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Trans switch. 48 ans.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 06/03/20
C'est l'heure L'heure de la lèche La lèche-douche de Monsieur Est prête Sueur salée sucéé Nez à nu Bouche à fleur d'aisselles Poils à lustrer Salive sur la peau Peau mouillée aux lèvres Flux acides Lacis moites à laver La langue en torchon La langue éponge La langue savonne Fait briller le cuivre Des bras des jambes du ventre du dos du cou des mains des doigts des pieds des joues des paupières des oreilles du front du menton Et du sexe Du sexe de Monsieur Sécrétions acidulées Moustache baveuse autour de la bouche Saveur suave Coulées dans la nuque Cou collant Vapeurs voluptueuses Des tempes trempées Toutes les perles suintées Le long du dos Le long de la raie Entre les fesses Toute poisse est bue Coccyx couilles Velu velin de l'entre-cuisse Duvet soyeux de l'aine Touffes piquantes du pubis Tout est choyé Et bien sûr la tige glabre Le tigre en éveil L'oeil attentif du cyclope Et ses larmes sucrées Tout tout tout Tout est bien bu Hmmmm Elle aime cette heure L'heure de sa lèche Sa lèche-douche de Monsieur Son rendez-vous goulu Son moment précieux D'offrir la toilette à ce corps Assoupli après qu'il a fait son sport Quand enfin il s'arrête Se tient debout face à elle Les yeux comme deux braises Et qu'il laisse tomber ses habits au sol Devant sa servante à genoux Quand l'odeur musquée De son mâle échaudé Assaille de promesses épicées La souillon salivant à ses pieds Et que d'un geste il l'invite A lustrer du gant de sa langue Le carénage palpitant de son corps Elle y met tout son coeur Son propre corps en fête N'omet aucun recoin de la toile Elle aime cette heure Où docile elle se rend utile Au plaisir de son Maitre C'est l'heure de la soumise éprise Mais qu'il prise lui aussi Leur heure Leur intime antienne C'est l'heure L'heure de la lèche La lèche-douche de Monsieur Est faite !
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Par : le 04/03/20
Mon livre de chevet : Sur la petite table placée à la tête de mon lit intitulé: >< Le Musée des Supplices >< De Roland Villeneuve. Cet ouvrage aux illustrations impressionnantes se présente à la fois comme une somme d'informations sur l'histoire de la torture, depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours, et comme une réflexion éthique, esthétique et anthropologique sur la cruauté que l'homme entretient dans son rapport avec le corps d'autrui. >< Master-Sade63 >
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Par : le 16/02/20
C'est la Saint Valentin j'écoute avec curiosité cette émission qui évoque les lieux de rencontres. Aucunes alternatives aux applications et réseaux sociaux.semblent exister, Réellement les Hommes et le Femmes ne croisent plus ne regardent plus ne sourient plus.ne charment plus.. Pourtant je rêve de ce instant d'émoi qui vous plonge dans une autre dimension où je ne suis pas une pute mais une Femme dans ma fragile humanité où je ne suis l'objet de désir d'un instant mais un coeur à conquérir à découvrir quand je l'aurais choisi.. Où ma sensualité n'est pas un film porno mais une intimité à chérir..
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Par : le 02/02/20
Parfois, il faut libérer sa conscience et révéler ce qu’on a vécu dans l’espoir de trouver quelque apaisement dans la compréhension des événements d’un passé jamais vraiment révolu et qui ne cesse de nous tourmenter longtemps après les faits. J’ai appartenu à une femme fine, fluette et enfantine. Elle était douce et capricieuse, futile et gourmande. Très vite, je suis tombé sous sa coupe. Il émanait d’elle un charme indicible auquel je ne pouvais échapper. Je voulais tout lui donner, je lui passais tous ses caprices, j’étais à l’écoute de toutes ses fadaises, je voulais mettre à ses pieds tout ce qu’elle pouvait désirer avant qu’elle en émette même le souhait. En échange, j’avais sa présence dont je ne pouvais me lasser, mais elle se refusait à moi et, avec son rire de gamine, elle repoussait mes avances et mes avancées. Elle jouait de moi, elle s’amusait de mon désespoir de ne pouvoir la toucher et riait de lire sur mon visage la frustration qui finissait par me rendre fou. J’ai osé enfin lui prendre de force ses pieds pour les embrasser. Il semble qu’elle y ait trouvé quelque jouissance, puisque très rapidement c’est devenu un cérémonial entre nous. C’est ainsi que je me suis retrouvé à ses pieds, bavant presque de désir. Mais, parfois, elle s’amusait à me dire non, à me refuser ce seul plaisir auquel j’avais droit, et je me sentais puni comme un enfant pas sage. L’excitation n’en était que plus puissante. Je quémandais régulièrement de sa bonté l’autorisation de profiter de l’unique jouissance qui m’était autorisée. Elle était assise sur une chaise, j’étais nu à quatre pattes devant elle. Elle me tendait ses pieds pour que je les embrasse, les lèche, les suces. J’étais comme un chien qui lèche les pieds de sa Maîtresse. Parfois, je me contentais de baisser mon pantalon, parce qu’il faut aussi dire qu’elle me laisser me vidanger pendant que ma bouche jouissait de ses orteils. Elle me regardait, je me sentais humilié et ridicule, mais cette position animale redoublait mon excitation. Finalement, j’adorais me vautrer ainsi sous son regard. J’étais son soumis sans qu’elle soit vraiment une Domina. J’étais encore libre de mon corps malgré tout, non pas que je sois allé chercher un plaisir banal ailleurs dans les bras fades d’une femme qui n’aurait eu pour seul attrait que sa chair, ses mamelles volumineuses et sa chatte gluante, alors que celle que je vénérais avait elle-même de son côté un homme qu’elle voyait épisodiquement et qui satisfaisait sa jouissance, comme elle me l’a avoué plusieurs fois, non, je me contentais, si j’ose dire, du plaisir profond de longues masturbations nocturnes durant lesquelles, paradoxalement, je recréais toutes les frustrations du jour, lorsque mon aimée m’offrait en guise de récompense toute l’innocence de son mépris enfantin. Mais c’était encore trop! Un jour, elle s’avisa de m’interdire ce dernier luxe et, comme font les Domina, elle me l’interdit. Je dus bientôt lui avouer qu’il m’arrivait parfois de contrevenir à cette nouvelle loi. Je ne l’avais jamais vue dans une pareille colère et comme elle n’avait rien d’autre sous la main, elle pris une ceinture de cuir dans la chambre et m’en fouetta comme une brute, puis épuisée par l’effort elle retrouva comme par enchantement sa délicatesse d’enfant et se fit servir par moi en dissertant aimablement. Fine mouche, elle trouva rapidement la solution imparable pour s’assurer d’une obéissance infaillible, elle posa une cage en métal sur mon sexe et garda les clefs. Jamais je ne pus la fléchir pour obtenir quelques instants de liberté, pour au moins me vidanger subrepticement ou encore pour me laver. Rien n’y fit, je trempais ce qui restait de mon sexe dans l’eau pour réussir à le nettoyer, mais, pour le reste, je demeurais totalement émasculé et sans aucun espoir. J’étais émasculé, en effet, et ma queue minuscule, désormais, ne servait plus à libérer la tension de mes désirs pourtant intenses. Mon adorée poussait le vice ou la méchanceté jusqu’à m’imposer ses pieds à lécher sans que je puisse atteindre la jouissance. J’étais nu à quatre pattes devant elle et j’accomplissais mon devoir de chienchien, alors que ma queue était toute boursouflée dans le métal de sa cage. Pendant de longs mois, j’ai enduré ce supplice et ses moqueries. Il m’arrivait d’avoir une sorte de courage qui me poussait à la supplier, mais rien n’y faisait. Parfois même, fâchée, elle me donnait quelques coups de pieds dans les couilles pour me faire taire. Cette histoire, sans grand intérêt finalement, a duré deux années durant lesquelles je n’ai fait que dépérir. La vénération que je témoignais à la Dame allait en s’étiolant à mesure de son inflexibilité. J’avais l’impression de tout donner et de ne rien recevoir. Rien n’était donné en pâture à ma sensualité, la frustration était totale et je ne voyais plus d’issue à ce vide que la fuite. Il m’a fallu briser mes chaînes, même s’il m’en a terriblement coûté d’abandonner celle qui avait tout été pour moi et, avouons-le, l’était encore. Il a fallu me faire violence pour fuir et surtout ne pas revenir. Longtemps, c’est en rêve, le soir, que je retournais aux pieds de mon aimée pour des masturbations intenses qui faisaient revivre en les embellissant ces moments qui furent terribles et qu’on fini toujours par vouloir retrouver...
