Loi n° 2016-444 du 13 avril 2016 sur la pénalisation des clients apporte son lot de nécessaires précisions et de nombreuses interrogations.
L’article 611-1 de la nouvelle loi dispose que «le fait de solliciter, d’accepter ou d’obtenir des relations de nature sexuelle d’une personne qui se livre à la prostitution, y compris de façon occasionnelle, en échange d’une rémunération, d’une promesse de rémunération, de la fourniture d’un avantage en nature ou de la promesse d’un tel avantage est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la cinquième classe.»Des amendes de1500euros pour l’achat d’actes sexuels et de 3750euros pour récidive sont prévues.
On punit le fait de «solliciter, d'accepter ou d'obtenir». Cela signifie-t-il que dans les deux premiers cas, c'est la tentative (par exemple une promesse de rémunération suffit ) qui est visée, alors que dans le dernier, c'est l'infraction consommée. Dans le cas d'une sollicitation ou d'une acceptation, en pratique, l'intervention des forces de police agissant en flagrant délit est donc possible dès lors qu'il apparaît qu'un accord a été conclu entre le client et la Maitresse (vénale), sans qu'il soit nécessaire d'attendre le commencement d'un attouchement ou d'un rapprochement sexuel pour intervenir. (source justice.gouv.fr)
Puis se pose la question de «relations de nature sexuelle» Que cela signifie-t-il? Tout d'abord, il est étonnant que cela soit au pluriel. Une seule relation de nature sexuelle sollicitée, acceptée ou obtenue ne saurait donc être sanctionnée. Que signifie en droit «relation de nature sexuelle» ?
On peut, d'ors et déjà, affirmer qu'une exhibition n'est pas une relation sexuelle car l’article 227-22 du Code Pénal fait une distinction «...comportant des exhibitions ou relations sexuelle ...».
Cette loi ne sanctionne pas toute relation de nature sexuelle, seuls étant réprimés les comportements qui interviennent dans le cadre d'une relation de prostitution.
Mais qu'est-ce que la prostitution ou qu'est-ce qu'une personne prostituée? En droit, le régime de cette dernière avait été défini par le décret du 5 novembre 1947. Désormais, la seule définition juridique de la prostitution est jurisprudentielle : l’arrêt de la Cour de Cassation a considéré en 1996 que la prostitution consiste « à se prêter, moyennant rémunération, à des contacts physiques de quelques natures qu’ils soient, afin de satisfaire les besoins sexuels d’autrui ». C’est ainsi que l’arrêt de principe de la Chambre criminelle du 27 mars 1996 pourvoi n° 95-82016 donne de la prostitution une définition qui comporte deux éléments: d’une part, la vénalité du comportement, et d’autre part, des contacts physiques de «quelque nature qu’ils soient». Le terme de "rémunération" peut être pris au sens large: argent mais également objets à valeur marchande ou même services.
Les investigations
Les ordinateurs sont surveillés et les mobiles écoutés. Pas tous, bien entendu, les traces numériques seront des indicateurs. Cette cyberinvestigation se traduit par le fait que les mouvements sur Internet des clients présumés seront traqués sans qu’ils en sachent rien et ceci est d'autant plus aisé, à présent, avec l'utilisation IMSI-catcher(International Mobile Subscriber Identity) autorisé par la loi relative aux renseignements de 2015. Matériel pas plus gros qu'un attaché case qui intercepte tout trafic numérique et téléphonique
En DSM (Domination ou sado-masochisme)
Dès lors qu'il y a «contacts physiques de quelques natures qu’ils soient», c'est assimilé à de la prostitution s'il y a offrande ou autre échange ou même «promesse» d'un tel avantage, alors le client tombe sous les fourches caudines du code pénal .
Cependant, la CEDH, dans un arrêt très important, souvent cité, du 11septembre 2007, «Tremblay contre France», dans son considérant25, souligne, en des termes très forts et assez rares , que «la prostitution, en général, n'est incompatible avec la dignité de la personne humaine» - «que lorsqu'elle est contrainte» ou, comme elle l'indique dans l'arrêt du 17/02/2005 «K.A. et A.D. contre Belgique» allant jusqu'à des mutilations effrayantes
Nonobstant les cas de mutilations effrayantes, l'interdiction apparaît lorsqu'il y a contrainte, quand il n'y a plus acceptation, que le consentement s'est volatilisé sous la pression.
En définitif la jurisprudence de la CEDH, à laquelle nous sommes soumis: chacun est maître de disposer de son corps, pourvu qu'il soit adulte, dans le respect de l'intimité de la vie privée, et à condition qu'il n'y soit pas contraint. » (Badinter commission Sénat du 14 mai 2014)
Donc se pose, aussi avec acuité la question du consentement
Le consentement est au coeur de toutes relations: vanille, sm ou D/s .
La présomption de consentement des époux à l'acte sexuel ne vaut que jusqu'à preuve du contraire. La loi du 4 avril 2006 reconnaît le viol entre époux.
Le consentement peut être considéré comme vicié, tant au civil (par ex art 1109) qu’au pénal, par exemple lorsqu’une personne tait sa séropositivité, falsifie ses résultats de tests VIH ou allègue une allergie au latex, pour entretenir des relations sexuelles non protégées. L'auteur trompe la victime sur la réalité de la situation. Trompée, elle acceptera les relations sexuelles mais son consentement sera inopérant parce que non éclairé.
Le consentement est vicié dès lors qu’il est établi que la victime a accepté de participer à des relations par peur ou par quelque moyen ou subterfuge que ce soit, à obtenir le consentement de la victime qui l'aurait refusé si elle avait été mieux éclairée. C’est une atteinte à la liberté sexuelle.
L'indifférence du droit pénal au consentement de la victime est un principe établi. «La violence […] à caractère sadomasochiste ne pourrait être légitimée par le consentement de la victime» (Cass. crim., 2 déc. 2009, n° 09-82.447) Il en résulte que le consentement de la victime est écarté par le juge répressif et permet de condamner l’auteur, y compris dans le cadre de relation sadomasochiste.
La Cour européenne des droits de l’homme a une position contraire, d'autant qu'il y eut un revirement jurisprudentielle par son arrêt précité K.A et A.D c/ Belgique du 17 février 2005. Après avoir rappelé que la vie sexuelle est une composante de la vie privée, elle indique qu'un Etat ne peut porter atteinte au droit à la vie privée, que si « les juridictions nationales ont soulevé la question du « consentement de la victime ». Pour la CEDH, le sadomasochisme ne peut-être condamné que pour « des raisons particulièrement graves » et que si la victime n'est pas en mesure de faire cesser les actes (par un safeword par exemple) ou que sa volonté n'est pas respectée.
Il est résulte qu'il est de bon conseil, après avoir épuisé tous les recours de droit interne, de saisir la CEDH.
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Bonjour ,
Je me souviens il y a un peut plus de deux ans de sa ...
