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lolol04

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Homme switch. Vit à vers Digne-les-Bains, Provence-Alpes-Côte d'Azur, France. 61 ans.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 28/03/17
Pfuit ! Un sifflement, il est l'heure de sortir le chien. Celui-ci se redresse, il est grand et bipède ! Il me ressemble beaucoup, c'est normal, c'est moi ! C'est un chien qui porte, comme souvent, sa combinaison en résille (comme un p'tit fien qui ne doit pas prendre froid ! et c'est vrai, elle tient chaud), une combinaison ouverte à l'entrejambe. Maîtresse siffle à nouveau, je me précipite, lui offre mon cou et elle n'a plus qu'à fixer la laisse au collier que je porte déjà. Je suis tout excité, car j'ai envie et besoin de sortir, et je remue la queue, comme je peux (Maîtresse ne m'a pas affublé d'un appendice caudal fixé analement, alors je tords des fesses et remue mon sexe, et n'étant pas un yogi, je dois être passablement ridicule - c'est ce que Maîtresse aime) !!! Elle ouvre la porte et m'emmène dans le jardin. Dans ces circonstances, je me dois de me déplacer à quatre pattes dans l'herbe. Maîtresse aime bien me tenir en laisse, me tirer dans un sens ou dans l'autre et je m'efforce de suivre son rythme, ce qui n'est pas très aisé dans ma situation de quadrupède. Elle aime bien aussi me faire faire quelques exercices, des exercices de chien: assis, debout, couché ! Et il faut que je m'exécute parfaitement, sinon je reçois un petit coup de cravache (Maîtresse ne sort jamais sans sa cravache, un modèle simple pour l'équitation, avec une tête de cheval au pommeau et une petite main à l'autre extrémité, mmm cette main !). Madame apprécie également de me voir gambader. Alors elle me détache et je pars au fond du jardin, vais dans un sens, puis dans l'autre, m'arrête un peu, puis repars. Puis tout à coup elle s'écrie: "pipi le chien !". Enfin ! Aujourd'hui cet ordre est arrivé bien tardivement et ma vessie est bien pleine; heureusement que j'étais en mouvement, sinon je n'aurais plus pu me retenir ! N'y tenant plus, j'avise une grosse pierre à proximité, je lève la patte et commence à me soulager. Mais avez-vous déjà tenté cette expérience de pisser comme un chien dans un corps qui n'est pas fait pour cela ? L'ergonomie n'est pas bonne, je n'arrive pas à bien orienter le jet et je commence à en mettre partout: soit mon urine rebondit sur la pierre et m'éclabousse, soit elle coule sous moi en abondance et forme une flaque dans laquelle je patauge ! Ces sensations ne sont pas pour déplaire à un uro-addict comme moi, mais la situation énerve vivement Maîtresse, qui s'approche en me traitant de tous les noms (de cochon même, ce qui est un comble pour un chien !), me rattache en laisse, me tire et appuie sur mon visage pour me mettre la truffe dans ma pisse. "Reste comme ça, relève les fesses et écarte les jambes, sale chien !" Je comprends que je ne vais pas pouvoir échapper à une punition; je suis à la fois penaud et excité, je bande même un peu, m'attendant, vue ma position, à être sodomisé. Mais pas du tout, Maîtresse n'a pas envie de me donner ce plaisir; elle souhaiterait plutôt me donner la fessée, comme à un vilain garnement, mais comme risquer de se salir lui répugne, elle opte pour ce qui lui passe par la tête, ou plutôt pour ce qu'elle tient dans la main: la cravache ! Une bonne série de coups sur les fesses, entre les fesses, sur les testicules, sur le sexe, de quoi me faire réfléchir aux règles élémentaires de l'hygiène ! De quoi me faire sursauter également. De la douleur et des rougeurs pour moi, et du plaisir aussi. Et nous n'en avions pas encore fini ... "Maintenant, allonge-toi dans ta pisse, sale chien !" Et me voilà à plat ventre, reposant dans ma flaque, et me demandant ce qui allait suivre. Le temps que mes parties rougies par la cravache se refroidissent un peu et qu'en échange l'humidité de mon urine remonte le long de mon ventre, une nouvelle sensation surgit. C'est chaud, liquide, ça s'écoule sur mon dos, puis jusqu'au sol pour faire grossir la flaque jaune. Maîtresse se soulage sur moi ! Interminablement. Puis elle s'essuie avec un petit mouchoir qu'elle vient placer dans ma bouche. Il y a donc bien deux manières de pisser: celle du chien, maladroite, sale et punissable, et celle de la maîtresse, délectable. Maîtresse qui d'habitude verse l'intégralité de son urine dans ma bouche, m'a donné une bonne leçon et m'a doublement puni (rien à boire et un corps bien souillé); j'en suis bien conscient, mais je suis aux anges !!!
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Par : le 20/03/17
Arrière pays méditerranéen, au printemps. Au deuxième jour d'un week-end de jeux, donc déjà après de bons moments de plaisirs partagés, avec une partenaire souvent sur la même longueur d'onde que moi. La randonnée en moyenne montagne est très agréable, pas trop physique, avec de beaux paysages, de belles vues, un côté sauvage et hors des sentiers battus. Il fait plutôt chaud, je transpire, elle boit. Nous parlons de choses et d'autres, et pas seulement de sujets coquins ! Le temps d'une pause bien méritée arrive. Nous nous éloignons du chemin et gagnons un espace assez plat, recouvert d'une confortable épaisseur d'herbe. Nous nous allongeons côte à côte, au soleil, parés pour une petite sieste, et continuons à deviser un peu. Soudain, elle se lève, et, ô surprise, enlève le bas. Elle se positionne au-dessus de moi, une jambe de chaque côté de ma tête, son sexe nu offert à mon regard, quel plaisir des yeux pour moi. Puis elle se baisse et s'accroupit lentement jusqu'à effleurer mon visage, je crois comprendre ce dont elle a envie. Je commence à la lécher doucement, puis de plus en plus ardemment; elle sait que j'adore cela et je sais qu'elle l'adore également; pour preuve son sexe est de plus en plus humide et je la sens et l'entends frémir. Mais son désir de l'instant est tout autre, mon esprit concentré sur le cunnilingus ne l'avait pas envisagé ! Tout à coup, un liquide plus chaud, abondant et au goût prononcé se déverse sur moi; elle est en train de se soulager tout en prenant du plaisir. Cela n'interrompt pas mon excitation, bien au contraire; je bois autant que je le peux, tout en continuant de la titiller de ma langue. Son écoulement me semble durer une éternité, je n'avais pas saisi qu'elle avait tellement bu. Je poursuis mes caresses jusqu'à sa jouissance qui toujours me met en joie. Mon visage est aussi humide que son sexe, l'odeur et le goût de sa cyprine et de son urine s'y mêlent, je suis aux anges !
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