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Par : le 01/02/20
Mon fantasme impossible. Je suis en levrette dans une cage à peine aussi large que moi. Mon cul et ma tête sont plaqué contre les barreaux. Je me réveille observe l'endroit, je suis dans une maison troglodyte. Ma cage et sur élevé, de manière général j'ai l'impression de tout voir en grand. Pas géant mais plus que la normal. Les murs sont en pierre voutée. Sur un pan de mur un établit avec des objets en bois de formes phalliques. La pièce est éclairé par des lampes à huiles, des cordes pendent un peu partout. Je ne suis pas apeurée. Tout à coup le bruit d'une grosse porte en bois qui grince. Je veux savoir qui va arriver. Je vois une très grande ombre, j'entends un toussotement très grave. _Bonsoir Démettra. Je suis Matthias. Un homme de 3 m de hauts, avec un visage de Viking, blond comme le blés et aux yeux au bleu profond. Il avait une très grande langue de 20 cm coupée en deux. En se mettant devant moi, il enlève son pantalon et dévoile deux sexes. Celui du haut est énormes, il fait 50 cm pour 15 de larges. Il est si gros qu'il a besoin de veines monstrueuses pour l'irriguer, celle du dessous est plus petite 30 cm et 10 de large. Elle a un gland fendu en deux qui suinte beaucoup. _Je suis le fils caché de ton parrain, ayant une grosse anomalie génétique me forçant à rester cloitrer dans mon domaine il a fallut trouver une solution pour que je vive une vie normal. C'est pour ça que les meilleurs amis de mes parents t'ont conçu. Pour être ma femme. Aujourd'hui nous allons tout les deux perdre notre virginité, tu porte mon alliance maintenant. _Mon père me l'a annoncé ce matin. Je me résout à leurs volontés. _Je vais commencer par te lécher la chatte. Je sens deux antennes baveuses se poser de part et d'autre de mon clitoris, elle danse en prenant tout l'espace dont dispose mon sexe. Je me laisse faire car cet homme m'excite à mort. Deux sexes et deux langues de quoi devrais je me plaindre? Surtout qu'il sait très bien manier ses deux langues ensembles. La bouche luisante de mes sucs, il se relève et viens vers mon visage. Il prend son énorme queue dans sa main, me demande d'ouvrir la bouche et de branler celle du dessous. J'ouvre ma bouche en grand, il pose son gland. Il apprivoise ma gorge en faisant des va-et-vient qui pousse a chaque fois quelques minutes plus loin. Je suis apnée a chaque fois qu'il enfonce. J'en rentre la moitié, mes yeux pleur, je suis violacé et les yeux injecté de sang il arrête la. Il se remet derrière, enfonce dans mon cul un doseur à bouteille d'huile et en vide un peu dans mon fion. Il place sont gland sur mon trou et dune pression permanente il fait péter chaque cm de mon anus lentement mais en une seule fois. Je suis exploser mais je kiff! Une fois son enclume calé au fond de moi. Il attrape la deuxième et l'enfonce en moi comme une lettre à la poste. Il attrape de ses grosses mains mes larges hanches et me secoue sur ses bites, tout à coup je les sens se raidir encore plus et je sens celle de mon cul, expulsé une cartouche comme s’il le vomissait, ce n'était pas du sperme normal. C'était des sorte de petits œufs gluants, des œufs de lampes en 5 fois plus gros et en blanc. L'autre queue crache aussi, mais du vrai sperme cette fois-ci. Il essuie ses deux glands sur mon visage, la vision de nous deux fait monter mon plaisir et les convulsions de mon sexe qui recrache autant que si je vomis. Me font bander les tétons, l'épiderme, le clitoris et mes yeux se révulsent. Je crie des puissants oui et je tombe ko. Sans énergie, on se regarde c'est le coups de foudre. Il me libère de la cage, je m'allonge dans ses bras, visqueuse. Nous décidons de feuilleter l'énorme beaucoup avec écrit: " La bible de l'orgasme.". Nous nous retrouvons dans le bdsm, Matthias en tant que dominant et moi soumise. Nous décidons de mettre en place des demains notre nouvelle vie, mais avant tout on baise avant de dormir. Je m'empale sur son énorme sexe, le petit prends place dans mes fesses. Il me secoue d'avant en arrière. Chaque coup en avant laisse apparaitre un énorme sexe se dessiné dans ma parois abdominales.
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Par : le 23/01/20
A la cour des Geishas les cordes du Shamisen volent les leurs de lotus. Le timbre de la voix darde le coeur du Obi au sentier des cerisiers. Kimono petit pas chante le chant du cygne Bourdonnent les éventails. Dévoilant la nuque la beauté jour les cordes volent les fleurs blanches gorgées au parfum de thé. ceci est un Haiku. LE 23 01 2020
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Par : le 19/01/20
Sa Maîtresse est belle et désirable et il la désire. Il est à ses pieds, il l’admire, il salive devant ce corps qui parfois se dévoile à moitié lorsqu’elle évolue autour de lui, lorsque ses jambes gainées de résille émergent de sa robe, lorsqu’elle se penche vers lui et que sa poitrine s’offre à son regard dans le décolleté de son chemisier entre ouvert. Pourquoi sa main ne s’avance-elle pas pour saisir ce qu’il désire ? C’est qu’il est attaché sur le sol, vautré comme une loque impuissante et réduite à désirer en silence. Il est loin le temps où il tripotait les femmes qui se donnaient à lui, où il jouait avec leur corps, où il prenait, jetait, ghostait celles qui tombaient entre ses pattes. Il a même fouetté et il adorait voir se tordre de douleur ces amantes d’un soir qu’il traitait sans ménagement. Il est loin ce temps depuis que cette Maîtresse l’a ensorcelé et fait de lui un pauvre soumis sans plus aucune volonté, sans plus aucun orgueil. Maintenant, il gît par terre près d’elle, il devine plus qu’il ne voit sa beauté de là où il est. Il mesure, désespéré, la distance qui le sépare de cette Maîtresse qui joue avec son pauvre corps abandonné. Être nu, attaché et frustré, réduit à ramper servilement comme une larve qui ne mérite que le mépris de cette grande Dame qui autour de lui évolue. Que dirait-Il d’ailleurs, que pourrait-il dire dans sa position lamentable, lui le soumis impuissant. Et pour qu’il sente encore plus son infériorité de lopette émasculée, elle lui a obstrué tous les orifices. Il a un bâillon boule dans la bouche, un plug qui lui brûle le cul et l’indispensable cage qui scelle pour toujours sa minable virilité. C’est ainsi qu’elle l’a réduit à rien et il admire ses formes qu’elle ne se prive pas de lui laisser deviner. Trop bonne, parfois elle l’immobilise à quatre pattes sur la table ou par terre en l’attachant par les genoux et les poignets pour qu’il soit bien offert et sente bien son impuissance de soumis. Elle lui enlève sa cage et s’abaisse alors à lui empoigner son pauvre sexe inutile qui aussitôt gonfle du plaisir dont il a été privé depuis si longtemps. Elle le branle vigoureusement pour le traire au plus vite et lui s’abandonne aux gémissements comme une bête en proie au désir. Rapidement, il se vide dans des spasmes ridicules dont il n’a même plus honte, il fait entendre ses grognements de pourceau satisfait d’être trait. Il se soulage en long jets clairs qui achèvent sa vidange. Sa Maîtresse presse consciencieusement sa queue devenue grosse et tire dessus pour qu’elle se vide totalement. Ensuite, elle lui essuie le gland pendant qu’il continue à gémir sans aucune pudeur. Enfin, elle lui remet sa cage. Pour combien de temps ? Et pour faire bonne mesure, elle lui cravache le cul pour qu’il revienne à la réalité. Une fois détaché, il ne lui reste plus qu’à se dépêcher de nettoyer les traces de la jouissance que sa Maîtresse a eu la bonté de lui offrir.
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Par : le 19/01/20
Esclave en fuite. Pas de liberté pour l'esclave cérébral. On ne fuit pas ses fantasmes, ils nous tiennent enchaînés. On se révolte parfois, on croit briser les chaînes et courir au loin. En vain. On retourne toujours tôt ou tard tête baissée et tremblant devant celles ou ceux qui incarnent l'invisible maitre dont l'aiguillon nous taraude sans cesse. Au désespoir de finir entravé se mêle l'amère satisfaction des brimades et de la souffrance. Tel un Spartacus symbolique, il a fallu voir sa compagne défoncée par un taureau, dans l'arène devant les spectateurs, pendant qu'attaché on ne pouvait s'empêcher de bander. Il a fallu fuir, honteux et presque nu, dans la forêt du monde, dans l'obscurité des bois, dans les broussailles hostiles qui lacèrent le corps. Et être traqué et repris par ses maîtres, gémir sous la torture et le fouet, être enfermé dans de sombres cachots et finir empalé ou sur la croix. Oui, l'esclave en fuite ne peut échapper...
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Par : le 09/01/20
On met un oiseau en cage pour éviter qu'il s'envole et qu'il s'échappe. De même, on encage le sexe d'un soumis pour éviter qu'il bande et qu'il jouisse hors de propos. Les maîtresses savent que le soumis qui est libre, est libre de désobéir. Le soumis obéit jusqu'au moment où il désobéit. Après un temps de douce quiétude, il finit toujours par retomber dans l'excitation et ne peut s'empêcher de recommencer à se toucher. Et il reprend ses mauvaises habitudes, il passe son temps à rechercher le plaisir dans des séances de masturbation forcenée, malgré l'interdit qui pèse sur elles. Les maîtresses le savent et souvent elles ferment les yeux. Le soumis pervers se hâte d'engranger ces moments de plaisir furtifs, mais intenses, car, en son for intérieur, il redoute sans cesse le moment où il sera privé de sa virilité pour une coque ou une cage cadenassée dont la clef sera entre les mains d'une Maîtresse intraitable. Par ailleurs, comme tout malfaiteur, il se rassure en se disant qu'il en aura bien profité, lorsqu'il finira par être pris. Au demeurant, il y a de fortes chances qu'il finisse par avouer lui-même, à cause de sa mauvaise conscience et pour donner à sa Maîtresse des preuves éclatantes de sa soumission. Bref, une Maîtresse qui veut garder un soumis, a tout intérêt à l'encager, fermement et définitivement. C'est d'ailleurs le désir souvent le plus profond du soumis, un fantasme extrêmement puissant chez lui, tout du moins tant qu'il peut se masturber longuement en vivant presque en esprit sa frustration. Étrange délire de prendre un plaisir infini à rêver qu'on ne pourra plus en prendre ! Mais une fois encagé, le soumis découvre la réalité, il est comme enterré vivant, il se débat sans pouvoir se dégager, il oscille entre la colère et une douce résignation, parfois satisfait, parfois furieux. Mais d'une part, il n'a qu'une peur, celle de perdre sa Maîtresse et, de l'autre, il a à cœur de la servir avec application et dévouement. Ce dévouement qu'il accorde à sa Maîtresse, est d'autant plus marqué que, ne pouvant plus se vidanger, il se retrouve tout le temps dans la situation d'un homme qui désire une femme et qui fait tout pour lui être agréable dans l'espoir d'obtenir bientôt ses faveurs. La Maîtresse apprécie la délicatesse constante de son soumis, elle peut tout demander, tout exiger, tout ordonner, il sera constamment son valet, son jouet, son esclave. Mais certains redoutent que le sexe du soumis s’atrophie s'il reste définitivement encagé. Peut-être, mais qu'importe puisque son sexe n'a plus à servir, puisque sa Maîtresse me couche jamais avec lui. Après tout, le maitre ne dort pas avec son chien. Le soumis, pour ainsi dire émasculé, accepte son sort. Et la Maîtresse peut toujours s'adonner au jeu cruel de lui faire miroiter quelques instants de liberté un jour plus ou moins prochain… Le soumis est ainsi condamné à ramper aux pieds de sa Maîtresse, fébrile et désemparé, regrettant l'époque désormais résolue où son sexe pouvait bander librement et lui-même se branler longuement, faute de mieux, en rêvant au corps inaccessible de sa Maîtresse.