Un soir la porte sonne , j'ouvre , et je voie un homme bien charpenté , me demandant si ..... ( ma maîtresse ) était la ?
J'appelle donc ...... ( ma maîtresse ) lui disant qu'il y avait un homme qui la demandais .
La elle vient à la porte et me présente à cette homme comme son soumis .
Elle le fesa entré et ils sont allé dans le salon , ma maîtresse ma demandé de leur servir l'apéritif .
Je m'y suis mis avec beaucoup de soin et d'attention !
Une fois l'apéritif fini elle m'a dit de préparé la chambre car ........ ( cette homme )
Allé lui donné du plaisir et de la jouissance car j'en était plus que incapable ... ( se n'ai pas faut )
Jetait d'accord qu'elle est des amants , elle m'avais demander au bout des six premier moi de notre relation car jetait incapable de lui donné quoi que se soit comme plaisir sexuel ...
La ils mon rejoint dans la chambre , ma maîtresse ma demander de mettre mes vêtements féminin devant cetre homme et ensuite elle m'a fait un lavement ...
Je l'ai regardais faire l'amour comme des bettes ...
Ma maîtresse prenais à tel plaisir avec lui !!
Je lui est ensuite fait la toilette comme dabitude pour lui enlever se sperme et ses souillure de fluide vaginale .
De la elle ma ordonnée de lui faire une felation à cette homme !
J'avais jamais sucer un peins jusqu'à la ...
Je mis suis mis avec retissance et un peut de dégoûté car un homme quand même ...
Mais j'y est pris finalement du plaisir !!
Jais beaucoup aimé !!
( c'était donc la première fois que je faisait une felation à un homme )
A un moment donné elle m'ordona de me mètre à 4 pattes les fesse en l'air que c'était mon tour !
vu que j'avais était très sage !!
Enfin je vais avoir droit à la sodomi !!
Cette homme très bien équipé ma pénétré du plus profond de moi même ...
J'adore la sodomi !!!
Et dire que avant de connaître ma maîtresse jetait ethero , un peut match sur les bord , et un très mauvais Amant pour ces dames ...
A se jours je c'est que je suis une lopette au micro penis impuissant qui porte des vetement feminin et qui se doit de se soumettre à une maîtresse !
Jais trouvé ma voie sexuel grâce à mon ancienne maîtresse .
Elle a su me montré que les hommes comme moi on est né avec des petit penis et ejaculateur précoce , sans avoir de virilité , ni de muscle , et peut poilus , qu'on était pas des vrai mal !
Mais des hommes fait pour être soumis et devenir des lopettes .
Je suis tout à fait d'accord avec elle , chaquun sa place les vrai mal son des amants et les semblant de petit mal comme moi on est tout à fait à notre place en t'en que soumis !
Qu'en pensé vous ?
Êtes vous d'accord avec mes façon de pensé ?
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Je ne sais plus comment, ni quand... je la vois étendu devant moi, ne sachant pas ma volonté profonde.Ne voulant seulement prendre du plaisir a la voir en prendre elle même.Je m'approche lentement et commence a l'embrasser tendrement, la caresse et joue de mes doigts sur sa douce peau d'ignorante frêle.Laissant petit a petit son plaisir gravir un a un les etages de notre ascenseur sensoriel.Je marque une courte pause afin de me saisir de mes menottes et d'un foulard épais ; je m'empresse de lui bander les yeux et de la menotter les bras en l'air.Elle est a ma merci, je peux lui faire tout ce dont mon imagination m'autorise.Mais rien ne me viens, juste l'envie de la pousser dans ses derniers retranchements.Viens alors un jeu de touché sensuel et timide, me dirigeant peu a peu vers le coeur de mes intentions.Son souffle s'intensifie petit à petit, et je patiente en attendant le moment opportun.Un moment un râle plus fort me donna le départ! Je précipite mes doigts forts en elle, démarrant un va et viens de plus en plus intense.La jeune nymphe s'emporte peu a peu vers un plaisir toujours plus fort, toujours plus haut dans les étages.Je pose mon autre main sur sa bouche humide et ouverte pour l'empecher de pousser ses gémissement qui la rassure tant.Elle perd de plus en plus pied, le manque de vision lui donne des vertiges, les mains attachés l'empêche de se débattre et la voix bloqué l'empêche de me dire stop, de me supplier.Je continu mon jeu pervers, toujours plus fort, toujours plus profond ; mes doigts sont trempés et fatigués, mais je me dois de tenir!J'entend des râles du fond de la gorge de ma tendre victime, mon excitation monte de plus en plus ; plus ses limites approche, plus ma satisfaction est complète!Je vois des perles de sueur qui se forme sur tout son corps, cette entrevue est si humide et chaude!Son corps se met a se debattre gentiment, et ma nymphe se transforme en furie.Je la sent jouir intensément sur mes doigts mais je me dois de continuer mes aller retour encore plus fort!Minutes après minutes la jouissance laisse place a la confusion chez elle, le plaisir est si fort que l'esprit ne sais plus si c'est bon ou mal et son corps demande à se proteger de cet état qu'il ne connait pas.Les jambes commencent alors a se débattre violemment et son corps a trembler ; dans cet état de transe je n'ai pas d'autre choix que d'enlever ma main couvrant sa bouche afin de retenir ses jambes pendant que mon autre main continu sa douce entreprise.A peine ma main sorti de sa bouche que les cri de plaisir mélangé a ceux d'une sorte de douleur mentale me submerge!Il ne faut pas que je lache! Car je sais ce qui se trouve après cet état instable.Mon plaisir de la voir dépasser des limites qu'elle n'imaginait pas est immense, Intense et jouissif!Ça coule encore et encore! Ça cri toujours plus fort! Elle m'est complètement soumise.Et tout d'un coup elle hurle! Un jet continu sort de son sexe et m'arrose le corps et le visage.Je suis trempé de ce pur liquide divin qui continu de m'inonder abondamment, et complètement excité.Je retire alors ma main de son sexe car il ne sert plus a rien de continuer.Le cri s'arrêta et le jet aussi.Et étendu devant moi, cette fontaine vivante, épuisé mais orgasmiquement satisfaite, a atteint notre dernier étage du plaisir.Ma frêle nymphe ingnorante est devenu la plus belle des sirènes des temps modernes...Suite dans une prochaine histoire...
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Brûler de désir.
Durant toute notre enfance l’on nous répète de ne pas jouer avec le feu…
J’avançais les yeux bandés, mes poignets étaient liés dans le dos. Il me guidait. Le bruit sourd d’une lourde porte se fît entendre, c’est alors que l’ordre de ne plus bouger me fût donné.
Il m’avait maintenant ôté mon bandeau, et me déliait les mains. Il fît glisser lentement ma longue nuisette satinée sur mon corps, j’étais maintenant nue face à lui, ma nuisette gisait à mes pieds.
