Un weekend end à Saumur (1ère partie sans les jumelles)
Sur un site web consacré à la fessée, j'ai rencontré un couple dont le mari 70 ans et la femme 62 m'ont proposé après bien des échanges de messages de venir passer un weekend chez eux. Ce n'est pas trop loin de chez moi alors j'ai accepté. Je savais en gros ce qui m'attendait. Je devrais servir tout le weekend à table eux deux et leurs invités... et subir chaque fois que nécessaire, une fessée déculottée. Rien que cela déjà me plaisait beaucoup....
Lorsque je suis arrivé, j'ai découvert une ferme, assez peu rénovée et fort vétuste. Le couple en question était bien conforme à ce que j'imaginais avec les photos échangées. Lui gros en partie chauve, une casquette vissée sur la tête, elle, les cheveux gris blanc, pas mal foutue sous une robe au genoux. très sèche, elle dégageait un certain charme d'autrefois. Elle me dit qu'elle avait enseigné toute sa carrière dans une école privée. Lui avait été agriculteur, en retraite. On est entré. J'avais emmené un petit bagage léger, ne voulant pas m'imposer.
Le Monsieur, Monsieur Paul, m'a tout de suite mis à l'aise. :" ici ce sera des vraies fessées, pas des fessées d'amateurs comme tu as du en recevoir" Il m'a demandé si j'acceptais, bien sur j'ai dit oui !!! quelle question !!!
il m'a servi un verre pendant que sa femme Madame Louisette est sortie de la grande salle. Elle est revenue alors que je finissais mon verre de vin blanc, avec toute une série d'objets dans les mains : martinet, paddle en bois, paddle en cuir, canne anglaise, badine, etc... je n'en croyais pas mes yeux ! et au milieu de tout ça j'ai vu des godes... elle a suivi mon regard et m'a dit "Paul ne peut plus alors on fait avec". J'étais sidéré par tant de liberté de langage et de pratique.... alors que j'avais été servi d'un deuxième verre de vin blanc, je fus conduit à ma chambre du weekend. Un lit en fer, une place, une armoire et c'est tout.
Comme je demandais où se trouvaient les toilettes, je les vis sourire et ils ne me répondirent pas. Revenus à table, et ayant bu mon troisième verre de vin blanc, Madame Louisette me dit qu'elle était très contente de ma tenue vestimentaire, très scolaire : culotte courte en velours très courte à raz les fesses, tenue avec des bretelles, longues chaussettes grises, et soulier noir. Elle me dit alors qu'il faudrait bientôt vérifier si dessous c'était aussi bien... je rougis et ne dis rien. Puis, j'ai eu envie de faire pipi... je demandais à nouveau les toilettes et Madame Louisette m'a répondu que non, je n'irai pas aux toilettes, je n'avais qu'à me retenir encore. J'ai insisté, et là, j'ai pris une claque sur la joue. je me suis levé d'un bond, et là, une claque sur les cuisses. je me suis rassis et nous avons parlé de mes expériences de fessées, de qui m'en avait donné, de comment, etc etc...je me tortillais sur ma chaise, serrant ma main droite sur mon sexe au travers de la culotte courte... je voyais bien leurs échanges de sourire je savais comment ça allait finir et c'est arrivé. N'en pouvant plus j'ai senti que je faisais pipi à la culotte... bien sur, ça a coulé, inondant ma culotte courte et ruisselant le long de ma chaise. Monsieur Paul s'est levé, m'a pris le bras droit, et m'a courbé sur la longue table en bois. calmement, avec des gestes très maîtrisés, il a saisi le paddle en bis et a commencé à l'appliquer au travers de la culotte courte en velours trempée. Puis au bout d'une vingtaine de coups, il a dégrafé mes bretelles, a fait tomber sur mes chevilles la culotte courte mouillée et a dévoilé ma culotte blanche en coton. il m'a alors couché sur ses genoux et m'a appliqué sur la culotte une magistrale fessée à la main. Ces mains étaient de vrais battoirs, tellement elles étaient rêches et caleuses. Enfin, il m'a baissé la culotte et Madame Louisette a dit que la couleur de mes fesses lui plaisait bien. Elle a dit à son mari de stopper la fessée car sinon "il ne tiendra pas le weekend le pauvre garçon". J'ai été mis au coin et mains sur la tête.
