Mademoiselle_Lane
par le 04/05/20
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Désolée pour les fautes, je suis partie jouer..
Il y a toujours en nous cette petite fille qui sommeille. Celle qui se dit.. oh zut suis adulte.. pfff.
Au-delà de la femme indépendante que je suis, j’ai ce coté femme-enfant qui aime régresser. Peut être pour oublier les soucis. A vouloir faire une bataille d’oreiller, à rejouer à ces jeux de notre enfance.
J’aime toujours user, abuser de ce regard innocent, à faire qui ne comprend pas… mais qui a besoin d’apprendre. Ce côté petite sotte qui a besoin de recevoir une petite leçon.. Vous voyez très bien de quoi je parle, n’est ce pas ?. Cette petite qui a envie de se faire corriger comme une petite fille fautive qui voulait cacher ses bêtises, et qui pour se faire pardonner affichait ce petit regard, tout innocent lui aussi.. Mais qu’ai-je fait de mal ?
Lors de notre dernière entrevue, il m’avait laissé une boite à ouvrir dès qu’il me le demanderait.
La curiosité est un vilain défaut n’est ce pas. Vous aussi vous auriez voulu savoir ce qu’il y avait dans cette boite, si belle, blanche perlé fermé à l’aide d’un magnifique ruban rouge rubis… Si je regarde qu’en saura t il ? mais si je regarde pas, mon excitation ne fera qu’augmenter… Je l’avais posé sur la table juste à coté de mon canapé en velours rouge opéra de mon dressing.
Mon dressing dispose d’un choix incroyable de tenues, robes, lingeries, chaussures et accessoires me permettant à la fois d’avoir un look BCBG, plus bohème , plus années folles ou ce look hollywoodien des actrices des années 40/50. D’ailleurs il parait que je ressemble à Dita Von Teese… ou plutôt c’est elle qui me ressemble.
Donc j’étais assise sur mon canapé à regarder cette boite. Je me mordais les lèvres. Un petit démon me disait.. ouvre là… l’autre… non regarde ton entrejambe.. il est tout émoustillé.
Je prenais sur moi… J’envoyais un message à Monsieur.
- Monsieur, je suis sur le point de fauter.. ouvrir cette boite… puis-je ?
Il me faisait languir.. je voyais qu’il avait lu le message sur Whattsapp. Arghh je le maudissais.
Une heure après :
- Non je te l’interdit. Tu auras le droit de l’ouvrir demain-matin.
Après tout, je me disais demain matin.. il n’en saura rien si je l’ouvre maintenant. Mon coté chipie ressortait. J’attrapais cette boite que je posais sur mes cuisses. Avec une délectation enfantine, je défis le nœud. J’ôtais le couvercle. Et là je vis.. une peluche.
Une peluche, il m’offrait une peluche.. Ah moi ? qui aime plutôt être très femme. J’y voyais une pointe d’humour mais peut être un indice pour notre prochaine rencontre ?
Message Whattsapp reçu : Je suis certain que vous avez ouvert la boite ? Je vous connais…
Je souriais, il me connaissait par cœur.. Je répondais instantamment.
- Oui Monsieur, je n’ai pas pu résister… et puis avec une peluche à la main et mon regard mutin.. vous allez me pardonner ?
- Oh.. mais vous vous trompez lourdement ma chère. Je suis en train de prendre note sur votre carnet. Je passe vous chercher demain à 20h. La peluche est un indice sur ce que vous devez porter demain. Ne me décevez pas et n’oubliez pas d’emmener votre peluche.
Je levais les yeux en l’air.. Une peluche… forcement j’imaginais ce jeu de rôle où je serais une jeune fille bien innocente. C’est alors que je réfléchissais à ma garde robe, et à ce que je pourrais mettre.
Eh bien j’allais la jouer bien sur femme très innocente. La nuit porte conseil.