Je découvrais alors une grande pièce sombre, la seule chose qui était éclairé par une lumière orange tamisée était une espèce d’autel recouvert d’un grand drap de satin bleu trônant au centre de cette pièce. L’ambiance était angoissante. Soudain un chœur de voix féminines et masculines se fît entendre, elles semblaient venir de toutes parts. C’était de l’Opéra, une musique douce, des voix chaudes mais qui ne faisaient qu’amplifier cette ambiance angoissante.
Me prenant par la main, il m’entrainait vers l’autel. D’un geste, il me fît signe de m’allonger sur ce drap, ce contact doux et froid me fît frissonner. Ses gestes étaient lents, il ne parlait pas, lentement, avec d’infinies douceurs, il rassembla mes poignets au dessus de ma tête, puis, après les avoirs croisés, les immobilisa à l’aide d’une corde. Mes bras furent tirés en arrière fermement, et la corde qui m’emprisonnait les poignets fut certainement liée au pied de l’autel.
Sa main glissait le long de mon corps, lentement, pour s’arrêter au niveau de mes pieds. Délicatement, mais fermement, il se saisit de mes chevilles, et à l’aide d’une autre corde, les lias fermement. Tirant ensuite mes chevilles, mon corps fût alors tendu, la corde retenant mes poignets se tendait tout comme mes bras que je ne pouvais plus beaucoup bouger. A nouveau, il lia la corde qui retenait mes chevilles au pied de l’autel.
Tout aussi doucement, il plaçait de petites bougies le long de mon corps, posées à même l’autel. Il finit par les allumer tout aussi lentement. Jamais il ne me regardait, il semblait concentré.
Une fois les bougies allumées, il disparu me laissant seule, liée sur cet autel au beau milieu de ces bougies. Je pouvais ressentir la douce chaleur des bougies me réchauffer le corps. Tournant la tête de droite à gauche, je le recherchais du regard, mais en vain.
Soudain, il fît son apparition au niveau de mes poignets, et d’un geste rapide, me plaça un bandeau sur les yeux qu’il noua derrière ma nuque. Je restais silencieuse, j’essayais de deviner sa présence, j’attendais avec angoisse qu’il se fasse entendre.
Mais soudain, une brûlure vive mais supportable me fît pousser un gémissement, de la cire de bougie venait de couler sur mes pieds! Petit à petit, il versait de la cire de bougie sur mon corps, remontant lentement vers ma poitrine! Je poussais de petits cris, gémissais et tirais sur mes liens dans le secret espoir d’esquiver ces brulures!
La torture devait durer depuis plusieurs minutes, je ne saurais le dire exactement, cela semblait interminable, je secouais la tête, en gémissant quand soudain je ne ressentais plus rien…
Il m’ôtait mon bandeau, je relevais la tête difficilement découvrant des goutes sèches de bougies éparpillées ici et là sur mon corps. Il apparut à ma droite, sortant de l’ombre. Tout doucement il prit une bougie, et la porta au dessus de ma poitrine. Secouant alors la tête de droite à gauche, je le suppliais de ne pas faire ça, il ne bougeait plus, gardant la bougie à quelques centimètres au dessus de ma poitrine. Mais il semblait impassible, sans même me regarder, tout doucement, je pouvais alors distinguer sa main renversant la bougie… J’attendais avec angoisse le moment ou la cire allait couler, cela ne se fît pas attendre très longtemps, à nouveau ces brulures, plus intenses cette fois-ci! Redoutant l’instant, je me tendais au maximum, augmentant alors la sensation de brulure.
Une fois de plus, il continua son petit jeu de longues minutes avant d’arrêter enfin cette torture. Toujours sans rien dire, il disparu!
Mon souffle était rapide, je pouvais voir ma poitrine recouverte à certains endroits par ces gouttelettes de cire. Je transpirais, mais j’avais froid.
Il sortit à nouveau de l’ombre, apparaissant cette fois-ci un martinet à la main. Je ne pouvais détacher mon regard de cet objet à fines lanières, j’imaginais alors ce qu’il s’apprêtait à faire! Une nouvelle angoisse, mélangée à de la peur montait en moi, et à nouveau je le suppliais de ne rien faire. Mais il ne m’écoutait pas! Le safe-word, j’aurais voulu l’utiliser à ce moment là, mais une curiosité, l’envie de me surpasser était trop forte, je le laissais faire malgré tout!
Les lanières de cuirs claquaient ci et là sur mon corps, battant ma poitrine, mes cuisses, mon ventre, mes pieds, mes bras, je criais, secouais la tête, me cambrais, j’ondulais mon corps tentant d’échapper à cette torture, mais rien n’y faisait! Je voyais les gouttelettes de cire gicler à droite puis à gauche, petit à petit mon corps en était débarrassé. Il n’en restait quasiment plus.
Les coups avaient cessés, j’avais réussi à les supporter, j’étais fier de moi… Il me caressait les cheveux, la joue, m’embrassait doucement la tempe. Il venait masser différente partie de mon corps endolori.
Cette explosion de douceur après cette pluie de brulure était d’un réconfort immense. Je jouissais de l’instant, les yeux clos, je laissais échapper une larme d’émotion.
L’ambiance me parût d’un coup paisible, chaude, et cette musique rassurante…
Durant toute notre enfance l’on nous répète de ne pas jouer avec le feu… Et pourtant…
© Le √icomte
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La danse de l'épée et du collier
Je t'ai dit 20 minutes pour ta douche ainsi que ta préparation, et quelques secondes avant que ton compte à rebours ne sonne, j'entraperçois ta silhouette derrière le carreau flou de la porte du salon.
Tu es grosse et je te désire aussi pour ça! Pour l'imposante présence de tes courbes épanouies, pour l'opulence de ton corps glabre et pour l'épaisseur de cette chair où je veux pétrir tant de golems érotiques…
Tout cela tu aimerais me l'entendre prononcer, mais je te dis: «Entre jeune fille», et de ma place minutieusement choisie, je te regarde faire ta première entrée.
Tu es timide. Effarouchée. Languide aussi par un sursaut d'orgueilleux défi: timide ne veut pas dire sans caractère, oulà! Tu profites de la gravité pour tanguer des hanches comme un Paquebot Ivre digne d'un Arthur Rainbow (Warrior ^^)!
Tes yeux n'osant pas se fixer, tu navigues vers moi jusqu'à ce que je t'intime de stopper.
Nous sommes à un mètre l'un de l'autre, moi assis dans mon fauteuil, je me suis redressé pour mieux planter mon regard dans le tien… Je te vois presque penser «vite vite, fuyons» tant tu les baisses vite en inclinant la tête!
Jeune débutante, j'en ai à t'apprendre!
Ta robe est rouge, le décolleté généreux et c'est à peine si elle t'arrive en plis flottants jusqu'à mi-cuisses. Comme je te l'avais signifié, tu as choisis tes dessous...