Au bout d'un quart d'heure, Madame Louisette m'a dit que je pouvais me reculotter j'ai demandé à me changer elle a refusé d'un sourire cruel. Je l'ai ensuite aidé à préparer le repas du soir. Et quand j'ai mis la table, j'y ai mis pour 8 personnes. J'étais transi, j'allais servir 8 personnes et prendre des fessées devant eux tous ? moi qui ai toujours aimé recevoir des fessées déculottées en public, j'allais être servi !!!!
les invités sont arrivés, tous de leurs âges sauf... deux d'entre eux. Une jeune femme de 25 ans environ et un jeune homme de 30 ans environs. Là, j'étais soudain moins fiérot... Ils ont tous les deux regardé avec attention ma tenue, et se sont adressé des regards et des sourires complices.... L'une des invités leur a dit que ce soir ils risquaient bien de voir ce qui arrivait au vilain garçon quand il n'était pas sage....j'ai rougi et les deux jeunes aussi... Ils avaient été amenés ici chacun par un des invités du couple. j'ai servi l'apéritif et l'un des invité a dit que ça sentait le pipi... Monsieur Paul a dit tout simplement "ben oui le Julien a pissé dans ses culottes". Gros éclats de rire chez ces habitués visiblement des soirées du couple... Quand je me penchais sur la table basse pour prendre le plateau et servir les gâteaux apéritifs, je savais que l'on voyait la naissance de mes fesses, faut dire que Madame Louisette avait remonté mes bretelles autant que possible pour bien dégager mes cuisses... une femme a même dit qu'on voyait un bout de ma culotte et que c'était charmant....
Au moment de passer à table j'ai desservi et ouf pas d'accident, je n'ai rien renversé. Puis j'ai servi à table. Quand je servais les assiettes à chacun, j'ai senti des mains qui me palpait les cuisses, les fesses, une main s'est même glissée sous ma culotte courte pour toucher ma culotte, ça m'excitait vraiment. Pis, une des invités a dit que son assiette était froide. Là, ce fut un grand silence. Monsieur Pal m'a demandé d'aller près de la dame en question, une grosse femme vulgaire, trop maquillée et parlant fort. Elle a reculé sa chaise, m'a couché sur ses genoux et m'a administré une fessée à la main au début doucement puis très très fort... Un homme a dit qu'une fessée ça se donnait cul u alors elle m'a relevé, a enlevé mes bretelles a baissé ma culotte courte et tout de suite m'a déculotté. j'étais là, le zizi à l'air, pendant, et les fesses offertes. Elle m'a recouché sur ses genoux et a repris la fessée à la main. Quand elle cessa, j'avais les fesses en feu. Me relevant j'ai croisé le regard de la jeune femme, elle baissa la tête mais n'avait rien perdu du spectacle. Le jeune homme lui, avait sa main droite sous la table je devinais ce qu'il faisait ! Au fromage, là encore nouvelle bêtise de ma part. Le Monsieur qui releva ma faute ne pris pas la peine de demander quoi que ce soit, il se leva d'un bond, me courba sur la table, me baissa la culotte courte et remonta ma culotte en coton entre mes fesses. Il avait bien entendu comme tout le monde vu les accessoires que Madame Louisette avait laissé à la vue de tous, il alla s'emparer du paddle en cuir et me cingla les fesses avec une rare violence, j'ai gémit, je me suis mis à pleurer contre ma volonté, ça sortait tout seul... il m'a laissé pantelant, je n'arrivais pas à me relever après sa fessée et les commentaires ont fusé "celui ci il résiste bien, on va voir bientôt jusqu'où"... Un autre homme s'est levé et a pris sa ceinture, il vint à moi, me déculotté sèchement et me donna de la ceinture une bonne vingtaine de coups. j'étais effondré, je ne sentais plus mes fesses, elles n'étaient plus qu'un amas rouge et violet. comme je me relevais enfin et voulu me reculotter, ce me fut interdit par Madame Louisette qui me dit que je finirai de servir le repas comme ça, culotte aux chevilles. Marcher n'était pas facile et pas question de faire tomber quoi que ce soit. Lorsque j'ai servi le dessert et me suis approché de la jeune femme, j'ai vu qu'elle regardait mon zizi tout petit ... elle rougit... quant au jeune homme lui, toujours une main sous la table ! et il fut vu ... par une dame aussi sèche que grande... Alors Monsieur Paul s'est levé, est allé direct dur le gars, et a bien vu en le levant de force la bosse qui déformait son pantalon. Il bandait et se caressait, jouissant de mes fessées reçues. Monsieur Paul, aidé par un autre homme l'on prestement mis en caleçon, puis cul nu, il a été courbé sur la table, juste à côté de la jeune femme et il a reçu la canne anglaise directe... il a crié, il a pleuré beaucoup, il a supplié. Une des dames lui a dit alors "je t'avais prévenu, ici ça ne rigole pas et je t'avais dit que les vilains garçons on les punissaient comme ça, tant pis pour toi"... j'ai assisté à sa fessée sans broncher, puis j'ai continué à servir le dessert. Le garçon fut autorisé à s'asseoir mais pas à se reculotter. Je ne savais pas quoi penser... pourquoi elle et lui étaient là en fait ? pour me regarder prendre des fessées? pour en subir aussi ? Après le repas, les deux jeunes et moi avons été faire la vaisselle. Nous nous sommes reculottés, sans rien demander. La jeune femme nous observait et me demanda "alors ça fait quoi ? tu aimes ? je lui ai dit la vérité. Oui, j'ai été marqué très tôt par la fessée, que j'en avais en fait toujours reçu, même à mon âge et qu'il m'en fallait régulièrement. La fille a rougi et a voulu voir l'état de mes fesses... je me suis déculotté et lui ai montré. Elle poussa un Ohh en voyant mes fesses marquées et rouge vif. Et elle se mit à pleurer. je ne comprenais pas pourquoi alors je l'ai prise dans mes bras et les réconforté lui disant que ça ne risquait pas de lui arriver à elle.. Elle me répondit que si, car elle avait fait une faute grave et si elle était là c'était aussi pour être puni. Je n'en revenais pas...
