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Ophir

homme soumis. Vit à Aubagne, Provence-Alpes-Côte d'Azur, France. 58 ans. a perdu un être cher.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 27/01/21
Tout a commencé par une après midi comme tant d'autres, si ce n'est qu'elle était plus calme. Mes clients avaient dû se donner le mot.... J'avais un grand trou entre deux rendez vous et décidais de tromper mon attente en surfant sur mon site préféré. Mon regard fut attiré par un pseudo énigmatique, c'était une Femme de ma région, Dominatrice et son annonce à la fois pleine de charme et d'humour laissait planer un doux et enivrant parfum de mystère. Il eu fallu être aveugle et manchot pour ne pas y répondre.... Un petit mot pour dire combien je trouvais son annonce envoûtante, je reçus un gentil merci en retour.... Puis d'autres messages et le dialogue commença. Nous avons rapidement échangé nos mails et donc quelques photos (elle était toute en formes ce que j'adore...) puis conversé sur msn, nous nous sommes découvert non seulement des envies communes mais aussi de nombreux goûts communs et pas seulement ceux liés aux jeux sm. Puis ce fut au tour de nos numéros de téléphone... Mettre enfin une voix sur des mots et un visage, mais aussi sur des maux à venir sans doute. Nous avons rapidement décidé de nous retrouver autour d'un verre pour faire plus ample connaissance. C'était facile, seules 20 mn de voiture nous séparaient. Rendez vous fut pris pour le lendemain 14h. - Juste une chose, me dit elle, ça me ferait plaisir de vous savoir nu sous votre pantalon, même si c'est juste pour boire un verre. - Bien Madame, si vous le souhaitez. - J'aimerai oui ! - Considérez donc que c'est fait. Le lendemain, je sautais dans ma voiture à 13h30 pour être sûr de ne pas être en retard (le rendez vous avait été fixé dans un bar près de chez Elle), et bien sûr vêtu comme demandé. J'étais presque à destination quand je reçus un sms de sa part - J'ai décidé de vous faire une surprise. Êtes vous partant ? Je compte sur vous pour accepter ! Après une petite hésitation je répondais par un - Oui Madame, bien volontiers. - Vous avez votre GPS ? - Oui madame. Je reçus alors les coordonnées GPS de ma destination sans plus de renseignement si ce n'est la consigne de l'appeler une fois arrivé. Je rentrais donc les coordonnées et me mis à suivre les indications sans savoir où j'allais. Je finis par arriver dans un petit chemin de terre, coupais le moteur puis je l'appelais. - Madame ça y est je suis arrivé. - Alors si vous le voulez le jeu va commencer. Regardez autour de vous vous devriez trouver un foulard accroché dans un arbre. Prenez le, revenez vous assoir dans votre voiture. Bandez vous les yeux et dites moi quand c'est fait. Je repérais assez rapidement le foulard en question, suivis les instructions et revins m'assoir dans la voiture côté passager. Je me sentais un peu ridicule ainsi... Et si un promeneur passait et me voyait ainsi ? Que penserait il ? Le temps me semblait long, plus long sûrement que la réalité. J'avais les oreilles aux aguets, scrutant le moindre bruit, plein d'un mélange d'appréhension et d'excitation, mais aussi rassuré d'être dans le "cocon" de ma voiture. Je sus plus tard qu'en fait mon attente fut courte. J'entendis un bruissement de pas venir dans ma direction et sentis quelqu'un s'approcher de ma fenêtre ouverte, et se pencher à mon oreille - Bonjour.... Voilà qui est bien et sage.... - Madame ? (je n'avais entendu sa voix que par le biais du téléphone...) - Oui c'est moi, rassures toi.... Es tu prêt à continuer ? - Oui Madame - Bien... Car à vrai dire, je n'avais pas envie que d'un verre... J'avais envie de toi... Que tu sois à moi ! Sa voix était toute à la fois douce et ferme, son ton et ses mots invitaient à l'abandon... Elle ouvrit la portière, prit mon poignet. - Viens... Je n'avais plus qu'à obéir... - Mains dans le dos ! Je sentis une cordelette lier fermement mes poignets l'un a l'autre... - Voilà qui est mieux.... Une dernière petite vérification et nous pourrons y aller. Elle défit le bouton de mon pantalon et y glissa sa main. - Tu as fais ce que je t'avais demandé, c'est bien, me dit elle une main sur mon entrejambe et l'autre caressant ma joue. Et en plus tout lisse comme j'aime.... - Et en plus il bande le petit cochon ! ajouta t elle en me pinçant assez fortement les tétons à travers le tissu de ma chemise. - Tes clefs sont sur le contact ? - Non Madame, elles sont dans ma poche. Elle glissa une main dans chacune de mes poches à leur recherche tout en jouant un peu avec ma queue comme si de rien n'était et s'en saisit. - Alors on va le boire ce verre ? Me lança t elle d'un ton rieur et plein de malice qui en disait long sur ses intentions. Et me laissait présager qu'à ses doux mots se substitueraient bientôt d'autres maux "doux"... Elle me fit installer allongé sur la banquette arrière. - Voilà la place qui te convient ! Elle grimpa dans la voiture, mit le contact et bientôt démarra. Nous ne roulâmes pas longtemps 2, 3 minutes tout au