La porte s’ouvre donc sur nos amants, nue, et dans une position défavorable, c’est Nathalie, la comptable, qui souhaite avoir un renseignement, Pierre le regard froid et profond, lui intime à demi-voix, un ordre, celui d’entrer, et de fermer la porte à clé.
Pierre se rendait compte d’une chose, il avait aussi lancer ce regard à Marie, et dans l’empressement du moment, n’avais pas pris le temps de penser, il regarda Marie qui semblait comme pétrifié, Nathalie quant à elle, après avoir obéis, ne bougeait pas, restant comme hypnotisée par la nudité de ses deux collègues.
Pierre regarda Marie :
- « À genoux ! Ouvre tes jambes !»
Marie eue un regard gênée vers Nathalie, puis ouvrit ses cuisses, se maintenant à genoux, Pierre se tourna vers Nathalie, un sourire vicieux sur le visage :
_ « Nathalie !!! Ta bouche, tu sais où elle doit aller !»
Le ton était ferme, mais la voix n’était pas forte, on pouvait même entendre le bruit des actionnaires, mais Nathalie s’exécuta, se mettant bouche ouverte, face au sexe de Pierre. Celui-ci fut réellement surpris.
Soudain, le téléphone de Marie sonna, et les deux jeunes femmes purent sortir de cette demi-torpeur, se demandant pourquoi elles étaient nues, mais sans prêté réellement attention à la situation.
Les actionnaires avaient besoin de Marie, et ..... Et ..... Rien, aucune des deux jeunes femmes ne semblaient prêtée attention à lui, il avait de nouveau son statut de fantôme.
Une fois quelques minutes écoulé, il regarda son téléphone, le site n’était plus en maintenance, et il avait un message de la mystérieuse jeune femme, qui était d’ailleurs maintenant déconnectée, elle lui donnait rendez-vous le soir même, dans un bar non loin.
La fin de journée se passa correctement, Marie avait su convaincre les actionnaires de prolonger les aides, et ni elle, ni Nathalie n’avait reparler de ce qui s’était passé plus tôt. Pierre se dirigea donc vers son lieu de rendez-vous, pour découvrir cette jeune femme.
La vie est faite de petits moments, où l’on a le choix, et pour Pierre, le choix vient de prendre l’apparence d’une jeune femme brune d’un mètre soixante-quinze, qui s’arrête face à lui, pour un renseignement.
- « Bonsoir ! Excusez-moi, mais je cherche la rue Rivière »
- « La rue Rivière ?! C’est pas loin, juste à droite au prochain feu, mais là, tu peux bouger, je ne vois pas si mon rendez-vous est arrivée»
Pierre avait répondu de façon familière, sans vraiment s’en rendre compte, avec cette même autorité, et ce demi-ton de début de journée, la jeune femme le regarda, puis s’excusa en s’en allant, se déplaçant juste de quelques mètres.
Elle le regarda ensuite, d’un air vide, avant qu’un coup de klaxons la sorte de sa léthargie. Elle regarda Pierre, soupira fortement puis reprit son chemin.
Que se passait il donc avec cette voix, qui lui semblait différente de sa voix habituelle, Pierre ne comprenait plus rien, mais ses pensées furent stoppé par l’arrivée de son rendez-vous, maintenant assise en terrasse.
Cette fiction appartient à Lucifer flame, toutes copie totale ou partielle n'est pas autorisée.
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Tout commence dans le bureau d’une entreprise d’impression, un homme entre, s’écriant :
« Non ! Non ! Non ! Mais c’est fou ça! Une maintenance ! Alors que je suis en train de parler à ....»
Il est coupé dans son élan par Marie, sa responsable directe, de son index gauche, elle lui indique le bureau, c’est là que Pierre, notre héros, se rend compte qu’il a crié, hurlé même, lors de la grande réunion des actionnaires, il s’excuse discrètement, avant de se rendre dans le bureau de Marie, qui ferme la porte derrière lui.
« Pierre ! C’était quoi ce raffut ? Sérieusement, aujourd’hui, alors qu’on joue tous nos postes, tu t’amuses à... A .... À quoi d’ailleurs ?»
« Marie, je suis sur un site, un peu comme Facebook, mais différent, et j’avais enfin la chance de lui parler, ca fait des semaines que j’attendais qu’elle se connecte.»
Pierre se sentait honteux, en effet, ca fait maintenant un mois que la société est dans une restructuration, et lui ne pense à rien d’autres que cette fille., mais Marie, le regard triste est là, il ne saisit pas ce qui se passe dans sa tête, mais, la voyant ainsi, triste, morose, il l’embrasse, ce à quoi elle répond d’une claque violente.
« Mais enfin ! Pierre ! Tu es fou?!»
« Non ! Marie, ce n’est pas ce que tu crois, je.....»