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Par : le 09/01/20
Un premier rendez-vous est souvent décisif, une première séance ne l'est pas moins. Le soumis attend avec autant d'impatience que d'appréhension ce moment-là. D'un côté, il espère la réalisation des fantasmes qui le taraudent quotidiennement et viennent polluer ses moments de libres ; de l'autre, il ne sait encore à quoi s'attendre de la dureté d'une Maitresse et de ses propres réactions. Il attend et son imagination bouillonne, il se voit traité comme il l'espère avec toute la rigueur qu'il croit pouvoir supporter, avec les poses et les objets qui accompagnent immanquablement le cérémonial DS. Certaines Maitresses aiment tester auparavant en virtuel leurs futures proies pour jauger leurs capacités d'obéissance, leur réel désir, la soumission à leurs caprices ; certaines Maitresses aussi se dévoilent en révélant leurs penchants et leurs préférences. Elles avouent parfois leur propension à une certaine cruauté ou encore leur désir de se défouler dans le lâcher-prise de leur.s soumis et de se libérer, par là, des tensions accumulées dans le quotidien de leur vie. Le soumis donc attend déjà partiellement informé des tendances de la Maitresse qu'il va bientôt rencontrer ; il s’apprête à lui obéir, à porter la laisse et le collier comme un animal de compagnie, à marcher à quatre pattes devant elle, à lui offrir son cul pour qu'elle le domine, à souffrir et même à prendre une raclée avec la cravache pour qu'elle se défoule totalement. En attendant, il ne peut que se demander comment il réagira, le moment venu, quand ses fantasmes adviendront et qu'il souffrira dans sa chair lacérée...
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Par : le 09/01/20
Pour réussir cette recette, prenez une Maitresse particulièrement vicieuse, un soumis lambda que rien n'effraie et un soumis totalement hétéro. Le soumis hétéro sera le dindon de la farce, une sauce traditionnelle spécialement accommodée pour réduire ce gibier dont raffolent certaines Maitresses aussi gastronomes que goulues. L'angoisse de déplaire à sa Maitresse qu'il sait déjà très sollicitée et la peur qu'elle le laisse pour un autre préparent le soumis hétéro à accepter toutes sortes d'abaissements. Quant à la Maitresse, elle veut le faire totalement à sa main selon la technique assez courante qui consiste à contraindre un soumis à des pratiques bi. Et déjà la Maitresse humilie le soumis hétéro devant un autre soumis, comme s'il était moins que cet autre, comme si l'autre avait les préférences de sa Maitresse. Cette concurrence le désarçonne, la jalousie le taraude et il craint d'accepter le pire, ce qui le dégoute, pour plaire à sa cruelle Maitresse... et le pire arrive. Elle lui ordonne de se mettre à genou devant l'autre soumis qui bande comme un âne. Elle veut qu'il le suce, mais il ose refuser, il supplie en faible chose qu'il est aux pieds de sa Maitresse. Alors, elle lui cravache les fesses de colère, elle lui crie d'ouvrir la bouche et, gémissant sous le supplice des coups, il ouvre la bouche et s'enfourne le sexe dur de l'autre. La maitresse lui pousse la tête pour que le gland aille presque jusque dans sa gorge. Elle l'encourage, elle le félicite, c'est de la dérision. Il suce avec dégout au début, il s'applique, c'est la première fois, la queue est grosse dans sa bouche, elle est chaude et élastique, il salive, il bave, il obéit. Soudain, elle lui crie de ne pas faire jouir l'autre et le tire vivement par sa laisse. Elle empoigne la queue de l'autre et commente sa dureté. Elle tire sur la laisse pour le faire mettre à quatre pattes et présenter son cul à l'autre qui, sur ordre, s'agenouille et aussitôt plaque son gland contre sa rosette et s'enfonce. Lui n'ose rien dire et se force à obéir, il n'est plus qu'une lopette qui reçoit dans ses fesses. Et l'autre, après quelques va-et-vient, jouit sous les applaudissements de la Maitresse. Mais son supplice n'est pas fini et il n'en croit pas ses oreilles, lorsque la Maitresse lui dit qu'elle veut bien qu'il jouisse, lui aussi à qui elle a interdit tout plaisir depuis longtemps, mais s'il veut se soulager enfin, ce sera dans le cul de l'autre qui, docile, se met déjà à quatre pattes...
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Par : le 09/01/20
Détruire, dit-elle. Certains soumis sont encore des hommes. Pour d'autres c'est fini, une domina les a fait à sa main, Elle a détruit en eux l'orgueil du mâle. Toutes les dominas n'en sont pas capables, il faut une volonté sans faille pour faire plier jour après jour ou séance après séance un soumis ordinaire. Certaines ont ce pouvoir de passer de humiliation ordinaire, de la contrainte ordinaire et de la douleur ordinaire à des pratiques autrement plus intense et qui achèvent de conditionner leur soumis. L'autorité naturelle et une cruauté certaine enchaînent encore plus sûrement. Détruire, c'est d'abord émasculer le soumis en imposant définitivement à son sexe une cage. Il se laissera faire parce que, comme un petit toutou, il ne peut se passer de venir lécher les pieds de sa maîtresse. Détruire, c'est aussi exposer le soumis aux regards des autres, aux rires des femmes qui le tripotent, au sexe d'hommes qui s'imposent à lui.. Le soumis voit sa Maîtresse qu'il craint et qu'Il désire se faire femme avec un autre et jouir sous celui-ci, alors qu'il n'a droit à rien. Et si il ne voit pas, Il le sait. Le soumis sera forcé par sa maîtresse à sucer un sexe en érection ou devra se mettre à quatre pattes et se laisser enculés devant elle. Parfois même les hommes seront plusieurs et le soumis toute honte bue devra subir pendant que sa maîtresse le regardera. Détruire enfin c'est attendre dans l'angoisse la raclée, ne pas savoir si on va y avoir droit, ni quand. Deux techniques pour cela, soit le soumis est attaché et se fait éclater les fesses à coups de cravache (lui mettre un bâillon !), soit, à quatre pattes sur le bord du lit par exemple, il doit présenter son cul à son bourreau et accepter sans broncher la raclée. C'est impossible bien sûr, on souffre trop, on finit par vouloir échapper au supplice, mais plus on essaie d'esquiver plus on mérite la punition. C'est affreux de se démener sans pouvoir échapper, mais plus j'ai peur des coups, plus je souffre et plus le plaisir cérébral se fait intense.
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Par : le 05/01/20
(Ceci est une fiction ;) ...) ------ À vous qui m'avez trouver... À vous qui avez voulu m'aider... À vous qui avez dû patienter... À vous qui avez prit le temps de m'expliquer... À vous qui avez décidés de me sauver... J'étais détruite autrefois, abîmée par la vie qui avait été injuste avec moi. Une âme perdue dans un monde trop noir, vous êtes l'Ange et le Démon qui m'ont guidés sur le bon chemin de votre lumière. Accompagné de votre bâton de sourcier et de votre chat à neuf queues, à coups de remontrances et de tendresses j'ai appris à me faire face, à m'accepter, à m'aimer. Les milliers de sensations que vous m'avez faites ressentir m'ont aidées bien plus que vous ne l'aviez espérés et voilà maintenant qu'un an s'est écoulé. Notre contrat est censé se finir et nos derniers jours ensemble se sont passés enfermés dans notre paradis, entre brutalité et douleur nous avons déversé notre chagrin. Le jour de la fin, j'ai disparu quelques heures, vous étiez fou d'inquiétude et avec votre lumière, vous avez ébloui les rues pour me retrouver. Défaitiste, vous êtes de retour au point de départ. Ou était-ce l'arrivée ?
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Par : le 15/11/19
(Re)trouver , (re)prendre le chemin tortu(r)eux du Bien Donner Sereinement (sa) Marque de Soumission suppose voire impose par rapport au désir profond une patience constante, une plongée aux abymes de soi pour se découvrir se connaitre et ainsi parvenir à rencontrer un " Autre Soi " totalement dévêtu des atours acquis, comme pourraient exprimer " les vertueux" ou soi-disant tels ! Sur mon chemin, j'ai croisé et fréquenté , oh il y a... longtemps une jeune... qui m'a initié aux pincements de mes tétons. cela a été comme le tir d'une balle de fusil qu'il il est impossible de rattraper , la balle tirée; cette dernière (la balle) a, quelque peu atteint sa cible: le masochisme, le BDSM (cf 1ere ligne), la Soumission = le grand Lâcher Prise . ( A suivre...) Voir également
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Par : le 04/11/19
Il osa déposer un tendre baiser Sur sa bouche coquelicot pulpeuse Son souffle sur sa nuque dorée Fit frémir ses boucles joueuses Ses mains devinèrent ses contours Si ronds, si fermes, si palpables Vertige que la belle savoure L'émouvoir la rends désirable La robe noire moulant son corps Souligne ses formes harmonieuses Son décolleté .... Est une fureur Abrite une poitrine aguicheuse Viens, je t'amène pour danser Balance ton déhanché de reine Etoile de mes nuits fantasmées Beauté au désir irréel Il bredouilla des mots étouffés Espérant qu'elle sera sienne Que faire d'une si jolie poupée Si je ne peux la garder Mienne... Le 0311 2019 fiction
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Par : le 04/11/19
bougie La flamme éclaire la paraffine fond gouttes coulent en bonds solide sur la peau carapace de verre chaleur diffuse profonde pour résister dos rond remuant comme un vers chaleur très diffusée douleur plaisir mêlés délice approfondi sens en ébullitions sexe en congestion orgasme ressenti
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Par : le 28/10/19
L'été dernier - fortes chaleurs aidant, sans doute- Maître Guitout m'installe en voiture, yeux bandés, après m'avoir introduit sous mon boxer une grande quantité d'orties fraîches, bien réparties entre fesses et sexe... Une chaleur supplémentaire embrase alors mon corps immobilisé sur le siège; les chaos du chemin emprunté par le 4 x 4 plutôt rapide, enfin , je crois, accentuent plus encore mon échauffement. Il stoppe! dégage le polo et place sur chacun de mes tétons deux pinces agrémentées d' orties aussi... Douleurs... Douceurs = DELICES ou SUPPLICES? c'était que je l"accomplisse...! pour tout bénéfice! (à suivre) PS il faut lire: NATURE, mille excuses ou punition(s) selon votre volonté, Bien Soumicieusement.
