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Mademoiselle_Lane

femme soumise. Vit à Strasbourg, Alsace, France. 45 ans. est célibataire.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 10/05/20
Je suis désolée pour les éventuelles fautes, .. je ne suis pas relue... J'étais en selle. ***************************************************************************************************************** ll posa sa main sur ma cuisse. - Je suis si heureux de t’emmener en sortie. Il agrippa ma cuisse puis remonter sa main sur ma chatte pour la pincer. - Hum tu mouilles déjà, petite coquine que tu es. Je souris avec ce regard intense qui en disait long. - Je t’emmène dans un endroit que tu vas apprécier. Je sais que tu aimes les animaux. - Vous savez toujours me faire plaisir je me réjouis. Un indice sur le lieu. - Eh bien, tu pourras faire une belle promenade avec eux.. - Je ne vois vraiment pas. Il mit le clignotant pour prendre une toute petite route . Nous arrivions vers un sublime lieu. Un petit château que j’en perdais mes mots. - Waouh comme c’est magnifique. - Ca l’est. J’ai trouvé le bon moment pour t’emmener ici. C’est un lieu qui est dédié aux jeux. Le propriétaire est une connaissance qui peut mettre à disposition certaines parties pour s’adonner aux sévices les plus… Il ne termina pas sa phrase. Je trépignais de découvrir ce lieu. A son habitude, il avait toujours cette galanterie à me traiter comme une princesse ( qu’il adorait ensuite dépravée comme il se doit bien sûr). Il m’ouvrit la porte. L’entrée se faisait par une porte sompteuse en bois sculpté où une tête de lion tenait un heurtoir. La porte s’ouvrit. - Bienvenu cher Monsieur. Un homme d’une cinquantaine d’année ouvrit la porte. Il était relativement petit et simple. - Monsieur S. J’ai une réservation pour cette après midi. - Ah oui, je vois. L’autre convive est déjà arrivé. Je vous demande de mettre vos téléphones dans cette boite. Nous souhaitons une discrétion totale sur notre lieu. Nous mettons à votre disposition tout le nécessaire pour la protection des éventuels accessoires que vous souhaiterez utiliser. - Oui bien sur, cela va de soi. Je vous remercie pour votre agréable accueil cher Monsieur. Je le regardais dans les yeux. - L’autre convive ? - Tu n’as pas besoin d’en savoir plus, juste à te taire à partir de maintenant et écouter. Tu vas passer j’en suis certain un agréable moment ma petite chienne dit il en me tenant par les fesses. - Par ici, cher Monsieur. L’homme lui indiqua le chemin vers une petite pièce pour déposer nos affaires. - Parfait. Monsieur s’entretenait avec l’homme loin de mes oreilles indiscrètes. - Allez viens, faisons un tour. Le parc a l’air superbe. - Oh oui j’adore merci Monsieur. Il me prit par la main et nous faisons un tour dans le parc de ce sublime château. Non loin je vis une dépendance. Nous nous dirigions vers elle. Une écurie. Il me dirigea vers elle. En voyant le premier box, je ne pue m’empêcher de caresser le premier cheval.. il y avait une rangée de 6/7 box. En passant au troisième, je vis ce dernier bien différent des autres. - Entre. Je le regardais, surprise. C’est là qu’il décrocha des bracelets pour ensuite me lier les mains.. Puis il me les attacha à un système de poulie me les faisant remonter au dessus de ma tête. J’étais presque sur la pointe des pieds. Il s’était mis derrière moi me tenant par le cou, me le faisant basculer en arrière. - Hum.. ma douce petite pouliche. Je crois que tu n’auras plus besoin de tes vêtements. Il tira sur la fermeture éclaire arrière de ma robe bustier. Elle tomba au sol. Il s’amusait à me faire tournoyer tout en me claqua bien les fesses. Sans aucun ménagement il descendit ma culotte et la laisser à mes chevilles. - Commençons ton débourrage ma petite pouliche. Je souriais jusqu’au moment où je le vis avec un long fouet. Il vit mes yeux grandir en me le passant devant les yeux. Je me débattais. Je criais, je ne voulais pas de ça. Mes jambes tentaient une évasion impossible. Soudain j’entendis le son du fouet claquer dans le vide. Je sursautais. Puis une seconde… et une troisième. Il me saisit par les cheveux en les tirant en arrière. - Tout doux ma belle… Crois tu que j’allais te fouetter malgré mon envie terrible de te marquer.. Mais j’aime te voir sursauter sur le fil. Le son du fouet éveille les sens. A réveiller les tensions nerveuses. Maintenant je sais que j’ai toute ton attention. Ma respiration était forte. - Oh Monsieur, bonjour ! La voix d’une femme, celle de Madame X. - Bonjour à vous Madame X. - Je suis ravie que nous nous retrouvions dans ce lieu plein de vices. Je vois que votre pouliche est presque prête à se faire débourrer. Mon étalon lui est fin prêt. Elle était habillée en tenue de cavalière. Elle avait un pantalon, des bottes, une cravache. Elle était très belle ainsi. Elle tenait un homme avec une longue. IL était habillée avec un pantalon noir moulant et par le haut un harnais en cuir mettant en avant son torse complètement épilée. Au niveau de son sexe, un gode ceinture avait été rajouté. Il était énorme. - Je connais votre expérience en matière d’éducation d’équidés. Je vous laisse vous occuper de cette jeune pouliche. Elle n’a bien sur jamais été monter. Elle pénétra dans le box. Elle attacha son soumis à un anneau. Il était à quatre pattes. Je voyais que ce gode qui le membrait comme un étalon. Elle l’avait mis également une queue de cheval ainsi que des mords. Elle lui caressa le dos et lui tapota le cul en partant. - Sage ! Elle se dirigea vers moi avec un sourire très vicieux. - Regardons cette belle pouliche. Tu m’avais manqué. J’ai fait part à mon propriétaire de toutes mes envies à ton sujet. Je lui ai dis que mon étalon recherchait une pouliche. Faisons toi belle pour lui… Elle me caressa avec sa cravache pour me faire redresser la tête. Elle parcourra ensuite mon corps. - Ecarte tes jambes. Elle frotta la cravache sur ma chatte puis y donner un coup. Je ne pue m’empêcher de les refermer. Elle commença ensuite à bien me cravacher sur le corps un peu partout. J’étais en train de danser sous ses coups. Soudain, elle s’était mise face à moi et avais pris les tétons. Elle les pressa tout en les tira à elle. Naturellement j’avançais vers elle.. Je couinais doucement.. - Allons te parer. Elle me mit un gode dans la bouche. - Humidifie ça bien. - Mieux que ça !! Elle l’enfonça bien au fond de ma gorge. - Cambre ta croupe. J’essayais tant bien que mal de me cambrer. - Monsieur, pourriez vous écarter les fesses de votre pouliche. - Mais avec plaisir Madame X. Il écartait mon cul sans aucun ménagement. Elle introduisait alors le gode dans mon cul. Une queue de cheval bien fournie en sortait. - Tu es très belle ainsi Lane. Elle avait apporté un harnais splendide. Elle me le fit passer par la tête. Les lanières en cuir faisait ressortir mes seins. Il y avait différents anneaux d’où partaient des lanières mettant en avant le corps. ? Elle passa ensuite le harnais au niveau de mon sexe. La lanière était réglable et se divisait en deux parties. Mes lèvres lisses étaient alors encerclées. Le harnais devait se fermer par l’arrière. Elle passa alors la queue de cheval ce qui le fit se relever. Puis avec délectation, elle s’amusa à bien relever le tout pour augmenter la tension au niveau de mon sexe et de mon petit cul. - Hum, elle pourra bientôt concourir pour le prix élégance mon cher.. - Oui, je crois..en effet. Elle me tira les cheveux en arrière puis me mis un mors dans la bouche. - Tout doux.. tout doux. - Les pouliches n’aiment pas qu’on leur mette des mords et bien ajuster ensuite ton licole.. Il faudra bien le serré sinon elles s’amusent parfois à l’enlever. Elle le serra en effet bien fermement.. Il y avait de part et d’autres des anneaux. Une seconde partie au mort était une lanière passant autours de mon front et au niveau de mes yeux des œillères. - Voilà faisons passer sa crinière par là. Voilà je peux le fermer. Reste ensuite le collier de maintien. Voilà.. Elle s’éloigna satisfaite. Mon maitre me sourit. Elle tata l’enjambe de son soumis. - Hum alors on est excité. Oh ca bande bien. Puis elle le cravacha. Tu as envie de monter cette pouliche hein ? Il hénissait comme pour montrer son intérêt. Nous allons pouvoir l’emmener au manège. Ah j’oublais de quoi faire marcher notre pouliche. - Monsieur, je vous prie de la détacher. - Allez met ces chaussures. Il s’agissait de cuissardes vernies noires. - Je vais vous montrer comment on dresse. Vous pourrez ainsi répéter ces mouvements régulièrement pour la préparer à un concours. Elle me sangla les bras dans le dos ainsi que les poignets. Il me saisit par le licole. Je ne pouvais plus parler. Elle avait pris son soumis également par le licole. Il marchait droit. Il était relativement grand. Je dirais 1m85, pas trop fin. On devinait qu’il prenait soin de lui. Je ne pouvais voir son visage qui était cagoulé. Nous arrivions dans la manège. Elle nous attachons son soumis et moi à une longue . Elle tenait dans sa main un fouet léger destiné au dressage des cheveux. Elle nous ordonna de marcher en levant bien les jambes. - Je vous veux coordonner. Aller en avant. - C’est bien.. continuez… Elle s’amusait à donner des coups en l’air avec sa perche. - Maintenant au trot allez.. Elle fouetta mes fesses.. Elle faisait ce petit son de bouche qu’on fait quand on voit les chevaux ou qu’on veut les faires avancer. Son soumis lui ne suivait pas trop le mouvement. Elle le fouetta avec une telle force qu’il se mit bien au trop comme il le fallait. Nous faisions plusieurs exercices pour travailler à notre démarche. J’apercevais mon maitre assis en train d’observer mon dressage. - Lane, plus de grâce. - Voilà c’est bien. Elle tira sur les longes pour les raccourir et nous rapprocher. - Allez suivez-moi.. il faut vous trouver la bonne selle. Nous nous dirigions vers une salle de donjon revisitée avec un univers équestre. Sur le mur était accrochée des selles décoratives. Ca sentait le cuir. Au mur était accrochait plusieurs martinets, des fouets et autres ustensiles. Au milieu de cette place deux chevalets, destiné à y mettre des selles ou ce que vous voulez bien imaginer. Ici on pouvait s’autoriser toute fantaisie. On voyait également des anneaux au sol. Des chaines , des barres d’écartements. C’était un réel paradis que d’avoir l’honneur d’être dans un lieu comme celui-ci. Il y avait un banc relativement haut. Elle ordonna a son soumis de s’y allonger sur le dos. - Je vais faire de toi une jolie licorne. Je suis certaine que tu vas apprécier. Un animal si rare. - Merci Maitresse essaya t il de dire. Elle enleva son mords et lui mis un baillon avec une queue dessus. Elle me fixa alors des rennes à mon baillon au niveau des anneaux. - Toi, viens ici. Empale toi dessus. Elle me tira et me forca a bien m’empaler. - Baise toi allez. Je ne pouvais pas parler, je bavais doucement. Elle s’amusait à cravacher les couilles de son soumis pendant ce temps là.. - Allez à quatre pattes Pouliche. Elle sorta le mors de ma bouche. - Prends le sexe dans la bouche. Elle me tendit alors le gode relativement volumineux afin que je le prenne en bouche. Elle m’empoigna par les cheveux et me força a bien le prendre.. - Allez applique toi, mouille le bien. J’avais du mal tellement il était gros. Elle releva alors ma queue de cheval au niveau de mes fesses et me cravacha à mon tour. - Encercle la bien fort avec tes pattes ma licorne et baise lui bien sa chatte avec ton dard. - Il va te montrer comment on baise bien. C’est un excellent étalon. Putain mais applique toi avec ce gode. T’es qu’une pétasse. Elle me maintenait la tête dessus. Je bavais à presque ne plus respirer ensuite. Elle me releva ; Je sentais la licorne me pilonner avec sa bouche. Il me maintenait bien fermement. Madame releva a nouveau ma queue de cheval et écarta mon fessier. - Allez active toi ma licorne.. Hummm cette pouliche remplit par le cul et par chatte.. un gode dans la bouche… T’es une bonne petite putain dit elle en me tapotant bravement sur les fesses. - Suffit Licorne. Elle me redressa par les cheveux et tant bien que m’avança vers la queue de l’étalon. - Tourne toi. Elle tena le gode dans sa main. Allez.. Dans ta chatte. Je faisais les gros yeux. - Je ne te demande pas ton avis. Elle avait saisi un martinet. J’obtempérais. Avec mon gode dans le cul, il m’était difficile de mettre ce gode dans la chatte. Il m’écartelait. Elle écarta bien mon entrecuisse. - Tu vois ça rentre. Elle me gifla et me remis le mords en bouche. - Allez chevauche Elle retira le gode du soumis. - Sors ta langue Licorne. - Lèche, nettoie ta maitresse. Elle saisit alors les rennes pour me rapprocher d’elle. Elle me gifla les seins, elle les pinçait. - Leche mieux que ça Licorne si tu veux une belle récompense. J’entendais sa langue laper le sexe et le cul de Madame. Elle bougeait son bassin de manière à se faire plaisir. - Suffit… Elle redescendit. - Range ta langue. Plus bougé. Elle m’aida à descendre et me fit mettre à quatre pattes. - Bon choisissons la bonne selle. Elle fit mine de réfléchir.. Ah voila.. Elle prit alors une selle qui était accrochée au mur et la posa sur mon dos et la sangla. Je sentais les étrier tomber de coté. - Alors Monsieur, comment trouvez vous votre pouliche ? elle s’est déjà fait fourré sans trop objecter et là, elle accepte la selle sans rechigner.. - Humm.. cela donne envie de se saisir des rennes et de bien la chevaucher. Mais je vous en prie, c’est vous l’éducatrice. Je vous laisse le soin de vous en occuper. - Je vous remercie cher Monsieur. Avec un tel spécimen croyez moi, je m’en occupe avec douceur et fermeté. Elle grimpa alors sur la selle, prit les rennes en main. - Allez hum.. avance.. Elle fit mine de me chevaucher avec ma selle. J’avançais alors à quatre pattes, elle sur mon dos. - Stop ! Reste bien comme ça, bien cambrer. Elle saisit son soumis par le licole. Elle fit de même avec lui. Une bonne selle également pour lui. Elle se promena avec lui le chevauchant sans aucun état d’ame et le cravachant si fortement. Il semblait avoir besoin d’une grande discipline. Quand il arrivait à ma hauteur elle descendit de sa selle. - Oh mais regarde qui nous retrouvons… Va y sens la. Il venait alors vers moi pour me sentir de partout, il se frottait contre moi. - Je vais vous laisser. Toi Galope bien sa chatte. Je veux l’entendre bien hennir. Ne lui accorde aucun répit. Tu as le droit de la maltraiter si besoin. Elle se retira et alla s’asseoir à coté de mon Maitre. - Il est toujours plaisant de voir comment les animaux baisent entre eux dit elle à Monsieur. - Allez Lane, Cambre toi bien, me dit mon Maitre avec une voix rieuse. Je sentis alors le soumis commencer à mettre le gode dans ma chatte. Il l’enfonçait doucement puis le retirer doucement. Il écartait bien mes fesses pour j’imagine regarder comme il rentrait dedans. Puis soudainement il m’agrippa par les seins et me chevaucha si fortement. - Allez prend les rennes, bien au fond je t’ai dit ! Il prit alors les rennes pour me cambrer. Je bavais. Je le sentais si fermement dans ma chatte… Il y avait une telle frénésie. - Lane, fais toi bien baiser comme une bonne pouliche. J’aime te regarder te faire prendre ainsi. Une pouliche de compétition.. Il s’était approché de moi.. Il me caressait le dos, comme pour me rassurer. Il prit alors mon sein droit dans ses mains.. - Hum regarde comme il valse au rythme de ta cavalcade.. Il s’approcha alors de mon cul. Le soumis se stoppa. Il retira alors le gode de mon cul. - Leche son cul dit sa Maitresse. Mon Maitre écarta mes fesses et ne ratait pas une miette de ce soumis en train de me lécher le cul. - Je t’autorise à la pénétrer avec ta langue et à te nourrir de sa cyprine. Vu comme elle bave. Ce sera ta récompense. Je sentais sa langue rentrer doucement dans mon anus. IL se délectait. Il me bouffait littéralement la chatte et le cul. - Hum, c’est un excelllent nettoyeur ma chère. Il la lave correctement. - Oui en effet c’est un bon nettoyeur et un excellent cireur de pompe. Vous savez combien j’aime l’hygiène et la propreté. - Voyez ce que ça donne deux chevaux qui se retrouvent.. intenable.. ils ne pensent qu’à baiser. - Continuons à profiter de ce spectacle. - J’aime quand ma pouliche exhibe ses attribus. Je pense qu’il faudrait travailler sa chatte et son fion davantage pour accueillir au mieux la queue de votre étalon. - Oui je conviens. Elle avait du mal tout à l’heure. - Suffit maintenant. Elle écarta l’étalon de mon cul. Elle nous enleva la selle. Elle retira alors le code ceinture de son soumis et ouvrit la braguette. Elle le branla doucement. JE voyais les yeux du soumis s’égarer avec cette caresse. Tu as bien mérité ta récompense. Elle va aussi te nettoyer… Elle me releva et me mit le ventre contre le chevalet. Elle m’attacha les chevilles avec les anneaux au sol tout comme mes poignets. Elle attacha ensuite ma queue de cheval a ma taille. Ma bouche était ainsi bien maintenu relevé. - Ouvre ta bouche, sors la langue.. Elle inspecta l’intérieur de ma bouche. - Viens là toi. - Mets ta queue dans sa bouche. - Allez baise moi sa bouche. Tu peux lui faire ce qu’il te plait. IL mit alors sa main au niveau de ma gorge. Avec mes oeilleres, j’avais une vue imprenable sur ses couilles et queue. Il avait un sexe d’une si grande taille. Il m’enfourna puis saisit les rennes et les ramenait vers lui pour me donner le rythme.. Je l’entendais râler de plaisir. Quand je sentis les doigts de Madame pénétrer mon petit fion, je fondis de bonheur. C’était si.. intense. Elle y metta deux doigts de chaque mains pour écarter mon fion. Mon maître s’était rapproché. - Lane, tu n’es pas encore assez ouverte… Il me morda la fesse et inséra un doigt entre les doigts de Madame. - Oh j’ai une idée Monsieur.. si nous la doigtions ensemble ? Elle décida de s’occuper alors de ma petite chatte. D’abord elle la lécha.. - Hum quelle cyprine délicieuse. Je suis sure que mon étalon l’a bien apprécié. Avec son savoir faire elle me caressait tout en commençant à me pénéter la chatte. Elle faisait des mouvement circulaires.. - Tu es déjà bien ouverte petite pute. Elle tournoyait doucement. Mon maitre observait Madame qui allait probablement me fister la chatte. - HUmmm… Quatre doigts.. petite gourmande…. Comme tu mouilles… - Bite en bouche dit elle… ne bouge plus. C’est là qu’elle commença à me fister. Elle commençait à bien enfoncer sa main et à me marteller la chatte. Je sentais la queue pénétrer jusqu’à ma gorge. J’avais tant de mal à me contenir. Je voulais me défaire de cette queue. - Laisse la respirer et replonge à nouveau sans bouger. - Tu n’as pas intérêt à le mordre. Elle s’était redressé et me baiser avec son petit poing dans ma chatte. - Prends bien ça dans ta putain de chatte de salope Elle faisait des va et vient si fort.. Je sentis alors mon maitre me mettre des doigts dans mon cul. Je n’aurai pu dire combien. Je me sentais comme cette jument qui est fatiguée après une longue chevauchée. Quand elle ressortit son poing, je pleurais. Je ne savais même pas pourquoi. - Arrête de sucer maintenant. - Détache là dit elle au soumis. Le soumis me détacha. - Retourne toi. Allez plus vite.. C’est bien de prendre son plaisir pour se faire baiser mais un peu d’écoute serait la meilleure des reconnaissances. Elle me tira par les cheveux. - Ecarte des cuisses. J’étais a moitié allongée sur le chevalet. Mon maitre était derrière moi. Il ne tenait dans ses bras. Il me mordait le cou. - Hum j’espère que tu prends du plaisir ma belle. Tu es si belle ainsi. - Toi mets toi à genou. Il s’était mis à genou. - Ouvre ta gueule et sors ta langue. Elle prit possession alors de ma chatte et avec un doigté merveilleux me rendait complètement folle. Mon maitre me baillonna la bouche de sa main tout en pressant contre lui avec son bras plié autours de mon cou. - Allez jute petite salope. Tiens.. regarde moi ça… - Regarde comme tu gicles ma petite pute. Tout mon corps tremblait. J’avais des spasmes. Le soumis ne perdit aucune goutte de ma jouissance. Allez leche bien le sol, je ne veux pas que tu laisses le nectar perdu. - Oh merci Maitresse… - Tu le mérites tu as été bien sage. - Allons remettre la pouliche au box. Mon maitre me prit alors par la longue tout en me caressant le dos. Madame était si stricte. - Petite ingrate, tu as pris du plaisir, sans que mon étalon ne puisse lui en prendre. Elle me jeta alors dans le box. Elle enleva alors mon harnais. J’étais complètement nue. Elle me prit par la gueule et me jeta sur le ventre au sol sur la paille. - Etalon, je te laisse cette pouliche. Tu peux en faire ce que tu veux durant 10 Min. - Oh merci Maitresse pour ce présent. - Je te laisse avec ta queue de cheval qui te gode si bien ton fion. Il s’était mis à ses pieds pour les embrasser. - C’est bon arrête. Elle le rejeta à coup de cravache. Elle posa son pied sur mon dos. - Tu la prendras uniquement par le cul ou la bouche. Sa chatte est bien sensible maintenant. Ils sortaient tous les deux du box et le refermait. Ils étaient là à observer. - Oh regardez mon cher. L’étalon semble vouloir prendre la pouliche. - On dirait qu’elle n’est pas d’accord. Je me débattais mais le soumis me pris les mais dans le dos. Il les attacha. IIl se saissit d’une sangle accrochée et la passa sous ma taille. L écarta mon cul et y glissa sa queue. Il s’empara de la sangle de sa coté. Il réhaussa ainsi mon cul. Il ne me parlait pas, je sentais juste son souffle d’étalon en chaleur. Il me martelait fortement le fion.. Il avait une telle endurance. Il ne tenue pas longtemps. Il éjacula sur mes fesses. Il se releva. Je le vis aller vers l’entrée du box à quatre box. - Releve toi. - Hum tu l’as bien baisé.. - Lane, tu es une sacrée pouliche. Je pense que dans le monde équestre, tu vas faire une entrée fracassante. Trouver des étalons à ta hauteur.. Mais il y a encore du travail… Il me laissa ainsi dans la paille. Je sentis des personnes passées pour me regarder étendue nue dans le box. - Est elle à disposition ? - Non elle ne l’est pas pour le moment. - Ah vous en êtes le propriétaire ? - Oui en effet. - Pourriez nous avoir vos coordonnées, j’organise prochainement un concours.. - Avec plaisir… Il revint me chercher au bout d’un moment. J’étais si fatiguée, si écartelée… Je remis ma robe avec bien des difficultés, mes bras endoloris. Chatte à l’air et salie par ce sperme sur mes fesses. - Demain, nous reprendrons ces exercices. Nous allons avoir un concours à préparer…
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Par : le 09/05/20
Ils s'agit là bien sur d'une fiction. Je suis navrée pour les fautes éventuelles, je ne me suis pas relue. je suis assise sur mon canapé quand j'ai entendu sonner. ********************************************************************************************************** Il m’avait dit que des amis devaient passer à la maison et que je devais les accueillir. IL venait récupérer un colis qu’il avait chez lui. J’étais tranquillement posé sur le canapé en mode cocooning. Je profitais de mon après midi cool pour me détendre sur son sofa. J’étais en train d’écrire comme à mon habitude. La sonnette retentit, me sortant de la tête de mon ordinateur. Je pestais. Quand j’écris tout s’enchaine. Je n’aime pas être stoppé dans mon élan. C’est là que j’ouvrrai la porte. - Bonjour Mademoiselle. Je suis l’amie de M. - Ah oui il m’a dit que vous passeriez. Par contre il ne m’a pas dit où il a laissé le colis. - Ne vous inquiétez pas, il m’a dit où il était. - Ah c’est parfait. Je vous en prie entrer. Sans que je puisse l’apercevoir, je vis un autre homme sur le coté rentré également. Il avait un style qui me mettait un peu mal à l’aise mais si Monsieur leur faisait confiance. J’appelais Monsieur. Mais il ne décrocha pas. Soudainement, pendant que j’étais concentré sur le téléphone, je sentis l’homme m’agripper en me baillonant par la main. - Tout doux petite chienne. Plus tu te débats, plus que je ferais mal. Est-ce cela que tu veux. Je hochais de la tête que non. Il m’attrapa les bras et les mis dans mon dos. Avec une manœuvre de son pied il me fit me mettre au sol. Son compagnon s’avança et me maintenant le cou avec son pied au sol. J’étais alors à plat ventre ne pouvant réagir. Je me débattais mais il était bien trop fort. Un des hommes me mit du ruban sur la bouche et l’autre fit de même autours de mes poignets. Puis on me mis une cagoule. Puis il m’attacha également les cheviles. Je me retrouvais contrainte, à leur disposition. Dans ma tête Je n’avais pas le choix. Je devinais que Monsieur avait préparé quelque chose pour moi. C’est ce que je me disais pour me rassurer. - Tu as trouve entendais-je ? - Oui c’est bon, là où il m’a dit. L’homme me souleva pour me redresser. Il me maintenait ferment pour ne pas que je tombe. - On va bien s’amuser je crois. Je ralais à travers mon baillon. - N’est ce pas trésor. On va bien s’amuser me dit il me pelotant les seins. L’homme me souleva et je sentis qu’on me mit dans une sorte de coffre. Je sentais au fond de ce coffre une couverture. J’étais ainsi recroquiviller dans cette boite. Puis je sentis un cadenas la refermé. JE hurlais même si je personne ne pouvait m’entendtre. J’essayais de taper contre la boite. - Calme toi petite salope. Tu n’as pas d’échappatoire. Je te conseille de te calmer. Au bout de quelques minutes l’homme s’adressa à moi. - Nous allons te sortir d’ici. Si tu bouges, que tu manifestes ta présence, je te garantis cela va très mal se passer. Vas-tu rester sage ? Je fis un oui à travers mon baillon. Je sentis alors la boite se soulever. Pour être mise sur un truc à roulette. Tous les sons était décupler. J’entendis alors la voisine dire. - Bonjour Messieurs. - Bonjour Madame.. bonne journée à vous. Ils se montraient d’une telle politesse. Nous devions être dans le sous sol du garage. Monsieur avait du leur donner le code. Ce qui me rassurait au fond. Je compris que la porte d’un van s’ouvrait et qu’on me transportait quelque part. Je m’étais calmée avec le dent. Mais mon dos me faisait mal tellement j’étais mal installée dans cette boite. La voiture s’arrêta. La porte s’ouvra et là encore on me traina dans ma boite. - Mets là là c’est parfait. On ouvrait le cadenas. On me releva. - Je vais te détacher. Je vais enlever ta cagoule. Ne tente rien compris ? Je hochais à nouveau la tête. Il découpa le ruban. - Va y ote ta cagoule. EN otant la cagoule, je vis que j’étais dans une sorte de lieu presque desafecté aménagement en forme de loft garage. Des poutres métalliques et des chaines de partout. - Tiens bois. Je pris le verre avec bonheur. Ma gorge s’était assechée. Un des hommes s’approcha de moi et m’emprisonna de ses bras ; Il me reniflait . - Hum _elle sent si bon.. elle sent la petite fleur de campagne qu’on a envie de cueillir. - De l’autre, il saisit mon sein et le pressa. Il me rejeta contre une table. Je me retournais. Je mis mes mains contre la table. Il portait tous un masque. Je ne pouvais pas les distinguer sauf leur regard. Un des hommes vena vers moi et me bouscula sur la table afin de me mettre sur le dos. - Tiens moi cette pute. IL me tenait les mains fermement au dessus de la tête. Il tenait à sa main une paire de ciseau. C’est là qu’il commença à découper mes vêtements. Je commençais à crier. L’autre me gifla. - Bouge pas petite salope. Sa gifle était si forte que j’étais presque sonné. Les bras maintenus, je n’offrais plus aucune résistance. IL commença à découper mon t shirt. - Va – coupe ce soutien gorge. Je veux voir ses mamelles de chienne. IL m’immobilisa la tete en me tenant le menton si fort puis il me lecha la bouche. - Tu vas être notre petite esclave sexuelle. Allez avoue que cela t’excite.. Il commença à découper mon pantalon. Mes yeux étais apeurée. - J’aime voir les petites chiennes apeurées qui après quémande auprès de la main qui les bats davantage. Tu nous en redemanderas. Il me tapotait le visage. JE me retrouvais ainsi nue dans cet endroit lugubre à la merci de ces hommes. L’homme pris mes tétons et les pressa bien fermemant. Je voulais hurlais. - Ta gueule pouffiasse. Il me gifla à plusieurs reprises L’homme qui me maintenait, je sentais son souffle au niveau de mon cou. Il me dit. - Je vais prendre un plaisir à te faire fermer ta petite gueule avec ma bite. - Je te propose qu’on la prenne à tout de rôle histoire de la calmer. Il m’avait attaché les mains qu’il avait relié au pied de la table. - Tu vas pouvoir hurler autant que tu veux. Personne ne va t’entendre à part nous. Il s’approcha et me prit par le cul. - Oh mais regardez cette putain. Allez prends ça … Je sentais chaque coup si fort. Je fermais les yeux… C’est là que l’autre homme me força a ouvrir les paupières. - Laissez moi .. je vous en prie laissez moi. Puis il me mit sa bite dans ma gueule. - Hum quelle bonne disposition à se faire prendre. Quelle pute. Ferme ta gueule. IL m’avait pris tous les deux à tours de rôles. Il m’avait aspergé de leur sperme. J’étais écoeurée, salie, souillée. Un des hommes me releva. Je titubais. Il me prie par les cheveux et me traina au sol. Epuisée par leur abus sexuel, il me déposa comme une poupée dans la boite et referma le couvercle. Je cogita au traitement qui allait venir. J’entedis alors des sons. Le couvercle s’ouvrait. Tout en regardant avec mon regard de petite chienne terrifiée, il me caressa le visage avec une certaine douceur. La lumière du néon m’aveuglait. Je clignais des yeux. - Alors petite chienne de quoi as-tu envie ? on est là pour toi.. tu as le choix.. sodomie, gorge profonde, double pénétrations.. On peut appeler d’autres potes pour faire une tournante. Je suis sûr que tu aimerais ça. Il s’amusait à taper contre la boite pour augmenter la tension régnante.. Je devinais son sourire sadique et pervers. IL me sorta de là toujours en me tirant par les cheveux. SA poigne était si forte que je me soumettais naturellement. Il me tenait en même temps par la gorge. - Avance.. Il me jeta sur un banc sur le dos. Il plaça ma tête. L’autre surveillait tous les gestes. J’étais relativement dociles Il s’agissait d’un meuble où de chaque coté il y avait des trous destinés à des poignets. Il m’emprisonnait les poignets dedans.. J’étais ainsi bloquée. Allongée sur le dos, la tête légèrement en arrière. Il avait attaché mon cou au meuble afin que je ne bouge pas. Ensuite, il s’occupa de mes chevilles. Il les attacha pour qu’elles restent bien entière mettant à disposition chacun de mes trous. Un des hommes vint tout de suite me mettre sa queue dans ma bouche. IL me tenait bien la gorge comme pour m’inciter à m’appliquer. Il s’amusa à butter sa bite contre ma joue. Je sentis alors l’autre me doigter. - Je vais te faire juter petite salope. Tu mouilles déjà tellement. Il passait ses doigts sur ma chatte. Sans aucun ménagement il inséra plusieurs doigts avec des va et viens si intense . je n’arrivais pas à me retenir. Je râlais face à ce stimuli si intense. - Oh mas regarder moi ça… mais qu’est ce que tu jutes… - Ferme lui bien la gueule quitte à y mettre tes couilles dit son ami. Il prit possession de ma chatte. J’avais mal. Il m’avait déjà pas mal pilonnée avant. Je bougeais comme je pouvais. C’est là qu’il me donna un coup de jus avec son appareil sur le ventre, mais je continuais à me débattre. Il se retira. - Ah oui tu veux la jouer comme ça. - - Garde bien ta queue dans sa bouche. - - Si jamais tu le mords, je vais te déchirer tellement le cul. Tu ne marcheras pas pendant plusieurs jours. Je me souvenais de la grosseur de son membre. Au son de sa voix, je savais qu’il ne plaisantait pas. Il commença à mettre quelques petits coups sur ma chatte. Je ne supportais pas cela. Je faisais attention de ne pas mordre la bite que j’avais dans ma bouche. Il riait. - Ne bouge pas.. J’essayais d’esquiver cela mais rien n’y faisait. Il riait d’un rire assez sadique. Puis il repris sa place et me besogna bien profondément. Il éjacula sur ma chatte et s’amusa à l’étaler. Il me laissa là salie. Au fil du temps à autre il repassait et me prenait parfois par la bouche, le cul ou la chatte. J’étais entièrement à leur disposition. Je n’avais plus la notion du temps. J’entendais leur voix se demandant ce qu’il allait faire avec moi. - Je t’avoue que moi ce qui me fait tripper c’est de voir ses yeux apeurés quand je la baise. J’ai envie de lui détruire son petit cul. Je pense que je vais m’amuser à l’élargir après. Tu veux regarder. - Ah oui clairement ! elle a l’air sacrément chiennasse. - Et toi qu’est ce que t’aimerai bien lui faire ? - Que dirais tu si on la labourait bien ensemble ? - Ah oui excellente idée.. - SI on appelait M et D.. Je suis certain qu’il aimerait profiter d’une si bonne chienne. Je le vis sortir son téléphone. - Eh Salut M. Que fais tu de beau ? J’ai une super proposition à te faire. J’ai une bonne chiennasse qui a envie de bien se faire baiser . Ca te tente ? La conversation dura quelques minutes. Je me demandais ce qu’il allait faire de moi. J’avais envie que Monsieur soit là. Je commençais tout doucement à pleurer. - Salut D. Ca te dit de venir baiser ? j’ai pour toi une bonne petite chienne. Si tu voyais son petit cul.. Il se rapprocha de moi. Il se mit à ma hauteur. - Oh pas besoin de pleurer petite chienne. On va te donner plein de bonheur. Sache qu’on va être 4 à s’occuper de toi. Quelle femme n’aimerait pas ça.. Il mima alors avec son bassin un mouvement de va et vient pour me montrer ce qui allait m’attendre. Il me libéra alors de ce meuble. Il m’attacha les poignets bien fermement et m’enchaina le cou. Puis il me dirigea vers le fond de la pièce. Je vis un vieux matelas. Il me jeta dessus. Puis attacha la chaine au mur. Il me recouvra la tête avec une toile de jute. - Hey Salut M.. salut D.. ravis que vous soyez à notre petite sauterie. - Nous ne pouvions que dire oui.. - Viens je vais te montrer la chiennasse. Je te dis pas les trous qu’elle a. Elle a une de ces bouches ! Bon elle a du mal avec nos grands membres mais ça se voir qu’elle aime la bite. Je commençais alors à bouger, consciente de ce qui allait se passer. - Je vous en prie arrêter. - Ferme ta gueule de pute. Au bout de quelques minutes il revint. Il enleva la toile et me regarda dans les yeux - Je vais te rendre bien docile. C’est là que je le vis avec un sac en plastique. Il le mit sur ma tête. - Non non.. Il serra bien le sachet avec ses mains autours de mon cou. IL m’embrassa à travers le plastique. J’étais écourée. Je haletais. Je sentais que l’air commençait a se rariver. Le plastique se collait à mon visage. Soudain, il releva le plastique tout en étant sur moi. - Allez respire salope. Je pris une bonne bouffer d’air puis me il renouvella l’opération. Cette fois là il commençait à le garder un peu plus longtemps. Quand il m’accorda à nouveau de l’air, je reprenais mon souffle. Il s’amusa ainsi à contrôler mon air. Je me sentais doucement partir, sans force. - Messieurs. Regardez moi cette chienne bien docile. Je sentis différente mains me peloter de partout sans trop retenir ce qui se passait. On me tirait sur le matelas pour me mettre dans différentes positions. On me claquait les fesses, on me baisa par la bouche. Je me retrouvais à genou. Un des hommes me faisait sucer un autre tout en me donnant le rythme. - Allez enfonce bien cette queue dans ta gueule de pute. - Tiens.. voilà bouffe…dit l'autre. Ma bouche s'ouvrait naturellement. J'ouvrais ma bouche comme une bonne chienne. Je sortais ma langue. Tandis qu’on me forçait à m’appliquer un autre me doigtait le cul. Tout en me tirant par les cheveux il me redressa. J’avais encore de la salive qui bavait de ma gueule. IL me jeta la tête au sol et releva bien mon cul. Tout en étant debout, il écarta mes fesses et enfonça en étant fièrement dressée sa bite dans mon cul. - Putain de salope. Je vais te donner. IL tenait mes fesses en même temps qu’il me prenait le cul. Tout doucement il sortait sa queue pour mieux ensuite l’enfoncer. Il y prenait un plaisir. - Messieurs regarder moi ce trou du cul. Un des hommes s’était saisi de ma main pour que je le branle avec. Je sentais aussi des doigts s’attarder sur ma chatte. J’étais là sans être là a subir cet assaut de queues. A tout de rôle, il me prenait le fion. - Voilà, tu es parfaitement élargi. On croirait que ton petit fion va parler tellement il est ouvert. Ils s’amusaient à me baiser comme leur petit jouet. Je me sentais complètement perdue avec ce besoin d’être réconfortée en me demandant quand tout ça allait se terminer. Ils me recouvraient de leurs spermes. Je me sentais si sale. Je ne rêvais que d’une chose. Une douche chaude et les bras de mon Maître. - Vous avez vu Blanche Neige.. Sa peau si blanche et laiteuse. Je les entendais rire. Ils m’avaient bien utilisée. Une fois leur œuvre accomplie, on me détacha. On me rejeta dans la boite comme si on se débarrassait après l’utilisation d’un produit J'J'étais nue, attachée et baillonnée. L’homme referma le couvercle. - Bye bye petite salope. A bientôt. Sache qu'on garde un œil sur toi. Je me sentais presque heureuse d’etre remisée ainsi. Je pouvais reprendre mon souffre. J’entendais à nouveau la porte d’un van s’ouvrir. On me déplaçait. Je compris que c’était la fin. J’entendais la sonnette. - Nous avons un colis pour Monsieur. Je reconnais la voix de Monsieur. JE me sentais pleine de joie à l’idée d’etre avec lui. - Je vous en prie déposer le ici. Voici la clef pour l’ouvrir. - Bien. A bientôt Messieurs. J’entendis le cadenas cédé. Il ouvrait la boite. Il ota mon bandeau. Il me regardait droit dans les yeux avec son sentiment de fierté. Il me caressait le visage. IL me libéra la bouche qui était douloureuse. Il me souleva de la boite. En étant toute attachée, il me conduisait vers la salle de bain. Il m’avait préparé un bain aux huiles essentielles. Il me déposa dedans. Chaque mouvement m’était si pénible. J’avais mal partout. Mes muscles étaient endoloris. , ma chatte irritée, mon fion me faisait aussi mal. Ma mâchoire m’était aussi douloureuse. C’est dans le bain qu’il ota mes liens. IL s’était accroupi et me regarda dans les yeux. - Tu ne me remercie pas ? Dans un souffle.. je hochais la tête. - Tu sais, j’étais là, je te regardais te faire prendre, malmenée, insultée et baisée. Tu as été une bonne petite chienne bien brave. Tu es ma fierté. Je n’arrivais pas dire un mot. Tellement j’étais fatiguée. Il m’embrassa sur le front. - Je vais m’occuper de toi ma douce Nina. Tu le mérites terriblement !. Il me sorta du bain. Il me secha et m’enveloppa dans la serviette. Je titubais. Ma tête partait en arrière. Il me borda au lit. Il me prit dans ses bras et m’embrassait d’une infinie douceur. Je me retournais pour me blottir contre lui. Je ressentais cette intensité de lui appartenir. C’était toujours de plus en plus fort. - Demain, tu m’écriras tout ce que tu as subi et comment tu as ressenti les choses. Je m’endormis ainsi dans ses bras.
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Par : le 09/05/20
Désolée pour les fautes éventuelles, je ne me suis pas relue. J'ai préféré ouvrir une bouteille de champagne.. ************************************************************************************************* Cheveux au vent, je conduisais mon cabriolet. Une Z3 couleur vert anglais. J’adorais le coté rétro qu’elle avait. Il aimait me voir conduire. Main sur le volant. Un accès parfait à toutes ses caresses. Nous partions en week end au Luxembourg pour son anniversaire. J’avais pris le soin de tout organiser pour le surprendre, que nous passions du bon temps. Il ne faisait pas trop chaud c’était si agréable. Nous empruntions toutes les petites routes. J’avais réservé un hôtel spa en pleine nature, invitant à une détente totale. Cela faisait 1h30 que nous roulions. Nous étions partis en fin de matinée de Strasbourg. Au feeling de mon humeur, en passant dans cette forêt, je me suis dis voilà un endroit parfait pour mon pique nique. J’humais cet air si agréable sentant la nature. C’était si agréable. Seul les oiseaux se faisaient entendre. Je lui souriais. - Ne bougez pas dis-je d’un regard bien complice. - Non, je ne bouge pas, je te laisse faire. J’allais lui ouvrir la portière avec mon coté espiègle. - Après vous Monsieur. En sortant de la voiture, il me claqua avec affection mes petites fesses. J’ouvrais alors le coffre. J’avais tout préparé avec minutie.. Le vieux panier en osier, de vrais couverts, des assiettes en porcelaine, mes verres à vins et mes coupes de champagne. Il m’était d’ailleurs inconcevable, comme lui d’ailleurs, de boire de si bonnes choses dans des verres de merde. J’étalais alors la nappe blanche rayée de bleue, j’y déposais de cousins. J’installait une petite table que je recouvrais également d’une nappe blanche. Un Pique nique chic ! Je voyais son regard amusé. - As-tu besoin d’aide ? - Non , je vous remercie. C’est très gentil à vous mais vous me connaissez dans ces moments là. Je veux que tout soit parfait, surtout quand il s’agit de vous. - Tu es adorable ma petite Nina. C’était le diminutif qu’il m’avait donné. Celui de mon véritable prénom. J’étais à quatre pattes en train de bien tout disposer pour ne mettre aucune saleté. J’avais oté mes petites chaussures. Ma petite robe légère se retrouva sur mes fesses. La brise s’était amusée à la faire valsée. D’un d’air timide je la rabattais. - Oh, tu étais très bien avec ta robe sur la taille riait il Il me taquinait toujours car j’étais tellement concentrée et maladroite quand je voulais tout mettre en place. Il comprenait que c’était un exécutoire pour moi. Lui indiquant par la main sa place. - Monsieur.. votre table est prête. Me permettez vous de vous servir du champagne ? - Oui, bien volontiers. Je me saisis de la bouteille que j’avais mis bien au frais dans un sac prévu à cet effet et les bons pains de glaces. Champenoise d’origine, on va dire que j’ai une aisance naturelle à les ouvrir. Je laissais le bouchon cédé. Nous le regardions ensemble s’envoler. Je le servais puis j’en profitais pour me servir aussi. C’était dans ces moments où j’aimais ces instants où nous échangions de tout, nous débattions.. et le coté soumise était en général mis de coté. Même si.. je ne pouvais m’empêcher de le vouvoyer. J’avais préparé un bons plateaux de charcuteries et de fromages que j’avais sélectionné avec soin. IL méritait ce qu’il y avait de mieux. - Je te félicite pour tout ce que tu as préparé. Tu es vraiment douée ! J’adore. Merci. Il m’avait rapproché de lui pour m’embrasser tendrement tout en maintenant une petite tension en s’agrippant par mes cheveux. Ce champagne était si bon.. un repas au champagne. Voilà que la bouteille se finissait. - Viens là… IL tenait la bouteille dans ses mains et la posa à coté de lui. J’aimerai qu’on mémorise au mieux cette délicieuse bouteille. Il commença à mettre la bouteille à nue. - Empale toi dessus, je te prie. Je le regardais, tout en rougissant. - Par le cul, je précise ! Pas besoin de lever ta petite robe. Je me retrouvais alors debout. IL tenait la bouteille pour ne pas qu’elle tombe. J’installais mon anus sur le goulot de la bouteille. Je poussais un petit cri. - Allez enfonce le bien. Je sentais doucement le bout de la bouteille s’insérer en moi. - Hum tu peux mieux faire.. allez encore. Je l’écoutais, je forçais davantage la bouteille. - Maintenant baise toi avec. Il me regardait alors faire des va et viens. - Stop ! plus bougé. IL souleva ma robe pour s’assurer que la bouteille était bien au fond. - Garde ta robe sur la taille et caresse toi. Tout en le fixant, j’aventurai mes doigts sur mon clitoris. Je n’aimais pas me caresser devant qui que ce soit. IL le savait. Je pense qu’il me punaisait des libertés que j’avais prise . - En voilà une bonne petite chienne. Tu aimes avoir le cul bien rempli.. Regarde moi ! J’avais baissé les yeux. Je les relevai - Oui, monsieur j’aime avoir le cul bien rempli. Allez à quatre pattes, bouteille au cul. Il s’était alors relevé. - Hum quel magnifique porte bouteille. Avec son pied, il appuyait la bouteille par le culot pour mieux me l’enfoncer. - Allez continue de te baiser.. Je continuais les va et va. A chaque fois il poussait davantage. J’avais du mal. - Tête au sol. Il tenait son verre de champagne dans les mains.. c’était un détail que j’avais retenu. J’entendais qu’il le posa sur la table. Il prit la bouteille entre les mains. Il commença a la sortir.. - Hum, j’aime quand tu t’ouvres ainsi… Ecarte bien tes fesses. J’obtempérais pour lui présenter mon cul. Il me glissa à nouveau la bouteille dans le fion. - Tu aimes te faire prendre ainsi ? - Oui .. Monsieur. - Je me doute bien. Regarde moi tu bas de mouille. Il retira la bouteille et la présenta à ma tête. Il posa le doigt en me regarda : - Voilà jusqu’où elle est rentrée petite salope. J’espère que nous pourrons mieux faire la prochaine fois. Hum en voilà un bon début de week end. Il replaça la bouteille. Reste comme ça ! Au bout de quelques temps. - Relève toi et range tout. Ensuite tu iras te cambrer sur le capot de ta voiture. Je m’exécutais. Une fois en place, il défit sa ceinture. - Pas un bruit, compris. Je baissais la tête.. - Oui Monsieur. Il me donna la fessée avec sa ceinture. Elle avait le don de laisser de sacrées marques. Ces coups étaient parfois des plus doux, parfois des plus cinglants. Il m’apaisait aussi en passant sa main pour me les cajoler. Il me passa la ceinture autours de mon cou et s’assura de bien le serré pour me dresser comme il le faut. Je sentais son souffle et son excitation. Sa queue était son gonfler. En pleine frénésie IL jeta mon ventre contre le capot. Il avait pris mes bras et s’en servi pour me prendre encore plus profondément. Il râlait de prendre son pied. C’était si animal. Il repris alors la ceinture et m’étrangla avec pendant qu’il jouissait bien au fond de mon cul. - Petite putain. Tu rouleras ainsi… Allez en voiture. J’étais complètement sonné par l’assaut qu’il avait eu à l’égard de mon cul. J’avais perdu de ma superbe. - Donne moi les clés. Je vais conduire. A l’arrivée à l’hotel, notre chambre était assez spacieuse avec des poutres apparentes. J’aimais sélectionner des hotels laissant place aux jeux.. Il avait toute une valise avec ce qu’il faut pour nous adonner à nos jeux. - Va te laver m’ordonna t il. J’allais à la douche. Je le sentis alors venir derrière moi. Je me déshabillais. Il me saisit par les cheveux et me poussa sous la douche me forçant à m’agenouiller. Il avait enclenché la douche. IL me plaqua alors contre le mur en me tenant les bras au dessus de la tête. IL me baisa la bouche. Il aimait me la faire garder bien au fond. Il pinça alors mon nez pour me faire ouvrir mieux la bouche. Soudain, il me prit par la gorge et y aller sans aucun ménagement. Il me releva. Je le regardais droit dans les yeux avec un sourire satisfaite. Il me gifla. - Baisse tes yeux. Je remis alors ma tête en place et je le regardais - Baisse tes yeux, petite salope. Il me regifla. Il me tena la gueule avec sa main. Il me redressait j’étais sur la pointe des pieds. - Tu sais ce qu’on fait aux petites putains ? Il introduit plusieurs doigts dans ma chatte. Il me doigtait bien intensément. - Tu en as besoin, n’est ce pas. Tu aimes être doigtée ? Je baissais le regard. - Réponds moi. Il tenait toujours fermement ma bouche.. - Oui Monsieur j’aime être doigtée.. - Bien… Il s’était alors agenouillée. Il plaça au mieux son bras en dessous. - Allez empale bien. Il m’avait présenté 4 doigts ; J’adorais le sentir ainsi ça me rendait complèment folle. Il repris rapidement le contrôle. Savamment doigtée il jouait avec ma chatte puis il commença à la fistée. Je ne pue m’empêcher d’hurler.. J’étais alors empalée sur son bras.. - Regarde ça… sale putain.. Quand il ressortit sa main. J’étais alors vidée.. - Allez lave toi. Prépare toi pour le diner. Je prenais ma bouche. Quand je ressortis, je vis alors des boules de geischa posées sur le lavabo. Je m’employais à les mettre dans ma chatte. Cela me stressait déjà car quand je mouille déjà tant, j’avais peur de les perdre en marchant. Nous allions au restaurant de l’hôtel. L’ambiance était bien feutrée c’était si agréable. - Tu nous a organisé un superbe week end. - Je vous remercie. - Maintenant tu vas aller à la chambre. Tu vas faire couler un bain chaud et tu m’attendras nue comme il se doit. - Oui Monsieur. Je sortais alors de table pour me diriger vers la chambre. Il y avait une sublime baignoire avec pattes de lion. Je tournais les robinet. Je testais l’eau pour m’assurer que la température était agréable. Il revenait après 20 min. Je me demandais ce qu’il avait fait. J’étais à coté du lit a genou, les mains ouvertes. L’attendant. - Enlève moi les chaussures je te prie. Il s’était assis sur le lit. Avec mes mains je m’avançais pour retirer les lacets. - Non défaits les avec ta bouche . - Oui.. monsieur.. Avec mes dents je me saisis des lacets pour tenter de les défaire, mais je n’y arrivais pas. - Espèce de conne, incapable d’enlever correctement un lacet… - Lèche les chaussures je te prie dit il en claquant des doigts. Je me baisais pour bien lui lécher les chaussures. Il observait pour s’assurer que j’effectue au mieux ma table. - Bien , retire les chaussures et mes chaussettes. - Défais mon pantalon. - Déboutonne ma chemise. - Enlève mon boxer. Une fois ma tache accomplie, je me remise à genou à attendre ce qu’il voulait. Il s’était levée en allant vers ses affaires. Il me montra mon collier. Il me le mit. Comme a son habitude il le serra bien fortement. Il y mis la laisse puis me tenant à court il se rapprocha de moi pour me pincer à nouveau les lèvres. Il me posa des bracelets au niveau de mes poignets, de mes chevilles. - Mets tes bras au dessus de ta tête. Je m’exécutais quand je vis qu’il sortait les pinces à tétons. Il me vit alors faire les gros yeux. - Oh oui je vais bien m’occuper du travail de tes seins et de tes petits tétons fragiles. Il y déposa des pinces et s’amusa à y attacher des petites sonnettes. - Allez petit quatre pattes, on avance. Il me faisait alors marcher dans la chambre pour ensuite me conduire jusqu’à la salle de bain. - Bouge pas. Il revint alors avec un gode ventouse et un gros plug. C’est à ce moment là que je perdis mes boules de geisha ; J’étais honteuse. - Je reconnais bien ma petite chienne qui ne sait pas se contenir. Il posa l’énorme plug au sol et colla l'autre au carrelage un peu plus loin. Il mit alors la laisse dans mes mains. - Garde la bien ainsi en présentation. Tu resteras à genou le plug dans ton cul. - Oui, Maitre. Il se glissa alors dans le bain avec le verre qu’il s’était préparé. Il saisit la laisse pour ne pas que je parte. - Allez baise toi comme tu sais si bien le faire. Encore une fois je m’éxécutais. - Tu n’es pas assez bruyante, mets y plus de puissance, de force que tes sonnettes montre combien tu t’atèles à ta tache. - Voilà c’est mieux… Il souriait et profiter de son bain. - Suffit maintenant. - Retourne toi, gode toi la bouche et présente moi ton petit cul élargi. - Humm .. tu es très belle tu sais, ainsi. Il me tenait toujours par la laisse. - Merci.. Monsieur.. - De rien petite putain. Au bout d’un moment, il sortit de son bain. - Viens me sécher. Je le séchais aussi bien que je pouvais profitant de son corps que j’adorais. Je m’étais alors agenouillée tenant par mes mains sa cuisse. JE me blottissais contre lui. IL me caressait les cheveux.. en signe d’affection.. Il ressaisit ma laisse. - Allez gode en bouche. Suce le comme si c’était ma bite. Quand je reviens, je veux quetu les toujours en gueule tu penses que c’est possible ? Je bougeais de la tête en faisait une affirmation. Il ressortit me laissant ainsi. - Bien, tu n’as pas bougé. C’est parfait. Je n’ai pas entendu tes petites clochettes. Allez viens. Il avait installé des cordes. Il m’attacha les bras dans le dos à hauteur des coudes puis des poignets. Il la tendit en la passant sur la poutre. J’étais alors ainsi mains et bras attachés partant par l’arrière. Une position relativement inconfortable qui me faisait me pencher en avant. - Mords. IL me présenta le gag ball. - Voilà.. une belle posture. Prête à se faire enculer. Il passa sa main sur ma chatte.. Ah oui.. bien trempée… Il avait dans ma main sa badine. Il la passa entre mes jambes pour me forcer à les écarter. - Tu vas compter. 1… difficilement prononçable. Le premier coup s’abattit sur mes cuisses. 2.. Toujours sur mes cuisses mais un peu plus haut. Il faisait monter la tension me caressant avec ou parfois faisant mine de me frapper. 3… .. Sur la naissance de mon cul. 4.. Sur mes fesses 5.. Sur mes fesses. 6.. Sur mes fesses. Je hurlais à travers le gagball .. Ils s’approcha pour me calmer. - Chut… ce n’est que le début. 7.. sur mes cuisses. Je les refermais. - Ecarte tes cuisses de putain. 8… Il me remit un coup au même endroit. - Voilà de jolies petites marques bien rouges. Tu es ma petite œuvre d’art. - Regarde ce que j’ai pour toi.. IL me montra des pinces pour mes lèvres.. Je me dandinais.. jamais il ne m’en avait posé. J’étais sensible. - Je vais te laisser le choix.. Soit c’est les pinces sur ta chatte ou du poids sur des seins.. Je te laisse réfléchir. Je ne savais pas quoi choisir.. sensible de partout. - Je vois que tu n’arrives pas. D’accord.. Tes petites lèvres. Je fis mine que non… - Be voilà, ce n’est pas compliqué de faire un choix. Tu devrais me remercier d’être si indulgent avec toi. - Merci.. Monsieur. IL retira les petites clochettes et y fixa des poids. - Ne t’inquiète pas, ils ne sont pas lourds me murmura t il. Je mordais dans mon gag ball à en baver. De sa main, il m’enleva ce filet. - Et ça bave. Bon maintenant que vais-je faire ? Est-ce que je te laisse ainsi ? Est-ce que je te baise ? ou est ce que je te doigte.. - Hum je vais te baisser. Je crois que c’est ça qui va te faire bouger au mieux tes seins histoire que tu ne prennes pas des aises par rapport à mon indulgence. Il me prit alors par la taille et me baissa en premier lieu ma chatte. Mes seins bougeaient tant. Je voyais les poids se balader. Tout en me baissant il me claqua les fesses. - Mais je crois que le trou que je préfère c’est ton fion de salope. Il plaça son gland dans mon cul et me pilonna. Un coup.. puis un autre.. puis encore un autre bien au fond. Il prenait totalement possession de mon cul. Il éjacula . IL se retira. Il écarta mes fesses. - Je veux te voir suinter du cul avec mon foutre. Mon petit sac à foutre. Il s’installait alors sur le fauteuil et me laissa ainsi… Mon cul allait se remplir au fil de la soirée.
