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Parloire

Homme Dominateur. 48 ans. a une relation BDSM avec .
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 19/02/18
. L'état fantasmatique prend le pas sur le descriptif, Linsoumise, je viole ton âme et ton corps s’essore à genoux, lovée, agrippée encore à lustrer mes pieds comme une chienne.. Tu trépanes mes repères.. ma folie pulsionnelle te parle en ces mots sombres: . Ma perte sublime, l'abandon de mon contrôle aux perversions sombres abyssales, sales et humiliantes: sadiques.. là où ta dignité ne réside qu'en l'absence du "Toi". Livrant ta carcasse désincarnée à ma nature profonde crépusculaire, sauvage, avilissante et habitée . L'usage même de paroles devient l'expression de dégoût, t'avilissant. Te retranchant au delà de ce que le seul sens non isolable pourra transmettre à tes oreilles. Sons perçus étouffés par tes tourments, tes maux, ton épuisement, MA possession. Asile psychologique certain, te réfugiant dans ton subspace bienveillant, salvateur, laissant libre le désinvestissement corporel que j'entreprendrai, méthodiquement sur toi. Devenant un corps mou duquel j'extrairai à coups de griffes le reflet cinglant des morsures du fouet de mes envies, m'exprimant sur ton corps et ton âme. Te soustraire ... te laisser quelques secondes de conscience, peut être d'éveil, marquer au fer rouge ce que tu es devenue entre mes mains. Hum ... images et émotions: langage subliminal. Marquage de l'inconscient, ton cerveau reptilien dans le panier de mon emprise, ondulations hypnotiques aux fréquences Dominantes.. Tu seras loin. Enfermée dedans. Ressentir paradoxalement à/a peine les assauts démoniaques, extrêmes et avilissants qu'un statut d'esclave t'aurait simplement épargné. Gardant possession psychologique d'une situation physique dont tu serais pourtant coupée. Laisse tomber , va, abandonne... Comprends bien, qu'Il me sera alors jouissif autant de te voir résister pour te contraindre un peu plus, que de te ramener en pleine conscience pour te révéler à toi-même ce statut de déchet sexuel: MON déchet sexuel. Perspective Jetable?... je salive d'anticipation.. Replongeant ensuite dans ta boîte crânienne, Subspace, salvateur/trice, me laissant pleinement exprimer en et sur toi, mes allégories passionnantes et expressives. Déversoir de ma folie sexuelle démente, réceptacle de mes fluides corporels avilissants et marquants. Perspective durable? Trace indélébile de l'incroyable et démesurée emprise que ma Domination exprime sur Toi : MON Objet sexuel. Tu ne seras ni la pire des salopes rêvées, Ni cette femelle fantasmatique à prendre comme une chienne, horizon salace; Ni même Esclave, statut seXuel permettant toutes les disponibilités... non, non, non, non , non...mon expression réside là où la dignité même de la personne est touchée; Là où la dilatation n'a plus de fin qu'en l'expression du vide, cercle sans objet, ni d'objets même à t'enfiler laissant béant tes orifices. Là où même les réflexes naturels de fermeture n'opéreront plus. Tu ruissèleras de liquides mélangés, ton souffle presque inconscient, catatonique, faisant mentir le cadavre sexuel gisant sans dignité que j'aurai créé, besogné, vidé de sa vie. Prisonnière de ton corps comateux, le déséquilibre manichéen basculera dans une monochromie sombre où tu ramperas à mes pieds pour obtenir le pardon du simple fait que j'en arrête avec ton corps et ton âme, forme de peur de l'abandon.... tu l'auras compris qu'ici, réside mon expression. En la perte temporaire et entière de ta résistance... quel paradoxe sans injonction, processus circulaire dans lequel l'énergie de la réponse est fournie par ta réaction et non pas par l'élément déclencheur... perversions, sublimes de tortures psychologiques par le vecteur de ton corps ... Alors... Me suppliant encore de te souiller de toutes les manières de mes perversions et mon sadisme mêlés, graal unique de mes quêtes fantasmatiques, de crainte que j'en ai fini avec Toi.. supplier... me supplier de te prendre sans limite, en tout cas m'abandonner les tiennes... concept si éloigné de ton orgueil... de ta fierté. Insoumise? Ainsi je t'exposerai aux hyènes impropres, essentiellement libidineuses, s'exprimant, de leur seule turgescence, assoifées de viande pas encore assez morte. Charognes. elles te baiseront aux limites de l'évanouissement jusqu'à ce qu'elles s'épuisent elles-mêmes, vidées autant que de leur pauvreté fantasmatique m'inspirant tant de dégoût ! Je les bannirai d'incompétence à t'user de baise, les humiliant pour ma satisfaction narcissique et par condescendance perverse. . Prête de ce préliminaire sexuel, essuyant tes larmes d'abandon, j'exercerai alors ma Domination sur Toi. . Mon déchet, déshumanisée, état subconscient , cloîtrée au fond de toi même, je saurai encore te ramener à la conscience pour te montrer ce que tu es. Pour moi... Objet.... mon objet, par delà tes limites: mon objet dans mes limites. Tes trous devront rester béants d'avoir servis et prêts à servir, et resservir .. sans quoi je n'aurai de cesse que de les éprouver jusqu'à ce que mon sperme entre ou sorte par simple gravité de tes bouche, vagin et anus suivant la position