plus. Un arrêt, un portail qui s'ouvre, le bruit des pneus sur les graviers, et le moteur coupé. Elle sort de la voiture, ses pas crissent sur les graviers. Elle ouvre ma portière et me prend par le bras pour m'aider à sortir... Quelques pas sur le gravier, une clef que l'on tourne dans une serrure, une porte qui s'ouvre... - Entre ! Deux pas dans une entrée où flotte un doux parfum d'encens... Une porte qui se ferme... - Nous y voilà ! Te voilà à ma merci ! Je sens que je vais bien en profiter ! Elle me prit par la main pour m'amener à l'endroit voulu. - Là ! C'est parfait ! me dit elle en me lâchant au milieu d'une pièce que je soupçonnais être le séjour. Elle se plaça derrière moi me détacha les poignets. Je la sentis se reculer et sans doute s'assoir sur un canapé face à moi debout au milieu de la pièce. - Déshabilles toi que je vous ce qui se cache sous ces vêtements. Je commençais alors à déboutonner ma chemise pour l'enlever, m'accroupir maladroitement pour délacer mes chaussures, les retirer ainsi que mes chaussettes. Je sentis alors sous mes pieds la fraîcheur d'un carrelage. Après m'être relevé et une courte hésitation, dégrafais un à un les bouton de mon pantalon pour me retrouver entièrement nu devant Elle. - Voilà qui est parfait ! C'est comme ça que je te veux ! J'entendis le bruit de ses pas se rapprocher de moi. J'étais là debout devant Elle, nu, yeux bandés, tête baissée, honteux... Un frisson me parcourut lorsque je sentis sa main se poser sur mon dos et descendre sur mes fesses pour les caresser.... Elle se mît à tourner autour de moi, laissant sa main nonchalamment glisser sur mon corps alternant plat de la main et bout des ongles. Dos, ventre, visage, cou, poitrine, fesses, pubis... Tout y passa... - Très réceptif et très sensible à ce que je vois.... Mmmmmm j'aime beaucoup.... - Ne bouges pas je reviens.... J'entendis ses pas s'éloigner et quitter la pièce pendant que je restais là immobile, debout, silencieux, à me demander ce que je faisais là, partagé entre l'envie de disparaitre et l'excitation de cette situation incongrue et humiliante. L'attente ne fut pas bien longue. Je l'entendis bientôt revenir. Le bruit de ses pas n'avait pas la même sonorité. Était ce toujours Elle ? Tant de questions se bousculaient dans ma tête. - Ça va ? Je n'ai pas été trop longue ? (Ouf c'était bien Elle...). Je me sentais rassuré. - Non Madame, ça va merci... J'aimais sa prévenance, mais allait elle durer ? -Bien. J'en suis ravie. Regrettes tu cette surprise ? - Non Madame. Ou du moins pas encore, rajoutai-je avec un petit sourire. - Tu le verras bientôt... Mais te connaissant, je ne pense pas... Tu vas déjà pouvoir retirer ton bandeau. Je découvrais alors la pièce dans laquelle je me trouvais. Je ne m'étais pas trompé c'était bien le séjour, nimbé dans une douce pénombre, les rideaux ayant été tirés, la pièce était rehaussée d'une douce lumière tamisée. Je me rendais compte que tout avait été soigneusement préparé. Elle devait avoir déjà pensé à sa surprise bien avant l'idée de ce rendez vous.... Et son "piège" avait été bien ficelé... Comme je l'avais imaginé j'étais bien devant un canapé où elle trônait, simplement vêtue d'une robe noire assez longue mais fendue sur les côtés, simplement boutonnée sur le devant, le dernier bouton placé un peu haut laissait entrapercevoir le haut de ses cuisses et le boutonnage faisait ressortir sa belle et généreuse poitrine. Pour finir Elle était chaussée d'escarpins noirs à talon ni trop hauts, ni trop fins ni trop gros.... En un mot Elle était belle, à mes yeux... Et impossible qu'Elle n'ai pu le lire dans mes yeux... - Déçu ? - Non Madame, pas le moins du monde, bien au contraire. - Flatteur... Je baissais la tête. - Non Madame, simplement sincère. - Alors tant mieux. Bon alors on le boit ce verre ? Je n'avais pas remarqué que sur la table trônaient deux verres et une petite bouteille de Gewurtz vendanges tardives (un goût en commun, nous en avions parlé) - Viens sers nous ! Je me dirigeais en marchant vers la table basse, obligé de me mettre de profil devant Elle pour atteindre et servir les verres. Alors que je me penchais en avant pour saisir la bouteille, je sentis un coup de cravache me cingler les fesses. - Non pas comme ça ! À quatre pattes ! Allez recommences ! Le jeu commençait. Et je me rendais compte que tout avait été programmé et pensé de longue date, meme jusqu'à la position d'une bouteille et de deux verres, et que le "piège" s'était refermé sur sa victime consentante... Moi... Je repris donc ma position initiale, me mis à quatre pattes et me dirigeais à nouveau vers la table basse, servis les deux verres, pendant ce temps je sentais le bout de sa cravache me caresser les fesses en jouant plus intensément sur leur zone de partage sensuellement et gourmandement. Je me retournais, toujours agenouillé devant Elle, et lui tendis son verre. - Merci mon jouet... Prends ton verre et viens le boire à mes pieds. - Merci Madame. Je m'assis à ses pieds entre le canapé et la table basse. Elle dégustait son verre tout en me caressant