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Par : le 07/05/20
Je suis désolée pour les fautes éventuelles, je ne me suis pas relue. J'avais une envie folle de chamallow.. ******************************************************************************************************* Je sortais d’une bonne douche bien chaude. Mes muscles étaient tout dépendu. Cela m’a fait fait un bien énorme après cette longue journée. En ouvrant la porte de la salle de bain, il était là face à moi. Le regard tout rêveur, un petit sourire. Il mis sa main sur ma joue et me caressa. Je lovais mon visage contre lui. Il me tira par la main et me conduisait dans sa chambre. - Mets toi sur le lit ma petite renarde. Je le regardais, j’aimais quand il m’appelait ainsi. Cela laissait présager de doux moments quand il employait ce surnom. Je laissais tomber ma serviette au sol. Je m’avançais alors vers le lit. Je montais dessus. Une fois bien installée, je me dandinais les fesses comme pour une invitation. J’avais mis ma tête contre le lit tout en le regardant avec grand désir. Je l’invitais à vouloir jouer avec moi.. presque suppliante. J’esquissai ce sourire sur mes lèvres.. - Je vois que tu es d’humeur joueuse.. cela tombe bien. J’ai un petit cadeau pour toi. Je souriais. - Mets toi à quatre pattes.. Il s’avança vers le lit et s’assit à coté de moi. Il posa le paquet devant moi. C’était une boite fermée par un ruban. - Je veux que tu l’ouvres avec tes dents ou ta bouche. Applique toi ! Presque félinement, je me cambrais pour m’amuser avec ce ruban. Je le saisissais d’une extrémité avec ma bouche. Et je tirait doucement dessus. Il me restait à faire de même de l’autre. Je me déplaçais alors sur le lit et je défis l’autre extrémité. Avec mes dents, je tentais de défaire le nœud. Je le regardais alors avec ce regard qui nécessite de l’aide. - Oh tu as besoin d’aide. Je hochais la tête en faisant mine d’avoir l’intellect proche de celui d’un enfant qui a besoin de soutien. - Attend je vais t’aider. .. voilà. Allez continue. Avec le bout de mon nez je tentais d’ouvrir la boite, le couvercle tomba légèrement. Je le poussais alors tout doucement à nouveau avec mon nez. - Brave petite fit-il en me caressant la tête.. C’est bien. Voyons un peu ce que cache ce petit papier.. Attend je te le défais. C’est là que je vis une sublime queue de renard. Mes yeux brillaient. Il tapait sur ses genoux m’invitant à m’y installer. Tout en marchant à quatre pattes sur le lit, je passais au dessus de ses jambes pour lui présenter mes fesses. Il commença par me caresser les fesses. Il aimait un plaisir à les griffer, les mordre . C’était pour moi mon loup Alpha. Je continuai à bouger mes petites fesses quémandant encore davantage.. - Tout doux ma belle… IL écarta doucement mes fesses puis commença à balader ses doigts avec douceur sur ma chatte. - Redresse toi. Il me tenait alors par le coup et appuya sur mon dos afin que je me cambre. Naturellement j’avais ouvert ma bouche pour en sortir ma langue. - Hum bonne petite salope.. dit il en me fouillant avec un doigt la chatte. Il avait saisit le rosebud surlequel était fixée la queue de renard. Il l’humidifia en l’introduisant dans ma bouche. - Descends au pied.. Présente moi ton cul..allez. Je ne disais rien, j’étais excitée à l’idée de jouer à la petite renarde en essayant d’en prendre toute l’attitude. Je pris cette position où je présente mon cul à Monsieur. Tête au sol, cul relevé. - Humm que tu es excitante ainsi.. On va bien jouer ensemble.. ma petite renarde. IL placa le rosebud au début de mon anus. Il le poussa doucement jusqu’à ce que mon fion cède. Il s’assura qu’il était bien en place. Le jeu allait commencer. - Allez redresse toi que je te mette tes petites oreilles de renarde… Je savais quel était mon rôle ce soir. C’était tellement amusant et plaisant de jouer ce rôle de renarde. Ce coté intelligent, craintif, joueur.. c’est un animal que j’ai toujours aimé. - Voilà…. dit il d'une voix satisfait. Puis il me mit mon collier. Je commençais alors à marcher avec fierté avec ma queue de renard tout en me dandinant et le regardant. Il m’observait à l’affut de mes réactions. Je fis mine de vouloir sortir de la chambre. - Stop, viens là… Mais je n’écoutais pas je jouais à ce petit animal sauvage à apprivoiser. Il se leva et à ma hauteur, attacha la laisse. - Voilà, maintenant tu ne peux plus partir. Je forçais à vouloir marcher dans la direction inverse de la sienne en tirant sur ma laisse. J’éméttais un petit son d’animal appeuré qui a été mis en captivité. - Viens là, regarde la petite friandise que j’ai pour toi.. Je me fis alors un peu plus docile à dresser mes petites oreilles, si intéressée par la nourriture qu’il me montrait. Fièrement à quatre pattes, tête droite pour être belle et recevoir ma récompense. - Pas bougé. Il approchait avec sa main cette friandise… je devinais que c’était un Chamallow… j’adorais les bonbons, un péché mignon très utile pour attraper les petites renardes fuyardes. C’est alors que je commençais à tourner sur moi, à poser mes mains sur ses jambes en jouant de mes bras comme si c’était les pattes d’un renard. - Sage dit il en levant la main. Je le regardais droit dans les yeux continuant mon manège. Il me parlait avec un ton rassurant pour que j’obeisse. Puis doucement, je me calmais. Je m’étais assise sur les genoux, les deux mains sur ses jambes. Je ne bougeais plus je le regardais. Doucement il approchait le chamallow vers ma bouche. J’ouvrais ma gueule pour le saisir. Je sautais pour le récupérer. Il le retira avec rapidité. - Je vois que tu n’as pas encore les bonnes manières. On recommence. Doucement ! Je voyais le chamallow à nouveau revenir vers moi et à nouveau je fis mine de vouloir le voler de sa main. Une petite renarde bien joueuse que je suis. A nouveau il retira sa main. - Tu attends dit il en levant le doigt. Cette fois il rapprochait le chamallow de ma bouche. J’attendais. Je louchais dessus. - Maintenant ! Je mordis à pleine dent, dévorant cette friandise qu’il m’offrait. Il s’agenouilla et me caressa les cheveux. - C’est bien.. C’est bien, tu vois.. tu apprends vite… Allez viens. IL me fit marcher à la laisse. J’avançais quand il stoppa. Je continuais.. Je m’étranglais. Je revenais alors dans sa direction. Il le fit à plusieurs reprises. C’est alors que je compris que je devais marcher à son pied. Dès que je le voyais s’arrêter je m’assayais, le regardant dans les yeux. Il me tendait alors un autre chamallow - C’est bien.. brave petite. Il se dirigea alors sur le lit. Il me fit monter dessus. Je me mettais bien au milieu, je sautillais avec mes deux bras avant, faisant mine d’etre heureuse de voir mon maitre. Je venais me frotter contre lui. Assis sur le lit, il le laissait cette liberté c’est là que je posa ma tête sur ses cuisses. On se regardait si intensément. C’était si sensuel, si érotique. J’étais sur le dos, ma tête sur ses cuisses. Je faisais mine de bouger ma tête comme le ferait un animal qui apprécie les caresses. Il me caressait les cheveux, mes petites oreilles. Puis commença par me caresser les seins. Ses mains se balladaient. Je souriais de bonheur. Mes bras étaient à moitié replié. Parfois j’en tendais un pour lui toucher la joue et y laisser ma patte. Il me saisit alors le poignet. - Non.. non… C’est là que je sortis ma langue pour lui montrer mon envie de jouer. Je me blottissais contre lui. Ce jeu était ce qui me fallait à ce moment présent. Il me retourna puis à nouveau je sentais qu’il voulait s’attarder sur le cul de son petit animal. - Voyons ça… quelle douce petite fourrure. Encore une fois, je faisais ces petits sons comme pour simuler celui d’un animal qui attendait plus. Il souleva alors ma queue. Il tapota alors ma petite chatte. C’est alors que je voulu descendre. Il me remis à quatre pattes et enchaina la laisse au lit. Il releva à nouveau ma petite queue de renarde qu’il déposa sur mon dos. Quelle douceur sur la peau. J’en frissonnais. Il se leva et alla à son tiroir. Il en sorti la cravache. Je couinais tout doucement en le regardant avec ce regard de petit animal effrayé. Je tentais de me défaire de l’emprise de ma laisse en tirant dessus. Quand soudain, le premier coup de cravache arriva sur ma croupe. Je couinais. Il avait saisi la queue de renard maintenant en main pour me maintenir par le cul. IL plaçait la cravache pour me la faire sentir. Il l’éloignait et frappa à nouveau. Je tirais à nouveau. Puis il faisait plusieurs petits coups sur la crache au niveau de ma chatte. Cela me calma directement.. Il repris alors les rênnes de la laisse. IL plaça la cravache dans ma bouche. - Voilà. Garde ! tu gardes ! D’une main pleine de désir, il souleva ma queue et fourra la sienne dans ma chatte. Il attrapa alors les extrémités de la cravache pour me redresser. Il me chevauchait la chatte. La chatte de cette petite renarde qui couinait ne comprenant pas ce qui lui arrive. Elle s’accouplait se laissant aller à la frénésie de cette queue qui la remplissait, la pilonnait, la bourrait si profondément. Cette renarde compris toute l’attention que son propriétaire avait à son égard. Je couinais, émettant toujours plus de son… Il tenait la cravache comme si c’était les mords d’un cheval. Chaque coup de queue était de plus en plus violent. Puis il me prit alors par l’oreille et dans un état complètement sauvage releva bien mon cul. IL était debout et me prenait ainsi à nouveau par la chatte. Une renarde bonne à la baise. Il me tenait par les mamelles. Il me poussa alors contre le sol pour me mettre ensuite sur le dos. Naturellement, je mis mes bras comme celle d’un chien qui se met sur le dos. Il me tendit alors un nouveau chamallow.. Je sortais ma langue pour en profiter. Je commençais à savourer cette friandise quand il engouffra sa queue sans que j’ai finis de le manger. Il exaltait. - Quelle bonne petite renarde.. allez bouffe la bien.. - - Sors ta petite langue. Il me fit alors lecher ses couilles. Je lapais… je lapais .. heureuse de tous ces sévices, supplices ou plaisirs.. je le désirais tant. J’aimais sa perversité. Des deux je ne savais pas lequel l’était le plus ;. Mais au fond ? on s’en fout ! Je le regardais, il me regardait. J’avais ce regard lubrique qui disait ;. Encore.. encore… Il m’arreta dans mon élan puis me laissa ainsi au sol. Je me remis alors naturellement sur mes pattes à attendre quoi faire. Il avait sorti une chaine qu’il fixa autours de ma taille et m’enchaina au lit. - Repose toi maintenant ! Je le haïssais à ce moment là de me laisser dans ma frustration. J’avais couru à quatre pattes vers lui, stoppée dans mon élan par la chaîne. Je tirai dessus, jouant le jeu d’un animal voyant son maitre partir. Je commençais à pleurer à la mort comme un animal abandonné le ferait. Quand il revint, quelques minutes après. Je le voyais qu’il avait cédé.. Je lui faisais la fête en me dandinant le cul. Je me mettais bien fièrement pour avoir ma friandise. Sauf qu’au lieu d’avoir ma friandise il me musela la gueule avec un gag ball. La petite renarde était alors obligée d’attendre ainsi enchainée au lit, ne pouvant émettre le moindre son. IL était sorti de la chambre. Je tournais en rond, puis naturellement je m’étais allongée. JE m’étais mise en boule comme à mon habitude. Je m’étais endormie. EN me réveillant, je le vis qu’il me regardait. Il m’avait découverte. C’était probablement cela qui m’avait réveillé. J’en avais la chair de poule. IL me tira alors vers le pied pour m’amener au bout du lit tout en empoignant le second. J’étais alors sur le ventre les pieds posés au sol. Il retira alors la queue de renard. - J’ai une bien meilleure queue pour toi. Toujours sans pouvoir dire mot, je sentis sa bite s’engouffrer dans l’antre de mon anus. Il m’empoigna les cheveux les tournant autours de sa main. - Petite… putainnnn… Il m’arrachait presque les cheveux. Tant de sauvagerie à me prendre d’assaut ainsi. J’étais encore sous le poids de mon réveil. - Allez glappis.. glappis Je glapissais à travers mon baillon. Puis il m’avança sur le lit. - Ecarte ton cul. J’écartais mon cul. A nouveau il s’enfouissait dedans. Il plongea ma tête contre le matelas. - Mais regardez moi ce cul.. comme il est bien ouvert ! Il me tenait les fesses bien écartée pour voir comment mon fion était élargie. IL aimait le voir bien ouvert. Il replonga dedans. Il saisit ma tete qu’il martelait avec force contre le matelas. - Voilà comment on baise une renarde. A nouveau il me tourna sur mon flanc. Passa son bras autours de ma gorge pour me plaquer contre lui. Il prit sa queue et me la fourra dans ma chatte. Je me prenais des gifles, entre deux moments où il me malmenait les seins. Ma jambe était levée pour mieux me faire prendre. Je criais alors mon plaisir d’être prise ainsi. IL m’embrassa. Puis il repassa sa queue dans mon cul. Il serra fortement son bras sur ma gorge. Je ne m’appartenais plus tellement cela me rendait folle. Il éjacula dans mon cul. Une fois qu’il se retira il y mis la queue de renard. Je m’endormais alors dans ses bras. Epuisée.
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Par : le 07/05/20
’ai écrit ce texte sur Portishead – Over. Je suis naturellement désolée pour les fautes qui doivent se faire présente au fil de mon excitation quand j’écris. Je ne me relis pas, je suis désolée, je suis en salle d’attente. *************************************************************************************************** - Deshabille toi. Son regard était sévère mais ses gestes m’indiquaient aussi que j’étais entre de bonnes mains. Je portais ce collier qu’il avait gravé et que je chérissais. J’étais nue. Nous étions dans un club en Allemagne où des pièces dédiées à des fantasmes permettaient les extravagances pervers d’être réalisées. Je ne savais pas ce qui m’attendais. Son imagination était débordante. Il pouvait être sensuelle, doux puis parfois bien plus intransigeant. J’aimais cette alternance dans notre vision de cet univers qui nous est si cher. Savoir se mettre à nue, oser tout dire, tout ce que nous avons dans la tête. AU fond n’est ce pas ce qui fait qu’une relation fonctionne ? La sincérité et la franchise sont les maîtres mot. Naturellement, il s’était imposé à moi. Je sentais cette maîtrise, cette bienveillance et son infini respect pour le don que je lui faisais. Ma soumission. IL y avait cette femme forte, têtue et très fière. Elle avait un coté fleur bleue et romantique. Celle qui aime être rassurée, cajolée, désirée et aimée. De l’autre, il y avait cette femme plus sombre qui depuis son adolescence ressentait au fond de ces entrailles ce besoin d’abandon. Très jeune, j’ai du affronté, comme tout le monde, des moments compliquées. C’est ce qui nous construit. J’ai rapidement su que je ne pouvais compter que sur moi-même. M’abandonner à un homme, complètement à nue et à ses pieds, c’est l’ultime quête. La forteresse que j’ai construite est forte. J’attendais qu’il vienne simplement y pénétrer en étant lui, en me respectant sans à avoir à utiliser mes armes pour me protéger. Parfois j’allais vers les mauvaises personnes, parfois je voulais sincèrement accordée ma confiance. Mais les actes parlent toujours plus que les mots. Combien d’hommes (comme de femmes aussi) mentent et se mentent à eux même. La franchise c’est laisser l’autre libre de ses choix. Malheureusement, le besoin de posséder l’autre au détriment de ses sentiments est malheureusement légion. Ne parlons pas de ces fantasmeurs pendant qu’une femme soumise c’est un peu celle qui accepte tout avec n’importe qui. Ca me fait sourire. Messieurs, être dominant c’est un état d’esprit, c’est en vous. Alors à ceux qui s’improvise dominant en se disant qu’une soumise va tout accepter juste comme ça par improvisation me fait simplement.. rire. Manquant le plus souvent de charisme, d’imagination. Mais je l’ai rencontré.. enfin. Le temps a été un tel luxe qui m’a apporté mon Saint Graal. IL était à mon service et moi au sien. L’un sans l’autre ne peut exister. Ce soir, il m’impressionnait encore une fois par cette aura qu’il dégageait . Celui qui me traitait comme sa princesse et sa chienne. Être chienne c’est pour moi révéler ce coté animal loin des codification sociétale, c’est pousser ses retranchements et s’assumer pleinement. Quoi de plus merveilleux que d’avoir ce guide qui m’épaule, me cajole, me corrige, me caresse et me rassure. Un lien si fort. Il me tenait par ma laisse. Fièrement dressée sur mes talons. - Viens me dit-il. Nous dehambulions dans ce couloir pour arriver à cette porte. - A genou, ma belle. Il toqua. La porte s’ouvrit. Un homme habillé en blouse et avec un masque ouvra. - Bonsoir Docteur. Je vous amène en consultation ma petite chienne. Je souhaite faire une vérification complète de son état. - Comment s’appelle votre chienne ? - Lane. - Des antécédents ? - Oui des problèmes de dos. IL faut donc être prudent. - D’accord, donnez la moi, je vais la mettre en cage en attendant. - Voilà je vous la confie. - Merci, je vous appelle quand la consultation commence. L’homme me caressa les cheveux. - Voilà tout doux ma belle. Nous allons te mettre en cage pour éviter que tu ailles fouiner partout. Il ouvrir la porte d’une cage. - Allez rentre.. n’ai pas peur.. Il m’avait retiré la laisse qu’il posa au dessus de la cage. Je passais mon premier bras, puis le second. Ma tête pénétrait dans cette cage. Je mettais alors ma main sur celle-ci comme pour chercher quelque chose qui allait me rassurer. Il était sorti de la pièce et avait tout refermé, me laissant ainsi dans le noir. Je perdais la notion du temps La lumière s’alluma. J’étais un peu aveuglée. Je prenais mon regard de petite chienne apeurée. Je vis les ombres s’approcher de moi. Je reconnu distinctement mon Maître puis l’autre homme, que j’appellerai Le Docteur. Le docteur ouvrit la cage. IL tenait dans sa main la laisse. Je ne voulais pas sortir, peur de savoir ce qui allait se passer. - Allez sors, viens dit il. - Allez sors Lane.. dit Monsieur. Je sortais alors ma gueule dehors. IL m’attacha à la laisse. - Venez me suivre Monsieur, allons examiner cette petite chienne. Je marchais à quatre patte, le docteur marchait relativement vite. La laisse était bien tendue. Mon Maitre me donna un coup de pied aux fesses. - Arrête de trainer la patte. J’adorais me fondre dans mon personnage de petite chienne. Je commençais à lâcher prise, excitée par l’inconnu, par ce moment présent. Le docteur tapota sur la table qui se présentait devant moi. - Allez grimpe.. viens. - Avec mon attitude de chienne racée je montais alors sur la table. - Voila la laisse, tenez la bien fermement que je l’examine. Nous allons déjà voir l’état générale du corps et vérifier que ses mamelles sont biens. Mon maitre enroula la laisse autours de sa main. Il maintenait cette tension pour que je sois bien présentable, dressée. Je sentais la main de ce docteur se poser sur le bas de mon dos en appuyant légèrement dessus afin que je me cambre. - Bon inspectons ces mamelles. Il commençait par palper mon sein droit et gauche, imitant les gestes techniques. - Petits mais bien en forme. Je vais procéder à la palpation afin de m’assurer que nous n’avons pas de tumeurs. Il compressait mes seins, les malaxait. - Hum parfait, rien à dire. Je vais maintenant m’assurer que ses mamelles sont disponibles à la suscion en cas d’une éventuelle utilisation à venir. Il plaça alors des titres tétons de manière mécanique. Des gestes bien précis, sans aucun état d’âme. - Voilà parfait. J’émettais un son d’inconfort. Le docteur me caressait à nouveau la tête, mon maitre me tenait encore plus fermement. - Calme toi, me douce chienne. Laisse toi osculter. Sa voix douce et chaude me rassurait. Le fait qu’il soit là me rassurer. Je vis alors le docteur s’approcher avec un écarteur buccal. Je rechignais ne voulant me laisser faire. Monsieur me prit alors par la gueule pour me maintenir la tête. Le docteur plaça alors l’appareil dans ma bouche. Je ne bougeais pas. Doucement il ecarta, puis écarta encore pour ouvrir bien grand ma bouche. Ma mâchoire me faisait mal. Je n’aimais pas cela mais d’être ainsi exposée me rendait malgré moi folle. Devant moi le docteur mis des gants qu’il fit claquer devant moi. IL prit une lampe et regarda l’intérieur de ma bouche. Il jouait son rôle à la perfection. Il introduisa son doigt dans ma gueule puis regarda ma gorge. - Hum parfait tout ça. Un bon degré d’ouverture, pas de problème à signaler. - Hum j’en suis ravie docteur répondit Monsieur. - Oh vous avez une bien belle race de chienne. Elle semble plein de tempérament mais elle est un bon modèle pour l’accouplement. Enfin de ce que je peux voir. - Oui, j’avoue. Elle a de très bonne pré-dispositions. - Bon maintenant, allons vérifier que tout est bon au niveau de ses orifices génitaux. Pouvez vous lui tenir la tête contre la plaque s’il vous plait. En général elles n’apprécient pas. Mon maitre appuya sur mon cou pour que je colle mon visage contre la place. IL tenait fermement mon cou avec sa main pour m’immobiliser mais aussi ma laisse. La chaleur de ses mains contre cette table d’examen était d’un doux réconfort. - Je vais procéder à un lavement anal Cela lui fera le plus grand bien. Parfois les propriétaires oublie d’en pratiquer. Cela évite de mauvaises surprises dit il en riant. Il avait saisit une sorte de sonde qui était rattaché à une poche sur une tige métallique. - Tenez bien votre chienne. JE vais maintenant lui insérer cette sonde dans son anus. IL écartait bien mes fesses de manière médical puis y introduisa la sonde. - Voilà. IL s’arrangeait ensuite pour que le produit pénétre bien. Cette sensation était bizzare. Dans ma tête, je me disais mais comment il va faire après pour retirer tout cela. J’allais me sentir complètement humiliée. J’avais du mal au bout d’un moment de ressentir mon cul aussi rempli. - Parfait. Monsieur pouvez-vous me tendre la bassine. - Volontiers. Tenez. - Maintenant tu vas pisser par le cul petite chienne. Soulage toi. Rejette bien tout. - Vous pouvez la redresser pour l’accompagner à cet exercice. Le docteur tenait la bassine attendant que je libère le liquide. Mon maitre me faisait tenir a quatre pattes. - Allez pisse me dit il au creux de l’oreille. Soulage toi. Soudain, je sentis le liquide sortir par mon anus. J’entendais le son du jet atterrir dans la bassine. - Allez encore.. voilà.. continue dit le docteur. Il saisit alors une serviette et me sécha les fesses. - Voila, notre premier phase d’examen est maintenant terminé. Pour la seconde phase, je vais appeler mon assistante. Elle a l’art et la manière de faire les examens plus profond que moi. IL avait rabaissé la table pour me faire descendre. On me dirigea alors vers un fauteuil de gynécoloque. Mon maitre m’avait redressé afin que je puisse y prendre place. - Placez ses pattes de part et d’autres. Nous allons l’immobiliser pour la suite. Je me retrouvais ainsi attachée les jambes écartées. On m’avait également sanglées les bras afin que je ne puisse plus bouger. Le docteur m’avait parfaitement positionnée les fesses bien au bord. Vulve exposée pour l’étude comme mon petit anus. - Nous allons la museler, vous comprenez. - Oui parfaitement, allez y. - Pouvez vous aller vous asseoir Monsieur et laisser mon assistante faire. Je vis alors l’assistante entrer. Vetue tout en blanc, elle portait également un masque. Je ne voyais que son regard bleu. Elle avait quelques rondeurs. Elle me faisait à toutes ces infirmières qui ont ce coté rude. - Helena, pouvez vous faire les examens profonds. - Oui bien sur Docteur. Mon maitre était assis sur le coté à quelques metres. Je le regardais. IL me regardait. J’imaginais son excitation à me voir ainsi attachée pour subir cette examination. Elle me mit un baton dans la bouche rattacher par des fers au bout et le serra. Elle fit rouler un tabouret. Saisis des gants. - Bon examinons cette chatte. Elle mis un doigt. - Aucune sensibilité ni douleur. Bonne réaction au stimuli Docteur. Je vais maintenant m’assurer que tout va bien. - Speculum. - Voilà ma chère. Avec un savoir faire, elle plaça le speculum dans ma chatte. Puis comme une orfèvre, elle le faisait s’ouvrir. Ce n’était pas agréable. - Lane, calme toi, dit mon maitre au loin. Je la vis avec une lampe regarder l’intérieur de ma vulve. - Vulve en parfait état. Rien à signaler. Toujours bonne pour utilisation. - Voulez vous voir Monsieur ? Je le vis sourire. - Oui avec plaisir. - Regardez tout est parfait. Il s’était abaisée pour me regarder bien en profondeur. J’étais complètement excitée. - Bonne réaction au stimuli. La chienne mouille correctement. Elle retira le speculum. Elle humidifia correctement mon sexe en utilisant ma mouille. C’est là que je la vis se saisir d’un appareil à ventouse qu’elle colla sur mon clitoris et ma chatte. Elle commença a presser la pompe. Je sentais mes lèvres, comme pour mes tétons grossir, être aspirer. - Voila. Parfait. Les lèvres sont parfaitement collé. J’étais ainsi avec les seins aspirés et la chatte également. C’était une sensation qui me rendait folle. Celle où mon maitre me laissait à des mains expertes. J’étais qu’il me regarde, qu’il m’exhibe ainsi. Je me sentais complètement défaillir. C’était si bon. Le docteur s’avança vers moi et me retira alors les tire-tétons puis me pris par les tétons et les tira bien fermement. - Ces tétons sont maintenant bien sensibles à la stimulation. Voilà .. C’est parfait. L’assistante commença doucement à appuyer sur la pompe pour libérer ma chatte de cette pression divine, pour me libérer. Je sentais les lèvres énormes gonflées aussi par le désir. C’était divin. Elle me caressait avec un savoir faire le clitoris et les lèvres. C’était si bon de se faire caresser ainsi. Elle commença alors à y fourrer ses doigts. - Tout doux petite chienne, nous allons bien te stimuler pour ta saillie. Je mordais alors dans mon baillon. Je regardais mon maitre. Il s’était levée. - Puis-je vous regarder comment vous la stimuler ? - Oui, bien sur Monsieur. - J’introduis en premier lieu un ou plusieurs doigts. Cela dépend de la chienne. Ensuite, je tourne doucement ma main. Nos examens précédent favorise la dilatation. Je ralais, les yeux complètement apeurés. Je sentais sa main en effet voulant me pénétrer. Elle plaça sa main sur mon ventre puis descendit pour me caresser le clitoris. - Calme toi.. calme toi.. Mon maitre s’était approchée de moi. Il me parlait à l’oreille. - Tu es une bonne petite chienne. Tu es des plus excitantes ainsi. J’aime savoir qu’on va bien te dilater. Je sais que tu adores ça. Je fermais les yeux comme si j’avais cette honte de l’avouer mais il le savait, il me connaissait. Il me caressait pendant qu’elle me fistait la chatte. - Voilà j’y suis. Encore un petit effort. Voilà… va y ma belle. Dilate toi.. - Cher Monsieur elle se dilate parfaitement. ON pourrait presque encore en ajouter ? - Ah oui dit il ? - Oui, elle a de bonnes dispositions même si elle est un peu étroite. - Alors faites, poursuivez l’exercice. Elle retira son poing. Je la vis joindre ses mains et intoduits 8 doigs dans ma chatte.Puis doucement elle est ecarta. - La chatte de votre chienne est à présent bien béante. Le docteur était là, il regarda. - Allez y, lechez pour la soulager. Je vous y autorise. - Oh merci Monsieur, répondit elle au docteur. C’est là qu’elle commença un cunnilingus si intense tout en me doigtant. - Hum, elle est si dégoullinante cette chienne. Elle m’aspira de partout. Mon maitre était à coté de moi. - C’est bon hein ? - Je fermais les yeux en guiche de réponse.. - Je t’autorise à jouir si jamais cela venait. Je commençais à trembler submerger par tous ces stimulis. Le docteur regardait aussi. Elle commença aussi en même temps à me doigter le cul et l’honora aussi en le lécher. C’était si bon. J’en m’enivrais de cette situation. Il était bon de ne pouvoir rien controlé. Soudain la oix du docteur m’arracha à ma torpeur. - Vas y tu peux aussi la baiser par la chatte si tu le désires. - Oh merci Maitre, lui dit elle. Elle s’empara du gode ceinture et me pénétra la chatte. Elle me baisait comme un homme. Mon Maitre n’en ratait pas une miette. Il adora me voir prise par d’autres. - Voilà. Elle est maintenant prête pour la saillie comme vous l’avez demandé Monsieur. C’est là qu’il s’adressa à nouveau à moi. - Je ne vais pas bouger, je vais te regarder te faire prendre par la chatte et le cul. Il va y en avoir un certain nombre d’hommes mais aussi des femmes. Cette idée m’effrayait, m’excitait, je ne savais pas quoi dire. Une fois de plus il y mettait la juste dose en restant à mes cotés. A ne pas sentir honteuse de prendre ce plaisir sans lui. - Nous allons bander les yeux de la chienne. Cela va la stimuler . ON m’ota la vue. Il était toujours là. Je sentais sa présence et leurs présences. A regarder. Je sentis alors un sexe s’introduire en moi par la chatte. Il y allait avec une certaine douceur, tout en me caressant les seins. Rapidement, je sentis qu’il avait éjaculer. Puis un second.. cette fois, Il commença par m’introduire des doigts dans ma chatte tout en y tenant ensuite sa queue. C’était une sensation étrange. - Par le cul, entendis-je. Baisez la par le cul dit mon maitre. Je sentis alors une queue rentrée par mon anus, avec une douceur.. tout en me caressant le clitoris. Je compris alors que c’était une femme. Puis d’un sec elle commença un long va et vient. - Tiens prends ça dans ton cul, sale chienne entendis-je. Elle me tenait par les jambes comme un homme ferait pour me baiser. Puis avec ses mains elle claqua mes seins, puis s’en empara les serrant fermement pour me donner un coup bien profond et y rester. Je serrais les dents. J’étais dans un état à ne plus vouloir compter, juste à être utilisée. Ma chatte ne cessait de couler de mouille. Puis je sentis une langue me lécher tout en jouant de doigts dans mon cul.. - Hum quelle bonne mouille dit elle.. Je sentis en même temps des doigts me tirer les tétons mais pas ceux de mon Maitre. IL m’avait offerte à me repousser complètement. Je sentais chaque coups de queue, de langues, dans ma chatte, dans mon cul.. je ne m’appartenais plus. J’étais alors épuisée. C’est là qu’il retira le baillon. Il m’embrasse avec une infinie tendresse. Je sentais les lèvres de ma chatte complètement irritée. ON me désangla. Je retrouvais alors une forme de liberté. IL m’avait prise dans ses bras. Je m’y réfugié comme pour y retrouver une chaleur réconfortante. La chienne avait laissé place à la princesse. - As-tu aimé ? Dans un murmure, j’osai à peine affirmer que j’avais totalement adoré. J'entendis alors le docteur dire. Voilà mes préconisations post saillie : du repos en cage.
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Par : le 06/05/20
Je suis désolée pour les éventuelles fautes, Je suis désolée de ne pas me relire, je suis allée accueillir l'invitée. *********************************************************************************************** La nuit tombait. Ce soir, nous recevions. Il ne voulait pas m’en dire davantage. Il m’avait ordonné de préparer l’apéritif afin de recevoir comme il se doit. Il m’avait imposé de porter un serre taille et ce rehausse sein. Il avait pris ce plaisir a bien le serré pour galber au mieux ma taille. - Ce soir, tu ne te changes pas. Tu restes ainsi. Viens ici. Au pied. Je m’étais naturellement mise à ces pieds. Il mis mes cheveux de coté - Regarde, j’ai fait gravé ton collier.. Cette attention délicate faisait que c’était mon collier. J’y était très sensible. J’étais à lui et il me le montrait. Il me le mit comme un homme offre parfois un bijou à une femme. Il me releva et me retourna. Nous étions face au miroir lui dans mon dos. Sa main s’aventura sur mon cou pour ensuite caresser mes seins. - Humm tu ne peux t’empêcher de pointer, petite cochonne.. me murmura t il.. Je le regardais à travers ce miroir d’un sourire complice. - Non.. Monsieur, en effet.. - Voyons l’état de ta petite chatte… Oh mais elle est toute en émoi.. c’est parfait. File au salon et met toi à genou à coté de mon fauteuil. Tête baissée, bien droite et tes jambes écartées. Je me faisais une joie de lui obéir. A chaque fois qu’il préparait une soirée, il savait toujours repousser mes limites. Je me demandais qui allait venir ce soir. IL passa dans le salon à coté de moi. Il m’appuya à nouveau la tête. - Bonne chienne. Soudainement, la sonnette retenti. - Bonsoir mon cher ami. - Bonsoir Madame X. Quel plaisir de vous recevoir après tout ce temps. Laissez moi vous débarrasser. - Merci à vous. - Je vous en prie par ici. - Quel magnifique appartement vous avez et toujours un goût exquis. Oh mais que vois-je ici ? votre animal domestique ? Au son de la voix de cette femme, je n’avais qu’une envie relever la tête pour la voir. C’était la première fois de ma vie que je voyais une Maîtresse. Cette envie m’avait toujours fait fantasmer, sans pour autant me sentir bisexuelle. Je n’avais jamais désirée une femme bien que parfois je trouvais certaines femmes avec ce coté très sensuelle. Je sentais qu’il allait me pousser dans mes retranchements. C’est là que je sentis sa main passée dans mes cheveux. - Quelle douce chevelure de chienne. - Eh bien alors, Lane, on ne dit pas merci ? - Merci.. Madame.. - De rien, petite chienne. Mes cheveux tombaient sur mon visage, je ne pouvais l’apercevoir mais j’aperçu ses chaussures. Elle portait de sublimes escarpins fins avec une plateforme légère. Je devinais une femme de goût . Sa voir était presque douce et très agréable. - Je vous en prie prendez place. Visiblement il avait indiqué la destination du fauteuil là où il m’avait fait m’asseoir. Elle s’installa confortablement. Il lui offrit un verre. Je les entendais échanger des banalités. Au bout de quelques minutes, elle s’amusa à me caresser à nouveau les cheveux. - C’est tellement agréable d’avoir un animal de compagnie.. Puis-je ? - Oh mais bien sur Madame X, elle est à votre entière disposition. Attention parfois ma chienne a un peu de mordant, elle est un peu effrontée, mais elle reste bien obéissante à son maître. - Mets toi face à moi me dit il. J’avançais alors à quatre pattes pour me mettre face à elle pour me mettre à nouveau à genou, tête baissée. - As-tu un elastique ? tu es bien négligée d’avoir tes cheveux détachées. J’aime voir les regards des petites chiennes. - Je… Non Madame, je n’en ai pas. - Voilà qui est bien fâcheux. - Attentez, tenez. - Retourne toi. - Bien…. Petite chienne. Elle me caressait les cheveux. Elle avait les mains si douces. Elle m’attacha les cheveux avec une queue de cheval. Elle portait une tenue stricte . Un chemisée avec une jupe fendue. des bas coutures. Elle était magnifique. - Allez retourne toi. Elle me leva le menton. - Ah mais que tu es toute jolie… Des yeux noisettes qu’on a envie de dévorer. Une bouche pulpeuse pleine de promesse. - Ouvre ta bouche et sors moi ta petite langue. Elle inséra son doigt mais toute sa main. - Oh mais je vois que tu as de l’entrainement . Elle stoppa direct puis commenca à aller vers mes seins. - Oh une petite poitrine en forme de pomme. Et ces tétons si délicats.. des auréoles superbes.. Monsieur votre chienne est exquise. Je vais me faire un plaisir de la soumettre comme il se doit. - Cela me ravit et cela ravit ma chienne. - - je la trouve bien insolence. Je lui fais des compliments, je viens à elle, et elle daigne nous remercier… Elle me tenait par la queue de cheval me mettant la tête en arrière. - Petite ingrate que tu es ! - Merci.. Madame.. Je vous remercie d’être venue vous occuper de moi. Je vous remercie pour vos compliments à mon égard. - Au sol, petite salope ! - Nettoie mes chaussures avec ta langue. J’y allais doucement. Je sortais le bout de ma langue pour commencer ma tache. - Je t’ai dis sors ta putain de langue et nettoie correctement. Je sentais sa voix si autoritaire que naturellement je me mis à lecher ses escparins. - Bien.. Elle se leva en tenant bien ma laisse. Elle appuya son talon sur mon dos tout en tirant bien sur ma lêve pour me redresser la tête. - Allez viens sur moi. Elle m’amena au centre du salon pour me placer face à mon maitre. Il me regardait droit dans les yeux avec ce sourire pervers. J’étais ainsi à quatre pattes au centre du salon. Elle passa ses jambes de par et d’autres de ma tête pour la coincer avec sévérité. Elle s’était alors penchée pour me claquer le fessier. - Brave petite chienne. Elle écarta mes fesses et passa son doigts avec délicatesse sur mon fion. - Oh mais quel petit trou qui se présente à moi.. Je me demande bien ce que ce trou peut engouffrer. Puis elle s’ota, me remise bien droite… Mon maitre avait disposée sur la table un grand nombre d’objets source de plaisirs, de punitions. Elle s’était saisi de deux martinets aux lanières longues. - A quatre pattes, jambes bien écartées. - Tu appelles cela bien écartées ? Elle me fouetta sur les cuisses. J’’ouvrais bien mes jambes je me cambrai aussi afin qu’elle soit des plus douces mais aussi pour montrer mes petits trous de chienne. Comme une danse, elle me fouttait les fesses, le dos, les cuisses. Je regardais mon maitre droit dans les yeux. Il souriait à me voir subir ces flagellations pendant que je retenais mes cris. Elle caressa mon entrejambe en faisant plusieurs aller retour. - Brave petite chienne qui mouille. Va sur la table, mets toi sur le dos. Nous allons inspecter la capacités de tes orifices.. de tous tes orifices. Elle m’attacha mes poignets. Puis avec des contraintes, m’attacha les cuisses et les chevilles pour avoir un meilleur accès à mes trous de salope, comme elle le disait. Elle s’était installé au dessus de moi, j’avais une vue sur son sexe. Jamais de ma vie je n’avais été aussi proche du sexe d’une femme. - Allez sors ta petite langue lapeuse. Elle me forçait à la regarder dans les yeux tout en me tenant par la tête. Elle releva sa jupe à la taille laissant dévoilé son porte jaretelle. Elle ne portait aucune culotte. - Regarde moi je t’ai dit. Elle commençait des mouvements de va et vient au niveau de son anus. - J’aime qu’une chienne me nettoie. Allez applique toi.. Ma langue sortie, elle l’utilisait pour nettoyer au mieux son anus quand elle s’assit complètement sur moi en en regardant. - En voilà une charmante vue. Elle me tenait fortement la tete pour m’utiliser comme son petit jouet de plaisir. - Suffit maintenant ! tu en as eu assez. Elle saisit alors un baîllon dont sortis un gode. Je ne m’étais jamais sentie aussi humilié de ma vie. Je lançais un regard à mon maître qui s’était rapproché . Il était juste derrière moi. Il s’était accroupie. - Tu es un superbe sextoy… J’avais envie de râler ou de protester mais il fallait reconnaître que j’étais complètement excitée d’être à la merci de cette femme et de voir mon maître me regardait. Je voulais être sa fierté, la meilleure des chiennes. Elle me caressait le corps de ces douces mains. Elle avait saisi des pinces à tétons. Elle s’amusait à les triturer entre ses doigts, puis à les prendre en bouche. Elle les mordiallait, les aspirait. Puis de ses deux mains elle les faisait se grandir. Elle y mettait une force malgré ces mains toute petite. Je voyais dans son regard cette maîtrise et son intransigeance. Probablement ce qui plaisait à mon maitre pour m’offrir à elle. - Regarde moi. Je la voyais mettre les pinces japonaises. J’étais si sensible de mes tétons. Je sentais la douleur m’envahir et je faisais tout pour me concentrer sur ce qui allait se passer. Elle s’était agenouillée… - Allons te préparer, regardons ce que nous allons entrer là-dessus. Elle commença par me lécher la chatte en écartant bien mes lèvres et en sucant mon clitoris. C’était la première fois qu’une femme me léchait. C’était si etrange, si doux avec cette petite langue. Je prenais ce plaisir qu’elle me donnait . Mon maitre ne ratait pas une miette. - Alors, petite chienne, c’est bon de se faire lécher ainsi. - … oui, Monsieur. Un oui monsieur difficilement audible avec mon baillon. Il m’avait relevé la tête en tirant sur mes cheveux. - Regarde toi, petite putain. - Oui regarde, je vais y insérer ma petite main dans ta chatte de chienne en chaleur. Je sentis alors le dos de sa main s’humidifier contre ma chatte pleine de mouille. Il fallait reconnaître que j’étais dans un tel état. J’avais oui, envie de me faire prendre de partout. C’est là que je sentis ses doigts me chercher comme mon maitre le faisait. Sa main était bien plus fine. - Voilà petite trainée. Regarde moi ça !!! regarde comme tu vas te faire baiser par un poing. Sa main était rentrée. Je sentais ses va et viens. C’était une sensation si particulière. Elle y allait doucement. Elle me baisa en allant bien au fond… C’est là qu’elle inséra de son autre main un doigt dans mon cul. - Ton Maître m’a fait la confidence qu’il t’avait déjà bien travaillé le fion. Je veux le voir bien béant. Je veux t evoir ouverte. Tu comprends, petite chienne. Je la regardais… Je hochais la tête avec une certaine crainte. Tout en ayant sa main dans mon con, elle commença le travail de mon fion. Elle y mis un second doigts… - Oh mais quelle gourmande. Ça rentre.. si facilement. Je ne tenais plus, je ne pouvais crier. Mon maitre me tenait dans ses bras, forçant à regarder cette maitresse me faire un traitement adapté à ma condition. IL me tenait par le cou pour bien me maintenir. - Voilà.. humm.. quelle putain… quel gouffre… on sent que tu t’es fais souvent fourré, écartelé. Regardez moi ça… - Tu vois ma petite chienne, fister par tes deux trous de salope ! me dit mon maitre. Elle me regardait droit dans les yeux et y mettait toutes son énergie pour me baiser de ses poings. Elle y mettait une telle frénésie comme pour me punir d’être une vraie trainée. JE tentais de me débattre. Mon maitre serra davantage mon cou. J’étais au paradis. Je défaillais. Je sentais des tremblement au niveau de mes cuisses. Je ne répondais plus de rien. Elle sorta sa main de ma chatte et la tapota.. - Voilà… hummm.. ce petit trou… qui va garder la trace du passage de ma main… Elle ota doucement sa main. - Oh quelle ouverture… son fion est aussi béant de sa chatte de pute cher Monsieur. Voulez vous regarder ? - Mais je compte ne pas en rater une miette. C’est là qu’il s’était dégagé de moi et se mit face à moi, observant mes trous. - Quel beau travail ma chère. Ouverte comme j’aime. - C’est une bonne chienne que vous avez. Nous pourrons, je pense travailler davantage ses capacités si cela vous tente. Elle s’approcha de moi et me parla à l’oreille. - Tu es faite pour être punie d’etre une chienne. Regarde ce que tu nous obliges à te faire.. Elle souleva les pinces à tétons et les tira vers les hauts. Mon cri s’étouffa dans le baillon. Puis doucement elle me caressa le visage, les cheveux.. Elle me déposa un baiser sur la joue. C’est là qu’elle se releva et s’installa sur ma bouche. Elle s’empala sur le gode. Elle se sodomisa. Je sentais alors sa frénésie. De l’autre, mon maitre me sodomisa aussi. C’était une situation si particulière pour moi. J’aimais être à leur disposition, leur objet sexuel dont il pouvait abuser. Je sentais mon maitre me prendre le cul tout en insérant des doigts dans ma chatte. Madame x prenez son pied tout en tournant aussi sur le gode inséré bien au fond. Elle chevauchait. Elle s’amusait avec la chaine à tétons. Tout valsait en moi. Mes seins, ma tête, mon cul. Je sentais des coups de par et d’autres. - Salope ! petite pute.. dis mon maitre. - Baisez la bien Monsieur, elle est maintenu si béante de ses trous. Il va falloir s’occuper de sa petite gueule. J’y ai décelé un certain potentiel. D’un grand râle il s’arreta. Elle continuait. Je me sentais si honteuse d’être dans cette situation. Quand elle s’arrêta, elle me claqua la joue.. - Quel bon petit jouet. Elle me retira alors le baillon puis m’embrassa en me mordant la lèvre. Elle me libéra les cuisses. Elle me releva et en jeta au sol. - A genou. Allez plus vite. Baisse la tête. Elle marcha vers la taille. Elle se mit à ma hauteur et me montra un gode d’une taille certaine.. Un gode ceinture. - Regarde ce que tu vas te prendre dans ta chatte et dans ton petit cul, dans ta gueule de pute. J’ai bien travaillé ces petits trous. Demande moi de te baiser. Mon maitre avait saisi la cravache. Il releva mon menton voyant que je tardais à répondre. Elle s’était mise à ma hauteur et me serra de sa main ma gueule. - Allez réponds petite salope. - Madame, je vous en prie, baisez-moi.. - Tu veux que je te baise ? tu veux que je te baise par où ? - Madame, baisez moi par la chatte. - Humm, je ne sais pas.. je crois que je vais surtout m’occuper de ton fion de salope. Un moment de silence, je baisais le regard pour ensuite la regarder dans les yeux. - Merci Madame…. Doucement, elle retira les pinces. Je hurlais de douleurs. Puis d’une douceur apaisante elle les pris dans ses mains et les lécha. Ce redresse sein te va à ravir petite chienne. Présentée, je m’en suis délectée mais je préfère une chienne nue. - Ote moi ça. J’otais alors mon redresse sein puis doucement mon corset. - Oh quelle belle marque.. Je vois qu’il était bien serrée pour te contenir. - Oui.. Madame… Elle appuya ma tête pour la jeter au sol. - Cambre bien ton cul merde ! Elle me griffa les fesses. - Voilà une bonne position de petite trainée.. Dis moi ce que tu es ? - Madame, je suis une petite trainée. - Et que fait on aux petites trainées ? - On les baise Madame.. on les baise. - Oh pas que cela petite chienne. ON les bourre, on les utilise, on les punit… - Ecarte ton cul ! - Ecarte le bien.. - Oui.. Madame. J’étais tête au sol, de mes mains j’écartais bien mes fesses pour lui offrir mon fion. - Parfaite position de pute. - Oui, une bonne pute dit mon Maitre. - Lane, je veux t’entendre couiner comme une chienne. - Oui.. Monsieur… La taille du code m’avait fait frémir. Elle le mit à l’orée de mon cul. - Oh mon dieu.. ça rentre, ça rentre.. regardez moi ça. Je vais te démonter petite pute. - Merci madame de vouloir me démonter comme je le mérite. - Elle mit le gode bien profondément puis commença sa chevauchée. Elle me montait si fermement.. - Petite pute.. allez cherche à bien te la mettre bien au fond.. - Voilà.. Je vis alors la chaussures de mon maitre face à moi. - Sors ta petite langue de putain dit elle; Je m’exécutais.. Il se mit à se servir de ma langue pour nettoyer ses chaussures. - Elle est multiusage.. Je sentais Madame me labourer les entrailles. J’étais réduite à être un objet ce soir. Mon maitre était d’une telle intransigeance. Cela m’attristait mais de l’autre, je me surpassais, j’éprouvais de nouvelles sensations. Il savait me sortir de ma zone de confort. - Une bonne cireuse de pompe dit elle. Mon maître se saisit de ma queue de cheval et me mit à quatre pattes. - Ouvre ta gueule. Jamais on m’avait bourrée de cette manière. Elle me saisit les extrémités de ma bouche avec ces doigts. Elle était plus exigeante. - Monsieur, que diriez vous de lui fourrer cette bouche ? - En voilà une excellente idée mais demandons à notre petite chienne.. Je n’osais plus rien faire, mes yeux se baissait faisant office de réponse. Elle lui offrait ma gueule. Il mis son sexe dans ma bouche. Elle me tenait alors par la laisse, mon maitre par la queue de cheval. J’étais soumise à leurs tentations les plus perverses. Elle me claquait les jambes. Elle s’amusa de la cravache pour me chevaucher comme si j’étais une jument. - Suce correctement petite pute. Il me donnait la marche à suivre par la tête. Il me tenait la gorge et s’était enfoncé bien au fond. Je bavais… - Oh mais regardez moi cette salope. Elle bave de partout ! par la chatte, par la gueule. Dit elle. Il se retira d’un seul coup. J’étais alletante voulant reprendre mon souffle. Elle sortit le gode de mon cul. Et chacun se stoppa. Mon maitre était allé s’asseoir le fauteuil et elle sur le canapé. Elle tenait le gode comme une bite. Elle me l’exbitait au loin. Elle en retira le préservatif qu’elle avait mis dessus. - Allez viens chercher ton jouet petite chienne… Avec ma démarche de petite chienne, je m’avancais vers elle. - Leche mon anus . Elle tenait le gode dans sa main pour me donner un meilleur accès à son anus. Ma langue tournait autours de son auréole. - Allez viens t’empaler dessus. Je m’étais alors levée, mise à califourchon sur elle. Elle ecarta mes fesses. - Voilà.. C’est bien petite putain… Allez chevauche ! Hu Dada ! Elle me forçait à l’avoir bien profondément tout en me claquant les fesses afin que je bouge mon bassin d’avant en arrière.. Elle s’agrippa ensuite par mes seins. Elle les pressait si fortement, les gilait, elle le giflla aussi fortement. - Petite pute. Dis moi que tu es une petite pute. - Oui.. Madame je suis une petite pute. Elle continua a me gifler de partout. Puis elle remis ses mains sur mes fesses et me demanda d’aller de haut en bas. - Allez bouge mieux que ça. - Stoppe maintenant. Ecarte ton cul. C’est là que je sentis mon maitre derrière moi. Il me saisit par la gorge me forçant à me cambrer. Elle écartait bien mes fesses. - Allez quémande ! - Monsieur.. je vous en supplie, enculez moi. Il me prit avec violence. Prise en double pénétrations, c’était d’une telle intensité. Je sentais mon maitre frénétique. Je reconnaissais ses coups de queue qui prédissent sa jouissance. IL juta alors dans mon cul. - Garde cette semence petite pute, me dit il. Madame se stoppa . - Au pied. Elle retira alors son gode ceinture. - Allez viens me finir petite catin. Déboutonne mon chemisier. Je me sentais interdite. Je sentais le foutre de mon maitre couler par mon fion si détendu. Avec douceur, j'enlevais les boutons de son chemisier. - Belle gueule de pute tu as.. Allez suce, tête! - hum voilà petite chienne.. encore.. Ta bouche est un réel délice… Je la sentais soupirer de plaisir. Je prenais ses seins dans mes mains pour mieux ensuite porter ses tétons à ma bouche. Elle mis sa main sur ma tête et me força à aller à son entrejambe; - Lèche et Doigte moi. Allez ! Je n’avais jamais fait cela de ma vie. Je sentais mon maitre en train de m’oberser. Je le faisais pour lui, pour lui montrer ma gratitude. - Humm que tu lèches bien petite pute. C’est une première il parait ? dit elle comme un murmure d'abandon - Oui.. Madame.. Elle sentait ma timidité. - Tu ne vas pouvoir que progresser mais c’est déjà bien prometteur. Elle sera ma tête entre ses jambes. Je la sentis se contracter… prise d’un spasme.. - Humm bonne petite chienne. Allez au panier…
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Par : le 06/05/20