dans laquelle je te baiserai encore. Et encore. Et encore sans aucune attache, limite, résistance molle, pantin fantasmatique, receveur unique pour des heures indélébiles dans chacune de nos mémoires... de notre chair. Tes ultimes étincelles résistantes d'insoumission articuleront mes perversions à te faire lâcher ton contrôle par ma Domination systémique. Jeu des derniers soubresauts d'orgueil abattus par l'implacable détermination à te faire lâcher prise. Menottes, bracelets, Cordes, scotchs et strapps t'immobiliseront pour subir. Baillons, écharpes, scotchs, cordes ceintures étoufferont tes lamentations. Ceintures, martinet, canne, cravache, fouets et autres caresses éveilleront ta colère pour mon plus grand plaisir. Mais c'est Ton état passif et abandonné, qui transcendera enfin l'état dans lequel je cherche à exprimer ma jouissance. Tu ne pourras alors recevoir mon offrande en calice, qu'aux signes de ton abandon. Alors surement alors, performant de ma Domination sur la carcasse épuisée de ton corps, me redressant de toute ma taille pour jauger mon empire. Haletant et triomphant, dans un geste narcissique je te pisserais dessus ou plutôt dans un de mes trous béants ... afin de marquer d'avantage mon territoire, mon emprise, ma démesure. Souillant encore un peu plus mon Objet seXuel, t'entraînant sur les pentes obscures de ma volonté de te dépersonnaliser, te déshumaniser, pour t'imprimer sur le disque, alors formaté de ta conscience, les premières marques de ton appartenance définitive. Tu m'appartiendras à vie, quoi qu'il en soit, et j'opérerai sur ta volonté perdue pour un instant, l'étendue saline de ta dépendance envers moi, dans une forme de résignation absolue, indiscutable.. Assemblée à mes pieds, genoux cédant, prostrée à cette place qui est la tienne, mes mots anciens reviendront à Ta mémoire comme un soleil de T/ta nuit: "Prépares ton enveloppe insoumise, Tu n'as pas perdu ces heures à attendre. Patience, répends toi dans ton silence, oublie ces jours vides, enracinée que tu étais, à espérer t'évader à mes côtés, ivre de dépenses d'énergies, de maux torturés, attachés à mes pensées tourmentées.... Que feras-tu, après tel abandon? Le souffle court, jetée dans la masse, dans le mouvement, agissant jusqu'aux extrêmes Insoumise, ton doigt pointé se tordra suppliant, scrutant en moi la moindre faiblesse. Ici, tout le corps se donne. Cherchant à épuiser ses possibles. Ma main s'ouvre et se ferme, puissante étreinte au support de ta tête rebelle. Fou de Vie, et d'envies, îvre d'idées abissales, mon demon animal te ploiera par le col, jusqu'à ce que tu aies compris. Brassant et déchirant tes chairs, te voulant saisie, te soufflant ma divine amertume. M'abandonnant ton corps, et par toi, ainsi devenant celui que je veux être. Mon corps instrument de l'esprit, Cependant auteur de toutes tes idées. Alors, Soumise alors, tu saisiras de tes bras meurtris mes jambes dressées. Plongeant ta tête aimante, tu m'aimeras tel ton soleil. Tout s'éclairant alors pour moi Je serai celui par lequel Tu te soumets..." Dominée. . Parloire. .
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Par : le 08/12/17
Avant toute choses, je n’ai la prétention d’aucune vérités, ceci est ma pensée, mon D/s, mon metasexe, avec Linsoumise.. D/s’ment parlant, pour moi, au début, dès le début même, le lien était l’évidence, la clé du fonctionnement, du maintient et de l’équilibre. L’arcade commune pouvait alors supporter les fardeaux et explorations individuelles, fondements vers un metasexe amplifiant. Bien que tous les actes ont un sens, individuellement parlant, il est fondamental de leur donner du sens au travers du Lien et de dévoiler l’intelligence organisatrice de ces actes. Le lien alors, c’est ma possibilité de passer à l’acte pour « moi », au travers de l’autre. L’autre devenant l’objet d’investigation profonde à soi même, à moi-même.. En créant le lien à l’autre, j’allais pouvoir aller chercher mon centre véritable dans un transfert avec l’autre, mais sans m’inspirer ou me confronter à son image; j’allais l’utiliser en modelant sa réponse pour moi même, un vecteur physique, une réponse psychologique à mon individualisation. Mes inhibitions, mes pulsions ou mes phobies, résultant d’avantage d’une forme intelligente que d’un désordre, allaient donner le sens des actes, qui se teinteraient du Lien, matrice de passage de mon autonomie, de ma capacité à l’échange, vers ma réalisation individuelle au travers et à l’aide de l’autre. Être moi au travers d’un autre... les Psy vont me décapiter ^^ . L’autonomie des actes sans plonger dans la connexion à l’autre est pour moi, d’une pauvreté incroyable, égoïste, d’une dimension de surface, sans densité et sans finesse. Donner de l’épaisseur, de la densité aux actes, leur accorder une forme de dignité, sublimée par l’interprétation profonde et commune du Lien. Avec ses nuances infimes, ses subtilités, ses méandres, et le poids titanesque des flux émotionnels qu’il peut supporter, transcende le rapport D/s. Mais avant de créer du lien avec l’autre, il faut se comprendre soi même, car l’on accorde plus de valeur, ce que l’on sent par soi même, que ce que l’on nous dit de croire, de faire