Oui, autant j'aime l'idée que tu aies voyagé jusqu'à moi sans culotte, la chatte non couverte par ce sceau symbolique de civilisation qu'est la culotte, autant pour notre première découverte, j'ai formellement exigé cette tenture à l'entrée de ta grotte!
Maintenant je me lève.
Caché dans mon dos sur le siège, mais tu ne le vois pas encore, un collier de cuir noir. Simple, d'1 cm de large, avec un anneau métalique…
Non, ce qui préoccupe ta vue depuis pratiquement ton entrée, c'est cette épée de bois que j'avais en travers des cuisses et que j'ai saisie par le pommeau en me levant.
Une épée d'entrainement, d'une teinte de bois foncé, avec une petite garde et un seul tranchant taillé.
Elle doit fait un mètre de long et après m'être levé face à toi, je l'ai piquée au sol, entre mes jambes bien campées, les deux mains croisées appuyées sur le pommeau.
Bien sûr je souris, conscient de l'aspect théâtral de la scène, et tu oses un sourire timide quand j'attaque par un:
«Jeune fille! Je souhaite que tu portes ce collier (je me décale d'un pivôt et te désigne du menton ce lacet de cuir que tu n'avais pu remarquer sur le fond également noir de mon fauteuil). C'est ta première fois, nous ne nous connaissons pas encore, aussi je te précise tout de suite qu'il s'agit d'un collier d'entrainement, mais que je souhaite que tu le portes tout le temps où tu seras avec moi et chez moi.»
Tu déglutis. Je te coupe avant que tu répondes je ne sais quoi: «Mais pour qu'il vienne jusqu'à ton cou, si telle est bien ta décision – mais dans ce cas, que fais-tu ici ma belle? - il va falloir que tu l'enchantes.»
Cette fois, j'attends ton inévitable question. Tu croises mon regard, te détournes rapidement, tu l'observes, cercle noir si ridiculement anodin, je sens ton agitation intérieure. Sûrement que derrière cette poitrine généreuse la grosse caisse accélère son tempo!
«D'accord».
C'est tout ce que tu dis! C'est tout?
Oui. Tu recules légèrement une jambe tout en rentrant les épaules, cela ne m'échappe pas!
Prête à quoi? A fuir, à résister? Que t'imagines-tu? Quels desseins me prêtes-tu?
Je laisse exprès quelques secondes te tourmenter d'incertitudes, puis je souris, chaleureusement, paternellement: «Ok, alors voici comment nous allons procéder...»
Je marche sur toi et tu décides courageusement de me regarder dans les yeux. Une seconde suffit à te rassurer: mon sourire n'était pas que de façade, et tu lis une bienveillance sereine te le confirmer dans mon regard.
Sans te toucher, je te contourne (j'ai oublié: j'ai pris le collier dans une main, et je traine l'épée comme si je la portais au côté). Puis, comme au jeu du facteur quand on était petits, je laisse tomber le collier derrière tes pieds. Tu as le réflexe de me suivre dans mon déplacement mais de mon poing qui tient toujours l'épée je t'ai arrêtée dans ton mouvement…
Je finis de faire le tour de toi pour revenir face à toi.
«Le principe est simple: poses ta main sur le côté non tranchant de l'épée (je la tiens à présent à l'horizontale à la hauteur de ta poitrine).. Voilà, juste posée, sans pEser.
Parfait. Maintenant, suis le mouvement que je te suggère..»
Je fais décrire lentement à la fausse lame de bois un demi-cercle qui téloigne et de moi et du collier par terre.
En effet le principe est simple: j'improvise dès lors, en te tenant par l'intermédiaire du bâton, une danse dont je suis évidemment le meneur. Rapidement, je me suis campé juste au-dessus du cercle de cuir sur le sol, comme si j'en étais le gardien. Et toi, je te fais tourner au bout de l'épée, complétant ma guidance par de brefs mots d'ordre: changer de sens – changer de main – tourner sur toi-même...etc
Combien cela dure-t-il? Difficile à évaluer, nous sommes l'un comme l'autre à tel point dans l'instantanné que le temps lui-même s'oublie de passer au milieu de notre intime éternité!
A un moment, je te stoppe dans ta révolution autour de ma personne. Mon épée s'abaisse un peu, remonte avec précision et délicatesse en accrochant ta robe. Je la retrousse ainsi au dessus de ton sexe, et j'aperçois entre les colonnes massives de tes cuisses le triangle blanc surmonté d'un liseré de dentelles de ta culotte en satin. Car pour présenter un tel effet soyeux et brillant, ce ne peut-être que du satin, n'est-ce pas coquine?
Puis d'un coup je laisse retomber le tissu pourpre tandis qu'à voix haute je réclame autoritairement le baisser de rideau!
«Doucement jeune fille… dououcement...»
Tu t'exécutes, retirant chaque bretelle pour la faire glisser le long de te bras nus, découvrant par saccades un peu plus de cette chair mammère qui promet ses kilos de fruits doux et moëlleux. Ton soutient-gorge se révèle entièrement, d'un blanc en dentelles assorti à ta culotte. Avec ta peau cuivrée de l'été finissant et le rouge profond de ta robe, le tout dans la croisée des différentes sources lumineuses, tu m'évoques la déesse luxure tandis que je te vois te tortiller comme une couleuvre faisant sa mue.
Tu es sensuelle sans le savoir dans le contrôle de ta maladresse à laisser choir le tissu à présent désincarné, inutile et inerte sur le sol.
En te relevant, mon sourire d'encouragement te donne la contenance de redresser instinctivement le buste en tirant tes épaules… Tes épaules: douces rondeurs que je m'appliquerai à aboucher tout à l'heure, tant depuis ces crètes ma langue et mes lèvres n'auront plus que l'embarras des chemins vers ton Tendre...
Tout à l'heure…
Pour l'instant, je ne te dévale et dévore que du regard.
L'épée se ranime dans ma main et de sa pointe je te fais comprendre en poussant l'un de tes creux d'épaule de te tourner pour me présenter ton dos.
Tu t'exécutes, parfaitement connectée, et alors que tes jambes et ton séant sont sur le point de se stabiliser, je ne résiste pas à la pulsion de te claquer du plat de l'épée ta fesse droite.
Le coup est maitrisé, mais remplit son but en claquant suffisamment pour que tout ton corps tressaute. Tu as même ce petit cri qui me séduit d'emblée, ton premier.. Un tout petit cri, mi-amusé, mi-choqué, mi-ravalé. Pas un mot cependant, et je décide de continuer.
De te voir de dos, avec ta culotte, il me prend une nouvelle envie. Pas question de la frustrer, elle me fait grogner d'amusement.
Une évidence!: je me rapproche de toi, me collant presque à tes fesses…. Je saisis des deux mains l'épée, que je fais ensuite glisser le long de ta courbures dorsale.