Nous fûmes appelé au salon, et Madame Louisette s'est levé. Elle a expliqué à tout le monde que j'étais en fait un sale morveux qui à mon âge faisait encore pipi à la culotte et que j'aimais recevoir des fessées cul nu devant tout le monde, et que ce weekend j'allais en recevoir tellement que ça allait me passer. Ensuite elle regarda le jeune homme et dit 'lui, si il est là c'est parce qu'il a volé dans le magasin de Madame Michelle, il a été pris sur le fait et il a eu le choix : la gendarmerie ou la fessée"... puis se tournant vers la jeune femme, elle dit "si Nadège est là ce soir, et demain, c'est qu'elle aussi a commis un délit. Cette jeune institutrice s'est permise de donner la fessée déculottée à la petite fille de Madame Simone. Elle est là pour voir ce que cela fait que de se faire déculotter et fesser, ainsi elle ne recommencera plus je pense".
Nadège puisqu'enfin je connaissais son prénom, se mis à pleurer et à demander pardon. En vain. Madame Louisette se leva doucement, puis vint se placer face à Nadège. Elle lui dit "ici, nous sommes un groupe de personnes qui avons toujours connu 'autorité et la juste punition Moi même lorsqu'enseignante j'ai donné des fessées cela a toujours été pour des bonnes raisons, pas pour un rien comme tu l'a fait. Alors maintenant tu vas te laisser faire et tu tires bien car sinon, une plainte et ta carrière est foutue. Et ton directeur d'école, ici présent est de mon avis, ainsi que tes collègues. Nadège allait donc se faire fesser devant son directeur et peut être des collègues ! incroyable mais tellement jouissif !!! C'tait tellement fort que j'en ai fait un petit pipi dans ma culotte...
Alors Nadège en pleurs, fut installée sur les genoux de Madame Louisette qui remonta lentement sa jupe, pour dévoiler à tout le monde moi y compris, une magnifique grande culotte blanche à petites fleurs en coton.... une vraie culotte de gamine.... Madame Louisette commença la fessée directement à grandes claques rapides et fortes... je voyais bouger les fesses de Nadège, je la voyais pleurer je l'entendais crier... puis au bout d'une trentaine peut être plus, de claques, la fessée prit fin... Madame Louisette attrapa l'élastique de la jolie culotte et commença à la baisser. Nadège mit sa main pour empêcher la déculottée mais la déculottée vint et Nadège pleura encore plus, elle était visiblement effondrée, de douleur et d'humiliation. La fessée repris pour un bonne vingtaine de claques et Madame Louisette la releva lui demandant de se pencher sur la table du salon jambes écartées. Là, on pouvait voir les lèvres de son sexe, c'était féérique... Puis Madame Louisette a pris le martinet et a cinglé les cuisses et les fesses de Nadège, qui avait cessé de pleurer, elle gémissait comme absente. Lorsque la fessée fut finie, Madame Louisette lui dt que la prochaine si il y avait prochaine fois, ce serait pire, ce serait comme ce que j'avais reçu.
Puis le jeune homme vit arriver son tour, le vrai... Un gros homme le pris en main, le déculotta aussi vite qu'il s'était levé et le courba lui aussi sur la table du salon. Il pris le paddle en bis et le frappa jusqu'à ce que les cris du gars soient trop fort... ses fesses passaient du rouge au violet et je voyais qu'il allait finir par avoir les fesses en sang. Ce qui arriva. Il fut mis au coin.
Puis, il fut décidé que tout le monde allait se coucher. Et rendez vous demain matin. N'ayant pas été aux toilettes de la journée, je demandais à nouveau les toilettes et je pris une baffe. Madame Louisette et une autre femme me conduisirent à ma chambre, me déshabillèrent entièrement et je fs allongé sur lit. je vis la dame prendre dans l'armoire une couche culotte et elle me l'a mise. Je fus couché, sans un "nonne nuit" en couche culotte. Je n'ai pas insisté, j'avais bien top mal aux fesses pour s=risquer d'en prendre une autre. Il y eut des bruits, des cris, des pleurs, j'entendais de loin.. pis 'endormi.