ou d’être. Ces formes d’intoxications éducatives, il est important de les écarter et de désactiver sa propre image: Adhérer à une idée commune, imiter des leaders, suivre la voie du troupeau parasitant la perception du « soi » profond. On est seuls au fond, car nous sommes tous différents, et c’est sans doute cette peur de solitude qui nous pousse à essayer de convaincre que l’on a raison ou d’adhérer à ce que pensent les autres..individualisme d’exclusion ou collectivisme uniformisant entretiennent un état fusionnel artificiel écartant la rencontre pour défendre leur points de vues au détriment de l’accueil et la compréhension de l’autre. Finalement, écraser l’autre ou se laisser écraser par lui en détruisant la différence, détruit l’autre et nous laisse bien seul... Ainsi le lien servirait à répondre aux interrogations de soi et de l’autre, s’appuyant sur des valeurs fondamentales: Le Respect, prendre en considération, avec égards, honnêteté et décence, forme révérencieuse voire de vénération de soi même, de l’autre, du N/nous, des valeurs et éthiques défendues. La Sincérité, en toutes circonstances, ne point mentir, ni dans la composition de l’ensemble, ni dans celle des moindres détails du Lien à construire. La Transparence, offre des actes, des pensées et des sentiments faciles à comprendre, à deviner, d’être visible au travers de ce qui fera écran. Dans la Durée, le mensonge devient insupportable; la continuité est essentielle car l’écoulement du temps, ne s’arrête pas. La Cohérence, apporter une harmonie, un rapport logique, une absence de contradiction dans l’enchaînement des parties de ce tout, pour soi et pour l’autre. Et ce dans la durée. Avoir le droit de se tromper en toute sincérité, transparence, et cohérence puis rétablir la chose sur la nouvelle vérité dans le respect de soi même, de l’autre... A ce point précis, le lien est créé, il est solide, il est fort des deux individus ayant éprouvé ce lien : Exploration de soi Exploration de soi à travers l’autre. Il devient alors logique et motivant d’explorer par l’amplifications des variables intimes (du soi et du soi par l’autre) en créant une dynamique émotionnelle libérant l’espace de conscience du soi et de l’autre en même temps, établissant une dimension sexuelle commune: le meta sexe. Outre ce qui retient l’animal, enchaîne ou ligote ma prisonnière, le lien, c’est le point essentiel dont dépend l’existence et l’équilibre de la relation D/s. Bien plus que la connexion physique ou amoureuse de deux individus, c’est l’articulation fondamentale entre les individus vers leurs meta-sexe. Le lien unit ici deux personnes, il établit entre elles des relations , les met en rapport; le rapport tel qu’il est perçu par l’esprit. Il pousse à échapper au temps, au mode des apparences multiples, pour permettre de saisir enfin, l’absolu et l’unité dans cette dimension ... meta-sexuelle. Pensée au Parloire pour ma muse.
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Par : le 06/03/17
Accroché a tes lèvres, mon regard est médusé.. Comment fais-tu Insoumise ? Femme Soumise de cet instant Scellée, ton corps sur ton âme, étirée dans ce film, isolée du lien. Repousser tes limites, repousser.. un peu plus loin, Un peu plus près, un peu plus serré… momifiée. « Inspire à fond » « HAAAAaaaaaaaaaaaPPpp !! …. » Te voilà seule maintenant, je ferme ton cocon.. hermétique. Respirer, respirer, respirer.. dans un sarcophage. […] Les secondes trottent, pulsent dans ta tête, ton cœur défendant Pas d’issue, pas d’air, pas de mouvements, sauf peut être La trotteuse qui tourne et ta bouche qui aspire et souffle Ma main posée sur ton crane, veille… Inspire, expire, Inspire… expire.. …. Inspire… …. Expire…. […] …. Inspire… […] …. Expire…. […] …. Inspire… […] …. Expire…. […] Manque… tu manques… la buée sature le film Ton corps veut vivre.. tu cherches à sortir, spasmes d’extraction.. Soumise tu es, Insoumise. Soumise au Lien. Bouche grande ouverte.. 10 microns de plastique te séparent de ton appel d’air […] Mon index vient caresser ta bouche, faisant le tour cyniquement La peau infime et tendue, n’appelle que mon bon vouloir Excitation perverse, d’un contrôle immoral Mon ongle vient doucement cisailler sur tes dents Mon doigt pénétrant, la membrane se déchire INSPIRE !!!!! Frénétiquement, l’air te redonne la vie.. Respire, Respire, Respire.. Ma bouche vient embrasser ta ligne rouge Il est temps maintenant, que mon Objet cesse de me méduser. Écartant tes lèvres, et passant ma main sur ta gorge Je plonge ma queue dans cette bouche, cherchant la chaleur profonde… Soumise j’ai dit ! Tu étouffais, je vais maintenant te noyer.. Abusant mon objet offert, jubilant de puissance Envie bestiale arque bouté par ma conscience, Je veille sur l’objet de mon plaisir… Inspire… Avec mon plus profond respect, Ma soum.. vous me médusez. Parloire
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Par : le 16/02/17