Puis je l'imisce en passant sous l'élastique de ceinture de la culotte, jusqu'à butter dans le fond de l'étoffe en le déformant.
Arrivé là, sans insister plus, je te commande d'assister ma manœuvre en aidant le satin à crisser le long de tes cuisses. Moi je tiens le levier qu'est l'épée, et je fais en sorte tout le temps de cette descente que le «tranchant» de bois coulisse le long du sillon de ton cul.
La chute aux chevilles achevée, je m'accorde quelques instants de contemplation. Le tableau est excitant, et je sens qu'une autre épée, faite de chair, salive à l'avance face à l'ampleur de l'accueil et des promesses de rebonds réjouissants!!
Mais là, tout doux! mon bon cyclope, là aussi mes mains, qui ne demandent qu'à lâcher cette épée pour des saisies plus organiques et palpitantes! Tout à l'heure…
Mais tiens: lâcher cette épée… Hum… Essayons ceci: je pique la pointe par terre et, inclinant le pommeau vers l'avant, je l'enfonce au plus près de ton anus en t'écartant les fesses des pouces et en t'incitant à t'y assoir légèrement.
J'ai l'impression de l'arrimage d'une navette spatiale et la manipulation m'a naturellement amené à rapprocher mon visage à hauteur de tes hanches. Je résiste à l'envie de te mordre en pleine fesse, me contentant du planté de drapeau dans le cratère de la face cachée de ta lune!
Puis, l'opération stabilisée, j'anticipe le délicat mouvement suivant en prenant l'initiative de dégrapher ton corsage.
Corps sage? Plus pour longtemps car c'est en même temps notre premier effleurement peau à peau, et nous sentons tout 2 le crépitement explicite de la mise en phase…
«A présent tourne-toi lentement vers moi, en pivotant sur l'épée… Oups, mets une main oui, vas-y, s'il le faut pour la retenir ! Ok...»
De nouveau face à moi, une bretelle (celle de la main qui a évité la chute de l'épée) commence à glisser. Je t'arrête alors que tu t'apprêtes machinalement à la remonter.
Nous sourions.
Le pommeau toujours pesant à l'entrée de ton anus, nous nous regardons, visages proches, et mes doigts viennent se poser légèrement sur chacune de tes épaules. En même temps qu'ils carressent ta peau électrisée (des frissons te parcourent), ils aggrippent mine de rien de leurs griffes pourtant rentrées l'une puis l'autre bretelle.
Jusqu'au coude. Du coude au poignet. Ton soutient-gorge est tombé.
Nous profitons tous deux de la plénitude de ce moment de flottement entre nous... Ce vide n'est pas vide: il est plein, infini de promesses, surchargé de potentiels d'actions, visions d'intenses plaisirs…
Je me recule enfin, sans te quitter des yeux, restant de face, jusqu'à faire le pont de mes jambes au-dessus du collier. Mon épée se plante dans son cercle fermé et le pousse de quelques centimètres vers l'avant. La signification est implicite, mais j'ajoute:
«C'est nue que mes soumises réclament leur premier collier. Détache tes cheveux.»
Tu obéis. Ceci fait, tu me jettes une oeillade, que je guettais de mon côté: «A genoux!»
Les yeux levés vers moi, nous avons cet échange unique de regards comme seule la D/s peut en procurer, tandis que gracieusement, tu t'agenouilles devant moi.
C'est sous mes jambes, humble et nue, que tu es venue recevoir ton premier collier ma grosse et néanmoins petite souris soumise ^^. Tu ne l'oublieras jamais, notre «Danse de l'épée et du collier»...
Dédicace à sarah P.
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Cher vous, sachez que c’est avec le plus grand rire que j’ai accueilli votre proposition. Ce n’est pas en ayant échoué pendant des mois à convaincre ma soumise que vous l’atteindrez un jour par moi. Vouloir en faire votre soumise est hors de votre porté, vous ne semblez pas capable de l’intégrer. j’ai assisté avec beaucoup de rire à votre volonté de me singer, un effort certes louable mais vain …. Copier mes désirs ne vous mènera nulle part. Pensez-vous qu’il m’a fallu des mois pour la comprendre? Ou même des jours? Encore trop loin de la réalité, quelques heures à peine et je savais la faire vibrer. Une nuit à distance et son corps ne désirait plus que m’accueillir en elle.En somme, vous ne la posséderez pas, pas hier, ni aujourd’hui, ni demain, vous n’avez juste pas ce qu’il faut et ne l’aurez sans doute jamais. Restez a votre place de spectateur, car elle ne vous désir pas et d’aucune manière physique vous ne pouvez avoir de place dans nos jeux. À la limite, juste celui de spectateur a bonne distance, dont même la rencontre réelle n’est pas à porter.Je crois que la position d’homme soumis vous conviendra bien mieux comme place, n’hésitez pas on vous trouvera sûrement quelqu’un se sera sans aucun doute ce qui vous sied le mieux. Regardez, écoutez, lisez, rêvez, c’est tout ce que vous pouvez jamais espérer.
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Quand certains voient en nos relations,luxures, violences, dépravations ou encore humiliations.Moi, j'y vois beauté, partage, don et abnégation.Quelle satisfaction de se reconnaître et de s'accepter soumise!Mais le plus grand bonheur est de trouver la terre promiseavec mon âme sœur, mon alter ego,qui m' est complémentaire au delà des mots.Alors sans honte et sans scrupule,nous savourons de pouvoir vivre nos envies simplement,toujours dans le respect et libérés de la peur du jugement.A deux, contre vents et marées,nous construisons un nouveau monde,Notre nouveau monde, affranchi des normesétriquées qui étouffent et emprisonnent.Nous vivons en accord avec ce que nous sommes,L'un Dominant, l'autre soumise,L'un debout, l'autre à genoux,libres, heureux et plus que jamais amoureux.
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Ecoutez, entendez la musique.
Qui me lancine comme un générique.
Qui vibre dans ma peau énigmatique.
Et me sublime encore, oh supplique.
Voyez mes effets sur ma cambrure.
Appliquez-vous bien à sa lecture.
Cravachez mes hanches en écriture.
Je n'y porterai pas de censure.
Touchez, goutez-moi à fleur de peau.
Pour me délivrer de tous mes maux.
De ma bouche jailliront en échos.
Avec tous mes plaisirs, dans mes mots.
Venez me prendre, posséder mon corps.
Et m'emportez sous un ciel d'accords.
Sans retenue, de plus en plus fort.
Livrons-nous dans un corps à corps.
Arrachez tout, soufflez un murmure.
Délivrez-moi de mon armure.
Et de vos mains toutes accordées.
Mettez-moi en en émois endiablés.
Ecoutez, lisez en mes parcelles.
Et sachez les trouver sensuelles.
Elles jouent une symphonie d'aquarelle.
Livrée à mes appas fusionnels.
Le 20 07 2016.
