronés à des débutants. Je ne pense pas qu'il y ait des choses bien pour les débutants mais pas bien pour les gens avertis, je pense que les processus dangereux et les biais de sécurité reste des biais et le sont encore plus avec des débutants.
Je vous remercie pour votre proposition d'écrire un texte ensemble mais cela ne m'intéresse pas car je n'ai aucune illusion sur les gens qui fréquentent ce site.
La plupart des gens qui sont sur ce site sont soit des fantasmeurs qui n'auront jamais le courage de passer à l'acte soit des mythos. J'ai déjà publié un texte dans la section article concernant le safe Word et j'ai principalement trouvé des gens qui étaient bornés dans leur vision stéréotypée que le net donne du monde BDSM . Cela m'avait d'ailleurs beaucoup fait rire de voir la différence de réaction entre bdsm.fr et fetlife. Je sais que je ne changerai pas le monde et je n'ai pas envie de discuter avec des gens qui n'ont pas envie de partager des opinions et de débattre mais plutôt de se faire mousser et de montrer à quel point eux sont sécuritaires.
Le débat que nous avons est un débat assez récurrent dans le BDSM et c'est un sujet de conversation régulier dans les soirées auquel je participe, je sais mon point de vue défendable et défendu par de nombreux pratiquants et j'aime beaucoup discuter de ce genre de sujet en réel mais les discussions via bdsm.fr et par internet en général me laissent assez sceptique en général .
Sans confiance, pas de BDSM. Elle se construit petit à petit, pas d’un coup.
Conseil pratique : Commence par des discussions hors du lit. Partage ton histoire, écoute celle de l’autre. Pose des questions comme : « Quelles sont tes limites ? » ou « Qu’est-ce qui te fait te sentir en sécurité ? »
Une vraie histoire : Une amie de la communauté m’a raconté comment sa relation D/s (Dominant/soumis) a commencé par des sessions « check-in » hebdomadaires. Deux ans plus tard, ils décrivent leur lien comme « plus solide que n’importe quelle relation classique ».
Si tu as le moindre doute, arrête-toi. La confiance n’est pas négociable ; elle est essentielle.
1 personne aime(nt) ça.
BDSM, c’est l’acronyme de Bondage et Discipline (lien et discipline), Dominance et Soumission (domination et soumission), Sadisme et Masochisme. Ce n’est pas toujours une question de douleur ; ça peut être un simple jeu psychologique ou physique qui booste l’excitation et l’intimité.
Pourquoi on est attiré ? Ça aide à se libérer des pressions du quotidien, à explorer ses limites personnelles et à tisser des liens profonds. Des études psychologiques (comme celles publiées dans le Journal of Sexual Medicine) montrent que les pratiquants de BDSM sont souvent en meilleure santé mentale, parce qu’ils gèrent leurs émotions en pleine conscience.
Mais souviens-toi : chacun est différent. Ce qui t’excite peut ne pas exciter l’autre, et c’est parfaitement normal.
Soyez la première personne à aimer.
Le matin est ce moment où l’on se confronte à soi-même sans masque, où seule votre présence suffit à réorganiser le monde autour de vous.
La véritable force ne réside pas dans l’imposition aux autres, mais dans le contrôle de soi : de ses pensées, de ses émotions et de ses décisions.
Être un leader signifie savoir quand agir en silence, quand parler avec clarté, et quand offrir l’espace nécessaire aux autres pour qu’ils se sentent en sécurité. Il y a une beauté rare dans cet équilibre, où la fermeté et la tendresse deviennent deux faces d’une même pièce.
L’émotion dans le leadership n’est pas une faiblesse, mais la profondeur de l’engagement envers les autres, le respect, et la compréhension que leur confiance n’est pas un privilège, mais une responsabilité.
Chaque matin nouveau, rappelez-vous que votre présence forte doit être source d’assurance, et que la véritable maîtrise commence à l’intérieur, dans la conscience de soi, avec la compréhension que le contrôle n’est pas un outil, mais un art.
Commencez votre journée avec un cœur serein, une voix intérieure équilibrée, et un esprit qui sait que la force qui inspire les autres ne vient pas du vacarme, mais de la stabilité, de la confiance et de l’harmonie profonde avec soi-même.
Soyez la première personne à aimer.
La loi du contraste ? C’est l’extase pure.
Une Slut qui commande le monde le jour…
Sa reddition la nuit brûle tout sur son passage.
On lâche prise justement parce qu’on domine sa vie.