Le dimanche matin je fus surpris de voir Nadège venir me réveiller et ouvrir les volets. Elle me dit qu'elle avait dormi ici et qu'on lui avait demandé d'aller me réveiller. Je me suis levé, oubliant que je portais une couche culotte... Nadège la regarda, me regarda et me dit "elle est pleine et ça pue"... dans la nuit j'avais fais pipi et caca dans ma couche culotte.... Elle me sourit et me dit qu'elle aussi en portait une. Je lui demandais de me la montrer elle me dit que de toute façon j'avais tout vu de son intimité la veille alors oui, elle leva sa jupe et mon montra sa couche qui elle aussi semblait pleine de pipi.... Je lui demandais si on lui avait proposé de la changer, elle me dit que non et n'avait pas osé l'enlever de peur de la fessée.. On est descendu dans la cuisine, Madame Louisette y était. Elle nous regarda et dit : "ça ne sent pas la rose ici"... elle vint vers moi, me baissa le short que j'avais mis par dessus la couche et me l'enleva. Puis elle enleva la jupe de Nadège on s'est retrouvé tous les deux en couche pleine dans la cuisine sans rien d'autre... On a eu droit à un bol de café et Madame Louisette nous a dit d'aller aider Monsieur Paul dehors. On a bien été obligé de sortir comme ça... ça faisait un drôle d'effet de marcher en canard avec la couche pleine, ce n'était pas désagréable du tout. et je trouvais Nadège sexy en couche culotte. Et là, en arrivant près de Monsieur Paul je vois que celui ci avait un appareil photo et nous prenait en photo. Je cru défaillir car la fessée oui j'aime ça, les couches culottes pourquoi pas mais les photos c'était pas prévu ça... je le lui ai dit et là, il nous apprends que la veille toutes nos fessées ont été filmés et prises en photos. Véridique...
Douche froide, la vraie. Comment un weekend de plaisir à recevoir des fessées et à regarder une nana se prendre des fessées tourne en une seconde en désastre...
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C’était cet été, il faisait chaud, très chaud, et je dialoguais sur un site web avec un monsieur qui me disait aimer donner des fessées aux garçons indisciplinés quel que soit leur âge. Lui en avait 73. Il aurait largement pu être mon père. Et puis au fil de la conversation, c'est devenu plus chaud, plus intense et j'avais envie de le taquiner, alors je lui disait des "pas cap', des même pas peur, ..;" alors il s'est fâché bien sur, et il est monté en pression, me donnant l'ordre de venir chez lui pour recevoir la fessée largement méritée. Je n'avais rien à faire ce jour là et j'ai décidé de lui dire oui. Il m'a bien prévenu que une fois arrivé, je n'aurais rien à dire, rien à demander, rien faire sinon me soumettre à lui et à ses fessées, où que ce soit. J'ai dit banco et j'ai pris ma voiture. Des fesseurs j'en ai connu beaucoup, vraiment beaucoup, et en fait bien peu ont été à la hauteur de mes attentes, de mes espérances, alors je me suis dit, on verra bien. Je suis arrivé après environ une petite heure de route dans un petit village en fête, il y avait des gens sur la place, des gamins qui jouaient et crier dans les rues, un 14 juillet quoi ! A peine arrivé, je descends de voiture, vêtu d'un petit short très court façon culotte courte, en velours, et dessous une culotte blanche en coton comme exigé, le reste, tee shirt et chaussettes de tennis. Je me dirige vers sa maison et là j'entends des gamins dirent "tiens il va chez le père fouettard" ... j'en suis resté un peu surpris quand même. au petit portillon, je sonne et je vois arriver un fort gaillard d'1m90 au moins, et bien ses 100 Kg. Il est habillé en bleu de travail. il ouvre et me fait entrer sous le regard amusé des gamins. S'en apercevant le monsieur leur dit d'aller voir ailleurs sinon gare à eux. Ils déguerpissent aussitôt.A peine entré dans sa cuisine, je reçois une énorme claque sur les fesses qui me fige direct ! il me prend par le bras, me pousse vers la table de cuisine, me penche dessus et sans dire un mot commence à me flanquer une énorme fessée sur les cuisses nues et les fesses protégées par le short en velours. Une vingtaine de claque après, il s'arrête, il va se chercher une bière, s'assoie, et commence à boire directement à la canette. je ne sais pas quoi faire alors je ne bouge pas. J'attends. Il se relève enfin, viens vers moi, et d'un geste brusque me descend le short et la culotte à moitié. il regarde mes cuisses, mes fesses, puis il prend enfin la parole et me dit que ce n'est que le début, que je ne suis pas venu pour rien et que, comme je l'ai bien énervé sur le "Chat", je vais déguster grave ! Il prend une chaise, et s'assoie dessus puis e dit de venir vers lui, j'avance à petit pas, entravé par mon short sur mes chevilles, il me couche sur ses genoux et là, je prends une de ces fessée mon Dieu comme rarement j'en ai prise. Les claques n'arrêtent pas de plus en plus en plus fort. Il s'arrête enfin, je suis toujours en culotte