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Sauvage nous sommes,
Extase nous donne,
La pensée charnelle,
De deux Etres,
Faisant du corps à corps,
Pour se dévorer,
D'une sensualité,
Qui monte au degré,
De sexualité libérée,
Oh ! oui la sensation,
Des vas et viens,
De deux organes,
Qui se complètent,
Qui s'emboîtent à la perfection,
Un souffle, un orgasme, un cri,
Hum ! c'est bon,
Jusqu'à en hurler,
Hurler de plaisir pour elle,
Gémir d'extase pour lui,
Et sa délivrance.
Le 20 07 2016
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Pelote de laine
Fil d'Ariane
Chatte agacée
Entrelacée
Lacets serrés
Filet de Dame
Coulée à l'aine
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Tomber à la renverse
Tomber en pâmoison
Tomber entre tes griffes
Tomber d'inanition
Tomber sous l'évidence
A tort ou à raison...
Toxic, or not
https://www.youtube.com/watch?v=zqKZ_WIK5ms
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Impurs et désordonnés
Rêves chiffonnés
De poupées abîmées
De peaux abrasées
Rêves où vous veillez
Sur mes lèvres éveillées
Votre sexe dressé
Gigabites enchaînées
Rêves de chairs baisées
Pincez-moi! Je rêve.
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Sous la dentelle qu'on écarte d'un doigt, une ombre mousseuse fraîche et captivante ourle le doux renflement de chair soyeuse sur lequel votre regard s'abîme. Hypnotique spectacle jamais achevé, où vous plongez vos yeux encore et encore, avant votre main, tentée. Tentatrice aussi. D'un geste flûté, vous lissez la fente, révélée et luisante. Elle s'ouvre peu à peu apprivoisée, laissant apparaître ses paysages corail, tendres, palpitants, que vos doigts écartent en corolle. Votre oreille s'y accole pour y entendre l'onde, clapotis et appel du ventre. Vous vous y abouchez avec dévotion et passion, vous vous abreuvez à cette source douce qui coule en continue sous votre langue. Que croyez-vous boire? Un lait divin ? Que croyez-vous voir? Une perle aquatique ? Une perle qui enfle et flamboie à votre contact.
Sexe liquide à votre regard trouble, s'épanouit, pêche miraculeuse et offrande sacrée.
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Le soir, à genoux, je Vous attends,je Vous la tend.Comment sera t elle ?Caressante, excitante ou humiliante?Caressante comme quand vous la faites glisser le long de mon échine,Excitante comme quand elle vient frapper juste comme il faut mon intimité ou mes fesses tendues,Ou humiliante car à cause de ses attouchements, je ne peux retenir ces bruits incongrusQuand Vous me faites me redresser avec un regard amusé?Elle fait partie de ce rituel quotidien qui clôt notre journée,Vous debout, moi prosternée me récitant à Vos pieds.Vous l’aimez, elle fait partie de Vous,Elle est le prolongement de Votre Main…Grâce à elle, Vous pouvez me diriger comme un marionnettiste le ferait avec son pantin…Vous voulez que je « danse »?Elle me fera « danser », je ne peux resister.Vous voulez parfaire ma position?Elle me guidera jusqu’à la perfectionSi j’ai fauté, elle viendra mordre mes chairsPour me rappeler ma place et me punir de mes impairs.Tout comme Vous, je l’aime car elle Vous représenteComme Vous, elle est droite, dure, exigeante,Mais suffisamment souple pour ne pas m’abimer.Il m’arrive parfois de me demander amie ou ennemie?Aucune des deux, elle sert de guide,Comme le bâton du sourcier, elle me montre le chemin…Mais tout comme lui, elle ne serait rien dans les mauvaises mains.Elle n’a d’importance que parce que c’est Vous qui la tenez…Et quand je la baise, c’est Vous que j’embrasse.(texte écrit il y a quelques mois à la demande de mon Maître que je viens de relire et que j'avais envie de partager ici aussi)
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Quel subtile moment où mes synapses transportent l'influx électrique entre mes deux hémisphères cérébraux... Le flot de mes pensées les plus perverses se déversent et construisent dans les moindres détails un scénario où la douleur aiguise l'envie ouvre un passage vers la plénitude... Le jouir y trouve tout son sens et devient pure jouissance...
j'aime cet instant où l'âme se libère sur un déclic alors tout se met en place...
En tant que maître, je me défini comme un maître du jeux, j'écris les règles, je plante le décor, je choisi les acteurs, premier rôle, second rôle... Moteur et surtout ACTION !
Il me semble qu'il faut être rigoureux, méthodique et savoir garder son contrôle en toute circonstance pour ne pas déraper...
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Dans le triangle sombre qui ourle le pubis, quelques fils marquent d'argent les ans d'un sexe sans âge, qui goutte et pleure de joie d'une fente de jeune fille. Quelle étrangeté, quelle image duale que cette toison vieillissante sur ces lévres doucement renflées! Y mettre du blanc ou du rouge, maquiller de sperme, dissimuler le temps qui passe...
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planter mes doigts puissants dans ta chair et te marquer... Inscrire mon désir, te sentir frémir. Être à l'écoute de ton souffle, de tes soupirs. Poursuivre ma quête de plaisir et t'inviter à me rejoindre, à exulter...T'offrir l'ultime jouissance libératrice, ta récompense...
J'aime quand ton corps se cambre pour mieux recevoir le fouet, lorsque tu t'offres avec malice et confiance à mon imagination dévergondée et totalement perverse... Tu m'as choisi en Maître et tu m'as offert ta vie, ton corps, ton âme et ton cœur... Tant de présents déposer à mes pieds, tant de responsabilités... Je mets tout en œuvre pour te satisfaire et pour te sublimer
A toi Venus, ma soumise, mon alter-ego
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Flash zébré de lumière, hallucinatoire...
La jeune fille gracile, des larmes dans les yeux, se laisse prendre comme à contre-coeur, elle regarde tomber à ses pieds ses cheveux d'enfance qui s'éparpillent en blondes brindilles. Elle a beau savoir sa destinée, elle pleure sa jeunesse et son insouciance désormais perdues. Elle est maintenant dans les mains du Pontifex Maximus. Elle n'ose lever ses yeux innocents de vierge vers ce visage sévère, ses yeux noirs qui la fixent et lui font baisser le visage. Elle a peur mais elle rougit doucement tandis que ses vêtements glissent à terre et qu'on lui enfile la tunique, la stolla et la toge d'une blancheur immaculée. Seule la ceinture de pourpre lui marque la taille d'une empreinte magique. Elle redresse alors la tête, fière de cette distinction.
Eclat blanc, nouvelle image...