Encore une fois, désolée pour les fautes, je ne me suis pas relue. Une envie folle de chantilly. ******************************************************************************************************* Je consultais mon téléphone. J’attendais de ces nouvelles. Je ne quittais pas mon téléphone telle une adolescente. Quand soudain je vis sur son message Whattsapp : « RDV ce soir 21h. Je serai devant chez toi. TU porteras ta longue robe noire sans fermeture éclair et escarpins haut noirs vernis les plus hauts que tu as. Tu porteras tes longs gants noirs. Tu mettras en haut cet harnais que je t’ai offert pour te mettre en valeur. Je veux que tu portes aussi une culotte ouverte au niveau de tes trous. Tu porteras ce porte jarretelle harnais également. Je te veux en bois noirs résille couture. Rouge à lèvre rouge et un maquillage outrancier. Sois élégante ». Les dernières semaines ont été assez longues. Il était pas mal en déplacement. Notre relation était si intense que je ressentais ce manque. Le manque de sa peau, de son odeur, de sa présence, de ses mains sur moi.. mais il veillait toujours à ne jamais me laisser sans nouvelle. Il me disait qu’un homme qui respecte une femme, une soumise, ne la laisse jamais sans laisser ne serait qu’un message. D’autant que cela s’écrit en peu de temps. J’aimais les défis qu’il me lançait. On aimait se nourrir l’un de l’autre. J’aimais ressentir sa présence, obéir à ses requêtes. Parfois elle me font râler, parfois me donne le sourire.. et parfois je prend cette initiative l’imaginant au travail à recevoir des photos des plus coquines que j’aime prendre avec tout le sens artistique dont je sais faire preuve. Comme je n’avais pas eu de ses nouvelles hier soir, je m’étais amusée à mettre en valeur une photo de ma petite chatte dont les perles de mon string disparaissaient doucement entre mes lèvres.. D’ailleurs quel string, à vous faire mouiller comme une chienne ! pour lui rappeler le dernier défi qu’il m’avait demandé. C’était du Lundi à Mercredi de jouer à la cam girl. Il aimait mon côté à aimer m’exhiber à vouloir chauffer ces messieurs qu’il aurait choisi sans avoir à les voir. J’aimais ne pas les voir mais exciter comme si je l’éxcitais lui. IL m’avait crée un compte skype qu’il contrôlait. Il me disait quand me connecter, quelle tenue, quoi faire tout en restant à chaque fois masquée. La première fois où je me suis mise devant la webcam de mon ordinateur mon cœur battait. J’avais mis ce masque en dentelle, mes lèvres rouges. Il m’avait ordonné : « tu porteras ton rehausse sein, un nœud papillon en cristal, celui que j’aime bien. Tu porteras ton string en perle dont les petites grandes tombent sur tes fesses. Tu te connecteras à 22h30 précise. Je te laisse jouer sans montrer tes trous de putain. Tu auras 10 min pour la session. Tu m’enverras une photo de ta tenue pour validation ». Comme convenu je lui envoyais une photo de moi avec ce regard de petite chienne innocente. « Tu es parfaite. Amuse toi bien. » A l’heure précise j’avais accepté cet appel vidéo où je pouvais me voir sans voir mon interlocuteur. Il avait la possibilité de m’écrire pour me demander ce qu’il voulait. Le bouton vert de la webcam s’alluma. Je savais que quelqu’un me matait. C’est là que je prie des positions des plus glamour à jouer avec cette plume d’autruche verte que j’avais eu en plus de mes éventails géants. Je jouais avec elle sur mon corps, sur mon cou et sur mes seins. Cela les faisait pointer. Je prenais ces poses sensuelles sans jamais tomber dans la vulgarité. Le voyeur ne me fit aucun commentaire, j’étais presque limite déçue. . Le lendemain, même horaire, il m’avait ordonné de mettre ma guépière Noir et blanche inspirée par Louboutin avec porte jaretelle, avec mon deshabillé noir transparent et aux manches en plumes d’autruches avec des escarpins vernis noirs. Je devais bien me coiffer et obéir à ses demandes sans avoir à montrer comme toujours mes petits trous. Bien sur je serais comme toujours masquée. J’envoyais encore la photo demandée et il m’avait dit : « Humm tu es juste bonne à être baisée, tu es sublime ». J’acceptais à nouveau l’appel. Toujours sans voir mon interlocuteur qu’il avait sélectionné, ce dernier me donna des ordres. - Mets toi à quatre pattes et avance vers la caméra. Joue avec ta petite langue. Je m’amusais à faire la petite chatte qui avance à quatre pattes. Je fis mine de passer ma langue sur mes lèvres avec une certaine langueur.. puis je prie la mousse chantilly que j’avais mis à coté. Je glissais mon doigt dessus que j’apportais à ma bouche. Je donnais des coups de langue. - Humm, encore… écrit il. - Je te lécherai bien la chatte avec cette chantilly.. humm… Les 10 min passaient relativement vite. Le lendemain, il m’avait demandé de mettre un corset avec mon porte jarretelle à franche. Tu porteras un collier bien serré. Interdiction de montrer ta chatte et ton cul. Je mis alors mon sublime corset bleu et mis le porte jarretelle qu’il voulait. Je mis ce collier à strass. Je cherchais un accessoire inspirant et je prie alors ma cravache à strass. IL valida ma tenue. La webcam s’alluma dès que j’avais accepté la mise en ligne. Je me tenais assise sur mon fauteuil crapaud les jambes écartées. Avec la cravache je m’amusais à la passer sur mon corps. Je m’amusai à la mettre à ma bouche et d’avancer vers la webcam et de la lâcher, faisons mine de l’apporter à mon maitre pour qu’il me cravache. - Quelle belle petite chienne. Monte sur le fauteuil et montre moi tes petite fesse. Dandine toi ! Je m’attelais à ces désirs comme s’il venait de mon Maître. Je ne voulais pas le décevoir. Je revenais doucement pour voir ce qu’il avait écrit. - Suce le manche de ta crache… Je m’exécutais.. Puis je vis les 10 min passer.. je coupais. Le lendemains je reçus les félications de mon Maître. « tu as été parfaite.. tu les as parfaitement bien chauffé. Je suis fière de ta créativité et de toi. » Je me préparais pour la soirée. J’avais suivi l’ensemble de ces instructions à la lettre. Il était arrivé à l’heure, il m’avait demandé de ne pas sortir, il voulait m’inspecter. - Bonsoir Mademoiselle Lane. Quel bonheur de vous voir. - Humm c’est si bon de vous voir Monsieur. Il mit sa main sur ma joue et je ne pouvais m’empêcher d’embrasser la paume de sa main. Il me prit par la main pour m’emmener dans le salon. - Agenouille toi. J’étais devant lui à genou. Le regardant. J’étais très excitée. - Approche. Je me mis à quatre pattes pour avancer vers lui. C’est là qu’il me mit le collier. Il le serra fortement. Il tira sur l’anneau où il comptait attacher la laisse. - Tu es ma merveilleuse putain. Ce soir, je te veux docile. Je n’accepterais aucune effronterie. Me comprends tu ? - Je le regardais et je hochais de la tête. - Retourne toi. IL me tenait par la laisse bien fermement. - Oh tu sais mieux te cambrer que cela !. Il remonta ma robe sur ma taille et passa à califourchon au dessus de moi. Ses deux mains s’abattirent sur chacune de mes fesses. - Humm Ce cul … il lui manque quelque chose… Soudainement, je sentis qu’il m’enfonçait un rosebud assez gros dans mon cul. - Voila, un peu de rouge à ce petit cul pour être raccord avec tes lèvres pour donner l’illusion de savoir que ta bouche et ton petit cul soit prêt pour te remplir. Je me sentais rougissante. - Allez relève toi. Il me prit par la laisse, j’étais derrière lui. J’avais peur qu’on me voit ainsi parer. Il me fit monter à l’arrière de sa voiture. - Je vais te bander les yeux. Tu vas rester allonger sur la banquette. J’aimais quand il me faisait perdre tout sens d’orientation. Il mit de la musique classique qui avait le don de me mettre dans ces ambiances chics que j’affectionnais. - Ce soir je t’amène à une soirée très select. Sache que tu ne risques rien. Si tu ne te sens pas bien, tu n’auras qu’à utiliser notre saveword. Compris. - Oui.. Monsieur. La voiture se gara. Le moteur se coupa. Je n’avais aucune idée d’où nous étions. Il ouvrit la portière arrière. Mes mains cherchait sa main. Je me remettais totalement à lui. Je m’offrait à lui littéralement. - Doucement, je te guide, tu ne risques rien. Nous allons pas marcher bien longtemps. Tiens toi à moi. Tu ne vas pas tomber.. Sa voix me rassurait tant. Je n’avais pas peur avec lui. Je me sentais tant en sécurité. C’est là que j’entendis une sonnette retentir. La porte s’ouvrait. Il me tenait par la laisse. J’essayais d’etre droite en marchant derrière lui. J’entendais une musique très sensuelle portishead, massive attaque, une musique si inspirante. - Je vous présente Mademoiselle Lane. J’imagine que vous la reconnaissez. Elle vous a bien chauffé cette semaine. Je vous remercie d’avoir suivi mes directives. Ce soir, vous pourrez disposez d’elle. Je travaille depuis quelques temps ces petits trous que je vous présenterai d’ici quelques instants. C’est une vraie petite salope, une chienne en chaleur. Il serra la laisse bien courte et murmura au creux de mon oreille : - Ote ta robe, tu n’en auras plus besoin. Sache que tout ce qui se passera se fera en rapport protégé. Je me sentais si excitée et à la fois peureuse. Il allait m’offrir à ces hommes. Cela m’avait toujours excitée mais jamais de mon coté je ne voudrais le partager. Plusieurs fois des hommes que j’avais connu avait envie de me voir faire prendre par d’autres hommes.. - Allez exécute toi. C’est là que je commençais à enlever ma robe tout d’abord en défaisant une bretelle puis l’autre. Elle tomba rapidement à mes pieds. Il me fit avancer d’un pas en sentant la cravache sur mes fesses. - A genou ! - Puis-je, entendais-je. - Mais oui, je vous la laisse la promener. Tenez la cravache, parfois elle est rebelle. Je sentais qu’il passait ma laisse. L’homme me tenait bien fermement et me fit faire un tour dans cette pièce où je ne vovais pas faire grand-chose. Pour m'encourager il me cravachait. - Messieurs, je vous laisse tâter ma chienne. On me redressa. J’étais ainsi debout. Je sentis la cravache sous mon menton. - Ecarte tes jambes, entendis-je.. tout en tapant sur l'intérieur de mes cuisses avec la cravache. - Ecoute Lane., écoute ces messieurs et obéis leur comme si ces ordres étaient de moi. - Oui… oui Monsieur. J’écartais alors mes jambes. Je sentis alors un homme me saisir les seins, tout en étant derrière moi pour me redresser. Il dirigea ensuite ses doigts dans ma bouche - Allez suce, tu m’as bien chauffé avec cette cravache que tu suçais divinement. Voyons voir ce que tu fais avec mes doigts. Un autre s’était saisi de mes tétons et les tiraient pour les dresser. C’est là que je sentis des mains s’attarder sur ma petite chatte pour y introduire un doigt.. - Oh Messieurs, regardez, elle mouille déjà cette petite salope. Il me tira par la laisse et me fit monter sur une table tasse. Il appuya sur ma taille pour bien me cambrer et offrir, j’imagine une vie obcène sur mes attributs. Un des hommes plaça plusieurs doigts dans ma bouche. Il me tenait par la gorge. - Rohhh, elle tousse… ce n’est pas ce qu’on m’a dit.. sur tes talents bucals. IL paraient que tu aimes sucer. Est-ce le cas. J’étais honteuse… - Oui.. Monsieur, j’aime sucer.. - Oh Messieurs, regarder cette petite chatte ! On me fouillaient déjà la chatte. Je mouillais déjà. Cette situation à la fois humiliante me rendait folle. Je savais qu’il surveillait, qu’il regarfait. - Je vous en prie Messieurs, n’hésitez pas à l’utilisation, elle est à vous. Elle adore se faire prendre. D’ailleurs laissez moi vous présenter une chose dont je suis fière. Son fion. Je sentis alors que ces mains se posaient sur moi. Cela me calmait, me rassurait. - Tête au sol ! - Je vous présente un sublime garage à bites. Cela quelques temps que je le travaille. Je vous conseille de bien vous occuper de ses orifices, vous avez le droit de la fesser, de la baiser par la chatte, par le cul, par la bouche.. un, deux ou trois trous à la fois. Je vous guiderai pour l’honorer comme elle me mérite. Avant toute envie, merci de m’en faire part afin que j’organise notre séance au mieux. Tout ce qu’elle subira devra passer avec mon approbation. Suis clair Messieurs ? Ils les avaient laisser un peu faire au début mais il prenait comme toujours le contrôle de la situation. Cela m’avait encore une fois de plus bien rassurée. Il écartait alors mes fesses - Messieurs, qui veut avoir l’honneur de lui retirer son bijou ? Tous crièrent en même temps.. - Vous. Je commençais tout doucement à faire des distinctions sur ces partenaires inconnus . Je sentis alors une main saisir le rosebud et prendre un plaisir à le retirer. - Hum, regarder ce petit fion qui cède… - Puis y introduire mon doigt, Monsieur ? - Oui, vous pouvez la fouiller, pour cela pas besoin de mon autorisation. Elle aime être doigter, fouiller. Je suis sure que Mademoiselle le confirmera.. Je baissais alors la tête.. - Allez réponds ! - Oui.. Messieurs, j’aime quand on me fouille la chatte le fion et la bouche. C’est là, que je sentis une main me prendre la bouche, et deux mains distinctes me fouiller la chatte et mon petit anus. - Hum ça rentre comme dans du beurre. J’étais muselée par ces doigts inquisiteur. - Présentez votre queue à l’entrée de sa bouche. C'est là que j'entendis un bruit qui me faisait penser à une bombe chantilly. - Lane, sors ta langue pour honorer le présent que je te fais. Je m’exécutais à sortir ma petite langue de chienne. C’est là que je sentis le bout du gland de cet inconnu de la chantilly dessus. Soudain, j’entendis la voix de mon Maître. - Mademoiselle est une grande gourmande, aimant la chantilly régalons la. - Introduisez bien votre gland au fond. C’est là que je sentis mon Maitre me saisir la gorge comme pour faire passer la pilulle. - Allez y,bien profondément. Baisez moi ça correctement. Je me sentais interdite.. Je subissais l’assaut de mon Maitre, de ses mains, de ces queues. C’est là, qu’il appuya ma tête afin d’englober totalement cette queue à m’étouffer. - Brave petite pute, me dit il. De l’autre, je sentais ses doigts me baiser. Un des hommes étaient là en train de me tenir les seins. - Hum Monsieur, son cul a l’air son bon. Puis-je ? - Non pas maintenant mais baissez là par la chatte. Tenez sa laisse. J’étais alors pilonner par la chatte. Les mains de mon maitre ont été alors remplacer par celle de l’homme qui dirigeait ma tête comme une poupée masturbatrice de queue. Je sentais chaque buttée. Chaque coup. Je sentis alors des mains écarter mes fesses. - Allez y, mettez y quelques doigts qu’elle ressentent la sensation d’être prise d’un peu partout. Je vous laisse deviner le tableau. C’est là que tout se stoppa. Un des hommes me tira pour les cheveux pour me jeta sur le canapé. Mon maitre me dit - Allonge toi sur le dos, écarte bien tes jambes en l’air. Ecarte bien ta chatte et ton cul qu’on puisse bien voir ce qu’on va pénétrer. La position n’était pas des plus confortable je commençais à protester. C’est là qu’il me gifla. On saisit mes bras par l’arrière et on m’attacha les bras. J’imagine qu’on les avait attacher à l’arrière du canapé. Je sentais alors mes chevilles encerclés par des liens. J’étais ainsi complètement écartée. - Regardez messieurs comme ça dégouille.. Je sentis alors une langue parcourir ma chatte. - Messieurs, je vous propose de l’ouvrir davantage, de travailler chacun de ses orifices. Qu’en pensez-vous. Je sentis alors un jouet me pénétrer. Cela devait être un jouet dont chacun des bouts étaient destinés à entrer dans chacun de mes orifices. Je commençais à crier. Un des hommes me baillonna de sa main. - Humm quelle bonne pute. - Elle est magnifique cher Monsieur votre chienne. - Oui, je sais, mais elle est aussi bien lubrique. Mon maitre libéra mes trous.. - Tu n’est pas encore assez ouverte pour te faire bien baiser. - Vous, écartelez là. Je sentis alors des doigts me fourrer. Il n’avait pas le tact de mon maitre. Je me dandinais. Il me gifla. - Allez pousse, prends ces doigts, petite putain. Mon maitre était venu probablement derrière moi et me parler au creux de l’oreille - Si tu voyais comment tu es si belle. Une si belle chienne qui va se faire sauter comme une putain. Maintenant tu vas demander, non supplier qu’on me sodomise. Je ravalais la salive. - Messieurs, je vous en prie, prenez moi par le cul. - Messieurs, voyons qui a le meilleur des attributs pour comber ma chienne… - Vous. - Pendant ce temps là, Lane tu branleras de chacune de tes mains ces queues. Rapidement, je sentis les deux queues se mettre dans ma main. Je sentais leur main maltraiter aussi mes seins. L’autre qui allait prendre possession de mon cul l’avait bien avancer. Je sentais qu’il plaçait son gland. - Allez Lane, quémande ! - Je vous en prie, Monsieur, Sodomisez moi maintenant. Il passa alors sa queue sur ma chatte, puis je sentis sa va tomber sur mon fion. IL pressa alors son gland et me pénétra d’un coup sec me faisant couiner. Je pensais à caresser les queues. J’entendais leur rale de plaisirs. - Plus vite petite chienne - Voilà, prends bien ça dans ton cul. - Petite salope. Je ne savais plus quoi penser. Je savais juste que j’étais offerte, offerte aux plaisirs de ces hommes venus pour me baiser. L’homme me tenait bien par les cuisses. Je sentais sa puissance me buter encore et encore. Je sentais mes seins valser dans tous les sens.. enfin ce n’était pas quand les deux autres ne les malaxaient pas. - Défonce la bien, fais la bien couiner.. - Messieurs, je vous propose de la détacher, allons vers le lit . Qu’en pensez vous ? - Hum excellente idée.. Je sentais leurs bites gonflées par le désir. ON me détacha. Puis mon maitre me prit par la laisse. - Allez à quatre pattes, petite chienne. Remercie ces messieurs de s’occuper de toi. - Messieurs, je vous remercie de vous occuper de moi. J’avançais à tâtons avec une démarche féline. C’est là que je sentis un matelas posé au sol. Il me fit monter dessus. - Relève bien ton cul. Mon maitre avait mis son pied sur mon cou pour m’immobiliser. - Demande à ce qu’on baise. Je ne répondais pas assez fortement qu’il me claqua les fesses. - Messieurs, je vous en prie, baisez moi. - Allez y messieurs, baisez la correctement. Je les sentis à tour me rôle me prendre comme une chienne, uniquement par le fion. Le dernier écarta bien mon fion avec de part et d’autres deux doigts puis me pénétra avec sa queue. J’imagine que mon maitre n’en rater pas une miette. - Allez bourrez la.. bourrez la bien cette chienne. Je hurlais, je ne me retenais plus.. C’était d’une telle intensité. - Elle prend chette putain. - Régale toi ma petite chienne.. fais toi bien prendre le cul.. Il ota son pied et me releva en souleva la laisse. J’étais à quatre patte. - Vous, allongez- vous. - Allez empale toi Lane sur ce dard. - Bouge mieux que ça aller !! Brutalement, l’homme saisit mes fesses me souleva et me baisa ainsi. Je criais, je hurlais. - Vous , baisez lui la bouche. C’est là qu’avec une frénésie ma bouche fut alors remplie. C’était fort - Mais quelle putain… - Maintenant Lane, tu vas découvrir ce que c’est que de se faire prendre par une bite dans la chatte et l’autre dans le cul… Chacun bougeant.. Te voir museler par une autre bite dans ta bouche à pipre. J’étais là prise de partout. Je profitais d’une accalmie buccale pour hurler de plaisir. - Allez prend ton pied petite pute. Celui sur qui j’étais me serrais fortement. L’autre me claquait les fesses. Je sentais à nouveau cette bite me baiser la bouche. J’étais une poupée complètement épuisée. Je me sentais dilatée de partout et humiliée d’avoir pris ce plaisir. - Hum petite chienne, tu as aimé te faire fourrer comme ca. Dans un soupir, je hochais la tête. Mes lèvres commençaient à être gonflées, presque douloureuses. Mon fion était douloureux. - Couche toi sur le sol. - Messieurs, je vous autorise à vous branler et à éjaculer sur ces seins . Je fermais les yeux complètement épuisée. A tour de rôle, il me tenait par la laisse à se mastuber au dessus de moi et à jouir sur mes seins. - Quelle putain ! Petite chienne, tu as aimé ça te faire défoncer. Tu peux remercier ton maitre d’avoir organiser cela pour toi. - Allez remercie-le. - Merci.. Monsieur, d’avoir organiser cela pour moi. - Messieurs pensez-vous qu’elle soit assez méritante pour qu’on la fasse jouir ? C’est là qu’on des hommes me releva. J’étais un peu sonné. Je titubais tellement j’avais été assaillis. Ne pas voir me désorientais complètement. On me fit m’asseoir sur un des hommes. Il me tenait bien fermement par la gorge tout en mettant sa main sur la bouche. Cela m’excitait. J’étais souillée de leurs spermes. Qu’allaient ils faire ? Un des hommes tenait mes jambes tendues vers le haut. C’est là que je sentis des doigts me prendre la chatte à faire des va et vient. C’était mon Maitre.. - Lane, je veux te voir jouir, je veux que tu nous inonde de ton plaisir. J’étais aux anges. Entravée ainsi, à la merci de ces hommes mais c’est lui qui avait le droit sur mon plaisir. Il savait comment me faire jouir. L’homme qui me maintenant me disait : - Allez jouis petite pute.. jouis.. - Oh mais c’est qu’elle en met partout cette chienne. Il caressait en même temps mon clitoris.. Une vague m’envahit. Mon corps ne répondait plus de rien. L’homme me maintenait fermement, il m’étranglait. Cela avait le don de me rendre encore plus folle. Une fois ma jouissance eu, ils me jettèrent sur le canapé, comme une poupée usagée. Ils me laissaient ainsi. - Allez messieurs allons prendre un verre. Je les entendais parler à mon sujet. - Quelle bonne putain, vous avez . A recommencer quand vous voulez ; - Sa bouche est un réelle enchantement.. vraiment. Vous l’avez bien dressée. - Son fion est des plus agréable. Au bout d’un moment, j’entendis des pas revenir vers moi. J’étais là, usée, abusée. - Allez, Lane, remercie encore des messieurs avant qu’on parte. - Messieurs, je vous remercie de m’avoir baiser par tous les trous. - Brave petite chienne dit l’un en tapotant ma joue - A une prochaine fois. Dit un autre en me claquant la fesse - Bonne putain dit un autre en tirant sur ma laisse et en me rejetant . Doucement au bout de quelques minutes, je sentis une main douce se poser sur ma joue. Il me releva et me guida. J’entendis le doux bruit d’une douche. - Rien ne vaut une douche pour se détendre. Il me jeta sous la douche avec ma lingerie et m’enchaina. Il savonna fermement en insistant sur mes seins , ma chatte et mon cul. J’étais alors épuisée. Je me jetais alors dans ses bras. IL me retira alors le bandeau. J’avais du mal à les ouvrir, légèrement aveuglée. La douche était des plus fabuleuses, elle était à l’italienne. L’eau perlait comme si c’était de la pluie. C’était une bénédiction sur chacune des parties de mon corps. Il me serrait alors contre lui en me caressant le dos. Tu as été merveilleuse ce soir. J’ai tant aimé te voir prendre ton pied ainsi. Tu étais belle. Nous nous caressions mutuellement sous l’eau. Il était d’une telle douceur. Il enleva ma lingerie qui était toute trempée mais j’en avais que faire. Il sorta puis me pris la main. - Ne bouge pas, je vais te sécher Il ouvrit le draps de bain, je mis mon dos contre lui. Il rabattait les pans du draps sur moi et me sécha. Puis doucement, il s’attarda ensuite sur mes mollets et pris un à un mes pieds pour les sécher. Mes cheveux étaient encore trempée. Il me mit un peignoir qui était à disposition, bien trop grand pour moi. Je mettais mes cheveux dans une serviette. Je profitais des produits à dispositions pour me démaquiller. Il me prit par la main. - Viens ma princesse. J’entendais la pluie dehors, cela me berçait. - Je t’ai apporté quelques affaires pour que tu sois à ton aise. Je me mis alors sur le lit avec le peignoir, il me parlait tout en caressant mon visage, je fermais les yeux doucement. A moitié endormie, je le sentais s’occuper de moi, je le laissais faire. J’étais sur mon flanc droit, il s’était mis derrière moi m’enveloppant de tout son corps et posant sa main sur la mienne en entrelaçant nos doigts fermement …
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Par : le 06/05/20
Comme à mon habitude, désolée pour les éventuelles fautes, je suis allée écouter Chopin… ************************************************************************************************ Nous quittions ce restaurant indien du centre ville que j’affectionne. J’aime les plats relevés, pimentés.. un peu comme je souhaite mener ma vie. Nous étions dans le centre ville de Strasbourg. Après ce repas divin se terminant par un thé indien, il me proposa de faire une promenade le long des quais. L’air était doux, il y avait une légère brise. Nous marchions côte à côte, lui me tenant par la nuque où je sentais cette douce pression bienveillante. J’aimais quand il me caressait du bout de ses doigts. Parfois, il serra plus fort pour me montrer de ne pas oublier qui il était. Il était dominant de nature. Je me sentais légèrement chipée ce soir là, les verres de vin me faisant tournoyer. Je me laissais complètement allée. Je souriais, je riais. Ce sentiment de bien être qu’on peut avoir quand on est simplement heureux. Il nous dirigea vers son appartement. Je l’aimais.Il avait comme moi ce goût pour tout ce qui a une âme. Je jalousais son appartement. J’aime le vieux parquet, les hauts plafonds, les vieux meubles… Il me faisait monter les escaliers en me mettant une claque sur les fesses. - Allez monte ! Il avait ce regard taquin que j’aimais. Arrivée à l’étage, je posai ma tête contre lui ne montrant légèrement aguicheuse . je me sentais à vrai dire un brin fatiguée. Il posa son doigt sur ma bouche. - Chut… Il caressa mon visage et me pris dans ses bras. Il ne prit même pas la peine d’allumer la lumière. Celle de l’extérieure nous laissait dans une certaine pénombre. Toujours dans la chaleur de ses bras, il me dirigeait vers sa chambre. Cette chambre avec son lit si unique. Un grand lit où sur chaque coin se trouvait des bois en hauteurs sculptés. Il m’avait dit qu’il l’avait chiné en Allemagne. C’était une pièce si unique. Je n’avais vu que ce genre de lit que dans des films où parfois on jalouse cette sublime décoration de rêve. Devant ce lit, se trouvait un coffre relativement grand qui me rappelait bien des souvenirs. Il y avait cette armoire qui comme chez moi cachet ses jouets favoris dédiés au délices et aux supplices. Il me déposa avec une tendresse infinie sur le lit. Ma tête tournoyait, l’alcool avait cet effet de m’endormir et de me rendre bien docile. Il me caressait le visage les cheveux. Je me lovais sur ses oreillers, sur son lit si confortable. J’avais quelques difficultés à même parler. L’alcool et ses ravages me direz-vous ?. - Ma petite chienne semble bien fatiguée, mais je ne vais pas Morphée me la kidnapper. Je souriais me laisser aller à cet état de plénitude où je me laissais complètement aller. Je sentais sa main remettre mes cheveux, passer sur mon visage. Il me saisit le cou pour prendre possession de ce qui lui appartenait. Je sentais son souffle au creux de mon cou. Son parfum me rendait complètement folle. De son autre main, il fit glisser la fermeture éclair avec lenteur comme s’il déballait un cadeau. Je gémissais, je me pinçais les lèvres. Je fermais les yeux appréciant ce moment d’intensité et de sensualité. Je m’étais mise sur le flanc comme pour l’aider à continuer. La bretelle de ma robe glissait le long de mon bras. Avec langueur, je me défis de cette bretelle. Il libérait ainsi mon sein où il le saisit pour dire.. C’est à moi.. Il me pris alors par le bras pour me redresser. Il s’était mis derrière moi, j’étais assise devant lui. Il ota la robe au dessus de ma tête. Il glissa sa tête au creux de mon épaule pour l’embrasser puis pris de pleine main mes seins. Il les sous-pesait, les remontant, les enveloppant, les serrant. Ma tête basculait contre son torse. Je chavirais. Il me caressait du bout de ses doigts. J’avais la chair de poule. Mes tétons s’étaient dressés comme il avait cet art à me dresser naturellement. Sa main descendait sur mon ventre, sur l’extérieur de mes cuisses, il me caressait. D’un geste vif comme un tigre, il se retira pour me forcer à me rallonger. Il s’était mis face à moi, mes jambes était pliées sur le lit. Avec une sauvage douceur il me retira. Il saisit mon bras droit pour l’orner d’un bracelet en cuir, il fit de même de l’autre. Je sentis le bruit d’un mousqueton qui m’attacha aux liens qu’ils avait mis au niveau du lit. J’étais ainsi les bras écartés, attachée.. à sa merci. Il ne parlait pas, je me laissais faire. Il plaça un bandeau sur mes yeux. J’étais ainsi dans le noir, à ne pas savoir ce qui allait se passer. J’adorais être privée de la vue, cela exacerbe les sens à vous faire frissonner, à décupler lous les ressentis, ne sachant pas ce qui va arriver. Il avait écarté mes jambes. Il effleura du bout de ses doits mon corps puis se releva. J’entendais ses pas, j’essayai de deviner ce qu’il faisait. - Maintenant, je vais te mettre un casque avec la musique que tu affectionnes. Tu vas être une gentille, gentille petite chienne. Hum j’étais aux anges. C’est la première fois qu’il me mettait un casque. J’allais découvrir que c’était d’une intensité. J’étais ainsi privée de ma vue et des sons environnement, comme dans une bulle. Je ne sentais que la douceur de la pulpe de ses doigts m’honorant de voluptueuses caresses. Il s’était absenté durant quelques minutes. En entendant ses pas resonnant de plus en plus fort, Ma poitrine se soulevaient, je me sentais éveillée à tout ce qui allait se passer malgré mon état. Il saisit alors ma bouche de ses doigts pour y déposer un baiser bien mordant. Je sentis soudainement une chaleur à mon entrejambe. C’était la chaleur d’une flamme. Qu’avait il déposé. Une bougie ? allait il mettre de la cire comme il aimait à le faire ? Je n’osais plus bouger gardant les jambes bien écartées. Il écartait les lèvres de mon sexe. J’imaginais comment ils les regardaient à la lueur de cette flamme. Il les écartelaient comme pour voir mon intérieur. Au bout de quelques secondes, je sentis mon sexe se refroidir. Il s’était emparé de cette bougie. J’étais toute en haleine. C’est là que je sentis la première goutte chaude s’abattre sur mon ventre, puis une seconde, une troisième.. il jouait avec mes seins, mon ventre puis il commença à s’attarder avec la cire sur mon sexe. Il jouait de la hauteur d’où tomber la cire. J’entre-ouvrais mes lèves, laissant échapper le cri de mon désir, de mon doux supplice. J’étais ainsi recouverte de cire. Je devinais alors qu’il s’était amusé à jouer d’une bougie, et celle d’une bougie de massage. Il jouait avec les matières. Cette sensation agréable où il otait ensuite la cire tout en commençant à me masser avec langueur. Il me rendait complètement folle, sur le chemin de la perdition. La musique dans mon casque me transcendait. Du chopin. Je tourbillonnais, je me perdais dans ses mains expertes. Je sentais la force de ses mains me masser, s’attarder sur mes seins. Il les massait, il prenait possession de ces monts en les malaxant puis de ses dents il me mordait les tétons. Il est aspirait. Il me tourmentait. Je soupirais, encore et encore. Je perdais pied. Je devais probablement émettre des sons de plaisirs à la hauteur de ce qu’il m’infligeait. Mon corps était bien huileux. Il n’oublait aucune partie de mon corps. Il s’occupait divinement de mes pieds, effleurait mes mollets, embrassait mes cuisses. Ses doigts était un appel à en demander toujours plus. D’une main bien plus ferme il écarta davantage mes cuisses. Je le devinais face à moi, observant mon sexe. Je sentis alors une goutte de cire s’abattre sur mon clitoris si sensible. Je me dandinais, ne tenant plus, tellement il faisait de moi une petite chienne en chaleur, voulant être comblée de partout. Je sentais ses doigts glisser le longs de mes lèvres. Je ruisselais. Il jouait.. me frustrait. Je me cherchais en bougeant ma petite chatte à en avoir plus. Il écarta alors de deux doigt mes lèvres et je sentis sa bouche prendre possession de mon clitoris. Il l’aspirait avec intensité. Il me voyait bouger. Il me tenait fermement . Je me débattais face à ce plaisir qui faisait que je n’arrivais pas à me contenir. Pour m’abattre, il mit à l’entrée du trou de ma petite chatte un doigt. Il caressait, sans me pénétrer. Je ne tenais plus. Je voulais qu’il me doigte, qu’il me fourre. Ma chatte appelait ses doigts Il ne mit qu’un seul doigt à mon grand dam. Mais il m’enfourra si profondément pour me faire comprendre que c’était lui qui décidait. Il me baissa avec son doigt si fortement.. tout en me suçant le clitoris. Puis ressortant son doigt, il me caressait à nouveau de cette pulpe imbibé de ma mouille le clitoris. Je soupirais encore et encore. Il m’emmenait à chaque fois au bord de la jouissance s’arrêtant juste avant. Ma tête s’engouffrait davantage dans les oreillers. Je couinais telle une petite chienne en chaleur. Il me releva bien les jambes et caressa mes lèvres gonflées. C’est là qu’il me fourra de plusieurs doigt. Avec douceur, il inspectait en profondeur comme si il voulait me transperçait en sondant mon intérieur. Je bougeais mon bassin l’invitant à me combler encore en encore. J’aimais quand il me sondait ainsi. Soudainement, je sentis alors bien plus que quelques doigts. J’étais si ouverte. Il bougeait sa main dans tous les sens. J’avais quatre doigts qui m’honorait. Je ressentis alors son pouce tentant de se frayait un chemin. Il avait posé sa main sur mon ventre pour me calmer. Je soufflais, de désir, de plaisir mais aussi de douleur. J’étais dans une excitation qui faisait mal. Je sentais la force de son bras, cette main de velours, son intransigeance à vouloir m’écarteler. Il commençait des mouvements de va et vient avec son poing. Je criais.. il ressortais son poing, s’impregnant de ma mouille et probablement d’un gel. C’était intense. De se sentir prise ainsi. De s’ouvrir à ces plaisirs fous. Il me pénétrait avec sa main comme pour pénétrer les entrailles de mon désir. Je me cambrai. Quand il ressortit son poing, il me caressa doucement l’entrejambe comme pour calmer le feu ardent. Ma bouche s’était assechée ,comlètement consumer par la chaleur de mes envies les plus pervers dont il était le brasier. Soudainement, je sentis une goute froide s’abattre sur ma bouche. Je voulais m’abreuver de cette eau. Il passait le glaçon sur ma bouche puis le glissa le long de mon cou. Je me délectais.. mon corps réclamait encore et encore. Il me mettait à ce point de rupture. Il traçait un chemin sinueux jusqu’à mon entrejambe. Il passait autours le glaçon autours de l’auréole de mon sein gauche. De l’autre il avait inséré son pouce dans ma bouche. Je prenais un plaisir à l’honorer, le sucer, le lecher. J’étais soumise à toutes ces caresses et je me laissais complètement aller à cette frénésie qui sortait de l’ordinaire. Il faisait de la sensualité un art, la sexualité en était également un. Il connaissait chaque parcelle de mon corps. C’est cela que j’aimais dans notre relation. Combien de fois, avant lui j’avais tenté des relations plus légères qui n’avait aucune saveur, où ces hommes se prenaient pour des dieux du sexe, à croire que quelques coups de queue provoquaient une jouissance. A ces hommes qui ne savent même pas comment stimuler un clitoris, où à ces hommes qui une fois leur plaisir pris.. nous regardent en disant.. mais « caresse toi ». Lui , il découvrait, scrutait, il dominait naturellement. Il aimait maitriser tout ce qu’il faisait et cela passait par la maitrise de mon esprit et de mon corps. Les deux étaient liés. Toujours avec douceur, il caressait mon sexe avec un glaçon… J’en avais la chair de poule. Il l’introduisait dans ma petite chatte si brulante. Mon corps le réclamait. Il me mettait au supplice. J ouvrais ma bouche, espérant qu’il insère encore ses doigt. Je sentais le glaçon fondre dans ma chatte qui inondait le matelas. Il engouffra dans ma chette un gode pour me combler.Il faisait quelque va et vient puis viens s’asseoir à califourchon sur ma poitrine. Il pinça mon nez. Naturellement j’ouvrais ma bouche. Il introduisait son gland à l’orée de son écrin. Avec calme, il s’engouffra doucement. Une fois arrivée bien au fond, il y resta quelques instant.. puis ressorta.. puis encore à nouveau il me fourra bien au fond ma bouche. Je sentais au fil de la montée de son désir son corps faire cette danse pour aller.. revenir.. aller et revenir. Puis pour jouer avec moi il restait encore en me pinçant le nez. Il me rappelait ma condition de chienne voulant se faire étouffer de son gland . Puis il me tapotait la joue, me faisant sous entendre que j’étais une brave petite chienne. J’aimais cette sensation où tout passait par les ressentis, bien que sa voir me manquait. D’un coup vil, il me détacha les bras et me retourna . Il me maintenait par le cou. La tête appuyée dans les oreillers. Il me rattachait cette fois ventre contre le matelas. Il glissa sous mon ventre, un cousin conçu pour maintenant mon cul telle une montagne à prendre d’assaut, pour faciliter l’accès mon cul.. et surtout cela soulageait mon dos quand il me baisait avec violence. Il me tirait alors par les cheveux pour me redresser puis me jeter alors comme une petite poupée. Il me faisait comprendre que j’allais prendre… subir le fruit de son affection. Il avait quitté le lit. La musique masquait tout, je ne savais pas ce qui allait se passer. Le temps paraissait long. Quand soudain, je sentis les lanières du martinet sur mon dos. Il me caressait avec.. jusqu’aux fesses, à s’amuser de faire passer les lanières entre mes fesses. Le premier coup s’abattait sur mes fesses. Il y mettait le même degré que cela de mon désir. Je criais de surprise. Puis un second… Je m’enfonçais dans les oreillers pour retenir mon cri… Puis avec soin il s’attela à s’occuper de mon dos en croisant ses coups. Il faisait tourner le martinet à le faire passer en coup de vent ou alors en y mettant plus d’aplomb. Il en faisait de même au niveau de mes cuises. Il prit un malin plaisir à s’occuper de mes pieds. Me voyant trop bouger, il décida alors de me les attacher avec une barre d’écartement. Je sentais alors ses mains sur chacune de mes fesses. Il les griffait, les malaxait. J’avais toujours le gode dans le fond de ma petite chatte. Il s’amusa encore à s’assurer qu’il était bien au fond. IL écartait cette faille pour avoir une vue imprenable sur mon petit trou du cul. J’étais dans un tel état. J’étais sa putain. J’aimais être son amante. Celle où il pouvait m’utiliser comme bon lui semble. En engouffrant deux doigts dans mon cul, il s’amusait à faire ressortir cette petite peau qui le sépare de ma chatte. Je ressentis son désir pour mon petit fion. Il aimait le conquérir, l’élargir, le baiser, le fourrer. Je sentis alors qu’il introduisait deux autres doigts de sa main. Il m’élargissait de part et autres. Je râlais. Puis allant chercher ma mouille, il caressa ma petite auréole en pris possession comme il avait fait avec ma chatte de mon fion. Il le tournait, s’amusant avec.. puis introduisait un second. Il regardait probablement comment bien l’’élargir.. C’est là que je sentis l’écouteur droit être soulevé. - Je vais te fister ma petite putain. Puis il remit le casque. Cette annonce m’avait fait peur mais à la fois m’avait rendu complètement folle. Il y travaillait depuis quelques temps. Il voulait me voir le fion béant. Le gode était tombée, tellement j’étais trempée. Il comprend à mes sons que je l’invitais à continuer. J’étais dans un état.. Je sentis alors un troisième doigt s’introduire. Il tournait.. il tournait. Il me préparait à recevoir ce qui devait me combler. Il faisait trembler ses doigts me faisant défaillir. Je produisais probablement des sons de plaisirs intenses. J’aimais la manière dont il me doigter à fouiller mes entrailles. Le quatrième.. Là sa main était presque droite. Il faisait des vas et des viens un peu comme les vagues qui s’abattent sur la plage la laissant humide.. tout comme ma chatte qui s’emplissait de mouille. Quand il ressortait ses doigts c’était pour mieux s’en imprégner, bien mouillée, bien huiler pour bien me prendre par la main. Je sentais la pression qu’il y mettait. Je croyais. Je m’étais naturellement relevé comme pour m’aider, l’aider à aller au bout. Je ne creusais plus mon dos, je sentais qu’il était sur le point de passer le plus difficile. Il me maintenant par la taille et m’invitait à chercher plus. Ensemble, je sentis alors son poing entré.. Pendant quelques secondes, il le laissa ainsi, sans bouger. Il caressait ma croupe. Puis doucement il commença à me baiser avec. Tout doucement. Il s’amusait aussi à tourner légèrement pour parfaire son travail. Je sentais son excitation. C’est là qu’il tira mes cheveux. Son poing était comme la queue d’un étalon, il voulait que je me comporte comme une petite jument qui se fait mettre comme il se doit. J’avais cette douleur qui commençait à disparaître. Il retira alors mon casque. - Quelle petite salope tu fais.. Aucun mot ne sortait. Il m’épuisait. Je me laissais totalement faire, attachée ainsi et maintenu par le poing dans mon cul. - Je me demande si je ne vais pas mettre ma queue dans cette petite chatte de salope… Je me sentais presque honteuse mais excitée à cette idée. - Allez, demande moi ! Je veux t’entendre le dire. - Monsieur, je vous en supplie, prenez moi aussi la chatte.. - Plus fort ! je n’entend pas suffisamment ! - Monsieur.. je vous en supplie, prenez moi par la chatte. - Voilà, c’est mieux. Je vais excauser ton désir de putain. - Je ne veux pas t’entendre, tu as compris ! - Hummm.. oui.. Monsieur. Il me jetta la tête à nouveau contre l’oreiller pour étouffer mes cris de chienne couinante. Il introduisait lebout de son gland à l’entrée de ma chatte. - Allez viens la chercher. - Doucement , je m’empalais sur sa queue avec je dois le reconnaitre bien grande difficulté. Puis une fois prise ainsi, il me dirigea par le poing de mon cul. Il y allait avec une certaine douceur. Je le sentais râler de plaisir. - Je vais presque pouvoir me caresser la bîte avec mon poing, petite pute. J’avais mal. Il sortit rapidement de ma chatte. Il s’appuyait sur mon dos pour que je m’étale à nouveau sur le cousin. Doucement il retira son poing de mon fion meurtri. - Regarde moi ce trou.. Un vrai petit garage à bîtes, dis -moi. Plus d’un y aimerai s’y engouffrer et te prendre comme la trainée que tu es.. Je vais peut-être devoir y songer.. Je me sentais humilée à cette idée, bien que cela m’excitait. Je ne sais pas si cela était une bonne chose à faire car entre fantasme et réalité ; cela peut casser beaucoup de choses. Mais j’étais attirée par cette pluralité de me faire fourrer et prendre par plusieurs hommes, et il le savait. Il écarta mes fesses, il voyait les réactions de mon fion ouvert, légèrement se refermer. Puis il remplaça se vide par sa queue. Elle rentrait comme dans du beurre. IL me besogna. Pour mieux me prendre bien au fond, il avait mis de chaque coté ses jambes. Je le sentais bien profondément. Puis dans son excitation, il me tira les cheveux pour me redresser puis mis sa main sur sa bouche pour ne pas entendre crier à chacun de ses assauts. Je sentais sa frénésie, il me traitait comme la petite chienne que j’étais. Il me rejeta la tête sur l’oreiller et la bloqua en y mettant son pied. - Dis moi que tu aimes que je te baise ainsi.. Encore une fois, interdite, mais je devais lui avouer. - Oui monsieur, j’aime quand vous faîtes de moi votre chienne. - Oh oui, c’est tout ce que tu mérites. Regarde moi comme tu es ouverte. Il me claquait les fesses, et m’honorait des mots qui me représentaient bien.. Chienne en chaleur, putain, catin.. salope. Cela avait le don de me rendre complètement humide. Il enleva les mousquetons de mes attaches et me retourna, mon cul posé sur le cousin, il était surelevé. Il était au dessus de moi. Il retira alors mon bandeau et plongea son regard dans le mien. J’étais dans le paradis de la luxure. J’étais à lui. J’aimais cette intensité quand nous nous regardons ainsi. - Baisse tes yeux ! Je n’obeissais pas, continuant à le regarder. - Baisse tes yeux ! Je me refusais.. à obéir avec un sourire dont je savais qu’une punition allait venir. IL saisit brutalement ma bouche avec sa main. Puis me dit - B..A..I..S..S..E T.E.S Y..E..U…X Je souriais à ne pas vouloir l’écouter. C’est là qu’il me gifla sur la joue droite, puis la gauche. - Petite salope insoumise ! Je vais te punir ne t’inquiète pas pour ton insolence. Il m’encercla le cou avec sa main tout en me possédant la chatte. Il me besognait. Il prenait l’assaut de ma forteresse. Il me pilonnait tout en m’étranglant. Je me sentais vidée et pleine à la fois. IL avait eu raison de moi. Je fermais alors les yeux. Il saissait mes cuisses et replaça mes fesses bien à l’orée du cousin. Il se releva mes jambes en tenant la barre d’écartement vers le haut. Il était si vigoureux.. Mes deux trous étaient alors si facile d’accès à être pénétrer. C’est là qu’il changea de trou pour entrer comme dans du beurre dans mon fion. J aimais quand il était des plus pervers, autant que ma perversité de petite chienne. Il en était le chef d’orchestre. Tout en me sodomisant il introduit plusieurs doigts dans ma chatte. Il aimait quand j’étais pleine. - Regarde toi.. ma petite fontaine. J’avais des larmes de plaisirs qui coulaient. Je n’arrivais plus à me contenir. Je sentais sa jouissance arrivée. Il aimait me remplir de son foutre et me laisser être souillée ainsi. Il me libéra de la barre d’écartement puis me prit dans ses bras. Il me caressait doucement la chevelure, j’adorais cela. J’étais complètement épuisée.. Il me murmurait à l’oreille : - Tu es ma petite chienne.. Aimerais-tu que je te fasse prendre par plusieurs hommes la prochaine fois ? J’enfouissais ma tête contre son torse. J’en avais envie mais cela me faisait peur.. je ne lui donnais pas ma réponse..
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Par : le 04/05/20
Désolée pour les fautes, je suis partie jouer.. Il y a toujours en nous cette petite fille qui sommeille. Celle qui se dit.. oh zut suis adulte.. pfff. Au-delà de la femme indépendante que je suis, j’ai ce coté femme-enfant qui aime régresser. Peut être pour oublier les soucis. A vouloir faire une bataille d’oreiller, à rejouer à ces jeux de notre enfance. J’aime toujours user, abuser de ce regard innocent, à faire qui ne comprend pas… mais qui a besoin d’apprendre. Ce côté petite sotte qui a besoin de recevoir une petite leçon.. Vous voyez très bien de quoi je parle, n’est ce pas ?. Cette petite qui a envie de se faire corriger comme une petite fille fautive qui voulait cacher ses bêtises, et qui pour se faire pardonner affichait ce petit regard, tout innocent lui aussi.. Mais qu’ai-je fait de mal ? Lors de notre dernière entrevue, il m’avait laissé une boite à ouvrir dès qu’il me le demanderait. La curiosité est un vilain défaut n’est ce pas. Vous aussi vous auriez voulu savoir ce qu’il y avait dans cette boite, si belle, blanche perlé fermé à l’aide d’un magnifique ruban rouge rubis… Si je regarde qu’en saura t il ? mais si je regarde pas, mon excitation ne fera qu’augmenter… Je l’avais posé sur la table juste à coté de mon canapé en velours rouge opéra de mon dressing. Mon dressing dispose d’un choix incroyable de tenues, robes, lingeries, chaussures et accessoires me permettant à la fois d’avoir un look BCBG, plus bohème , plus années folles ou ce look hollywoodien des actrices des années 40/50. D’ailleurs il parait que je ressemble à Dita Von Teese… ou plutôt c’est elle qui me ressemble. Donc j’étais assise sur mon canapé à regarder cette boite. Je me mordais les lèvres. Un petit démon me disait.. ouvre là… l’autre… non regarde ton entrejambe.. il est tout émoustillé. Je prenais sur moi… J’envoyais un message à Monsieur. - Monsieur, je suis sur le point de fauter.. ouvrir cette boite… puis-je ? Il me faisait languir.. je voyais qu’il avait lu le message sur Whattsapp. Arghh je le maudissais. Une heure après : - Non je te l’interdit. Tu auras le droit de l’ouvrir demain-matin. Après tout, je me disais demain matin.. il n’en saura rien si je l’ouvre maintenant. Mon coté chipie ressortait. J’attrapais cette boite que je posais sur mes cuisses. Avec une délectation enfantine, je défis le nœud. J’ôtais le couvercle. Et là je vis.. une peluche. Une peluche, il m’offrait une peluche.. Ah moi ? qui aime plutôt être très femme. J’y voyais une pointe d’humour mais peut être un indice pour notre prochaine rencontre ? Message Whattsapp reçu : Je suis certain que vous avez ouvert la boite ? Je vous connais… Je souriais, il me connaissait par cœur.. Je répondais instantamment. - Oui Monsieur, je n’ai pas pu résister… et puis avec une peluche à la main et mon regard mutin.. vous allez me pardonner ? - Oh.. mais vous vous trompez lourdement ma chère. Je suis en train de prendre note sur votre carnet. Je passe vous chercher demain à 20h. La peluche est un indice sur ce que vous devez porter demain. Ne me décevez pas et n’oubliez pas d’emmener votre peluche. Je levais les yeux en l’air.. Une peluche… forcement j’imaginais ce jeu de rôle où je serais une jeune fille bien innocente. C’est alors que je réfléchissais à ma garde robe, et à ce que je pourrais mettre. Eh bien j’allais la jouer bien sur femme très innocente. La nuit porte conseil. Le lendemain, j’étais passée chez l’esthéticienne afin d’avoir mon entrejambe le plus lisse possible. Je déteste les poils. Puis en rentrant, je décidais de me faire ce soin éclair « coup d’éclat » jouer les jeunes filles à mon âge.. même s’il paraît que je ne le fais pas.. mais j’adore jouer ces jeux de rôle dans lesquels il m’emmène par jeux. Il se donne toujours les moyens. Je mis cette petite robe légère qui me donnait ce coté sage avec un col claudine. J’avais mis en dessous une lingerie dans les tons blanc / rosé. Ma culotte était légèrement bouffante comme pour rappeler ces culottes des années 1900… j’avais également mis des bas blanc. Et pour agrémenter le tout.. j’avais fait des couettes… En me regardant dans le miroir, je m’étais amusé à voir le résultat. Je me disais. J’espère que nous n’allons pas en ville.. Il était venu à l’heure précise. Je sortais en faisant attention à ce que les voisins ne me voient pas. IL m’avait envoyé un message comme d’habitude. Ma peluche à la main, je ressemblais à cette petite sainte nitouche.. sexy qui cherche les regards en faignant son innocence. Je montais rapidement dans sa voiture. - Oh en voilà une bien jolie jeune fille.. - Vous.. êtes… Il souriait.. - Oui je suis ? C’est là qu’il se pencha vers moi. De son pouce, il entreouvrait ma bouche pour le faire pénétrer.. - Une jeune fille suce t elle encore son pouce à son âge ? et se balade t elle encore avec une peluche ? Il écarta mes jambes et me deshabilla du regard. - Je t’emmène dans un lieu spécial où l’on pourra bien s’amuser ensemble. C’est en Allemagne. Nous allons rouler une petite heure. C’est dans un club mais nous serons que tous les deux. J’ai réservé une pièce bien spéciale pour nous deux. C’est là qu’il me tendit une sucette.. - Tiens, je me souviens que tu aimes les sucettes ? rappelle toi une de tes punitions. Là je veux que tu la suces, que tu te délectes, que tu la lèches. J’adorai faire la petite allumeuse. Nous arrivions dans ce club, qui était dans un petit village. C’était assez étrange à vrai dire. Mais bon, tant que j’étais avec lui, je me sentais en sécurité. Il sortit de la voiture un sac. Nous rentions dans ce club. IL maitrisait parfaitement l’allemand. Nous allions au vestiaire. - Mets toi en sous vêtement et prends ta peluche, petite allumeuse. Il me prit par la main. Le responsable du club nous montra le chemin jusqu’à une pièce au fond d’un couloir. - Ce soir, tu seras une petite fille qui a besoin de recevoir une petite éducation comme il se doit. Attends moi. Je reviens. Il était rentré dans la pièce avec son sac. Puis il me dit de rentrer. Il était installé sur le lit. Il s’agissait d’une centre d’environ 20m2 avec un lit de jeune fille en fer forgé. Plein de peluches adossées à une commode et au mur des images très enfantines avec des jeux. Une pièce très colorées avec un grand tapis circulaires, des poufs et des oreillers de partout. - Viens t’asseoir à coté de moi.. IL tapotait le lit. Il me faisait tout de suite entrer dans ce personnage. Prenant une démarche coquine et un peu à la légère, je m’approchais de lui, peluche à la main. - Je vois que tu n’as pas pu tenir pour ouvrir cette boite. Sais-tu ce qui arrive aux jeunes filles qui n’écoutent pas ? - Humm.. non Monsieur ? je ne sais pas… dis-je avec une voix légèrement d’idiote. - Eh bien on leur met la fessée cul nu. Alors tu vas baisser ta petite culotte sur des cuisses et tu vas me les présenter. Avec insolence, je passais au dessus de lui pour me mettre en position. Quand tout à coup, il me fit m’allonger en me poussant avec sa main sur mon dos. Il me caressait les cuisses puis se dirigea vers mes fesses. Il commença à me fesser avec fermeté.. - Tu ne me remercies pas ? - Pardon.. monsieur… Mer.. aie.. merci… Monsieur. Sa main s’abattait encore.. et encore.. parfois plusieurs fois au même endroit. J’étais ainsi allongée sur lui à lui tendre mes fesses qui étaient probablement devenues écarlates. - Voilà comment on corrige les vilaines.. les vilaines petites filles qui ne sont pas obéissantes. Humm quelles belles fesses bien rouges. IL les caressa, les serra… Puis il écarta mes fesses pour regarder mon entrejambe.. Il y passa sa main.. - Ah je vois l’effet que cela provoque à cette innocente jeune fille… un état d’émoi de petite chienne en chaleur.. - Oh Monsieur, je ne sais pas ce qui m’arrive.. Dites le moi.. - Oh je vais te donner quelques leçons pour comprendre une nouvelle matière physique. - Ah oui Monsieur, qu’allons nous apprendre. - Tout d’abord, nous allons apprendre en jouant. Est-ce que cela te convient ? - Ohh.. oui Monsieur.. dis-je avec cette voix enfantine à me triturer les couettes.. - Alors on va jouer. Va à cette sublime boite à jouet. Prends celui qui te fait plaisir.. Je te montrerai des exercices pratiques. Allez remonte ta culotte, ce n’est pas une tenue de s’exhiber ainsi. Je me rendis à quatre pattes en dandinant mon derrière pour aller jusqu’à cette boite qui était sur le tapis. J’ouvrais la boite avec cette mine complètement surprise ( eh oui j’aimais jouer mon personnage). - Oh mais monsieur.. je ne sais pas à quoi servent tous ces objets. - Choisis en un.. je t’expliquerai. C’est là que je sortis un gode ventouse. Je m’empressais de revenir vers lui à genou et à lui tendre. - Hum cher Monsieur voilà ce que je choisis. - Hum.. je vois que tu as de bonnes prédispositions. Il se leva et se dirigea vers le miroir. Il y faisait adhérer le gode ventouse. - Nous allons faire un petit exercice pratique avec ta bouche et ta langue. Tu vas prendre cet objet et tu vas le lécher, te l’introduire dans ta bouche, quitte à aller jusqu’à ta gorge. Je vais te regarder faire. Si je ne suis pas satisfait, je te corrigerais.. - Ohh merci Monsieur. Toujours à quatre pattes en dandinant mon cul, et prenant une démarche que je savais sensuelle pour le rendre fou, j’allais vers le gode. Doucement j’ouvrai ma bouche pour commencer à le lécher, comme ci je découvrais cet objet. - Allez, dans ta bouche Je commençais à sucer ce gode. - Allez, va y plus profondément, tu en es capable. De moi-même je forçais ma gorge à en baver. C’est là que je sentis le coup de la badine s’abattre sur mon cul. - Cambre -toi, tiens toi bien et continue de sucer. Au bout d’un moment il me dit de le garder bien dans ma bouche. - Voilà une bonne petite suceuse. Il maintenait ma tête pour que je la garde bien en bouche. Puis en me tirant par les couettes il me redressa. J’avais de la bave qui dégoulinait. - Maintenant nous allons passé à l’exercice en réel. Il me releva en me tenant pour le cou et mis sa main dans ma petite culotte de jeune fille. - Oh mais cette innocente demoiselle est bien lubrique. T’es toute trempée… Il me poussa vers le lit, puis avec son savoir faire me retourna afin que j’ai la tête à l’envers. - Avec sa main, il ouvrait ma gueule et y fourra un doigt. Je me délectais de le lécher.. Puis avec une certaine fougue, il prit son sexe en main et le dirigea vers ma bouche ouverte qui n’attendait qu’à passer à cet exercice pratique. Il me baise bien comme j’aimais. Il adorait me faire des gorges profondes. Il m’imposait son rythme effrainé. Tout en me prenant ainsi, il avait sortie mes seins de mon petit soutien gorge. Il jouait aussi avec mes tétons. Je bougeais alors mon corps pour me défaire de cette emprise. C’est là qu’il me prit le cou.. et serra. Il stoppa sa frénésie et laissa son sexe en moi. - Brave petite fille. Il me tapotait la joue.. - Allez sors ta langue, lèche moi les couilles, lèche bien partout. Ma langue passait dans tous les endroits de son entrejambe. Il me rendait folle. Puis c’est là qu’il se retourna et s’assit sur moi. - Regarde moi . - Je t’ai dit regarde moi. Je veux te voir me bouffer les couilles, petite salope. - Tu les veux hein ? De mon regard naïvement pervers, il comprenait.. - Oh oui.. Monsieur merci.. Je l’entendais râler de plaisir. Il me saisit par les couettes et m’utilisa à son bout vouloir à faire des va et vient puis stoppa net. - Bonne petite elève - Oh merci Monsieur.. c’était si bon. - Allez va choisir un autre jouet.. - OH Monsieur, qu’est ce que ce fil avec plein de boules attachées. - Apporte le. Comme une enfant qui découvre un trésor, je m’avançais vers lui. - Allez reviens sur mes genoux. - Qu’aillez vous faire, Monsieur ? - Chut… Laisse toi faire, tu vas aimer. - Oh mais monsieur, que faites vous ? Il écartait mes fesses, - Oh, regarde moi ce petit trou.. Tu vois je vais introduire ces 3 boules dans ton petit cul. - Ah oui Monsieur ? et vous pensez que cela va rentrer ? - Nous allons le voir. - Ouvre ta petite bouche et mouille moi cela. Avec sa main il me présentait le jouet que je me devais d’humidifier. - Cambre toi et remonte des fesses. Il plaça la première boule à l’entrée de mon orifice.. - Allez pousse ma belle. Mon fion céda rapidement. Puis il opéra lopération une seconde fois.. puis une troisième. - Oh regarde comme tout est rentré. Tu es une petite magicienne. Je le regardais en souriant avec ce regard malicieux. - Allez va sur le tapis, je vais te regarder jouer. - Oh oui à quoi voulez vous jouer ? - A la petite chienne qui va m’aguicher avec son petit cul. - Oh Monsieur.. non… - Allez fais ce que je te dis.. Je descendis du lit. Je baisais alors ma tête au sol puis je dandinais mon cul pour lui. - Allez bouge le encore mieux que ça. Je sais que tu aimes ça. - Oh oui.. monsieur - Tu ne sais vraiment pas te tenir.. C’est là qu’il saisit le petit anneau à mon petit cul.. Oh mais regarde ce que je tiens en main.. Tout doucement il tira dessus.. Il sortit la première balle puis la rentra une seconde fois. J’étais complètement excitée. - Oh oui, tu avais besoin de te sentir combler, n’est ce pas.. - Oh oui.. monsieur, je vous en prie.. combler moi encore. Il sorti ces boules avec délectation. Je devinais son regard qu’il avait. A voir mon petit trou s’ouvrir, se grossir.. - Oh mais je vois que ma petite chienne est bien trempée.. Je vais te prendre la température ma belle. Il se plaça debout au dessus de moi. Sa queue prenait la direction de mon trou. Il s’y fraya un chemin.. à sec. Il y allait doucement. - Tu vas voir tu vas aimer, petite allumeuse. - Je commençais à crier. Puis il commença à me culbuter . Je sentais ses couilles me frapper. Il tenait mes fesses pour les écarter et admirer son œuvre entrer et sortir. Parfois il prenait de la hauteur et admirer mon trou bien ouvert, bien offert. - Oh regarde comme tu es ouverte.. Il me pris par les poignets et repris sa chevauchée. Puis dans un mouvement de fougue, il me releva et me jeta sur le lit. - Garde tes jambes bien ecartées. Il saisit des liens pour m’attacher les jambes afin que je les garde bien ouvertes. IL fit de même avec mes bras.. Attachés de part et d’autres. - Sais tu ce qu’on fait aux petites chattes qui s’exhibent ainsi ? Son regard était si. Intense. Il tapotait ma chatte, puis commença à la claquer.. Je voulais refermer mes cuisses mais je ne pouvais pas le faire. Il se leva vers la boite et sortit un gode gonflable ainsi qu’un baillon. IL aimait m’entendre gémir ainsi. - Oh mais regardons cette chatte si douce.. Il aimer me doigter, et j’adorais cela. Je mouillais tellement qu’il en entra directement 4… Puis il commença à vouloir introduire son poing. Je me débattais, j’écarquillais les yeux.. mais il n’y arrivais pas. Cela ne l’empechait pas d’aller au plus profond pour me stimuler … Il mis le gode dans mon petit fion . Je poussais des cris en feignant de ne pas vouloir plus.. Mais au fond mon corps réclamait bien sur davantage. Il pressa une première fois la pompe… Je bougeais.. Puis une seconde.. Il le gonflait encore et encore. IL connaissait mes limites. C’est là qu’il me prit par la chatte tout en ayant le gode dans le cul. - Alors petite vicieuse.. C’est bon d’’avoir ses deux trous bien remplis ? Je faisais oui de la tête. Il ota mon baillon et dit.. - Va y je t’écoute. - Oh .. que dire que de sentir votre queue me prendre tout en ayant le fion rempli.. Merci. Monsieur. Tout en me besognant il me gifla, probablement pour être si chienne. J’aimais cette frénésie où au fond j’aimais qu’il me déprava à faire une petite chienne à son image. Elle est là mais il arrive toujours à me rendre encore plus.. chienne. Il s’arreta en remplaça sa queue par ses doigts si magiques. Il me doigtait tout en maintenant la pression au fond de ma chatte. Je ne tenais plus. Il me caressait en même temps le clitoris.. Je n’en pouvais plus. J’étais au bord de la jouissance. - Monsieur.. Monsieur.. je vais.. jouir.. - Va y.. Jouis.. Je me laissais aller à cette déferlente. J’essayai de me soustraire à la magie de son savoir faire. J’en mettais partout. Je jouissais avec une telle force. Puis il continuait à vouloir me rendre encore fontaine jusqu’à ce que je sois vidée. Il me tira par les couettes pour me forcer à regarder. - Regarde petite cochonne, regarde tout ce que tu as. Quelle innocente putain.. Puis ma tête partie en arrière. J’étais épuisée. Je sentis alors qu’il retira le gode de mon cul.. Je ne sentais plus rien à vrai dire . J’étais encore dans mon paradis. Il me sodomisa à nouveau. Il prit mes seins avec force et les pressait comme des oranges. IL aimait les presser, les faire se dresser. Il m’utilisait comme une petite poupée. Je le regardais prendre aussi son pied. J’aimais cet instant où il perdait lui aussi pied… Ses coups se faisaient plus rythmés plus violent. Il me tenaient par les cuisses. Il se déchainait jusqu’à la libération. Il s’assit sur le sol à me regarder ainsi… la chatte exposée, mon fion dégoullinant de son foutre. Il se rapprocha pour m’embrasser la cuisse gauche. Je vais te laisser ainsi, je crois que je vais avoir encore envie de jouer avec mon petit jouet...