Encore une fois... Je regarde ce spectacle saisissant où ton corps se crispe et ta bouche souvre dans ce râle, Instant sublime d'une effervescence emotionnelle, Tes yeux vides, fixes tournés sur ta jouissance. Meme masqués, je les vois figés, Paroxysme de cette longue et lente ascension D'un plaisir solitaire ... mais tellement partagé. Tu me livres alors ouverte pleine et a moi Entre douleur et liberation cet intense emotion exultante Qui te fais tellement briller a mes yeux.. Plus tôt alors, Je t'ai prise, Insoumise, en te regardant droit dans les yeux. Ton regard se fait plus accueillant, mais ta façade ne me trompe plus. Je sais que tu me cracherais a la gueule plutot que t'agenouiller sous ma demande. La douceur ne fais que t'agacer d'avantage, t'expliquer où est ta place a mes pieds te fait doucement ricaner.. Face a face, toujours en attente de mon caprice, tu attends. Je ne te demande plus de te mettre a genoux Le temps s'etire trop et tu joues les vieilles douleurs Ma main saisit, large et puissante, et puis te plie a ta place, pliée fermement. Pas de place pour ta résistance, à mon injonction physique Mon mot devient: a ta place! Et l'amour soujacent ne laisse place au doute. par reflexe, tes genoux cedent, et tes jambes s'ecartent deja assise sur tes talons tu te cambres, sexuelle.. Tes seins gonflés et provocants sous ton décolleté plongeant. Tu places tes mains sur tes cuisses et ta tete reste fiere et dans l'attente . comme j'aime te voir ainsi ma petite pute Je tourne autour de toi et t'observe.. Les secondes tombent lourdement sur ta conscience.. "Tu vas devoir suffisement mouiller pour que je te baise, Et tu sembles bien partie pour recevoir mes doigts plus que ma queue Tu vas japer comme une chienne pour repartir la queue entre les jambes Je veux voir la pire saloppe qui est en toi.. Alors, rompu d'avoir baisé mon trou, Je te laisserai a ton jouet, si tu aura ete suffisement chienne, et tu me regaleras d'un de tes orgasmes si fantasmatique." Je posais les règles... tu saurais a quoi t'en tenir. Je lis ton attente, ton envie d'en découdre Approchant mon visage a quelques cm de toi J'articule : "ouvre ta bouche et sort cette langue" Toute ton insoumission se cristalise dans ton regard, ta façon de déglutir puis d'ouvrir la bouche et de tirer lentement ta langue "Je t'emmerde, aurait été plus judicieux !" Tu donnes le ton, petite pute! Impulsant le rythme de ma reponse a ta demande "Je vais te plier femelle, et tu vas mouiller pour t'en sortir!" Une Sorte de rage sourde et sans eclats, me prends les trippes, nos caracteres dominants s'affrontent, dans un combat immobile Puissant jeu de pouvoir, tu ne te soumettras jamais de ta propre volonté! Ma main saisissant ta gorge et mes yeux fambloyants La force de ma poigne et l'impossibilité d'en echapper Laissent glisser un hoquet de surprise Tu as le don de faire sortir ce monstre en moi! Ton visage rouge et te veines gonflées, tes mains crispent mon bras Et lascerent de leurs griffes pour t'echapper veinement L'air t'amplissant de nouveau, la tete te tourne et tu vascilles légèrement.. La main sur ton cou, je te redresse et scrute ton regard .. Il en faudra beaucoup aujourd'hui pour que tu merites ton jouet! Tes yeux s'etirent, et un sourrire esquisse le coin de ta bouche.. La femelle alpha ne plie pas comme ça... Une gifle ferme mais douce vient marquer ta joue, et ton regard commence a craindre la suivante.. Ton arrogance fait basculer ma part complète. Face a moi, non plus ma Soum, ma pute, mon amour? Face a moi ma chienne qui veut Dominer.. alors... une seule chose ne peut qu'exister: Ma Domination Seul objectif : ton corps reduit sous le mien exultant et ma gorge rugissante! La tempete emotionnelle bat son plein entre nous, Tu as fait sortir ce monstre Alpha, et tu jubiles d'envie D'etre laminée comme cette fameuse coquille de noix Traversant seule les 50emes rugissants! Les minutes sont longues et intenses. Ta gorge subit sans menagement mes assauts.. Tu devras mouiller en abondance pour recevoir ma queue dans cette brutale penetration. Ton bassin ondule d'envies, mes mains t'attrapent Et te placent au grès de mes caprices, que tu suis, non docile, mais forcée Contrainte... contrainte encore et encore A faire entrer ton putain de caractère dans cette minuscule boite Rhhhhhhaaaaa je rage de te baiser ma chienne Te retournant vivement, sans ménagement mais en t'accompagnant, Quelques gestes prompts et péremptoires t'imposent la bonne possition Alors, d'un coup, et d'un seul profond, je te penetre avec violence.. Et baise ma chienne, déchainé de défi et de fureur dominante Mes mains t'agrippent, t'etranglent avec force Tu es devenu mon jouet, mon pantin a jouissance. Soumise de force, et par plaisir d'etre dominée, Je ressent alors tes barrieres ceder, Alors... Mon calice reçoit mon intense et bestial orgasme, Rugissant vainqueur j'exulte mon rhale Petrissant ton corps et mordant mon territoire.. "Tu es a Moi tu m'entends?" Tous les deux haletants, je replie doucement mes bras pour epouser ton corps , Cape humaine, tu disparais sous mon amour qui appaise tes maux Je susurre a ton oreille toute mon admiration pour ton abandon Et je berce ta conscience, pourqu'elle retrouve sa place Tu es loin.. si loin.. ma Soum.. Tu as si bien cédé ta place pour que j'exprime mes pulsions.. Caressant ton corps, je te prepare, pour ton moment de grâce Encore une fois.. je vais regarder l'emotion pure animer ta carapace Les spasmes de ton bassin vont animer mon envie Tu vas degager tes phéromones et je vais figer cet instant intemporel J'aime ce que tu me fais vivre ma Soum Parloire