la tête de sa main libre. - Tu m'as l'air bien docile et obéissant. Je sens que tu vas me plaire... Je vais faire de toi le jouet de toutes mes envies. Tu vas satisfaire mon plaisir, mais rassures toi, tu auras aussi le tien, mais seulement quand je te le dirais. Tu es d'accord ? - Oui Madame, comme il vous plaira. - Alors c'est parfait. Je sens que nous allons bien nous entendre et surtout bien nous amuser... Enfin surtout moi ajouta t Elle avec un large sourire et un pincement sur mes tétons. - J'ai fini mon verre, alors toi aussi ! À partir de maintenant, je suis ta Maîtresse, donc dès que j'aurais fini de boire ou de manger, toi aussi tu auras fini. Sois vigilant car si tu outrepasses cette règle j'aurais certainement envie de te punir pour te la rappeler. De même pour toutes tes envies ou besoins tu devras me demander et attendre mon autorisation. Et tu devras aussi toujours satisfaire mes exigences, ne t'inquiètes pas rien d'insurmontable et dans le respect de tes limites actuelles, tout en sachant que je saurai les faire évoluer dans le temps. Tu es toujours d'accord ? - Oui Madame. Une nouvelle étape venait d'être franchie et acceptée, comme si un contrat moral et tacite venait d'être signé entre nous... Je m'en remettais à Elle. Mais on fond de moi je me posais la question de savoir si j'avais bien saisi toute la portée et l'implication de cette acceptation. - Autre chose encore ! J'attends de ta part non seulement respect, obéissance et dévotion, mais aussi prévenance, attention et petits soins. Je ne veux pas d'une chiffe molle ou d'une larve qui attende les ordres. Je te veux faire preuve d'initiative, savoir anticiper mes envies, mes besoins. Toujours OK ? - ... Oui Madame... - Alors scellons ce contrat entre nous en buvant un verre. Je compris alors que je devais remplir son verre et le lui donner. À peine me retournais-je, tout en restant agenouillé à ses pieds pour attraper son verre, lui présentant ainsi mon dos que je sentis les semelles de ses chaussures se poser sur mes reins et les talons s'enfoncer dans mes fesses et me pomper à la manière d'un chat. C'était tout à la fois troublant et excitant... Et rendait aussi le service de son verre plus difficile. Je réussis toutefois à lui servir son verre sans en renverser une goutte. La pression de ses pieds dans mon dos m'empêchant de me retourner vers Elle, je ne pus que lui tendre le verre en aveugle en espérant ne pas le renverser. Elle saisit le verre d'une main et glissa l'autre dans mes cheveux. - Merci mon jouet. Une fois ma main libérée de son verre, je me penchais en avant pour saisir le mien. À peine bougeais je que je sentis son pied gauche quitter mon dos pour venir se glisser entre mes cuisses. Je sentis alors le cuir de son escarpin se plaquer contre mon sexe gonflé d'excitation et l'écraser dans un mouvement de recul de sa jambe. - Non ! Laisse ton verre ! Tout en parlant elle passa sa jambe droite par dessus mon épaule et plaqua son escarpin contre mon bas ventre. De sa main toujours glissée dans mes cheveux Elle me tira la tête en arrière contre sa cuisse. - Là comme ça ! Ouvres la bouche ! Ses yeux étaient plongés dans les miens, Elle souriait se délectant par avance de ce qu'Elle allait faire. Elle porta le verre à ses lèvres, en préleva une gorgée et se penchant en avant à m'effleurer les lèvres avec les siennes, laissa couler le nectar alsacien dans ma bouche. - Bois ! C'est ainsi que je scelle mes contrats mon jouet ! Maintenant tu es à moi seule ! Es tu prêt à me satisfaire ? - Oui Madame. Tout ce qu'il vous plaira. - Tout ? En es tu bien sûr ? Tu t'avances peut être un peu précipitamment mon jouet... Mais je verrai bien vite si tu dis vrai. Sinon gare à toi.... Quoiqu'il en soit je saurais non seulement m'en souvenir, mais aussi te le rappeler le moment venu... - Tu as aimé ta signature de contrat ? - Oui Madame, beaucoup - Bien. Ta bouche est maintenant mienne. Maintenant je pourrai y glisser tout ce que j'aurais envie d'y glisser. Ce "tout" me laissa perplexe... Elle relâcha l'emprise de sa jambe, relevant son pied droit à hauteur de mes yeux et le faisant danser devant moi. Immense pour m'hypnotiser. Instinctivement mes mains vinrent se poser sur son mollet que je me mis doucement et tendrement à caresser. Sa main continuait à caresser mon cuir chevelu.... Ses doigts s'enfonçaient dans mes cheveux courts - Mmmmmm tu es doux... Ma bouche vint rejoindre mes mains, j'aimais la douceur et le contact de sa peau, et je me voulais plus caressant et offert. Sa main quitta doucement mes cheveux et après un instant je sentis des doigts humides courir le long de ma joue à la recherche de ma bouche. Ils vinrent se poser sur mes lèvres qui s'entrouvrir à leur seul contact, j'avais envie d'eux... Elle glissa ses doigts à travers mes lèvres avec douceur et fermeté, ma langue les reçut avec dévotion et découvrit leur goût : un mélange de douceur et d'arômes "orientaux" dans lequel se mêlait le doux goût d'un autre élixir sans doute plus personnel... J'étais dans un autre univers... - Tu aimes ? - Oui Madame. - Si tu es bien"sage" alors tu pourra goûter... mais pour l'instant regardes moi ! Je me retournais pour lui faire face à genou entre ses jambes. - Mais tu bandes ! N'as tu pas honte ? - Non Madame car c'est pour et par vous... - Bon c'est pas tout ça.... Tu vas t'habiller pour la suite... Elle se coucha sur le canapé pour aller chercher un petit sac posé à même le sol contre le canapé... Elle se glissa de sorte que sa robe se releva me laissant découvrir le haut de ses cuisses tout en imaginant ce qui se cachait sous sa robe. Lorsqu'Elle se releva, un petit sac à la main, elle me pinça fortement un des tétons : - On baisse les yeux ! On ne reluque pas ! Qui t'as donné la permission ? - Pardon Madame, je ne recommencerai pas - C'est bon pour cette fois... Maintenant debout que je t'habille ! Elle sortit du sac quatre bracelets à velcro qu'Elle fixa à mes chevilles et poignets. Elle relia mes poignets l'un a l'autre par un mousqueton. Elle glissa ses mains dans le sac pour en ressortir non seulement un collier en cuir muni de plusieurs anneaux qu'Elle serra sur mon cou, mais aussi un autre petit collier qu'Elle referma sur la base de mon sexe tendu. - Tu es presque présentable.... Juste la dernière touche... Ses mains replongèrent une fois encore dans le sac pour en ressortir avec deux petites pinces et une cordelette. Elle posa les pinces l'une après l'autre sur mes tétons. Un frisson d'excitation et de douleur parcourut mon corps à chacun des pincements. Elle passa ensuite la cordelette à travers l'anneau du bracelet qui enserrait mon sexe et la noua, fit de même à chacune des deux pinces pour finir par attacher chacune des extrémités de la cordelette aux anneaux qui pendaient de part et d'autre du collier qui habillait mon cou. - Te voilà bien paré mon jouet. Elle pinça la cordelette, comme on pince des cordes de guitare, pour s'assurer de la bonne tension de celle-ci. Je sentais les vibrations parcourir la corde tendue pour venir mourir sur mes tétons pincés dans un mélange de sensations mêlant douleur et plaisir. Elle retourna s'assoir sur le canapé tout en croisant les jambes ce qui eut pour effet d'attirer mon regard sur ses cuisses dénudées. - Marche un peu pour voir... Je me penchais pour me mettre à quatre pattes... - Non en bipède ! Je commençais à faire un pas, puis un autre.... À chacun de mes mouvements je ressentais des tiraillements sur mes tétons et laissais échapper des petits tics nerveux dont Elle s'amusait du regard. Tandis que de mon côté je recevais un océan de sensations contradictoires avec délectation. - J'aime savoir qu'ainsi tu sens ma présence et mon emprise en permanence. Et en plus je vois que ça te fais de l'effet et que tu aimes ça ! J'étais à nouveau nu devant Elle, tête baissée, indécent, excité et un peu honteux je dois bien l'avouer.... Et je la sentais se découvrir petit à petit comme pour faire de moi son Tantale... Et je dois dire qu'Elle y réussissait fort bien et me stimulait à me laisser aller et m'abandonner à son jeu pervers. Elle se leva, s'approcha de moi me caressa tout d'abord la joue du bout de ses doigts et de ses ongles. Puis Elle se planta devant moi et se planta devant moi. - Regardes moi ! Je levais les yeux et mon regard croisa le sien tout brillant de sensualité, de désir et d'envie. Et je crois bien qu'Elle a pu lire la réciprocité dans le mien. Elle déboutonna le haut de sa robe pour me laisser découvrir la naissance de ses seins, me laissant simplement imaginer ce qu'Elle me cachait et stimulant mon excitation. - Je sais que tu aimerais en voir plus, et même toucher... - Oui Madame - Pas encore, mon jouet. Je n'en n'ai pas fini avec toi. J'ai encore envie de me jouer de toi. Et si tu es bien "sage" alors peut-être te laisserais je goûter ton plaisir. Mais pour le moment c'est du mien dont il s'agit. Elle se recula et se retourna pour replonger ses mains dans son sac à "malices" et en ressortir un martinet à la main. Elle commença à en laisser courir les lanières sur mon corps, déclenchant des vagues de frissons. Les lanières glissaient sur mes épaules, mon dos, mon torse, ma croupe, mon pubis et mon sexe. Elle se plaça derrière moi et je sentis la caresse de l'instrument se changer en coups doux au départ puis de plus en plus forts, qui couvraient entièrement mes fesses. De temps en temps Elle s'arrêtait pour reprendre ses caresses avant de repartir de plus belle. Prenant le temps de pauser pour me caresser les joues et flatter mon entrejambe, humide de l'excitation provoquée et me laissant voir dans ses yeux toute l'excitation et le plaisir qu'Elle prenait à jouer à ce mon corps. Elle passa derrière moi et me détacha les poignets - À quatre pattes, maintenant ! J'obtempérai... Elle passa une de ses jambes par dessus ma tête pour me chevaucher à l'envers et s'assit juste derrière mes bras. Je sentais ses cuisses nues contre mes flancs, la douceur de sa peau m'excitait. Elle saisit mes globes à pleines mains et se poussa vers eux. Je sentis alors l'humidité de son entrejambe sur mon dos. Je comprenais