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Par : le 03/05/20
Désolée pour les fautes, je pose aujourd'hui des maux avec des mots. Cela faisait quelques jours que mon dos ne me faisait plus souffrir. La vie est parfois étrange quand on est vit avec un corps qui ne nous correspond pas. Après avoir perdu prêt de 17 kg cette dernière année, me voilà en train de subir les menaces d’une maladie congénitale qui m’handicape parfois le dos. Ma féminité est mise à mal. Ce sentiment d’être simplement femme a cédé la place à ce sentiment de ne plus se sentir désirable. Mon mental combattante m’a toujours servi. Mais là j’ai le sentiment de perdre un combat que je ne peux gagner. Je l’appelais quand j’avais ces moments de blues. J’avais besoin de son épaule, de son réconfort. De lui faire part de mes peurs, de mes craintes. Je lui avais fait part de mon sentiment de me sentir un poids, à avoir toujours des douleurs. Ma sexualité en est forcement impactée . D’un naturel si féminine, adorant les escarpins, marchant avec une noble démarche que je dois à la danse, je me retrouve ainsi diminuée. Des petites futilités me direz-vous ?. Il m’avait rassuré. Il me disait que le plus important était qui j’étais. Il était fière de la femme que je suis. Il avait toujours ce magnétisme, cette bienveillance à mon égard pour me réconforter. J’adorais tant nos jeux, cette envie d’être chienne, cette passion, cette violence animale. Mais voilà que depuis plusieurs jours, je suis un peu dans l’œil du cyclone où tout est calme. Je suis légère. Il m’avait téléphoné pour aller prendre un verre. Le temps s’y prêtait. IL m’avait donné rendez vous pour prendre le thé à la maison au fond du jardin. Ce salon de thé à coté de la cathédrale de Strasbourg. J’aimais ce côté jardin anglais. J’adore les fleurs. J’avais le sourire à l’idée de le voir et de passer une après-midi à ses côtés. J’avais mis ma petite robe fétiche de couleur framboise. Elle était longue. Elle était décolleté à l’avant et dans le dos. J’avais la porter avec de longues bouches d’oreilles et un maquillage naturel. J’avais particulièrement besoin de son attention aujourd’hui et il le savait. Un dominant sait cela. Quand je lis majorité de ces hommes qui se disent dominant et qui n’en comprennent même pas l’essence. Avoir une soumise, c’est avoir du temps à lui consacrer, c’est d’être à son écoute. Même si je suis très indépendante de nature, il est comme ce chêne solide sur lequel je peux me reposer. Je hâtais le pas. Mon cœur battait à l’idée de sentir ses mains sur moi, d’entendre sa voix, de sentir son parfum. Je voulais m’enivrer de lui. Il avait un tel goût pour s’habiller. Ce jour là il portait son magnifique pantalon bleue marine que j’adorais avec une chemine blanche, parfaitement taillé. Il appréciait les chaussures et les montres. Cela m’a toujours fait sourire, car quand je regarde un homme, je regarde aussi ses chaussures. C’est ridicule non ? mais je me dis un homme soigné à toujours de belles chaussures. Il portait une oméga speedmaster. J’adorais cette montre distrète mais juste sublime. Elle lui allait très bien. - Bonjour ma reine. - Bonjour à vous, cher Monsieur, dis-je avec ce petit sourire. Il avait réservé une table sur la terrasse. Le temps le permettait. J’avais aperçu sur une table un sublime bouquet de fleurs qui provenait de mon fleuriste préféré. Celui qui est en pleine rue à Strasbourg, rue des arcades. Il avait ce coté bouquet campagard négligé. - Tu es sublime comme à ton habitude. Je vais bien m’occuper de toi comme tu le mérites après. Je m’attendais à recevoir ces sublimes fleurs, mais il ne disait pas un seul mot à ce sujet ou me l’offrait. Un sentiment de déception que je ne laissais en rien transparaître. - Comment te sens-tu ? - Eh bien je revis, voilà bien quelques jours que je n’ai mal nulle part. - Tu m’en vois ravi. - Je sais que vous êtes toujours attentionné, à mon écoute. - Ce qui t’arrive n’enlève en rien ce que je peux penser de toi ou du désir que j’ai pour toi. Sache le. C’est qui tu es qui fait la soumise que tu es. Sans toi, je ne peux pas laisser aller mon imagination perverse. Tu le sais bien. - Je rougissais. Après une bonne heure à profiter de ce petit havre de paix, il décida qu’on aille chez lui. Il habitait dans un viel immeuble du centre ville où l’on rentrait par une cour intérieur propice à la plénitude et au calme. A peine on entrait dans le hall de l’escalier, qu’on sentait cette odeur de vieux. L’escalier était en bois où l’on devinait le poids des années et des chaussures passées. La rambarde était en fer forgé. Nous montions au second étage. J’adorais au premier étage cette fenêtre vitale que j’aurai bien aimé avoir dans mon chez moi. Il était dernière moi. Toute amusée, je remontais ma robe sur mon postérieur pour le provoquer. Il pouvait constater que ma petite chatte était à l’air libre, prête à être cueillie comme ces fleurs. - Vous ne payez rien pour attendre…. Vous allez le payer, vous le savez. Arrivés à sa porte d’entrée, il se saisit de mes poignets pour les maintenir contre la porte au dessus de ma tête. Il laissa tomber le bouquet au sol. Puis de son autre main releva ma robe puis insérer deux doigts dans ma petite chatte. - Petite catin juste bonne à provoquer pour se faire fourrer.. Comme t’es humide. C’est cela que tu voulais. - Humm.. oui monsieur.. j’ai envie d’être prise et de sentir votre queue me remplir bien profondément . Il réintroduit un troisième doigts, un cri s’échappa. Il mit sa main sur ma bouche et continua à me pénétrer de ses doigts. C’est là que nous entendions une porte s’ouvrir. Il reprit son attitude sereine comme si de rien n’était. Pour me part, j’avais encore en tête ses doigts me fourrant pleinement. Mon regard était un peu agard à en vouloir encore et encore. - Ramasse moi le bouquet et rentre ! Son appartement était décoré avec goût. Un vieux parquet dont les années s’entendent au son des pas. A peine entrer il me plaqua contre le mur. Je ne pouvais m’empêcher de couiner d’envie, de soupirer. IL me saisit par la gorge, et serra mon cou comme pour marquer son empreinte - Tu vois, regarde combien tu es une bonne chienne ! Prête à être utiliser. D’ailleurs aujourd’hui, me susurra til, je vais abuser de ton corps. Tu vas être mon œuvre d’art. - Acceptes-tu d’être ma toile ? tu peux refuser. Je ferai des nœuds pour te sublimer et ne pas abîmer mon petit jouet. J’étais comme interdite. J’ai toujours voulu être encordée. Je savais qu’il maîtrisait cet art qu’il pratiquait parfois durant nos séances. Mais c’était la première fois qu’il me parlait de faire du Shibari sur l’ensemble de mon corps. Son regard plongeait dans le mien. Sa concentration me rassurait. J’avais peur et en même temps tellement envie. - Oui.. Je l’accepte. Il avait disposé sur le sol un long drap d’un violet profond. Je me sentais un brin intimidée, heureuse, et honorer. - Enlève ta robe et mets toi toute nue. La lumière du soleil transperçaient la pièce. Ma respiration se faisaient forte excitée par mon désir. Il posa alors ses deux mains sur mes épaules. Cela m’avait rassurée de me sentir enveloppée par la chaleur de son corps derrière moi. Il mit de la musique, une musique douce qui calme les sens. Du chopin.. Il se saisit d’une corde et plongea son regard dans le mien. Je me sentais si unique à ce moment là. Je frissonnais. J’aime son regard à ce moment là. Il est comme un artiste qui s’apprêtre à peindre sa toile blanche. Il commence par poser la première corde, il m’enlace, me frôle. IL est dans cette force créative. Le silence plane. Je l’observe, il peut faire ce qu’il veut. J’ai confiance. Ma respiration s’est calmée. Le toucher de ses doigts qui me frole, ses accoups où il fait glisser les cordes me font sentir comme cette marionnette à laquelle on va donner une vie. Les cordes me serrent contre ses bras quand il me contraint à pleins de délices. Se frayant un chemin autours de mes seins, de mes bras, des ma taille. Un vêtement sur mesure. Entourée, entravée, encordée, il place chaque nœud a sa place où cette impression oppressante laisse place à un réconfort, à ce lâcher prise. Je me laisse aller à ce voyage envoûtant où il tourne, me retourne un peu comme une valse. Mon esprit tounoyait. C’est là qu’il passait les cordes au niveau de mes lèvres puis remonta au niveau de ma taille. En me regardant droit dans les yeux, je le vis sourire. Puis viens le moment où il tisse sa toile au niveau de mes jambes… Je perds la notion du temps. Il passait sa main sur mon visage . J’étais à sa merci. Il s’éloigna et revint. J’en avais oubliée ce qui m’entoure. Il defit le bouquet et commença à m’ornementer de ses fleurs. Jamais de ma vie, je ne m’étais sentie si femme, si désirable. Un de ces moments des plus érotiques. Il avait cet âme d’artiste. L’odeur des fleurs mêler à son odeur m’emmenaient vers un paradis défendu. Je ne pouvais plus me mouvoir, plus parler par les cordes passant sur ma bouche. Il ajusta ma coiffure qu’il ornementa d’une pivoine. - Ma plus belle fleur c’est toi ! J’aime cultiver mon jardin. La sensation de cette contrainte était intense. Des sentiments contradictoires. Liée mais libérée de tensions. Puis il ota le drap qu’il avait mis sur son grand miroir. - Regarde cette sublime œuvre d’art. Il s’était mis derrière moi. Il saisit alors les tétons et les pinça. Chaque caresse était alors intense. Il jouait avec la dernière rose qu’il n’avait pas utilisé sur mon corps. La douceur des pétales me faisaient encore plus frissonnée. Puis il m’allongea au sol. Je me dandinais un peu pour avoir un peu de mouvement. Ce n’était pas habituel comme situation. - Je vais te prendre en photo. Comment ne pas se sentir femme à ce moment là. Une fois la séance terminé, il s’était accroupie. Il tira un peu sur les cordes au niveau de mon sexe pour me faire râler. - Tout va bien ? - Je hochais de la tête que oui. Il avait fait en sorte a éviter les contraintes au niveau de mon dos. C’était donc supportable. Il me laissa là sur ce drap violet au centre de la pièce. Il vaquait alors à ses occupations, moi essayant de me défaire avec jeu. - Ma petite insolente ne pouvait rien faire.. J’avais envie de lui répondre mais bien sur je ne pouvais pas, alors je ralais. Il avait allumé quelques bougies. - Je pense que je peux encore travailler mon chef d’œuvre. J’étais alors sur le dos, au sol. Lui debout au dessus de moi, les jambes de par et d’autres de ma taille. - J’aime me balader dans mon jardin… La première goute s’abattu sur mon nombril. La sensation était agréable. Tout doucement il s’abaisse. Il s’attarde sur mes seins.. il aime les recouvrir de cire. Je me dandine, tentant une fuite inutile. Une ivresse s’emparait de moi. Je me sentais si forte. Je ne voulais pas qu’il me libère. Il avait réussi à me redonner cette confiance dont j’avais besoin. Le moment d’enlever cette œuvre éphémère arriva. J’étais addict. Les cordes défilaient, mes membres retrouvaient leur liberté de mouvement. Les marques sur mon corps sont des plus délicieuses. Je voulais qu’elles durent plusieurs jours pour me remémorer, revivre en les touchant ces instants. Les fleurs jonchaient le draps. D’une main baladeuse il me caressait les seins puis retira la cire. Il se posa au dessus de moi. Il pris ma tête dans ses mains. - Ne doute jamais de ta féminité ! J’enfouissais ma tête contre lui, je pleurais. Je pleurais du bonheur qu’il m’apportait. Je tirai une belle leçon de notre moment, de cette parenthèse intime où la confiance est importante. L’aspect psychologique est primordial. Il me respectait et surtout, il savait par ses mots, ses actes me mettre sur le bon chemin. Il était mon guide pour atteindre les meilleurs des sommets.
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Par : le 02/05/20
l redescendit. Il ota me donna quelques bonnes fessées. Je ralais à travers mon baillon. - Va y parle.. Je t’écoute.. - Je suis désolée Monsieur avec une voix quelque peu masquée. - Il me gifla de plus belle. - Tu vas m’écouter petite garce ? - OUii Monsieur.. Il me detacha. Je me mis sur les genou et me prosternait à ses pieds. Je tentais une démarche pour attirer ses douces faveurs. Mais je sentais à son attitude que j’allais être encore punie. Il posa alors son pied sur ma nuque. - Tu vois, j’avais prévu d’être plus doux avec toi, mais au vu de ce que tu fais, tu comprends bien que je vais devoir te punir. Le comprends-tu ? - Oui .. Monsieur. - Allez relève moi ton cul de chienne. Il se retourna vivement. Puis des deux mains me fessa lourdement. J’en avais des fourmillements. Je refreina mon envie de crier.. mais je ne voulais pas. - Je t’ai amené ton repas. Mais tu comprendras qu’au vu de ta situation, tu vas manger comme une brave petite chienne de luxe. IL m’avait rapporté mon collier, ainsi que ma laisse. - Voilà, ma petite chienne prêt à prendre son repas. Il tira sur la chaine pour me ramener à lui. C’est là qu’il me tendit dans sa main une gamelle. J’étais à genoux. - Tu vois, je vais être indulgent, je vais te donner à manger. Tiens toi bien droite et mange avec finesse et raffinement. Je souriais car parfois je donnais à mon chien à manger à la fourchette. - Tire la langue pour réclamer.. allez. Je sortais alors ma langue et avec douceur, il me faisait déguster, me délecter de différents mets raffinés. Bouchées par petites bouchées. Toujours en position d’attente que mon Maître me nourrisse, à quémander comme je quémanderais sa queue, à avoir ce regard de désir pour qu’il continue à s’occuper de moi. Mon repas terminé, il déposa l’assiette au sol. - J’ai soif, Monsieur. Il tira sur la laisse, la mise bien courte pour maintenir mon cou bien droit. Il m’incita à marcher à quatre pattes jusqu’à la gamelle déposée face au lit. Devant la gamelle que je constatais vide, il me dit. Il s’agenouilla à ma hauteur. Il plongea son doux regard dans le mien. Tira à nouveau sur la laisse pour me susurer à l’oreille. - Je te laisse le choix petite chienne. Que préfères tu ? - Eau.. ou Champagne. Je ne pue m’empecher de sourire.. - Champagne, Monsieur. - Ne bouge pas, cambre toi bien… je reviens. Il savait toujours montrer sa bienveillance que j’aimais tant. Il revint avec une bouteille de Joseph Perrier, chamapgne que j’affectionne. Il versa le chamapgne dans ma gamelle. - Allez, bois. Tout en le regardant je m’abaissais avec ce regard fougueux, plein de désir.. Je voulais le rendre fou autant qu’il me rendait folle. Je lapais ce doux nectar qui allait me rendre encore plus pétillante. - Regarde ce que j’ai pour toi.. dans ma main.. Je regardais ces framboises avec des yeux gourmands. En général j’aime les plonger dans le champagne.. une expérience que je vous recommande afin de faire pétiller ce dernier davantage. Je m’avançais vers ces fruits des plus tentants. J’ouvrai ma bouche pour me servir avec le plus de sensualité animale possible. Je souriais. Ces moments complices me rendaient heureuse. C’est là qu’il me rejetta au sol pour me faire reprendre ma place. Il me griffa alors le dos puis me redressa. Derrière moi, il tenait mes poignets ferment dans le dos d’une main forte. De l’autre il me maintenait droite laisse courte. Sans douceur il me faisait marcher vers le lit où il me jetta dessus telle une poupée. Il se saisit d’une corde puis m’encorda les bras, puis les mains attachés dans le dos. Mes seins étaient magnifiés par les cordes qui les enlaçaient. J’aimais ces moments érotiques hors du temps. Il me redressa. J’étais complètement à sa merci. Mon torse était posée contre le matelas, mes jambes, elle était au sol. Mon cul offert. C’est là qu’il me fouilla de ces doigts experts à nouveau, comme il aime le faire. Puis sèchement il me pénétra. Je sentais mon petit fion céder rapidement. Ses doigts ayant préparé le terrain. Il relava au mieux mon fessier pour me prendre comme il se faut, avec profondeur, comme s’il voulait me transpercer. Je criai, je hurlai. Plus il me possédait, plus il me fessa en même temps. - Voilà ce qu’il te fallait ! Un coup de bite dans ton cul de chienne. Regarde moi ça.. Il me saisit par la queue de cheval pour me redresser. - Alors, tu aimes ça ? te faire prendre comme ça ? tu en veux plus ? - Oh.. oui Mon.. Monsieur , répondais je complètement haletante. Incapable de parler correcterment à chaque butée. Je sentais ma taille s’engouffrer contre le matelas. Puis il me rejeta en maintenant ma tête appuyée contre le matelas. Je sentais ses gouttes de transpiration tomber comme la pluie sur moi. C’était si intense, si sauvage, mais que dire.. Puis soudainement il s’alongea sur moi.. - Ton corps appelle à tous ces vices. Que vais-je faire de toi ? Il me fit tourner sur mon flanc. Il se saisit de mes seins fermement. Il me griffait, me giflait, parfois mettait ma main sur ma bouche où mes cris de bonheur s’évanouissaient dans le silence. Nous nous possédions l’un l’autre. - Je veux te remplir de tout le bonheur que tu me donnes. Te montrer combien je suis fière d’être avec la chienne que tu es. Son souffle était fort, je sentais son cœur battre si rapidement. L’homme avait laisser place à cet animal que j’aimais. Celui qui prendrait, qui possédait.. simplement. Son autorité était naturelle. Il éjacula en moi avec une telle force. Je sentais son abandon.. autant que le mien. Après cette jouissance, je le sentais trembler. Il reprit alors rapidement ses esprits au bout de quelques minutes. Il m’attachait assise, les bras dans la longueur contre les barreaux du lit. Il m’encorda le cou également au barreau. Je ne pouvais pas me mouvoir. C’est là qu’il me banda à nouveau les yeux et me rebaillonna. Il partit sans dire un seul mot, me laissant ainsi interdite. J’aimais quand il était dans son rôle dominant à me laisser ainsi.. mais pour combien de temps. Le désir montant.. toujours et encore avec l’absence. Je tentais alors de me libérer, mais les liens étaient si bien fait. Je m’étais résolu à attendre. Quand je sentis soudainement une main saisir mon menton, puis d’un revers mettre une gentille gifle, puis une seconde.. - Brave petite fille… Je le sentis monter sur le lit. Il s’était agenouillé de part et d’autres de mes cuisses. Il s’était emparé de chacun de mes tétons. Il les pressait, les tiraient vers lui. Les cordes mettaient en valeurs mes seins triomphants. - Aie.. criai- je, complètement surprise. Il commença alors à s’en occuper, à les travailler… Je ne pouvais le voir ni savoir ce qui allait m’attendre. C’est là que je sentis la morsure du paddle s’abattre sur moi. D’abord sur mes seins puis sur mes cuisses, puis ensuite sur mes jambes. Il s’était retiré me voyant me dandiner. Cela l’amusait. Je laissais échapper quelques cris. Il alternait entre douceur et fermeté. Parfois il m’effrayait à mettre des coups dans le vide. Mes sens étaient totalement en éveil. Il enleva le gag ball et y introduisit un gode que je devais sucer comme ci c’était son sexe. Il me faisait baver litterallement. Il y mettait une intensité, un certain cœur à l’ouvrage. A regarder le fruit de son éducation. Soudain il remplaça le gode pour me fourrer de ses doigts. Il ouvrait ma gueule pour voir si sa chienne était bonne à sucer. Ma poitrine se soulevait. Tout était si intense. La fatigue me gagnait, lui était je le sentais en pleine frénésie. JE ne pouvais lutter.. je ne pouvais que me laisser faire. N’étais ce pas ce que j’aimais au fond. Être cette petite poupée. C’est là qu’il me détacha. Avait il senti ma fatigue rien qu’en m’observant. - Je vois que tu es bien fatiguée. Je vais te mettre au lit petite servante. Va faire un brin de toilette avant de te coucher. Je me levais, les jambes en coton après les différents assauts que j’avais subis, mes bras étaient un peu douloureux. Je me regardais à travers le miroir. J’avais une mise bien fatiguée. - Pose tes mains sur l’armoire, écarte moi tes jambes. Il prie alors le gant de toilettes, le trempa et d’une douceur infinie commença à nettoyer mon intimité. Je le voyais derrière moi à travers le miroir. Mon cœur battait. J’avais qu’une envie, me retourner, le serrer dans mes bras.. Mais je voulais savourer ce moment si … si.. longs soupirs… Il me faisait la toilette, même si cela était rudimentaire. - Maintenant, va t’asseoir sur le lit. Il se saisit de ma creme pour le corps que j’avais sorti de mon sac puis commença par me masser en premier les pieds.. il était à mes pieds. Son regard intense plonger dans le mien. Je ronronnais de plaisirs, de détente. Puis doucement il passait ses mains sur mes mollets, toujours en remontant avec cette douce fermeté il s’attardait sur le creux de mes genoux. Je ne pouvais que chavirer. Il remontait encore et encore… Puis il s’assit alors derrière moi, pour s’occuper de mon dos. Il prenait son temps pour me masser, passer ses doigts sur ma cicatrice, celle qui parcourait tout ma colonne vertébrale. Puis il s’attarda sur mes petites cervicales. Je penchais alors ma tête en arrière, la posant contre son épaule. Il passa alors sa main sur ma gorge. Je me sentais complètement à nue face à lui. Complètement nue.. mise à nue. Cette sensation de ne pas à avoir se cacher, à se montrer juste soi. Puis d’un main coquine, il s’occupa de mettre de la creme sur mes seins, en les pinçant légèrement. Il devinait alors mon sourire de plaisir. C’est là que d’une infinie douceur il prit mon elastique des cheveux pour le faire glisser avec tendresse afin de les libérer. Il y passer ses doigts pour les démeler. - Attends, ne bouge pas. Il avait saisi ma brosse à cheveux et me peigna les cheveux. C’est là qu’il me borda. J’avais qu’une envie c’est qu’il vienne avec moi dans le lit.. pour me réchauffer, me réconforter. Il laissa une bougie allumée. Je regardais les ombres dansées sur le mur. J'étais bien emitouflée; - Bonne nuit petite chienne. Il monta les escaliers, me laissant seule, à mes songes et mes pensées les plus douces. Cette journée aller se mêler à mes rêves et à mes futurs écrits. J’étais épuisée. Je m’endormais comme un bébé. Allait il me rejoindre ? je vous laisse imaginer la suite …. Qu’auriez vous voulu… qu’il fasse ?
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Par : le 02/05/20
LA servante. - Je te prépare un week end intensif petite chienne. - Ah oui, Monsieur ? - Oui, j’espère que ton éducation saura me montrer combien tu as bien compris où était ta place. Il avait son sourire complice mais sérieux. Je me demandais ce qu’il avait prévu. Nous avions pris la route, je ne savais pas où nous allions. J’avais préparé quelques affaires pour le week end avec ce les indications qu’il m’avait donné. Nous étions en pleine campagne, loin de tout. Il avait mis le GPS, nous en avions pour 2h de route. - Puis-je savoir où nous allons ? - Non.. - Même pas un indice ? - Ta curiosité est un vilain défaut. Ecarte moi tes jambes. Il mis sa main sur mon sexe. Je commençais déjà à ne plus me contenir. Pendant le temps de la route il m’avait interdit de parler, juste d’écouter. Il me trouvait insolente ces derniers jours. Après tout, c’est mon tempérament. J’aime être effrontée. Nous étions arrivé à destination. - Ne bouge pas, je viens t’ouvrir la porte. Il descendit de la voiture, pris sa veste légère située à l’arrière puis viens m’ouvrir la porte. - C’est la maison d’un ami qui nous la prête pour le week end. Tourne- toi. Il me plaqua contre la voiture. Je sentais son corps chaud contre moi. J’aimais quand il me faisait tomber le visage en pressant sur ma gorge. Je me sentais posséder de tout mon être, à être dévouée. J’étais esclave de mon désir pour lui. Il me banda alors les yeux avec un masque en cuir. Cette odeur si particulière et si excitante. Il me prenait toujours par la gorge et me forçait à avancer. J’entendis le claquetis de la clé s’insérer dans la serrure. - Attention à la petite marche. Ne bouge pas et reste debout ici. Je sentais ses vas et vient. Je bouillais à l’idée de regarder où nous étions. Profitant alors de le savoir dehors, comme un enfant, je soulevais légèrement le masque. C’est là qu’il me plaqua contre le mur . Il tenait ma gueule de sa main menaçante. - T’ai-je autorisé à ôter ton masque ? Je crois bien que non. Vu que tu ne sembles pas comprendre ses mots simples, je vais te donner l’occasion de voir. Il m’avait bien remis le masque à sa place et sans aucune délicatesse me faisait marcher. La perte de la vue sans repère, nous fait marcher à taton, avec cette crainte de tomber , prendre un mur ou un meuble. Mais à quoi bon, puisqu’il me tient. Que pouvait -il arriver. J’entendis une porte s’ouvrir . - On va descendre des escaliers. Je te tiens. Tu ne risques rien. Sa voix m’apaisait. La voix est si importante. Une voix peut en un instant provoqué un tel émoi, un frisson ou parfois aussi un dégoût. Je ne pouvais envisager une relation sans que la voix de Monsieur me provoque cet émoi. Je suis certaine que vous comprenez ? J’étais en confiance. Il me tenait d’une main ferme. - A genou ! - J’allais te mettre dans ta chambre, à l’aise. Mais tu mérites une petite leçon. Je vais te laisser dans l’ignorance. Tes mains ! Il m’attacha les mains. Puis, j’entendis des bruits de chaînes. Je commençais légèrement à trembler. Les mains attachées, il les releva. Il les avait rattaché à une chaine et probablement à un anneau que je devinais au plafond. La corse était bien tendue. J’étais à la limite sur la pointe des pieds. Ensuite, il saisit ma cheville droite et m’enchaina. Il opéra cette opération avec l’autre cheville. Mes jambes étaient écartées. - Humm voilà… petite chienne. Il releva ma robe et me fessa avec fermeté. Je ne pouvais me soustraire. - Tu pourras crier autant que tu veux ici… personne ne t’entendra. Je te laisse maintenant méditer à ta condition petite insolente. Il partit. J’étais ainsi enchainée, privée de la vue, probablement dans une cave. Cette situation m’excitait au plus haut point. Cette sensation de ne pouvoir m’échapper, de lui obéir, d’être à sa merci. Il savait jouer à la perfection avec moi. A me rendre folle. Folle d’impatience, folle de désir, follement curieuse… Je perdais la notion du temps. Quand j’entendis à nouveau le son de ses pas, j’étais assez engourdie, calme et obéissante. Il s’approcha de moi. Encore un long silence Il prit à nouveau mon menton entre ses doigts bien ferme. Il m’immobilisa bien à tel point que j’imaginais parfaitement son regard à travers mon masque. Ce regard profond, pénétrant qui a fait que je l’avais choisi pour prendre possession de mon être. - Je t’ai préparé quelques affaires à porter. Je vais te laisser le temps pour te préparer. Sache que je vérifierai que tu sois bien habillée. Tu t’attacheras les cheveux avec une queue de cheval. Tu comprendras rapidement ton rôle durant ce week end. Hoche de la tête pour me dire que tu comprends. J’hochais de la tête. Il me détacha en premier les jambes. Puis les bras. Il n’avait aucun geste d’affection à mon égard pour me soulager. J’attendais cela. Il me punissait de ma petite insolence. Mais après tout, je le cherchais aussi.. Me faire punir, souffrir et avoir du plaisir. Sans ménagement il m’ota le masque qu’il avait bien serré. Ma vue avait du mal à se faire à la lumière. J’étais dans une cave aménagée. De la pierre au mur, c’était très brut. Le sol était également en pierre. La pièce devait faire 20m2. Il y avait quelques anneaux disposés, laissant devinés de nombreux jeux interdits. Cette pièce disposait d’un lit avec des barreaux. Un miroir ainsi qu’une vasque et un pot.. Je devinais alors que c’était un pot de nuit. Je commençais à deviner son envie de ce week end. C’est là que j’aperçus mon sac avec mes affaires, puis sur le lit, je vis une tenue. Elle était noire et blanche. Des vêtements de soubrette. Ainsi j’allais être sa servante durant le week-end. Je commençais à perdre la notion du temps je ne savais même pas quelle heure il pouvait être. Et après tout était-ce le plus important. Dans ces moments là, on a envie que cela dure et pourtant c’est là que le temps passe si vite. Il revint. Il était là face à moi. J’avais baissé naturellement mes yeux. - Bien. Petite soubrette. Je vois que tu as bien suivi mes instructions. Leve moi cette jupe. Je levais ma jupe, qui était particulièrement courte. Ce genre de jupe où si vous vous baissez, on voit tout. Elle était légèrement bouffante. - Parfait. Je ne veux aucune culotte. Tu seras à mes ordres, cela va de soi. Interdiction de parler sauf si je te l’autorise. Si tu as besoin de me dire quelque chose, tu t’agenouilleras à mes pieds. Suis-je clair ? Hoche de la tête. J’hochais de la tête. - Maintenant tourne-toi. Il me mit un gag-ball. Il était certain que je n’allais pas parlé.. j’avais envie de sourire. Pourquoi me dire ne pas dire un mot si c’est pour ensuite me baillonnée. J’étais effrontée dans ma tête. - Comme toute bonne petite servante, je vais te mettre tes attributs. Vu que tu as des problèmes avec la compréhension de mes ordres, à prendre souvent quelques libertés, je vais t’aider. Il mis alors autours de mon cou un collier en acier. Le contact froid me surpris. Il le ferma avec un cadenas. Sauf que de chaque coté du collier, il y avait deux barres auxquelles étaient attachés des bracelets aussi en acier. Il pris sans ménagement mon poignet droit et le mis dans le bracelet.. Il le referma avec un cadenas également, de même pour l’autre poignet. Il me retourna. Je croisais son regard complètement satisfait. Il mit devant mes yeux les clés des cadenas afin que je les regarde bien. Puis il les imbriquas dans un anneaux qu’il fixa ensuite à son pantalon. - Voilà, tu es parfaite, sale petite chienne insolente. Maintenant on va monter et je vais t’expliquer tes taches. Je montais alors les escaliers en me mettant sur le coté. Je n’étais pas à l’aise. Je n’étais pas fière, mais je ne voulais pas lui laisser ce plaisir. - Voilà. Tu trouveras de quoi faire les poussières. Mes yeux s’écarquillaient ! Mais il rêvait ! - Aucune objection. Active toi allez. Je me demandais comment avec ces bras coincés comment j’allais opérer. IL s’était installé sur la table en bois. La pièce était sublime je devais le reconnaitre. Un âtre ouvert sublime, un canapé chesterfield vert anglais. La pièce avait une réelle âme avec des poutres apparentes. J’aimais ce mobilier qui avait une âme. Je me pris le plumeau et je commençais à faire les poussières. Il s’était assis sur la table avec son ordinateur. Je l’imaginais à travailler sur un de ces dossiers professionnels. Je savais qu’il me regardait mais il ne voulait pas que je le regarde faire. J’avais une très forte envie de faire pipi. Quelle nouille. J’aurai dû y aller bien avant quand j’avais la possibilité. C’est alors que j’essayais de trouver les toilettes. - Revenez ici. Qui vous a autorisé à sortir de la pièce. Servante. C’est alors que je m’avançais vers lui, le regard fautif avec cet air faussement innocente. Espérant échappée à sa sévérité. C’est alors que je me mise à genou avec grande peine, tête baissée. Il me releva alors la tête et me libéra du gag-ball. - De voulez-vous. - Je.. (je n’avais pas envie de lui dire que je voulais aller aux toilettes, mais je n’avais pas le choix). J’ai besoin d’aller aux toilettes Monsieur. - Très bien. Je comprends que ma servante a besoin de soulager des besoins naturels. Je t’accompagne à ta chambre. On descendait les escaliers. Il baissa alors ma culotte jusqu’à mes chevilles. - Allez, va pisser petite chienne. J’avais les yeux râleurs. Il me regardait marcher avec difficulté la culotte au niveau des chevilles. Il s’était retourné, mais il aimait tout contrôlé. Une fois soulagée, il revint vers moi. - Cambre toi et écarte tes jambes. Il prit un gant de toilettes qu’il trempa dans une bassine d’eau qui était posé sur un petit meuble. Puis il me nettoya la chatte. Il frottait bien. Puis il prit la serviette et me secha bien l’entrejambe - Je veux que tu sois propre. D’ailleurs tu peux laisser ta culotte ici. Je te veux à ma disposition à n’importe quel moment. Je vais ôter le gag-ball. A la moindre insolence de ta part, je te descends et je te laisse ici. Compris ? Je savais qu’il ne plaisantait aucunement. Je hochais la tête à l’affirmative. - EN tout cas je vois que tu as bien compris le mot disposition. Tu es déjà bien trempée, petite trainée. Que pouvais-je ? oui j’étais sa petite trainée, à l’affut de chacun de ses supplices. - Allez va monte et va me préparer un café. Nous remontions ensemble. Il me montra la cuisine. Je m’appliquais à ma tâche. IL avait tant pris soin de m’organiser tout cela que j’allais laissée ce coté brat de coté. J’aimais ces instants où je suis sa chienne. Celle où je peux me libérer totalement. Il est là pour mon bien, pour son bien. Pour notre bien. Avez-vous déjà tenté€) de faire un café en ayant quelques contraintes ? je vous l’assure c’est comme de la contorsion, demandant ingéniosité et aussi à essayer de faire les choses avec une élégance certaine pour ne pas paraître ridicule. Je revenais dans la salle à manger. Je m’abaissais afin de poser sur la table la tasse de café, et de l’autre main le sucre. - Sers moi le sucre et touille. J’obtempérais. J’essayais d’y mettre une certaine grâce, mais cela était bien compliqué. Il était penché sur un tableau excel mais au fond de moi je savais qu’il n’en ratait pas une seule miette. - Agenouille toi à coté de moi maintenant. Je te veux proche. De temps à autre, il me jetta un œil et me caressait les cheveux. - Douce petite chienne bien docile. Regarde toi. Tu n’attends qu’une chose que je te remarque. Que je te regarde. Quand il me tendit sa main, je n’ai pas pu m’empecher de la lécher, de l’embrasser. Je le remerciais. Je voulais qu’il soit fière de ma dévotion. J’avais totalement lâcher prise. Mon regard avait tellement faim de lui. Il me caressa encore. - Quel regard de putain. Faut apprendre à se tenir. Mais je suis heureux de voir que tu as cette bonne attitude. Je vais te libérer. Tu vas monter sur cette table. Tu vas ensuite mettre ton fessier fasse à moi. Je veux qu’avec tes mains tu me présentes tes orifices. Et tu ne bougeras pas. C’est alors que je m’exécutais. Mes bras étaient heureux de retrouver leur liberté. Je m’installais alors comme Monsieur me l’avait demandé. J’étais outrageusement obscène. Habillée ainsi en soubrette, le cul bien relevé. Mes mains écartant mes fesses. J’exposai ainsi au regarde de Monsieur ma vulve ainsi que mon fion. - Parfait petite soubrette. Tu es un magnifique centre de table ! A me demander si je ne vais pas te recycler comme tel ! Ecarte moi mieux ces fesses ! Tu es magnifique ainsi. Attendant patiemment d’être fouerée par tous ces trous. Je t’autorise à le dire.. - Oui, Monsieur, j’aime exposer ainsi mes attributs. La petite soubrette qui se présente devant vous, n’attends qu’être à votre disposition et à être utilisée comme il se doit. - Ah oui ? continue. - Je souhaite que Monsieur me fasse subir ce que je mérite pour parfaire mon éducation. J’ai envie d’être baisée, sodomisée, fouillée, fessée.. ou tout autre chose que Monsieur juge important à faire. - Oui en effet, seul moi décide de comment je vais disposer de tes trous de salope, ou de ton corps. Oh mais que vois-je ? Ta chatte est bien luisante dis moi.. Il y passa un doigt. - Tourne toi. Avec langueur, je me tournais vers lui. Il me tendait son doigt. - Lèche. Je sortais alors ma langue afin de goûter à ma excitation. - J’ai dit.. LECHE.. pas SUCE. Je léchais alors son doigts, ou plutôt je lappais comme une chienne en chaleur. Il me rendait complètement folle. A ce moment là j’étais totalement chienne. Il s’était levé. Il avait poussé son ordinateur. - Sur le dos ! Une fois sur le dos, il me poussa afin que ma tête soit dans le vide. Il défit son pantalon. - Sors ta langue. Une bonne soubrette est faite pour nettoyer. Alors tu vas lécher. Ma tête était relativement basse dans le vide. Ma langue était sortie. C’est alors qu’il se retourna puis mis ma tête entre ses jambes. J’allais presque me sentir étouffer par ses couilles. Heureusement il était grand. Il me tira par les cheveux pour m’obliger à encore plus m’étouffer. - Ouvre tes yeux et regarde moi. Je veux voir ma chienne s’étouffer avec ma queue et mes couilles. Il utilisait ma bouche comme une serpillère pour nettoyer les sols. Je rafolais de la lécher ainsi. J’aimais quand il rajoutait cette violence animale qui faisait que j’étais complètement folle. Il tenait bien ma tête et faisait ses mouvemens de va et vient comme si j’étais une poupée gonflable. Quand il forca le passage de ma bouche pour enfoncer son gland, il reserra alors ses cuisses. - Quelle bonne petite suceuse. J’osais imaginer le tableau loin de l’image de princesse que je peux avoir. Celle où j’étais presque étouffée par une queue et des couilles. Il me tenait alors par la gorge pour faire passer.. la pilulle. La gorge profonde dont il m’assaillait me faisait baver de partout. D’un coup sec, il s’arrêta, se retourna et me retourna. Il me saisit par le haut de mes cuisses. IL inserra brutalement quelques doigts dans ma chatte. - Déjà bien ouverte, petite salope. D’un coup de rien il me pénétra. Tout en me culbitant, il me serrait le cou.. J’adorais ça, cela me rendait folle de lui appartenir. Parfois il me giflait… Je ne culpabilisais pas d’être sa chienne lubrique. Il avait sauvagement défait mon chemisier. Il avait sorti mon sein droit qu’il tenait très fermement. Je prenais de partout. Ma chatte prise d’assaut, j’étais giflée, parfois il me pénétrait aussi de quelques doigts dans ma bouche. Dans sa frénésie il me baillonait de sa main. Puis il me susurrait à l’oreille. - Petite pute. Tu mérites d’être prise ainsi. Dépravée, baisée.. tu as besoin de tout cela. - Oui,..Monsieur Il me gifla. - Ta gueule putain ! De plus belle il me besognait. Sur un dernier rale, il se retira sans avoir joui. - Suffit maintenant. Mets de l’ordre. Je ne veux plus te voir descends dans ta chambre. Je viendrais te voir plus tard. Je te veux nue ! Je n’avais envie que d’une chose, que cela continue. J’étais encore plus excitée à ce qui allait se passer. Je redescendais alors dans cette chambre qu’il m’avait attrituée. Une fois la porte passée, c’est là que j’entendais qu’il m’avait enfermée à clef. J’étais totalement impatiente. Le temps encore filait. La faim commençait aussi à me gagner. J’avais fait ma toilette et comme il me l’avait demandé, je m’étais mise nue. Heureusement que sur le lit il y avait de douces couvertures et douces fourrures (je précise.. fausses). Quand il revint, je m’étais endormie sur le lit. Il me réveilla en ayant mis sa main sur ma bouche. - Un véritable ange quand tu dors. Puis il se mit sur moi en tenant fermemant mes poignets au dessus de ma tête. Puis, il me mit des bracelets en cuir et m’attacher bras écartés au lit et fit de même pour mes chevilles. Il s’assit sur moi à hauteur de poitrine. Il aimait me regarder ainsi quand il me baisait par la bouche. Il aimait engouffrer profondément son sexe dans ma bouche, à tester les limites - Je vois que la petite chienne se réveille. Honore moi encore avec ta langue et ta bouche. C’est là qu’il resta dans ma bouche, sans bouger. IL tapottait mes joues. - Brave pute. Puis il me pinça le nez. Je ne pouvais plus respirer, presque étoufée à nouveau par son gland. Il avait la maitrise, je ne pouvais rien faire. J’avais de la bave partout. - Maintenant que tu en as bien partout, sors bien ta langue. C’est là qu’il s’assit directement sur ma bouche m’offrant alors son anus à lécher. - Quelle bonne petite bouche nettoyeuse. J’étais son objet. Il pouvait faire ce qu’il voulait. J’adorais cela. J’étais comme possédée dans ce moment là. Au bout d’un moment il se releva puis partit à l’assaut de mes autres petits trous. Il mis alors sur mes cuisses des attaches pour les relier à mes chevilles ou mes poignets. Il aimait me contraindre et après tout j’adorais cela. IL me détacha les chevilles du lit pour les rattacher à mes cuisses. Mes jambes étaient alors pliées montrant bien mes deux trous à mon maître. C’est alors qu’il me gifla le con. A plusieurs reprise. Je lâchais alors plusieurs cris. Il mis sa main sur ma bouche et introduisa sa ménagement Trois doigts dans mon petit trous. Il s’amusa a les regarder aller et venir comme pour les sortir par ma chatte. - Plus ? - Je disais oui du regard. Je prenais ce regard qui disait non.. mais oui quand même ????. Il tournait savamment ses doigts pour élargir au mieux mon fion. Il introduisait un quatrième doigts. Mon trou n’était pas encore assez travaillé comme il le désirait. - Hum, regarde.. quatre doigts dans le cul de ma putain.. Il y allait avec douceur, il jouait, il tournait sa main. Il y mettait une dévotion particulière à m’élargir. Il regardait la réaction de mon fion quand il sortait ses doigts. A regarder la trace de son passage. A voir s’il se refermait ou s’il restait béant comme pour réclamer plus. C’est là que de l’autre mois, il introduisait aussi des doigts dans ma petite chausse. Il était maintenant à s’afférer à bien me remplir. - Quatre doigts dans le cul, deux dans la chatte.. C’est là qu’il força le passage de ma chatte avec un troisième doigt. - Comme tu en mets partout.. regarde le lit est plein de mouille de petite salope… Ainsi il me fouilla de ses doigts, jouant avec mes orifices. Tout glissait.. naturellement tellement j’étais trempée. Je sentais mon corps frémir surtout quand il caressait en plus mon clitoris. Je n’arrivais pas à résister que je jouis. - Petite salope. Jouir sans me le dire… Quelle égoïste tu es. D’un geste sec, il me détacha. Les chevilles des cuisses. Il serra mon bras et m’attacha à nouveau comme à mon arrivée les bras au dessus de la tête. Je vis alors le martinet.. Mes yeux grossissaient. Il me flagellait alors de haut en bas. Les cuisses, les fesses, le dos. Il avait tellement rehausser mes mains, que j’en étais sur la pointe des pieds. Je voulais me dédouaner de cette punition méritée. J’étais bien rouge. Rouge de honte. Il me baillonna de mon gag ball, me remit le bandeau et me laissa ainsi… Qu’allait il ensuite faire de moi….
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Par : le 01/05/20
Par avance désolée pour les fautes.. j'ai besoin de me repentir… ************************************************************************************************** A mon tour de le surprendre. Il savait tant faire preuve d’imagination. Je lui avais demandé à le voir. Il me manquait. Malgré sa longue journée, il avait accepté. Pour cette soirée, je voulais créer une atmosphère comme il se doit. Je vais vous faire pénétrer dans mon boudoir. L’an passé j’ai décoré l’ensemble de ma chambre. Très douée, paraît il pour la création d’ambiance pour des événements, je voulais cette fois ci essayer de faire une chambre avec mes moyens. Il m’était inconcevable de refaire ma chambre sans mobilier qui a du vécu, de l’âme. Tout avait commencé après une longue période difficile. Refaire son intérieur c’est un peu comme faire le ménage dans sa tête. J’avais tout chiner. Le lustre mongolfière en crital de baccarat qui donnait une sublime atmosphère au plafond quand il était allumé, une sorte de ciel étoilé artistique. Au fond, j’avais tapissé le mur d’un papier peint en velours noir avec des imprimés baroques argentés. Le reste des murs était dans un bleu canard que j’affectionne tant. Sur la doite, j’avais disposé un manteau de cheminée en bois pour apporter une touche chaleureuse où dans l’antre, j’avais disposé plusieurs bougies dans des écrins métalliques. Sur cette dernière, un vase plein de plumes d’autruche. Face à ce manteau de cheminée, de l’autre coté du mur, une armoire chinoise avec des sculptures représentant les fleurs des cerisiers jouant avec le vent, ainsi que des oiseaux exotiques. J’aimais ouvrir les portes de cette armoire laissant présagés milles objets interdits. Sur la partie supérieure, mes plus beaux corsets, sur sur la partie inférieure, je vous laisse deviner .. une sorte de chasse aux trésors. Face à mon lit, un sublime miroir chiné dans une brocante dans un style art nouveau que j’affectionne tant. 165 cm par 125 cm. Légèrement tiqué pour regarder dans le miroir des scènes probablement interdites que vous pouvez vous imaginer. Un peu plus loin, des crochets porte vêtement avec cette forme de coquille St Jacques, complètement dorés. A coté de ce dernier, un fauteuil crapaud invitant à s’y reposer. Pour cette soirée spéciale où Monsieur me faisait l’honneur de venir, j’avais pris soin d’allumer lumières chaleureuses tamisées ainsi que des bougies. Il y régnait une atmosphère particulière. Tout en préparant avec soin tout ce que mon maître mérite, j’avais mis en toile de fond de la musique baroque qui me transporte. Le pouvoir de la musique est incroyable, voyageant dans nos esprits égarés, voulant jouer ces personnages passés où on s’imagine tant d’intrigues, le libertinage loin des conventions religieuses imposées. Vous êtes-vous déjà intéressé€) à la naissance du mot libertinage ? . J’avais pour cette soirée mis mes rajouts de cheveux noirs pour ressembler à la vénus de Boticelli mais en version bien sur moins angélique. Sur ma peau, la douceur de la soie me caressait. Un déshabillé de soie violette, avec de longues manches japonaises, où la dentelle noire apportaient une douce d’élégance fine. Ce deshabillé se refermait à la taille avec un nœud. J’avais pris soin d’appliquer une huile dorée sur mon corps, j’appliquais quelques paillettes dorées que j’aimais utiliser lors de mes effeuillages, et pour parfaire le tout des notes parfumées rappelant l’ambiance des jardins italiens où la fleur d’orangers et des citronniers nous exalter. Escale à Portifino. Un parfum qui porte bien son nom.. Je prie alors mon papier à lettre. J’aime écrire avec ma plume. Cher Monsieur, Je vous attend à l’étage. Je dois faire preuve de repentance. J’espère que Monsieur saura m’absoudre de mes pensées pour me remettre sur le bon chemin. Bien à vous. Mademoiselle Lane J'avais placé le mot à la porte d'entrée. J’entendis sa voiture se garer, je vérifier que tout était parfait. C’est alors que je m’installais sur le prie-Dieu que j’avais acheté dans cette petite brocante. Je l’avais mis juste face au miroir. Je m’étais agenouillée, prenant bien le soin de placer mon deshabillé, mes cheveux et ma position pour en faire un tableau. Dans mes mains, ce petit chapelet se frayant un chemin parmi mes doigts pour m’enchainer sur le chemin de ma repentance. J’entendis ses pas monter les escaliers. Mon cœur battait si fort. Je baissais ma tête. Il avait ouvert la porte. Je ne bougeais pas. Il régnait une atmosphère presque irréelle. En musique de fond, Vivaldi. Staber Mater. C’est là que je le sentis face à moi. Je ne bougeais pas. Je sentis alors ses doigts effleurer ma joie, une si douce caresse. Je me laissais aller à la poser contre eux. Puis il rapprocha sa main vers ma bouche. Je la baisais naturellement pour lui montrer ma reconnaissance, ma passion et ma dévotion. - Vous m’appelez Monseigneur, ce soir. Ainsi, vous semblez prise dans des prières qui semblent bien vous tourmenter ma chère. Que vous arrive-t-il bel enfant ? - C’est que.. je.. je laissais échapper un soupir hésitant.. c’est que voyons-vous Monseigneur, depuis notre dernière entrevue, je ne cesse d’avoir des pensées charnelles. Je pense à vous, à vos mains sur mon corps. Tout mon être vous réclame. Je ne peux lutter Monseigneur. - Je vois. Quelle pécheresse vous êtes. Une femme si pure que vous, pêcher dans la luxure. Nous allons travailler à votre vertue afin de vous rendre la plus parfaite des servantes. Rougissante car je voulais que cela, je ne bougeais toujours pas. C’est là qu’il caressa mes cheveux. - Veuillez mettre à nue votre dos et restez agenouiller tout en pensant à votre repentance. - Oui, Monseigneur. Je laissais tomber la soie sur mes fesses. Avec douceur, il mis mes cheveux sur le coté. Doucement, il se dirigea vers mon armoire à secrets. - Il vous faut expier ma chère. Je pense que 10 coups de fouet sur votre dos vous feront le plus grand bien. Vous allez les compter et je veux que vous réclamiez le suivant avec gratitude. - Oui.. Monseigneur. Je sentis alors le premier coup .. - 1 – Monseigneur. Je vous remercie.. Continer à me flageller comme je le mérite. - 2 – Merci Monseigneur, encore je vous prie… - 3 – Mon souffle s’est retenu, il avait frappé fort.. Merci Monseigneur.. je vous.. en prie… encore - 4… pour aller jusqu’à 10… IL ne disait aucun mot. Quand sa main vint sur mon dos pour me cajoler j’oubliais tout. - Redressez-vous je vous prie. Et otez moi de tout ce superflu. Tenez vous bien droite, soyez fièrement dressée. Les bras derrière votre tête. Il s’était emparé des pinces à sein. Je ressentis cette douleur excitante. - J’aime quand vous êtes ainsi, sur le point de rupture ma chère. Il est tant de vous réchauffer. Il avait allumé une bougie. Il la passa devant mes yeux. - Pas un bruit, pas un mot. Prenez votre chaine qui rattache vos seins dans la bouche. - Je vous prie de bien relever votre tête pour tirer au mieux votre chaine, sinon je me chargerai de tirer dessus moi-même. Je vis la cire de la bougie couler sur mon sein droit.. Une première goute, juste pour prendre la température.. Puis une seconde, une troisième. Il la rapprochait. Je sentais cette chaleur, cette sensation de brulure qui laissait place à cette parure éphémère. - Voilà une belle œuvre ma chère. Sentez vous la chaleur de ce désir ?. Je suis certain que votre con est en émoi. Une créature comme vous ne peut se contenir. Il vérifia l’état de mon excitation. - Hum, je n’ai même pas à y mettre mes doigts que vous êtes déjà dégoulinante Mademoiselle. Laissez tomber votre chaine de votre bouche. Il s’en empara et tira vers lui. Je sortis un cri vif. - Chut.. Pecheresse ! vous méritez tout cela. Levez vous. Il m’empoigna par les cheveux et me mit face au miroir. - Regardez vous ? Que voyez-vous ? - Je… - Alors que voyez-vous ? - Je vois une femme incapable de se contenir Monseigneur. Une femme qui a des pensées bien peu chastes. - Hum.. en effet c’est bien le cas. Quand on voit tous ces atouts. Ces seins, ses fesses ( il me les malaxait), cette bouche, vous êtes fait pour cela. Vous êtes un succube. Allez assumez ce que vous êtes.. Une chienne lubrique. Je le regardais à travers le miroir avec un sourire pervers. - Oui Monseigneur, je suis une chienne lubrique. Votre chienne lubrique. - Allez venez. Il me poussa sans ménagement vers les portes vêtements. Il prit ma main droite et l’attacha au premier puis ma main gauche au second. - Voilà. On a va calmer vos ardeurs. Quelques coups de badine, et un moment pour réfléchir à votre condition, à ce que vous voulez. Je pense que cette soirée va vous laisser les marques de mon affection. Vous me comblez par votre imagination ma chère. Toutefois, vous en payez les conséquences. Je sentais chaque coup de badine sur mon postérieur. Je ne pouvais m’y soustraire. IL m’avait parfaitement bien attaché. - Voilà qui est mieux ce rouge à vos fesses. Je vois que vous m’avez préparé mon verre à Whisky… Parfait. Je vais vous plugger le cul, vous muselez.. et je m’occuperai peut être de vous après. Après tout, la patience est une vertue, ma douce pecheresse.. Il sortit de sa veste un écrin. - Voici votre nouveau chapelet.. Il s’agissait d’un rosebud certi d’une pierre rouge. Votre fion sera le meilleur des écrins. - Ouvrez votre bouche ma chère. Bien sur je n’aspirais qu’ à cela.. Elle était déjà ouverte comme pour laisser échapper mon désir. Il s’amusa à me faire entrer et sortir dans ma bouche. - Je vois que votre vertue est complètement perdue ma chère. - Baissez votre tête !. C’est alors qu’il se leva et quitta la pièce. Il était allé prendre une douche. Quand il pénétra dans la chambre, j’avais envie de sentir la chaleur de ses mains sur moi. La chair de poule s’était emparée de moi. Il me détacha m’attacha les poignets, puis me tira à lui. Il me chuchota à l’oreille. - Sers moi un verre de Whisky comme j’aime. - Oui Monsieur. Les mains attachés, tout était moins simples. Il s’était assis sur le fauteuil à regarder, à m’observer, à me déshabiller du regard même si j’étais nue. J’aimais le regarder droit dans les yeux. Son sourire en coin, son sourire pouvait en une fraction de seconde laissée place à cette intransigeance où aucune de mes suppliques pouvaient lui faire entendre raison. Je m’avançais vers lui, puis naturellement je prie ma place devant lui. Il avait pris soin de placer un cousin pour mes genoux. Je m’agenouillais, tenant le verre entre mes mains, comme si c’était une offrande. - Baissez les yeux ! Ne me regardez pas et tenez donc le verre plus haut ! - Oui.. Monseigneur. Il tenait son verre tout en le reposant sur l’accoudoir. - Pour se repentir, il faut savoir se courber ma chère. - Allez, prosternez vous ! Je me mis à ses pieds ainsi, fière de toute son attention, d’être à ma place, le centre de son attention. - Léchez et baisez mes pieds. Je veux sentir votre langue de chienne me servir comme il se doit. Je me rapprochais de lui, de ses pieds.. Je sortis ma langue et je commençais la tâche que Monseigneur m’avait demandé. Après tout, lé vénération fait partie du chemin de la repentance non ?. J’aime me sentir à ses pieds, ainsi, Une fois qu’il eut satisfaction il me releva pour me prendre dans ses bras. J’aimais m’abandonner ainsi. J’aimais la liberté de lui donner son pouvoir sur moi. Ce lâcher prise qui faisait que notre relation était si forte si complice. Toujours assis, moi agenouillée, il me caressait le dos, les cheveux comme on caresserait une brave chienne. - Retournez donc à vos prières maintenant. J’allais me réinstaller sur le prie-Dieu. Je crois que je n’ai jamais été autant agenouillée que ce soir là. - Gardez bien votre bouche ouverte pour recevoir votre pénitance . Il s’était mis face à moi. Je voyais son sexe dressé prendre la direction de ma bouche. J’aimais me délecter de sa queue. La lécher, la prendre totalement ou juste m’occuper du bout de son gland. IL me laissait prendre parfois le contrôle mais cela ne durait jamais bien longtemps. Il rentrai sa queue bien au fond, mis sa main sous ma gorge. Puis de l’autre me maintenant par la tête. Je ne pouvais plus bouger. J’étais presque sur le point de vouloir vomir. Il était rentré dans cette frénésie où ma bouche était à son service, et utilisée comme ma chatte ou mon cul. Pour mieux me prendre avec profondeur, il me tenait par la tête et y mis un rythme si infernal que je bavais avec une telle difficulté à respirer. J’étais abasourdie. - Tu vois ce qu’on fait aux petites pécheresses sans vertus. Je vais te montrer comment on se met dans le droit chemin. Toute une éducation pour satisfaire son Maitre. La catin de son Maitre. Regarde toi.. en train de baver à manger cette queue. Gourmande en plus.. encore un pêché de plus ! Paresseuse aussi, car je fais tout le travail ! Puis dans une certaine frénésie, il me leva. Déplaça le prie dieu et me remit en position. .Il mit sa queue dans ma chatte bien baveuse de mouille, le rosebud toujours en place. - Je veux que tu me regardes à chaque coup que je t’offre. Que tu me supplies, de t’en donner davantage. Que tu me dises ce que tu es. - Monseigneur. Je vous en supplie. Baisez moi bien fortement comme je le mérite. Je veux vous sentir me remplir complètement. - Continue ! J’entendais ses couilles claquées. C’était violent intense. Il me claquait les fesses, me forçant à bouger mon petit cul comme pour le rendre encore plus fou. - Allez remue mieux ton cul que ça ! Cherche ma queue, implore… - En même temps il mis ses bras autours de mon cou me cambra. - Tu es ma chienne, ma pute. - Oui, Monsieur, je suis votre chienne, votre putain. J’aime que vous m’utilisiez comme bon vous semble. J’aime être à vos pieds. Mon cul, ma chatte et ma bouche ainsi que mon âme vous sont dévoués. - Fermez là maintenant ! On se regardait à travers le miroir. - Quelle petite vicieuse si innocente. J’espère que votre repentance est à la hauteur de vos attentes, mais je crois qu’il vous faudrait bien d’autres séances. Il m’avait prise avec une telle frénésie.. il avait joui fortement. - Ce soir tu dormiras attacher contre moi. Je songe même à t’attacher jambes écartées prête à subir tous les assauts. Il me releva et me jeta sur le dos sur le lit. Il leva alors mes deux jambes pour avoir accès à mes fesses et me put s’empêcher de me corriger. D’un coup sec, il m’écarta les jambes. - Ne bouge pas ! Il commença à passer ses doigts sur mon petit clitoris qui était bien sensible. - Hum tes lèvres sont si enflées. Hum mes doigts y rentrent comme dans beurre. Il commença alors à placer sa langue sur mon sexe. Je defaillais par cette délicate attention. Quand il entamait cette danse avec sa langue si légère et ses doigts bien épais au plus profond de moi.. bien profondément. Je ne pouvais m’empecher de me dandiner comme la bonne petite putain que je suis. A prendre cette jouissance qu’il m’offrait. Il me maintenait maintenant fermement les jambes. Je sentais la jouissance me gagner tout doucement. - Monsieur, je vais jouir, c’est si.. - Prends tout le plaisir que tu mérites. La vague qui arriva me submergea d’une telle intensité, d’un telle bonheur. J’étais épuisée. Au bout de quelques secondes, je sentis les larmes monter, les traces de mon plaisir coulaient de partout.. Il m’avait choyé en me bordant puis se coucha contre moi. J’étais aux anges contre celui qui provoquait ce désir si intense.