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Par : le 19/10/19
/!\Cet article s'applique aux relations BDSM s'inscrivant dans une réelle relation suivie sur le long terme visant un abandon de soi total de la soumise envers le Maître. Il est uniquement le reflet de mon ressenti et de mon expérience personnelle. Les avis peuvent diverger à ce sujet et je serai ravi d'avoir votre point de vue en commentaire./!\ Dans une relation BDSM, le bien-être du Maître ET de la soumise doit être préservé. Il faut avouer que c'est la soumise qui prend le plus risque lorsqu'elle s'engage dans ce type de relation. En effet, pour pouvoir être vécue pleinement, elle nécessite de donner au Maître le pouvoir de prendre toutes les décisions la concernant (sauf dérogations à négocier). Elle doit donc s'assurer qu'il utilisera ce pouvoir à bon escient, dans leur intérêt mutuel. On pourrait donc penser hâtivement qu'il n'y a aucun intérêt à humilier sa soumise. J'aimerai donc apporter mon point de vue sur la question. ***L'humiliation comme moyen de s'offrir totalement dans toute sa vulnérabilité*** L'humiliation peut-être une épreuve plus ou moins difficiles suivant l'histoire et l'expérience de chacun. Une soumise ayant un vécu particulier pourra être réfractaire à certaines pratiques. Dans ce cas, il est de la responsabilité du Maître de prendre le temps nécessaire pour évaluer cette difficulté ainsi que sa cause. La soumise aura besoin naturellement d'un soutien renforcé si la décision est prise de lui faire subir cette épreuve malgré tout. Le Maître s'assurera que sa soumise a bien compris l'intérêt de la faire poursuivre tout en lui garantissant la possibilité d'arrêter la pratique à tout moment. Si la pratique en question consiste à exercer une contrainte empêchant la soumise de s'exprimer oralement pour y mettre fin, alors un autre moyen devra être trouvé pour que la soumise puisse avertir son Maître lorsqu'elle atteint sa limite. Je n'invente rien, il s'agit là simplement de bon sens et ce principe est repris dans beaucoup d'articles. Un des bienfaits de l'humiliation, pour ma part, est de renfoncer le lien de confiance avec la soumise. L'accompagner dans une épreuve difficile peut faire évoluer la relation dans le bon sens de manière significative. Elle se livre ainsi entièrement à son Maître qui pourrait abuser de cette position pour lui faire du mal, et pourtant, il l'utilise pour faire progresser sa soumise dans les épreuves qu'elle rencontre. Elle peut ainsi être fière de montrer son dévouement à son Maître ce qui contribue à son épanouissement. En plus de renforcer le lien de confiance dans la relation, l'humiliation peut également permettre de renforcer la confiance que la soumise a en elle-même. Le fait de traverser des épreuves avec succès lui fera prendre conscience de ses capacités, ce qui pourra être bénéfique pour elle également en dehors du BDSM. ***Quand l'humiliation bascule vers le mépris*** Toute pratique, humiliation y compris, doit s'inscrire dans une démarche positive. Il ne s'agit pas de se défouler sur sa soumise ou de la mépriser. Humilier sa soumise sans prendre en compte son ressenti et sans veiller à sa bonne préparation peut avoir des effets dévastateurs. Le respect est de mise, et humilier avec respect n'est pas à la portée de tous. Il y a malheureusement trop de soumises, pleines de bonne volonté, qui se laissent avoir par des pseudo-maîtres qui ne voient en leur dévouement qu'un moyen de satisfaire leur égo et oublier leur complexe d'infériorité. Elles sont forcées à dépasser leur limites sans aucun accompagnement de la part du maître. Parfois même en les faisant culpabiliser par des mots du genre "si tu n'es pas capable de ça, alors tu n'es pas une bonne soumise". A terme, ce genre de comportement produira les effets inverses que ceux recherchés, à savoir la perte de confiance en elle, en son Maître ainsi qu'une grande difficulté à refaire confiance par la suite. Sans compter le traumatisme que cela peut engendrer. Une bonne soumise n'est pas une soumise qui n'a aucune limite, d'ailleurs, en cherchant bien, on finit toujours par en trouver. Une bonne soumise, s'efforcera de faire de son mieux pour satisfaire son Maître malgré ses limites et un bon Maître l'accompagnera afin qu'elle progresse dans les meilleures conditions. D'ailleurs, je n'ai JAMAIS eu quelque début de relation sérieuse que ce soit avec une "soumise" se disant sans aucunes limites. Bien souvent il s'agit de filles malhonnêtes qui disparaîtront dès que le moindre effort leur sera demandé, et bon vent ! La pratique d'actes dégradants ou humiliants peut être enrichissante dans une relation à condition de le faire dans le respect et l'accompagnement de la soumise. Lorsqu'elle est effectuée à bon escient, elle peut permettre de renforcer le lien de confiance entre le Maître et la soumise, ainsi que faire progresser celle-ci dans le dépassement d'elle-même. Suivant les relations, cela peut également permettre de traiter un traumatisme que la soumise a vécu, dans ce cas l'attention du Maître devra être maximale pour garantir les meilleurs conditions de déroulement de la pratique. Les effets des pratiques humiliantes peuvent être négatifs lorsque cela est pratiqué avec des personnes mal intentionnées. Il est donc important de le pratiquer uniquement avec des personnes dignes de confiance et soucieuses du bien-être de l'individu humilié.
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Par : le 14/10/19
Une main Un corps Un sein Encore Lumière Pénombre Sollicitation Je sombre Plaisir Tendresse Jouir Caresses Venir Se blottir Sentir Gémir Crier Sensuel Espérer Charnel Pénétration Excitation Fellation Attentions Lèvres Membre Fièvre Répandre Le regard complice, les sens en éveil Nos corps fusionnent de plaisir Brûlent, s'animent, s'expriment Se calment, se lovent pour mieux jouir Pour toi mon A. Le 13 10 2019
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Par : le 14/10/19
J'ai entendu la porte s'ouvrir Mes yeux étaient clos, je t'attendais Je prenais patience, mon corps déjà offert Je frémis quand le bandeau vient voiler mes yeux Je trésaille en sentant la chaleur de tes lèvres sur mon cou Je frissonne quand ta main tire mes cheveux Je vibre quand ta main caresse ma joue Nue, je m'offre à ton désir Nue, j'accepte tes envies Je tremble quand tes doigts effleurent mes seins Je geins quand tu serres mes aréoles Je souris quand ta bouche aspire mes tétons dressés Je grimace quand tu tires sur mes pointes érigées J'ondule quand ta main glisse le long de mon ventre J'ondoie quand mon mont de vénus trouve sa place sous ta paume. Nue, je me donne à tes envies Nue, tu m'invites à tes désirs Je me cambre quand tu m'allonges sur le lit Je me courbe quand tes doigts découvre mon sexe Je retiens mon souffle quand tu saisis mon clitoris Je contiens ma respiration quand tu le pinces entre tes doigts Je gémis quand ta main s'enfonce dans mon intimité Je jouis quand je suis fouillée par toi ainsi Nue, je m'abandonne à ton plaisir Nue, je me livre à ton désir J'aime lorsque ton glaive me pénètre Je m'exprime quand tu vas et viens Nue, je hurle mon 'plaisir' Nue, je m'abandonne à la jouissance Le 13 10 2019
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Par : le 11/10/19
La tête à l'envers, A chaque pensée, A son endroit. Le coeur à l'envers, A chaque pensée, Au bon endroit. Je me révolte ; Je me défile, Et je file droit. Pourtant Miami, C'est bien par là. Chez mon amie, C'est bien tout droit. Je me désole, Sans cris, tout bas. Pourtant les cris, C'est mon bon droit. Car Miami, C'est toujours là-bas. Comme une histoire sans fin, Sans issue, ni voie. Un sourire accort, N'y suffirait pas. Pas d'accord à l'amiable, Selon Mia. Pertes et fraccas, Y suis allé tout droit ! Comme une histoire sans "enfin", Qui ne démarre pas. Loin de Miami, Un homme, un ex, Un il, en exil, Est toujours miam... De Mia.