alors le plaisir qu'elle avait pris à jouer de son martinet... Bien calée sur le bas de mon dos, elle caressait mes fesses endolories glissant ses doigts le long de ma raie et s'insinuant vers mon petit trou et prolongeant sa manipulation sur ma queue et mes bourses qu'Elle prenait un malin plaisir à triturer et malaxer fermement me faisant me cambrer à chacune de ses pressions dans un mélange confus de douleur et de plaisir. - Doux, sensible et bien tendu mon cochon ! Il faudra quand même qu'un jour je m'occupe de tes poils disgracieux sur ton cul ! Qu'en dis tu ? - Oui Madame avec plaisir. J'imaginais déjà, avec délice, ma raie blanchie par ses soins à la mousse à raser et le glissement du rasoir manié avec dextérité sur ma peau. Je la sentis soudain se pencher ver le canapé pour saisir son petit sac qu'Elle posa devant Elle sur mes fesses. Je la sentais fouiller dedans avant de le reposer à sa place après en avoir extrait ce qu'Elle cherchait. - Bien ! Ecartes les jambes ! Une fois de plus j'obéissais. Je sentis soudain la douce froideur du gel couler dans ma raie et ses doigts la rejoindre pour venir se glisser sur mon petit trou, la caresser doucement avant qu'un de ses doigts s'y immisce, suivi par un deuxième. - Tu es étroit, mon jouet... Il va aussi falloir remédier à ça ! Bientôt je sentis le bout d'un plug venir prendre la place de ses doigts sur mon anus et commencer à me pénétrer lentement et fermement. Elle jouait avec en en gardant la garde et le faisant aller et venir dans mon fondement. Je sentais mon dos s'humidifier au rythme de ses va et vient. Je me cambrais de plaisir. - Tu aimes ça ! Un vrai cochon vicieux ! - Oui Madame tout comme vous me semble t il... Une claque s'abattit sur mes fesses. - Je ne te parle pas de moi ! Ce trou là aussi est à moi maintenant tout comme ta bouche ! Tu saisis ce que ça veut dire ? - Oui Madame je pense... - Alors qu'as tu saisi ? - Que vous pourrez y glisser tout ce que vous aurez envie d'y glisser ? Je sentais de l'appréhension dans ma voix en disant ces mots. - Tu comprends vite dis moi... C'est bien ce à quoi je pensais, en effet ! Mon angoisse monta d'un cran.... - Une minute ! Elle se leva soudain et se plaça derrière moi. J'entendis les bruissements de sa robe. J'attendais avec appréhension, quand je la sentis me chevaucher à nouveau et se remettre à jouer avec le plug. La sensation de son entrejambe sur mon dos avait changé, je sentais maintenant davantage son humidité. - Tu préfères ? - Oui Madame, je sens mieux votre plaisir maintenant. - Tu vas être imprégné de mon odeur... Et que ressens tu à me faire mouiller ainsi ? - Du plaisir Madame.... Une claque bien sentie retentit sur mes fesses. - Qui t'as autorisé à y prendre du plaisir ? Moi peut être ? - Non Madame... Une deuxième claque... - Alors qui ? - Personne Madame... Une troisième.... - Qu'est ce que je t'ai dit au début ? - Que je suis votre jouet, que je suis là pour satisfaire votre plaisir.... Une quatrième.... Je sentais sur mon dos que ce jeu l'excitation et moi aussi dois je avouer. - Ce n'est pas tout... Quoi encore ? - que mon plaisir ne sera que lorsque vous me le direz.... Et que je dois vous demander pour toutes mes envies et besoins.... - Enfin voilà qui est mieux... J'eus droit à une douce caresses sur ma croupe endolorie. - Bon si on passait aux choses sérieuses maintenant ? Elle se retira laissant mon dos tout humide de son plaisir... - Allez debout ! Je me levais et me retrouvais debout devant Elle. Je voyais son excitation par le pointement de sa poitrine sous sa robe. Et je dois avouer que cette vision m'excitait au plus au haut point. Elle ne pouvait pas ne pas voir ma queue dressée mais ne semblait ni y prendre garde, ni en soupçonner la raison. Elle empoigna les cordelettes juste sous mon collier. - Suis moi ! Je sentis la tension sur mes tétons, elle se prolongea même jusqu'à la base de ma queue. D'un geste sec, qui m'arracha un petit cri et un sursaut de surprise et de douleur m'invita ou plutôt me contraignît à la suivre... Nous sortîmes du séjour et un petit bout de couloir plus tard me fit entrer dans une chambre simplement éclairée à la bougie. Elle me poussa vers le lit. - Allonges toi sur le ventre ! Me voilà maintenant allongé sur ce lit. Un matelas moelleux et accueillant logé dans un habillage de bois dont il affleurait à peine. Elle s'assit sur moi, attrapa mon poignet gauche et le tira vers le coin supérieur du lit. Se couchant sur moi, Elle glissa la main entre le matelas et le montant du lit et fit apparaître un mousqueton au bout d'une courte chaîne et y attacha mon poignet. Elle fit de même avec mon poignet gauche. Puis après s'être retournée et m'avoir fait écarter les jambes, Elle fit de même avec mes chevilles. J'étais à son entière merci, tout à la fois prisonnier consentant de ses caprices et de ses envies mais aussi on ne peut plus stressé de me retrouver ainsi entravé à son entière merci. Elle sortit de la chambre, et revint quelques instants plus tard son verre rempli, resta à me contempler. - J'aime ta docilité