blanche, effondré sur ses genoux, il me relève et se lève aussi, il a chaud, il ouvre grand la porte et les deux fenêtres de la cuisine, celles qui donnent sur la rue. Il revient il me courbe sur la chaise, et me fait écarter les jambes un maximum...pas facile avec le short sur les chevilles... je le vois enlever sa ceinture, je sais que c'est pour mes fesses,je tremble de peur car il 'a déjà fait très mal, mais j'ai promis de ne rien dire de ne rien faire et de me laisser faire alors je me laisse faire. j'entends des gloussements derrière moi, sans doute des gamins devant les fenêtres ouvertes ! et le premier coup tombe, sur mes cuisses, ça fait mal, ça gifle ça cingle, je cris, je gémis, je sens des larmes monter dans mes yeux. Il continue, et alors que je ne m'y attends pas, il me baisse la culotte d'un coup sec, et la fessée reprend de plus belle, les coups de ceinture me vrillent les fesses, j'entends des rires, des gens qui parlent, qui se moquent, mais je ne vois rien. Je suis là, déculotté devant des fenêtres ouvertes, recevant la fessée et je ne réagi pas. Je subis. La fessée s'arrête. je respire un grand coup et sèche ms larmes qui coulent à flots tant j'ai mal... il quitte la pièce, mais revient vite avec des baguettes de noisetier dans la main... Il me dit que je vais goûter ça et que je vais apprécier leur souplesse !!! tu parles, ça fait encore plus mal que je ne pensais... je sens comme des griffures à chaque coup reçu, je me remets à pleurer à chaudes larmes, rien ne les arrêtent et j'entends toujours des rires derrière moi...Le spectacle de mes fesses écarlates et fouettées par les verges doit être magnifique tant j'entends des "ohhh" des "ahhh".... Puis ça s'arrête. La fessée est finie, il me le dit. Il me prend par le bras et m'entraîne vers sa salle de bains, et me plante devant un grand miroir et me dit "regarde tes fesses'. Je tourne la tête et découvre le spectacle de mes fesses rouges, mais rouges !!! et mes cuisses !!! les marques de la ceinture, les marques des verges de noisetier y sont incrustées limite ça saigne tant j'en ai pris... je suis effaré de l'état de mes fesses... Il m'ordonne de me reculotter, ce que je fais non sans douleur car le coton de ma culotte me brûle, me fait mal... et le short remonté je m'aperçois avec horreur et honte qu'il ne cache pas les marques et rougeurs de mes cuisses... comment vais je partir avec tous ces gens dans les rues, ces gamins qui ont sans doute tout vu ??? J'ai honte, terriblement honte d'avoir demandé et mérité cette fessée. Les fesses me cuisent, les cuisses chauffent... Et là, le monsieur me passe la main dans les cheveux et me dit 'viens, on va aller boire un coup". Il m'entraîne avec lui, on sort de la maison, on va sur la place, là où une buvette est installée pour la journée, là où des gens boivent rient et dansent... je me sens comme un petit garçon qui vient d'être puni et que tout le monde va voir les cuisses rouges ne laissant aucun doute sur ce que le "père fouettard ' m'a fait. dans la rue, les gamins nous suivent et se moquent, je ne dois rien dire, je me tais. Arrivés à la buvette il nous commande deux bières, On est là, debout face à la buvette, on boit ensemble, la fraîcheur de la bière me fait du bien, mais des gens arrivent bientôt derrière nous, j'entends des murmures, des chuchotements, et des rires d'adultes. Un gars dit au monsieur, "eh bien celui là tu l'as pas raté ! il a du t'énerver beaucoup !" et le monsieur répond "oh mais c'est pas fini, je fais une pause mais après il y aura encore droit !". là je dis stop. et je me retourne comme pour cacher mes cuisses zébrées à la vue des gens. je vois alors des hommes, des femmes, de tous âges, et une femme me dit "vous savez, c'est pas pour rien qu'on l'appelle le père fouettard, beaucoup ici y sont passés" !!! je ne sais plus où me mettre et ça rit autours de moi, et ça se rappelle des souvenirs du père fouettard !!! Une femme, jeune, qui vouvoie le père fouettard lui demande si les fesses sont aussi rouges que les cuisses... j'y crois pas, elle veut voir !!! et tous veulent voir. Pour sur comme dit un gars, il est pas d'ici çui là !!! alors le père fouettard me tire par le bras, et dit aux adultes présents, vous voulez voir, ben venez ! ... il 'entraîne derrière la buvette, près de l'église, et là, s'étant assuré qu'il n'y avait pas d'enfants, il me baisse le short et me déculotte complètement pour exposer mes fesses. j'entends des ohhhh de surprise et une femme dit "le pauvre il a du souffrir"... je me retourne, je suis en larmes, je me sens tellement humilié par ce vieil homme, par ces gens qui me regardent.... et là le vieux me flanque deux claques sur les fesses et il me reculotte lui même; me disant que e pouvais partir. J'ai traversé le village en larmes les fesses et les cuisses brûlantes sous les quolibets des gamins "il a pris la fessée euh il a pris la fessée euh ..."