A la source pure du bois de la nymphe Egérie, la jeune femme puise l'eau qui l'alourdit. De retour au temple avec ses sœurs, elle lave le sol à grand seau, s'en arrose par jeu. Son front humide et sa tresse dont s'échappent quelques mèches lui donnent un charme particulier. L'on aimerait la voir tête nue, cheveux défaits et visage trempé... Quelle indécence! Elle reprend sa tâche, car demain, c'est Lupercales. Pourquoi aime-t-elle tant cette fête? Elle songe en frottant les pierres du temple, et son esprit vagabonde vers ces Romaines que l'on fustige à coups de branche de figuier ou de lanières à l'odeur forte et musquée de bouc, elle les imagine aux prises des hommes qui les saisissent, les emprisonnent et les frappent. A cette pensée, elle se sent fondre et monter soudain le pourpre aux joues...
Nouveau flash, visions extatiques...
Au pied de la statue monumentale, la jeune femme reste courbée, la bouche serrée, les yeux plissés, les narines frémissantes. Chaque coup de lanière secoue son échine et elle se sent glisser dans un tourbillon étrange, des papillons dans son ventre, des étoiles dans sa tête. Son corps s'affaisse au coup suivant. Elle sent le rictus de son bourreau, le grand Prêtre ne prend assurément pas de gant avec elle. Son dos et ses hanches la cuisent, mais son sexe plus encore, qui se met à couler d'abondance. Est-elle en état de péché, doublement? Avoir négligé l'entretien du feu par une rêverie qui l'avait mise en émoi, et éprouver un même émoi sous la flagellation.
Une tâche pourpre s'agrandit sous la tunique, quand la jeune femme se cambre sous le plaisir, étouffant un gémissement.
Comme dans un rêve éveillé, je regarde avec curiosité ce murex dentelé, aux aiguilles fines; il ressemble à celui que l'on nomme «peigne de Vénus». Je me sens sous le charme du coquillage qui semble m'appeler, me happer. Irrépressible pulsion, je glisse mon index dans l'interstice qui semble une bouche, d'où s'échappe un murmure doux et féminin. Sur le bout du doigt, une tâche pourpre dont je peins mes lèvres. Fulgurance!
Je suis Tuccia l'espace d'un instant, flagellée à tort ou à raison, et je sens sourdre en moi les plaisirs de la vestale. Un souffle brûlant d'antiques passions m'étreint, je ferme les yeux. Les yeux de Tuccia.
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Dans ma chevelure qui ondule
Ton vit approche, fébrile,
Des filaments qui le brûlent
Ils sont cent, ils sont mille
Dans ma chevelure-crépuscule
La caresse est habile,
Comme un doux préambule
qui te tire vers moi, mobile
Dans ma chevelure-tarentule
Tu es prisonnier érectile
Et quand tu capitules
Tu t'épanches dans ces fils hydrophiles...
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Inavouable incantation,
Insondable insanité,
Intentionnellement inconvenante,
Indiciblement indécente,
Insolemment impudique.
Innocemment inondée ^^
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Envie de vous revoir
Envie de vous retrouver
Vous m'apprendrez des pratiques osées
Doucement pour ne pas m'effrayer
Je me ferais douceur le soir
Conservant cette lueur d'espoir
Sur mon corps, vous tracerez votre sceau
Avec hâte, je viendrais vers vous
A vos pieds, debout ou à genoux
Vous serez Le Maître aimé
D'une bourrique passionnée
Sur mon corps vous graverez votre sceau
Puis l'heure viendra, ou je me soumettrai
A vos désirs, même si une larme je verserai
Je serais alors votre soumise dévouée
Pour que vos plaisirs soient comblés
Vous possédez les clés de ma soumission
le 25 juillet 2016
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Sophie, nue devant moi, me fait profiter de sa croupe charnue. Sa démarche lente et chaloupée, m'hypnotise et me fait sourire de ravissement. Je songe que derrière elle, un lourd plateau dans les mains, ma propre démarche ne doit pas être aussi gracieuse. Lorsqu'elle s'immobilise, je relève enfin les yeux.
La musique est mise en fond sonore, douce, rythmée.
Je découvre Mathieu debout les mains sur la tête. Il me tourne le dos. Sa maîtresse Madame M est, elle aussi, debout et lui tourne autour comme si elle était en train de vérifier quelque chose, que je ne parviens pas à voir.
Monsieur S s'approche de nous et retire des mains de Sophie la ceinture qui me tient en respect et l’entraîne vers la table. Je reste plantée là, en observant tous ces mouvements qui se font devant moi comme une pièce de théâtre qui se déroule.
Madame M s'approche de moi, abandonnant son soumis dans sa position. Mon attention se pose sur elle qui me toise, me regarde fixement et sourit, lorsque mes yeux se baissent.
Je lui propose alors d'une voix chuchotée avec un sourire timide :
- Voulez -vous goûter quelque chose?
- Elle me tourne autour, ses mains se posent sur mes fesses, qu'elle effleure puis repart sans me répondre. Je ne bouge pas, un frisson monte le long de mon échine.
Mon regard retourne alors vers Monsieur S. Je découvre Sophie à plat ventre sur la table. Les jambes écartées, les pieds au sol. De l'autre coté de la table, Madame M fait courber le dos à son soumis qui à son tour se retrouve plaqué le ventre sur la table. Ainsi placé, je découvre que ses bourses et son sexe dressé sont liés pour des cordelettes.
Les deux soumis se font face et d'un mouvement presque synchronisé, leurs mains se lient l'une à l'autre comme pour que leurs corps se prolongent l'un vers l'autre. C'est alors que commence un spectacle qui me fascine et m'emmène dans un autre univers.
Au rythme de la musique Madame M et Monsieur S une baguette en main, chacun leur tour frappent les fessiers de leur soumis en cadence et sans pause, dans un concert de gémissement et de bruit de choc sur la peau criante du supplice.
Les deux soumis ne bougent pas, solidaires dans l'épreuve, leurs regards se confondent, leur visages s'encouragent, malgré la crispation, les grimaces à chaque coup. Coups qui s'accélèrent, plus forts, plus rapides, je regarde ces soumis haletants, fascinée par leur résistance. La musique s'arrête soudain. Le temps est suspendu. Les soumis sont au bout de leur résistance. Les mains de leur Maître et Maîtresse viennent caresser avec soin leurs fesses rougies et leur dos transpirant. Je les entends les féliciter, les consoler.
Un souffle dans mon dos me fait sursauter, le plateau dans mes mains bascule mais je parviens à le retenir. Monsieur est derrière moi et vient de me sortir de ma torpeur.
- Viens, c'est ton tour, m'annonce t-il sans détour.
Il me pousse vers la table, puis me retire mon fardeau des mains qu'il dépose au milieu de nous sur la table.
Sans plus de résistance, je me retrouve moi aussi à plat ventre sur cette table. Mon esprit emplit du spectacle auquel je viens d'assister ne commande plus mon corps qui se laisse guider. Je me retrouve entre Mathieu et Sophie qui me tendent leur main. Je les pensais au bout de leur résistance mais leur visage reste souriant et réconfortant, rassurant. Monsieur écarte mes jambes et se penche sur moi pour me murmurer dans l'oreille.