Le lendemain, j’étais passée chez l’esthéticienne afin d’avoir mon entrejambe le plus lisse possible. Je déteste les poils. Puis en rentrant, je décidais de me faire ce soin éclair « coup d’éclat » jouer les jeunes filles à mon âge.. même s’il paraît que je ne le fais pas.. mais j’adore jouer ces jeux de rôle dans lesquels il m’emmène par jeux. Il se donne toujours les moyens.
Je mis cette petite robe légère qui me donnait ce coté sage avec un col claudine. J’avais mis en dessous une lingerie dans les tons blanc / rosé. Ma culotte était légèrement bouffante comme pour rappeler ces culottes des années 1900… j’avais également mis des bas blanc. Et pour agrémenter le tout.. j’avais fait des couettes… En me regardant dans le miroir, je m’étais amusé à voir le résultat.
Je me disais. J’espère que nous n’allons pas en ville..
Il était venu à l’heure précise. Je sortais en faisant attention à ce que les voisins ne me voient pas. IL m’avait envoyé un message comme d’habitude.
Ma peluche à la main, je ressemblais à cette petite sainte nitouche.. sexy qui cherche les regards en faignant son innocence.
Je montais rapidement dans sa voiture.
- Oh en voilà une bien jolie jeune fille..
- Vous.. êtes…
Il souriait..
- Oui je suis ?
C’est là qu’il se pencha vers moi. De son pouce, il entreouvrait ma bouche pour le faire pénétrer..
- Une jeune fille suce t elle encore son pouce à son âge ? et se balade t elle encore avec une peluche ?
Il écarta mes jambes et me deshabilla du regard.
- Je t’emmène dans un lieu spécial où l’on pourra bien s’amuser ensemble. C’est en Allemagne. Nous allons rouler une petite heure. C’est dans un club mais nous serons que tous les deux. J’ai réservé une pièce bien spéciale pour nous deux.
C’est là qu’il me tendit une sucette..
- Tiens, je me souviens que tu aimes les sucettes ? rappelle toi une de tes punitions. Là je veux que tu la suces, que tu te délectes, que tu la lèches.
J’adorai faire la petite allumeuse.
Nous arrivions dans ce club, qui était dans un petit village. C’était assez étrange à vrai dire. Mais bon, tant que j’étais avec lui, je me sentais en sécurité.
Il sortit de la voiture un sac.
Nous rentions dans ce club. IL maitrisait parfaitement l’allemand. Nous allions au vestiaire.
- Mets toi en sous vêtement et prends ta peluche, petite allumeuse.
Il me prit par la main. Le responsable du club nous montra le chemin jusqu’à une pièce au fond d’un couloir.
- Ce soir, tu seras une petite fille qui a besoin de recevoir une petite éducation comme il se doit. Attends moi. Je reviens.
Il était rentré dans la pièce avec son sac. Puis il me dit de rentrer. Il était installé sur le lit.
Il s’agissait d’une centre d’environ 20m2 avec un lit de jeune fille en fer forgé. Plein de peluches adossées à une commode et au mur des images très enfantines avec des jeux. Une pièce très colorées avec un grand tapis circulaires, des poufs et des oreillers de partout.
- Viens t’asseoir à coté de moi..
IL tapotait le lit. Il me faisait tout de suite entrer dans ce personnage.
Prenant une démarche coquine et un peu à la légère, je m’approchais de lui, peluche à la main.
- Je vois que tu n’as pas pu tenir pour ouvrir cette boite. Sais-tu ce qui arrive aux jeunes filles qui n’écoutent pas ?
- Humm.. non Monsieur ? je ne sais pas… dis-je avec une voix légèrement d’idiote.
- Eh bien on leur met la fessée cul nu. Alors tu vas baisser ta petite culotte sur des cuisses et tu vas me les présenter.
Avec insolence, je passais au dessus de lui pour me mettre en position. Quand tout à coup, il me fit m’allonger en me poussant avec sa main sur mon dos.