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Par : le 05/02/17
Préambule Je déambulais, voici quelques jours dans les sous-terrains de la science. Dans cet environnement de travail, j’étais en quête, sans but précis. Un objectif: Trouver quelque chose qui inspire mon BDSM... Armoires débordantes de reliques scientifiques. L'oeil non averti ne perçoit, ici bas, qu'objets industriels. Mon regard pervers cherche et fouille de mes mains habiles ce vieux laboratoire d’expériences. Docteur hyde cherche par mes yeux, ce qui va attiser mon inspiration lubrique, doper ma perversion, ​de LA voir se plier à mes caprices. Comme cette laisse collier en cuir servant à sangler un deward d'azote liquide ou ce morceau de plexis, qui se transforma en Gode, ou encore.. Ce garde corps transformé en... et puis aussi les pinces.. et encore.. et encore.. Cherche, re-cherche.. les tiroirs s'ouvrent, se referment, mes mains fouillent, se referment, mes yeux observent et mon BDSM trouve!.. Objet, mon bel objet, vintage, mais quel age as tu? tu sembles sortir tout droit du fond des ages, quelle sorte de fonction as tu? Étiquette des années 50 "testeur Haute fréquence" ... Humm... "WARNING! L'alimentation principale de ce testeur doit être branchée sur un fusible à 2 ampères, reliez le rouge à la phase et le noir au neutre. La sonde métallique ne doit pas être touchée par l'opérateur. Indépendamment de la position de la commande du pouce. Comme un léger choc peut être expérimenté" ... Docteur Hyde frissonne. Ce peut il? Il se peut. Un objet subtil et tant mieux. Je ne sais pas, ce que c'est?.. ce que c'est.. J'entends tes cris Linsoumise, J'entends tes cris.. Humm.. Douce perversion.. Mr Hyde ton sang mêlé me donne des visions torturantes, où mes paroles inquisitrice créent le paradoxe de SES aveux coupables arrachés par ses douleurs innocentes, suppliantes.. sombre perversions crépusculaires. L'appareil sous tension, se met a grésiller. Nikola Tesla, quel génial inventeur fais tu.. Odeur de poussière brulée... des années de tiroirs.. il est temps d'une seconde vie pour toi, Objet du vice. La recherche t'as mise au placard, je t'ai trouvé, je t'ai sauvé de la destruction.. Le curseur a moitié, j'approche la sonde métallique du bâtit de ta prison. Un immense et magnifique arc électrique se crée... ma chair se hérisse: ... incroyables appréhensions ... le champ des possibles est ouvert [...] (silence) Le curseur au minimum, j'approche à nouveau... de mon bras, je dois savoir ce que cela fait pour pouvoir Infliger... La décharge électrique se veut surprenante de part sa légende urbaine avérée. Le picotement tend les muscles locaux comme la châtaigne électrique connue sauf que l'Intensité est bien moindre même si elle court circuite les récepteurs nerveux. Douleurs vive mais continue, supportable en détendant le muscle. Première expérience: exercice difficile sous contrôle, déjà, l'angoisse est là. Un sourire pervers découvre ma canine..Imposé? impossible... ​Satisfait, rassembler les affaires pour une dimension particulière à ma prochaine séance, Sceller le tout dans une mallette sobre et énigmatique que je stocke dans mon armoire... Coup de foudre Regardons nous ! Jusqu'au fond de l'âme en ce jour de pluie, mon Insoumise, Enlaçons nous! Jusqu'au fond de l'âme et mêlons nos cœurs palpitants en face à face croisés. lions nos jambes jusqu'à nos pieds sous la couette, et chauffons de la moite chaleur irradiée par nos corps, humides entre nos cuisses.. L'âme ouverte, déversoir à envies, je sent ton appel et plonge déja dans ton corps animé. Sourde tension dans ma poitrine, et remontant de mon sexe en mutation je commence à psalmodier dans le creux de ton oreille des sévices par un flot de paroles indociles et amorales. J'arque tes courbes dans mes puissantes mains, et mes dents commencent a vouloir te posséder. ma mâchoire comprimée d'envies, prête à chopper, la bride de ma conscience tient bon.. Envie de te soumettre à la question... te soumettre à la question... ... Maître a la question!.. Inquisition. Hyde, prends sinueusement sa place et fait bouger mes lèvres pour émettre "un caverneux": "C'est dommage... j'aurais bien aimé essayer cet objet improbable dans ma mallette.. Pour cela il faudrait que je t'attache et que je te bande les yeux.. tu n'entendras alors que mon activité et fantasmeras alors ce qu'il t'arrivera.. Assurément, une expérience que tu n'as jamais vécue, tu en auras peur..." [...] (silence) M’écartant, je te laisse seule avec mes mots. J'observe dans l'intrigue. Insidieusement le méandre de mes mots d’abord tortueux prend le plus court chemin; Les questions traversent tes yeux, alors qu'imposer n'aurait mené a rien. Mon Insoumise est curieuse.. et Insoumise veut savoir.. Insoumise, ne se soumet pas. "c'est quoi?" "tu ne saura pas" [...] (silence) "Attache moi" "bien".. (la satisfaction lèche le coin de mes lèvres) "ça fait mal?" "oui .." (la satisfaction re-lèche le coin de mes lèvres) Insoumise ne reviendra pas sur son engagement. Insoumise n'a qu'une