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Par : le 30/04/20
Désolée pour mes fautes.. J'écris instantanément… si quelqu'un est prêt pour me corriger :)? ***************************************************************************** C’était un samedi soir, il faisait bon dehors. Cela faisait déjà quelques jours que je n’avais pas vu Monsieur. Il était en déplacement. J’aime avoir ces moments d’indépendance où Monsieur sait montrer sa présence, sa bienveillance.. parce qu’il pense à moi. Cette pensée me fait sourire, il alimente toujours ce lien, tout comme je le fais. J’avais eu une envie folle de Shopping. Je suis allée faire un tour dans celle que j’affectionne à Strasbourg. Une amie qui tient une boutique avec de la lingerie et des robes sexy à souhait, sans vulgarité. Elle me connaît par cœur.. Si vous la cherchez elle est rue de la Madeleine… A chaque fois que j’y vais c’est papotage, essayage et craquage ! J’avais envie de me faire belle pour lui. Le surprendre. Cela doit aller dans les deux sens. Nous voulons être surprise.. mais nous devons aussi surprendre. C’est là que j’ai vu.. The robe ! Celle qui est juste sexy à souhait mais sans aucune vulgarité. J’ai toujours aimé avoir mon look et à fuir les enseignes de vêtements qui font de nous des petits moutons. Je regardais mon amie.. et elle sourit. Elle comprit. Je passais donc à l’essayage. Une envie folle de montrer à Monsieur. Il aime savoir ce que je fais. Mais de l’autre j’avais envie de le surprendre. C’est alors que je lui envoyais par Whatsapp un message vocal. Il aime encore ma voix.. Douce, suave et apaisante. « Cher Monsieur, je suis en pleine essayage dans la boutique d’une amie.. Puis-je la prochaine fois que nous nous voyons choisir ma tenue ? Bien à vous. Votre petite chienne. » Même si je n’attendais pas sa réponse, je me décidais à prendre cette robe. Elle était faîte pour moi. Je venais de perdre plus de 15 kg. Je devais me réapproprier mon corps. J’avais encore du mal. Il n’est pas parfait. J’aimerai me sculpter, faire plus hélas mes problèmes de dos m’empêchent d’être totalement celle que je suis dans ma tête. Au fond ce qui compte c’est d’être bien dans sa tête. Après cette frénésie acheteuse, je rentrais chez moi en profitant du soleil, cheveux au vent avec cette excitation dans mon entrejambe. Au feu.. je regardais mon portable.. toujours pas de réponse. On devait se voir ce soir. Une soirée privée à la villa Sturm. La soirée du soir était sous le thème de la sensualité et du Glamour. Je pense que cela allait coller parfaitement… Soudain, je vis sa réponse. « Je t’autorise pour ce soir à t’habiller comme il te plait. Je vérifirai que tout est parfait. Je passe te récupérer à 21h30 ». Cheveux attachés, détachés… rouge à lèvre rouge ou lèvre naturelle ? que de choix cornélien. Je me dis toujours Less is more. Avoir juste les bons accessoires sans en faire de trop. 21h15.. Enfin prête. J’avais hâte de savoir s’il allait apprécier ma tenue… Il était toujours d’une ponctualité exemplaire. J’appréciais cette attention et ce respect. Je vis sa voiture arriver. Je sortais. Je descendis les escaliers avec cette petite démarche fière car je me sentais particulièrement belle. Ce sentiment de s’aimer est si bon.. C’est celui qui fait que vous dégagez ce bien être et cette beauté. Je dis cela sans vouloir être prétentieuse, mais vous comprenez ? la beauté n’est pas dans le physique mais dans notre attitude aussi. J’ouvrai la portière de la voiture et m’y installait confortablement. IL faut dire que je trouve cela d’une galanterie. - Vous êtes magnifique, ma chère Mademoiselle Lane . C’est là qu’il mis sa main sur ma cuisse en y mettant une certaine pression qui indiquait clairement.. « Tu es à moi ». J’aimais ce coté animal. - Je t’inspecterai plus tard. Sur un fond très jazzy, nous allions en ville pour commencer par prendre un verre dans un bar feutrée de Strasbourg. Les cocktails sont relativement bons sans être non plus à la hauteur des meilleurs bars que je connais à Londres. Il me tenait par le poignet, je le suivais. Arrivée au bar, il décida d’aller au sous-sol éclairé de lumières rouges et de lanternes. Il s’assit sur le tabouret haut. IL m’attira à lui par la taille. A l’oreille, dans un ton confidentiel il me dit : - Tu es une petite putain que je vais me faire un plaisir d’exhiber. J’aime que les hommes te regardent. » Je souris, je baissais la tête à la fois excitée et gênée. Deux sentiments contradictoires comme nous pouvons tous l’être. J’étais avec lui cette femme indépendante et de l’autre, celle qui se sent protéger sous sa protection. Il commença à me caresser avec une réelle délicatesse, son regard me dévorant. J’aimais le pouvoir qu’il avait sur moi. Alors regardons cette robe de plus prêt… - Hum.. une robe avec une fermeture éclaire dans le dos qui donne accès si facilement à tant de délices. Tous ces mâles vont être en rute. Remarque chienne que tu es, c’est ce que tu veux. Doucement il me mis dos à lui. Puis s’empara de la fermeture éclaire de la robe et la remonta relativement haut. J’avais peur qu’on nous voit. Ce côté petite fille qui veut toujours respecter les règles. - Je t’ai dit que je t’inspecterai. C’est alors qu’il monta sa main jusqu’à mon entrejambe tout en restant d’une discrétion et en continuant à me parler comme si de rien n’était mais ses mots me mettaient en un réel émoi. - Alors petite catin.. comment se fait-il que tu portes une culotte ? Nous allons l’enlever.. là maintenant. Non mieux.. tu vas l’enlever. Je me sentais complètement interdite. Il me saisit le poignet et me dit.. - Tout de suite, Obeis. J’avais la sensation que tout le monde me regardait. Je me sentais honteuse et si excitée. Je me dandinais pour faire en sorte de retirer cette culotte.. J’avoue avoir fait exprès de la mettre.. Je voulais le titiller bien sur.. mais je ne m’attendais pas à faire cela .. là maintenant. La robe était relativement moulante. Mes fesses presque à l’air. Je m’étais mise dans le coin où nous étions.. afin qu’on ne m’apercoive pas. Curieux non ? Mon attitude devait paraître bien étrange pour arriver à enlever une culotte d’une robe moulante. C’est là qu’elle était arrivée à hauteur de mes cuisses. Je me bougeais pour la faire arriver à mes genoux. Je fis mine ensuite de faire tomber mon sac au sol tout en contrôlant ce que les autres pourraient voir. La culotte était dans ma main. Je me releverai et je le regardais droit dans les yeux. - Voilà Monsieur, ma culotte comme vous me l’aviez demandé. Je lui tendais. - C’était un plaisir de te voir ainsi à braver tes convenances. Il prit la culotte. - Hum.. je devine ton état rien qu’à son toucher. Petite chienne. Il s’amusa encore à toucher mes cuisses mes fesses mais ne s’aventura pas plus loin. Je n’avais envie que de cela. J’étais en transe. J’avais oublié où nous étions. J’étais dans notre bulle. D’un coup sec, il redescenda la fermeture éclair. - Bon allons à cette soirée. A notre arrivée à la villa sturm, nous empruntions les escaliers magnifiques de cette demeure. Il me faisait marcher devant lui. Bien sur allait il rater une miette de ma démarche afin de profiter de la vue de mon postérieure et de mes jambes. - Quels sublimes escarpins tu as choisi. Tu as toujours bon goût. Peut être vais-je t’autoriser à me surprendre plus avec tes choix vestimentaires. Je portais cette petite paire dénicher dans une friperie. Des Nina Ricci avec un talon fin.. Ils étaient rouge vernis, le bout légèrement pointu et arrondi, comme les ongles d’une main vernie d’un sublime rouge. Ils étaient originaux par la forme mais simples. Dans la pièce à l’étage, Deux grandes salles avec des lustres en cristal. De grandes baies vitrées. Tout le monde avait joué le jeu de cette soirée. Une ambiance ultra glamour et feutrée. Pour une fois la musique était très sympa avec un mixe très jazzy, soul de bon goût. Cela changeait de ces soirées aux musiques électros sans saveur que je déteste. - Regarde comme on te regarde.. J’étais complètement aveugle aux personnes qui me regardaient. Une partie de moi était prête à affronter le monde et l’autre… complètement timide, réservée et peu sûre de moi. C’est là qu’il croisa des connaissances. J’avais de mon envie une envie folle de danser et de ne pas écouter. La musique de Feeling Good reprise par Aviinci m’incita à aller sur la piste. - Puis je aller danser ? lui demandais-je ? - Oui va y, je te rejoins. Cela ne me dérangeait pas de danser seule, mais je ne le quittais pas du regard. Je voyais qu’il me jetait ses regards de surveillance. En dansant seule, rapidement quelques hommes s’aglutinaient autours de moi avec ce sourire et cette nonchalance qui laissait planer qu’ils voulaient faire connaissance. D’un naturel sociable, j’entamais des échanges relativement simples. - Bonsoir Mademoiselle. Sympa cette soirée. - Oui en effet, ça change de ce qu’on a l’habitude de voir à Strasbourg.. - Vous êtes très jolie, et vous dansez super bien ! Je devinais bien sur où il voulait en venir mais ils n’avaient bien sur aucune chance. La place était prise dans mon esprit. Mais mon coté petite allumeuse parfois pouvaient prendre le dessus. Après tout je n’avais rien demandé.. C’était eux qui étaient venus. Je me laissais porter par la musique à me déhancher. C’est l’un d’un charmant homme blond, assez grand se rapprocha de moi pour danser à deux. Il mis son bras autours de ma taille.. Bien sur.. il se prenait des libertés d’un homme respectueux ne ferait pas. - Puis-je t’offrir un verre ? - Non c’est très gentil. La fille timide reprenait vite le dessus. Lassée par ces techniques de drague très ennuyeuse, je rejoignais Monsieur. - Alors petite salope, tu ne peux pas t’empêcher d’aguicher ! - Mais non.. je n’ai rien fait cher Monsieur, répondais-je avec un léger sourire complice. Je reviens, je vais aux toilettes, si vous le permettez. Les toilettes étaient très grandes. C’est en refermant la porte que je sentis une main forcée la porte. Il me tira alors par les cheveux et me poussa vers le lavabo. Je me retrouvais les mains posées sur ce dernier à me regarder face à ce grand miroir. D’une main animale il remonta la fermeture éclaire de ma robe puis mis sa main sur ma bouche. Sans aucun ménagement il me sodomisa. Ses coups étaient si fort et intenses. Mes cris se perdaient dans sa main. Cela n’avait pas durer très longtemps. IL m’avait prise sauvagement comme une putain. Il avait joui et laissé son foutre dans mon cul. Une fois son affaire terminée, il me releva en tirant mes cheveux puis me rejeta vers le lavabo et prenait la direction de la porte. - Allez nettoie toi ! Tu vas en reprendre encore. Tu n’attends que ça. Je te laisse quelques minutes et rejoins moi à l’entrée. Son assaut avait été féroce. J’étais totalement chipée. J’aimais quand il était fougueux à me baiser comme une pute. Je resaissais mon esprit. Je faisais tant bien que mal pour nettoyer mon anus. - Où allons nous ? demandais-je ? - T’exhiber. Je ne savais pas quoi répondre. Je baissais le regard. Maintenant il savait où étaient mes limites et ce que je ne voulais pas. Je me sentais donc en sécurité malgré tout. Il avait perdu ce côté chaleureux pour laisser place à cet homme intransigeant. EN arrivant à destination, nous étions dans un bar libertin. Je détestais ce genre de lieu à Strasbourg où il manque tant de finesse, de glamour et il le savait. C’est là que je vis cet homme blond avec lequel j’avais dansé et ces connaissances auxquelles je ne m’étais pas intéressée. - Et si nous faisions de toi, une petite chienne de concours. Tu vas nous montrer tes atouts et nous jugerons si tu en es une.. - Je.. Oui Monsieur.. - Brave petite chienne. Nous étions installés dans un coin canapé. Ils s’étaient installés sur les canapé. N’étant pas à mon aise dans ce lieu que je qualifierai de glauque, je m’apprêtai à m’asseoir. - T’ai-je permis de t’asseoir comme nous ? - Euh.. non .. - Pardon ? je pense qu’il manque un peu d’éducation. Il voulait que j’assume mon statut de chienne. Il savait que j’étais tout autant effrontée. C’est là que je m’avançais vers lui et je quittais ce tempérament à me sentir vulnérable. - Non, Monsieur. Vous ne me l’avez pas permis. - Allez, à quatre pattes sur la table ! Je pris alors ma démarche féline tout en le regardant, comme pour montrer à qui j’étais. C’est là qu’il se leva puis me banda les yeux. Je me demandais encore s’il avait préméditer tout cela. Puis il me dit à l’oreille - Tu es sublime, me murmurait il. Tu connais le mot si jamais cela va trop loin pour toi. Comme pour me rassurer. - Oui, Monsieur. C’est là qu’il remonta encore la fermeture éclair jusqu’à ma taille, dévoilant ainsi à la vue de ses connaissances mon fessier. Mon cœur palpitait. ‘- Messieurs, vous avez le droit de regarder, de toucher mais pas de pénétrer. Est-ce bien clair, sauf si je vous y autorise. Je vous présente Mademoiselle Lane. C’est là que je sentis une main me prendre par le menton. Je devinais que la personne était celle assise face à moi. Elle commença passer son doigt sur ma bouche. - Ouvre ta bouche, petite chienne et lèche le doigt. J’ouvrais alors ma bouche et je sortais ma langue afin de lécher ce doigt. Quand tout à coup, je sentais plusieurs mains s’attarder sur mon fessier. Certains me pinçaient, d’autres écartaient mes jambes. - Humm elle a la chatte bien lisse, on aimerait bien y gouter. Quelle chienne que tu as là. Je suis très envieux entendais-je. - Puis-je voir ses mamelles ? dit un autre ? J’étais complètement outrée par la manière dont il me décrivait. Ce mots qui ne venaient pas de mon maître. -Redresse -toi. - Oui.. Monsieur. C’est là que je le sentais devant moi. Il se saisit de ma robe et passa ma poitrine par-dessus. J’étais présentée, ainsi défaite. Je perdais encore plus de mon assurance. - Allez y Messieurs. Je vous laisse profiter de cette poitrine. J’étais touchée de partout mais aucun geste déplacé sur mes trous de chienne. Il y avait veiller. Ils s’amusaient à les triturer, à les malaxer. Je sentais un homme me saisir par les hanches à mimer un acte sexuel. Une poigne certaine. Je sentais leur désir à mon égard à me prendre, à vouloir me baiser sans frénésie. - Qu’elle est bonne à être baisée. C’est là que Monsieur me releva et me dirigea en me tenant par le bras. Je ne sais pas où nous allions. C’est là qu’il retira mon bandeau. Nous étions seul dans cette pièce qui ressemblait plus à une cage. Il y avait des barreaux. Je voyais la silhouette d’hommes derrière ces barreaux. - Maintenant , je vais te baiser, et tu vas t’offrir. Tu vas offrir un très beau spectacle. Je veux que toutes ces queues soient bien dressés. Montre leur qu’il n’y a qu’à moi que tu t’offres petite chienne. Qu’il n’y a que moi qui décide ce que je fais de toi ! T’es une vraie petite salope. Dis-le ! - Oui Monsieur, je suis votre petite salope. Il m’avait plaqué les mains contre le mur. Avec son pied, il m’avait fait écarter les jambes. - Cambre toi mieux que ça. Crois tu que je puisse te prendre bien à fond en étant ainsi ! Je me cambrais davantage en me baissant un peu. - Ecarte ton cul qu’on le voit bien ! Tu t’es fait belle, autant le montrer. J’étais complètement génée mais j’oubliais tout tant qu’il était avec moi. J’obeissais. Je tournais la tête. Je voyais ces ombres s’agglutiner à profiter de ce spectacle. Il commença par vérifier mon excitation. J’étais littéralement trempée ! Il avait l’air de me pousser dans mes retranchements, à assumer cette partie de moi. Il me saisit les bras, les mis en arrière et me maintenait les poignets dans le dos. - Je vais te tringler comme jamais. Tu ne mérites que ça. D’etre comblée par une queue si dure. Sens tu tout ce que tu provoques. - Oui.. Monsieur. Je ne mérite que ça Il prenait possession de ce qui lui appartenait. Cette fois il pénétra ma chatte encore et encore, il me labourait bien profondément en levrette. - Bonne petite pute. Regarde… regarde comment on regarde comment on prend une bonne chienne. Toi en train d’exciter tous ces mâles. C’est là que l’homme blond entra… Je me sentais interdite. - Il voulait te regarder de prêt en train de te faire sauter. C’est un voyeur. Ne t’inquiète pas. Il se plaça juste face à moi. Il avait son verre à la main et me regardait droit dans les yeux. C’est là qu’il se rapprocha de moi et me dit. - Tu es véritablement une bonne petite chienne de concours. Cette manière que tu as quand tu te cabres pour te faire prendre si profondément. Ces cris que tu émets quand tu te fais fourrer. Un vrai délice. Une vraie salope. - Je vous remercie mon cher. dit mon Maître. En effet c’est une vraie Salope. J’aime révéler cette nature et la montrer. - Elle est faite pour cela. C’est là qu’il m’ordonna de me mettre à quatre pattes. Puis il jetta mon visage contre le sol. - Voilà une excellente position pour bien la remplir. Je l’ai fait tout l’heure. J’aime me perdre dans ce petit garage. - Puis-je entendais-je ? l’homme avait demandé visiblement quelque chose à mon Maitre. L’homme s’était accroupi et dégageait mes cheveux pour mieux voir mon visage. -Qu’elle est belle quand elle se fait baiser. Il aura été dommage de nous priver de ce spectacle. Puis il se rapprocha à nouveau de moi. Je sentais sa respiration forte prêt de moi. - Allez, fais toi bien bourrer comme tu le mérites. Je vais me caresser en te regardant prendre ton plaisir. Regarde ce que tu provoques. Il s’était éloigné. Mon Maitre écartait à nouveau mes fesses pour observer sa queue s’engouffrer dans mon petit fion. Il la rentrait, la sortait parfois doucement. Il la réintroduisait parfois avec une telle profondeur… J’avais tout oublié, même où j’étais.. il me rendait complètement folle… Il tapissait encore de son foutre mon fion. Il se redressa et m’ordonna de rester un peu ainsi à la vue de tout le monde. Au bout de quelque minutes, il me releva et me remis le bandeau, comme s’il avait compris mes ressentis. Il me remis ma robe avec une telle délicatesse bien qu’il avait été moins avec mon cul. - Tu m’as rendu fière de toi ce soir ! Dormons ensemble ce soir. Puis juste avant de sortir, il ota le bandeau. Nous allions vers la voiture.. Je me rejouissais de dormir dans ses bras. Une si belle récompense.
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Par : le 30/04/20
Par avance, navrée pour les fautes. J'écris instantanément. J'aurai peut être besoin.. d'une correction. ************************************************************************************************************************** « Habille toi comme une petite écolière quand tu viens. Je te veux en chaussettes hautes, une petite jupe d’écolière et un chemisier. Mets des sous vêtement simples, de jeune fille. Tu t’attacheras les cheveux avec un joli nœud. Tu viendras avec un cartable, un cahier de note et tout ce qu’il te faudra pour prendre ta leçon du jour. Je t’attend pour 16h30. Soit à l’heure. A le lecture de son message, un sourire me prit. Je me demandais encore ce qu’il avait pu imaginer. Je regardais dans mon dressing ce qui ferait bien l’affaire pour sa demande précise. C’est là que je trouvais une paire de chaussettes hautes noires arrivant au genou, décorées sur l’une, d’une rose brodée. Je mis cette petite jupe de motif écossais en carreau Rouge, Noir et vert. Je pris un chemisier blanc des plus simple. Je pris alors en sous vêtement ce petit shorty noir et un soutien gorge adapté à mon chemisier blanc. Tout doucement, je me regardais dans le miroir. Soigneusement je mis peu de maquillage mais juste ce qu’il faut pour avoir un teint éclatant, le tout réhaussé d’un gloss à cette couleur légèrement rouge orangé.. Je redressais mes cheveux en une belle queue de cheval auquel j’ajoutais comme Monsieur me l’avait demandé un ruban rouge que j’ai détourné. Me voilà replonger dans ma jeunesse. Il ne me manquait plus que le nécessaire pour écrire ma leçon d’école. Arrivant chez Monsieur, je vérifiai ma tenue afin de lui plaire. Mon cœur battait à la chamade. Par jeu, j’avais sorti une de ces petites sucettes au goût pomme, pour me montrer un brin provocatrice comme il aime que je sois. Et puis, les adolescentes n’aiment-elles pas sucer.. des sucettes ? La porte s’ouvrit. Il était tout de suite dans son rôle de maitre d’école, sévère. Il était habillé avec élégance, un pantalon de toile bleu marine, une chemise blanc-perle, le tout réhaussé de belles bretelles. Il avait un goût parfait pour savoir se vêtir selon les circonstances. Je sentais l’odeur de son parfum m’envouter. Je me souviens la première fois que je l’avais rencontré. J’étais comme hypnotisée car cela lui collait à la peau… La nuit de l’homme. Sa voix était assurée, grave, d’une telle douceur même dans les jeux. Il me conduisait à son garage qu’il avait pris soin d’arranger. Il avait réussi à placer un tableau blanc, une table d’écolier et il avait placé un bureau en bois qui me faisait réellement penser à mes années de lycée à Châlons en Champagne, un ancien couvent.. avec ce vieux mobilier et le vieux parquet au sol. Bien sur on en était loin ici mais je devais reconnaître l’’art qu’il avait à mettre des scénarii en place. - Prenez place, Mademoiselle Lane. Tout en le regardant je profitais de sucer langoureusement ma sucette et de jouer avec comme une adolescente qui cherche à attirer l’attention de son professeur, je m’installais sur le banc de la table d’école. Et je sortais mes affaires de mon cartable. Il me regarda alors droit dans les yeux d’un regard sévère. - Veuillez immédiatement enlever cette sucette. Vous ai-je autorisé à venir en classe avec ? - Non, Monsieur, je l’avoue, dis-je avec une moue pleine de défiance. - Ah ainsi, vous voulez prendre mes dires par-dessus l’épaule, je vais donc vous donner une leçon bien éducative et inscructive. - Levez- vous et placer vos mains devant-vous, paume vers le haut. Il s’était muni de la règle que j’avais sortie de mon cartable. - Eh bien vue que la discipline ne soit pas votre fort, nous allons y remédier. Je vais vous donner trois coups sur chaque main. Je ne veux pas vous voir ôter vos mains, ni crier. - Je (baissant alors mon regard à la peur de subir cette première punition), je.. oui, Monsieur. Il se mit à ma hauteur et ôter de ma bouche cette sucette. Il plaça la badine sur ma main droite. Il tapotait tout doucement augmentant alors mon stress, ma respiration. Le premier coup s’abattu. C’était si.. vil de sa part. Mais ma fierté prenait le dessus comme lorsque j’étais jeune et que j’étais dans cette déviance, voulant dire.. même pas mal, mais je bouillais pour me retenir de ne pas crier en voulant même faire ce petit sourire en coin, le regarder dans les yeux. - Merci, Monsieur… avec un ton provocateur. Il fit alors de même à deux autres reprises. Il avait ce coté un peu sadique à frapper au même endroit. Au dernier coup, j’avais ravalé ma fierté. Je me pinçais les lèvres. Il faisait la même opération sur ma main gauche. J’étais calmée. - Donc où en étais-je ? me dit-il Vous avez été convoqué Mademoiselle Lane pour deux heures de colle. J’ai ici un carnet de notes à votre égard sur vos manquements qui semblent s’accumuler ces derniers temps. Vous comprenez bien que je ne peux pas tolérer tout cela est que vous allez être punie. Le comprenez-vous, Mademoiselle Lane ? Je souriais intérieurement car il avait réellement pris des notes sur les petites libertés que j’avais prises ces derniers jours avec les dates et les horaires ! Lisez- moi à haute voix cette page. Il me tendit alors son carnet de note. - Lundi 19h : non envoi de la photo de sa chatte trempée. - Mercredi 15h : Echange téléphonique - Oubli de m’appeler Monsieur à 3 reprises. - Jeudi 17h : avoue s’être caressée malgré mon interdiction. Je me disais qu’il n’avait rien relevé. Il est vrai que lundi, il m’avait mis dans un tel état d’excitation mais je n’avais pas forcément envie de lui envoyer ma photo de mon sexe brulant puisque je ne la jugeais pas présentable. Je n’étais pas encore aller chez l’esthécienne.. Mercredi, je devais être tête en l’air et guillerette. C’est probablement la raison pour laquelle il ne m’a pas corrigé.. Quand à Jeudi, c’est pas très sympa car j’ai avoué ma faute. Je n’en pouvais plus. La voix de la petite chienne que je suis a pris le dessus… mais j’avais avoué. C’est là que j’arrêtais la lecture. Je voulais m’expliquer et je commençais à lui répondre - Cher Monsieur, je suis navrée m.. - Vous ai-je donner le droit de répondre ? Taisez-vous maintenant. Vous allez me faire une lettre d’excuse pour votre mauvais comportement ! Vous avez 15 min. Je m’installais alors sur le banc. Je pris mon vieux stylo plume. Le silence s’était installé et était à la limite stressante. Il s’était assis sur sa chaise, à son bureau, face à moi. IL m’observait. Le regard inquisiteur. Le rouge me monta au joue. IL avait cette prestance, ce regard, cette voix.. toutes ces petites choses inexplicables qui sont si importantes. Vous le comprenez j’en suis certaine, surtout vous Mesdames. Je commençais alors ma lettre *********************************************************************************************************** Cher Monsieur, Je tenais à vous présenter mes excuses les plus sincères pour mon mauvais comportement de ces derniers jours. J’ai négligé mon rôle et je ne vous ai pas traité avec le respect qui se doit. Je suis désolée de ne pas vous avoir envoyé la photo de ma petite chatte prise d’émotion quand vous me mettez dans des émois si intenses. Je suis bien ingrate de ne pas vous avoir fourni la preuve de l’œuvre que vous faîtes de moi. Je trouvais simplement que ma chatte n’était pas dans un état présentable pour être prise en photo. Concernant l’oubli de vous appeler Monsieur, je l’ai fait sans m’en rendre compte. Je sais que je dois me ressaisir et être plus vigilance à vous appeler avec le mérite que je vous dois. Je sais que je mérite punition pour ce manquement. Je suis certaine que vous trouverez la punition à la hauteur de mon impertinence, Monsieur. Je suis une vilaine petite chienne sans éducation puisque je n’ai pas tenu la promesse de ne pas me caresser depuis lundi, comme vous me l’aviez ordonné. Ma chatte était tellement en émoi cette semaine, c’était une torture insoutenable. Mes doigts se sont posés sur ma petite chatte fraichement épilée à la cire. Elle était si douce. Mes lèvres étaient toutes gonflées. J’avais envie d’être comblée, remplie.. Je sais que je mérite la colère de Monsieur . Je suis impardonnable. J’espère que Monsieur acceptera ma lettre d’excuse. Je ne doute pas que Monsieur saura me donner la leçon éducative adapté à sa chienne qui n’a pas su restée sage. Vous, seul, pouvez me remettre dans le droit chemin. Je vous en prie, Monsieur, éduquez-moi davantage. Je suis à vous. Votre chienne qui se met à vos pieds et implore votre pardon. Mademoiselle Lane ******************************************************************************************************************** - Avez-vous terminé, Mademoiselle Lane ? - Oui, Monsieur. - Parfait, me dit-il. Maintenant venez ici à mon bureau, avec votre lettre d’excuse avec une voix autoritaire. Je me levais et je me dirigeais vers lui. - Bien, maintenant que vous vous êtes penchée sur votre mauvaise attitude, vous allez vous allonger sur mes genoux. Maintenant ! Je m’installais sur ses genoux. Je sentais à travers mon bas entre son sexe. Toujours dans ce silence, il soulevait avec délicatesse ma petite jupe. Il caressa mes cuisses, puis les empoigna de manière plus ferme. Il remonta ma jupe sur mes fesses. - Quelle croupe chère Mademoiselle. D’une main ferme, il baissa ma culotte sur mes cuisses. - Maintenant Mademoiselle Lane, vous allez me lire votre lettre d’excuse, tout doucement pendant que je vous fesse. Vous allez me remercier pour chaque coup que je mettrai. - Je… Oui, Monsieur, j’ai saisi. Je prie alors ma lettre à deux mains et je commençais à lire ma lettre. - Cher Monsieur, Une première claque s’abaissa sur ma fesse droite. - Merci Monsieur. Je tenais à vous présenter mes excuses les plus sincères pour mon mauvais comportement de ces derniers jours Puis une autre… bien plus forte celle-ci qu’elle m’arracha un cri. - Merci Monsieur. J’ai négligé mon rôle et je ne vous ai pas traité avec le respect qui se doit. Je suis désolée de ne pas vous avoir envoyé la photo de ma petite chatte prise d’émotion quand vous me mettez dans des émois si intenses Deux autres d’affilées s’abattirent au même endroit. Ma fesse droite commençait à chauffer. - Merci Monsieur. Je suis bien ingrate de ne pas vous avoir fourni la preuve de l’œuvre que vous faîtes de moi. Je trouvais simplement que ma chatte n’était pas dans un état présentable pour être prise en photo. Ma fesse gauche ne resta pas en reste quand il m’en mis une.. puis une.. puis encore une.. J’avais du mal à me concentrer à ma lecture, à ne rien laisser transparaître. Ma correction était bien méritée. Il avait une telle poigne.. - Merci… Monsieur, dis-je avec une voix troublée et douloureuse. Concernant l’oubli de vous appeler Monsieur, je l’ai fait sans m’en rendre compte. Je sais que je dois me ressaisir et être plus vigilance à vous appeler avec le mérite que je vous dois. Je sais que je mérite punition pour ce manquement. Il continua.. Mes fesses commençaient à me gratter. Je commençais à vouloir me défiler de cette punition. - Me.. hésitante.. Merci Monsieur. Je suis certaine que vous trouverez la punition à la hauteur de mon impertinence, Monsieur. Il me fessa pour cette dernière d’une telle force que je m’en souviendra je pense.. Un cri s’échappa. J’avais envie de me soustraire, de ne pas être sur ses genoux. Puis me voyant ainsi, il me laissa le temps de me ressaisir tout en caressant doucement mes fesses qui devaient être écarlates. - Merci.. merci Monsieur. - Continuez je vous prie Mademoiselle Lane. - Je suis une vilaine petite chienne sans éducation puisque je n’ai pas tenu la promesse de ne pas me caresser depuis lundi, comme vous me l’aviez ordonné. Je sentis sa main se soulever à nouveau, et contre tout attente, au lieu de me fesser il malaxait mes fesses. Certes c’était douloureux, mais quelques part cela apaiser le brasier qu’il avait mis à mes fesses. - Je vous remercie Monsieur. Ma chatte était tellement en émoi cette semaine, c’était une torture insoutenable. Mes doigts se sont posés sur ma petite chatte fraichement épilée à la cire. Elle était si douce. Mes lèvres étaient toutes gonflées. J’avais envie d’être comblée, remplie.. Je sais que je mérite la colère de Monsieur . Je suis impardonnable. Il me remit une fessée. J’avais envie de pleurer cette fois. Faire tomber ma fierté. Lâcher prise. Merci.. Monsieur, en laissant perler les larmes de mes yeux. J’espère que Monsieur acceptera ma lettre d’excuse. Je ne doute pas que Monsieur saura me donner la leçon éducative adapté à sa chienne qui n’a pas su restée sage. Vous, seul, pouvez me remettre dans le droit chemin. Je vous en prie, Monsieur, éduquez-moi davantage. Je suis à vous. C’est là qu’il me caressa d’une infinie douceur, pour me soulager. - Merci Monsieur pour l’attention que vous m’accordez. Votre chienne qui se met à vos pieds et implore votre pardon. - Vos excuses sont acceptées Mademoiselle Lane. J’espère que vous en avez tirez les conséquences. Asseyez vous devant moi, les jambes bien ecartées, les paumes posées vers le haut, sur vos cuisses. Je m’exécutais. Une fois assise à ses pieds devant lui, j’avais stoppé mon attitude insolente. Il m’avait bien remise à ma place. Mes yeux étaient naturellement baissés. Je n’osais plus croisé son regard. Honteuse petite chienne que j’étais. J’avais cedée à la facilité. Je sais que ce qu’il me demande c’est autant d’attention qu’il m’en donne. J’avais regretté de mettre caresser car au fond, il voulait me faire jouir avec encore plus de violence. Je comprenais qu’il ne voulait que mon bien. De sa main droite, il me releva le menton afin de me regarder et que je puisse plonger mon regard dans ses yeux bleus. Puis il secha mes larmes avec la pulpe de ses doigts. Naturellement je plaçais ma joue contre sa main si réconfortante. J’aimais ce moment de relâchement, cette parenthèse de douceur entre différents.. Mots.. maux. - Vous savez que j’accorde une importance au maintien chère Mademoiselle Lane. J’aime vous voir dans cette position d’attente à mes pieds. C’est là qu’il prit entre ces doigts ma bouche puis me gifla. Bonne petite chienne. Je vous interdis de me regarder ainsi. Je savais jouer de mon regard, je savais qu’il l’adorait. J’aimais quand il me punissait parce que je le regardais. En même temps j’adorais qu’il me traite ainsi. Lui seul savait, lui seul avait ce droit sur moi. Il me releva en me tenant par la queue de cheval. Il se tenait derrière moi. J’aimais sentir son souffle au creux de mon oreille, quand il me parlait doucement. Cela me rendait toute folle, à obéir. Ma tête était maintenant en arrière, il me disait comment j’étais sa petite putain, voulant me faire dire tout ce que je suis , tout ce que je mérite. Il saisit à travers mon chemisier mon sein droit. Avec force il me malaxa. - Tu es à moi. Rien qu’à moi petite catin. C’est là qu’il déboutonna un à un les boutons de mon chemisier tout en me maintenant fermement. - Regarde moi comment tu es, petite trainée. Tu n’attends que cela.. d’être comblée, prise, doigtée, fouillée, enculée, bourrée, labourée.. Mais comme tu es dégouillante. Mais doigts sont trempés de ta cyprine. Quelle chienne tu es ! D’un seul coup il me poussa vers son bureau. J’avais les deux mains dessus. D’un geste très viril, il souleva ma jupe et déchira ma culotte. C’était un moment si.. érotique, si bestial. Je gémissais de désir. Je lui résistais, ne voulant pas succomber, ne voulant pas céder si rapidement à cet état qu’il me provoquait. Mais peut on raisonner une chienne qui ne demande que cela ? non.. Il me retourna avec cette violence virile puis mis ma culotte trempée dans ma bouche. Puis il mis sa main sur ma gorge et la serra. Il me possédait avec cette force ; J’aimais sentir sa poigne sur ma gorge. Je me sentais encore plus lui appartenir. - Je ne veux même pas t’entendre ! Je vais te prendre et abuser de toi. Prendre mon plaisir. Tu vas être ma putain. Tu as osé te caresse sans mon autorisation. C’est là qu’il mis plusieurs doigts dans ma chatte. Elle était si trempée qu’elle aura pu engloutir bien plus que ces deux doigts qu’il avait mis… C’est alors qu’il en mis quatre.. A faire des va et vient si fort. A me stimuler. J’étais là.. Muselée par ma culotte, je sentais sa main sur mon cou. Je sentais son regard sur moi. Je me sentais toujours honteuse quand il faisait cela. Je ne pouvais plus rien contrôler. J’étais si fontaine. Il aimer me vider, m’épuiser… - Petite garce, regarde tout ce que tu fais jaillir… Des larmes de joies coulaient de mes joues. Je tremblais de désir, j’avais tant envie de l’honorer comme il m’honore. Je n’attendais qu’une chose, et vous devinez bien quoi… ? - Tu ne mérites pas ma queue ! Il me gifla un coup puis un autre.. Puis il me laissa là.. interdite, sans aucune force. - - Allez debout ! qu’elle est cette manière de se dandiner ? A coté de ta table. J’avançais à ma table avec cette démarche incertaine. Mon entrejambe lui aussi se dandinait à l’envie de sentir une queue y entrer.. ou tout autre chose. Il m’avait juste mis l’excitation à un tel point. Il s’avança vers moi et plaça un livre sur ma tête.. - Chère Mademoiselle Lane.. reprenons notre leçon.. de maintien. Ce livre ne doit pas tomber. Est-ce bien clair ? - Oui.. cher Monsieur. - Bien… Maintenant je vais m’occuper du maintien de vos seins. Il aimait jouer des corses. C’est là qu’il entreprit d’utiliser mon corps pour sa toile. Aucun mot ne sortait même si on se disait tout.. Ces moments là où tout est parlant dans le silence. Cette concentration qu’il mettait à faire chaque passage de corde, chaque nœud pour mettre en valeur mon corps. C’était une fierté d’avoir toute cette attention à mon égard. Il me fascinait. Mais avec ce livre sur la tête, je ne pouvais le regarder. Il m’en avait privé. Il avait particulièrement fait passé les cordes autours de mes seins, les maintenant fermement, les faisant ressortir. Il s’éloigna de quelques pas pour admirer son œuvre. Il faisait le tour de moi, m’effleurait.. La posture a tenir n’était pas aisé avec ce maudit livre. C’est là qu’il prit la paire de ciseaux de ma trousse et entrepris de couper.. couper la chemise, couper le soutien gorge.. - Voila je préfère… Je vois que vous avez su faire preuve de tenue. Je vous en félicite,dit -il en me regardant dans les yeux et en tenant dans chacune de ses mains mes tétons Il les tira pour les amener à lui. J’avais envie de pousser un tri mais je pensai à ce livre sur ma tête à ne pas faire tomber. - Ne bougez pas. Vous êtes très belle ainsi. Je vais vous ornementer. Il se dirigea vers le tiroir de son bureau. Je devinais ce qu’il sorta… - Vos seins, Mademoiselle Lane sont si magnifiques. Vos tétons si.. doux.. une invitation à s’en occuper. Je sentis le métal de la pince. Il avait choisit une pince qui s’adaptait. J’étais très sensible et il le savait. Mais je savais que j’allais devoir me surpasser. Malgré ce qu’on pense, cette douce douleur amène ensuite un tel plaisir, une libération, un lâcher prise comme lorsqu’on gravit cette montagne et qu’on a souffert mais on est si heureux après. Me voilà avec des pinces sur mes seins reliés par une chaine. Il tira la chaine à lui. Je ralais.. Puis il tira à nouveau. Le livre tomba. - Vilaine petite écolière incapable de se tenir. A genou sur votre table ! - Voyons l’état de ma petite chienne. Ah oui je vois que ça mouille toujours autant. C’est là qu’il passa entre mes lèvres quelque chose de rond et métallique. - Voila, je pense que cela va rentrer comme dans du beurre.. dans votre petit fion de salope innoncente. Je sentis mon petit anus céder sous la pression de cette boule. Cette dernière a été engloutit rapidement. Il me l’avait enfoncé avec force et sans réel ménagement. Il attacha le crochet anal à ma queue de cheval en laissant un léger mot pour préserver mon dos. Je me retrouvais ainsi tel une chienne cambrée à exposer ses attribus et en ayant la tête maintenu fièrement dressée. - Voilà ce qu’est avoir du maintien Mademoiselle Lane.. Un cul prêt à recevoir, des seins dressés et un port de tête altier. Une chienne muselée..Le cours de maintien débute si bien. Il ne vous manque que votre collier.. mais vous n’êtes pas digne aujourd’hui… Il était derrière moi à regarder mon sexe offert à sa vue. Il effleurait mes cuisses, mon entrejambe.. Je n’attendais moi qu’une chose..mais je ne pouvais bouger. Il prie chacune de mes lèvres entre ses doigts, les pinça, les écarta… Il m’inspectait. - Je vois que votre chatte est bien douce et lisse. Votre cyprine coule dessus c’est divin à regarder. Il plaça alors un gode rattacher à un manche dans ma chatte. - Ne pensez pas que je vais vous faire le plaisir de vous baiser avec. J’ai juste envie de vous voir remplie comme une bonne petite pute qui n’attend que ça. Il retira ensuite de ma bouche ma culotte. Il prie à nouveau un objet de son bureau… un baillon avec un anneau. Il me plaça afin que je garde la bouche bien ouverte, attendant d’être à la disposition de la queue de mon Maître. Puis pour terminer son œuvre, il mis une corde autours de mon cou qu’il fixa à un anneau. Ainsi j’étais à sa merci, à ne plus pouvoir rien faire si ce n’est.. attendre. Voilà, vous allez terminer votre colle ainsi.. Mademoiselle Lane. Je vous laisse méditer, petite chienne. C’est là que je sentis une frustration immense. La punition était à la hauteur de mes manquements.
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Par : le 29/04/20
Je rentrais complètement énervée. Dans ces moments là, je suis plutôt expéditive à vouloir m’isoler. Un rien peut me rendre comme une panthère, prête à sortir les crocs, à griffer. J’allais le rejoindre. Il m’avait ordonné de venir dans son antre. Vêtue d’une robe légère framboise laissant apparaître un décolleté léger qui arrivait sous mes genoux avec des petites sandales printanières, je toquais à sa porte. Sa maison était située à la campagne, une maison faîte de pierre décorée avec goût et des matières naturelles. J’aimais beaucoup me rendre dans cet espace où je pouvais me libérer de toute tension. C’est là qu’il ouvrit la porte. Habillé d’un Jean bleu foncé tenu par une ceinture marron clair et une boucle élégante, il portait une chemise légère qui le rendait tellement sexy. C’est là qu’en arrivant je manquais à tous mes devoirs. Je rentrais sans répondre à son bonjour, et en parlant de mon énervement. C’est là que d’un seul geste, il se rapprocha de moi, m’empoigna les cheveux et se mit derrière moi. - Tout doux… Respire… Je crois que tu en as oublié tes belles manières. C’est là que je voulais répondre pour m’expliquer. Il mis sa main sur ma bouche tout en mettant son bras autours de mon cou - A partir de maintenant, je vais t’apprendre à te contrôler, à gérer ta colère et surtout à ne pas jeter ta mauvaise humeur sur moi. Je t’interdis de me parler, sauf si je te l’autorise. Je vais te traiter comme une poupée, ma petite poupée, dévouée. Je vais devoir te punir comme une enfant. C’est tout ce que tu mérites. Suis-je clair ? Je hochais de la tête un oui avec une certaine crainte ce qui allait venir. IL savait tout de suite prendre les rennes. Au fond, il savait baisser mes tensions, me rassurer. - Enlève moi cette robe. C’est là qu’il me jeta au sol, le visage plaqué contre le parquet qu’il maintenait avec son pied. - Tu n’es qu’une bonne petite chienne. Tes mains dans le dos puis ne bouge pas. C’est là qu’il se mit sur mon dos. IL me mis un gag ball et le serra très fortement. - Voilà qui va être parfait. Ne pas t’entendre râler. - Puis il me mis des bracelets en cuir aux poignets, puis à mes chevilles. - Allez à quatre pattes, petite chienne. Je m’executais. J’étais ainsi les seins dénudés, avec une petite culotte fine. Il me botta les fesses avec son pied pour me faire avancer. - Allez marche un peu, je vais te remettre à la place qu’il se doit. Tu vas méditer à ton comportement. Allez avance vers là bas.. Le là bas était son bureau / boudoir où parfois il me recevait. Je savais que cette pièce était relativement petite, sans fenêtre où l’on trouvait un bureau avec un fauteuil voltaire, un canapé. Elle était relativement froide et rustique. Il alluma la lumière et sans ménagement, je découvris une couche au sol. - Allez sur ton tapis. Je me refusais à ce traitement. Je n’aimais pas cela. C’est là qu’il me traina par les cheveux. Il entreprit alors de m’encorder afin de m’immobiliser complètement. Quand il est dans cet état, j’aime le regarder. Il est comme posséder. Je ressens une certaine froideur malgré sa bienveillance. Je souris intérieurement. Il prit un malin plaisir à jouer des cordes pour que je sois à sa merci, toute offerte, de manière à être inconfortable pour me voir me mouvoir. Je devinais que cela le rendait fou, de me voir ainsi à sa merci. Le regardant droit dans les yeux, comme pour le supplier de me libérer. - Il te manque ton collier de chienne. Et ne me regarde pas. Tu baisses le regard sinon je vais être obligée de bien te corriger. Est-ce cela que tu veux ? Des coups de cravache ? hum.. non le martinet serait plus appropriées aux petites chiennes dévergondées. Une fois le collier mis, il prit la laisse qu’il serra court contre le radiateur. Puis il sorti en éteignant la lumière. J’étais ainsi dans le noir, offerte à ses moindres désirs, enchaînée. J’étais quelque part énervée de me retrouver ainsi alors que je voulais être contre lui et de l’autre je sentais l’excitation me gagner. Son imagination était toujours incroyable. Il savait me surprendre, il savait de quoi j’avais besoin. J’essayais de me détendre, de respirer calmement. Tout doucement, cet immobilisme me conduisit à ne plus penser à mon état de l’après midi, mais je n’avais qu’une envie, qu’il s’occupe de moi. J’entendais à travers la porte ses pas, je devinais dans quelle pièce il était. Il avait mis une musique de fond, une musique classique. Il était dans un contrôle incroyable, sachant ce qu’il fallait pour me détendre malgré tout. Je notais ce geste d’attention à mon égard. Je commençais à perdre la notion du temps. Je tremblais un peu de froid. La porte s’ouvrit, il alluma la lumière. J’étais aveuglé. Il me regardait en train de supplier en bouger de me défaire de cette place. Mais je sentais que ce n’était pas dans sa volonté.. IL avait le regard rude. Il se rapprocha puis caressa mes cuisses, remonta sur mes fesses. Il se saisit de ma culotte qu’il resserra dans sa main. Il s’amusa à jouer avec le tissu afin qu’il fasse comme une corde passant sur mes lèvres et mon petit anus. Je me dandinais.. - Humm.. je vois que tu ne peux pas te contrôler. Il faut que tu te déhanches. Il placa alors sa main sur mon entrejambe puis m’assena une claque dessus. Puis je senti un effleurement de ses doigts sur mes lèvres. Un filet de mouille s’en dégageait. IL enleva mon gag ball et introduisit ses doigts dans ma bouche. - Allez lèche moi ça… Je ne voudrais pas en mettre partout puis te faire nettoyer les sols. J’ai un petit cadeau pour toi… Regarde. Il sortit alors un plug d’une taille certaine. Mes yeux s’écarquillaient. - Ouvre ta bouche de petite putain. On va s’occuper que tu sois bonne de partout. J’ai une envie de faire de ton petit fion une chatte, un petit garage à bite. - Il tira mes cheveux en arrière pour me redresser et me mit le plug dans la bouche. - Allez lèche le comme si c’était ma bite. Tu es si douée pour ça. Montre moi ton talent. Je veux voir jusqu’où tu es capable de l’engloutir. Il était en train de m’humilier. Je hais quand il fait cela mais au fond, peut être une partie sombre mais cela me met dans un tel état. Etais ce au final une punition ? ou une récompense ?. Je suçais ce plug parfois avec difficulté. Le rythme qu’il donnait me laissait aucun répis, j’en bavais. - Voilà, je pense qu’il est parfaitement humide et préparé pour le mettre dans ton cul. Je te préviens, je ne rien entendre. Compris. - Oui Monsieur. Il me tira à nouveau par les cheveux.. - Je t’ai dit que je ne voulais pas t’entendre. Il remit mon gang ball. Il descendit ma culotte sur mes cuisses. Je me sentie ainsi humilée. J’étais ainsi face contre le sol, les fesses relevées avec cette culotte baissée et trempée. Victime de toute mon excitation. - Tu garderas toute la soirée ta culotte sur les cuisses. Puis je sentie le bout du plug qui commençait à s’engouffrait doucement dans mon anus. Il me demandait de pousser, de travailler à son ouverture. - Allez va-y petite pute. Tu vas y arriver. Je veux que tu sois bien ouverte. Ouverte à ce plug, à ma queue, à mes doigts ou à ma main.. On verra tout ce qui peut y passer. Suis- je clair ? Je hochais la tête avec un léger son timide. Malgré cette situation, j’était toute excitée. - Humm, voila.. tu es parée, ornée.. Je vais maintenant te laisser encore un peu méditer à ton comportement quand tu es arrivée. Je me devais te rappeler qui est ton Maître. Oh oui il était mon Maître, par là je voulais dire mon guide.. Il me connaissait, il me faisait sortir des sentiers battus, en pensant à moi, à lui. Je me sentais lui appartenir, j’avais une telle confiance. Je fermais les yeux en pensant à tout cela.. à ce qui allait aussi se passer. Je soupirais.. Le temps se faisait long. Je l’entendais. Je me sentais délaissée. Je commençais à m’exciter à vouloir bouger, me dégourdir. Quand il revint j’étais presque heureuse. J’étais à nouveau ébloui. Me voyant calme il me caressa la joue puis je sentie sa main ferme me maintenir par le cou. Il détacha ma laisse du radiateur, puis libéra mes mains et mes jambes. Il me tenait haut et court, à maintenir un petit étranglement très excitant. - Cambre toi. Je veux une chienne noble qui expose son cul. Il me faisait marcher à coté de lui, avec fermeté jusqu’à son salon. J’avais ma culotte à ne pas faire tomber davantage Il avait une table- fauteuil posé juste devant la cheminée. - Allez monte dit il en papotant dessus. Ma démarche de chienne était assurée et je montais dessus comme le ferait un chien. A quatre pattes, il appuya sur mon dos pour me faire cambrer. Il maintenant ma laisse courte pour bien me redresser, me dresser. Il se saisit alors de la cravache pour bien corriger ma posture. - Je vais te donner des coups de crache, 10. Tu vas les compter un à un.. et tu vas me remercie par .. Merci Monsieur. Je sentais la cravache parcourir mon corps, je ne savais pas où elle allait s’abattre. Il aimait m’effleurer avec, comme pour détourner mon attention. Le premier coup fut sur ma fesse droite.. et le second aussi et le troisième. IL se montrait particulièrement rude avec moi ce soir. Est-ce don j’avais besoin. Je voulais me dédouaner de la cravache. C’est là qu’il me réprimanda. - Je vois que cela ne semble pas suffisant à t’éduquer comme il se doit. Très bien. Il lâcha ma laisse. Il mit la cravache dans ma bouche puis se saisit du martinet. - Ma blanche neige va comprendre comment une belle pomme rougit… Aucune partie de mon corps n’était épargner. Il commença par mon dos, mes fesses puis mes seins. - Allez cambre toi, écarte bien tes jambes.. que je m’occupe de ton entrejambe de chienne. Là je commençais à trembler. Je n’aimais pas cela. J’avais peur. Je ne voulais pas. Mais ses coups de martinet se faisait de plus en plus fort. Je compris que je devais céder. Il me mit un seul coup sur ma chatte qui me faisait crier et tomber la cravache de ma bouche. Je m’attendais à ce qu’il soit rude mais au contraire, il me caressait doucement sur les parties sur lesquelles il avait adoré mettre des couleurs. J’aimais ce moment là, plein de douceur, où je devais quand même rester sur mes gardes, puisqu’il avait toujours le martinet en main. Alors que je m’attendais à recevoir d’autres coups, il me me redressa. Sors ta petite langue qui n’attend qu’une chose. Il enleva la boucle de sa ceinture. - Enlève là avec ta bouche, puis met là autours de ton cou. - Je veux que tu sortes ta langue de chienne. Je sais que tu la veux ma queue. TU n’as pas le droit de la toucher. Compris ? Il défit son jean et en sorta son membre. Il bandait. - Regarde ce que tu provoques.. Puis il plaça son sexe devant moi, ma langue étant dehors. Je ne voulais qu’une chose, l’honorer, le lecher, le sucer. - Renifle la. Il passa ensuite son sexe sur ma langue et ma bouche. Puis il entra son membre dans ma bouche. Il bloqua alors ma tête en l’amenant vers lui. J’étais là, sans l’incapacité de bouger, ma bouche empaler sur son gland. Il forçait le passa pour atteindre ma gorge à m’en faire baver comme une petite putain. - Regarde moi. Je le regardais droit dans les yeux. Il avait ce regard si intense. Je sentais que j’allais être la victime de son désir. C’est là qu’il saisit la ceinture et serra mon cou avec tout en me baisant la bouche. Je n’avais même pas le temps de comprendre ce qui se passait. J’étais à son service, l’esclave de son plaisir, l’esclave de mon plaisir. Ma bave dégoulinait sur le sol, sur sa queue, je peinais à respirer. - Garde ta putain de bouche bien ouverte ! Je ne veux pas sentir tes dents. Il me gifla. - Brave petite pute. Sa queue était toute dure, je sentais le gland au fond de ma gorge, puis contre ma joue. J’étais dans un tel état. J’adorais quand il m’utilisait comme cela. - T’es la bonne chienne à ton maître. Allez descend et nettoie moi cette bave que tu as mis partout. Je refusais cette tache qui me demandait. Il en était hors de question. - Ah tu rechignes à cette tache… Il me prie par le cou et m’obligea a mettre mon visage contre le sol mouillé. - Nettoie ! Je me refusais à nettoyer. C’est là qu’il prie la cravache.. - Nettoie ! J’aimais ne pas me laisser faire quand je ne voulais pas faire quelque chose. - Je ne le répéterais pas. Nettoie ou tu te souviendras de cette correction. Et crois moi, les coups de cravache de tout à l’heure ne seront rien comparer à ce qui t’attend. Je vais peut être m’amuser avec tes seins. Je sais que tu adores ça. Alors ? Je me refusais toujours. - Très bien, c’est ton choix. Mets toi à genou, les mains dans le dos. Je vois que tu as repris ton tempérament rebelle. Serais ce mes sévices qui te donnent le droit de me défier ? Je souris intérieurement. Mais je ne voulais pas que tout soit facile. - Tu sais très bien que je ne vais pas te soumettre par la force. Je pense que le plus simple, serait de t’abandonner à nouveau dans le bureau.. Est-ce ce que tu veux ? Il savait utiliser les mots justes.. Je m’executais.. je me mis sur les genoux, les jambes ecartées. - Mets des bras derrière la tête. Cela mettait en avant ma poitrine. Je savais ce qui m’attendait. Je devinais dans son regard que mes seins allaient être l’objet de son attention. Il se saisit de deux tires tétons. - Alors voyons voir ce qu’on peut tirer de tes mamelles de chienne. Il positionna le premier. Je sentais alors l’aspiration. C’était une première pour moi. J’étais relativement surprise par à la fois la douleur et le plaisir. Allez encore un peu. - Regarde comme tout est aspirer, penses tu qu’on puisse le mesurer ? - Tais toi, je ne veux pas de réponse. Il fit de même avec le second. J’avoue que je sentie l’inconfort. Il me laissa ainsi, à ma méditation au milieu de la pièce. IL était aller se servir un verre. Il s’était assis face à moi sur le canapé. Je commençais à avoir mal au genou. Mes bras commençaient à s’engourdir. Puis au bout d’un moment. - Alors tu es calmée ? Je fis un signe par l’affirmative. Il s’approcha et retira les tire tétons. Je sentis un soulagement mais qui fut de courte durée. Il se saisit de chacun de mes tétons et les serra fortement. Les tritura. Je le regardais droit dans les yeux. Ma fierté me poussa à refreiner le moindre bruit. Je ne voulais rien montrer, un peu comme une adolescente recevant une fessée pour mauvaise conduite et qui répond .. même pas mal. Voila, tes petits tétons bien dressés, à la différence de toi. Il me releva. Il passa son bras autours de mon cou, et le serra. Cette étreinte me permettait de sentir son souffle. J’aimais quand il me parlait avec murmure au creux de mon oreille - La soirée ne fait que commencer ma petite. Tu es ma fierté, sache-le. Il me caressait le visage, mes fesses. Je n’arrivais plus à me tenir. J’ondulais contre lui. J’aimais son odeur, la douceur de ses mains, sa fermeté aussi. Ce tout qui fait que je sais que quoi qu’il arrive, je suis incapable de lui résister. Toujours en me tenant ainsi, il mit sa main sur mon sexe et me caressa. - Que tu es trempée… je vais me délecter de toi. Regarde mes doigts remplis de ta mouille… Il lecha ensuite ses doigts. Hum ta mouille est exquise, divine. Un si bon nectar. Je veux te voir dégouillanante. C’est là qu’il me relacha, s’accroupit et commença à me fouiller la chatte. Je sentais ses doigts en prendre possession. Il voulait me rendre fontaine. Et il savait y faire. - Regarde moi quelle petite salope que tu fais. Tu ne sais pas te retenir hein ? regarde tout ce que tu as mis par terre… Tout est trempé. Dis moi ce que tu es ? - Je suis votre chienne, Monsieur. - Et que fais la chienne de Monsieur ? - Elle est à sa disposition, à son service, tout comme sa bouche, sa chatte et son cul qui ne demanda qu’à être utiliser. Monsieur. - C’est bien. On va continuer ton éducation anale. Je n’ai aucune envie d’honorer ta petite chatte avec ma queue. Tu ne le mérites pas. Remonte moi ta culotte ! et marche à quatre patte jusqu’à la table. Ensuite je veux que tu te cambres au dessus de la table du salon et que tu écartes tes fesses avec tes mains. Je remontais ainsi ma culotte et j’entrepris de marcher jusqu’à la table. J’avais la sensation que j’allais perdre le plug qu’il avait incéré dans mon petit fion, tellement j’étais trempée. Arrivée à la table, je me remettais debout. Je mis mes mains sur mes fesses avant de les écarter. Je sentis le tissu humide de ma culotte entre elles. - Ecarte moi bien tes jambes. Il s’approcha de moi puis me forca à mettre mon ventre contre la table. C’est là qu’il m’attacha les chevilles de part et d’autres aux pieds de la table. Ensuite il attache mes poignets ensemble et les attacha à l’avant. C’est là qu’il déchira ma culotte avec une telle force que j’en fus surprise. Il claqua ensuite mes fesses, les malaxa et s’amusa à les ouvrir et voir le plug qu’il avait placé. Il appuyait dessus, il passait aussi sa cuisse à hauteur de mon entrejambe. Je me sentais si chaude, prêt à être cueillie. Je n’opposais plus aucune résistance. - Je vais m’occuper de ton fion. Je vais l’élargir. Je vais enfoncer plusieurs doigts, je vais t’écarteler, de fouiller, te baiser peut être avec .. ou peut être avec ma main.. ou peut être avec ma queue. Je veux t’entendre dire que tu es une chienne en chaleur, que tu veux que je t’écartèle le fion pour qu’il soit aussi ouvert que ta chatte de putain. Il releva alors ma tête en tirant mes cheveux. Je sentais à nouveau son souffle. - Allez je t’écoute. - D’une voix, presque un murmure.. Monsieur, je veux être votre chienne que vous l’art de mettre en chaleur, je veux que vous m’écartelez mon fion afin qu’il soit ouvert comme ma chatte de putain. J’en serai honorée Monsieur. - Hum… tu es parfaite me murmurait il. IL jetta ensuite ma tête contre la table. Doucement, il sorta le plug de mon cul. Il regardait mon fion céder. Une fois enlevé, il regarda ce trou dans lequel il voulait se perdre. Il passa sa langue dessus puis commença a m’honorer avec sa bouche sur mon sexe également. Je me sentais complètement défaillir. Il introduisait savamment un premier doigt dans mon fion. - Oh c’est comme dans du beurre… Oh le second aussi… C’est là que de son autre main, il introduisit aussi deux autres doigts.. - Humm quatre doigts dans le cul de ma chienne. Il écartela alors mon fion. - Tu es encore bien étroite.. Il va falloir travailler tout ça. De là il me caressa tout doucement puis il commença à vouloir frayer un chemin avec sa main. J’étais effrayer. - Regarde comment tu te montres.. Montre moi comment tu as envie de ma main en toi, combien tu es faite pour ça. Je soupirais de désir, un fantasme, une envie, mais en suis-je capable ? Il commença par me fouiller, à tourner avec ses doigts jusqu’à en mettre 4… - On va voir si tu es capable de te faire baiser par mon poing, petite salope. - Mon dieu, quelle pute tu fais… Je me dandinais pour aller chercher ses doigts, à faire comme si on me baisait. La douleur était relativement saississante que je ne faisais plus la belle afin de trouver la bonne posture pour me faire baiser avec son poing. Il se faisait doux pour se frayer le passage. IL n’y arriva pas totalement, il ne força pas. IL ne voulait pas casser son petit jouet sexuel. - Regarde moi comme tu es trempée, ta mouille coule au sol. Supplie moi de te baiser maintenant. - Monsieur je vous en supplie, baisez- moi. Il retira alors la ceinture de mon cou et la passa sous mes hanches. Il me mit ensuite mon gag ball Il trempa sa queue avec ma mouille et me sodomisa sans ménagement. Il pris de part et d’autre la ceinture pour coller encore plus mes fesses et me prendre bien profondément comme une chienne le mérite. Je sentais son souffle saccadé, ses coups de queue me heurter. Il me baisa avec une telle violence. Des coups si forts, encore et encore. Il s’était déchainé. J’étais épuisé. Il jouit sur mes fesses. Il me laissa ainsi sa semence sur moi. J’étais les jambes écartées, attachées, muselée.. à subir les désirs de mon maitre. J’étais sa chienne, sa putain.. Il revint, me banda les yeux… J’étais épuisée.. Il vint tel un félin me murmurer à l’oreille - Ma douce panthère, je vais te détacher. C’est là qu’il me prit ensuite dans ses bras. Toujours les yeux bandés, il me fit marcher jusqu’à une pièce.. me demanda ensuite de lever ma jambe.. d’avancer.. IL m’avait préparé un bain. Je sentais la chaleur de ce bain me réchauffer. - Non, n’enlève pas le bandeau.. j’ai plein de surprises pour toi…
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Par : le 02/11/19