et ton abandon, et plus encore la confiance que tu montre en moi... As tu bien conscience qu'ainsi entravé tu es à mon entière merci, que tu ne peux m'échapper et que tu viens de t'offrir à tous mes délires. Et que si je le voulais, je pourrais ainsi t'offrir à un homme... Elle savait que je n'étais pas bi... Y pensait Elle vraiment ? Ou était ce juste pour me faire frissonner d'appréhension, je ne le savais pas.... En tout cas ça marchait ! Toutes ses idées tournaient dans ma tête, j'en venait presque à attendre l'arrivée d'un homme, surgissant nu dans l'embrasure de la porte, avant de se coucher sur moi... Elle jouait et jouissait de ce moment, profitait et se repaissait de mon trouble, laissait l'angoisse monter... Je retenais mon souffle... Puis après un moment, que je trouvais fort long, désamorça la situation... - Rassures toi ! Il n'y a pas d'autre homme ici que toi ! Et pour tout te dire il n'y a personne d'autre que nous deux, juste moi et toi a ma merci... Je respirais à nouveau... Mais Elle ajouta, malicieuse... - Profites, il n'en sera peut être pas toujours ainsi... Imagines... Tu es ainsi sur mon lit, quand soudain tu entends sonner à la porte... Je me remis à frissonner... Mes sens aux aguets, appréhendant d'entendre retentir la sonnette... Mais rien ne vint... Elle grimpa sur le lit et me chevaucha à nouveau, pétrissant mes fesses, comme un boulanger sa pâte à pain, s'arrêtant par moment pour glisser ses mains jusqu'à mes bourses et ma queue avec lesquelles Elle prenait un malin plaisir à jouer. - Quel cul accueillant ! Sais tu que bientôt il sera à moi ?! Pris par l'instant, je répondis -Oui Madame, il est déjà à vous... Une claque sonore et ferme retentit sur mon cul. - Voilà ce que j'aime entendre... Oui il est à moi et à moi seule ! Elle se pencha en avant pour déposer un baiser sur chacune de "ses" fesses. Elle se releva et bientôt je me cambrais sous l'effet d'un point de chaleur venu s'inviter sur mes fesses, bientôt suivi d'autres qui commençaient à me recouvrir le cul et le bas du dos. J'imaginais qu'Elle avait saisi une bougie et me recouvrait de sa cire fondue... Je me tordais sous les gouttes chaudes qui vite se transformèrent en coulures... J'étais pris dans un tourbillons de sensations... Elle disait la brûlure infligée en laissant tomber la cire de plus ou moins haut. Je la sentais mouiller au rythme de la cire qui se répandait sur moi.. Je sentais ma queue essayer de s'enfoncer dans le matelas, toujours plus raide et dure.... Je suis certain qu'Elle le savait et s'en amusait. -Je sais que ça te fait bander mon jouet ! Tu vas me montrer ça ! Elle se mît à me détacher pour que je puisse me retourner. Il était agréable de se sentir à nouveau libre, mais ce ne fut que de courte durée. À peine étais je retourné qu'Elle me chevaucha de nouveau pour me rattacher sur le dos cette fois. Je sentais son humidité sur mon ventre et mes yeux ne pouvaient se détacher de sa poitrine encore cachée par le tissu de sa robe. Penchée en avant pour m'emprisonner les poignets, j'avais ses seins aguichants juste au niveau des yeux et des lèvres qui ne rêvaient que de les embrasser.... J'en bandais comme jamais je n'avais bandé ! Elle se retourna pour m'attacher les chevilles me montrant son postérieur rebondi, caché sous sa robe, qu'Elle prenait grand soin de coller sous mes yeux tandis que penchée en avant, ma queue venait effleurer la naissance de ses seins. - Quelle queue mon jouet ! Bien dure comme j'aime ! J'espère qu'elle ne va pas fondre de suite. Je risquerai d'être déçue.... Et je n'aime pas être déçue, ça me met fort en colère, si tu vois ce que je veux dire.... Tout en disant cela, Elle jouait avec mes bourses et ses ongles agaçaient mon gland décalotté. - Bon assez joué pour le moment. Je te laisse deux minutes... Reste bien sage, et surtout ne bouge pas, je reviens de suite ajouta-t-elle en souriant. Je n'eus pas attendre son retour bien longtemps. Mais quelle surprise ! Quand Elle revint, Elle était entièrement nue ! Je n'en croyais pas mes yeux. Elle s'offrait à moi sans que je puisse faire quoique ce soit ! Je n'avais que mes yeux pour profiter du spectacle de son corps nu, de ses seins arrogants, de son sexe entièrement lisse.... - Je vois que ça te fait de l'effet ! dit Elle les yeux posés sur ma queue raide tandis que sa main venait claquer ma hampe... Attend de voir la suite..... Elle me chevaucha à nouveau et se mit à frotter son sexe sur mon ventre en de doux va et vient, tandis que ses doigts jouaient avec mes tétons. Je sentais sur mon ventre couler le doux nectar de son excitation et mes yeux ne pouvaient se détacher de sa poitrine qui balançait au rythme de son bassin. Elle se pencha soudain en avant, amenant ses seins au contact de mes lèvres. - Montre moi ce que vaut ta langue. Lèche moi, suce moi, tête moi ! J'adore qu'on s'occupe de mes seins, sois à la hauteur mon jouet. Je commençais à titiller ses tétons du bout de ma langue puis les pris entré mes lèvres pour les embrasser, les gober, continuer à en jouer de ma langue et les téter