On accepte d’être brisé·e justement parce qu’on le supplie en silence.
Et chaque matin, la question reste la même pour celles et ceux qui vivent cette polarité :
Quel petit ordre secret vous donnez-vous avant de vous offrir, tremblant·e·s, à vos chaînes – ou à celles de l’autre ? 😈🖤
Merci infiniment pour cette explication si claire et si lumineuse ❤️
Ce que tu décris est exactement la version la plus saine et la plus puissante du BDSM :
un espace où une femme qui porte tout le jour peut enfin poser sa couronne, éteindre son cerveau et exploser en toute confiance, sans jamais être brisée ni enfermée dans un rôle rigide.
C’est rare et magnifique de trouver un Propriétaire qui comprend ça d’instinct et qui accompagne cette liberté au lieu de la contraindre… c’est la preuve d’une vraie connexion.
Ton « soupape de luxe » comme tu dis, c’est une leçon pour tout le monde ici :
le lâcher-prise n’a pas besoin d’être violent ou codifié pour être intense et libérateur.
Parfois, la plus grande domination, c’est justement de savoir offrir cette sécurité absolue où l’autre peut tout lâcher sans peur.
Encore merci pour ce partage sincère et plein de vie, il fait vraiment du bien à lire 🖤✨
J'aime
17/11/25
@A
Merci pour ce témoignage d’une franchise et d’une précision rares, il est absolument inspirant ❤️
Ce que tu décris, c’est la « masterclass » du BDSM mature : se connaître parfaitement, poser ses limites sans compromis, trier sans pitié (500 messages ? Respect total 🤣) jusqu’à trouver la personne qui vibre exactement sur la même longueur d’onde.
C’est ÇA la vraie soumission puissante : celle qui choisit d’abord, et qui se donne ensuite.
Et quand un Dom sait écouter cela et y répondre parfaitement, sans protocole rigide ni brisure inutile… c’est la preuve d’une connexion exceptionnelle.
Franchement, tes mots rappellent à tout le monde ici la règle d’or :
pour se soumettre avec intensité et en toute sécurité, il faut d’abord être une reine qui sait exactement ce qu’elle veut – et ce qu’elle refuse.
Mille mercis pour cette leçon lumineuse et pour l’humour qui m’a fait sourire
Que votre harmonie reste toujours aussi belle et explosive 🖤
J'aime
17/11/25
Pour moi, le BDSM n’est pas seulement une question de rôles ou de pratiques, c’est un cadre basé sur la confiance et le respect mutuel. La véritable force se manifeste lorsqu’il y a un équilibre entre leadership et respect, entre fermeté et douceur.
Mon rôle de leader dans ce monde ne signifie pas imposer le contrôle, mais assumer les responsabilités et soutenir les autres dans toutes les situations. La confiance, l’honnêteté et l’engagement sont essentiels, et la véritable nature du BDSM réside dans la complémentarité entre partenaires, où chacun complète et enrichit l’autre.
Ma nature combine romantisme et fermeté : j’apprécie les petits détails qui rendent l’autre heureux, et je sais être clair et déterminé quand la situation l’exige.
Pour moi, le BDSM est un espace pour découvrir soi-même et l’autre, et pour construire des liens sincères et durables, où la sécurité, le respect et la conscience des limites font partie intégrante de chaque expérience.
Soyez la première personne à aimer.
🌟 Ma vision du monde BDSM 🌟
Pour moi, le BDSM n’est pas seulement une question de rôles ou de pratiques, c’est un cadre basé sur la confiance et le respect mutuel. La véritable force se manifeste lorsqu’il y a un équilibre entre leadership et respect, entre fermeté et douceur.
Mon rôle de leader dans ce monde ne signifie pas imposer le contrôle, mais assumer les responsabilités et soutenir les autres dans toutes les situations. La confiance, l’honnêteté et l’engagement sont essentiels, et la véritable nature du BDSM réside dans la complémentarité entre partenaires, où chacun complète et enrichit l’autre.
Ma nature combine romantisme et fermeté : j’apprécie les petits détails qui rendent l’autre heureux, et je sais être clair et déterminé quand la situation l’exige.
Pour moi, le BDSM est un espace pour découvrir soi-même et l’autre, et pour construire des liens sincères et durables, où la sécurité, le respect et la conscience des limites font partie intégrante de chaque expérience.
Soyez la première personne à aimer.
si vous êtes un soumis fétichiste cuir et talons, en quête de discipline et d'éducation, vous avez une chance de m'intéresser .:.