A écouter avec Beth Hart - Caught Out in the Rain… Et a la fin de l'histoire, pour redescendre Antony and the Johnsons : fistful of love.. Bonne lecture. Bien sur c'est une pure fiction… Le Bureau Le réveil sonne, je me réveille en sursaut. Je bondis, j’étais très en retard pour mon travail. A peine le temps d’une douche bien chaude, je me demandais quoi porter avec ce temps si tristounet. Je n’avais malheureusement pas le temps à la réflexion. J’enfilais un chemisier blanc et une jupe crayon noire, le tout avec des chaussures vernies à talons rouge. Vu le temps, je n’avais pas le choix que de mettre des collants et une lingerie des plus invisibles. J’ai la chance de mon responsable soit très sympa, car je savais que j’étais déjà en retard. Je jouais un peu de ma féminité pour camoufler mon léger retard. Un rouge à lèvre rouge pour égayer mon visage et me voilà partie. Quelle journée horrible, en plus d’être en retard, un bouchon se forme. Je sens que je vais passer un sale quart d’heure, vu que nous avons une présentation à faire.arr Je cours pour arriver à mon bureau, je suis quelque essouffler. A peine mon sac à main posé, je me précipite pour préparer le café que je fais comme chaque matin. J’arrive avec le plateau dans le bureau de mon responsable. C’est un homme très grand, blond et des yeux bleux qui vous transperce. J’avoue qu’en sa présence, je me sens toute chose. Il dégage cette attitude bienveillante. J’ouvre doucement la porte, la franchie avec mon plateau et la ferme avec une certaine familiarité avec mon derrière. Il était déjà là.. et il me toisa du regard avec un air contrarié. - C’est à cette heure ci que vous arrivez ? - Je suis désolée mais il y a eu un accident sur la route et.. - C’est bon ça suffit ! Nous devons avancer sur cette réunion, et pour le moment on ne peut pas dire que vous ayez été d’une aide précieuse. - Qu’avez-vous fait à ce document, je n’arrive même pas à l’ouvrir. Le rouge m’était monté au nez. -Puis je ? Il acquissa. C’est là qu’il recula son fauteuil pour me laisser prendre place devant lui. Je me penchais sur son ordinateur, lui offrant ainsi une certaine vue sur mon fessier. Au fond de moi cela me faisait plaisir et à la fois j’étais très intimidé par cette proximité. C’est alors qu’en voulant me retourner je fis tomber le café sur le sol. De là je sentis son regard encore plus sévère. - Je pense qu’il est grand temps de vous corriger, de corriger votre attitude desinvolte chère Mademoiselle. - Mais de quoi parlez vous ? - Je sais très bien à quel jeu vous jouez. Vos regards, votre posture, ce rouge à lèvre. Vous cherchez à provoquer. Maintenant vous devez assumer. - Pardon ? dis je presque offusquée. - Ne faites pas l’innocente effarouchée. J’étais relevé, le dos au bureau, face à lui. Il s’approcha de moi tout en me regardant droit dans les yeux. Je reculais.. reculais, mais pour ne pas aller trop loin. Je me sentie prise au piège. Je me retrouvais ainsi assise sur son bureau. - Vous allez me nettoyer cela immédiatement, avant que vous ne partiez ce soir nous aurons un entretien sur votre comportement. Dans ma tête, je ne savais pas quoi penser. Que voulait il ? Une fois les fichiers récupérés, il avait retrouvé ce petit sourire que j’aime voir. La journée passa à une vitesse entre les appels, les e mails et autres réunions. Je passais une dernière fois aux toilettes avant de partir. Mon cœur battait. Il m’avait convoqué pour un entretien. Tout le monde était parti. Il était 19h. Une journée bien longue. Je toquais à sa porte. - Entrez. - Voilà, j’allais partir, vous souhaitiez qu’on se parle. - Oui en effet. Venez ici. J’étais debout face à son bureau, lui assis. - Aimez vous les règles Mademoiselle Lane ? - Les règles ? - Oui, il semblerait que vous ayez quelques soucis avec le réglement. Vous êtes souvent en retard.. - C’est que.. je.. - Tssss, suffit de vos petites excuses avec votre air aguicheur. - Mettez vos deux mains sur le bureau et cambrez vous. - Je… mais… - Obeissez ou alors je pense que vous n’aimerez pas l’autre tournure de cet entretien. Vous ne voulez pas me décevoir ? Je me sentais un peu chipée par cela mais vu l’attirance que j’avais, je décidais de m’exécuter. - Penchez vous mieux que cela. Il se plaça juste derrière moi, je sentais presque son sexe se frotter à mon fessier. - Je vois que vous êtes dans de très bonne disposition très cher. - Il est temps de recevoir votre correction. - Relevez moi cette jupe sur votre taille. Je relevais avec un certain amusement ma jupe sur ma taille. - Un collant ? Il s’approcha de mon oreille et me susurra - Je vais vous baiser comme une bonne petite assistante doit être baisée. Je ne veux pas vous entendre. C’est alors qu’il déchira avec force mon collant, se saisit du ciseau de la table et coupa ma culotte. - Voilà qui est bien mieux. Il saisit dans sa poche un préservatif, Il passa sa main sur mes lèvres. - Je vois que tu es déjà bien mouillée. Une assistante se doit toujours d’être prête. puis sans aucun ménagement enfonça son gland dans ma chatte qui dégoulinait d’exictation. Il saisit ma queue de cheval. Il me chevauchait littéralement. IL me baisa comme on ne m’avait jamais baisé. Je ne savais même plus à quel saint me vouez tellement il me prenait avec force, vigueur. Puis je le sentis en train de se freiner. Il retira sa ceinture et la placa sous mon ventre. De là il me plaqua le ventre contre le bureau. Et m’assena d’une bonne fessée sur la fesse droite. - Dis moi que tu aimes être baisée ainsi ? - Oui.. Monsieur.. dis je rougissante. Je me dandinais en voulant plus.. - Demande moi de te prendre par le cul. - Monsieur, je vous en prie, prenez mon petit cul. C’est là qu’il était à l’entrée de mon petit orifice. Il était si serré. Il me doigta un peu pour pouvoir mouiller au mieux mon orifice. - Mais comme tu es mouillée , on voit que tu es faite pour le sexe. ¨Puis d’un seul coup il commenca à s’introduire en moi. Doucement, lentement tout en tirant sur ma queue de cheval.. toujours et encore. Un cri s’échappa. Il plaça sa main sur ma bouche. -Taie toi. Je ne veux rien entendre, Est-ce bien compris ? Hoche ta tête. Je hochais la tête. C’est alors qu’il pris les bouts de sa ceinture dans les mains et les rapprocha de lui pour mieux me prendre avec profondeur. Je sentais toute sa queue en moi. Il me possédait. - Pas un mot tu as compris petite chienne ? Je hochais la tête. Il me sodomisait avec une telle force, Je sentais sa queue rentrer et sortir, rentrer et sortir. Je sentais son corps claquer contre mes fesses. Ses couilles tapaient fortement. Je hurlais intérieurement. - Tu es vraiment bonne, tu es faite pour ça. Je n’en ai pas fini avec toi. Je vais te baiser de partout. Et crois moi tu vas encore prendre cher. C’est alors qu’il s’arretera. - Relève toi. - A genou. J en’ai pas besoin de te faire un dessin sur ce que j’attend de toi. A genou a ses pieds, je levais la tête. Il avait cet air grave. IL tenait dans sa main son sexe. - Allez viens la chercher. Tu en meurs d’envie. Ouvre ta bouche. C’est à ce moment là qu’il passa sa ceinture autours de mon cou et le serra assez fortement. Cela m’existait terriblement d’être son objet sexuele. Ma bouche était ouverte, prêt à l’honorer comme il se doit. - Sort moi ta petite langue, allez . J’hésitai.. Il serra davantage la ceinture puis me gifla. - Sort moi ta langue. Je veux que tu me lèches de partout, comme une chienne le doit à son Maitre. C’est alors qu’il me fit marcher à quatre patte jusqu’à son fauteuil dans lequel il s’agit. - Garde bien ta bouche ouverte et ta langue dehors. Il prie sa queue et s’amusa avec le bout de son gland sur ma langue. Il l’introduisait puis le sortait. Puis sans ménagement le poussa jusqu’au bout de ma gorge. IL commenca à me baiser rudement la bouche. - Je vais faire un comparatif pour la prochaine fois. Par quel trou commencer à baiser ma petite chienne. C’est alors qu’il stoppa net, sa queue dans ma bouche. Il me caressa en même temps les cheveux. J’avais du mal à tenir cette position, je commençais à baver de partout. Il recommença a me prendre par la bouche, très profondément. Il me tenait par la gorge comme pour mieux faire passer la pilulle. - Tu manques d’entrainement. Je vais faire en sorte que tu sois bonne à baiser de porter. Allez reste ta langue dehors. - Lèche moi les couilles et mon cul aussi. Je rechignais à faire cela, je ne voulais pas. C’est alors qu’il prie ma tête et me forca à m’occuper de ses couilles. Je les prenais en bouche, puis de ma main droite, je plaçais ma main sur queue pour le sucer. Je sentais son abandon. Son sexe était dur dans ma bouche. Je continuais à lui caresser la queue, je la lechais, je passai ma langue entre son sexe et son cul. Cette zone si sensible. HU je devinais qu’il aimait cela. Je plaçais un de mes doigts proche de son anus, pour le titiller. Faisait il partie de ses hommes qui aimait qu’on leur introduise un doigt ? - C’est alors qu’il me dit. Mets le. Et suce moi, lèche loi. J’entrepris ma tache avec sérieux. Je m’abandonnais tellement j’aimais sucer. A la fois être baisée de la bouche, tout comme avoir le contrôle de moment beaucoup plus suave et doux où chacun s’abandonne. Puis pour reprendre la main sur moi, il me bloqua à nouveau, sa queue transperçant ma bouche, rester ainsi immobile. De sa main il me caressait le visage, d’une telle douceur. - Mets toi sur le bureau. Je m’exécutais. C’est alors qu’il me fit mettre la tête en arrière. J’étais très excitée. - Continue ce que tu sais si bien faire petite suceuse. Tu es vraiment faite pour ça. Quelle plaisir à baiser une belle bouche. Il me pénétra profondément, mis sa main sur ma gorge, comme pour tout faire passer. - Je vais gaver ta bouche de ma queue comme on gave une oie pour Noel. Tu vas être farcie de partout. Dis moi que tu veux cela. C’est alors qu’il prie ma tête dans sa main . J’étais son instrument pour sa queue. Il me baisait la bouche avec une telle frénésie que je n’arrivais pas à reprendre mon souffle. Il déboutonait rapidement quelques boutons de mon chemisier. Il entreprit de faire sortir mon sein droit de mon soutien gorge. Puis le second. IL prie mes deux globes dans ses mains tout en les serrant avec vigueur. J’étais à son service pour le satisfaire. Quand tout un coup, il se déchargeait sur mes seins tachant par la même occasion mon chemisier. Il se retira. - Reste comme ca que je t’admire ainsi souillée. Il caressa mon visage puis au creux de mon oreille me demanda. - Alors, cela te plait d’être ma chienne ? Timide je souris. - Alors dit le moi que tu aimes être ma petite chienne. - Oui Monsieur j’aime être votre petite chienne. Hum… Je vais te récompenser. Tu le mérites. Tu es une très bonne assistante. C’est alors qu’il me tira par les chanches pour me mettre mon cul au bord du bureau. - Ecarte tes jambes. - Hum que tu es trempée. J’adore cela. Je vois que d’être traitée ainsi te met dans tous tes émois. - Je vais m’occuper de toi.. Je vais m’assurer que tu sois toujours aussi ouverte les prochaines fois que je te baiserai. Je sens que je vais aimer m’amuser à tester le degré d’ouverture de ta petite chatte, de ton petit fion et de ta bouche. C’est alors qu’il posa sa bouche sur mon sexe. Je me dandinais. Il jouait avec mon clitoris. Je retenais mon souffle, je me cambrai. J’avais envie de sentir quelque choses aussi bien dans ma chatte que dans mon cul. Je défaillais. D’où me venais cette envie d’être remplie de partout… C’est alors qu’il commençait par mettre un de ses doigts en moi tout en continuant à me lécher. Je soupirai.. J’en voulais plus. Il jouait avec, à le mettre bien profondément dans ma chatte. C’est alors qu’il en mis un second.. - C’est ça que tu veux petite gourmande. Je hochais de la tête. Puis il enfonça un troisième. - Petite trainée… Ses mouvements de va et vient était si fort.. - Je vois que ma petite chienne aime tout ce qui lui sert à être défoncée.. ma queue.. mes doigts.. Je sens qu’elle en demande toujours plus… C’est alors qu’il en enfonça un quatrième. Je me dandinais encore plus, je mouillais encore plus. J’étais en transe. SA voix m’excitait au plus point. Être sa chienne, sa putain me faisait complement mouillée. - La prochaine je pense que je pourrais te baiser avec ma main. - Hum.. Je vois que cette idée te plait ? regarde moi comme tu mouilles… Nous avons plein de choses à découvrir. Petite dépravée. Je vais m’occuper de te faire perdre toute ta vertue de jeune femme bien élevée… Ainsi tout en me léchant, me doigtant et avec un certain savoir faire, il me fit jouir avec une telle intensité.. Les larmes de plaisir coulaient sur ma joue. Je le voyais, le regard grave sur moi. Il semblait hypnotiser. Il caressa ma joue. Il me releva e - Deshabille toi. Une fois nue, il cajola. Sa chaleur me réchauffa. Puis il prit son imper, le mit sur moi. - Tu me le rameneras demain. A partir de maintenant, interdiction de venir en collant au bureau…. Il me sourit, me serra dans ses bras et me raccompagna jusqu'à ma voiture en parfait gentleman
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Par : le 23/08/17
Pour vous mettre dans l’ambiance.. Monsieur : https://www.youtube.com/watch?v=NLzy84_TM58 L’automne approche. La nature se pare de couleurs féeriques : d’or, de rouge sang, de vert… Je suis allongée chez moi, les fenêtres sont ouvertes, les volets fermés. Le vent caresse mon visage. Je m’enfouis dans les oreillers et je me suis emmitouflée dans la couette. Dehors l’orage gronde. La pluie frappe sur le velux. Mon cœur palpite. J’adore cette atmosphère faite de tension et de sérénité. Au final cela me berce. Je me réveille en sursaut. Je devine une ombre sur moi. J’ai tellement envie de crier que rien ne sort. Je sens une main qui s’abat sur ma bouche et un couteau sous ma gorge. - Ne bouge pas ma belle. Si tu es sage et que tu écoutes, tout ira bien. Comprends -tu cela ? Ma tête hoche machinalement un oui. Mon regard est apeuré. L’homme porte un masque noir, il est habillé de noir. Il m’attache solidement avec du scotch les mains et il fait de même avec ma bouche. Puis il m’embrasse avec violence. Il me sort du lit. Je suis nue. Je me sens honteuse dans cette tenue. Il prend mon peignoir situé à côté de mon lit. Il m’ordonne de le mettre. Sans ménagement il me pousse et me plaque contre le mur. Je vois son regard sombre plonger dans mes yeux. Il balade le couteau sur ma poitrine. Je me fais naturellement docile. Il m’empoigne, nous descendons les escaliers. Il me pousse hors de chez moi. Je suis pied nu. Je sens le sol mouillé sur mes pieds et la pluie s’abattre sur mon visage. Je vois ce van garé non loin de chez moi à l’abri des regards. Il me pousse à l’arrière du véhicule. Il n’y a aucune fenêtre. Le sol est recouvert d’une sorte de tapis. Tout au fond de ce van, je vois une chaine et au bout un collier. Je voudrais me débattre mais il me tient fermement par le bras. Il me jète au sol et m’enchaine avec ce collier. Il le referme avec un cadenas qu’il met dans sa poche. Il m’enchaine aussi les pieds. Il me met une cagoule sur le visage et me recouvre d’une couverture. J’entend les portes se refermer. Le van démarre. Plein de questions dans ma tête, que va-t-il se passer ? A bout de nerf, fatiguée. Je m’endors, quand le van s’arrête. Je l’entend monter et se saisir de mon bras pour me relever. Il enlève la chaine retenant mon collier. - Avance. A partir de maintenant, tu seras une bonne petite chienne. Je vais t’éduquer en tant que telle. Si tu n’es pas sage tu seras punie, si tu ne fais pas d’effort tu seras punie, si tu n’es pas assez rapide à mon goût, tu seras punie. Je marche pied nu, je sens le claquetis de chaines à mes pieds. Je marche avec difficulté. Le sol est froid. Il me tient très court. Je sens que ma difficulté à marcher l’excite. Je ne sais pas où nous sommes. Une porte s’ouvre, puis nous descendons des escaliers. Ainsi privée de ma vue et entravée, je sais que je ne peux pas fuir. Là il déchire avec le couteau mon peignoir. Je me retrouve nue. Je frisonne. - A genou, tout de suite. Comme je ne suis pas assez rapide pour lui, il me pousse encore plus rapidement sur le sol. - Voila où est ta place. A mes pieds petite chienne. Il enlève la cagoule qu’il m’a mise. La lumière m’aveugle. Je ne réalise pas où je suis. Tout est encore flou. Il s’amuse de cet état. Quand je vois une cage… Il retira d’un coup net sur le scotch, caressa mes lèvres et m’embrassa. Il me tire par la laisse et m’invite à m’y m’installer dedans. Je rechigne à m’y rendre. Alors il se saisit du martinet, et un coup s’abat si fortement sur ma croupe que j’accelère le pas pour m’y rendre. - Il te fallait plus de motivation à ce que je vois. Je passe mes mains à travers ma cage dorée. Il aime voir mes mains sur ces barreaux où seul lui détient la clé. Il vaque à ses occupations et me laisse nue. Mon corps frissonne par les émotions que je suis en train de vivre. Je meurs de soif. Au sol une gamelle remplie d’eau.. Vais-je lui donner ce plaisir ? Ma gorge est si sèche que je ne peux m’y résoudre. Je lape l’eau dans ma gamelle. Me voilà en chienne comme il aime. Il s’approche de moi avec une bassine d’eau. - Donne moi tes mains. Je les passe à travers les barreaux. Il me lave mes mains. - Puis il me demande de lui donner un pied, puis l’autre pour les nettoyer. Je veux que tu sois propre pour dormir. Demain je m’occupe de tes orifices. Cela me fait frémir. Il ferma les rideaux autours de ma cage et se coucha juste au dessus dans son lit. Enchainée, prisonnière, je tentai de trouver le repos. Puis il entre-ouvrit les rideaux et m’observa. Il aimait voir mon regard apeuré et résolu. Il ouvrit ma cage et m’ordonna de toujours rester à quatre pattes. Je ne sentais plus trop mes jambes. Je voulais marcher. Il me conduisit aux toilettes afin que je puisse me soulager. Ce fût un des rares moments d’intimité où je me retrouvais avec moi-même. Il prenait le contrôle sur moi. Puis tout commença. Il m’attira à la salle de bain. Il retira mes chaines et mon collier. - Lave- toi et brosse toi les dents. Il aimait m’observer, tous mes faits et gestes. Il prenait plaisir à voir comment je m’occupais de moi. Sortant de ma douche, il me demanda de me mettre à quatre pattes sur une serviette qu’il avait mis au sol. - Tu vois ma petite chienne royale, je prend soin de toi. Il me secha et replaça mes chaines et mon collier. Là Il plaça un doigt dans mon petit trou du cul. Je poussais un cri. Pour continuer… https://www.youtube.com/watch?v=9x3meY7qKO0 D’un seul coup, il tira sur mes cheveux pour me relever. - Alors on n’ aime pas mes caresses ? - Si Monsieur.. Merci Monsieur. Il me claqua les fesses pour mon manque d’éducation. Il se mis à ma hauteur face à moi. Il me regarda : - Vois tu, petite pute, je veux que tu sois totalement propre pour ce que je vais t’offrir. - Je te veux calme et détendue. Il saisit une poire de lavement. Il s’assura que l’eau était à bonne température. Il la plaça dans mon cul et commença à me remplir… Il me nettoya jusqu’à ce que l’eau soit claire. Je me sentais humiliée de me faire ainsi lavée. - Voila qui est parfait… Rien ne vaut une petite chienne bien propre pour se faire enculer comme il se doit. J’étais rouge de honte. Il disposait de mon corps. Je voulais protester, mais il plaça un mord dans ma bouche. Il me replaça dans ma cage et referma le rideau. Il jouait avec mes nerfs, avec le temps. Il revena avec mon petit déjeuner. Il me fit manger dans ma cage un plat assez léger. Plus tard, Il me demanda de m’approcher des barreaux, d’ouvrir ma bouche et de sortir ma langue comme une bonne chienne en chaleur le ferait. - Ouvre bien grand ta bouche de salope. Je vais te baiser. Je ne veux pas sentir tes dents. A ma grande surprise je m’exécutais. Il sentait son sexe grossir dans ma bouche, butter contre ma gorge. Il travaille à ce que je devienne une bonne chienne suceuse. - Allons te faire belle. Il me sortit de ma cage. - debout ! Il tourna autours de moi. Je baissai le regard. Droite, la poitrine redressée, il prit mes seins dans ses mains et les malaxa. Je souris. Il me gifla, tira mes cheveux en arrière. Je sentai ses crocs dans mon cou. Je sentais son parfum. Il me rendait folle de désir. Là il entreprit de me bonder. Il aime voir les cordes comprimées mes seins, m’empêcher de me mouvoir complètement, de tendre une corde sur mon sexe. Mes mains furent attachées dans le dos. Il me mis sur le lit, lia mes cuisses à mes jambes. Et me laissa ainsi sur son lit, les fesses relevées telle une putain prête à se faire prendre, impossible de pouvoir me mouvoir. - Tu es une vilaine petite chienne. Pour ça tu vas être punie. - Oui Monsieur, je vous remercie de me traiter ainsi. Il me caressa avec les lanières du martinet, puis mis un coup sur mon dos.. Je râlais, alors il continua un second sur mes fesses. Il aima me voir soupirer, bouger pour essayer d’éviter les coups, il aimait me corriger, me remettre dans le droit chemin. - Voilà des fesses bien rouges comme je les aime. Puis Il se mit face à moi, il s’agenouilla et me regarda droit dans les yeux. Il mis un gant. Il vit mes yeux s’agrandir. - Est-ce que tout ceci va rentrer ? Je voulais me débattre. - Il te faut te calmer, si tu ne veux avoir mal. Là, il me caressa le visage, le dos. Je sentis sa langue s’abattre sur mon clitoris. - Hum, comme tu mouilles petite putain. Il titilla mon clitoris, l’aspira tout en mettant deux doigts dans ma chatte. Cette caresse me fit monter au plafond tellement c’était bon. Puis tout en continuant il mit un doigt ganté dans mon cul. Je me pus retenir un cri de plaisir. Puis il continua et délaissa ma chatte. Il introduisit un second doigts. - Hum ton fion est bien serré mais je compte bien en venir à bout. Et l’élargir pour qu’il soit autant accueillant que ta chatte, petite salope. Là il fit des va et vient. Je sentais mon fion douloureux céder à la pression. Il en mis un troisième. Il prit son temps. Il tourna ses doigts, rajouta du lubrifiant… - Un quatrième pour ma salope. Il me fouilla. J’entendais le son de sa satisfaction. J’avais mal, c’était très douloureux. Je sais qu’il veut y mettre son poing. J’en ai toujours rêvé, cela m’excite mais la douleur est là. Il continue à me caresser le clitoris.. Il me fouille le cul, si profondement. - Eh bien petite salope, on y arrivera, ne t’inquiète pas. Nous avons tout le temps. Puis il retira ses doigts. IL me fit sucer un gode. Il le plaça dans mon cul. Il me libéra les jambes, les bras et je me retrouvais à nouveau dans ma cage. Un peu plus tard, il revient. Mes mains tenaient les barreaux. Je le regardais droit dans les yeux en pure provocation. Il me regarda avec son regard bleu. - Place moi ton cul au bord. - Plus vite. Il mit sa queue dans ma chatte et me bourra si fortement. Chaque coup était si fort, si bon. - Tu n’es qu’une petite putain. - Oui monsieur. Puis il éjacula sur mes fesses à travers la cage. - Ne bouge pas ! Il m’observa le cul avec sa semence. - Quelle bonne petite chienne, c’est tellement bon de te baiser. Puis il m’essuya le cul. Le week end ne faisait que commencer…
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Par : le 23/08/17
https://www.youtube.com/watch?v=E3VImQbeOsY Je me réveille dans une pièce sombre, humide. Ma mémoire me fait défaut. Ma tête me fait mal, mes idées ne sont pas claires. Je suis assise sur un banc en métal froid. La lumière froide au plafond clignote provoquant un stress. Je pose un regard sur moi. Je porte une chemise blanche avec des sous vêtements en coton. Je me lève pour ouvrir la porte. Elle est fermée. Je regarde à travers cette sorte de hublot pour voir où je suis. La tension monte. Je crie : « Est-ce qu’il y a quelqu’un ? ». Je ne reçois aucune réponse. Je tourne en rond dans cette pièce. Quand je vois des yeux me regarder à travers ce hublot. La clanche s’abaisse. - Bonjour Sujet 11. Je regarde ces trois personnes pénétrant dans cette pièce. Ils portent des blouses blanches avec un masque sur le visage. Je ne peux que deviner leurs regards. Leurs voix sont graves, ne laissant filtrer aucune émotion. - Qui êtes-vous ? pourquoi suis-je là ? Je ne reçois aucune réponse. Deux des hommes s’approchent de moi. L’un me maintient fermement par les bras, tandis que l’autre arrive avec une camisole. Je me débats de toutes mes forces comme une furie. Mais en vain, ils sont bien trop fort. Je suis épuisée de lutter. Dois- je me résigner ? L’homme au regard glacial s’approche de moi, plonge son regard dans le mien. Il me relève le menton avec sa main. - Sujet 11, êtes- vous prête à vous laisser faire ? vous n’avez aucun échappatoire. Résignée, je baisse les yeux et ma tête. Je sais que je ne peux lutter. Ils me sortent de la pièce et me jette sans ménagement dans une pièce toute capitonnée. Je devine que je suis dans un hôpital. Je suis prisonnière sans savoir comment je suis arrivée ici, ce qu’on attend de moi. Je m’endors ainsi, complètement immobilisée, à la merci de ces personnes. Je me réveille en espérant que ceci n’est qu’un mauvais rêve. Je me sens observée. Je vois alors des caméras me regarder. Je crie. - Mais qu’attendez vous de moi ?!!!! Ca vous plait de m’épier ainsi ? Espèce de pervers. Deux hommes pénètrent rapidement dans cette pièce et me tire de là. Me tenant de part et d’autres par les bras, je ne peux que suivre le ryhtme. Nous pénétrons dans une pièce d’un blanc immaculé. Il me plaque contre un mur. - Ne bouge pas. Toujours ces regards sombres et ces masques. Ils m’enlève ma camisole. - Enlève tes vêtements Sujet 11 J’ai tellement envie de ne pas obéïr mais à quoi bon. Quand soudain je sens des jets d’eau sur moi. Un des hommes me tend un savon. - Lave toi ! Je m’empare du savon au sol. Je suis nue. Ils peuvent alors regarder mes seins s’être dressés au contact de l’eau, regarder mes fesses, mon corps. Je me sens humiliée, exhibée. L’eau s’arrête, l’eau goutte de mes cheveux pour s’abattre au sol. Quand l’homme au regard bleu fait son apparition. Il s’approche de moi. - Que me voulez-vous ? redis je encore une fois. - Sujet 11, je ne t’ai pas autorisé à parler. - Mais de quoi parlez- vous ?. Je suis ici contre mon gré. Là il demanda à ses deux assistants de me tenir les bras. Il avait dans la main un collier en métal avec une boucle à l’avant.. Il me le passa autour du cou. Puis il fit de même avec mes poignets, des bracelets en métal, et ensuite avec mes pieds. Je tremble, j’ai peur. - Ne t’inquiète pas sujet 11. Il ne va rien t’arriver si ce n’est que de belles choses. Tu es destinée à servir au plaisir de ton Maître. Je suis déconcertée. - Nous allons procéder à quelques examens. Je te conseille vivement de ne faire aucune résistance. Accepte à présent ta nouvelle condition, Sujet 11. - Mais arrêtez de m’appeler ainsi ! https://www.youtube.com/watch?v=hCpAdYrzlW8 Là il me saisit la gorge et serra. - Ce n’est pas toi qui décide comment on t’appelle. Tu es le sujet 11. J’excuse ton écart puisque tu ne connais pas toutes les règles. A partir de maintenant, toute forme de protestation, de rébellion sera sanctionnée. Puis il me gifla. - Est-ce bien clair, sujet 11 ? - Oui ça l’est. Il me re-gifla une seconde fois tout en me regardant dans les yeux. Je le regardai, interdite, je ne comprenais pas.. - Oui Monsieur est la réponse que j’attend. Tout en baisant ma tête et les yeux « Oui … Monsieur » dis- je à voix basse, résignée. - Emmenez là dans la chambre des examens afin qu’on vérifie sa vulve et son anus. Nous devons inspecter chacune des parties de son corps. D’un seul coup je frémis. Sans force, on me conduisit dans une autre pièce. Je levais les yeux, voyant les lumières défilées au dessus de ma tête. Là on m’installa dans une grande pièce sur un tabouret. On enchaina mes pieds à ce dernier et mes mains furent attachés au dessus de ma tête à une poulie qui descendait du plafond.. Je ne pouvais m’échapper. Cet homme, au regard bleu s’y trouvait ainsi que d’autres personnes. - Je vous présente le sujet 11. Elle vient juste d’arriver. Nous l’avons raflée dans la rue il y a 2 nuits. Cette femelle dispose de beaux attribus. Nous devons vérifier qu’elle est en bonne santé. Nous devons nous assurer que chacun de ses orifices est sain. Il fit signe à son assistant sur sa droite. Puis il s’avança à moi. - Ouvre ta bouche sujet 11. Je montrai réticence. - Ne fais pas de manière. Tu as deux options : soit la manière douce, soit avec plus de souffrance. C’est à toi de choisir. J’ouvrai ainsi ma bouche. Puis l’assistant me posa un écarteur bucal. - Voilà qui est bien, plus de protestation. - Je vous propose que nous vérifions la qualité de cette bouche. Tour à tour, chacun des hommes sortit son sexe. Le premier le planta sans ménagement dans ma bouche. Je voyais de la bave couler de ma bouche. J’étais si honteuse. Je devinais ce qui m’attendait dans ce lieu. J’allais devenir une putain à baiser. Un second puis un troisième me baisa la bouche. Quand le dernier stoppa, l’homme au regard bleu s’approcha de moi. - Quel bon sujet d’étude… sujet 11. - Ta bouche semble très accueillante d’après notre étude. Il me caressa le visage du revers de la main. Il s’approcha de mon oreille. - Ca ne fait que commencer, sujet 11. Tu vas te faire baiser de partout, tu m’entends. De partout. Tu es l’objet sexuel de ton Maître. Tu te plieras à toutes les règles. Quand ton éducation sera terminée, tu nous quémanderas d’être traitée ainsi. Je le regardais avec une telle protestation, que je devinais un sourire sur son regard. Je ne voyais toujours pas son visage. Tous portait un masque. Tous me voyaient entière, nue. Eux semblaient anomynes. Puis il me regardait dans les yeux. Il pris dans chacune de ses mains mes seins. Il les caressa, en faisait le tour, les sous-pesa. Puis d’un seul coup pris mes tétons dans les mains et les pinca. Je poussai un cri tout en essayant de me défaire de ce supplice. - Hum voilà comme ils doivent pointer. Notez que le sujet 11 réagit parfaitement aux stimulis sur les tétons. C’est très prometteur. On me détacha les poignets, les bras. Toujours sous bonne garde des hommes, on m’avança vers une chaise gynécologique. Là je me débattais. Je refusais de subir ce que je devinais. Je ne leur laisserais pas ce plaisir. Je me débattais, mais comment lutter. Je voyais bien que l’homme au regard bleu s’amusait de tout cela. - Rien ne sert de se débattre, sujet 11. Ton examen gynécologique t’attend. Je ne pouvais rien dire, j’avais toujours cet écarteur dans ma bouche, et ma bave qui en sortait. On me força à m’asseoir sur le fauteuil. Un des hommes me tenaient les poignets au dessus de la tête, tandis qu’on m’attachait les jambes écartées sur cette table d’examen. Je sentais les gants claqués sur la main de l’homme au regard bleu. Il s’avança. Il regardait mon sexe. Il prit chacune de mes lèvres, les écarta, les pinca. - Hum.. voila qu’elle commence à mouiller. A noter que le sujet 11 réagit parfaitement aux stimulis de la vulve. Messieurs, je vous invite à découvrir l’examen du Sujet 11. Nous allons étudier si Sujet 11 est étroite ou non, ses capacités à dilater sa vulve et son anus. Vous pourrez bien sur toucher le sujet et passer aux travaux pratiques. - Speculum - Levez la tête de sujet 11. Il faut qu’elle comprenne ce qu’il va lui arriver. Il faut qu’elle soit calme. Il mit le spéculum devant mes yeux. - Sujet 11. Nous allons vous écarter la chatte. Nous voulons voir à l’intérieur si tout est en ordre. Nous ferons la même chose avec votre anus. Maintenant que tu sais ce qui t’attend. Nous ne voulons rien entendre. Je fermais les yeux. Je sentais le froid du métal à l’entrée de ma chatte. Puis je sentis le bec me pénétrer, puis tout doucement je sentais qu’elle s’écartait, s’écartait. Ma respiration s’accelerait, ma poitrine se gonflait. - Messieurs je vous invite a regarder l’anatomie de Sujet 11. Je les voyais s’amuser à rentrer des doigts dans ma chatte. - Sujet 11 est belle ainsi, ne trouvez-vous pas avec sa vulve écartée. Puis, il mis un doigt en même temps dans mon cul. Je sursautais. - Sujet 11 a le cul bien serré. Nous allons procéder à l’écartement de son anus. Ainsi il me pénétrait l’anus, sans que je ne puisse rien dire. J’étais le Sujet 11. C’était assez douloureux de se faire écarteler ainsi le cul. Il n’insista pas trop. Il se leva et regarda ce qu’il avait fait. J’avais à la fois la chatte et le cul ouverts à leur exploration. - Messieurs, n’hésitez pas à inspecter Sujet 11. Elle est maintenant docile. Puis tout doucement, il retira le speculum anal.. Puis vaginal. - Je suis fier de toi Sujet 11. Merci pour ta coopération. Quel plaisir que de te regarder ainsi, sans défense avec tes trous écartés. Ta bouche, ta chatte, ton fion. Quelle belle prise nous avons fait avec toi. Il retira aussi mon écarteur de bouche. Ma machoire me faisait mal. Il se plaça derrière moi et me massa les seins. https://www.youtube.com/watch?v=6BOgIillznQ - Vous, caressez lui la chatte. Un de ses assistants caressa mon clitoris pendant que lui me malaxait les seins. Alors sujet 11, n’est ce pas agréable comme caresse ? Il nous faut désormais travailler un peu les seins de sujet 11. - Apportez moi la pompe à seins. Nous allons faire gonfler les tétons de sujet 11. Je sentais dans sa voix une certaine frénésie. D’abord il plaça une première pompe sur mon seins gauche, puis il aspira, aspira. Il me forcait à regarder le spectacle de mon téton se faire aspirer. Puis il boucha cette pompe et renouvela l’opération sur l’autre téton. Puis il me les laissa, pendant que son assistant me léchait la chatte. Je vous autorise, assistant, à la doigter. - Nous devons nous assurez sur le sujet 11, mouille correctement. Il introduisit deux doigts dans ma chatte, je le sentais faire des aller et viens, très fortement, très vite. Je ne pouvais me résoudre à l’excitation qui s’emparait de moi. L’assistant dit : - Sujet 11 est un vrai puits à mouille Docteur. Je pense que nous pouvons stimuler davantage pour voir jusqu’au Sujet 11 peut aller. - Je vous autorise à la doigter davantage et à insérer davantage. Une chatte comme celle-ci est faite pour être bourrée et baisée. Puis il inséra un quatrième doigt. Il faisait des va et vient si rapide que je n’arrivais plus à me retenir. Il stimulait tellement mon point G que j’éjaculais de partout. Un liquide s’échappa de ma chatte sans que je puisse le contrôler. - C’est bien sujet 11. Tu es une belle putain. Continuez ainsi à la doigter. Je criai de plaisir, je n’arrivais plus à me retenir. - Je pense que sujet 11 est mûre pour la suite. Fistez la ! - Non non !! criais je. - Doucement, nous allons le faire calmement. Toute bonne chienne doit être accueillante, remplie, baisée. Je sentis l’assistant mettre plus de lubrifiant et d’essayer d’introduire son cinquième doigt. J’avais mal, je n’arrivais pas à supporter cela. Il se calma dans les va et vient et y aller avec douceur. Docteur, ma main est peut etre trop grande pour sa chatte. - J’ai une idée dit l’homme au yeux bleu. Allons chercher Sujet 2. Quelques minutes après, je vis une femme arrive. Elle portait des talons, et une blouse d’infirmière. - Sujet 2, pouvez- vous vous occuper de fister la chatte de sujet 11. Nous rencontrons quelques difficultés. Cette dernière sourit à cette idée. Elle s’approcha de moi, et mis des gants. Elle s’assit sur un tabouret face à mon sexe. Je ne voyais que le haut de sa tête. Elle commença par introduire un doigt et de me caresser le clitoris de l’autre. Le Docteur libéra mes seins et les caressa. - Tout doux sujet 11. Tu vas réussir à engloutir cette main. Puis il me baillonna. Il me maintena le cou pour le forcer à le regarder. Elle mettait son quatrième doigt, puis je sentais le cinquième arrivé. Sa main étaient assez petite. Tout doucement, elle faisait quelques va et vient. Elle était en train de me baiser avec son poing. - Quelle chienne, Sujet 11. Quel beau spectacle d’étude tu nous offres. Nous allons faire de toi une belle putain. Le sais tu. Objet de plaisir, objet sexuel soumis à mon désir. J’étais épuisée par ce traitement. Je ne pouvais que me laisser faire et reconnaitre que tout ceci m’avait fait complètement mouillé. Ma chatte dégouillait de mouille. Avait il raison ? Suis-je une chienne ? une putain ? Une fois la fouille terminée, on me détacha. On me leva et on plaqua mon ventre contre la banc gynécologique, on abaissa le dossier pour qu’il soit à plat. On m’attacha le ventre contre - Messieurs, sujet 11 attend de se faire baiser. Ayant de l’indulgence pour sa chatte. Cela ne sera que par le fion. Baisez la profondement, avec vigueur comme elle le mérite. Vous pouvez en disposer comme bon vous semble. Sa bouche est également à votre disposition. Sans que je puisse ne rien dire, un homme s’empara de ma bouche. Il me tenait la tête de ses deux mains. Il me baisait tellement fort que j’avais presque du mal à respirer, à déglutir. En même temps je sentais une queue à l’orée de mon fion. Je ne pouvais voir qui allait me posséder. - Sujet 11 réclame encore nos queues. Je refusais de la tête. Quand je sentis un coup s’abattre sur mes fesses. - Sujet 2, en voila une belle initiative. - Oui je le reconnais, elle n’est guère obéissante. Elle manque encore d’éducation cette petite -chienne. M’autorisez vous également à la baiser ? - Mais avec grand plaisir. J’aime voir Sujet 11 remplie et par vous sujet 2 ce sera un réel plaisir à regarder. Elle s’empara d’un gode ceinture. Elle s’approcha de ma bouche. - Ouvre ta bouche de petite pute insolente. Je refusais de subir cela. Quand je sentis une claque s’abattre sur mes fesses. Je lachais un cri. L’homme aux yeux bleus arriva et me chuchotta - Sujet 11, soit docile, soit ma fierté. J’ouvris ma bouche et je sucais le code. Elle le tenait par la main. Elle me caressait les cheveux. - Voila qui est mieux. Elle se retira. On m’écarta les fesses puis elle commença à introduire le gode dans mon petit fion. Elle me baisa pire qu’un homme aurait pu me baiser. L’homme au yeux bleu s’empara de ma bouche. Elle me claquait les fesses - Quelle belle putain Sujet 11. C’est un plaisir de baiser un fion si accueillant. - L’homme aux yeux bleu se retira et vint éjaculer sur mes fesses. On me redressa, j’étais vidée, sans force. L’homme au yeux bleu me pris dans ses bras, releva ma tête. - Sujet 11, tu es une fierté. Je suis ravie d’avoir une chienne comme toi
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Par : le 20/08/17
Pour commencer, je vous invite à me lire avec les musiques qui seront proposées au fil de cette petite nouvelle https://www.youtube.com/watch?v=gIdOpzzjlXo Je vous attend sur le quai de la gare, habillée avec une robe rose avec un col bardot, cette dernière descend sous le genou. La hauteur de mes talons est vertigineuse, élançant ma taille. De quelle rame allez vous descendre ? Mon cœur palpite.. Je sens soudain une main se poser sur mon bras droit. - Ne vous retournez pas, me murmurez-vous à l’oreille. Avancez jusqu’à votre voiture sans vous retourner une seule fois. Vous me comprenez. Je marcherai derrière vous. Est-ce clair ? - Oui, Monsieur ça l’est. J’avance ainsi seule, me sentant observer, épier par votre regard. Je sens que vous me détaillez de la tête au pied. J’arrive à ma voiture. J’introduis la clef dans mon vieux roader vert anglais. Je vous devine derrière moi, je n’ose me retourner… Là vous plaquez mon corps contre la vitre du véhicule. Mon sac tombe de mes mains. - Ne bougez pas. Vous vous accroupissez. Je sens vos mains remonter tout doucement mes chevilles, mes jambes, franchir le tissu de ma robe et remonter mes cuisses. Vous approchez de mon oreille et me susurrez - Quelles jambes splendides, quelle peau douce et votre parfum, envoûtant. Voici vos affaires chère amie. - Allons voir si nos échanges feront de vous une bonne petite chienne, vous feront mienne. - J’acquièse de la tête. - Montez dans votre voiture. Vous refermez la portière et placer votre bagage dans le coffre. Quelques secondes après vous êtes face à moi côté passager. Nos regards s’entrecroisent, mes joues s’empourprent. Vous m’intimidez. J’en perds mes mots. Puis vous me souriez pour me détendre. C’est parti pour votre chambre d’hôte, située dans un quartier calme de Strasbourg. Je vous l’ai proposé, elle vous a intrigué, laissant libre court à votre imagination. Une chambre idéale pour lier des liens, des poutres verticales, horizontales, une tête de lit splendide.. Allons nous jouer.. ou pas ? Voilà près d’une semaine que mon sexe, mes seins sont gonflés par le désir. Vous m’avez envoutée. Comment va se passer cette soirée ? Nous arrivons à cette chambre d’hôte, nous prenons nos affaires respectives. Nous découvrons cette chambre qui nous coupe le souffle. Vous avez mis la barre haute pour cette première rencontre… Je décide d’aller me rafraichir quelques instants pour retrouver mes esprits. - Servons nous un verre, et mettons une bonne musique pour nous détendre. Je ne regrette pas d’avoir fait le chemin. Nous trinquons sur ces splendides fauteuils bleu roi. Le champagne est divin, les fraises et framboises succulentes. Je les amène à ma bouche avec délicatesse, j’entrouve mes lèvres et lentement je mange une fraise, je m’en délecte…pour vous provoquer. Vous souriez, et votre regard me dit que je vais peut- être le regretter plus tard. Le temps passe, il est temps pour moi de me changer pour notre restaurant. J’ai ramené deux robes pour vous laisser le choix de ce que j’allais porter. Cette attention vous plait. Vous me laissez tranquillement dans cette somptueuse salle de bain de princesse. Cette baignoire sur pattes de lion, ce grand miroir et cette chaise en noir et or dont le dossier est comme du corail.. C’est splendide. A votre tour vous vous changez, prenez le temps de vous rafraîchir.. En vous attendant je fais le tour de la chambre, puis je me rassois sagement. Je vous découvre terriblement élégant, terriblement séduisant. J’aime votre regard. Je suis séduite, mais nous le savons tous les deux que nous sommes séduits. Une tension s’est installée. Nous le savons, pas besoin de mot pour se le dire. Vous m’invitez à me lever pour y aller. Je me dirige pour ouvrir la porte. Là vous me bousculez contre. Vous saisissez mes poignets derrière mon dos. - Vous êtes somptueuse ce soir. Vous me libérez. Vous vous amusez de pousser mon excitation. Je n’arrive même plus à marcher correctement. Arrivée au restaurant commence une danse de séduction, de provocation. Nous apprécions notre repas mais vous et moi n’avons qu’une envie, quittez cette table. En regagnant la voiture, vous me tendez votre bras. Quel homme galant vous êtes. Je sais, je sens que mes moments de princesse vont s’arrêter mais vous seul détenez le moment où tout va basculer. Une fois sur le parking, vous m’aidez à sortir, me tendant votre main. Je vous regarde droit dans les yeux. Mon cœur palpite. Nous passons le porte de la chambre. Je suis toute tendue. Je prétends aller à la salle de bain pour me refaire une beauté. Puis vous arrivez brutalement. Vous me plaquez contre le lavabo. Je mets des mains de part et d’autre comme pour lutter. Vos pieds écartent mes jambes. - Ne bougez pas. J’ai rêvé toute la soirée de vous faire ceci… Vous montez ma robe sans ménagement sur mes fesses. Vous abaissez avec brutalité Ma culotte. Vous reculez et admirez mes fesses.. - Qu’elles sont blanches… - Cette culotte ne doit pas descendre. Elle doit rester à hauteur de vos genoux. - On dirait une petite pute qui attend de se faire baiser. Je frémis et je rougis à la fois. Puis vous pressez votre sexe contre celles-ci.. - Regardez ce que vous provoquez petite chienne. Vous tirez alors sur mes cheveux pour me redressez. Vous mettez sur ma gorge votre main, me maintenez fermement et me forcez à me regarder dans le miroir et vous regarder à travers lui. - Alors n’êtes-vous pas une petite chienne ? Ne répondant pas, une claque s’abat sur mon postérieur.. Puis une seconde. - Alors ? - Oui Monsieur. - Je n’ai pas bien compris. Il n’est pas compliqué de répondre « Oui Monsieur, je suis une petite chienne », - Oui monsieur je suis une petite chienne. Maintenant repoudrez vous le nez et faites vous présentable. Puis vous sortez. En sortant, je découvre l’ambiance tamisée quelques bougies allumées. Je vous vois assis sur ce fauteuil bleu - Avancez et mettez vous face à moi. - Maintenant, danser langoureusement pour moi et retirer moi cette robe qui m’empêche de vous admirez. Là, la culotte tombe au sol… Je vois que vous faîtes votre tête bougée de gauche à droite… - Vous n’êtes pas très docile ma chère. Je vais devoir vous punir, et vous le savez… Je danse avec une certaine pudeur mais aussi fierté. Je tiens à continuer à vous provoquer. Je n’ai pas rendu les armes, et vous en avez conscience. Vous découvrez ma lingerie, elle dévoile partiellement mes tétons. Un long collier de perles tombant jusqu’à ma poitrine, et mes seins décorés par des bijoux de peau font ressortir mes tétons.. Vous vous levez comme un félin. Je continue de danser. Vous arrivez à ma hauteur et prenez mes deux tétons dans vos mains. Vous tirez dessus. - Continuez de danser très chère.. Mes seins sont douloureux, je n’y arrive pas. - Je vois qu’il vous faut une motivation. - Vos poignets de suite ! devant vous. Là vous sortez de quoi les enchainer l’un à l’autre. Je me laisse faire. Obéissante. Puis, vous me bandez les yeux. Avec la privation de la vue et sur les talons mon équilibre est précaire. Vous me tenez. Puis d’un seul coup je sens mes bras se lever. Vous êtes en train de m’attacher à cette poutre horizontale avec une corde. Voilà qui est parfait. Tout à la disposition. Je sens une gifle arriver sur ma joue. Puis votre main de part et d’autre de ma bouche. Vous serez mienne ce soir, vous serez ma chienne, ma petite putain. Est-ce bien clair ? - Oui monsieur. De là vous passez votre main sur ma chatte, qui est trempée. - Regardez- moi cela une vraie petite chatte en chaleur. (pour poursuivre cette lecture https://www.youtube.com/watch?v=OsW9W61dsko) De là, vous commencez à faire votre œuvre. Vous me bondez les seins pour les faire ressortir comme vous les aimez. Je devine votre sourire. Vous m’attachez les cheveux… et me demandez d’ouvrir ma bouche. Là je sens une boule de métal fois. - Sucez ma chère. Montrez- moi vos talents de petite suceuse. Je m’exécute à cette affaire et je devine ce qui va se passer, impuissante. Vous passez ensuite cette boule sur ma chatte, et commencez à l’introduire dans mon petit cul bien serré. Je pousse un cri. - Je ne veux rien entendre. Subitement, vous tirez mes cheveux en arrière. Vous plantez vos crocs dans mon cou. Avec finesse, vous attachez le crochet anal à mes cheveux. Vous caressez mon corps, prenez mes fesses en main. Vous me donnez quelques coups de hanche. - Ouvrez votre bouche Vous faites couler du champagne dans ma bouche puis sur ma poitrine. Vous commencez à me lécher, à me caresser, à me maltraiter les seins, me claquer comme mes fesses, à me faire lécher vos doigts. - J’aime que vous rougissez, Mademoiselle. Je n’arrive pas à tenir en place, je lâche des soupirs. Quand je sens le cuir sur ma peau, celui de la cravache. Vous la passez sur ma bouche, elle descend mon cou, caresses mes seins.. puis s’attarde sur ma petite chatte. - Ecartez vous jambes. - Mieux que ça !!! J’ai du mal à tenir l’équilibre avec les talons, vous aimez que je ne sois pas à mon aise. Vous me tapotez sur mon sexe. - Vérifions votre excitation. Vous introduisez deux doigts sans ménagement dans ma chatte tout en me regardant dans les yeux. Puis vous jouez avec la corde de mon crochet anal me faisant gémir et râler. Une gifle s’abat sur ma joue. - Petite putain, je vais vous punir comme vous le méritez. Toute la semaine vous m’avez mis dans un de ces états. Vous me faites danser avec des claques, des coups de cravaches jusqu’à ce que je sois rouge comme vous l’aimez. Aternance de douceurs, de caresses, de coups. Vous me détachez la corde de mes cheveux et vous regardez avec délectation le crochet anal sortir de mon petit fion. Puis vous me libérer les mains. - A genoux. - Sans force, je m’exécute. - Vous mettez mon collier sans ménagement. Vous le serez très fortement que mes mains ont envie de s’en défaire. Vous les rejetez au sol en me demandant ce que sont ces manières. Puis vous tirez sur la laisse. - Avancez et suivez moi avec élegance. - Au pied. Vous vous asseyez, puis défaites mes cheveux, vous me caressez les cheveux, passer vos doigts sur mes lèvres. Ma tête se penche appréciant cette caresse des plus délicates. Vous aimez garder ma laisse courte et ferme. - Servez- moi un verre. - Je m’empare du champagne et de la coupe et je vous sers. - Savez vous que tout à l’heure vous m’avez provoqué en buvant votre champagne comme une petite princesse ? Vous me faîtes m’allonger sur vous. Mes fesses sur vos jambes. Vous reposez le verre sur mes fesses. Vous prenez votre temps. Vous approchez le verre de ma bouche, vous tirez fort sur la laisse. Maintenant je vous ordonne de le lécher dans cette coupe, comme une bonne chienne le fait. - Sortez votre langue et lapez. Vous n’en ratez pas une miette. Cela vous excite. Vous me faîtes descendre et me demander de venir entre vos jambes, de m’accroupir, les jambes écartées. Vous défaites votre pantalon. Agenouillez, à vos pieds, je vous regarde dans les yeux. - Vous savez ce qui vous reste à faire petite catin ? Avec la laisse, vous m’approchez de votre jambe, puis mettez ma tête en direction de votre queue. Je m’empare de votre sexe, je commence à le lécher tout d’abord, je vous regarde et met votre gland dans ma bouche, je l’aspire, je joue avec lui. Mes mains s’emparent de vos couilles, à quatre pattes entre vos jambes, me cambrant tout en vous suçant J’entend vos cris de plaisir et vos mots crus. Vous mettez vos mains sur ma tête pour la maintenir et bloquer votre sexe dans ma bouche, si chaude. Vous vous relevez, me tenez par la gorge et me baissez la bouche, rudement. J’en bave. Vous me tapotez même le visage avec votre queue, vous me giflez aussi. Vous me félicitez pour la bonne suceuse que je suis. Puis vous jouissez sur mes seins. - Dites-moi que vous êtes une putain. - Monsieur, je suis une putain. Vous m’attachez ensuite à cette poutre horizontale, les mains dans le dos, chaine courte, tout en me laissant au sol., les yeux bandés et baillonnée. Vous partez. Le temps passe… Je suis là à vous attendre. Soudain, j’entend le son de l’eau couler dans la baignoire. - Je vais vous laver. J’aime que vous soyez propre quand je vous utiliserai à nouveau. Vous m’enlevez une chaussure, puis l’autre. Vous me guidez jusqu’à la baignoire. La température de l’eau est exquise. Toujours les yeux bandés, vous êtes derrière moi. Vos mains saisissent mes globes et les serrer fortement, pour prendre ensuite mes tétons et les tirer. Puis vous commencez à me laver. Vos mains sont douces, elles parcourent tout mon corps. D’abord les pieds, les jambes puis les cuisses, mon dos et mes seins. - Relevez vous et mettez- vous à quatre pattes. - C’est ainsi qu’on lave une gentille chienne. Vos mains écartent mes fesses. Je me sens honteuse d’être ainsi. Vos mains passent sur mon sexe mettant quelques doigts dans ma petite chatte de salope. Vous lavez mes orifices. Vous aimez jouer avec le jet d’eau dessus. Vous me voyez me dandinez comme une petite chienne qui a envie de prendre son plaisir. Vous me faîtes sortir de l’eau et me séchez. Je trouve ce moment très érotique et sensuel. Vous me faites asseoir sur cette chaise. Vous attachez mes mains dans le dos. Il faut dire que le dossier de cette chaise est pratique. Puis ma cheville droite au pied droit de la chaise et de même avec l’autre pied. Vous enlevez mon bandeau. Vous me repeignez, me parfumez. Quand je découvre les pinces sur le rebord du lavabo, je trésaille. Vous me regardez droit dans les yeux. Vous prenez une pince et la mettez à hauteur de mes yeux. Ces derniers s’écarquillent. Vous prenez mon sein droit dans vos mains, et tirez sur le téton, et y mettez une première pince.. Je crie de douleur. Puis c’est au tour du second. - Que serait une belle putain sans ses bijoux. Il y renonça voyant que je ne pouvais les supporter. - Il vous manque votre maquillage. Vous prenez la bougie que vous aviez amené avec vous… Vous vous amusez à regarder les formes avec sa lumière, je ressens la chaleur de la flamme. Ma respiration s’accélère. Vous me caressez le visage avec une douceur puis faite basculer la cire sur mes cuisses. Assez haut pour que je m’habitue, puis sur mon ventre, sur mon mont de venus, sur mes seins. Puis vous me laissez ainsi, vous me baillonnée dans le noir. Je ne sais pas combien de temps je reste ainsi. Vous revenez. J’ai complètement perdu la notion du temps. Vous me détachez et nous sortons de la salle de bain. Là vous me poussez sur le lit, je me retrouve sur le dos. Vous me caressez tout en maintenant fermement les poignets. Je sens votre souffle dans le creux de mon cou. J’aime sentir vos doigts sur mon cou, cette étreinte si érotique. D’un coup net, vous me dites de ne plus bouger. Vous m’immobilisez les mains et les pieds pour que chacun de mes trous soient à offert. Vous en profitez pour me claquer les fesses à nouveau. Là vous mettez vos doigts dans ma bouche, puis avec ma mouille, vous insérez un doigt dans mon cul, déjà dilaté par le crochet anal et vous commencez à me fouiller sans ménagement. Je mouille encore plus. Puis me voyant si dégoulinante, vous ne pouvez vous empêcher de me doigter aussi ma petite chatte. - Alors petite chienne, on aime se faire fouiller ? Dilater ? Baiser ? - Oui Monsieur. Je vois un sourire se dessiner sur vos lèvres. Là vous me giflez, me tenez par le cou, vous le serrez.. le serrez. - Suppliez moi de vous enculer comme une putain. - Monsieur, je vous en supplie, baisez moi, enculez moi comme la putain que je suis. Une fois votre queue introduite, vous me pillonnez, me frappez les seins, vous m’insultez. Vous me retournez , me placez le cul au bord du lit pour me prendre en levrette. Puis vous écartez mes fesses pour admirer votre queue sortir de mon cul et voir votre œuvre, pour mieux replonger dedans. Vous me claquez les fesses, vous me chevauchez comme une pouliche. Vous tirez sur mes cheveux, puis pour mieux me prendre profondement, vous me relevez par le cou.. Je suis votre poupée. - Quelle putain vous faîtes ! Je vous prendre plaisir à vous éduquer à vous montrer où est votre place de chienne. Vous caressez mon clitoris en même temps. Je sens une vague arriver et je vous l’indique. - Monsieur, je suis sur le point de jouir. - Je vous l’interdis !!! Vous vous arrêtez. Vous commencez une fouille de ma chatte avec plusieurs doigts tout en goutant à ma chatte. Vous entamez des va et vient à une telle vitesse qu’un liquide jailli de ma chatte sans que je puisse le controler. - Une femme fontaine.. hummm.. Petite salope. Vous êtes une vraie chienne, baiser à utiliser. Je reste interdite, honteuse sur le lit. Vous me détachez. Je suis épuisée. Vous me prenez dans vos bras. Reposez- vous quelques instants, puis allez- vous préparer pour la nuit. J’exige que vous portez votre collier. Je reviens de la salle de bain, avec comme seule vêtement un deshabillé en soie. - Enlevez moi ça, je vous veux nue à mes côtés. - . Vous m’enchainez les jambes et me menottez les bras à la tête de lit…
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Par : le 25/06/17
Je vous invite pour cette nouvelle à écouter : https://www.youtube.com/watch?v=Np_Y740aReI J Je caresse mes pieds contre les draps de satin de mon lit. Je suis emprise d'un désir qui me saisit le ventre, à me faire perdre l'esprit. Il me hante Je ferme les yeux, tout en me cambrant, j'ai envie de sentir ses mains sur mon corps, sur mon sexe, me serrer la gorge et qu'il m'oblige à le regarder et qu'il me fasse ressentir cette chienne qui est en moi. Mes mains s'aventurent sur mon sexe lisse. Voila plusieurs jours que je suis si trempée, comme une fontaine. Mes tétons se dressent fièrement. Mes doigts effleurent ma peau frissonnante, comme si c'était les siens. Ils saisissent mes seins avec rudesse me surprenant... Arrivant dans le couloir de son immeuble, je suis habillée d'une façon provocante. Durant tout le trajet qui me mena à lui, j'ai éxecuté ses ordres, celui de ne jamais croisé les jambes, de les entre-ouvrir, et de remonter ma robe légèrement sur mes cuisses. Je lui appartiens et cela me rend terriblement humide. C'est comme si je sentais ses mains remontées ma robe. Je me tortille de désir sur le fauteuil de mon train. C'est comme si il me parlait avec télépathie.. "Bonne petite chienne". Je pénètre son antre. Je ne dis plus un seul mot. Je n'écoute que sa voix. Il m'ôte la vue.. Ma respiration s'accélère. Que va t il se passer? Je suis là de mon plein gré avec cette peur de ne pas savoir ce qui va se produire. Je sens son parfum atteindre mes narines, je suis envoutée à l'idée de lui obéir, d'être sa poupée. Je devine au son de ses pas qu'il me scrute. D'un seul coup je sursaute, il empoigne mes cheveux et me murmure à l'oreille. Prête à passer de la princesse à la chienne, à être ma putain, à faire ce que je veux?. - Oui Maître. Il m'envoute l'esprit tel un vampire. Il descend lentement la fermeture éclair de ma robe en satin bordeaux, il fait tomber une à une les bretelles. Elle tombe à mes pieds. Il me félicité sur le choix audacieux de ma tenue. Il en est fier. Il découvre ma culotte ouverte montrant outrageusement mes fesses et lui laissant un accès à mon petit trou. Le serre taille affinant ma taille, et ce soutien gorge de chez Cadoll rehaussant mes seins nus. Il passe ses doigts sur mon épaule, mon cou. - Ecarte tes jambes. Je m'exécute. A ce moment là je suis si trempée, que j'en ai presque honte. - Relève tes cheveux. Prenant ma main gauche, je les rehausse avec élégance. - Avec les deux mains! Il m'orne de mon collier et le serre si fort qu'il maintient ma tête si droite. - Donne moi ta main. Je sens l'acier des menottes m'encercler le poignet. Puis il attache la seconde. Il remonte mes mains vers mon collier, les attachants à celui ci. Puis il s'attarde à mes chevilles. Il les enchaine. A ce moment là je me sens prise au piège de ce désir qui me consume. Que va t il se passer? Je perd mes repères. Ma poitrine se soulève, mes lèvres sont gonflées par le désir. - Il te manque une chose ma putain. - Ma Laisse, Maître. - Oui tout à fait. Ainsi parée et entravée, il me baîllonne si fortement que ma mâchoire en est douloureuse. Il me demande si je le supporte. je hoche de la tête à l'affirmative. Je ne veux pas le décevoir. Là il tire sur ma laisse. C'est la première fois que je suis ainsi entravée. J'avance sur mes hauts talons noirs, avec une perte de l'équilibre provoquée par la privation de ma vue. J'en perd ma démarche de femme sûre d'elle et m'agrippe à ma laisse. Je ne sais pas où nous allons. Il m'a parlé de sa pièce secrète, celle que je ne verrai jamais mais où je serai enfermée. J'avance avec difficulté. Il me rassure que je ne tomberai pas, qu'il est mon guide. Arrivée à destination, il me fait assoir sur un lit, puis me bouscule sur celui ci. J'entend des chaines. Il se saisit de mon collier, enlève ma laisse. Là il me fait mettre sur le flanc gauche et m'enchaine très court à un pied ou à un tube de cette pièce . Je ne peux que supposer. Mon coeur s'affole. Ma mâchoire est endolorie. Puis il m'attache les pieds au lit, mais me laissant un peu de mou. Puis il part, me laissant ainsi. Dans mon esprit, je me pose mille questions. Je sens ses pas sur le parquet. Que fait il? Ses mots raisonnent en moi. Il connaît ce désir noir qui m'envoûte. Je ne connais pas encore mes limites. Je ne suis que novice. Saurai je à la hauteur de ses attentes, des miennes? Je n'arrive plus à ressentir le temps. Je suis devenue sa chose. Il fait de moi ce qu'il veut. Cela m'excite tellement. De lâcher prise. Je sais qu'il va arriver à me pousser dans des limites que je ne connais pas encore. Puis je sens un courant d'air. Je devine sa respiration. Il est là à m'observer, à observer son oeuvre. J'essaie de me défaire de cette chaine si courte qui me maintient. Puis Il m'attache les jambes avec une grosse chaine et repars. Il aime que je perde la notion du temps. Il revient et me demande si je me suis calmée.Je hoche la tête par l'affirmative. Là, j'entend son pantalon qu'il retire sa ceinture. Ma respiration s'accélère. Je sais ce qui va m'arriver., mais quand? Je suis certaine qu'il aime voir ma poitrine se soulever à cette idée, de me voir me trémousser avant que le coup ne soit porter sur ma croupe. Il me caresse les jambes, les seins, les fesses. Dans mes pensées.. quand va t il frapper? Les coups furent d'intensité différentes. Il toucha mes fesses en me disant qu'il ne sont que légèrement rougissantes. Puis repartit à nouveau. Mes yeux se ferment quand je sens soudainement qu'il enlève mon baîllon. Je n'ai pas le temps de m'y faire qu'il a placé sa queue dans ma bouche. J'aime le sentir en moi, l'honorer avec ma langue, ma bouche. Puis il se retire et me re-baillonne à nouveau. - Quelle bonne petite chienne tu fais me raille t il. Et il me laissa ainsi. Je n'avais envie que d'une chose, enlever ce baillon qui me faisait mal. De la bave coulaient de ma bouche. Je ne voulais qu'une chose, déglutir, mais impossible. Mais que se passerait il si je l'enlevais? Je devine alors la punition qui en ressortirai. Le temps passe, mon esprit se demande ce qu'il va m'arriver. Il entre et ressert à nouveau plus la chaine de mes jambes, puis en position de foetus, me fait sortir le cul. Il me sodomise sans ménagement. Je sens son sexe dur en moi me pilonner avec force, comme une bonne chienne le mérite. - Ton trou du cul est mon exclusivité. Je le prend quand je veux où je veux. Est ce bien clair? - Je hoche de la tête à l'affirmative. Il me culbuta ainsi avec violence, tirant mes cheveux en arrière. J'ai mal, mais mal de plaisir. Cette sensation m'excite terriblement. Je sens ma chatte dégouilline de désir. Il se retira et reparti... J'ai compris que je n'étais que l'objet de son plaisir. J'ai confiance en lui. Il fait de moi une chienne, sa chienne. Il est le premier à me faire vivre ces moments là. Mes pensées s'égarent car il vampirise mon désir. J'ai peur d'en être consumée. Je veux souffler mon désir, le sortir. Je veux jouir. Mes doigts s'accélèrent sur mon clitoris. Mon entrejambe est si chaud, si humide. Ma mémoire se remémore sa voix, son parfum, ses mots, mes maux.. je soupire. je crie.. humm cette vague m'envahit. Je jouis si fort que des larmes coulent sur ma joue. J'aurai tant aimé qu'il me fasse jouir ainsi. Une question me hante depuis. Pourquoi ne s'occupe t il pas de ma jouissance?