goulûment tout en regrettant tout autant d'avoir les mains entravées que de n'avoir qu'une seule bouche et de ne pouvoir m'occuper des deux en même temps. Je sentais le plaisir qu'Elle prenait sous mes caresses inonder mon ventre. Elle se releva, me prit tendrement la tête entre ses mains comme si elle était satisfaite du plaisir qui lui avait été offert. - Mmmmmm mon jouet.... Quelle bouche ! J'espère qu'elle est aussi habile pour d'autres plaisirs. Elle se caressa un instant la poitrine comme pour prolonger la sensation éprouvée. Et moi impuissant je suivais du regard le mouvement de ses mains.... Elle s'arrêta soudain pour faire volte face. J'aperçus furtivement son sexe brillant lorsqu'Elle fit passer rapidement sa jambe au dessus de ma tête. Je ne voyais plus que ses fesses assises sur mon ventre mouillé. Elle posa ses mains au dessus de mes genoux et doucement se poussa en arrière. J'avais maintenant ma bouche entre ses fesses. - Voyons ce que tu vaux à ce niveau là aussi. Je compris instinctivement ce qu'Elle attendait de ma bouche. Je sortis ma langue pour venir caresser ses lèvres en douceur en alternant la vitesse et la longueur de ses coups. Je m'arrêtais par instant pour la tendre bien droit comme un petit sexe raide qui voulait la pénétrer, puis je reprenais mes petits coups jouant avec son bouton. Je l'entendais gémir de plaisir, je sentais ses fesses m'étouffer de plus en plus, Elle se poussait en arrière pour me sentir encore plus intensément et profondément. Elle lâcha soudain un de mes genoux pour aller chercher quelque chose glissé entre le cadre du lit et le matelas. Son autre main se posa sur on sexe tendu glissa le long de ma verge, passa sur mes bourses et s'insinua entre mes fesses pour atteindre le plug qui s'y trouvait encore... Lentement Elle le retira, m'arrachant de petits gémissements. Mais je sentis rapidement un autre objet prendre sa place. La surprise me fit arrêter mes jeux de langue. Une de ses mains m'écrasa alors les bourses... - Est ce que je t'ai dit d'arrêter ? Non ! Alors continue ! L'objet était plus long, plus cylindrique... Quand soudain je perçus un petit clic caractéristique d'un interrupteur que l'on tourne et je sentis une vague de vibration envahir mes entrailles. Elle en jouait avec délices pendant que je la léchais à pleine bouche. Je sentais son plaisir couler dans ma gorge de plus en plus abondamment. Elle se laissa tomber, mon gland humide n'avait sur ses seins. - Ne t'arrêtes pas, c'est trop bon, haleta-t-Elle.... Je la sentais au bord de l'explosion et je dois dire que je n'étais pas dans un état plus avantageux. L'avait Elle senti ou avait Elle envie d'autre chose... Elle se souleva en avant, laissant ma bouche orpheline de son sexe.... Elle s'assit au dessus de ma queue raide - Tu as compris, tu es mon jouet, mon nouveau jouet... Donc tu es mon gode, mon nouveau gode... Donc je vais me servir ! Et Elle se laissa glisser sur mon membre l'engloutissant et s'en servant à sa guise et à son rythme. Elle ne tarda pas à jouir, et moi aussi d'ailleurs ne pouvant plus me retenir. Je me sentais vidé par l'intensité du moment passé mais aussi un peu inquiet d'avoir jouis car je n'y avais pas été invité. - Et bien depuis quand un jouet jouit-il ? T'y avais je autorisé ? - Non Madame, pardonnez moi. Je n'ai pas pu me retenir... - Bon pour une première fois et après ce que j'ai vu, je serai clémente. Mais que ce soit la dernière fois mon jouet ! - Oui Madame, merci Madame. Elle se retira, se leva, puis se pencha vers mon sexe repu et gluant et l'embrassa tendrement. - Je crois que je viens de faire une bonne acquisition. Elle approcha ses lèvres humides de mon sperme des miennes et me les donna à lécher. La pression retombait j'étais comme anéanti..... Elle me détacha doucement, me laissa reprendre mes esprits tandis qu'Elle enfilait sa robe sans la boutonner. - Allez debout mon jouet ! Viens, tu as bien mérité un verre. Elle me prit par la queue pour me ramener au salon. Elle s'assit sur le canapé jambes croisées. Je m'agenouillai devant Elle, remplit deux verres et lui tendit le sien. Alors que j'allais prendre le mien, Elle m'arrêta. - Une dernière formalité, dit Elle en écartant les jambes, il faut que tu nettoies ce que tu as fait ! Je glissais ma tête entre ses cuisses et me mît en devoir de nettoyer son plaisir mélangé au mien tandis qu'Elle me caressait les cheveux. - C'est bien maintenant tu peux prendre ton verre... Je pris donc mon verre, et alors que j'allais m'assoir à ses pieds, Elle tapota le canapé à côté d'Elle. - Non ici ! Je m'assis à ses côtés, nous trinquâmes et bûmes à ce délicieux après-midi. - Je pense que tu fais l'affaire mon jouet ! Qu'en dis tu ? En guise de réponse je posais mon verre sur la table, me blottis contre Elle, tête posée sur ses cuisses. Je sus dès cet instant que je lui appartenais corps et âme.
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Par : le 19/01/21