Il me caressait les cuisses puis se dirigea vers mes fesses. Il commença à me fesser avec fermeté..
- Tu ne me remercies pas ?
- Pardon.. monsieur… Mer.. aie.. merci… Monsieur.
Sa main s’abattait encore.. et encore.. parfois plusieurs fois au même endroit. J’étais ainsi allongée sur lui à lui tendre mes fesses qui étaient probablement devenues écarlates.
- Voilà comment on corrige les vilaines.. les vilaines petites filles qui ne sont pas obéissantes. Humm quelles belles fesses bien rouges.
IL les caressa, les serra… Puis il écarta mes fesses pour regarder mon entrejambe.. Il y passa sa main..
- Ah je vois l’effet que cela provoque à cette innocente jeune fille… un état d’émoi de petite chienne en chaleur..
- Oh Monsieur, je ne sais pas ce qui m’arrive.. Dites le moi..
- Oh je vais te donner quelques leçons pour comprendre une nouvelle matière physique.
- Ah oui Monsieur, qu’allons nous apprendre.
- Tout d’abord, nous allons apprendre en jouant. Est-ce que cela te convient ?
- Ohh.. oui Monsieur.. dis-je avec cette voix enfantine à me triturer les couettes..
- Alors on va jouer. Va à cette sublime boite à jouet. Prends celui qui te fait plaisir.. Je te montrerai des exercices pratiques. Allez remonte ta culotte, ce n’est pas une tenue de s’exhiber ainsi.
Je me rendis à quatre pattes en dandinant mon derrière pour aller jusqu’à cette boite qui était sur le tapis. J’ouvrais la boite avec cette mine complètement surprise ( eh oui j’aimais jouer mon personnage).
- Oh mais monsieur.. je ne sais pas à quoi servent tous ces objets.
- Choisis en un.. je t’expliquerai.
C’est là que je sortis un gode ventouse. Je m’empressais de revenir vers lui à genou et à lui tendre.
- Hum cher Monsieur voilà ce que je choisis.
- Hum.. je vois que tu as de bonnes prédispositions.
Il se leva et se dirigea vers le miroir. Il y faisait adhérer le gode ventouse.
- Nous allons faire un petit exercice pratique avec ta bouche et ta langue. Tu vas prendre cet objet et tu vas le lécher, te l’introduire dans ta bouche, quitte à aller jusqu’à ta gorge. Je vais te regarder faire. Si je ne suis pas satisfait, je te corrigerais..
- Ohh merci Monsieur.
Toujours à quatre pattes en dandinant mon cul, et prenant une démarche que je savais sensuelle pour le rendre fou, j’allais vers le gode. Doucement j’ouvrai ma bouche pour commencer à le lécher, comme ci je découvrais cet objet.
- Allez, dans ta bouche
Je commençais à sucer ce gode.
- Allez, va y plus profondément, tu en es capable.
De moi-même je forçais ma gorge à en baver. C’est là que je sentis le coup de la badine s’abattre sur mon cul.
- Cambre -toi, tiens toi bien et continue de sucer.
Au bout d’un moment il me dit de le garder bien dans ma bouche.
- Voilà une bonne petite suceuse.
Il maintenait ma tête pour que je la garde bien en bouche. Puis en me tirant par les couettes il me redressa. J’avais de la bave qui dégoulinait.
- Maintenant nous allons passé à l’exercice en réel.
Il me releva en me tenant pour le cou et mis sa main dans ma petite culotte de jeune fille.
- Oh mais cette innocente demoiselle est bien lubrique. T’es toute trempée…
Il me poussa vers le lit, puis avec son savoir faire me retourna afin que j’ai la tête à l’envers.
- Avec sa main, il ouvrait ma gueule et y fourra un doigt.
Je me délectais de le lécher..
Puis avec une certaine fougue, il prit son sexe en main et le dirigea vers ma bouche ouverte qui n’attendait qu’à passer à cet exercice pratique.