Je monte dans ma voiture, je rentre chez moi...là il me faut me garer, et revenir à pied jusqu'à l'appartement... je croise un jeune couple et j'entends des rires derrière moi.... je monte l'escalier, et je croise la dame du deuxième étage, elle se retourne, et me lance un " e bien on eu droit à sa fessée aujourd'hui ? c'est pas trop tôt, avec le bruit que vous faites et votre impolitesse il y a longtemps que je rêvais de voir ça"... je suis rentré chez moi, n'osant plus sortir !
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j'ai été convoqué par mon fesseur habituel, ce lundi. Cela fait maintenant plusieurs mois que ce monsieur, ancien professeur dans une école catholique me donne des fessées. Chaque fois il me convoque, c'est à dire trois à quatre fois par mois et je dois me rendre chez lui vêtu d'un petit short, d'une culotte coton, d'un polo blanc, de longues chaussettes blanches et de tennis aux pieds. Il me demande chaque fois de lire le mail que je suis tenu de lui envoyer chaque semaine, avec mes bêtises ou manquements de la semaine. Je dois lire la liste à haute voix. Après, bien entendu, selon la gravité de mes fautes, la fessée est plus ou moins sévère.
Lundi, j'ai reçu de lui un mail me convoquant. J'avais oublié de lui envoyer ma liste de fautes hebdomadaires. Je savais que ce serait sévère, mais je m'y suis rendu, la peur au ventre, les larmes au bord des yeux.
A peine arrivé et entré dans son bureau, je constate qu'il n'est pas seul. Sa femme est là, et un de leurs amis aussi. C'est rare qu'il me reçoit en présence d'autres personnes. Come j'hésite à pénétrer plus dans son bureau, il me tire par l'oreille et m'amène devant son bureau. Il s'assoit derrière et commence à me reprocher bien sûr d'avoir oublié d'envoyer ma liste. Il me dit que je l'ai fait exprès. J'ai juste oublié, mais il ne veut pas me croire. Alors, sur le paper booard de son bureau je dois écrire la liste de mes fautes de la semaine, et il commente au fur et à mesure, prenant à témoin sa femme et son ami.
Quand j'ai eu fini, il me demande de lire à haute voix, ce que je m'empresse de faire. Il demande alors à sa femme ce qu'elle en pense et ce qque ça mérite. Sans hésitation, elle répond que ça mérite, les fautes et l'oubli, que je n'ai pas marqué sur le paper booard, une série de quatre fessées de plus en plus intenses. Son ami donne également son avis et il demande à ce que le martinet, la ceinture et le paddle me soit infligé aussi.
Je e rends compte alors que ça va vraiment chauffer pour moi. Je me sens pris d'une peur terrible, d'une appréhension. Pleurer sous la fessée quand il n'y a que mon fesseur et moi, ça passe, mais devant sa femme et son ami c'est autre chose. J'ai l'impression que ma tête tourne, que j'ai des vertiges, je n'entends qu'à travers un brouillard la discussion autour de moi jusqu'à ce qu'une gifle me ramène à la réalité. La réalité elle n'est pas belle, je viens de faire pipi à la culotte. A mes pieds une flaque, mon petit short en jeans est orné d'une large auréole. J'ai honte.
Sans attendre, le fesseur me ^rend le bras, me dirige vers le bureau, et me courbe dessus. Une pluie de claques s'abat sur mes cuisses et mes fesses. A travers le short je la ressens bien cette fessée mais ce n'est rien par rapport à ce qui m'attend. Il dégrafe mon short, qui tombe à mes pieds. Me voici en culotte blanche et rose, devant lui sa femme et son ami. Sa femme dit alors "mais c'est une culotte de fille" ! oui, je porte une culotte de fille, une grande culotte blanche et rose. Sauf que là, elle est trempée, pleine de pipi. Le fesseur me déculotte d'un coup sec, m'enlève entièrement la culotte et me la met dans la bouche. ça sent le pipi. je sais que j'ai dans la bouche mon propre pipi... j'ai honte, très honte, ce n'était pas prévu.