-Prête ?
La musique redémarre, plus lente, que la précédente. (https://www.youtube.com/watch?v=uDx8gFJnYLc)
Je regarde tour à tour Mathieu et Sophie et dans un élan de bravoure je réponds :
-Oui, Monsieur .
Je ne vois pas l'instrument que Monsieur prend dans ses mains.
Un premier coup, résonne dans mes oreilles. Mathieu sursaute et émet un grognement de plaisir. La musique continue et clac un second coup je sursaute tellement le bruit sec me surprend. Sophie a redressé son buste sous la violence du choc. Sa main dans la mienne s'est crispée. Son Maître l'apaise de sa main réconfortante. Je sers les fesses dans l'attente du prochain claquement qui devrait m'atteindre. Je ferme les yeux, mes mains se referment sur celles de Sophie et Mathieu. Puis le choc, fort, sec me vrille les fesses. Par fierté je ne bronche pas, mon visage grimace mais je sers les dents. Une pause, puis les claquements des baguettes s’enchaînent, le rythme s’accélère Mathieu Sophie, moi. Mon esprit s'élève, la musique m’ensorcelle. Nos mains se fondent en un trio étoilé. Combien de fois , je ne sais pas. Mon corps tout entier se tend. Les larmes coulent mais mes fesses se présentent au prochain claquement, Mon dos se cambre.
La musique ralentit, les coups aussi. Mes fesses me brûlent. Ma respiration est courte et saccadée. Mathieu et Sophie sont complètement relâchés sur la table. Ils émettent des soupirs, des râles. Ils ont fermés les yeux, nos mains se sont séparées, ils sont partis dans un autre monde au delà du plaisir charnel.
C'est fini. Les mains de Monsieur se posent sur mon dos, montent et descendent dans une caresse de douceur, je grogne de plaisir, une chaleur m'envahit, les larmes coulent de plus belle, mais je souris, j'ai tenu bon.
Nos Dom s'écartent de nous. Un instant de pause. Je m'affale de tout mon long sur la table humide de ma transpiration. Je reprend mon souffle. La musique est toujours là, douce, apaisante.
Ils reviennent derrière nous, Je tressaille, je sens une crème froide sur mes fesses. Tout en œuvrant, Monsieur m'explique que c'est pour soigner les plaies. Son geste est doux, il effleure ma peau meurtrie sans appuyer, Tendre massage. Je ronronne de bien-être malgré les brûlures qui me déchirent la peau.
Mathieu et Sophie ont tous deux droit au même soin. Ils ont rouverts les yeux. Nous échangeons des sourires. Mathieu commence à redresser son buste. Mais Madame M dans un geste d'autorité le plaque de nouveau sur la table en lui ordonnant de ne pas bouger le temps de se remettre.
Les soins terminés, Monsieur m'empoigne le buste, de toute sa force il me redresse. Son corps serré contre le mien, m’empêche de vaciller. Ses bras m'enlacent et son étreinte se resserre, contre moi. Sa respiration rapide dans mon oreille trahi son excitation et son effort. Mes fesses sensibles, contre lui sentent son sexe dur et tendu à travers le tissu de son pantalon. Il sourit je l'entend sans le voir.
-Bravo, petit chose courageuse et forte. Je suis fier de toi. Tu as tenu bon.
Dans un mouvement de ses bras, il me retourne et mon visage se retrouve face au sien et sa bouche vient plaquer sur la mienne un baiser passionné et tendre. Sa langue part à la recherche de la mienne. Et soudain mes larmes se remettent à couler. Toutes mes forces m'abandonnent, ma résistance coule dans ce baiser de réconfort. Je lui rend tout son amour. Ma bouche voudrait le goûter encore et encore, le dévorer. Je voudrais le sentir toujours aussi près, solide, me porter jusqu'au néant.
Il resserre encore son étreinte, je frissonne. Ma tête sur son épaule, mes derniers sanglots s'envolent. Sa respiration m'apaise. Mon esprit se concentre sur son rythme. Un long soupir s'échappe de ma bouche.
Monsieur m'aide à marcher. Il me dépose à genou sur un coussin à même le sol. Il me couvre d'un châle.
-Reste là et ne bouge pas. Prends ton temps.
-Oui Monsieur, je vais bien.
-Je sais, tu es courageuse. Me dit-il en posant un baiser sur mes lèvres humides et salées de mes larmes.
Je renifle un peu. Il sourit puis s'éloigne. Il revient en accompagnant Mathieu qui s'installe sur le coussin d'à coté, et Monsieur me tend un mouchoir. Je me mouche dans un bruit de trompette sans plus de réserve, ce qui surprend tout le monde. Et nous partons tous dans un grand éclat de rire communicatif. Mes larmes et nos rires se confondent dans un plaisir partagé.
Sophie arrive à son tour soutenue par Monsieur S. Elle semble éprouvée. Son visage se crispe quand elle se met à genoux sur le coussin.
Nous voilà tous les trois attablés sur la table du salon. Incapable de poser nos fesses.
Récompense bien méritée, nous avons le droit à une petite collation servie par nos Maîtres et Maîtresse, qui s'installent derrière nous. Comble du bonheur.
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Si mon sexe savait parler, il en aurait des choses à raconter! Il revendiquerait et s'exclamerait, exigerait et exulterait, il râlerait de trop peu, et parfois de trop aussi... Il raconterait des histoires, encore et encore. Il serait bavard et saurait aussi se taire, transporté d'émotion, puis murmurer des choses douces à l'oreille et au cœur ; il réciterait de la poésie, disserterait parfois, badinerait volontiers. Il chanterait des hymnes au plaisir, il aurait un lyrisme vibrant, tressaillant, roucoulant. Il entonnerait des opéras d'une voix de gorge, profonde! Il aurait des sanglots longs de violon, des trémolos à pleurer des larmes de cyprine, des vibratos flûtés et des longs cris retentissants. Il s'époumonerait à perdre haleine puis comme agonisant, se perdrait en arpèges fluides, accords diatoniques, notes d'Ô.
Si...
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Pas d'éperon ni de cravache,
N'est-ce pas, Maîtresse à poil gris ...
C'est bon à pousser une vache,
Pas une petite Souris.
Pas de mors à ta pauvre bouche :
Je t'aime, et ma cuisse te touche.
Pas de selle, pas d'étrier :
J'agace, du bout de ma botte,
Ta patte d'acier fin qui trotte.
Va : je ne suis pas cavalier ...
- Hurrah ! c'est à nous la poussière !
J'ai la tête dans ta crinière,
es deux bras te font un collier.
- Hurrah ! c'est à nous le hallier !
- Hurrah ! c'est à nous la barrière !
- Je suis emballé : tu me tiens -
Hurrah !... et le fossé derrière ...
Et la culbute ! - Femme tiens ! !
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