Il me baise bien comme j’aimais. Il adorait me faire des gorges profondes. Il m’imposait son rythme effrainé. Tout en me prenant ainsi, il avait sortie mes seins de mon petit soutien gorge. Il jouait aussi avec mes tétons. Je bougeais alors mon corps pour me défaire de cette emprise. C’est là qu’il me prit le cou.. et serra. Il stoppa sa frénésie et laissa son sexe en moi.
- Brave petite fille.
Il me tapotait la joue..
- Allez sors ta langue, lèche moi les couilles, lèche bien partout.
Ma langue passait dans tous les endroits de son entrejambe. Il me rendait folle. Puis c’est là qu’il se retourna et s’assit sur moi.
- Regarde moi .
- Je t’ai dit regarde moi. Je veux te voir me bouffer les couilles, petite salope.
- Tu les veux hein ?
De mon regard naïvement pervers, il comprenait..
- Oh oui.. Monsieur merci..
Je l’entendais râler de plaisir. Il me saisit par les couettes et m’utilisa à son bout vouloir à faire des va et vient puis stoppa net.
- Bonne petite elève
- Oh merci Monsieur.. c’était si bon.
- Allez va choisir un autre jouet..
- OH Monsieur, qu’est ce que ce fil avec plein de boules attachées.
- Apporte le.
Comme une enfant qui découvre un trésor, je m’avançais vers lui.
- Allez reviens sur mes genoux.
- Qu’aillez vous faire, Monsieur ?
- Chut… Laisse toi faire, tu vas aimer.
- Oh mais monsieur, que faites vous ?
Il écartait mes fesses,
- Oh, regarde moi ce petit trou.. Tu vois je vais introduire ces 3 boules dans ton petit cul.
- Ah oui Monsieur ? et vous pensez que cela va rentrer ?
- Nous allons le voir.
- Ouvre ta petite bouche et mouille moi cela.
Avec sa main il me présentait le jouet que je me devais d’humidifier.
- Cambre toi et remonte des fesses.
Il plaça la première boule à l’entrée de mon orifice..
- Allez pousse ma belle.
Mon fion céda rapidement. Puis il opéra lopération une seconde fois.. puis une troisième.
- Oh regarde comme tout est rentré. Tu es une petite magicienne.
Je le regardais en souriant avec ce regard malicieux.
- Allez va sur le tapis, je vais te regarder jouer.
- Oh oui à quoi voulez vous jouer ?
- A la petite chienne qui va m’aguicher avec son petit cul.
- Oh Monsieur.. non…
- Allez fais ce que je te dis..
Je descendis du lit. Je baisais alors ma tête au sol puis je dandinais mon cul pour lui.
- Allez bouge le encore mieux que ça. Je sais que tu aimes ça.
- Oh oui.. monsieur
- Tu ne sais vraiment pas te tenir..
C’est là qu’il saisit le petit anneau à mon petit cul..
Oh mais regarde ce que je tiens en main.. Tout doucement il tira dessus.. Il sortit la première balle puis la rentra une seconde fois. J’étais complètement excitée.
- Oh oui, tu avais besoin de te sentir combler, n’est ce pas..
- Oh oui.. monsieur, je vous en prie.. combler moi encore.
Il sorti ces boules avec délectation. Je devinais son regard qu’il avait. A voir mon petit trou s’ouvrir, se grossir..
- Oh mais je vois que ma petite chienne est bien trempée.. Je vais te prendre la température ma belle.
Il se plaça debout au dessus de moi. Sa queue prenait la direction de mon trou. Il s’y fraya un chemin.. à sec. Il y allait doucement.
- Tu vas voir tu vas aimer, petite allumeuse.
- Je commençais à crier.
Puis il commença à me culbuter . Je sentais ses couilles me frapper. Il tenait mes fesses pour les écarter et admirer son œuvre entrer et sortir. Parfois il prenait de la hauteur et admirer mon trou bien ouvert, bien offert.