Vous m'avez demandé de me préparer en commençant par une toilette et comme vous êtes dans un bon jour m'avez autorisé un bain... Je m'eclipse donc dans la salle de bain, me fait couler un bain avant d'y plonger. Mais a peine suis je dans l'eau que vous faites irruption pour une petite inspection approfondie de votre jouet. Vos mains courent sur mon corps et quand passant au niveau de mon entrecuisses, elles sentent des poils oubliés et des repousses disgracieuses, votre regard montre tout votre mécontentement et s'accompagne d'une pression assez intense sur l'objet du délit. Vous me mumurez a l'oreille d'une voix ferme et sans concession : - Qu'est ce que je sens là ? Tu n'es pas vraiment présentable pour moi ! Et tu crois que ce me fait plaisir N'as tu pas honte de te présenter ainsi devant moi ! Je baisse la tête penaud et murmure - Non Ma Dame, en effet. Pardonnez moi... Vous me le faites répéter pour mieux jouir de l'instant. Juste un "bien" sors de votre bouche... Soudain je sens vos mains resserrer mon sexe tendu que vous semblez vouloir tirer hors de l'eau en l'accompagnant d'un : - De toute façon pour avoir du travail bien fait il faut tout faire soi même ! Vous me forcez a m'arcbouter dans la baignoire sexe hors de l'eau. Puis après m'avoir lancé - Attends moi comme ça et surtout ne bouge pas ! Vous allez cherchez de quoi me raser... Vous enduisez doucement mon pubis de mousse en prenant plaisir par moment à jouer avec ma queue ou mes bourses que vous malaxez et pétrissez à l'envie et surtout bien fermement et durement... Puis vous commencez a me raser délicatement.... Quand le pubis est fait, d'une claque sur le sexe tendu vous me rappelez à l'ordre et me dites - Tournes toi a 4 pattes dans le bain que je m'occupe aussi de ton cul ! Vous tartinez alors ma raie et commencez à raser. Là aussi ponctuant vos arrêts de claques sur mes 2 globes indécents. Une fois terminé vous me demandez de me mettre debout dans la baignoire, prenez un peu de recul et me demandez de tourner sur moi meme pour contempler la belle ouvrage... - Voilà c'est comme ça que je te veux !!! Je baisse les yeux et murmure un : - Oui Ma Dame... Vous me faites répéter d'un : - Plus fort et je crois que vu ce que j'ai vu tu ne mérites pas aujourd'hui que je sois Ta Dame. Alors pour l'instant ce sera Maitresse et ce jusqu'à nouvel ordre ! Compris ? - Oui Maitresse réponds je dans un souffle. - Maintenant fini vite de te laver et sors. Tu va me donner mon bain ! Je m'obtempère sors passe un long coup de douche pour faire disparaitre tous les poils stagnants... Puis je vous fait couler votre bain à votre température préférée, remets un tapis de bain propre et sec, et prépare une douce éponge... Une fois que tout est prêt je viens vous prévenir - Maitresse Votre bain est prêt. - Attends moi là-bas j'arrive ! me répondez vous Je retourne à la salle de bain me positionne à genoux mains posées sur ces derniers et tête baissée, comme vous aimez si bien me voir. Vous vous prenez votre temps. Dans ma tête je pense : - Aie l'eau va refroidir et pas le moment de commettre un autre impair.... Alors de temps en temps je plonge la main dans l'eau pour en tester la température et rajouter un peu de chaud quand nécessaire. Enfin vous apparaissez en peignoir, belle divine et pleine de grâce. M'invitez à me relever pour vous débarrasser de ce dernier avant de rentrer dans le bain. Vous tester la température du bout du pied et me lancez d'un oeil taquin et goguenard : - Ça aurait pu être mieux. Moi je me suis remis à genoux tête baissée devant la baignoire. Vous plongez dans l'eau et profitez de l'instant. Puis soudain vous passez la main dans mes cheveux pour m'attirer à vous et me dites : - Maintenant lave moi ! Je saisis l'éponge que j'enduit de votre gel douche préféré et avance vers votre dos que vous me présentez. Je le frotte à présent avec douceur délicatesse et tendresse en insistant sur votre nuque. Lorsque ma main main fait signe d'approcher de votre poitrine ou du bas de votre dos vous me reprenez d'un : - Non tu ne l'as pas mérité pour aujourd'hui c'est moi qui le fait. Pendant ce temps tu n'as qu'à t'occuper de mes pieds et de mes jambes mais pas plus haut que le genou compris ? - Oui Maitresse Je ne remarque pas pendant ce temps que vous n'avez ni touché à votre intimité ni à vos fesses Une fois fini d'une claque sur ma croupe vous me lancez un : - Peignoir et vite que je ne prenne pas froid ! Pendant que vous vous levez et sortez en me tournant le dos je vais prendre votre peignoir que je vous aide à enfiler. Une fois parée du vêtement vous vous retournez et du regard et d'un signe de tête me faites signes de m'agenouiller. Ce que je fait aussitôt tête baissée. Je sens votre sourire au dessus de moi et devine une idée machiavélique... Du bout du doigt vous me relevez le menton. - Attends ton travail n'est pas fini. Je t'ai gardé le meilleur pour la fin ! Vous m'agrippez par les cheveux me tirez vers vous le peignoir s'entrouvre et vous me collez la bouche à votre entrecuisses... - Je t'ai gardé ça à laver. Alors vas y et n'oublie aucun recoin, mes fesses aussi ! Un doux bain.....
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