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Par : le 11/10/19
Il est très facile de se mettre à juger quelqu'un, on le fait tous, consciemment ou non. Cet article se consacre surtout aux jugements malveillants de personnes qui s'octroient le droit de vous imposer leur vision des choses, en n'ayant parfois d'autre argument que leur âge avancé pour s'attribuer le statut d'expert d'un domaine qu'ils ne maîtrisent pourtant pas. J'ai pensé un bref moment que le BDSM était épargné ce genre de comportement, étant un mode de vie victime lui-même de vives critiques souvent infondées. Grand mal m'en a pris quand j'ai pris conscience que ceux qui causaient le plus de tort au BDSM, étaient en fait les adeptes eux-mêmes. Si on peut vraiment les qualifier d'adeptes... Je vais donner certains exemples, que personne ne se sente offusqué s'il s'y reconnait. L'important est de s'en rendre compte pour ne pas le reproduire. La remise en question perpétuelle est une bonne chose car celui que ne se trompe pas (ou plutôt qui pense toujours avoir raison), n'apprend pas non plus. Les pratiques des uns ne sont pas celles des autres Ce qui est bon pour vous ne l'est pas forcément pour autrui. Ca a l'air d'être une question de bon sens et pourtant... Nombreux sont ceux qui se permettent de juger les pratiques d'autrui uniquement parce que ce n'est pas leur manière de faire. Si tout le monde devait se comporter pareil, n'importe quel Maître conviendrait à n'importe quel soumise. Les pratiques du BDSM n'auraient aucune richesse et chaque nouvelle relation serait une photocopie de la précédente. Prenons l'exemple d'un article que beaucoup connaissent : "Les 12 règles de la soumise" pour ceux qui ne connaissent pas, je vous invite à rechercher sur google. Personnellement, je n'adhère pas à toutes ces règles. J'ai pu constater que beaucoup n'y adhèrent pas également. Jusque là tout va bien. Le problème commence quand ces mêmes personnes se permettent de juger ceux qui y adhèrent. Pourquoi ? Uniquement parce que eux n'y adhèrent pas pour des raisons qui leur sont propres. Si un Maître se plaît à dominer sa soumise ainsi et que la soumise se plaît à être ainsi traitée, où est le problème ? Sommes-nous en droit de leur imposer notre vision des choses ? Nous pouvons donner notre avis, certes. C'est tout ! Ce qui importe c'est que les deux y trouvent leur compte et nous ne sommes pas en droit de leur dire ce qui est bon pour eux. D'autres pourront dire quel telle ou telle pratique n'est pas du BDSM. Et alors ? Ce qui compte c'est de faire ce qui nous convient ou de faire du BDSM ? Pour ma part, j'ai commencé le BDSM parce que c'est ce qui se rapproche le plus de ma façon d'être. Je ne connaissais même pas ce terme au début, je l'ai découvert que par la suite. Je le pratique de la manière qui convient le mieux à l'épanouissement de ma soumise et moi-même. Si, j'en viens à devoir faire des choses, qui seraient mal perçues par les membres de la communauté du BDSM, dans l'intérêt de ma relation avec une soumise, je le ferais. Et si ce n'est pas du BDSM, alors donnez-lui un autre nom (BDSMR tiens ! ça sonne bien). L'âge comme preuve de son expertise Combien sont ceux qui ont croisé la route de quelqu'un qui se plaçait en expert du BDSM uniquement du fait de son âge ? Pas plus tard que tout à l'heure, en allant visiter un profil dans lequel la soumise disait chercher un Maître entre 20 et 35 ans si ma mémoire est bonne ; quelle ne fût pas ma surprise de voir sur son mur que quelqu'un avait déjà rétorqué que c'était trop jeune et qu'il lui fallait un Maître beaucoup plus mûr. Si j'ai bien appris quelque chose c'est que l'âge est le dernier des arguments à prendre en compte pour évaluer le potentiel d'un Maître ou d'une soumise (bien-sûr il faut quand même être majeur). Et pourtant combien de fois on m'a dit que j'étais trop jeune pour dominer... Les soumises que j'ai eue ne s'en sont pas plaintes pourtant, et les meilleures n'étaient pas forcément les plus âgées. Même dans le milieu professionnel, on nous rapporte toujours l'âge à l'expertise, et quand on prend le temps d'observer, on se rend compte que les "experts" ne travaillent pas toujours mieux, de plus leur "expertise" les empêche parfois de se remettre en question, estimant qu'ils n'ont rien à apprendre de personne. Il ne faut jamais arrêter de se remettre en question, c'est valable pour la soumise, mais aussi (surtout) pour le Maître. Ne pas se remettre en question nous empêche de voir nos erreurs et donc de progresser. Comment un Maître peut-il prétendre faire progresser sa soumise si lui même n'en est pas capable ? La connaissance absolue d'un domaine est une utopie et chacun aura toujours quelque chose à apprendre, quel que soit son niveau d'expertise. Ne pas juger ceux qui ont des pratiques différentes est une preuve de sagesse. Chaque relation est unique et l'important est d'être épanoui dans ce qu'on fait. Merci à ceux qui ont lu jusque là.
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Par : le 06/10/19
AVANT-PROPOS En dehors de sa réputation sulfureuse, que sait-on du Marquis de Sade ? Qu'il est né à Paris,le 2 Juin 1740,en l'hôtel de Condé, dans une vieille famille aristocratique de souche provençale, de grande noblesse. Qu'il fut écrivain,philosophe,et homme politique,longtemps voué à l'anathème,en raison de la part accordée dans ses écrits,à l'érotisme,associé à des actes de violence et de cruauté,qu'il passa pour cela,près d'une trentaine d'années en prison avant de s'éteindre le 2 Décembre 1814,dans l'asile d'aliénés de Charenton. L'étude dédiée au site, a pour but de tenter d'éclairer le lecteur sur la portée littéraire de son œuvre,qui a évolué du 19 ème siècle à nos jours, avec le double souci d'un respect scrupuleux de la réalité historique, et d'une stricte neutralité dans l'analyse,tous deux indispensables,à la fourniture d'une base de réflexion,ouverte à tous (tes). Elle se décompose en cinq articles à paraître, en vue d'en faciliter sa lecture, portant respectivement,sur la vie de l'homme,de son enfance à sa mort (I),d'un rappel de la période historique qu'il traversa (II), d'un exposé de ses différents écrits (III), de l'évolution du regard porté sur son œuvre (IV),et enfin de la place qu'il occupe,aujourd'hui dans l'univers du BDSM et de ses pratiques, accompagné,in fine,en annexe, d'une chronologie synthétique de sa vie. (V). Détenu sous tous les régimes politiques (Monarchie,Révolution et première République,Consulat puis Empire), condamné à mort par contumace pour crime de "sodomie et empoisonnement", puis embastillé, de 1784 à 1789,libéré au début de la révolution. Devenu secrétaire de la section des "Piques",de nouveau arrêté pour ses origines aristocratiques,il échappa de peu à la guillotine. Interpellé sous l'Empire,en 1801, pour atteinte à la morale,il fut incarcéré sans jugement à la prison de Sainte Pélagie,enfin transféré,à la suite d'un nouveau scandale,à Bicêtre. Il termina sa vie à l'asile de Charenton, dirigé alors par un homme de valeur, dénommé Coulmier. Paradoxalement,le Marquis de Sade ne parut jamais devant aucun tribunal,considéré alors comme un prisonnier d'Etat,atteint de folie,et secouru par les demandes réitérées de sa famille. Comble de l'ironie de l'Histoire,la détention de Sade, après la tourmente révolutionnaire,rappelle à tout point,le système aboli par la Révolution,des lettres de cachet de l'ancien Régime,dont avait été victime, un autre célèbre et sulfureux libertaire,le comte de Mirabeau.
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Par : le 03/09/19
Elle est multiple, aux couleurs irisés parfois sombres Elle se décline en pastel ou aquarelle de l'ombre Elle est irréelle, intangible que l'on voudrait toucher du doigt Elle est entière offrant son moi, livrant ses attentes et ses émois Pas vraiment pure, elle n'en a pas besoin, c'est à travers ses failles C'est à travers ses imperfections, que je le trouve ainsi, même canaille Elle enflamme mes sens, me trouble par son absence, son autre vie Elle parfum de mes rêves, ma passion, mes troubles envies Elle femme d'ô, en voiles indécentes Se donne, belle, librement Je l'imagine, elle, sa peau Nue sous mes mots L'âme offerte, sa vertu O, nous liées, inconnues Je tisse mes propres entraves Pour elle, pour un sourire suave Peu soumise, me surprendre moi-même Alors déraisonner et croire enfin que l'on s'aime Douce folie charnelle, sarabande solitaire de mes nuits Quand elle me révèle, incrédule, je soupire d'envies Aspirant à la connaître, je reste longtemps éveillée, rêvant Alors, je regarde ces mains, qui ne sont pas miennes qui la couvent Envieuse, je génère l'utopie, consciente de cette folie que j'éprouve Je voudrais la parcourir en douceur, caresser ses courbes de satin Me fondre en elle, effleurer encore le velours de ses beaux seins Sur les pages blanches, nous existe, par l'une, l'autre se sublime Elle est femme multiple, aux teintes d'un mythe, illusion intime Le 2 09 2019 fiction
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Par : le 05/08/19
Dis moi que tu me désires encore Que j'en respire le souffle de tes mots Sur ma chair, inhalant l'odeur de ton corps Laisse-le s'enflammer, à l'appel de tes maux// Pose tes mains, là, sur mes hanches Presse un peu plus fort. Elles se déhanchent Mes fesses se cambrent sous la badine Je me livre à toi, insolente et taquine// Dis moi encore des mots, susurre-les, là Au creux de mon oreille, faisant appel à mes sens Tes mots forts, soufflés, qui subliment mon indécence Ceux qui éveillent en moi, tant de désordre, tant d'émois // Laisse glisser tes doigts, là dans ma chevelure Attrape ma tête, je veux sentir cette puissance La force de ton désir, sur mon derme, pose ta griffure Brûlante, que je m'abandonne en accord, tout en aisance// Le 4 aout 2019 Pour toi mon A
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Par : le 30/07/19
Un horrible cauchemard Il y a bien longtemps, dans une lointaine galaxie... Je dors du sommeil du juste (pléonasme pour un Maître). Mon adorable corps dénudé en partie couvert par celui de ma soumise, elle aussi en tenue d'Eve. Presque devrais-je dire: elle ne porte que son collier de chienne. A ma main, la laisse que je ne quitte pas de la nuit. A animal pas encore totalement dressé, point trop de liberté ne faut. Puis l'horreur commence. Au petit matin, regardant son Maître endormi la soumise entreprend de caresser la partie de son anatomie faisant honneur à la gente masculine. En véritable machine de guerre, l'objet du désir, aussitôt en branle se met. Jusque là rien d'anormal, cela lui arrive 5 ou 6 par jour (les mauvais jours). Mais voilà, la soumise audacieuse non contente d'avoir démultiplié le volume de l'engin se met en devoir de le goûter. Soit dit en passant quel manque de mémoire, elle l'a déjà fait plusieurs fois la veille encore. Et la voilà qui sans autorisation caresse, léchote, suce et aspire sans vergogne l'objet du délit. D'initiée! Ses talents ne sont pas à remettre en cause, pourquoi donc s'entraîner en pleine nuit ? Le pire arrive alors, ce qui est souvent le cas avec les soumises désobéissantes. La chienne se met alors en devoir de chevaucher son pauvre Maître désarmé, profitant honteusement de son sommeil! Et la voilà qui, lui tournant le dos, suprême insolence soit dit en passant, s'empale sur cet engin admirable, chevauchant -pour l'instant- impunément son Maître trop confiant. Et la gourmande monte et descend, et va et vient... En sueur, elle se retourne, lèche la joue de son Maître pour reprendre son infernale sarabande de l'autre coté ! Quelle impudence. Imprudence aussi... Toujours sans ordre! Manquerait plus qu'elle jouisse. Elle ajoute encore pire à sa désobéissance : elle commence à gémir de plus en plus fortement au risque de réveiller son infortuné propriétaire qui goûte un repos pourtant amplement mérité. Egoïstement elle n'en n'a cure. Dans son sommeil, le malheureux, sans doute un peu somnambule caresse ses adorables seins. Geste machinal tout au plus. Un degré de plus dans l'horreur : la chienne, pour l'heure encore avide de chibre turgescent, se soulève et pose le sublime gland à l'entrée de sa rosette. Me croirez-vous au non, dans mon abominable cauchemar elle s'empale tout de go, d'un coup, au risque de blesser le malheureux. Et la voilà qui s'agite, reprend de plus belle ses va et viens. Aucun respect pour le fatigue du Maître, une véritable honte. Celui-ci, dans un état semi-comateux essaye vainement de se libérer en enserrant ses mains autour du coup de la chienne. Peine perdue. Tel un Pitbul au contraire ça l'excite encore davantage si c'était possible! Et là le drame, elle jouit. Oui vous avez bien lu cher lecteur effondré, l'insolente jouit sans autorisation... Elle crie, le corps secoué de spasmes, puis rejouit, et rejouit encore prolongeant horriblement le malheur de son Maître... Le calme est revenu sur les lieux du drame. L'homme n'a pas ouvert les yeux, pas certain de ce qui vient de se produire : cauchemar ou terrible réalité? La chienne enfin apaisée se désolidarise ( joli terme non?) de son Maître, et sans doute par mauvaise conscience et pour se faire pardonner lui lèche le visage, puis le sexe qu'elle doit bien nettoyer. Le malheureux prenant conscience de l'horreur qui vient de s'accomplir se pose mille questions: qu'a-t-il raté dans son éducation? Ses collègues Maîtres lui adresseront-ils encore la parole? Les soumises ne verront-elles pas désormais en lui un être faible? Un sentiment de honte le submerge. Dans un premier temps il voulait cacher cet événement dramatique, mais il comprend vite que pour exorciser un traumatisme si profond, il doit s'ouvrir et en parler, tentant de capter une main compatissante, une oreille attentive. Non pas de pitié mes amis, juste de la compassion et un soutien moral sans faille, voilà ce que j'attends de vous pour me remettre.