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Par : le 12/02/17
Pour cette histoire, je vous invite à écouter : https://youtu.be/Y69nZWqsCy0 C'est la nuit. La voiture se gare dans une ruelle sombre. Les lampadaires éclairent le sol trempé par la pluie. La réverbération des ombres jouent avec la lumière de la rue. Vous sortez de la voiture. Je reste assise. Avec galanterie, vous m'ouvrez la portière et prenez ma main fermement. Le talon de ma jambe droite touche le sol, puis le gauche. Je me retourne pour me lever avec élégance. Avec force, vous me retournez contre la voiture. Dans mon dos, vous vous agenouillez pour toucher mes chevilles. Vos doigts m'effleurent, je soupire. Lentement vous remontez mes jambes, prenez le bas de ma jupe crayon et la faîte remonter jusqu'à ma taille. Vous me lâchez pour regarder la lumière sombre mettre en avant un clair obscur sur mes fesses. De votre main droite, vous me fessez la fesse droite, puis la gauche. Vous m'agrippez. Je tends mes fesses. Vous feignez de me pénétrer. Puis d'un seul coup, vous stoppez. Vous me mettez un loup sur mes yeux faisant ressortir mon regard de tigresse que vous affectionnez. - Otez votre jupe, elle ne vous sera d'aucune utilité. - Retournez vous. Là, vous déchirez mon chemisier. je vois quelques boutons rouler sur le sol et terminer leur course. Je sens votre puissance dans votre regard me pénétrer. - Viens. Je marche ainsi, les jambes couvertes de bas noirs, d'une lingerie complètement ouverte offrant à qui le veut mes orifices. Mes seins brillent sous les lumières et sont magnifiés par des bijoux de corps scintillants. Vous me faites porter d'une pare dessus d'épaule en plume d'autruche faisant ressortir mon collier que vous avez pris soin de bien serré. Juste avant de rentrer, vous me demandez de remettre du rouge à mes lèvres. -Voila vous êtes parfaite pour ce soir. Je ne sais pas où nous allons. Nous passons dans un sous sol, puis derrière une porte où se tiennent deux hommes à l'entrée, vous me poussez à l'intérieur. Un homme m'inspecte du regard et soupèse mes seins. - Retourne toi, le dîtes vous. Vous faîtes de même avec ma croupe et me donner une bonne fessée. D'une main,ce maître de cérémonie vous signifie de vous diriger vers une porte close. Une fois que cette dernière fût ouverte, je vis une pièce noire éclairée uniquement avec un jeux de lumière, faisant penser à des rayons de soleil passant à travers un volet. C'est magnifique. Vous me poussez à l'intérieur, tira sur ma crinière en arrière. La main en même temps sur mon collier, vous me murmurez à l'oreille d'être une belle chatte ce soir. Bienvenue au bar à chattes, me dîtes-vous. Le concept me fit sourire. Vous me lachez la main et allez vous installez assis dans un fauteuil rouge, que la lumière laissait deviner. Je compris mieux pourquoi vous vouliez que mes lèvres soit encore plus rouges. Là, vous m'ordonnez de pavaner comme une chatte de luxe le ferait Je devine l'ombre d'autres personnes assises laissant transparaître leur visage également masqué sur d'autres fauteuils. Avec un côté très félin, j'avance au centre pièce, le sol est en moquette d'une douceur incroyable Je m'amuse avec lumières. Mes mains parcourent mon corps. Elles dessinent des courbes sur mes cuisses, puis sur mon ventre, mes seins, mon cou. Je me penche en avant, la tête contre le sol et remonte brutalement pour faire virvolter mes cheveux. Je m'amuse avec ma laisse, totalement libre. Quand soudain, je sentis qu'on la prenaient. Je me retrouve ainsi à genoux, le cou relevé avec force et maintien. Des doigts forcent le passage de ma bouche pour entamer un va et vient. Naturellement je sortis ma langue. Il me murmure à l'oreille, "viens à moi, lèche ma queue et mes couilles". J'avance jambe après l'autre avec une démarche de chatte de luxe. Mes cheveux noirs paraissent bleu et j'imagine le rouge de mes lèvres ressortir. Agenouillée, je commençe à caresser les jambes, puis les cuisses de ce monsieur, faisant des allers et retours. Puis j'approche ma bouche, comme une chatte en chaleur. Il tiens sa queue dans sa main puis la plonge dans ma bouche. Il mis ses deux mains sur ma tête et m'imposa le rythme à prendre. Quand tout à coup, je sens des mains parcourir mon sexe et mon cul. Je ne peux pas bouger. On me possède sur le champ rythmant ainsi ma fellation. Puis l'homme me rejète. On tire sur ma laisse. Là, un homme me redresse, mis ma laisse très courte me faisant monter sur la pointe des pieds. Avec le reste de la laisse, il me la mis entre ma bouche pour me baîllonnée tout en resserant son bras autours de mon cou. Il me demande de tenir mes seins puis de pincer mes tétons, puis de les donner à une autre chatte dans l'assistance. Je la vis s'approcher, se redresse pour ensuite me lécher les tétons langoureusement les seins, les mordiller.- Ecarte tes jambes, me dit l'homme tout en me maintenant fermement. Je devine que je suis toute trempée. Elle écarte mes lèvres, les pinçent, et s'amuse ensuite avec mon clitoris. je suis toujours sur la pointe des pieds, il m'est difficile de tenir cette position. Elle me lappe la chatte comme si c'était du lait. Puis elle m'enfonce deux doigts dans la chatte tout en continuant à me masturber. Je suis toujours la pression du bras de cet homme sur ma gorge. Mes mains se tienne à son bras pour me permettre de tenir ainsi. De l'autre, Il engouffre son sexe dans mon cul. Je me fais lécher et sodomiser à la fois. La sensation est troublante et excitante. Je n'en peux plus tellement c'est bon. Mes jambes ne tiennent plus, je tremble. J'avais une envie forte de jouir. L'homme le sens. J'ai envie d'hurler. Puis je vous entends. - Je t'interdis de jouir. Hélas malgré moi, je n'ai pas réussi à résister. Mon corps vibre, frissonne. Je suis emportée par une vague de plaisir que j'en pleure. J'ai envie de crier la force de ma jouissance. Là, je savais que j'avais desobéïs. Vous arrivez avec votre regard noir. Vous me jetez au au sol, mis ma main derrière mon cou. - Relève tes fesses Vous mains s'abattent sur mes fesses. Vous tirez sur ma laisse et me mis dans une cage destinée aux chattes. Voilà où se retrouve les vilaines chattes.Vous m'enfermez dans la cage sans ménagement. Mes mains saisirent les barreaux. Appeurée
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Par : le 06/02/17
Ce texte résume parfaitement ma vision, je dédie ce message à mon futur maître. Il ne parle pas d'amour, mais de la réunion d'une personne entière avec une autre personne.. entière. De vivre le moment présent où le temps est suspendu. Je vous invite pour découvrir ce texte à écouter cette chanson qui m'a inspiré et qui résonne en moi : https://www.youtube.com/watch?v=opBXztgHjKI __________________________________________________________________________________________________________________________ Assise sur le lit de mes pensées, je traverse cette bâtisse faîte de vieilles pierres solides et fières, où le temps a marqué son empreinte. Ce manoir est ce que je suis. Chaque pièce referme des trésors, des pièces sombres, des pièces lumineuses, faîtes de joie, de tristesse, de beauté, de mélancolie, de passions, de souvenirs, de sensibilité et de créativité. Mes refuges où je peux me cacher. Souhaitez- vous sincèrement me découvrir ? Me toucher ? Je ne veux pas être une simple image qu’on a envie de posséder simplement. Donnez mon corps est facile, sans émotion. A cet instant, je vous laisse pénétrer dans ce manoir, découvrir toutes ses pièces. Je dépose dans votre main une clef, à vous d’en trouver quelle porte elle ouvrira, si vous en avez envie. Vous avez marché pendant un certain temps quand vous m’avez aperçu. Intrigué, peut être surpris, vous m’avez approché, vous m’avez intrigué Est-ce mon image uniquement qui vous intéresse ? Est ce que j’éveille des choses en vous ? Vous me devinez mais ne me connaissez pas, je vous devine, mais ne vous connais pas. Mais vous m’avez trouvé. Approchez de mes fondations. A présent, avec votre main, effleurez le mur. Fermez les yeux. Caressez-le. Prenez votre temps. Ressentez les racines de mon histoire. Parcourez- moi du bout de vos doigts tout en marchant et en faisant le tour. Ressentez la finesse de cette pierre, son grain, ses imperfections, ses fissures, sa beauté. Ressentez le temps qui m’a façonné. Vous commencez à me découvrir à peine. Entendez - vous mon cœur battre? (bou-boum.. bou-boum, bou-boum). Jusqu’à présent, je me cache. Vous ne m’avez pas. Je ne vous laisse que m’entre-apercevoir. Aujourd’hui, je suis dans cette chambre sans fenêtre. Toujours assise, j’encercle mes jambes avec mes bras, comme pour me protéger. je dépose mon front sur mes genoux, puis je relève ma tête pour ressentir tout ce qui dévoile cette pièce. L’intensité faible de la lumière dévoile un mur de nuages d’un camaïeu de gris. Je recherche la lumière dans cette partie sombre . Les bougies de ce lustre en cristal entourée de ces moulures, laisse deviner une grande profondeur, un haut plafond peint à la chaux dans des teintes rosées. Sur le sol, un océan de pétales de roses rouges. La pointe de mes pieds aiment s’y perdre. Mon esprit s’égare. Je veux découvrir cette pièce où je veux être, cette partie de moi, où je peux me libérer de toutes mes contraintes. Je suis au printemps de nouvelles sensations. Je veux sentir les odeurs de vertige et d’abandon. J’ai des attentes qui chuchotent, des envies qui grondent. Une tempête en moi, je veux que le soleil m’inonde, qu’il m’apaise.. (bou-boum, bou-boum, bou-boum) Je me lève. Je parcours, avec la pulpe de mes doigts, ces murs obscurs foulant pas à pas le sol pavé de pétales de roses qui éclabousse mes jambes. Je ressens mon corps frissonner. Ma poitrine se soulève. Je prends une grande respiration. J’arrive à cette porte en bois sculptée. Je la caresse. Je lève les bras au dessus de moi et j’y dépose mes deux mains à coté de chacune de mes oreilles, Mon front s’appuie dessus. Je respire, je veux être libre. Je glisse ma main gauche vers la clenche en porcelaine blanche. Elle est verrouillée. (Bou-boum, bou-boum, bou-boum) J’entends des pas parcourir les pièces de mon existence, Vous vous rapprochez. Je sens que vous me touchez, je vous sais à ma porte. Vous seul, détenez la clef pour m’amener à être mon maître, celui qui délivrera l’esclave qui est en moi. Je vous devine, êtes vous celui que j’attend ? Suis-je l’esclave que vous attendez ? (Bou-boum, bou-boum, bou-boum) Vous tournez la poignée pour tenter d’y pénétrer. Le temps se suspend. La clef s’enfonce dans la serrure , la clenche s’abaisse, la porte s’ouvre avec timidité. Je ne vois que votre ombre baignée de lumière. Je suis encore éblouie, vous êtes flou. Cette folie qui m’anime à vouloir me donner mon corps et mon âme, sans retenue. Je recule, et tombe à vos pieds. Vous avez réussi à pénétrer la pièce cachée en moi. (Bou-boum, bou-boum, bou-boum) Tout ce que je veux, tout ce que je désire est de pouvoir m’agenouiller, de tendre ma main droite pour que vous la saisissiez. Ressentir la confiance. Que de l’autre main, vous caressez mes cheveux, parcourez mes joues, ma bouche et releviez mon menton. Que votre regard transperce le mien. Que vous soyez le seul à pénétrer dans cette pièce. Que vous soyez celui qui connaisse chaque pierre, chaque mur, chaque pièce. Je me livre, nue à vous, à vos pieds. Que vous déposiez mon collier autours de mon cou, qu’à partir de ce moment, je bascule dans le lâcher prise. Cette pièce est la notre. Vous pouvez l’ouvrir ou la refermer. Je peux à tout moment en reprendre la clef. Délivrez moi, de toute la folie de mes désirs Délivrez moi, avec patience, avec respect, avec nos limites Délivrez moi, courage pour me guider, une force en moi s’ouvrira avec vous Délivrez moi, en ouvrant cette porte, apportez la lumière dans cette obscurité, Délivrez moi en partageant, en donnant, en échangeant, en vous ouvrant à moi, tout comme je le ferai Délivrez moi, faîtes de moi, votre esclave. J’agrippe votre jambe de mes bras, vous me caressez les cheveux, je me sens bien Mettez mon collier, je vous en donne la laisse.
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Par : le 05/02/17
Je vous invite pour cette nouvelle à écouter cette musique en lien joint Je me balade au son de la cacophonie de la rue, le bruit des voitures se mélant aux charrues tirées par ces pauvres petits ânes. La chaleur est pesante. Je sens quelques gouttes de transpiration perlées de mon front. Nous sommes partis le temps d'un week end en Turquie. Mon maître s'est absenté quelques heures et me laisser des moments de liberté que toute femme aime.. découverte, shopping... Voir tous ces étals avec ces couleurs, ces épices qui narguent mes narines, tous ces costumes, ces bijoux orientaux. Je dehambulai de ruelles en ruelles. J'aime m'y perdre, mais je dois me rappeler qu'en femme seule, je dois être prudente. J'ai déjà eu quelques mésaventures dans le passé. Je cherchais un havre de paix, une sorte de jardin, des fontaines pour me couper de tout cela. Mon maître m'envoya un SMS pour que je me rende à une adresse de la villz. J'étais assez surprise. J'arrêtais le premier taxi arrivant et lui donnait l'adresse où je devais me rendre. C'était un peu à l'écart de la ville, je m'inquiétais un peu. C'était la fin d'après midi. La climatisation de la voiture était un pur bonheur. Au bout d'une demi heure, il s'arrêta face à une immense villa, ressemblant à un petit palais. Il y avait des grilles mais on devinait à la hauteur des arbres et à leur beauté qu'il se cachait un somptueux jardins. Je ne puis qu'oberver le détail de cette magnifique porte orientale, tout en bois sculpté. Mes doigts passèrent sur les détails comme pour en deviner toute l'histoire. Puis d'un seul coup, je vis des caméras, la porte s'ouvrit. Là, une jeune femme ouvra la porte avec un magnifique sourire, vêtue, selon moi de costume traditionnel, avec tant de bijoux, du henné. Elles avaient des yeux d'un noir profond, une peau de miel et ses cheveux longs, épais que je la jalousais. Elle me prit la main, et me parlait en anglais. Elle me dit, tu dois être S.... on nous a informé de te visite. Nous allons prendre soin de toi. Nous marchions dans une magnifique allée où des fleurs dont je ne pouvais connaître le nom, le chant des oiseaux me faisait penser à un eden perdu. Dans cette partie de paradis, nous entrèrent dans la villa. Les mosaïques dans les couleurs d'un bleu, et où les fenêtes était des moucharabieh laissant la lumière jouer à travers les petits trous, et me laissant deviner qu'une partie du tableau de ce jardin. Je voulu m'en rapprocher, mais elle me tenait par la main. J'entendis plusieurs femmes parler dernière cette grande porte face à laquelle nous nous trouvions. Je la regarde intriguer : mais que fais je ici? qu'est ce que c'est que tout ça? - Elle me regarda avec ses grands yeux, sont grand sourire. Elle me dit, ce soir est une soirée spéciale. Nous devons êtres les plus belles pour nos maîtres. -Viens suis moi, me dit elle, nous allons nous occuper de toi. J'avais l'impression de me retrouver dans ces atmosphères d'antan où j'entendais la musique traditionnelle turque. j'adorai le son du saz. Et là je me retrouvais avec une quinzaine d'autres jeunes femmes, toute vêtues avec des tenues plus ou moins légères mais aussi traditionnelles. Nous étions dans une partie réservée uniquement aux femmes avec de nombreux bancs, des méridiennes, et un bassin avec de n pétales de fleurs, des voilages.. il y régnait une de ces atmosphères. J'étais hypnotisée. Qu'avait bien pu préparer mon maître. En tout cas je me sentais comme une princesse du passé. Puis, elle me dit, allez profite et viens dans l'eau. Elle se déshabilla, je fis de même. La nudité ne posait aucun problème autours de toutes ces femmes. Je glissais un premier pied sur les marches descendantes du bassin. Mes rondeurs ne me gênaient pas plus que cela, je prie un pétale de rose et je m'amusai à jouer avec sa douceur sur mes lèvres. C'était si bon. Je regarde chaque recoin de ce lieu majestueux. Je ressortis du bain. - Mais où sont passés mes affaires. J'étais en panique, plus aucun vêtement, ni mon sac, ni mon téléphone. Une panique m'envahissa. Je rejoignis Samia, celle qui m'avait accueillit. Et elle brandissait un magnifique sourire. - Ne t'inquiète pas, nous avons une tenue pour toi pour ce soir. Elle voyait que je commençais à ne pas être à l'aise, et son sourire disparu et elle m'ordonna de me calmer. Son ton froid me surprit d'un seul coup. Elle me pris à nouveau par la main et me désigna une tenue pour la soirée. Je mis dans un premier temps une sorte de robe d'un vert émeraude avec de longues manches tombantes, puis rajouta par dessus comme un corset formant un rectangle juste au dessus de ma poitrine, et la remontant. Il faut dire que c'était magnifique. Puis on me coiffa avec des bijoux de tête, j'étais beaucoup fardée, puis on me voila le visage. Nous étions toutes les femmes habillées dans ce style traditionnel. Puis la porte s'ouvrit, on nous demanda de nous mettre en file indienne et de ne plus parler. Tout mot sortant de notre bouche sera sévèrement punie. J'étais inquiète. Je n'avais pas vu mon maître depuis la fin de matinée, je n'avais plus de sac, plus rien. Quand je voulu parler pour poser une question, cet homme me regarda et en sortie un fouet. Le corset me comprimait un peu la poitrine, je me calmais doucement. On nous confina dans un coin d'une grande pièce octogonal où sur des gradins se tenaient une trentaine d'hommes. Nous entendions que le rire des hommes, les femmes avaient le regard baissés. je devinais en un seul instant ce que mon maître avait manigancé dans mon dos.. une vente. Je le cherchais du regard, j'avais besoin de ressentir sa protection, sa présence. Je savais qu'il était là. Une première fut avancer au milieu de cette pièce. Elle fut présenter, déshabillée avec force. Des hommes descendaient des gradins pour venir tâter leur future esclave. Nous n'étions que des objets destinés à satisfaire leur plaisir. Mon tour arriva. j'étais stressée, je ne voyais pas mon maître. Là deux hommes me menèrent de force au centre. Je ne me lassait pas faire. Je n'étais pas rassurée. Ils m'attachèrent les mains au dessus de la tête, et je sentie un coup de fouet s'abattre sur mon fessier. Je me débattais tellement cela me faisait mal. Puis un second. - Alors calmée ma belle? et là je reconnus sa voix, c'était celle de mon maître. Instantanément je fus calmée et prête à écouter, à lui faire honneur, plaisir. Il se rapprocha de moi, me tira ma tête voilée en arrière et me dit, je veux que tu sois la meilleure des esclaves. On me retira le voile de mon visage, puis je sentie le regard des hommes sur moi. Un homme assez grand s'approcha, ouvrit ma bouche pour regarder ma dentition. Parfait, une vraie bouche de suceuse. En même temps un autre avait dégraffé mon corset pour mettre à nu mes seins. Je n'arrivais pas à savoir combien d'hommes m'avaient touchés. j'avais fermé les yeux. Puis des enchères commencèrent. Je regardais mon maître avec un regard de défiance, en lui faisant comprendre que je ne me laissera pas faire si facilement. Il le savait, il connaissait mon témpérament un peu sauvage. Quoi que sa rudesse faisait que j'obtemperai facilement car il n'était pas tendre avec moi et les marques laissées sur mon corps. Je n'ai meme pas vu qui avait gagner les enchères, on m'emmena de forces dans une chambres et on me demanda d'attendre à genou à l'entrée, mon maître pour la soirée. Si mon maître pense une seule seconde que je vais me laisser faire, il se trompe bel et bien. J'attendrais ce nouveau maître assise sur cette chaise. La chambre était faite avec un lit à baldaquin et de longues tentures ornaient la pièce. Le temps se faisaient attendre. Je voulus ouvrir la porte mais elle était fermée à clef. je devinai une terrasse, et je m'y rendit. Et là un moment de liberté à observer ce jardin que la pleine lune éclairait. Quand soudain, j'entendis une voix sombre derrière moi. - Est ce ainsi que tu as été éduqué, chère esclave? L'homme faisait 1m95, assez imposant. A coté du haut de mon 1m70 je ne faisais pas la fière. Je me retrouvais un peu stupide. - Non.. je.. enfin.. le temps était long et j'avais chaud... J'ai essayé de me dédouaner comme je le pouvais. - Approche toi, m'ordonna t il. J'allais vers lui. arrivée à quelques centimètres de lui, il me demanda de relever les yeux et de le regarder. - Premièrement, tu vas être punie pour cet écart et tu le sais - Deuxièmement, je veux que tu te deshabilles avec elégance et que tu me montres tout tes avantages. - Troisièrement, je t'interdis de parler, de répondre. Est bien clair? - Oui monsieur. J'entrepris de m'effeuiller doucement en jouant à faire tomber sur le sol, une première partie de ma robe, puis je me cachait derrière les voilage en otant une partie de mon corset. - Alors on veut se rendre intéressante? - A genoux et viens à mes pieds. J'étais nue, uniquement parés de tous ces bijoux, dont des chaines chacune rattachées à mes tétons. Je m'agenouillais, et m'avancait vers lui. - Ne bouge plus, assied toi en ayant les jambes ecartés et redresse bien ton buste. - Quelle belle poitrine, tu as. Ils sont si fièrement dressés. Il s'avanca et me pris chacun de mes tétons et les tira si fort que je ne pue m'empêcher de crier. Eh oui, figure toi que je connais tes limites, ton maître m'en a fait part. N'ai aucune inquiétude. Je sais que tu es très sensible des seins mais je devais te punir. A toi de t'assurer d'être une très bonne esclave digne d'un maître. - Lève toi. - Ecarte tes cuisses et cambre toi. - Montre moi tes trous que je vais prendre plaisir à baiser. Il revient avec une grande badine, et commença à me battre. Je voulus me défaire de ces coups là, mais je pensai à la fierté de mon maître. Mes fesses furent douloureuses, mais de temps à autre il passait sa main douce pour m'apaiser. Puis il me banda les yeux, me guida et me jeter comme un objet sur le lit. - Mets toi sur tes genoux - Donne moi ton bras droit. Là il me serra une chaine autours très fortement que je ne pouvais pas trop le bouger et la rattacher aux crochet du lit. Il fit de même avec l'autre. J'étais ainsi, exposée, offerte sans vue et attachée à son bon vouloir. Ainsi les bras en croix, jétais des plus vulnérables. Je sentais son excitation à me voir essayer de me débattre, à ne pas me laisser faire. Puis sa main me saisit par les cheveux, l'autre me saisit la gorge et la serra. Puis il m'embrassa avec une telle violence, et son étreinte se tranforma en une caresse. IL me caressa la peau, le visage, l'intérieur de mes cuisses. Je sentais son parfum gagner mes narines. C'était assez envoûtant. Il me fit m'asseoir sur le rebord du lit. et attacha mes genoux également au lit de part et d'autres. Et là il me pris par la chatte tout en serra ma gorge et en me pinca ma lèvre. Il me morda dans le cou. j'étais sa captive, son esclave, son objet. Une fois qu'il eut jouis, il me laissa attachée ainsi et alla se coucher. Il me dit que c'était agréable d'avoir mon cul face à lui pour s'endormir. Cette position n'étaient si inconfortable. Il me pris encore deux fois, puis me détacha d'avoir les jambes, puis les poignets du lit. IL m'attacha les poignets ensembles, tout comme mes pieds. Puis, Il me mis cette chaine autours de cou, qu'il attacha à sa taille et me serra ainsi toute la nuit.
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Par : le 30/01/17
Nous arrivons chez mon maître. Il me pousse à l'intérieur de son antre, sans ménagement et la douceur dont il a fait preuve quelques minutes auparavant se transforme en puissance et intransigeance dans ses gestes, son regard et sa parole. - A mes pieds, de suite, m'ordonna t il. Il m'empoigna les cheveux avec une force, tout en m'obligeant à marcher à quatre pattes jusqu'au canapé. - Deshabille toi de suite, adosse toi contre le canapé et écarte bien tes jambes de chienne. Une fois exécutée ses ordres, je m'offrais à lui. Il s'agit en face de moi, dans son fauteuil chesterfied marron. J'entend le son du cuir dans qu'il s'asseoit dedans. - Ecarte moi ta chatte et ton anus avec tes doigts que je puisse bien de voir. - Tu aimes ça, hein? montrer tes trous en espérant être prise, me questionna t il. - Oui Maître. Maintenant, tu vas te préparer à m'accueillir. - Ouvre moi ta chatte davantage, écarte bien tes petites lèvres. - Mieux que cela ce n'est pas suffisant, tu n'es pas assez ouverte ma petite putain. Je le sens s'énerver. Puis il se lève et reviens avec un speculum. Je vais vérifier que chacun de tes trous soit propre, et bon à à la consommation. Il me mis un baillon et me regarda avec froideur. Je frémis. Il fit claquer un gant, et commença son examen. Je sentie le bec en métal, froid me pénétrer. Il me massait doucement le ventre durant cette opération. Puis il commença à écarter ma chatte doucement, doucement, et toujours un peu plus.. un peu plus jusqu'à ce qu'elle soit béante. Il s'amusa à y mettre quelques doigts et me narguant en me disant: - Voila un bon garage à bites. Je pense que deux rentrent facilement dans ta chatte de pute. Puis il me laisse ainsi les jambes relevées, la chatte grande ouverte. Il est parti se servir un verre, et revient avec un glaçon qu'il insère délicatement dans ma chatte. Je suis toute déconcertée par ce que je ressens. Sentir le glace fondre au fond de mon gouffre vaginal. Il admire son spectacle tout en sirotant son verre. Je veux que tes orifices soient propres. Ils doivent être vérifiés régulièrement. C'est pourquoi je t'examinerai toujours en profondeur comme il faut. Je ne veux rien négliger : ta bouche, ton anus, ta chatte, tout doit être propre. Tiens en parlant de ton anus, sache que ce soir je n'utiliserai que ton fion tout serré. Il se rapprocha de moi et pris mes joues dans sa main droite et mis une pression. - Est ce bien claire, petite chienne? Je pris un regard appeuré et lui fit un signe affirmatif de la tête. Il me regarda encore une fois ainsi, sortie son téléphone pour me prendre en photo. - que c'est bon de prendre ma putain en photo ainsi exposée. Puis il me retira doucement le speculum et me massait doucement le clitoris. - Garde tes jambes écartées. Il s'agenouilla et me lecha. Il passa avec délicatesse sa langue puis écarta de son pouce et majeur mes lèvres pour donner libre accès à mon clitoris tout gonflé. Il l'aspira, le lécha tout en introduisant un doigt dans mon cul. Il s'amusa aussi à me claquer la chatte, me suprenant. je voulais refermer les jambes mais j'essayai de me contrôler à les gardes ouvertes. Il releva la tête et m'ordonna de me caresser les seins, doucement et de remonter jusqu'à mes tétons. Maintenant, tu vas les pincer, assez fort puis relacher, ainsi de suite, pendant que je m'occupe de toi. Mes seins commencèrent à pointer et mon excitation se faisait ressentir, je mouillais.. Je sentais mon maître se délecter. Puis il releva la tête, voyons que je ne faisais que profiter de ses douces caresses. Voici que je ne faisais pas correctement ce qu'il me demandait, il prit dans chacune de ses mains mes tétons et les pinça.. encore plus fort et les tira vers l'avant. J'avais envie de crier mais je ne pouvais pas. Il me regarda et me gifla. Il se releva, m'empoigne à nouveau et m'emmena jusqu'à la salle de bain. Là, il me fit mettre face contre terre, le cul relevé. Il me donna la fessée me donnant envie d'échapper à sa punition. Puis il transforma la fessée en une caresse apaisante. - Ecarte ton cul avec tes main. Expose bien ton anus. - Il se saisit d'une poire de lavement qu'il avait rempli d'eau. Il enfonça la pointe dans mon anus et commença à appuyer sur la pompe de la poire, afin que le liquide reste en moi. - Tu as intérêt à tout bien gardé en toi. Il renouvella l'opération une seconde fois. J'avais une envie terrible de tout lacher, d'uriner aussi. Il fit me redresser et me mis sr les toilettes. - Allez tu peux pisser de ton anus. Je t'autorise. J'étais si honteuse de le faire devant lui. Je n'aime pas cela. Puis il me jeta à terre à nouveau pour que mon cul soit bien relevé. Il se mit debout au dessus de moi, Je ne pouvais voir ce qu'il faisait. - quelle bonne position de chienne, tu vas être prise pour la chienne que tu es. J'ouvris mon cul pour lui offrir comme il se doit mon petit anus. Il y introduit doucement un premier doigt. Il fit des vas et vient avec une douceur comme pour prendre la température. Puis il passa sa main sur ma chatte. Il amena sa main à ma bouche : - Lèche, il sera dommage de ne pas profiter de ton excitation. Puis il mit le bout de son gland à l'orée de mon orifice. Puis il s'engouffra. J'étais si serré, j'en avais mal. Il pris son temps, tout en me claquant les fesses. Puis mon cul cédé sous la pression de son sexe gonflé. Il commença quelques va et vient, doucement pour que mon anus s'ouvre. - J'aime te sodomiser ma chienne. Puis il accentua son emprise. Il se stoppa et me prit dans l'autre sens, tout en m'agrippant par les cheveux, afin que je me cambre, que je mette en avant ma cambrure et ma groupe, pour m'enculer bien à fond. - Demande moi de te défoncer. - Maître, défoncez moi le fion, s'il vous plait. - Plus fort ma salope - Maitre, défoncez moi le fion, s'il vous plait. - Qu'est ce que tu es? - votre chienne, maitre. Puis il m'encula encore plus fort tout en me fessant. - Enfonce toi deux doigts dans ta chatte. Je sentis que mes doigts dans ma chatte, appréciai de ressentir la queue de mon maitre en train de me besogner. - Maintenant caresse aussi ton clito . Je commençai à ne plus en pouvoir tellement c'était bon. - Maître, j'ai envie de venir, s'il vous plait. - C'est bon je t'autorise à jouir ma salope. Une immense vague m'envahit, incontrôlable. Je n'avais plus de force à rester dans cette position. Il continua à me pilonner jusqu'à sortir et éjaculer sur mes fesses. Il saisit une serviette juste à coté puis me retourna. Je pleurais.. il essuya du pouce mes larmes, me releva et m'emmena à son lit, pour que je me repose à ses côtés
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Par : le 26/01/17
- Ne bouge pas me dit il. Il me plaqua contre le mur, déchira ma culotte et m’ordonna de tendre mes fesses, de bien les écarter. Sans ménagement, il y introduit un œuf vibrant dans ma chatte. Je me retournai ensuite à table parmi nos amis. Je n’aime pas ne pas avoir de culotte, je mouille tellement que cela en est presque désagréable. Tout au long de la soirée il s’amusa, à l’insu de nos amis, à me masturber à distance. Il m’était très difficile de me concentrer sur la conversation que j’avais avec mon amie. Cette dernière me regardait avec un regard en me disant : Mais est ce que tu m’écoutes ? Pouvais-je lui avouer que j’étais en train de prendre mon pied pendant qu’elle me parlait de sa série qu’elle aimait regarder à la télé… Je regardais mon maître amusé par cette situation. Garder le contrôle. C’est si difficile quand c’est bon, de devoir se retenir. J’aime ce petit jeu, il ne paye rien pour attendre. Mon coté femme de tous les jours ne demande qu’à se venger en le provocant de plus belle. La soirée se termina au rythme de ses assauts télécommandés. Nous repartîmes vers la voiture. Assiste sur le siège passager, il m’ordonna de mettre mes jambes sur le tableau de bord et de rester la robe relever. Je rougis à l’idée que quelqu’un puisse me voir. -Mets toi deux doigts dans ton cul . Fais des va et vient. Je m’exécute. Pendant ce temps il démarre, tout en continue à faire vibrer l'oeuf... Je mouille, je mouille.. Pensant que nous rentrons à la maison, il pris une autre direction. Au feu rouge, il claqua mon sexe avec sa main. Je ne puis m’empêcher de refermer mes jambes. - Ecarte, me dit il. - Où allons nous, demandai je ? - Un endroit où je peux montrer la belle salope que tu es. Je me sens honteuse quand il me dit cela mais en même temps j’adore ça. Nous arrivons dans ce club liberté allemand où j’étais allée dans le passé. Il sortit du coffre quelques affaires. Il m’avait choisit une tenue : un corset underbust ainsi qu’une jupe jarretelle et une culotte ouverte. - Allez ma petite chienne... habille toi. Nous passons de salle en salle pour découvrir les différents univers, ensemble. Dans la partie bar, une superbe musique pour danser, de bons cocktails, puis des endroits plus intimistes où on peut s’amuser à faire l’oiseau dans sa cage dorée. Mon Maître m’ordonna d’aller justement danser dedans et de bien mettre en avant mes attributs. J’entrepris de danser comme j’aime le faire, avec sensualité, glamour sans jamais être vulgaire, en prenant soin de passer la main sur mes seins, puis de les caresser, de prendre mes tétons, de les pincer pour qu’ils se dressent fièrement. De passer mon majeur délicatement sur ma bouche, de mettre ma main sur mon cou, de caresser mes seins, de me retourner et remonter mes fesses, de jouer avec les barreaux de la cage… Mon Maître, assis dans un fauteuil, presque dans l'ombre, continue à me faire vibrer... me faisant stopper ma danse,. Quelques hommes me regardent. Le fait de les voir me regarder m’excitent terriblement. Puis mon maître m’ordonne d'un geste de le rejoindre. Plusieurs hommes passent à notre hauteur et me prennent par la main. Une invitation à une partie fine à plusieurs. Mon maître leur fait comprendre que c’est lui qui décide qui me défonce la chatte, le cul ou la bouche. Nous arrivons jusqu’au donjon SM du club. Là il décident de m’attacher les mains au dessus de la tête avec des chaînes. Puis il commencent à me gifler les seins, les malaxer. Il sort des pinces pour mes tétons. Et là j’ai envie.. d’hurler. Je suis tellement sensible des tétons. Je le regarde, suppliant de ne pas le faire. L me serra tellement fort le téton tout en faisant vibrer l'oeuf dans ma chatte, que je ne sentie presque pas quand il me mit la pince. Il fit de même de l’autre. Les deux pinces sont reliées entre elle comme un bijoux. Il s’amuse à jouer avec les pinces et sa télécommande. Des hommes et des femmes curieux passent, restent.. Il me met à la disposition des personnes voulant profiter du spectacle. Mon maître commence le travail sur moi, m'enlève l'oeuf et vérifie que je sois parfaitement trempée à souhait. Plusieurs hommes se mettent à me caresser, une femme commence à me pincer les lèvres de mon sexe et à introduire quelques doigts. Je suis comme ivre de cette situation, en me demandant si ce qui se passe est bien réel. Mon maitre met un fouet à disposer des personnes désireux de me punir. Je sens des claques, des coups de fouets, des caresses. C’est très particulier. Je ne comprend pas ce qu’on me dit, je ne parle pas allemand. Un homme s’approche de mon maître, je vois qu’il hoche la tête à l’affirmative.. On s’approche de moi et on me détache. On me met ensuite sur une sorte de balançoire suspendue destinée à me faire baiser facilement. L’homme avec qui discutait mon maitre, se munit d’un long sexe toy lié à un long bâton . Il commenca à me défoncer la chatte, Il y va de plus en plus fort. Puis au bout de quelques minutes, il s’approche et me doigte à une telle vitesse, que je ne peux me retenir d’en mettre partout. Une vraie fontaine. Puis il introduit sa bite dans ma chatte et me fourra bien profondement, encore et encore, cette balançoire suspendue en cuir lui garantissant de me remplir entièrement. Les pinces que mon maître me mit sur mes seins n’arrêtaient pas de bouger et cet allemand aimant tiré dessus pendant qu’il me baisait. Mon maitre me releva, je ne tenais presque plus debout, Je fis des cris de douleurs quand il m’enleva les pinces. Une femme arriva pour me les lécher, ce qui apaisa ma douleur. Il me metta à quattre pattes. Il me demanda de me tenir, de bien me cambrer,d’ouvrir la bouche et de sortir ma langue. J’étais à la disposition de qui voulait me chevaucher par la chatte ou la bouche.. Mon maître se réservait mon fion. Il demanda ensuite de m’empaler sur un autre allemand, je me retrouvais à califourchon sur lui. Il me claquait les fesses, les seins. IL prenait un malin plaisir à les malmener, il me serrait la gorge. -Allez baise- le mieux que ça, dit mon maître - Oui maître. Je vois que tu n’écoutes rien, tu appelles ça baiser ? Il m'empoigna par les cheveux et me dit : - Vu que tu n'arrives pas correctement à écouter, on va te montrer ce que c'est que d'être baisée, petite putain. Sans ménagement, comme un objet, il plaqua contre le torse de cet allemand qui se calma de baiser ma chatte. L'allemand s'amusa à écarter mes fesses pour donner un accès facile à mon maître. Ce dernier introduit sans ménagement un doigt dans mon cul, puis sans cérémonie, le remplaça par le bout de son gland. Il mis ses mains sur mes épaules afin que je m’empale sur lui et de pouvoir enfoncer son sexe bien au fond de mon petit fion. -Allez pousse ma petite salope, pousse… Maintenant on va te montrer ce que c’est que baiser. Je sentais les deux queues en moi. Me besogner, me maltraiter. Mon maitre se stoppa et admira, en sortant son sexe de mon fion, le trou laissé, puis me bourra à nouveau. Je sentai toute sa puissance. Il éjacula sur mon cul. Un peu plus tard, l’allemand se retira et voulu éjaculer, lui dans ma bouche. Mon maitre sait que je ne peux pas et il invita l’homme à éjaculer sur mes seins. Une fois arrosée ainsi, il me conduisit à la douche et commença ma toilette intime, pour que je sois à nouveau prête à être utilisée… De retour dans la voiture, il me caressa et me réconforta.. et me laissant m'endormir de fatigue.
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Par : le 26/01/17
Je suis allongée dans mon lit, la pluie joue de la musique contre la fenêtre de ma chambre. Je me prélasse telle une chatte sur mon lit. Je me dis souvent que dans une de mes vies antérieures j’ai dû être une chatte, indépendante mais dépendante à la fois. Je ne peux bouger de mon lit, mon maître m’y retient, et je ne vais pas me plaindre, il sait parfaitement ce qui est bon pour moi. Mes jambes sont habillées de bas résille couture où sur mes chevilles, les cordes serrées m’obligent à avoir les jambes écartées. Mes mains elles sont attachées au lit par des menottes où le bruit métallique me rappelle que je suis sa captive. J’aime me sentir à lui, à sa disposition, à l’attendre, ne sachant quand il va venir. Il s’est assurée de mon confort afin que je sois bien et que je ne meurs pas de froid. Il aime me savoir à sa merci, ouverte et à pouvoir abuser de chaque parcelle de mon corps. Il est si bon de se sentir ainsi, ne de plus avoir à penser, à ce que l’on s’occupe de moi. Ce moment de lâcher prise, où se mèle douceur, sensualité, caresse, fessée et jeux. Ces moments qui nous appartiennent, rien qu’à nous, ces moments où il me connaît intimement jusqu’à comprendre mes envies et mes désirs. Ce lien est si fort car pouvoir partager ce que l’on est est si précieux, si rare, si unique. En femme totalement indépendante, il a réussi à me faire basculer dans ce monde, notre univers où juste un regard, un geste permet de comprendre si nous jouons ou non. J’entend son pas dans les escaliers. Je suis presque endormie, je garde les yeux fermés. Je sens les battements dans ma poitrine s’accélérer, mon corps frissonne. Il se rapproche de moi, tel un félin, son parfum m’envoûte. Son pouce caresse ma lèvre inférieure avec une telle délicatesse. Naturellement j’ouvre ma bouche pour le prendre et le savourer. Il se retire et me dit : Chut, ne bouge pas, et ne fais rien. Il passe sa main sur ma joue et naturellement je caresse mon visage contre sa main, comme la tête d'un chat cherchant la caresse de la main que vous tendez. Je sens ensuite sa main descendre le long de ma jugulaire avec une certaine pression. J’adore sentir ce sentiment d’étranglement léger qui me fait sentir sienne. Puis en continuant sa route, il fait glisser le drap en satin sur ma peau jusqu’au sol. Je suis là, exposée à ses yeux, à ses mains. Il caresse une de mes chevilles, me masse le pied puis se met à resserrer l’étau et m’écarteler davantage, il faut de même avec l’autre jambe, Puis il continue sa route sur mes jambes, mes cuisses. Il prend soin de passer deux doigts sous mon bas pour le remettre en place. Il joue avec mes nerfs, je sens presque sa main sur mon entrecuisse sans presque me toucher. Je suis complètement frustrée. Il se relève et revient avec mon éventail en plumes noires que j’avais laissé sur la commode, puis il commence à m’effleurer, le bas du ventre, puis il remonte et passe les plumes juste sur le bout de mes seins. Mes tétons se dressent et pointent avec une telle force. J’ouvre les yeux, et je souris tellement c’est agréable. Il joue ainsi en parcourant mon cou, mes aisselles, mon épaules. Il connaît chacune des mes zones où je suis chatouilleuse. Je ne peux m’empêcher de gesticuler. C’est tellement bon mais j’aimerai pouvoir aussi m'échapper car c’est presque intenable. Me voyant trop gesticuler, il se relève et m’écartèle, cette fois ci davantage les bras. Je suis ainsi au milieu du lit, les jambes écartés laissant libre accès à ma chatte et à mon cul. Il s’empare de la bougie et à une certaine hauteur laisse couler la cire sur mon ventre. La sensation du chaud et du froid me saisit. Je sais qu’il a pris soin, comme c’est la première fois pour moi, à veiller à ne pas être trop proche. Puis il le fait sur mes seins, mes cuisses. Il a l’art à la fois d’être intransigeant tout en gardant ensuite cette douceur. Je me sens en confiance. Il se relève et me regarde ensuite. -Quelle belle petite chatte d’intérieur tu fais. Ainsi attachée, je ne risque pas d’être griffé, ni que tu puisses t’enfuir. Il est tellement bon de te voir docile, soumise et à ma merci. J’ai envie de protester mais au vu de ma situation, je ne me peux que me soumettre pour son plaisir mais aussi le mien. Il se saisit d’un fouet, dont il passe les lanières sur mon corps tout en me donnant quelques coups, il continue de titiller mon sexe, cela m’excite encore plus. Je le regarde en réclamant, en quémandant. Mais rien n’y fait. Il me regarde et me dit que je ne suis bonne qu’à miauler pour me faire prendre. Il se saisit alors du baîllon avec l’anneau qu’il m’avait offert (voir ma nouvelle sur un plateau d’argent). Il me force la bouche. - Voila, plus de miaulement, une vraie chatte en chaleur ma parole, se félicite t il. - Je vais apprendre à te contenir. Il ôta son pantalon, son boxer et en sorta son sexe en erection. Il se positionna debout au dessus de moi, chaque pied à coté de ma tête, puis il s’agenouilla. Il plongea directement son gland dans ma bouche. -Hum qu’il faut chaud là dedans, me dit il. Il posa ses mains sur ma tête pour ne me laisser aucune liberté juste celle de sentir sa queue au fond de ma gorge et de me faire baiser. Il se stoppa brutalement : - Mais c’est qu’elle est gourmande ma petite chatte, suffit maintenant. Rentre ta langue, m'ordonna t-il. Il se releva et se dirigea vers mon intimité. Il y passe sa main sans aucune douceur. Ma mouille recouvre ses doigts… - Tu es trempée, tu es vraiment en chaleur, en même temps tu es juste faite pour ça quand je te vois ainsi. Ne t’inquiète pas je vais m’occuper de toi. Il me détacha et me retourna. Il mis sur mon ventre un cousin spécialement étudié et destiné à surélever mon fessier pour mieux lui donner accès à mes orifices. Il mis une barre d’écartement entre mes chevilles, me joignit mes mains pour les attacher vers l’avant. Il serra autours de ma taille une corde afin de m’immobiliser pour que je ne puisse pas bouger. Il partit, sans que je vois ce qu’il se passe. Il revient, se mit face à moi. - Voila une belle position de soumise, agenouiller, le cul en l’air, prête à utilisation. Il me prît à nouveau par la bouche et me baisa sans ménagement en me tenant toujours pas la tête. Puis il releva mes cheveux et les attacha en une queue de cheval. Puis il pris en main ce qu’il avait placé sur le lit sans que je puisse le voir : un crochet anal. Il le mit devant mes yeux. Il me vit frémi. Il ôta mon baîllon et me demanda de la sucer comme si c’était sa queue. Il se place derrière moi et pénètre ma chatte avec trois doigts. Un filet de mouille s’échappe, Puis il la pénètre avec la boule du crochet, crache sur mon anus. Il y met un doigt puis deux… Il adore ça. Il me tire la queue de cheval, me redresse : - Si j’entends un seul cri quand je te l’enfonce sans ménagement dans ton cul de salope, je vais te punir très très sévèrement. As-tu compris? - Oui Maître. Il commence à introduire la boule dans mon cul, puis force le passage de mon petit trou étroit jusqu’à ce qu’il cède. J’ai mal mais je me retiens de ne pas crier. C’est très difficile et douloureux. Il me dit, voila ce qui se passe pour les chattes qui se pavanent le cul à l’air. Puis il attache le crochet à ma queue de cheval. Il me bande les yeux et me laisse ainsi, en me couvrant, pour ne pas que j’ai froid Je suis complètement frustrée sans savoir quand il va revenir Je n’arrive pas à savoir qu’elle heure il est. Il revient, mais je sens qu’il n’est pas seul. Il m’ordonne d’ouvrir la bouche, il me donne à boire. Il retire le drap qu’il a mis sur moi. J’ai un cadeau pour toi ma petite chatte. Ta patience va être récompensée. J’entend une voix d’homme à coté de lui, qui donne des ordres, à une autre soumise, à qui il a dit : " Au pied, pas bougé". Je sens que sa voix est rude et me fait presque frémir. Il présente mon cul et ma chatte à ce maître. Il en profite pour vérifier par lui-même mes orifices. Il joue avec le crochets dans mon cul et introduit quelques doigts pour vérifier que je sois humide comme il se doit. Puis il me claque les fesses avec une force que j’ai un cri qui s’échappe. " Une belle chatte d’intérieur que vous avez là Monsieur" dit - il. Mon maitre me redonne une autre fessée au même endroit. Je le sens furieux. - " Alors on ne remercie pas Monsieur de vous complimenter ?" - Je.. pardon Monsieur, je vous remercie de votre remarque à mon sujet, remerciai-je. Monsieur demande à sa soumise de monter sur le lit et de me lécher la chatte. Je ne suis pas bisexuelle, je n’ai jamais eu aucun rapport avec une femme, bien que cela m’attire. Mon maître le sait. Elle me lèche, aspire mon clitoris, me pénètre avec sa langue. Monsieur la force à maintenir sa tête dans ma chatte. Mon maître ordonne à cette soumise de jouer avec la corde pour que je gesticule mon cul de salope. Je sens qu’elle prend plaisir à me violenter de la sorte. Monsieur lui se met face à moi pendant que la soumise me redresse la tête et s’empare de mes seins, qu’il prend de pleine main. Il demande à mon maître s’il peut me baiser par la bouche. - Oui bien sur Monsieur, elle est faîte pour ça. Vous verrez comme sa gorge est profonde et chaude. Je sens sa queue grandir sous ma langue. Puis il immobilise son gland dans ma bouche. - Tout doux , quelle bonne suceuse tu es.Monsieur, que diriez vous d’écarteler la chatte de ma putain ? -Ma chienne est tout à votre disposition pour cela rétorque t il. Il demande alors à la soumise d’enfiler un gant et de me fister. Elle se met face à moi et introduit sa main gantée dans ma bouche. On voit qu’elle semble savoir y faire. Sa main est toute petite. Elle commence tout doucement par un doigt, puis un second avec des va et des vient, tout en me tenant le cul. Puis elle rentre un troisième doigt. Cela rentre comme dans du beurre. Un quatrième : ça rentre ça sort, ça rentre ça sort avec une certaine vitesse que je risque de gicler à tout moment. Puis elle met le cinquième. C'est beaucoup plus difficile. Puis je sens ma chatte lacher, elle est entrain de me fister. Mon maître s’amuse avec le crochet anal. Mon maitre me caresse la croupe, Monsieur tire sur mes cheveux pour que je me cambre et me dit: -Sois sage et docile, sois la fierté de ton Maître. Puis Elle s’immobilisa le temps que je me calme. Monsieur lui ordonna de me défoncer la chatte. Elle commenca des va et des vient pour me défoncer. Mes jambes tremblent, je me sens défaillir. Je n’ai plus aucune force. Je ressens des émotions jamais ressentis jusqu’à présent entre douleurs et plaisirs. Je mouille tellement que j’ai peur d’être irritée. Puis Monsieur ordonna à sa soumise de se stopper et de le sucer. - Je vais te remplir de mes doigts et tu vas glicler, tu as la permission. Je me mis à hurler, n'arrivant plus à me retenir. Je me sens honteuse, c'est tout nouveau pour moi. Epuisée, mon maître ota le crochet de mon petit fion et dit à Monsieur : prêt à utilisation immédiate. Il me détacha complètement les pieds, les mains et la taille. Je suis plus docile que jamais. Nos maitres respectifs nous ordonne de nous mettre en positions 69 afin de profiter de la vue de leur queue en train de prendre l’autre soumise et d’être prêt également à être baiser par la bouche. C’est ainsi que je me retrouvai sur le dos, une femme sur moi, ses lèvres sur mon sexe. De mon coté j’étais bien plus réservée et certainement pas prête à vivre cela. Je n’étais vraiment pas à l’aise. Il m’ordonna de sortir ma langue de chatte, et de lécher comme il se doit cette chienne. Je m’exécuta, je sentie Monsieur me besogner comme un putain et mon maître en profiter pour enculer l’autre soumise sans aucune préparation. Elle semblait avoir bien plus d’expérience que moi. Un sentiment presque de jalousie s’empara de moi. - Vous n’êtes bonnes qu’à baiser, dit Monsieur et mon Maitre. De sacrées putains, regardez- vous. Elle s’était relevé à la demande de mon maitre afin que nous changions de position. Son maitre lui mis un gode ceinture et il lui demanda de me baiser le fion et de parfaire un peu mon éducation anale. Soumise à une soumise. Je ne savais comment réagir. Elle me tira par les cheveux sans aucun ménagement et me gifla. - Ouvre ta bouche salope et suce. J’étais complètement interdite. Voyant que je résistai mon maitre me cravacha jusqu’à coopération et soumission totale. Elle me baiser par le bouche, puis me releva et pinca les tétons, puis malaxa mes seins. - Retourne toi que je t’élargisse ton fion, prend une belle position de salope. Je relevais mon cul, et placa mon visage au sol, comme une vraie chatte en chaleur montrant son cul pour être prise. Puis elle me pilonna sans ménagement, me fessa. Je rougis honteusement. Puis mon maitre me releva et me baisa à nouveau la bouche. Quand à elle, Monsieur la cravacha pendant qu’elle me prenais par le cul. Mon maitre éjaculera sur mes seins, quand à Monsieur, dans la bouche de sa soumise. Nous finirons la soirée elle au pied de son maitre et moi sur les genoux de mon maitre comme la chatte d’intérieur que je suis
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Par : le 23/01/17
C'est une de ces soirées d'hiver, le froid régne, je me rend dans un lieu secret. je passe ces petites ruelles piétonnes de Strasbourg. Une fumée s'échappe de ma bouche. Je suis heureuse de mettre couverte les oreilles avec ma chapka blanche, faisant ressortit mes yeux de chat et mes lèvres rouges rubis. Mes joues se sont teintées de roses tellement les températures sont basses. Que je déteste marcher dans le froid. Je me retrouve face à un vieil immeuble, éclairé par un magnifique lampadaire. Sans avoir à sonner, j'enfonce la vieille porte en bois sculptée. La partie de cartes a lieu dans un magnifique caveau. De somptueux rideaux rouges drappés masque l'entrée vers cette cave. J'entend au loin le son d'une trompette.. Hum Miles Davis. Quel bonheur. Un magnifique comptoir en bois au fond de cette cave, des tables de jeux de cartes, des tables basses avec deux magnifiques canapés chesterfield.. des candélabres éclairent les coins de la pièce. Une vraie salle pour jouer aux cartes. Mon Maître s'approche de moi, il m'indique où je peux aller me mettre à l'aise. Avec ce froid, il comprend que je ne puisse venir légèrement vêtue. Nous ne sommes que tous les deux. Je m'aventure dans une petite loge avec une superbe méridienne, un miroir.. Il a choisi ma tenue pour ce soir. Je me dévêtis pour m'emparer en premier de ma lingerie. Une superbe dentelle, en bleu nuit, avec quelques strass, laissant transparaître mes tétons. Le boxer bien sur coordonné, et de superbe bas noirs complètement opaques. Des talons hauts vernis noirs avec une semelle d'un rose poudré.Le reste me plait tout autant.. De longs gants noirs et une robe noir offrant un magnifique décolleté. Très sobre et classe, je connais son bon goût pour me mettre en valeur. Puis il entre dans la pièce, me sourit. Il me met un loup sur les yeux, passe son doigt sur mes lèvres et force l'ouverture de ma bouche. Il m'ordonne ce soir d'être une très bonne chienne, que je dois lui faire honneur. Je n'ai pas le droit de parler. IL me regarde dans les yeux. - Est ce bien claire Scarlett? - Oui maître, c'est très clair. Je baisse les yeux. Il me demande de tenir mes cheveux en queue de cheval pour me parer de mon collier doré. Il accroche la laisse et me demande de le suivre. Arrivé à la table, je devine que du monde va arriver. - Reste à mes pieds bien sagement et ne lève pas les yeux. Je suis ainsi à ses pieds à ne pas bouger. Puis j'entends la voix de 4 autres personnes. Ils s'installent autours de la table, et échange des banalités. Bon Messieurs, je suis ravi que vous soyez là, dit mon Maître. Je vous propose un strip Poker. Scarlett, ma douce chienne, obéira à chaque vainqueur. IL tire alors sur ma laisse et me redresse. -Regardez comme elle est docile. Le temps me semble long, ils se servent des verres, discutent, comme si j'étais invisible. Je prend sur moi. Tout ceci est nouveau pour moi. j'ai un tempérament de feu, c'est très difficile parfois de me dominer. Je sais que mon apprentissage est long. Mon maître est patient, et c'est pour ça que je l'ai choisi.. lui. Il se mettent autours de la table, et commencent leur partie de poker. Mon coeur palpite. Le premier gagnant me demande de venir à lui à quattre pattes. assise face à lui il relève mon menton avec ses doigts. Il pose sa main sur mon décolleté. - Relève toi et enlève ta robe. - Hum c'est bon le strip poker nargue t il. Seconde partie, je me tiens debout, comme on me l'a demandé. Cet homme aime me palper les fesses. Je vois ses cartes, et à ma grande surprise, c'est un très bon bluffeur. Il gagne à nouveau la partie. - IL me fait m'asseoir sur lui, mon dos contre son torse. - Messieurs, il est bien dommage je crois de nous priver de la vues de ses seins. Qu'en dites vous? Il sort un à un mes seins du soutiens gorge et serre mes tétons pour qu'ils pointent, puis les caressent. - Quelle bonne petite chienne, des tétons déjà dressés, je suis certains que ta culotte est toute trempés. Il dégraffe mon soutien gorge et m'ordonne de rester sur ses genoux, les seins complètement à l'air. Je sens le regard de mon maître sur moi, et ceux des deux autres hommes, j'ai bien compris que je serai leur poupée toute la soirée. Troisième partie, cette fois ci, elle est longue. L'homme sur lequel je suis, perd la partie. Un sacré mauvais perdant mais en profite pour me malaxer les seins. Un second homme blond aux yeux bleus gagnent la partie. IL m'ordonne de passer sous la table et de le sucer durant la prochaine partie. Je regarde mon maître. - Scarlett, fais ce qu'il te demande. Il voit dans mon regard ma protestations. - Est ce que je dois te punir, me dit il? L'homme aux yeux bleus me regardent un sourire aux lèvres. Humm plus elles ont du caractère, meilleures elles seront dociles après. IL m'agrippent par les cheveux, me fait aller sur la table. Il ouvre sa braguette et enfonce sa queue dans ma bouche. - Ne bouge pas petite salope. VOila, tout doux. - Maintenant tu as intérêt à très bien me sucer. IL s'amuse à me tenir à la laisse tenue très courte pour ne pas que je quitte sa queue. Je m'applique du mieux que je peux. J'espère le satisfaire, je n'arrive pas à savoir. Une autre partie débute, et là c'est mon maître qui gagne la partie. Je souris, et je suis ravie car je serai entre ses mains. - Scarlett, au pied. L'homme blond lui a tendu ma laisse. Il me regarde dans les yeux et pose la question à ce blond. - Alors, monsieur, Scarlett a t elle été une bonne petite suceuse? - Peu mieux faire raille t il, il lui faudrait mettre plus de coeur à l'ouvrage. - Redresse toi et enlève ta culotte! m'ordonne t il. Puis il m'agrippe par les fesses, et me mets sur lui pour me donner la fessée. Voila comment on punit une vilaine, très vilaine fille. Qu'en pensez vous messieurs? Je sens différentes mains s'abattrent sur ma croupe. Relève toi maintenant, et présente nous ton cul et ta chatte. je me met debout, je me penche légèrement en avant. Je tiens de part et d'autres mes fesses pour offrir aux maximum la vie de mes orifices. - Hum quelle charmante vue, entendis je. Ils continuent leurs parties de poker. Au fil du temps, ils me doigtent, pincent les lèvres de ma chatte, me fessent. La partie de poker, se terminent en une partie où je suis leur terrain de jeu. Mon maître m'allonge sur la table. L'homme blond m'ordonne de parfaire ma technique en fellation, pendant qu'un autre homme me fourre sans ménagement ma chatte, puis laisse sa place à un second qui lui me prend la pilonne en me tenant fermement par les cuisses. - Humm que c'est agréable de te fourrer, c'est comme du beurre. J'entend mon maître dire, de faire ce qu'il désire de moi, je suis leur petit lot pour la soirée. A ce moment là, je comprend que mon maître me regardera en train de me faire démonter par ces trois hommes. Un sentiment de colère s'empare de moi, mais je ne le quitterai pas du regard pour lui montrer ma protestation. ON me relève, puis un autre s'allonge sur la table et on me fait m'epaler sur lui. Il me plaque contre lui, je n'ai pas le temps de prendre ce qui m'arrive qu'un autre s'est mis debout pour que j'ai sa queue face à ma bouche. Et pendant que je me fais prendre par la bouche, la chatte, je sens des doigts fourrés mon cul. J'entend mon maître au loin dire : - elle est bonne qu'à ça, se faire fourrer. Prenez la bien, enculez là bien. - Scarlett, alors dis leur que tu veux te faire prendre par tous tes trous de putain. Je prend sur moi, les mots sont très difficiles à sortir - Messieurs, prenez moi comme bon vous semble pour tous les trous. - nous n'avons rien entendu dit l'homme blond. - Je râle... d'un seul coup, une claque retentit sur mes fesses. Je reprends mes esprits. - Messieurs, prenez moi comme bon vous semble par tous les trous. Dis leur que tu es une putain, dit mon maître. - Je suis une putain Messieurs. Je sens un homme prendre mes cheveux et décident de m'enculer. J'ai envie d'hurler. Jamais.. oh grand jamais... Mon cul, ma chatte, ma bouche... IL ne me laisse aucun répit. Je me sens salie, mais si excitée. Durant toute la soirée, je serai à eux. Je serai leur objet. Mon maître était là, à surveiller. J'ai adoré ce qu'il m'a fait vivre, malgré les réticences que j'avais. La confiance, ma confiance, il l'a gagné au fil du temps...