parole. [...] (silence) Hyde jubile…”pas maintenant!” Doucement, ménage l'instant.. savoure ses angoisses son appréhension.. Lis la saveur du doute. Insoumise aussi, l’envie devient palpable, la tension en suspens resserre les atome d’air. Inhaler demande un effort, hypoxie.. Espace trop confortable. La couette vole. Laissant place à ce terrain de jeu. Tu t'es mise en attente ouverte, visuellement prête, indifférente d’un regard, à mes sévices à venir. Prête a subir, te soumettre peut être? t'abandonner c'est sûr. Tu mouilles déjà d'envie, petite salope, j’ai encore rien fait ... Ton corps dénudé appelle les caresses, mes doigts lient et lacent tes membres. Peau fraîche, la douceur de ton grain sur mes lèvres humides détache des gouttes de salives.. Les ancrages aux pieds du lit ne le quittent plus. Tu vas prendre cette croix d'offrande et me la livrer, t'eXposer à moi , je te veux vulnérable La courbure de tes formes ainsi contrainte provoque déjà mes mains indiscrètes, Fouillant ton corps, 2 ou 3 doigts de dignité plus loin, je les enfonce dans ta bouche. J’adore ce geste, comme cracher violemment dans ta bouche ouverte.. déposant la mallettes entre tes cuisses, je la déverrouille, mais ne l’ouvre pas.. J’observe… ton envie de savoir , de voir.. tu regardes puis te résigne.. Hum.. frustration. Allant lentement chercher le foulard , enlevant le contenu de tes yeux. mes yeux seuls maintenant.. voient! La boite s’ouvre et laisse apparaître cet objet du fond des âges. ma main touche et glisse de ta cheville, ton genoux, ta cuisse, ton haine, ta taille, tes cotes, le galbe de ton sein, ton aisselle, ton bras, ton épaule , tes trapèzes et vient saisir doucement et pleinement ton cou vulnérable… ta bouche formule le plaisir en pincent ta lèvre inférieure, fragile et forte, instant qui s’étire, l’attente .. Je savoure. L'appareil sous tension, se met à grésiller. Ton visage se tourne vers ma main, ton angoisse palpable.. “c’est quoi? j’aime pas ce bruit” [...] (silence) je n’ai pas encore bougé. Je t’observe. Hyde en moi. Tu commences ton bal. “on dirait un epilateur”.. tu sourit effrontément.. Pas de poils à épiler, justes tes cils et sourcils, sous ton bandeau, protégés ... tu te moques de moi.. quelle assurance! Insoumise.. je m’approche doucement. La mise à la masse est essentielle dans cette expérience; je pose mon pied nu par terre et met toute ma cuisse en contact avec ta peau. j’avais choisi de le faire sur tes lèvres, mais les pinces étaient trop douloureuses, et puis peut être que c’est trop intense pour une entrée en matière… je me ravise et tente une approche plus éducative. “Je vais d’abord le faire sur moi...” tu accueilles mes mots.. La portée en est monstrueuse. Hyde tremble dans son sadisme, il reconnait ma perversion.. la décharge s’exprime sans même que je la ressente. mon esprit est ailleur, je t’observe.. “non! c’est électrique! je veux pas!” tu te débats.. [...] (silence) ton angoisse a pris littéralement le dessus, tu as conscience de ta vulnérabilité.. [...] (silence) j’ai conscience du caractère de la situation. Le temps se fige. il n’y a plus que toi et moi. Tout ce passe là. Ton fantasme fait gonfler ton fantasme. ta respiration change. [...] (silence) je n’ai pas bougé. tu cherches a t’écarter de moi dans un geste futile de protection. tu ne sais pas qd cela va arriver, tu ne sais pas ce que cela fait, tu ne sais pas, tu as peur, tu paniques, tu sais que mon envie est perverse.. Sadique! [...] (silence) L’attente, déforme tes traits insoumise.. je t’observe avoir peur sous mes yeux. je ne ferais rien qui te fera mal. Mais tu as deja mal. Tu souffres de ne pas savoir. Ma main caresse ton corps, dans un geste rassurant. Au contact, tes questions fusent.. alors mes paroles sur ce que je fais, pour que ta cessité soit comblée sont accueillies. “je vais m’approcher de toi, ne bouge pas...” l’effort que je te demande est inhumain.. j’en ai conscience.. tu t’exécutes. ton courage est incroyable. mais mon approche pas a pas, rend ta tension nerveuse difficile a supporter. Tu gémis d’appréhension, tu me sent très proche et il ne se passe rien.. tu sent que les secondes s'étirent, et que la distance diminue... Contrôle, essaie un peu? tu dois te contrôler dans ta peur en 4 dimensions.. Un coup de foudre claque sur ton sein.. La pièce s’emplit soudain de ton appréhension intense et cristalline Se figeant en un cri de douleur et de surprise. AÏE ! rugit ta gorge! Ta vague d'émotion prend dimension réelle. Le fantasme bat plein régime. “J’ai peur, j’aime pas ça, j’aime paaaaas…” Recule Hyde! Ce n'est pas ton moment ! Ne vois tu pas qu'elle a peur. Il faut l'accompagner pour aller plus loin, si elle le souhaite, pas la torturer. Je caresse ta peau. Mes mots rassurant, t’expliquant ce que je fais, mes gestes, sont décortiqués, précisément, pour que ton bandeau ne te gêne pas. je te propose de le retirer. Tu refuses. Tu te caches de quoi? derrière ce masque.. Je vais le faire sur moi en continu. Des impulsions brèves d’abord, puis longues. Je te parles calmement.. Ton inconscient imprime: mon dom n’en souffre pas je m'exécute sur ta main. Tu me laisses faire. Des impulsions brèves d’abord, puis longues. Je te