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Par : le 15/07/19
Du bout des doigts Je survole sa peau J'effleure le duvet de soie De son corps en repos Geste tendre contraire Au plaisir ennemi Je ne voudrais soustraire Sa silhouette endormie Ma main devenue caresse Les contours de son ombre Sensuelle en sa paresse Dans cette nuit en décombre Une douce essence se love Parfum suave inattendu Etranger à cette alcôve Dans les creux détendus De la belle allongée Le temps parait suspendu Je voudrais tant prolonger Ces secondes, ces minutes Mais déjà s'en va la trêve La douceur à la lumière Naissante du jour qui se lève Abandonne la garçonnière La pression de sa peau blonde Sa poitrine menue et ferme Suffisent pour que je succombe A la chaleur de son épiderme Le 09 07 2019 fiction
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Par : le 15/07/19
Dépose un baiser sur mes lèvres Juste au-dessus du rouge à rêves Qui colore ma bouche d'audace Et attise mes désirs fugaces // Dépose un baiser sur mon cou A la naissance de mon pouls Qu'il ruisselle en larmes salées Dans les sillons de mes pensées // Du rouge à rêves là, sur mes mains Qui cache croquis et dessins Sous des promesses de plaisir De découvertes à venir ... // Si tu déposes comme une flamme Un dernier baiser sur mon âme Je ferais fondre sous tes caresses Mes rêves rouges que je confesse // Dépose un baiser sur mes doutes Tout en douceur, au compte-gouttes Et laisse mes rêves s'épanouir Dans le carmin de leurs désirs // Le 08 07 2019
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Par : le 24/06/19
L'homme aux couilles bleues Il était une fois, dans un lieu de perdition, que forcément la morale réprouve (alors moi imaginez donc)... Dame Hydréane et moi dans vaste et chaud jacuzzi, nous nous embrassions voluptueusement. Alentours, un couple faisait de même puis se rapprochait doucement, certainement portés par l'onde induline. Ce qui devait arriver, arriva, un instant d'inattention et me voici bécotant une fort douce et jolie blonde qui embrassait merveilleusement. Ma soumise n'était pas en reste gratifiant son nouveau compère en CDD de quelques caresses dont elle avait le secret. Emerveillé celui se plongea dans le piège habituel tendu par ma Douce, ses insondables yeux noisettes. Ebloui, il pensa à voix haute : « elle a de vrais yeux de coquine ...! ». Lâchant une seconde la langue de ma voisine, j'ajoutai : « tu vois ma Douce, quand on est bien élevé, on ne dit pas salope, mais coquine ! ». Fard de ma belle Hydréane que je vis à peine, hapé à nouveau par des lèvres voraces. Un peu plus tard, ma soumise s'adonnait à nouveau à des pratiques aussi lubriques que libidineuses, ce qui n'était pas sans me gêner, mais bon, je prenais sur moi comme souvent. Entre son tempérament exhibitionniste et son âme délicieusement décadente, j'étais vernis. Bref, celle-ci faisait une démonstration convaincante de ses capacités buccales à son Maître. Par son talent autant que sa plastique irréprochable attirés, quelques voyeurs des 2 sexes observaient attentivement la divine scène. La Belle, vorace, autant que par son ouvrage accaparée ne s'en souciait guère.  Aussi lorsque l'un d'eux, plus aventurier que les autres osa s'approcher de plus près, s'adonnant ce faisant à un plaisir onanique, la soumise ne s'en troubla pas. Redoublant même étrangement d'ardeur à la tâche ... Le mâle (pour l'instant heureux) s'activait de plus belle. Le Maître satisfait de sa soumise, se mis en demeure de la besogner sérieusement. Celle-ci ne s'en plaignit nullement, entamant comme à son habitude ses jolies vocalises, faisant passer comparativement la voix de La Callas pour celle de Jane Birkin (généralement quittant Paris je retrouvais la pleine mesure de l'ouïe aux alentours d'Auxerre). Notre voyeur impénitent, se rapprochait doucement du petit volcan cette fois proche de l'éruption… Dans un esprit confraternel autant que de Noël, le Maître intima à sa Douce l'ordre d'aider le quidam à se soulager en caressant les bourses de celui qui, dans un premier temps, vis cela comme une bénédiction; d'évidence la belle ne se fit point prier, obéissant à ce type d'ordre avec une bonne volonté qui ne cessait de m'émerveiller. Innocemment (on non?), la soumise se saisit des testicules du malheureux (cette fois …) les broyant gentiment dans sa petite main étrangement musclée pour l'occasion. J'entends encore ces mots «aaaahhhhh, doucement !!!» . Ce qui ne manqua pas de déclencher un début de fou rire du Maître autant que de la soumise. Quelle perverse! Le handicap de ce dernier était pour autant bien supérieur, suivant le sage adage qu'il est plus difficile de tendre le bras que d'écarter les cuisses (NDLR : philosophie paternelle). Avez-vous déjà tenté de maintenir une érection dans ces conditions ? (Les Dominas équipées de god-ceinture n'ont pas le droit de jouer). Dans un effort quasi surhumain, reprenant son sérieux, le Maître y parvint pourtant et se remis avec autant de volonté que l'application à la tâche, déclenchant assurément l'admiration de tous (voir l'envie pour certains…), enfin au moins de sa Belle. Celle-ci avait par ailleurs adoucit sa caresse, ce qui entraîna un effet immédiat sur son fan, momentanément entre 2 eaux. Libéré, le pauvre se retira en se tenant néanmoins étrangement les bourses… J'aurais parié qu'elles étaient bleues dans la pénombre du lieu ...