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Par : le 09/01/17
Je me contemple dans le miroir et regarde le reflet de mon désir s’afficher sur moi. Je pars avec lui en week-end. Il sait me surprendre, je veux aussi le surprendre. Ces moments sont des parenthèses de temps suspendu. Un refuge, un eden, tout un univers rien qu’à nous. Telle une adolescente, mon cœur palpite, la pensée de le rejoindre me fait complètement mouillée. Il m’a interdit de me caresser, mais cela ne me rendra que plus folle en sa présence. Dans mon boudoir avec mon immense dressing, je passe de cintre en cintre pour choisir les robes que je porterai. J’aime la sobriété, l’élégance, sans aucune vulgarité. Quelle atmosphère choisir pour ma lingerie, je prend entre mes mains ce soutien gorge sein nu que j’affectionne de Cadolle, puis je le repose. J’ai envie d’exotisme, d’orient. J’aime me costumer, certainement mon goût prononcé pour le burlesque. Je ne pars que deux jours et on dirait que je pars pour la semaine. L’envie de lui être plaisante, de le surprendre est trop important. Je décide d’enfiler ces collants noirs et de mettre par-dessus ces chaussettes hautes où une, est accroché une rose rouge magnifique. Des chaussures à haut talons en noir verni, une jupe simple vert bouteille et un chemiser laissant entrevoir la naissance de mes seins. Je l’entends arriver en voiture. Il sourit à la vue de mes bagages. - Bonjour ma chatte, me dit-il. J’aime cette alternance dans nos jeux. Ces moments de rire, d’échanges et de le voir d’un seul coup, sans crier garde arriver à me faire comprendre ma condition de soumise. Nous prenons la route, le seul indice que j’ai, est que nous allons sur le Luxembourg. La route se fait longue. Arrivés dans cette contrée, j’aime ces vallonnements, cette nature. Le dépaysement est complet. Que m’a-t-il préparé comme surprise pour mon anniversaire ? Je devine au loin une demeure, l’arrivée est spectaculaire dans cet endroit d’une beauté hors du temps. J’ai l’impression de me trouver dans cette campagne anglaise en passant sous ce porche. Un manoir, un petit Versailles, comme il est appelé. Le raffinement est à son comble, les sols en marbre, une immense cheminée en vieille pierre crépite. Quant à la chambre, elle est juste comme dans un conte de fée. Bienvenue au Manoir de Lébioles, ma petite chienne. Nous sommes un peu épuisés par le route. Je décide alors de m’occuper de mon maître pour le détendre et lui montrer ma reconnaissance quant à ce magnifique cadeau. Je vois que ses traits sont tirés. Il s’est assis sur le lit. Je décide alors d’enlever mon manteau, de mettre une musique douce pour l’inviter à se détendre. Une fois ce dernier posé, je m’agenouille en le regardant dans les yeux et je m’approche de lui. Il aime que je prenne ces initiatives et que je me comporte comme une bonne chienne. Arrivée à quatre pattes à ses pieds, je lève mon regard vers lui pour avoir sa permission de continuer ce que j’ai envie de faire. Je commence par lui caresser ses cuisses, de redescendre sur ses mollets. Je prends une de ces jambes dans mes mains et enlève une de ses chaussures, je fais de même avec l’autre. Je lui masse les pieds. D’un seul coup, il m’attrape par les cheveux et me dit. - C’est bien ma chienne, arrête- toi et reste à mes pieds. Il enlève sa ceinture et me la passe autours de mon cou. - Voilà qui est mieux ma petite salope. Il fait tomber son pantalon puis avec sa ceinture, approche ma bouche de son sexe et me prend violemment. - Quelle bonne putain tu es. - Suffit maintenant ! tu es bien gourmande, gardons- nous des forces. Le temps passe, je me rend vers la salle de bain, où se trouve cette somptueuse baignoire dans un style des années 30 que je rêverai un jour d’avoir chez moi. Je fais couler un bain. J’y dépose quelques pétales de roses que j’avais pris le soin d’acheter, et allume aussi ces quelques bougies rapportées. Je décide de mettre ce magnifique kimono de soie bleue, je me rends vers mon maître pour l’inviter à se joindre à moi. J’ai envie de prendre soin de lui comme il sait prendre soin de moi. Il m’autorise ces moments de détente et à prendre ces initiatives. Il sait que j’ai besoin de l’alternance des deux. Alors que je voulais prendre soin de lui, il m’ordonne de laisser tomber mon kimono et de me mettre dans ce bain. La douceur du vêtement en train de tomber le long de mon corps me fait frissonner. Mes seins pointent. - J’aime que ma chienne soit propre. Assis sur le rebord de la baignoire, il me lave chaque partie de mon corps. Je suis son objet, il fait de moi ce qu’il désire. C’est un moment si érotique. Puis il me fait me relever et s’emploie à vérifier que mon sexe est bien lisse comme il aime. - Ecarte tes jambes. Il y passe ses doigts et m’enfonce brutalement ses doigts dans ma chatte. - Je vais te dilater tes trous de chienne. Tu ne mérites que ça, être prise et baisée. - Ca t’excite hein ? tu es déjà toute dégoullinante, regarde moi ça, mes doigts sont trempés par ton jus. - Prépare toi pour le diner, met toi un plug dans ton cul. Ma tête tourne tellement il m’a excitée. Je suis frustrée car j’ai tellement envie de jouir. J’aime quand il me fouille ainsi. Je me prépare pour notre dîner. Je choisis cette robe fourreau grise et argentée, longue et fendue d’un seul côté. De part et d’autres des fins traits de strass, avec un coté légèrement asiatique. Quand je sors je ne peux deviner que le feu dans le regard de mon maître. Il aime que je sois sa princesse que tout le monde regarde et d’être son esclave que seul lui possède. - Mets toi contre le mur, je vais m’assurer que tu as bien vérifier mes instructions. - Il lève ma robe sur mon dos, me demande de me tenir bien cambrer. - Maintenant à mon tour d’apporter ma touche personnelle ! Un peu de rouge aux fesses ne fait pas de mal. Je ne veux pas t’entendre Il en sort son martinet… - Voilà tu es parfaite pour ce soir me dit- il. Nous passons une excellente soirée dans ce lieu d’exception. Arrivés dans le couloir de notre chambre, il me demande de m’agenouiller à son entrée et de marcher ainsi à ses pieds. Il me pare de mon collier et de ma laisse dorée. - Deshabille- toi pour moi avec élégance, soit une chienne racée. Je sais qu’il aime mes airs de ressemblance avec Dita, que j’aime l’érotisme de l’effeuillage. Je demande l’autorisation à mon maître de pouvoir mettre de la musique. Je ne peux pas m’en passer. Il acquièse du regard. J’entreprend alors cette danse langoureuse pour lui. Je faire tomber un à un, quand il le décide du regard ou d’un mouvement de doigt, chacun de mes vêtements. Je me retrouve alors nue, avec mes bas et mes strass autours de mes seins. Suffit maintenant. Il se lève, et prend subitement mes tétons et les pince fortement. Je gémis de douleur. - Merci maître. - Tes tétons n’étaient pas dressés comme il se doit. Puis il les malmena, les gifla, et décida de les bonder. Parfait ! se félicite til. Je sens dans son regard une lueur noire qui me fait frémir. Il prend ma laisse et m’emmène sans ménagement sur le lit. Il me jète sur le dos, m’écarte les jambes. - Reste comme ça, tes trous de salope offerts. Tu aimerais bien que des bites viennent te prennent, hein ? - Oui Maître. Il me place des attaches à mes chevilles et ensuite de les fixer au baldaquin du lit. Mes Jambes sont relevées, et ma chatte, mon anus à son entière disposition. Puis il attache mes mains d au dessus de ma tête. Je suis complètement immobilisée. Les fesses posées juste en bordure du lit. Voila une belle position de putain et je vais t’utiliser comme la catin que tu es. Il s’asseoit sur ma poitrine, cravache à la main. Il pose sa main autours de mon cou pour m’éteindre avec fermeté. Il me gifle. - Tu vas être docile et très obéissante. Je te veux la meilleure des chiennes. - Oui, maître. Ouvre ta bouche et sors ta langue. Elle doit être un écrin pour le sexe de ton maître. Il dépose le bout de son gland sur ma langue. - Lèche. Je m’exécute. gourmande comme je le suis, je le prend dans ma bouche. Il me donne alors un coup de cravache sur le sexe. - T ai-je autoriser à me sucer pour le moment ?. - Non, Maître - Je t’ai dit d’être très obéissante et docile, ne sais-tu pas écouter ?. Je vais te rappeler ta condition de petite salope soumise. Il me redonne un coup de cravache sur le sexe, une larme sort de mon regard. Il se redresse pour observer la toile éphémère qu’il a fait de moi. Je sens sa langue se poser sur mon sexe, et ses doigts effleurer l’intérieur de mes cuisses. Je brule de désir. Puis il prend dans ses doigts le bout de mon plug, qu’il m’a ordonné d’avoir dans mon cul. Il sait que ça me fait complètement bavé le sexe. Il joue avec, il aime le voir, entrer, sortir, entrer sortir, voir mon anus lâcher prise et se refermer. Voila, ton anus est bien préparé, C’est parfait. Je vais te défoncer, te baiser partout, et par tous tes trous. Tu comprends. Est-ce que tu le mérites ? - Oui maître. Ah oui tu le mérites, qu’est ce que tu es ? - Votre esclave, Maitre. - Votre Chienne, Maitre - Votre putain, Maitre. Il plaça son sexe dans mon anus., attrapa de ses mains mes cuisses et me défonça le cul comme jamais. J’en lâche même des cris de douleurs, tellement il me baise. - Hum tu m’excites, petite garce. Puis il se retira avant de jouir. Il veut garder le contrôle. Comme tu cries un peu trop, je vais te faire taire. Il me plaça un baîllon. - Hum c’est beaucoup mieux, dit- il fier de lui. Pui il met un gant. Mes yeux s’écarquillent. Que va-t-il faire ? Il s’agenouilla face à mon sexe, puis y introduit un doigt. Faisant quelques mouvements de va et vient. - Hum c’est comme dans du beurre, un doigt ne te fait rien. - Je vais t’en mettre un second, quoi que non trois. - Que tu es ouverte, un vrai garage à bites. Tu sais ce qui t’attend ? - Je ne veux aucune protestation. Tu as compris ?, sinon je serais bien plus sévère. - Tout doux ma belle, ma main va rentrer, tu le sais. Aimes-tu cela ? J’hoche la tête pour lui confirmer. Il sait que je ne l’ai jamais fait. Nous gardons toujours à l’esprit nos codes si les limites sont dépassées. Je veux qu’il soit fier de moi. Il commence de plus en plus à me dilater la chatte, à faire des va et vient si rapide, que mon sexe devient presque fontaine. Il se montre très doux d’un seul coup pour me rassurer. Il me demande de pousser Je sens ma chatte s’ouvrir. C’est tellement excitant mais aussi douloureux. - Hum quelle belle pute tu es, le sais tu ? - Non, Maître - Tu ne le sais pas, pourtant rien que de voir ta chatte ainsi devrait te le faire comprendre. - Oui Maître. Puis il retire ses quatre doigts en essayant de faire rentrer le cinquième. C’est éprouvant et difficile. Il n’insiste pas. Mais il rentre des doigts de son autre main et entreprend de m’écarteler. Puis il retente de passer toute sa main. - Il faudra une main de femme pour te fister, petite putain. - Cette idée te plait, avoue- le Il enleva mon baîllon pour que je puisse répondre - Oui Maitre - Penses-tu que je t’enlève ton baîllon pour un simple, oui maître ? - Non maître - Alors je t’écoute - Oui maitre, cela me plait l’idée de me faire fister par une femme. - Voilà qui est mieux. - Maintenant je vais te faire gicler ta chatte, lâche toi. Il me caressa en même temps le clitoris. Je jouis avec une telle violence. Des spasmes me prennent sur tout le corps. Je frissonne. De sa main, il me tient par le menton pour que je jouisse en me regardant. Je n’arrive pas à me contrôler, tellement c’est fort. Je suis épuisée par cette vague de plaisir. Il voit des larmes de bonheur se verser de mes yeux. Joyeux Anniversaire, ma belle petite chienne. Je suis son objet, son esclave, tout mon être lui appartient. Ce soir tu seras attachée pour dormir dans mes bras. Je m’endormis contre mon maître en sentant toute sa chaleur, sa puissance et sa protection…
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Par : le 03/01/17
Trois jours sans nouvelle. Je me languis. Je regarde à travers la fenêtre, pensive. Les femmes ont tellement tendance à se poser des questions et de trouver des réponses, qui le plus souvent ne sont pas la réalité. Je ressens un manque, un abandon, mon coeur palpitant dans ma poitrine. Si difficile de rester en attente, car il m'a troublé, il a marqué son empreinte sur mon désir. Je ferme les yeux, en revivant cet instant dans cette ruelle. C'est comme s'il était en moi, tel un envoutement. Je pense à lui. La passion de ce désir me consume. Le jeu a commencé, je le sais. Le temps passe, je doute. Ai je fait quelque chose qui ne fallait pas? Au diable les questions, je me sens juste vulnérable, attirée, car mon ressenti a été très fort. La peur de ne pas ressentir cette intension ardente de désir. Puis je reçois cette lettre manuscrite, où je découvre la beauté de son écriture. Ma chère Scarlett Envie de vertige, de vérité, de répère? Laissez moi planter mes crocs dans votre être Posez votre main en toute confiance dans la mienne Laissez moi faire de vous ma chienne. Mon corps palpite à cette lecture. Ce jeu de séduction et d'appartenance me procure une vague de désir. je sens mon sexe se gonfler d'une excitation. La message se poursuit. Vous devez récupérer votre culotte, qui fut d'un parfum des plus délicieux. Rendez vous ce vendredi. Il me laissa une adresse. Pourquoi le temps paraît il si long dans cette attente. La migraine me monte, tellement je suis excitée, pleine de désir. Le soir est enfin arrivée. Je me retrouve dans un quartier résidentiel. Mon corps tremble. Je n'ai jamais vécu de moments si troublants. Sur un porte, un mot m'est laissé. " Dès le franchissement de cette porte, tu es ma chienne" Je sais qu'il est tant de faire demi-tour. Une pulsion me dit d'y aller, ma raison me dit, d'être prudente. Il est temps de vivre mes envies et d'oser. Après tout, celui qui ne tente pas, ne peut pas savoir. Après une longue inspiration, je toque. La porte s'ouvre, nos regards se croisent, brulés par l'intensité de ce moment. Je cède. Je baisse mon regard. En tant normal, je suis à le soutenir, mais sa personnalité, ses échanges, notre complicité naissante laisse place envie à la soumise qui est cachée en moi. - "Entre et reste debout au milieu du salon" me dit il. Il m'enlève mon manteau, il me découvre en sous vêtement, comme il me l'avait demandé. Ses mains dessinent sur mon corps le désir. - Ouvre ta bouche, m'ordonne t il. Il y glisse une cravache qu'il me demande de maintenir. - Mets toi à quatre patte et baisse la tête Il tourne autours de moi puis s'asseoit sur son canapé, et sors de sa poche ma culotte. Je sens qu'il me regarde. Je sens des frissons me parcourir. - Alors ma belle, montre moi comment une chienne se déplace avec élégance jusqu'à son maître" - "Apporte moi ma cravache" A ce moment là, je me sens presque féline. Je m'avance à quatre pattes, la cravache tenue dans ma bouche. J'ose le regarder dans les yeux et lui jeter la cravache dans sa main, tout en cambrant mes fesses. Il me demande de m'asseoir sur mes jambres, de me redresser. avec sa cravache, il me fait relever le menton pour le regarder, et je soutiens son regard comme une provocation. Je sens le contact du cuir passé sur mes joues, mes lèvres, mes épaules. Puis il me fait écarter les jambes pour passer la cravache sur mon sexe. Il me donne quelques coups de cravaches qui me laissent échapper quelques cris. Il la remet dans ma bouche pour me dire qu'elle servira plus tard. Est ce clair, petit chienne. - Oui Monsieur, c'est très clair, lui dis je. Puis il me demande de m'allonger sur ses jambes et de lui offrir mes fesses. Il est tant de voir comment j'arrive à te faire rougir. Je sens sa main me claquer les fesses. je ne peux me retenir de râler. Il me dit que si je fais tomber la cravache, ma punition sera pire. Il m'ordonne d'aller me placer debout, les mains sur l'accoudoir du canapé, et de me pencher. Suel beau cul tu as petite chienne, je vais prendre à plaisir à vous enculer. Le compte à rebours des coups de cravache commence. - 5 coups. Le premier m'a fait mail, je n'arrive pas à dire 5. - Je n'entends rien , me dit il. veux tu que je le refasse encore plus fort. - Cinq, Monsieur. - Voila qui est mieux, continuons. - Quatre.. - Alors on ne me remercie pas? raille t il. - Pardonnez moi, Merci, Monsieur. - Trois - Deux - Un... je respire, j'aime ce sentiment d'être à sa merci mais la douleur me fait peur. Je sens sa main caressante sur ma croupe. cette douceur laisse place à de l'excitation. Il passe sa main sur mon sexe. - Que tu es trempée ma petite salope... murmure t il. Puis il me reclaque les fesses Je le regarde surprise et interdite. - Alors, on oublie le Zero? Il me redresse, me tient par les cheveux, ma tête bascule en arrière et m'obliga à nouveau à m'asseoir sur mes jambes. Met tes mains dans ton dos. Il m'attache les mains à mes chevilles. Je suis complètement à sa merci. Cela m'excite terriblement, et m'effraie. - Supplie moi de t'enculer. Rien n'ose sortir de ma bouche, je me sens comme timide. Il me tient par la tête. - Ne joue pas les effarouchées avec moi, tu es une chienne. Je vais t'apprendre à tout assumer. Puis il me gifle. - Supplie moi de t'enculer. Je me résigne. - " Je vous en prie, Monsieur, Enculez moi", je veux être votre chienne. Je sens sa queue au bord de mon orifice. J'ai peur. Il ne va pas oser me prendre ainsi? Il mouille son sexe avec ma mouille degouillante. Il me demande de relever mon cul pour avoir une bonne position de putain. Il place un doigt pour préparer mon petit cul serré qui n'a pas connu la sodomie depuis bien longtemps. Je sens sa bienveillance à mon égard, et qu'il ne fera rien en dehors de mes limites, nous en avons longuement parlé et échangé. Puis il place son sexe à l'entrée de mon anus. - Pousse, viens prendre ce que tu mérites, espèce de petite salope. Je sens mon petit trou se dilater, j'ai mal. - tout doux ma belle, prend ton temps, dit il pour me rassurer. cette attention me réchauffe et me rassure. Puis une fois installer dans mon cul, il m'assaille de quelques grands coups, comme pour marquer son territoire et montrer qu'il est le maître, mon maître. - Est ce que tu veux que je te défonce? - Oui, Monsieur, défoncez moi le cul. Je le sens prie par une frénésie, je ne me suis jamais fait pilonnée de la sorte. je sens cette force animale, cette puissance que j'avais ressenti quand je l'ai vu. Il prend possession de moi, de ma chatte, de mon cul, de ma bouche. Une fois qu'il m'a bien besogné le cul, il y place un plug. - je vais te remplir tes petits trous de chienne. Regarde moi comme tu es trempé. Puis il doigte ma chatte avec des va et vient qui me font défaillir, jusqu'à faire gicler ma chatte. Je n'arrive pas à me retenir. Je me sens complètement interdite, sans défense. Ma tête tourne. Puis il me fourre la chatte avec son sexe. - Alors on aime être prise par ses deux trous, quelle bonne salope tu es. Ai je raison? - Oui, Monsieur, je suis une bonne salope. Je vous remercie de toutes ces attentions que vous m'accordez. Je suis complètement épuisée. Il m'a fait jouir comme jamais et m'a emmené sur les sentiers que je n'ai foulé que dans mon imagination.Son Son regard, la manière dont il me touche, me parle, me cravache, me procure des supplices, je sais qu'il prend son temps avec moi. La morsure de sa possession pénètre mon esprit
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Par : le 03/01/17
C'est un samedi soir comme je les aime, je sors avec mes amies. Je porte cette fameuse petite robe noire, mes bas, un maquillage soigné.. Quel parfum porterai-je ce soir. J'hésite.. Lolita Lempicka, qui me colle à peau ou alors Escale à Pondichéry, une invitation aux voyages. Je vous laisse deviner lequel je choisis. A votre avis, quel est mon état d'esprit? J'enfile mes gants en cuir, j'aime conduire mon roadster et sentir le contact de mes mains gantées sur le volant et sentir toute la puissance de ce moteur. je me sens sexy ce soir. Je retrouve mes amies dans ce petit resto que j'affectionne, où notre seul sujet de conversation reste.. les relations hommes et femmes .. comme toujours, sans parler du sexe. Messieurs je pense que nous savons être pire que les hommes. Mais au fond de moi, parlez de mes désirs de mes envies? aucune amie ne connaît tout cela, avec qui partager tout cela, si ce n'est déposé ma plume. Après le restaurant, nous nous rendons dans ce petit bar clandestin à l'ambiance de la prohibition, nous commandions chacune notre cocktail tout en regardant à l'affût les hommes. J'aime ces jeux de regards. Je ne crois guère en ces jeux de drague qui mènent nulle part et où le niveau d'éloquence, de bienséance font souvent défauts à la gente masculine. Puis, soudain, je le remarque. Ce n'est pas une question de beauté, mais de charisme, de puissance. J'ai senti qu'il me regardait. Commence alors un jeu de chat et de souris. Cet homme a réussi à me troubler. Je ne peux m'empêcher de le regarder. Il est avec ses amis, semble si calme, poser. Je l'observe. Il m'observe. Nous feignons presque de nous ignorer. Je suis captivée. Le bar est bondé, la foule amène une proximité des corps. D'un seul coup je le vois s'avancer vers moi, mon coeur palpite. La déception se fait sentir, il passe sans mème me jeter un regard. Seule la trace de son parfum a été ce contact rapproché. IL m'envoûte, c'est presque animal. J'essaie de faire abstraction, quand soudain, je sens un papier mis dans ma main. C'est lui : Veux tu m'appartenir?. Je suis complètement troublée par ce mot. Mes amies ont envie de partir, et malheureusement je me fais une raison. Pourquoi ne pas oser aller vers lui? Je pars avec elles, nous nous disons au revoir, et je regagne ma voiture dans cette ruelle. Quand soudain, je le vis. Il se rapproche. Un regard sombre, mais c'est plus fort de moi, son mot m'a troublé. La ruelle est très sombre, il s'approche et me plaque sa main avec son gant en cuir sur ma bouche. il m'étreint la gorge, puis me susurre à l'oreille : Je veux ma réponse.Veux tu m'appartenir? Je me sens si en confiance et effrayée à la fois. Son regard pénétrant le mien, je baisse le regard et je répond oui de mes yeux. Il me retourna et me plaqua contre le mur. Il est dans mon dos. Je suis envoutée, hypnotisée. Il relève ma robe, me caresse les fesses, les cuisses. Ses mains sont fermes et douces. "Seras tu une gentille fille? " me dit-il Tout en tirant ma tête en arrière je répond que oui. Alors relève ta robe, enlève ta culotte et offre moi ta chatte et ton cul, m'ordonne t il. Je me sens interdite, je lui dis que nous sommes en pleine rue, je n'ose pas. Il se rapproche de moi et me dit : Finalement tu n'es pas une gentille fille et me claque les fesses. Alors " j'attend"... Enlève cette culotte et donne la moi. Je sens sa froideur mais en même temps sa bienveillance. Fébrilement, je m'execute honteuse. Puis de mes mains je relève ma robe, tout en regardant de partout si personne ne passe dans la rue, et je lui montre mon cul, ma chatte. Il se rapproche pour me féliciter de ce magnifique spectacle. Voila qui est bien, tu es une gentille fille docile comme je les aime. Ce que je veux maintenant, c'est que tu sois, une chienne docile. Es tu prête à découvrir cela? Je ressens à ce moment cette envie d'être possédée, d'être sa possession. Il introduit son majeur dans ma bouche et me demande de tirer dessus. Puis il le faut avec l'ensemble de ses doigts. Quand arrive son pouce, il me demande de lui sucer. Puis de tenir son gant dans ma bouche pendant qu'il en retire sa main. Je sens le parfum du cuir mélé à l'odeur de sa peau qui me fait défaillir. Puis il mis sans ménagement sa main sur mon sexe. - Hum que c'est bien chaud et une humide, tu es déjà toute trempée, ma belle. Je garde ta culotte, je veux que tu viennes la récupérer quand je te l'indiquerai. Je te veux à mes pieds, belle, chienne. Je vais te sublimer et t'ouvrir à cet univers que tu ne demandes qu'à connaître. Il repartit. Je restait interdite, excitée comme jamais. Je ne savais pas à quoi il ressemblait, nos échanges passés m'avaient tant excités. et là il me laisse, avec mon excitation et avec cette envie de me mettre à ses pieds.
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Par : le 29/12/16
Le matin se lève, brumeux et timide.. La nature le rythme mais ses tableaux sont uniques. La fraicheur hivernale m’a offert ce matin un spectacle magnifique, un décor teinté d’orange, de jaune, d’or, de rose, de rouge, de violet, un vrai tourbillon de couleurs et de légèreté comme une toile de Turner. J’étais fascinée et mon regard se perdit dans mon imagination. Je devinai dans cette forêt le ballet des oiseaux, leurs chants d’hiver orchestrant le ballet du vent à travers les branches, les biches à l’affût regardant au loin au son du craquement du bois, le cygne défilant fièrement sur l’eau et se laissant porter par le courant profitant de ce magnifique spectacle. J’eus envie ce matin envie de marcher dans ce décor hivernal, de conduire jusqu’à ces ruines d’Allerheilingen en forêt noire. Faire renaître dans mon imaginaire l’histoire de ces pierres, la vie passée de cette abbaye. Ressentir les hommes édifiant cette bâtisse, ressentir le temps et voyager jusqu’à la quiétude. Je foule cette terre, une envie d’évasion, j’accelère, je cours vers cette beauté qui me donne le sourire. Les quatre bassins dans cette abbaye sont improbables. S’étalant en cascade, ils sont une invitation à contempler le parfait mélange entre la création de l’homme et celle de la nature. Longeant ce petit ruisseau, j’entend au loin le rugissement de l’eau. Curieuse, je suis excitée de découvrir ce qui se cache. Sinueux est ce chemin, ces marches forgées par l’homme, descendent, descendent. L’eau se fait de plus en plus puissante. Son éclat est peint par les rayons du soleil qui laissent entrevoir de manière éphémère l’arc en ciel. Parfait contraste avec cette paroi qui ne voit presque jamais le soleil, sombre et noire, révèle la beauté de ce ciel bleu. Je me pose ainsi rêveuse. Haendel m’a inspiré tout comme cette nature. Dans les deux cas, la beauté est partout si on regarde au fond de soi. La perspective de notre âme nous ouvre au bonheur. Rien n’est dû au hasard, seule notre sensibilité est la clef des portes du paradis. Le plus difficile est d’en trouver le chemin Petit moment hors du temps et hors sujet...
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Par : le 26/12/16
C'était une de ces après midi d'hiver, j'étais sortie pour l'accueillir comme il se doit. J'aime les arts de la table, la décoration, chaque détail à une signification et je sais qu'il y sera sensible. D'ailleurs c'est ce qu'il aime chez moi. Je porte des chaussettes hautes noire avec cette robe noire en laine et son col bénitier, laissant deviné mon cou. Mes cheveux noirs et brillants font ressortir mes lèvres toujours parés de ce rouge. J'ai décidé de me faire plaisir, un magnifique bouquet de roses. J'adore cette fleur, des pétales au toucher de velours, des couleurs pastels, à la blancheur au rouge bien plus profond sont comme un poème, elle n'ouvre son coeur qu'à celui qui prend le temps de la voir éclore. Ses épines montrent son piquant, seule la délicatesse et le savoir faire d'une main bien attentionnée permettent de la saisir. Je l'attend... lui. J'ai pris soin d'allumer le feu de cheminée, ainsi que quelques bougies. Sur ma table avec son plateau en chêne, belle vaisselle, verre en crital, un magnifique bougeoirs surplombe cette table avec ses bougies dorées. L'ambiance est baroque. J'ai particulièrement pris soin d'élaborer un choix musical pour nous emporter dans cet univers qui nous appartient et où il me fait chavirer, où deux êtres entiers se sont trouvés. Je l'entend monter les escaliers, je reconnaîtrais ses pas parmi tant d'autres. J'ouvre la porte et il me détaille de la tête au pied. Je porte une longue robe noire parsemée de dentelle avec un léger dos nu, les cheveux sont légèrement attachés, et je porte mon collier, celui que nous avons choisi ensemble, et qui est unique. Tout comme notre relation. Je sais qu'il regarde mon décolleté, il passe sa main sur mon cou et s'empare d'un de mes seins. Il m'empoigne les cheveux et me fait déguster ses doigts. Je les dévore, les honore comme s'il s'agissait de sa queue. Il s'installe confortablement sur le canapé, je lui sers un verre de vin rouge. Je m'installe à ma place, à ses pieds. Il me caresse les cheveux pendant que nous échangeons. Il m'ordonne de défaire la ceinture de son pantalon, et de le mettre à l'aise. - Baisse tes yeux, ma queue attend tes lèvres. Applique toi! - Oui mon Maître. Me délectant de sa queue, il profite de son verre de vin. Puis de sa main puissante sur ma tête m'enfonce tout son sexe dans ma bouche. - Ne bouge pas", reste ainsi. Au bout de quelques minutes, il me demande de me lever, il passe ses doigts sur ma peau, sur mes lèvres puis défait brutalement ma robe. Elle tombe autours de mes pieds. Il me félicité du choix de ma lingerie. Un soutien gorge qui réhaussent mes seins, mais qui lui laissent mes tétons à vue, tout comme cette culotte ouverte, lui donnant libre accès à ce qui lui appartient. Ma bouche, Mon cul, ma chatte sont à son entière disposition. Il me fait mettre à quatre pattes sur la table du salon: " Ecarte ton cul de chienne" Rien que le son de sa voix m'excite. Il sort un plug, et me l'installe sans ménagement dans mon cul. Voila le bijou qu'il te manquait, Scarlett. La soirée ne fait que commencer me dit il. Je t'ai prévu un cadeau de Noël que tu n'es pas prête d'oublier. Habille toi chaudement, nous sortons! Il me met ce bandeau sur les yeux et m'installe dans la voiture, les mains attachées dans le dos. J'en ai complètement perdus mes sens. Il m'attache les mains au dessus de la tête. Et que ce soir je reçois mon cadeau et que je serai également un cadeau. Je sens mes tétons pris par des mains inconnus. Voila, qui est plus présentable me dit il. Mon maître m'ordonne de le remercier. Merci Monsieur, dis je. Puis je sens une autre paire de main écarter mes fesses puis mettre deux doigts dans ma chatte. - HUmm qu'elle est ouverte cette putain.. J'adore. - Mon maître n'ordonne de le remercier. - Merci Monsieur Dis je. Un autre s'amuse à jouer avec le plug dans mon cul et me dit. - Hum ton cul aussi va bien être ouvert comme il se doit. Puis il me fesse. Mon maître indique à ses messieurs que tous mes trous leurs sont disponibles. Il me détache et m'installe sur un canapé à moitié assise. On m'attache les chevilles en l'air, offrant ainsi à la vue de tout le monde ma chatte, mon cul. De là, je sens les mains de mon maître venir retirer mon plug et insérer quelques doigts. - Il m'interdit de gémir ou de jouir. - Un homme décide de me baiser par la bouche, pendant que je sens des doigts dans mon cul, dans ma chatte. Je me sens écartellée de partout. Honteuse de mouiller ainsi. Ils prennent soin de bien me dilater. Il me détachent et me fait mettre à quatre pattes. "Cambre toi comme une bonne chienne", "Allez mieux que ça" " Montre nous comment une bonne chienne se branle" Je me sens honteuse car quand je me masturbe, je deviens presque timide. Mon maître le sait. "Dis nous que tu es une putain" - Je suis une putain, Maître. Maintenant, tu vas dire à ces messieurs qu'ils peuvent venir te baiser par tous tes trous. " Messieurs, Venez me baiser par tous mes trous" Plus fort, me dit il, nous ne t'entendons pas. Je me sens honteuse mais j'en ai terriblement envie. "Messieurs, venez me baiser par tous mes trous" Pendant toutes la soirée ils me prendront comme la bonne chienne que je suis. Une fois leur cadeau reçu, mon maitre m'attachera à nouveau. Il me dit être fier de moi. Il me fit ma toilette Je dormirai attachée à ses cotés, lui me tenant par ma laisse. Je me réveillais fatiguée de ma soirée. Il me détacha et me mis sur le ventre. Il me caressa le dos. Je gémis et j'en frisonne. Il me pris ainsi par la chatte. Entre douceur, et violence il me pris par ma chatte. Puis me défonça mon cul élargi par la nuit précédente. Puis il me caresse à nouveau dans une infinie douceur. " Ne bouge pas", repose toi tu l'as bien mérité.
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Par : le 26/10/16
C’était un soir de printemps, ma curiosité m’a poussé à aller dans un club libertin, non pas sur Strasbourg, car j’en ne n’en avais pas entendu de bons échos mais en Allemagne.Un ami m’accompagne, je suis excitée à l’idée de découvrir dans ce genre de lieu. Dans mon esprit, j’imagine les hommes et femmes avec beaucoup plus de respect les uns envers les autres que dans les bars de Strasbourg, où certains devraient prendre des cours sur la bienséance.Je me pare de ma plus belle lingerie, dont vous voyez les photos sur mon profil. ces photos ont été prises le soir où je me suis rendue dans ce club : un serre taille, un soutien gorge ouvert, des cache tétons, une culotte ouverte, des portes jarretelles avec des bas coutures, et bien sur mes chaussures vernies noires à haut talons.Cela faisait des années que je ne m’étais pas sentie désirable. Toujours coiffée d’un style des années 40-50, du rouge à lèvres couleur rubis sur mes lèvres, il est bon de se sentir belle et regardée et de retrouver ce sentiment de confiance. Cela n’a rien à voir avec du narcissisme, mais d’être en accord avec soi même.Durant des années, j’ai laissé de coté mes désirs, mes envies car je n’osai dire à un homme ce que j’aimai, ce que je désirai, ce qui comptait c’était son plaisir. J’ai décidé après tout ce temps de penser au mien.Lorsque j’arrive à ce club, mon cœur s’emballe, et je suis comme une petite fille qui va dans un lieu hors du temps. Bien que l’endroit est plein de monde et que nous n’avions réservé, on nous accueille avec un grand sourire. Une fois deshabillée, je marche avec fierté et exhibe mes seins presque nus ainsi que mes fesses aux regards de ses hommes et femmes. Cela m’excite terriblement.Je pars, comme une aventurière à la découverte de ces pièces. Une chambre avec un style colonial, une autre dans une pénombre rouge, un donjon SM..je monte les escaliers et là je vois un lit.. enfin presque une salle recouverte de matelas avec des barreaux, une salle secrète avec un trou où chacun peut regarder ce qui se passe… Pour le moment tout est calme. Je me rend alors dans la salle où il y a un bar, une piste de danse, un cage où il est possible de s’enfermer et danser. Il est si bon de se sentir décomplexer et autant à l’aise. Après quelques verres, quelques danses, je me sens prise par cette ambiance. Je regarde mais je n’ose toucher. Toujours ce côté timide en moi qui m’empêche d’aller vers les routes, bien que ma tenue semble indiquer pourquoi je suis venue ici. Je n’ai pas encore réussi à passer ce cap.Au fil de la soirée, je vais de salles en salles, entend gémissement et cris, des hommes qui me prennent pas la main.. mais je ne suis pas encore prêt à cela, bien que je meurs d’envie d’essayer tout cela.
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Par : le 26/10/16
C’est une magnifique journée d’automne, je décide de partir en forêt, seule, histoire de me vider la tête. Je prend mon cabriolet, et admire le champ ouvert au dessus de ma tête, les arbres colorés de mille feux, comparable à un coucher de soleil. Je respire. Je laisse la route m’emporter jusqu’à ce que je trouve un lieu qui me plaise, et je me souviens de ma conversation de cette homme qui me courtise, et qui m'avait parlé d'un lieu ce matin non loin de col du Donon. Et me voila parti, chaussures de randonnées, un T shirt assez moulant et un pantalon adapté à la situation. Je m’empare de mon sac à dos, et c’est parti. Je suis le chemin de randonnée indiqué, je devrais traverser des tourbières. J’adore. J’aime les paysages avec l’eau. Je ne croise personne, quel pied ! Il fait si bon. Cela fait presque 2h15 que je marche et j’espère que le chemin se termine bientôt car il était indiqué 2h30 pour faire cette balade. Le temps passe, et cela fait 3h que je marche, je commence à m’inquiéter, aurai je rater un panneau ? Et je constate à mon grand dam que la batterie de mon téléphone est HS. Mais quelle nouille, combien de fois, je me suis dit.. il faut que je la change ! Cela m’apprendra. Je commence à m’inquiéter. Je me stoppe dans une petite clairière et j’entend le craquement de branchages. Mon cœur s’accèlère. Je reprend la route, et toujours ce bruit, je me sens comme observer. Et je commence à courir et d’un seul coup je me retrouve prisonnière dans un filet qui s’est rabbatu sur moi. Je crie, je crie. La nuit commence à tomber, j’ai froid. Plus aucun son sort de ma gorge. J’essaie de sortir de là mais impossible. Je m’endors fatiguée dans cette position inconfortable. C’est alors que je tombe brutalement au sol, et cela me réveille brutalement, complètement désorientée. - Ah la princesse aux bois dormant est réveillée, me dit cet homme Je le remercie de m’avoir libérée. Je suis complètement gelée, courbaturée par l’inconfort de ma position durant la nuit, sans parler du fait que je suis affamée !. Cet homme me regarde bizzarement il me sourit, n’appelle personne… je lui demande comment retrouver mon chemin.. IL m’indique la route à prendre mais sans que je puisse faire quoi que ce soit, il me prend par-dessus son épaule comme un vulgaire paquet. Je lui donne des coups de poings dans le dos, mais il est si fort, et je n’ai plus de force. - ca ne sert à rien de crier ma belle, personne ne peut entendre. Quand on se prend pour le chaperon rouge, on risque de croiser le grand méchant loup. Il me dépose sans ménagement et me cache le visage. Il m’attache les mains, me met un collier et me tient par la laisse. J’avance sans savoir où aller. Je tire sur ce lien, mais je sais qu’il est trop fort pour moi. Je sens le loquet d’une porte s’ouvrir. Il me demande d’avancer mes poignets, il me les libère. - Ne bouge pas ma jolie, me dit il. Et là j’entends le bruit de chaines.. mais que fait il ! j’hallucine, il est en train de m’enchainer. La porte se referme. J’ote cette cagoule de mon visage. La pièce est éclairée à la bougie, Un lit, des couvertures, une armoire, une douche… La première chose que fait est de me soulager sur les toilettes. Au travers cette porte, il y a un trou , j’essaie de voir à travers, mais l’ouverture se fait par l’extérieur. De là, mon ravisseur me parle et ouvre ce loquet. - Tu vois, tu es bien traitée. Tu auras tout ce que dont tu as besoin. J’aime les femmes élégantes, belles, intelligentes et à mes pieds. Si tu écoutes tout ce que je te demande, ta vie n’en sera que plus agréable, sinon tu me verras dans l’obligation de sévir. As-tu bien compris ? - Je dis oui. - déjà tu vas me changer de tenue, tu trouveras dans cette armoire tout ce qu’il te faut pour te faire belle pour moi. D’ailleurs ce soir, tu dineras avec moi. Fais toi belle et ne me décoit pas. J’en suis déconcertée avec ses manières alors qu’il a été si bourru avant. J’ouvre l’armoire et y découvre des tenues si féminines que je n’en crois pas mes yeux. Je me dis que c’est une hallucination… De même sur la coiffeuse, des produits de maquillage de rouge à lèvres. Je doute que je sois la première femme à être ici. Il m’est très difficile de m’habiller avec ce collier autours dont la chaine est attachée au mur. Il ouvre ma porte en grand et j’y découvre un homme élégant se dirigeant vers moi. A l’opposé de l’homme qui m’a amenée ici, et pourtant c’est bien le même homme. Il s’approche vers moi, fais le tour de moi et me félicite de mon choix et de ma présentation. Il détache de mon collier cette chaine et m’invite à passer devant lui. Nous empruntons un tunnel dont le sol est pavé. Les murs sont humides. Quel lieu étrange. Je découvre cette grande salle tout en pierre et complètement aménagé, Fauteuils, un magnifique lit, puis plus au loin j’y aperçois une grande croix, et des fouets, et autres choses accrochées contre la parois. Je me retourne et décide de courir, mais je me heurte à sa stature. Il me prend dans ses bras et m’etreint. - Tout doux, je ne te ferais aucun mal sans ton consentement. Me dit il au creux de l’oreille. Il lève mon menton avec ses doigts et me caresse la joue. Il m’invite à aller m’asseoir, en toute civilité sur cette magnifique chaise tout en velours rouge, et me sert un vin rouge, un bordeau, un château Le Puy. - A notre rencontre et aux plaisirs qui en viendront. Nous buvons, et dégustons les belles agapes. Il me regardent avec une telle insistence qu’il me trouble. Tu m’appelleras Monsieur. Tu seras Sabrina pour le moment. Eh oui, je me suis permis de fouiller tes affaires.. Je fronce les sourcils pour commencer à parler : Il me dit.. non.. ce n’est pas le moment pour une complainte, profitons de ce moment. La soirée est tellement agréable que j’en oublis presque ce qui m’arrive et où je suis. Il me reconduit à ma chambre, m’enchaine à nouveau et repars. Je découvre que sur mon lit « Un contrat ». je me demande ce que c’est que cela. Mais qu’est ce que cela fait sur mon lit. Je commence à lire... Exécution des ordres. Je me demande à quoi rime ces questions avec le choix : Refuse de le faire, jamais essayé, déjà fait et une échelle d’intérêt entre 1 et 5 * Suivre et respecter les ordres ? * S’agenouiller devant son maitre ? * Être mise au coin ? * Être mise en cage, * Être mise en cellule * Être mise dans le coffre d’une voiture * Être mise nue devant un public * Le contrôle de la respiration …. Ces questions me font sourire.. car s’il croit que je suis ce genre de femme ! N’empêche elle traverse mon esprit. La seconde page me fait grossir les yeux : Pratique Sexuelle * Boules de geisha * Glace sur le clitoris, * Glace dans le vagin ou l’anus * Donner un cunnilungus * Recevoir un cunnilungus * Dilatation vaginale, * Dilatation anale * Porter un plug anal, * Porter un didlo télécommandé par Monsieur * Etre exhibée à un public en étant prise par Monsieur * Se faire prendre à la chaine * Double pénétration * Gang Bang * Bisexualité Mon esprit se trouve davantage… Vêtements et accessoires * Porter les vêtements choisis par Monsieur * Porter un bâillon en tissu * Porter un bâillon mord de cheval * Porter un bâillon en ruban adhésif * Bandeau sur les yeux * Porter une ceinture de chasteté, * Porter un collier en privé * Porter un corset * Bondage plusieurs heures * Shibari * Être enchainée * Être ficelée * Être entravées * Etre suspendue debout. * Être surspendue à l’horizontal * Harnais * Immobilisation * Momification * Menottes et fer * Dormir attachée * Cire en général * Cire sur les seins * Cire sur le sexe * Cire sur les fesses * Lavement pour nettoyer * Lavement pour rétention d’eau vaginal * Lavement pour rétention d’eau anal * Pinces aux seins * Pinces au sexee * Attachée sur une croix * Pince à linge…. Ce questionnaire me laisse complètement abasourdie. Je devine ce qu’il attend de moi mais souhaite m’en rendre complice. Je dois reconnaître que je suis passée pour tous mes états et que cet homme me fait de l’effet. Certains mots de la liste me font apparaître des images obsènes dans le tête alors que je suis captive. Je jette de colère tout ça sur le sol. Et me réfugie sur le lit. Le lendemain matin, il m’apporte un petit déjeuner avec tout ce que j’aime.. Mais quel homme attentionné et à mes soins. Je me laisse avoir par ce comportement car i ll ne m’a fait aucun mal. Il me demande de ramasser ce que j’ai jeté par terre, et que ce n’est pas le comportement d’une femme civilisée. Il dispose le petit déjeuner à distance où je ne peux l’atteindre avec mes mains. Il m’ordonne de me mettre à genou. Allez.. à genou me dit il d’une voix douce.. où alors je deviendrais plus méchant. Je m’execute. Il me demande de formuler des excuses immédiatement. - Je suis désolée de mon comportement et d’avoir jeté ce contrat par terre. - non.. mieux que ça… soit plus sincère et n’oublie pas de finir ta phrase par Monsieur. - Je suis sincèrement désolée d’avoir jeter ce contrat par terre, tout ceci est nouveau pour moi,Monsieur. - Bien, j’accepte ton ignorance mais pas ton comportement. Tu seras priver de déjeuner. Le temps passe, j’ai faim. La porte s’ouvre à nouveau. Allez, à genoux ! tu dois m’accueillir à chaque fois ainsi. Je m’execute. - Que tu apprends vite ma belle. Tu vois ce n’est pas compliqué. Tu baisseras toujours le regard en ma présence. Il me détache et me conduit à nouveau dans cette pièce. Il m’attache à cette croix. Sa voix est si rassurante et pourtant il m’attache. Je me sens paradoxalement en sécurité. Sais tu ce qui arrive aux vilaines filles qui ne sont pas obéissantes ? - Je commence à répondre et je lui dis que je ne suis pas une vilaine fille. Et là il découpe avec un ciseau le t shirt que j’avais décidé de porter pour la nuit. Il découpe aussi mon soutien gorge. Je me sens honteuse ainsi. Il admire mes seins. Il les prend dans sa main et les cajolent avec une telle tendresse. Que tu as de beaux seins, je vais en prendre le plus grand soin, je te le promet. Il les prend en bouche, les mordille, les lèches, les pétris. -Alors ma belle, n’aimes tu pas cela ? me retorque t il Il ne peut que constater que mes tétons pointent, signe de mon excitation et de ce moment érotique que je suis en train de vivre, le plus érotique de ma vie. Il me laisse ainsi les seins à l’air. Je m’habitue à sa présence, et je sens qu’il ne va rien faire contre mon gré. Il me dit que ce soir, je dois avoir répondu à son questionnaire. Il me renferme à nouveau. Je n’arrive plus à savoir si nous sommes le matin, l’après midi ou le soir. Je n’ai toujours pas vu la lumière. Il me dit, tu as deux choix ma belle : * Accepter ce contrat et le remplir * Ou je te laisse repartir et nous ne nous reverrons jamais. Je suis si intriguée, aucun homme ne m’a jamais fait cet effet… son regard se plonge dans le main.. et j’ai décidé de baisser les armes… Oui Monsieur, je souhaite remplir ce contrat et le signer.
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Par : le 26/10/16
Mason Close. Les cartons d’invitations, à nos membres les plus fidèles, ont été envoyés. L’adresse se situe dans un hôtel particulier, qui était dans le passé une maison close. On devine de part l’architecture la majesté du lieu. Le sol en marbre, de magnifique colonne, un escalier monumentale se séparant en deux pour se rendre aux différents étages. Le thème de la soirée est de recrée l’atmosphère des maisons closes et de se replonger dans cet univers érotique. Des fauteuils circulaires, des méridiennes, un piano, des rideaux en velours qui tapissent les hautes fenêtres pour plonger le lieu comme une atmosphère feutrées. L’éclairage est tamisé. Des femmes, au corps à moitié dénudés joueront l’attraction de la soirée. Chacune a pu choisir son style, une nymphe, une danseuse orientale, une mondaine. Mon choix s’est porté sur une long kimono noirs, les manches sont amples et très longues, et touchent le sol, je porte un soutien gorge complètement ouvert et j’ai parés mes seins de magnifique bijoux scintillants. Je porte une culotte où de nombreuses perles tombent sur mes cuisses et des bas qui sont rattachés par les jaretelles. Ma tête est coiffé de bijoux et d’une pièce maîtresses avec des plumes et mes bras habillés de longs gants noirs Une multitude de colliers tombent sur mon cou mes seins. J’avais envie de m’inspirer de ces femmes de sérail. Je dois me préparer pour le spectacle de ce soir, où je jouerai avec mes magnifiques éventails géants en plume d’autruche. Ils ont été installés au centre de ce hall. J’aime beaucoup en jouer car c’est très suggestif et me permet de garder mon coté joueuse et mystérieuse, juste ce qu’il faut pour attirer le regard. Mon numéro commence par Banned in Boston, une musique langoureuse, parfaite pour l’effeuillage. Je sens la lumière sur moi, les regards se posent sur moi, arrivant en haut de cet escalier. Je prends une démarche élégante pour descendre les marches. Je joue avec mon kimono, je glisse mes doigts sur le revers et je le laisse tomber avec négligence pour dévoiler mon épaule, puis je le remonte, je fais de même avec l’autre coté. J’avance parmi les invités, effeurant de mes doigts leur joues, leurs cuisses. Ils essaient de s’approcher, mais je les repousse. Soudain, je repère un homme dont le regard me perce. Je le regarde droit dans les yeux, je m’avance, puis me retourne, et défait de mon kimono. Il est assis sur cette méridienne. Il a vu imprenable sur mes fesses et je sens qu’il aime voir ses perles qui lui permettent d’entrevoir mes fesses. Je repars au milieu de la pièce, Je prend le doigt d’un gant dans ma bouche et le tire, je renouvelle cette opération jusqu’à ce que je retire longuement ce gant… puis je le jette au sol. Je fais de même avec l’autre. La musique se fait plus langoureuse, et je m’empare de mes éventails de plume, où j’entame comme une danse du cygne.. Je laisse juste à mes hôtes entre apercevoir mon corps. Une fois ma danse terminée, les messieurs ou dames désireux une danse privée doivent payer. C’est là que l’homme au regard perçant, m’achète pour toute la soirée. Il ne dit pas un seul mot. Il m’étreint du regard, me prend par la main. Nous montons les marches et nous nous retrouvons dans une pièce magnifique. Des dorures de partout, un lit avec des pinacles de part et d’autres, un salon privé avec de multiples voilages. Il me regarde dans les yeux et m’ordonne de danser pour lui. Il s’asseoit, et me prie de danser sur lui assise sur ses genoux, le dos tournés à lui. Il ne me touche pas. Puis il me dit qu’il en veut pour son argent. Il fait entrer un autre homme dans la pièce, je suis intriguée, curieuse, mais craintive. Il me demande de danser pour lui. Celui-ci ne se gène pas pour poser ses mains sur moi, il me claque les fesses comme si j’étais à lui. Je ne tolère pas ce manque de respect. L’homme au regard perçant ne tolère pas mon inconduite. Il se lève, se met à ma hauteur, enlève ma coiffe, et fait basculer ma tête en tirant mes cheveux par l’arrière. Il maintient une pression avec ses doigts autours de ma bouche et m’assaille d’un baiser froid. L’autre homme me bande les yeux. Je perds tous mes repères. Il me dirige vers ce lit, et m’attache de part et d’autres de ces pinacles. Le dos face aux sofas. Et là je sens leur main me palper. Celui qui me parle, je sens son excitation dans son souffle, et il me dit qu’il prendra un plaisir à me baiser. Il me passe sa main sans ménagement sur mon sexe, et me fesse. Je sens une cravache parcourir mes courbes et un coup part entre mes fesses. Il m’ordonne d’écarter mes cuisses. Il me pénètre sans ménagement, tandis que l’autre homme s’est mis sur le lit, et il s’empare de chacun de mes tétons, et me les cajole. Je suis prise entre la queue de cet homme fou furieux et de cet homme si doux. Je suis interloquée. L’homme qui me pilonne me tire les cheveux en arrière, et l’autre enfonce ses doigts dans ma bouche. Quelle belle putain tu fais, me dit il.. Voilà comment tu mérites d’être traitée. C’est un honneur que nous te faisons. Sois en digne. Toujours les yeux bandés, il me détache les poignets, et me les attachent dans le dos. Je dois m’empaler sur une queue, à califourchon. Pendant que je fais des va et vient sur cette queue, je sens des doigts pénétrés mon cul. Je sursaute. Je dis non !! C’est là que l’homme sur qui je suis à califourchon, m’attire vers lui et plaque ses bras tout autours de moi. Je suis impuissante. Il garde sa queue en moi, et l’autre me dilate complètement. Je sens qu’il a craché sur mon fion pour que ce soit plus facile. Un doigt, deux doigt… trois doigts.. Il m’insulte.. Puis il m’encule. Je sens ensuite ces deux queues en moi. C’est une première pour moi. je me sens honteuse mais excitée. Et là j’entends : tais toi, on sait que tu aimes ça, regarde comme tu es dégoulinante. Ils éjaculeront tout deux sur moi. Il me laisseront attachées toute la nuit, et me baiseront à tour de rôle ensemble, sans que je ne sache qui me prenait. A l’aube, je suis épuisée par cette nuit de baise. L’homme au regard perçant est à mes coté et me caresse le dos.. et me dit.. Acceptes tu d'être l'objet de mon plaisir?
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