Pierre n’a pas le temps de finir sa phrase, que déjà Marie l’embrasse à pleine bouche, il ne sait que faire, il répond au baiser, mais se sent gêné par une main qui descend le long de son jean vers son sexe, et le voilà, ne sachant que faire dans une situation complexe.
Aux prises avec cette réunion, les actionnaires, les collègues, et sa responsable, excitée, presque prête à se dévêtir, ce qu’elle vient de faire, dans un bureau où tout le monde les a vue entrées, Pierre se sent pris au piège, entraîné, dans un.... Non, sérieusement, Pierre prends les devant, et se retrouve aussi nu que Marie, commençant une valse de doigts et de langues, le plaisir, les soupirs monte, quand soudain la porte s’ouvre, laissant nos deux « amants » aussi démunie qu’honteux.
Quelques mois plus tard, Pierre est désormais directeur de sa boite d’impression, Marie travaillant à ses côtés, mais comment est ce possible, laissez moi vous le raconter.
Tout droits réservées à Lucifer Flame, aucune copie totale ou partielle sans accords ne sera acceptée
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La plupart des gens ne sont pas en accord avec les mesures que le gouvernement prend pour stopper la propagation de ce foutu virus. Ces gens diront que le gouvernement ''BRIME NOS DROIT ET NOTRE LIBERTÉ''. Parce que tout le monde sait que c'est un scandale de devoir porter un masque quand on sort. Les frontières sont fermées, il est donc impossible d'aller dans le sud pour faire bronzette et énormément de gens en souffrent. Je ne suis pas d'accord avec les mesures du gouvernement mais c'est pour une toute autre raison.
Il faut comprendre que je suis au Canada et que mon Maître vit dans le sud de la France. Je connais cet homme depuis deux ans. Je l'ai rencontré sur le Marché aux esclaves alors que j'étais en couple. Il me donnait des conseils et des idées pour ma relation, qui était jusque là vanille, car ce désir profond d'être soumise, c'était nouveau pour moi. Deux ans plus tard j'ai laissé mon copain après avoir admis que je n'étais pas heureuse dans une relation en partie vanille. Il essayait, tant bien que mal, de jouer le rôle de maître mais sans succès. Quand l'une des deux personne joue un rôle alors que l'autre est naturelle, c'est rare que cela fonctionne. Mais après l'avoir laissé non seulement je n'avais plus de copain, mais encore moins de Maître. Et cet homme, que j'avais rencontré deux ans plutôt, après m'être confié, m'a proposé de me prendre en main le temps que je trouve un autre Maître au Québec. Il allait même m'aider dans mes recherches pour que je ne tombe pas sur n'importe qui. Cette relation à distance était donc temporaire. Cependant, deux mois plus tard, la donne a changé. Je suis tombée follement amoureuse de mon Maître et j'étais extrêmement attachée à lui. Il me connaissait déjà mieux que quiconque et il me comprenait. Me rendait heureuse. J'ai donc arrêté mes recherches et me suis offerte complètement à mon Maître.
Après ce changement de cap, il avait prévu de venir me voir au Québec quand les frontières canadiennes seraient ouvertes. Ouverture qui n'a pas cessé d'être repoussée depuis. En plus de six mois de relation, je n'ai jamais vu mon Maître. Pas une seule fois. Du moins, pas en vrai. En ce moment ma vie se résume à travailler et être en appel vidéo avec Maître le reste du temps. Mes journées sont rythmées par les règles et les routines que Maître m'impose en permanence. Si je n'ai pas ça, je disjoncte complètement car même à distance j'ai besoin d'être soumise en permanence.
Au vu des frontières de mon pays qui restaient désespérément fermées, nous avions prévu que je le rejoigne en France, en janvier, pour une période de deux mois. J'allais devoir, suite à ce voyage, décider si je voulais rester avec Maître ou retourner chez moi. Cependant, aujourd'hui les frontières de la France sont fermées. Et avec la nouvelle souche de Covid 19, je ne pourrai plus sortir du Canada avant un bon moment. Avec un peu de chance, je pourrai peut-être le rejoindre cet été. Après un ans de relation virtuelle...
Et honnêtement j'espère être assez forte pour tenir jusque là, car le manque de contact est de plus en plus pesant et douloureux. J'ai besoin de Maître. J'aspire à devenir sont esclave et ce n'est pas derrière un écran que cela sera possible
Pour moi le confinement, les frontières fermées et toutes les mesures du gouvernement, ce n'est qu'une immense douleur qui ne cesse d'être prolongée.
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Nous sommes un couple uni depuis plusieurs années, Laly est une belle femme de trente-six ans, avec une belle poitrine malgré sa silhouette menue. Moi, malgré un peu de ventre on me dit séduisant ; ma carrure me donne un aspect imposant.
Nous avons décidé de réaliser un fantasme….
Entre nous, nous faisons des jeux de domination de temps en temps, mais là nous avons décidé d’être le temps que cela nous plaise, un couple soumis à une seule personne, de vrais esclaves sexuels offerts aux désirs et envies de cette personne.