Le fesseur prend alors son temps, il me caresse un peu les fesses puis commence une magistrale fessée à la main. j'ai mal, je commence à gémir, à gigoter, mais il me tient fermement. Il arrête. Je l'entends dans mon dos, il se déplace, il revient, et un coup violent me frappe les fesses, il a pris une ceinture !
j'ai de plus en plus mal, les larmes perlent sur le bord de mes yeux, je crie, je supplie qu'il arrête, il me répond que je suis là pour expier mes fautes et qu'il est là pour me les faire expier. Alors il continue, il a troqué la ceinture pour un martinet, il me flagelle autant les fesses que les cuisses, je pense illico que je vais avoir des marques sur les cuisses, que ça va se voir, je le supplie d'arrêter. Peine perdue, il continue. Puis, il s'arrête et me conduit par l'oreille au coin.
je reste au coin mains sur la tête pendant un bon quart d'heure. Pendant ce temps je les entends commenter cette fessée. L'ami du fesseur lui dit "tu avais raison, c'est un sacré garnement, il en mérite des fessées et des cuisantes". Sa femme dit, "je vais lui faire essuyer le pipi par terre, et elle s'en va chercher une serpillère. Elle revient, viens me chercher par la main, et m'ordonne d'essuyer. Je le fais volontiers, je ne veux pas en rajouter, confus d'avoir fait pipi à la culotte sans m'en rendre compte.
Après, elle me relève et me conduit à la cuisine pour que je lave la serpillère. Elle me tient toujours par la main, je me sens redevenu un petit garçon.
Revenus dans le bureau, je découvre posés deux paddles, un en cuir, l'autre en bois. Je suffoque, je sais que mes fesses ne vont pas en supporter davantage, alors je supplie, je me mets à genoux, mais rien n'y fait. Je suis relevé, et à nous veau courbé sur le bureau. Mais cette fois, la femme du fesseur et son ami ont fait le tour du bureau et me tiennent chacun un bras, solidement. Il me fait écarter les jambes. Les coups commencent à pleuvoir, je pleure comme un gamin, je n'en peux plus, je crie, je pleure, mon nez coule, je ne peux pas me moucher, heureusement je n'ai plus la culotte dans la bouche je me serais étouffé.
Enfin la fessée s'arrête. S'ils me lâchent, je vais m'effondrer, mes jambes ne me portent plus.
le fesseur me prend alors par le bras, me relève et me ramène au coin, cette fois agenouillé. Les commentaires vont bon train, et ils regardent les photos qu'ils ont prises pendant mes fessées. Ils commentent, ils rient bien fort comme si je n'étais pas là. Ils prennent un thé, et moi je suis toujours au coin. Enfin ordre m'est donné de me relever et de venir devant le fesseur. Il me remet ma culotte trempée de pipi, et mon petit short, il me dit de m'asseoir, et sa femme me fait une leçon de morale, pendant que leur ami me caresse les cuisses, passant sa main sous le short et la culotte.
Enfin, le fesseur me ramène à la porte de chez lui. En passant devant le miroir de l'entrée, je constate que les zébrures du martinet sont bien visibles sous le short et je vais devoir revenir à ma voiture à pieds, faire les 800 mètres qui me séparent du parking. J'ai honte, à nouveau je me mets à pleurer. Il e met dehors, qu'importe mes larmes ! je marche sur le trottoir, je croise des gens, j'entends des rires derrière moi...
Je sais que je n'aurais pas du oublier d'envoyer la liste de mes fautes, je sais que ces fessées je les ai méritées car la liste des fautes hebdomadaires était longue... Oui, il fallait que je sois à nouveau corrigé, je l'ai été, je ne peux m'en prendre qu'à moi.
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J'avais 20 ans, je sortais avec une fille, et j'allais souvent chez elle, on jouait ensemble.... sa mère était veuve et très autoritaire, elle me faisait un peu peur et elle menaçait souvent ses filles, devant moi, de leur donner la fessée... alors j'ai demandé à ma copine si c'était vrai que leur mère les fessait sa soeur et elle. Elle me répondit que oui, et qu'en général les fessées étaient données lorsqu'il y avait du monde à a maison afin que ce soit plus humiliant. Elle s'y était faite et supportait sans trop rien dire...je n'en revenais pas, mais elle me disait qu'elle n'avait pas le choix. Un jour, en fin d'après midi, je ne sais plus pourquoi, on était dans le garage et j'ai soulevé sa jupe et lui ai donné deux claques sur sa culotte... En fait je devais être venu la chercher pour sortir, c'était l'été, et on devait aller faire un match de tennis tous les deux.. Elle était en famille, sa mère, sa grand mère, une de ses tantes et ses enfants (un garçon et une fille, des jumeaux)...
Nous n'avions pas vu que sa mère était aussi au fond du garage occupée à chercher du vin... Mais elle m'a vu soulever la jupe est claquer les fesses de sa fille..... Elle nous a demandé de la suivre au salon. Il ya avait toute la famille.... et la mère a annoncé à tout le monde ce que j'avais fait... j'ai compris tout de suite que ça allait barder pour moi. Mais c'est d'abord vers ma copine qu'elle est allée. Elle l'a saisi et courbé sous son bras gauche, a relevé sa jupe et lui a administré une cuisante fessée d'une trentaine de claques sans s'arrêter, remontant sa culotte entre ses fesses pour bien les dégager.... Françoise s'est laissé faire alors que ses cousins et cousines se moquaient d'elle "la grande fifille qui reçoit la fessée " etc etc... La mère de Françoise a cessé la fessée, a coincé la jupe de ma copine dans l'élastique de sa culotte pour bien montrer les fesses rougies et l'a mise au coin. Puis elle s'est retournée vers moi.... je n'en menais pas large, et j'ai tout se suite compris quand elle a pris une chaise pour s'y asseoir en m'indiquant de venir la rejoindre. j'ai dit non, j'ai protesté... Elle s'est levée, m'a flanqué une claque sur la joue et m'a agrippé le bras me le tordant pour me faire allonger en travers de ses genoux. et elle a commencé à me fesser sur le short, et sur les cuisses, je ne supportais pas ... ni cette fessée devant tout le monde ni même l'idée de me faire fesser à on âge. et elle a continué malgré mes protestations et mes grossièretés envers elle. Puis elle a pris le haut de mon short et a entrepris de me le baisser, ce qu'elle parvint à faire malgré mes tentatives pour l'en empêcher.