parles calmement.. Tes gémissement s'étirent comme ton aversion pour l'expérience. tu ne veux pas continuer. “arrêtes” “si tu veux j'arrête” [...] (silence) Je reprends quelques impulsions, sur ton bras. Tu réagis au claquage de l’arc! pas à la douleur. c’est ton angoisse irraisonnée.. non rationnelle. Pas de marques, pas vraiment de douleur, juste cette sensation désagréable d’une impulsion électrique et du claquage de l’arc. Juste?... “je vais dire mon safeword..” je fais une pause. J’aime pas arriver à cette limite sur une première expérience. [...] (silence) “Quel plaisir as tu?” “J’aime te voir dépasser la limite qui est tienne. T’accompagner à le faire. Je maîtrise les paramètres et les curseurs de l’outil et de son application. Toi tu t’ouvres à tes émotions. On est en plein dedans, là!” [...] (silence) je t’observe réfléchir mes mains te caressent j’aime ta peau putain, j’aime ton corps ma chienne.. [...] (silence) je pose l’objet et prends le wand.. Inutile de forcer, ce doit venir de toi. L’air se met à vibrer, et je te vois te détendre. Tu mouilles instantanément.. Chienne de Parloire, tes réflexes aux stimulis sont intenses ! J’aime ça! Basses fréquences, sur ton bouton, j’observe le ressac des vagues de ton bassin. Tu ondules sur courant continu maintenant, l'électricité te dérange moins là. Mais tes pensées sont ailleurs.. “Je ne comprend pas quel envie ça te procure de m'électrocuter?” J’arrête le wand, réfléchis, à ta question. [...] (silence) “C’est un dispositif qui crée un arc électrique à haute fréquence. La différence de potentiel entre l’appareil et toi ne t'électrocutes pas, car nous jouons avec l’arc, cependant le courant se décharge en toi par dissipation. Je te l’accorde, si l’appareil était en contact avec ta peau, tu deviendrait un conducteur, et alors, tu serais électrocutée à la hauteur du curseur. On joue ici sur un fantasme urbain commun, qui est la décharge électrique. Sauf que la chaine de risque est maîtrisée. Je pilote tout l’aspect technique pour que tu n’ai à te concentrer et te consacrer qu’à ce que tu ressens. Pas d’amplifications, on est trop près de la limite. Cette expérience a l’incroyable possibilité de jouer sur une peur, avec une douleur assez faible et pas de traces. Mais je reconnais volontiers, que c’est très impressionnant, de sentir les muscles se raidir.. Maîtrisant ici ton environnement, mon envie est de te voir évoluer entre mes mains en toute confiance. De te laisser aller chercher les nouvelles limites de ton corps et/ou de ton esprit, de ta volonté, de ta résistance. Peut importe le niveau, ce qui m'intéresse c’est que tu le fasses Toi, parce que tu as confiance en moi, parce que tu veux le faire, pour mieux te connaître, pour faire reculer ton inconnu. Je pense qu’une forme de contrôle sur tes émotions va te permettre de t’isoler de ta peur, de la douleur, de l’angoisse, une sorte de bulle. J’ai envie que tu fasses de ce réflexe un stimuli que tu appelleras pour nos expériences de ce type. puis que tu relâcheras ensuite pour te laisser aller à ce que tu ressens. Tu es bien sûr libre d'arrêter. Je respecte tes choix, mon rôle et mon envie ici sont de t’accompagner et de te ramener là où tu iras…” Comment casser le verrou qui me dit: “ne vas pas plus loin elle a mal, accompagne la” pour glisser vers: “elle a mal, mais j'aime ça putain!” Mr Hyde aux portes de mes lèvres cherche à s’exprimer, mais je lui montre la voie: sa torture doit être accueillie, pas contre elle. Nous ne cherchons rien d'elle, d'autre, que le plaisir.. mes envies perverses et sadiques semblent étendues, mais dans quel but? La surenchère ne change rien au mécanisme dans lequel nous sommes. Le principe est là, l’intensité est forte, je ressens son émotion, nous avançons à deux. J’ai envie d’aller plus loin, mais pas sans toi. Mon envie principale réside dans le fait de partager avec toi. faisons un pas, et le suivant nous en ferons deux, la suite on verra..Met toi en marge, Hyde, pour l’instant je veux construire notre terrain de jeu. Ce chemin est plus important que tes expressions sadiques.. [...] (silence) Ma main touche et glisse de ta cheville, ton genoux, ta cuisse, ton haine, ta taille... [...] (silence) ..ta taille, ton haine, ta cuisse, ton genoux, ta cheville, ton pied puis remonte.. [...] (silence) ...alors qu'imposer n'aurait mené a rien. Mon Insoumise est curieuse.. et Insoumise veut savoir.. Insoumise, ne se soumet pas. “je veux le faire. mais j’ai peur.” je pose le wand “tu veux voir?” [...] (silence) “non, je garde le bandeau” “bien..” Je reprends position. Tu es courageuse.. tu m’impressionnes. [...] (silence) Ta respiration s’accélère, je caresse ta joue et remet ton bandeau, Il est temps Mr Hyde, d’exprimer doucement maintenant … Tu gémis et tu cries insoumise, tu dépasses ta limite. Je te regardes avec plaisir, et je fantasmes le champs des possibles.. .. où mes paroles inquisitrice créent le paradoxe de tes aveux coupables arrachés par tes douleurs innocentes, suppliantes.. sombre perversions crépusculaires, attachée, le cœur en croix et la bouche ouverte, ma queue enfoncée, à la merci de tes dents, je te soumettrais à la question.. et tu y répondras.. Soumise.