- Oh regarde comme tu es ouverte..
Il me pris par les poignets et repris sa chevauchée.
Puis dans un mouvement de fougue, il me releva et me jeta sur le lit.
- Garde tes jambes bien ecartées.
Il saisit des liens pour m’attacher les jambes afin que je les garde bien ouvertes. IL fit de même avec mes bras.. Attachés de part et d’autres.
- Sais tu ce qu’on fait aux petites chattes qui s’exhibent ainsi ?
Son regard était si. Intense.
Il tapotait ma chatte, puis commença à la claquer.. Je voulais refermer mes cuisses mais je ne pouvais pas le faire. Il se leva vers la boite et sortit un gode gonflable ainsi qu’un baillon. IL aimait m’entendre gémir ainsi.
- Oh mais regardons cette chatte si douce..
Il aimer me doigter, et j’adorais cela. Je mouillais tellement qu’il en entra directement 4… Puis il commença à vouloir introduire son poing.
Je me débattais, j’écarquillais les yeux.. mais il n’y arrivais pas. Cela ne l’empechait pas d’aller au plus profond pour me stimuler …
Il mis le gode dans mon petit fion . Je poussais des cris en feignant de ne pas vouloir plus.. Mais au fond mon corps réclamait bien sur davantage.
Il pressa une première fois la pompe… Je bougeais.. Puis une seconde.. Il le gonflait encore et encore.
IL connaissait mes limites. C’est là qu’il me prit par la chatte tout en ayant le gode dans le cul.
- Alors petite vicieuse.. C’est bon d’’avoir ses deux trous bien remplis ?
Je faisais oui de la tête. Il ota mon baillon et dit..
- Va y je t’écoute.
- Oh .. que dire que de sentir votre queue me prendre tout en ayant le fion rempli.. Merci. Monsieur.
Tout en me besognant il me gifla, probablement pour être si chienne. J’aimais cette frénésie où au fond j’aimais qu’il me déprava à faire une petite chienne à son image. Elle est là mais il arrive toujours à me rendre encore plus.. chienne.
Il s’arreta en remplaça sa queue par ses doigts si magiques. Il me doigtait tout en maintenant la pression au fond de ma chatte. Je ne tenais plus.
Il me caressait en même temps le clitoris.. Je n’en pouvais plus. J’étais au bord de la jouissance.
- Monsieur.. Monsieur.. je vais.. jouir..
- Va y.. Jouis..
Je me laissais aller à cette déferlente. J’essayai de me soustraire à la magie de son savoir faire. J’en mettais partout. Je jouissais avec une telle force.
Puis il continuait à vouloir me rendre encore fontaine jusqu’à ce que je sois vidée.
Il me tira par les couettes pour me forcer à regarder.
- Regarde petite cochonne, regarde tout ce que tu as. Quelle innocente putain..
Puis ma tête partie en arrière. J’étais épuisée.
Je sentis alors qu’il retira le gode de mon cul.. Je ne sentais plus rien à vrai dire . J’étais encore dans mon paradis. Il me sodomisa à nouveau. Il prit mes seins avec force et les pressait comme des oranges. IL aimait les presser, les faire se dresser. Il m’utilisait comme une petite poupée.
Je le regardais prendre aussi son pied. J’aimais cet instant où il perdait lui aussi pied… Ses coups se faisaient plus rythmés plus violent. Il me tenaient par les cuisses.
Il se déchainait jusqu’à la libération.
Il s’assit sur le sol à me regarder ainsi… la chatte exposée, mon fion dégoullinant de son foutre.
Il se rapprocha pour m’embrasser la cuisse gauche.
Je vais te laisser ainsi, je crois que je vais avoir encore envie de jouer avec mon petit jouet...
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Mademoiselle_Lane
Je vous remercie cher Snow de Wakete
J'aime 04/05/20