J'étais là, en slip blanc, devant toute la famille de ma copine, en train de montrer ma culotte et de recevoir la fessée, !!!! elle a tout de suite pris l'élastique de mon slip et avant que je comprenne elle m'a déculotté devant tout le monde.... comme n gamin ! et la fessée a repris de plus belle... j'ai vu que ma copine ds'était retourné et profitait elle aussi du spectacle.... quand elle eut fini de me fesser la mère m'a relevé, je tenais à peine debout, je me suis reculotté en hate et elle nous a dit à Françoise et à moi qu'on pouvait maintenant partir jouer au tennis ! avant de monter dans la voiture, ma copine me dit alors "on voit sur tes cuisses malgré ton short que tu as pris la fessée il y a les marques des doigts de ma mère !"... j'ai été pris d'un frisson et j'ai pleuré.... on a quand même été faire notre partie de tennis et je me disais que les gens devaient deviner ce qui m'étais arrivé, c'était troublant....
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J’ai connu ce fesseur il y a quelques années maintenant et chaque fois qu’il vient dans ma région, il me contacte et me fixe rendez-vous. Cet après midi là, nous avions convenu de nous retrouver sur une aire de repos de la RN 10. J’y suis arrivé en avance ne voulant pas le fâcher par un quelconque retard. Je vis arriver sa voiture, toujours la même, un long break noir. Nous étions en juin, il faisait beau et les touristes faisaient des pauses sur l’aire de repos tout comme des routiers. Je vis le fesseur descendre de voiture et venir vers moi. Je sortis alors de ma voiture et attendais près du capot. Il arriva, me regarda, et me retourna d’un bras énergique et puissant. Il me força à me courber sur mon capot puis commença à ma frapper les fesses, là, sur l’aire de repos. Deux voitures sont passées près de nous et ont klaxonné !!! mais surtout, des routiers, attirés sans doute par le bruit de la fessée se sont rapprochés et ont commencé à venir vraiment tout à côté de nous. Je ne comprenais pas ce qu’ils se disaient, ils devaient parler espagnol ou portugais ou aune autre langue mais ils riaient beaucoup et fort …. Voyant que le « spectacle » plaisait à son public, le fesseur m’a déculotté d’un coup sec, dévoilant mes fesses déjà un peu rouge au regard de tous… les rires sont devenus plus forts, plus gras… j’ai entendu aussi une voiture s’approcher et s’arrêter derrière nous, j’étais mal, très mal qu’un public non averti puisse assister à la fessée que je recevais cul nu, mais le fesseur lui, fidèle à ses habitudes n’en moquait complètement et ça devait même lui plaire beaucoup . Après une vingtaine de minutes de fessée retentissante, je gémis et commençais à sentir les larmes arriver à mes yeux, je suppliais qu’il arrête, ce qu’il ne fit pas augmentant la puissance de la fessée en cours…. Puis il me releva, mais pour me courber sous son bras, montrant par cette position mon sexe épilé à tout le monde. Il me fit écarter bien les jambes et me courba un peu plus. A chaque claque qu’il me donnait, je sentais mon sexe qui se balançait entre mes cuisses… j’avais honte et peur que ça aille plus loin que la fessée, avec tous ces routiers ! mais heureusement il n’y eu que la fessée. Quand ce fut fini, le fesseur me tordit le bras pour m’obliger à me relever et à lui obéir, il me fit tourner sur moi-même pour bien montrer à tout le monde mon sexe et mes fesses rougies par cette magistrale fessée. Je découvris alors qu’outre les routiers aperçus, il y avait aussi un couple de femmes d’une cinquantaine d’années qui riaient à n’en plus finir et qui me montraient du doigt… j’en fus tellement humilié que j’en fis pipi…. Ma culotte sur mes chevilles finit trempée de mon pipi, mais je la remontais ainsi que mon short pour cacher ma rubiconde nudité…. Je partis très vite après et le soir même, le fesseur m’appela pour me fixer un rendez vous le lendemain, à Royan, dans les dunes d’une plage naturiste, lieu de drague bien connu là bas…
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