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Par : le 27/01/17
Le clapotis et le ressac t'avertissent immédiatement de l’immensité aquatique, ton cerveau doit bouillonner d’appréhensions à cet instant.. tu parles, plaisante, te détaches, tu es si fière devant ton bourreau ne montre pas tes peurs tu as raison, reste digne. De toute façon pas le choix, tu as voulu te débattre plus tôt mais tu ne fais pas le poids, Dominée par ma puissance ma main te guide ferme et douce à la fois, tu m'as aussi choisi pour ça, ma Soum. tu es embarquée, et les coups de rames se font sentir. les yeux bandés, tes sens en alerte depuis plus de 2 heures commencent a ronger sensiblement ton assurance. les scenarii sont multiples maintenant pour toi. immergée liée en pleine mer! pour toi c'est sûr. Que fais tu là? Pourquoi? Qu'y a t'il de sexuel? La "pause" des rames te sort de tes pensées en suspens.. Je déshabille ton corps, te passe un gilet de sauvetage et commence à lier tes poignets et tes chevilles la corde glisse sur ta peau maintenant pour te lier à l'assise de l'embarcation ma main passe sur tes formes, elle est douce et ferme, geste qui se veut rassurant mais donnant la direction de mes intentions tu reste mon objet sexuel. Mon emprise sur toi doit te faire mouiller, ma main plonge entre tes cuisses, ouvertes et s'enfonce entre tes lèvres complètement trempées. Qu'y a t'il de sexuel? ta réponse, tu l'as.. Je t'embrasse, puis m’écarte et reprend les rames. Silence.. Ta vulnérabilité provoque au fond de ton âme un bouffée d'angoisse le flot de paroles sort de ta bouche et cherche à atteindre mon coeur ma culpabilité, ma sensibilité, si chères a tes yeux, si protectrices? Ma voix pour la première fois s'exprime pour autre chose qu'une directive: "Te voici exposée au milieu d'un élément qui est mortel vu ta situation, sache que je suis là en toute circonstances... je suis là... Nous sommes suivis, à portée de secours, mes consignes sont strictes." Silence.. les secondes s'étirent.. Ta poitrine est trop étroite pour ton coeur, tu ouvres ta bouche pour aspirer d'avantage tout t'es hostile alors.. tout contre toi.. même ton DHom.. ton geôlier, c'est lui qui te met hors de ton contrôle, tu canalises tes forces psychologiques pour déstabiliser en toute intelligence, tu incises où ça fait mal, tu rages, tu foudroies, tu incantes et te déchaine.. Silence.. les secondes s'étirent.. quel est le sens de cette volonté? contrôle? Dominée par la situation mon silence te guide fermement, patiemment et calmement tu m'as aussi choisi pour ça, ma Soum. Point besoin de te bailloner tu vois? les mots ont finit par s’étrangler dans ta gorge te voilà livrée, tes épaules s’affaissent, ta tête se baisse, ton menton se décrispe, une larme sillonne ta joue, tu ne contrôles pas, plus, tu te résignes, tu subit, ta fierté t'accable, tu es Soumise.. par Domination. Ma main vient se poser un instant sur ta nuque dans ce geste de protection. Ma voix se veut chaude et enveloppante à ce moment là: "Ma Soumise... Je suis là." Les mots étincelles. feu de paille, tu t'embrase immédiatement.. et t’éteins aussi tôt. Il fait noir, il faisait jour.. il fait froid, il faisait chaud.. Nous sommes en-dedans, nous étions en-dehors.. Nous sommes deux, tu étais seule.. Le cerclage de ton amour explose alors, sans limites, ton être se projette vers moi. ton menton de redresse et tu me fixes de tes yeux bandés. sincère, nue, exposée.. Le lien devient une seule et unique voie entre N/nous. le flux en est étourdissant, d'intensité et de densité; Au delà te ta situation, l'envie de te blottir contre moi, protégée, s'impose injonction d'envie, besoin irrépressible Tout devient distant, à part ma présence, tu rompt le silence: "où êtes vous mon Dhom?" les mots n'ont pas d'équivoque. "je suis là." Ma main se pose rassurante. Je te délie alors de ton siège, tu plonges a mes pieds.. Silence.. les secondes s'étirent.. Tu es redressée et glissée hors de l'embarcation, l'angoisse te saisit, tes jambes et tes bras sont liés.. tu ne pourras nager ainsi. L'humidité envahit tes cuisses jusqu'alors sèches. L'eau monte pendant que tu descends L'air est froid et humide, les sons sont échos, échos... un grotte putain ! et de l'eau partout L'angoisse que tout s'écroule te submerge, irrationnelle.. Phobie.. tu ne touche pas le fond, tes mains accrochées au bord du canot respiration haletante, frenetique, voir, voir y voir! tu ne veux plus jouer tu arraches ton bandeau le mot se forme sur tes lèvres, tu vas pour l'exulter quand tu me vois calme, face à toi, posé, compatissant Mon regard aimant émane confiance et force Les muscles de mon corps se veulent rassurant mais ce sont mes mains qui figent le son dans ta gorge, Elles tiennent une corde reliée a tes poignets.. Silence.. les secondes s'étirent.. ta réalité explose ton fantasme tu t'en veux d'avoir douté, tu ne le montre pas, fière, encore.. et puis la grotte va s'écrouler après tout! les étapes se franchissent unes à unes, ton Dom est toujours là près de toi, fiable, imperturbable, déterminé à te mener dans son univers, liée a lui, en toute confiance.. Il est ton garant de tes limites, il a tout respecté. "Tu as fini? on peut commencer?" Silence.. La petite fille en toi ne sait plus ou se cacher. ne pas reculer, pas de faiblesse, affronter.. tu jettes un dernier oeil à la grotte puis Insoumise tu clames fièrement: "comme il vous plaira mon Dhom" ...
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