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Par : le 17/05/19
Vision nocturne Ton corps qui ondule J'aime ta nudité Qui rime avec liberté Transcender ce moment fort Où l'on trouve le point d'accord L'envie d'une symphonie de plaisir Jouée à la satiété de nos désirs Désir profond d'entendre les râles De ce corps devenu animal le 12 05 2019
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Par : le 17/05/19
Moments choisis Il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine... _ Allo? (softail) _ Bonjour mon Maître ! (Hydréane) _ Bonjour ma Douce _ J'ai une mauvaise nouvelle; vous savez le plug que vous m'avez acheté, celui que j'aime bien, et bien il est mort, HS. je l'ai usé je crois... _ (éclat de rire) Tu es unique ma Douce _ Surtout ne dites rien, je me ferais charrier sur le forum! _ Compte sur moi... _ Ce matin j'ai décoré mon sapin, il est super beau (Hydréane) _ Cool ma Douce, tu m'enverras une photo _ Je dois vous dire... Il y a une petite particularité dans la déco... _ ...Oui? _ J'ai mis mes boules de geisha que vous m'avez offert _ Mort de rire! Naaannn, t'as fait ça? _ Ben oui quoi, elles sont jolies les dorées, ça va bien avec le reste de ma déco, c'est dans le thème _ Euh...Et si quelqu'un remarque que tes 3 boules sont relièes par un petit cordon? _ Bah pas grave, j'dirai que je me suis trompée. Nous sommes assis à une table de restaurant. Nous discutons BDSM: matériel, pratiques, rencontres... A bâtons rompus; nous avons trop peu souvent cette chance... Au fur et à mesure que ma Douce me parle, intarissable, un immense sourire illumine mon visage. Elle ne comprends pas bien mais ma Douce poursuit, aiguillonnée par mes soins.  Plus ça va, plus je ris franchement, et lorsque que nos deux voisins de tablent partent avec un grand sourire eux aussi, Hydrénae me glisse, surprise: « mais qu'est-ce qu'ils ont? Ils n'ont pas arrêté de me regarder! Surtout le gros avec un oeil pervers! »  Je lui fait remarqué l'exiguité du lieu, la promiscuité qui s'en suit et le fait qu'à peine un mètre nous séparaient de ces deux messieurs qui ont interrompu très vite leur conversation pour mieux écouter la notre. M'en rendant compte j'en ai rajouté l'air de rien, t'orientant... Rarement ma Douce a piqué un tel fard... Un mail récent  « Mon Maître, terrible nouvelle, mon God le premier que vous m'avez acheter est mort; il ne marche plus du tout et pourtant j'ai changé les piles! Bah moi je l'aimais bien celui là... » Lui aussi donc, mais comment fait-elle pour les user comme ça??? Mais cher lecteur(trice) le meilleur est à venir « Je ne sais que faire, il faudra que je le jette. Ou que je l'enterre au fond du jardin avec mon plug ^^ » Signé Votre Hydréane sans God ^^.[/i] J'imagine vanille bêcher le jardin au printemps pour planter des carottes: ah tient il y en avait déjà... Hydréane Nous sommes dans un sauna ; mon Maître s’amuse à faire bruit avec son corps qui réagit a la vapeur et à l'humidité , vous savez ces bruits fort délicats qu'il imite à la perfection et  il y va de bon cœur ; il est allongé le  sur un petit muret à force de faire le pitre il glisse et se retrouve parterre face à moi qui est morte de rire et j'ai des témoins et voila mon pauvre Maître a mes pieds après une terrible glissade. Il faut vraiment s'imaginer cette scène ^^ Softail JE TE DETESTE! ^^ De tout mon coeur ma Douce. Oui j'avoue que j'ai rit en te lisant en souvenir de ce moment mémorable (devant témoins oui ^^). Mais bon là t'es en train de pourir mon post! Je vais sévir (la différence entre nous deux c'est que moi je vais vraiment pouvoir le faire, héhé) Hydréane Toujours au sauna  en parlant de travesti. Nous sommes dans le vestiaire ou l'on se déshabille. Arrive une superbe femme, de dos bas résille talon aiguille, jupe léopard elle se retourne son , décolté et plongeant ; je vois mon  Maître regarder non pas regarder son regard  pervers est plein d'envie devant cette sublime femme..... Je souris elle me regarde et je vois que c'est un travesti , mon Maître na pas encore vu ; je lui dis mais c'est Huguette il lève les yeux vers la femme ^^ Son regard dépité m en dit long. Je vous assure qu'elle a suivit Softail tout le temps que nous étions la ^^Je vous raconte pas comment elle a léché la vitre en regardant Softail droit dans les yeux ^^ Et comme certain le savent ici entre mon Maître et Huguette c'est une grande histoire d'amour ^^ Softail Je revois ce travesti d' 1M90 lécher la vitre du sauna quand nous étions de l'autre coté, toi morte de rire, de ce rire bon enfant, communicatif, celui qui vient des tripes... Vive le sourire du matin Ma Douce s'occupe de la réservation d'un hôtel pour nous. Bah oui, diriger, c'est savoir déléguer aussi ! ^^ Elle m'envoie confirmation de la réservation:"Mon Maître j'ai réservé l'hôtel, j'ai hâte d'être votre chienne, que me fouettiez...Signé votre petite salope soumise"; Vous comprendrez que j'aie abrègé pour les âmes sensibles.  Second mail 24h plus tard: " Oups mon Maître ce n'est pas à vous que j'ai envoyé confirmation de la réservation mais à l'hotel directement!!! La honte...Au fait j'avais déjà commis cette bourde une fois, l'an passé ce n'était pas déjà avec eux?" Ma réponse:  " Si ma Douce ... " Hydréane : Mon Maître venez racontez comment vous avez casser la cravache ^^ Ce qui est drole pendant nos rencontres c'est que il nous arrive toujours quelque chose ... Mon Maître qui me donne des coups de cravache , et là je vois un truc noir passer devant mes yeux, vous me croirez si vous voulez les amis c'est l'embout de la cravache qui vole dans la chambre... Softail cherche le bout partout et je pars dans un fou rire énorme, vous avez déjà vu un Maître cherche un embout de cravache... Le pire c'est qu'il le refixe (ou croit le faire) et recommence ,je ne peux me retenir malgré les coups et mon Bâillon le fou rire me prends quand l'embout retombe à coté de moi... N’empêche que la cravache à déraper et pour la première fois je saigne . Mais je ris et j'en ris encore de voir Softail chercher l’embout. Que j'avais cacher dans ma main ^^ Softail : Non mais il faut avouer que j'ai un certain mérite quand même (softail se la pète grave): garder son sérieux pendant que sa soumise part dans un fou rire mémorable pendant une séance de cravache. Bon je dois recoller les morceaux et cette garce cache l'embout dans sa main!!! C'est pô une vie d'être Maître d'Hydréane, j'vous jure! Ma Douce renvoie un mail à l'hotel pour savoir s'ils ont un parking. _ ça va ma Douce, cette fois-ci pas de bourde dans le destinataire? _ euh non mon Maître, mais euh, comment dire... Je viens de m'apercevoir que ma signature électronique est « hydréane soumise de Softail"!!! Ca veut dire qu'à chaque fois, tous mes interlocuteurs lisaient ça... _ mort de rire ma Douce ^^ Nouveau baillon boule; pas croyable en une séance ma Douce a: _ machouillé le baillon; HS! Pfff ces chiennes qui bouffent tout dès qu'on relâche à peine la surveillance... _ usé la cravache (fesse trop dure surement, c'est de la carne!!!). Ces 2 objets mytiques iront certainement rejoindre le plug et le god inhumés au fond du jardin.  Un moment de recueillement je vous prie... softail ému Bon, avouons quand même qu'Hydréane est une jolie blonde ^^ Et passablement douée pour se mettre seule dans l'embarras; comment trouverai-je tant d'idées sans son aide involontaire? Exemple: _ vous voyez mon Maître, quand j'aurai trouvé ma perle rare, ma soumise, je lui ferai faire ceci ou lui donnerai telle punition! _ excellente idée ma Douce, j'en manquais pour toi ^^ _ nooooon, z'avez pô le droit! _ mais si ma Douce, ton Maître a tous les droits, grâce à toi... ^^ _ c'est pô juste, je boude na! (en général ma Douce tape du pied à cet instant précis) _ décidément j'ai bien choisit ma position ^^ _ euh, mon Maître, quand est-ce qu'on switch?  (en général à bout d'argument elle commence à délirer gentiment, ou alors c'est qu'elle fume des trucs Ma Douce a reçu quelques jours auparavant son collier. Un joli collier de chienne. En cuir ou quelque chose comme ça. Serti de diamants,ou quelque chose comme ça (on n'a pas tous les même moyens^^). L'ayant acheté à distance, j'avais vu un peu grand; il était trop large, même resserré au dernier trou. Je lui avais enjoint, ravi, d'aller voir un cordonnier pour faire percer, un voir 2 trous supplémentaires. Presque comme si je pressentais ce qui pouvait se passer. Cela ne manqua pas. Sans doute devant son air gêné,celui-ci l'a regardée droit dans les yeux et lui a demandé: _ c'est pour vous? _ oui... J'aurais payé cher pour voir la tête d'Hydréane à cette seconde précise ^^ "Bonjour mon Maître, votre soumise Reine de la boulette: j'ai souhaité l'Anniversaire de F, une amie soumise et je me suis trompée de personne: j'ai envoyé une photo sexy de femme à une copine avec un doux message... Aie aie! " ^^ Ca arrive ma Douce, elle comprendra surement. Enfin peut-être. Enfin tu verras bien. Et puis l'important est que cela reste entre nous: tu te rends compte si d'autres savaient que tu es la reine des boulettes? Tout le monde voudrait venir manger un couscous chez toi.  
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Par : le 17/05/19
Assise, jambes écartées, entièrement habillée, gainée de nylon et de bottes, je signe en V mon désir. Large lettre, symptôme majuscule, désir capital. Trop bien installée, il faut croire. Vue courte ou jambe paresseuse, il m'enjoint de descendre d'un cran. Par terre, sur le tapis. J'attends qui de l'objectif de l'appareil photo ou du regard, de la main ou de la queue prendra possession des lieux. Rien de tout cela, il faut croire. La semelle d'une chaussure d'homme, c'est tout ce à quoi j'ai droit. Sur le moment, je m'interroge sans rien dire de mon questionnement fugace, est-ce une humiliation ? Parce que je ne mérite qu'un morceau de cuir tanné entre les cuisses ? J'ai maintes fois montré que je pouvais me branler sur n'importe quel objet, que je pouvais tirer du plaisir de tout et de rien. L'idée de "plaisir en chasteté". De jouir en me frottant à n'importe quoi. Mon clitoris sur le pommeau du lit, la couverture d'un livre, une cuisse mâle... Une intromission de talon haut, d'une vis sans fin, d'un levier de vitesse... N'importe quoi, vous dis-je. Alors la pointe de sa chaussure, c'est déjà un morceau de lui. C'est sa continuité, ou son début si l'on espère davantage. Il y a un moment de flottement, un sentiment oscillant entre cette sensation d'être humiliée, la posture, le fait de me déplacer par terre en rampant sur le dos, réduite à ce statut de bête. Le mot qui zèbre ma conscience d'humaine chancelante est "traînée", deux sens du terme, qui accepte cette seule option, ne se voir proposer qu'une pointe de chaussure, et pourtant s'en faire son délice, prendre son plaisir là où il était sur ce morceau de cuir. Après l'hésitation première, je me suis offerte à cette incongruité, la pression sur mon entrejambe, les cuisses écartelées, toujours jupe et collants, vêtus tous deux et pourtant soumis à nos perversions nues, cette brute obédience à nos pulsions, directes, directives, sans issue possible que cette pureté dans le vice. L'apparence sage que dément le bout de la chaussure en butée contre mon sexe voilé. Où se niche la chasteté, où se cache le plaisir sale de se faire baiser par une chaussure. Oui mais pas n'importe laquelle, c'est son pied, sa jambe, et dans le prolongement, son oeil. C'est l'érection d'os et de tendons sous le cuir, la cheville qui s'agite, le pied qui bande. La pointe tape le clitoris, s'immisce dans la fente obscurcie qui se tend pour en prendre davantage. Animale, le bassin arqué vers l'objet du plaisir, orientant sa propre tension, sa propre jouissance, n'osant quémander mais venant grappiller ces quelques millimètres de plus qui feront la différence. Bascule haute vers la chaussure qui frotte et pénètre. Réduite à rien. Objet mu par le seul plaisir sexuel. Jusqu'à l'obtention d'un orgasme miniature, frustrant, et paradoxalement cérébralement comblée car c'est tout ce que l'on obtiendra cette fois là.
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Par : le 17/05/19
Crocs contre cri chair contre chuchotement La chasse était ouverte La proie était promise Il suffisait de tendre les mains, d’ouvrir les serres, de refermer les poings Il suffisait d’un baiser avec les dents
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Par : le 17/05/19
La peau était vierge sous la lumière pâle de la lampe qui éclairait d'un halo soyeux le double sillon des omoplates. Les cheveux noirs, raides, se rangeaient de chaque côté de la nuque, qu'une raie départageait, et retombaient par dessus les épaules. Le dos était parfaitement dégagé, magnifique dans son opale nudité. La page blanche sur laquelle l'homme s'apprêtait à écrire tremblait légèrement. L'épiderme soulevé de vagues s'apaisa. Il y passa la main pour lisser les dernières ondulations. La caresse arracha un ultime frisson qui redescendit en vibrations le long de la colonne, jusqu'au creux des reins animé d'une petite fossette tout sourire. Les fesses en contrebas, fermes et charnues, ne bougeaient pas. Elles semblaient contractées. Elles finirent elles aussi par se détendre, quand l'homme posa la pointe de son pinceau pour un premier contact, à sec. Le manche en bambou se dressa à la verticale et remonta des lombaires au trapèze. Mieux qu'un massage, une respiration, une trajectoire d'énergie. L'apprentissage de la peau lui était essentiel. C'était une découverte, un toucher, un doigté dont dépendait le résultat de l'oeuvre à venir. Il devait en mesurer l'élasticité, la finesse, le grain, la sensibilité, la souplesse. (...) Récit un peu long, la suite sur soundcloud au bout de ma voix ;) https://soundcloud.com/user-632733430/a-main-levee-perle-vallens
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Par : le 17/05/19
Add-moi. Pin-moi.Tweete si tu me likes Ma life en MP si tu me spam. Selfie so sex au bout du curseur cramée l’échancrure éclate en surex touchée dans le flood Meet-moi direct. Mon avatar en 3D Booking now, chambre d’hôtel et chair irl Tu y crois à la réalité augmentée aux pixels ajoutés, à l’amour virtuel Gamer joue encore Pulsation de lumière bleue on the cloud par toutes les fenêtres ouvertes Tu n’échappes pas au bug Données invalides d’un cœur hacké Il ne reste plus qu’à verrouiller à supprimer les codes d’accès jusqu’à ce que la mémoire explose que les mots éclatent sur la bande passante Reboot si tu peux (et clin d'oeil au passage à @Faune de PoinZro )
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Par : le 29/04/19
Dans son regard je sentis qu'il s'abandonnait, il ne me ménagerait plus mais jusqu'ou irait-il? Après cet affront que je venais de lui faire subir et toujours en me regardant de ce regard dur, il se leva, remonta son pantalon, le ferma puis il enleva sa ceinture en cuir, la plia en deux et la fit claquer entre ses mains, je compris que cette ceinture était ma punition. D'un coup sec il l'abattit sur mon ventre, la douleur était intense, puissante et instantanée; c'était la première fois que quelqu'un utilisé une ceinture pour me punir et il le savait. "Tu voulais découvrir? Alors savoure, parce que j'ai été gentil mais ça ne sera plus le cas, tu vas regretter de m'avoir défié". Quand il prononça ces mots je compris qu'il ne parlait pas seulement de la morsure que je lui avais infligé mais de tous ces moments ou je m'étais débattu, de tous ces mots que j'avais prononcé pour le défier. Et en prononçant ces mots il abattit une nouvelle fois la ceinture sur mon ventre, plus fort encore. Il avait raison, je voulais découvrir mes limites et a en voir son regard, il avait décidé que c'est avec lui que je les découvrirais et que je les découvrirais et il avait décidé que était aujourd'hui et maintenant. Il continua de faire rougir mon corps sous les coups, variant la puissance de ses coups et la longueur de la ceinture, mes seins n'étaient plus douloureux, ils souffraient le martyr, a chaque coup sur l'un deux je me retenais de le supplier de les épargner mais j'avais trop de fierté pour ça. L'intérieur de mes cuisses étaient maculée de traits, de marques, les coups ressortaient, on pouvait désormais, sans regarder, juste en touchant, savoir ou la ceinture était tombée. De mon coté je serrais les dents mais mon envie, malgré cette fulgurante douleur n'était pas amoindrit, elle augmentait, ce qu'il ne manqua pas de me faire remarquer lorsque, après ce qui me parut une éternité, il posa la ceinture et qu'il vint poser ses doigts entre mes cuisses humides. Il me détacha les cheville et bien que j'ai envie de lui j'étais heureuse que ce soit fini, je ne savais pas si je serais capable de supporter un nouveau coup. Cependant je me trompais, seules mes chevilles étaient détachées, mes poignets restaient emprisonnées. Ce n'était donc pas fini, il regarda mon corps, regardant les marques qu'il avait faites avec un souvenir satisfait, il me regarda "Peut-être que la prochaine fois tu ne me défieras pas, ou peut-être que si, parce que visiblement tu aimes ça". Pour appuyer ses dires il posa mes chevilles sur ses épaules et une fois encore me penetra, sans délicatesse mais sans difficulté parce qu'une fois encore mon corps l'accueilli avec joie. Il s'arrêta a chaque fois que j'atteignais le point culminant, repoussant mon orgasme, me frustrant; c'était encore plus douloureux que les coups et il le savait mais infatigable il continua à me torturer jusqu'au moment ou il s'arrêta pour me poser une question "Tu as quelque chose à me dire?", je ne savais pas ce qu'il attendait comme réponse mais une me vint tout naturellement, elle sorti de ma bouche, sans retenu, aucune barriere n'avait jugé bon de s'interposer, mais dès que ce mot eu franchi mes lèvres je sus que je payerais "Connard". Il me regarda et il se mit a rire "Tu n'as pas compris la leçon?", je le regardais et bien que par fierté je ne voulais pas prononcer ces mots je le fis tout de même "Excuse moi.". Il continua de me regarder surpris mais déterminé "Je suis content que tu t'excuses, ça a du te demander un effort considérable mais il est trop tard.". Sans que je l'ai vu, il avait attrapé la ceinture et me cinglait les fesses, cette courte distance ne me permettait pas d'avoir mal mais l'acte y était. Il reposa ses jambes et revint sur moi. Il posa la ceinture sur mon cou, m'étranglant, diminuant ma respiration et d'un coup de bassin il me penetra, répétant le même manège qu'auparavent sauf que cette fois aucun son ne pouvait plus sortir de ma bouche, l'air manquant dans mes poumons. Il revint a mon oreille "Tu te souviens de ma menace? Garde la dans un coin de ta tête, on peut si facilement glisser." Il retira sa ceinture de mon cou, je respirais a grande goulée d'air, lui avait cette lueur démoniaque dans ses yeux, il savait ce qu'il allait me faire ensuite et il y était préparé. D'un coup il descendit au pied du lit, il attrapa mes chevilles et me retourna, j'étais désormais sur le ventre, les bras croisés et donc plus serrés, dans une position encore plus inconfortable. Et dorénavant la partie de mon corps non meurtrie était sans défense et a sa merci. Je tournais la tête pour le regardait, il tenait le martinet dans une main et la ceinture dans l'autre, il me regarda et reposa le martinet, gardant la ceinture et modifiant la longueur pour que la douleur s'intensifie. Il frappa une fesse, puis l'autre, chacune une fois, il fit de même avec mes cuisses et, mon dos, lui se prit trois coups violents. A mon grand soulagement il posa la ceinture et vint se placer au dessus de moi, il prit mes cheveux d'une main et tira, cela me fit pousser un crie puis gémir, lui commença descendre pour me pénétrer mais arrêta sa descente et me parla "Tu as mal, tu cris quand je te tire les cheveux, pauvre petite. Là, tu vas avoir une bonne raison de crier" et d'un coup violent, il me penetra, il m'encula comme il l'avait promis, j'hurlais sous le coup de la douleur puis je me sentis déchirée de l'intérieur. Il ressorti, "Désolé j'ai glissé, je t'avais prévenu que ça pouvait arriver.". Il reprit la ceinture, mit quelques coups sur mon dos puis il l'enroula autour de mon cou et serra puis il me mit a quatre pattes. J'avais les bras écartelés, l'air me manquait, mon corps me brulait, je me sentais déchirée de l'intérieur et j'avais les fesses en l'air le dos cambré. Lui regardait ce spectacle qui semblait lui plaire, nu, le martinet dans une main et un briquet dans l'autre, d'un regard il me montra une bougie, il se dirigea vers elle et l'alluma. Il se plaça derrière moi et du bas des cuisses jusqu'en haut du dos il me frappa avec le martinet, la douleur était intense mais plus supportable que celle de la ceinture, ma chaire était douloureuse mais moins. Il attrapa la bougie et laissa quelques gouttes tomber sur mon dos, j'aurais voulu hurler ma douleur mais l'air me manquait toujours, malgré tout ma plus grosse douleur était celle de tous ces orgasmes qu'il avait retenu, empêchant mon corps d'explosé, chaque centimètre de mon corps respirait l'envie et le besoin d'évacuer. Lorsqu'il se plaça derrière moi je cru que le supplice était fini mais une fois encore, d'un coup de rein, il m'encula, me déchira de l'intérieur, bien que l'air manquait un hurlement sorti de ma bouche et tandis qu'il continuait ses vas et viens mon corps s'abandonna. Enfin j'avais lâché prise et il avait prit le plein controle, il avait réussi a me briser en mille morceaux et mon corps lui appartenait, désormais je n'avais plus de limite, il pouvait faire ce que bon lui semblait et c'est ce qu'il fit. A cet instant j'étais sa soumise et il avait gagné. SI vous avez réussi a tout lire je vous remercie pour votre lecture, j'espere que mon écriture vous aura plus, je débute dans ce domaine. Tous les conseils sont bons prendre.
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