Nous sommes encore pudique et plutôt débutants, ce qui nous stresse encore plus.
Après plusieurs semaines de recherche sur Internet, nous trouvons un maître charmant de par ses textes et ses idées. Pour ne pas gâcher la surprise il ne souhaite aucun échange photo, mais nous garantit un physique agréable, fin et sportif… De plus notre physique ne l’intéresse pas, nous lui avons quand même précisé que nous étions un charmant couple entretenus.
Il nous fixe un mot de passe (« rouge ») qui arrêtera tout immédiatement s’il est prononcé.
La première rencontre a lieu un après-midi. Nous aurions préféré en soirée mais jouons néanmoins notre rôle de soumis et ne discutons pas.
Devant sa porte, habillé selon le dress-code imposé par le Maître (pour Laly une robe noire, des talons et des bas noir sans aucun sous-vêtements et pour moi une chemise sobre, un pantalon en lin et rien dessous). Je demande une dernière fois à mon épouse si elle est sûre, elle me dit oui.
Lors de cette première rencontre nous devons l’appeler Monsieur et le vouvoyer. Si on souhaite continuer à lui appartenir nous l’appellerons Maître.
On sonne.
L’attente semble interminable…
Au bout de trois très longues minutes, la porte s’ouvre.
Et là, surprise ! Le Maître qui nous accueilles n’est pas un inconnu mais Xavier, que nous connaissons sans pour autant que nous soyons amis. Nos cœurs s’emballent, nos visages palissent, une gêne atroce nous traverse.
Xavier affiche un léger sourire.
— Quelle surprise, dit-il serein. Deux solutions : soit vous partez et nous en restons là, soit vous franchissez le pas et vivez des moments inoubliables.
Je regarde Laly stressée d’être là, nue sous sa robe devant une personne qu’elle connaît bien. Après un silence de plusieurs secondes elle se met à genoux et dit « bonjour Monsieur » en lui baisant les pieds. Je fais de même.
— J’admire votre courage, dit- il. Suivez moi !
On rentre dans son grand salon bien éclairé, c’est classe, propre.
D’un ton plus autoritaire et presque hautain, il ordonne :
— J’ ai envie de vous voir nu, à poil esclaves !
Je vois la tête de Laly se décomposer. Je suis surpris qu’ elle ait accepté de se soumettre, car Xavier lui fait des avances depuis des années et elle l’a toujours repoussé.
Mais elle est décidée, comme moi, à vivre une expérience troublante et unique.
Elle se déshabille. En glissant au sol sa robe dévoile son jolie corps nu. Je me déshabille également, sentant le regard de Xavier fixé sur Laly.
Il s’ approche et dit :
— Première position, position d’attente, debout jambes écartées, ceci afin d’avoir accès plus facilement à vos orifices. La tête haute, fier d’être soumis, regard baissé et mains dans le dos au-dessus des fesses car elles doivent être accessibles aussi.
Il conclue d’un ton sec :
— En position d’attente !
Et voilà, nous ne cachons plus rien. Il nous observe, détaille les moindres parties de nos corps nus et sans défense. Cela semble durer temps interminable.
Il touche les seins de Laly et descend doucement vers son sexe. Elle se recule légèrement Comme pour esquiver. Il dit d’un ton doux :
— J’ai une cravache aussi, ne bouge pas.
Cela stoppe net Laly. Il continue et prend son temps pour fouiller son sexe. Elle frissonne.
Il passe derrière elle, lui écarte les fesses tandis qu’elle rougit, et la contourne à nouveau pour se tenir avec autorité devant elle.
— Ton ticket de métro c’est joli, mais La prochain fois tu sera intégralement épilée.
— Oui, Monsieur.
— C’est bien. Tu vas devenir une bonne soumise obéissante.
Puis à ma grande surprise il saisit mon sexe et le pétrit, ce qui me fait me dandiner de semi douleur et de gêne.
Il passe derrière moi et écarte mes fesses. Je suis aussi que Laly. Je l’entends dans mon dos :
— Toi aussi, épilation intégrale. Pour devenir une bonne salope tu ne dois pas avoir de poil .
Un mélange de honte et de gêne me submerge.
Timidement, je réponds :
— Oui, Monsieur.
— Deuxième position : soumis offert.
Il saisit sa cravache.
— À quatre patte.
On s’exécute.
— Cambré.
Cette nouvelle position dégage nos trous et nous gêne à nous faire frissonner.
Et là un claquement, une brûlure sur ma fesse.
— Plus que ça, esclave ! Jambes écartées, tête au sol.
La honte totale, être ainsi devant une connaissance…
Avec sa cravache il guide Laly pour que sa position soit parfaite et s’adresse à nouveau à moi :
— On va l’agrandir ton petit trou de salope, Alex, tu vas devenir une vraie petite chienne.
Je suis tellement gêné que je reste muet. Une autre brûlure sur les fesse qui me rappelle à l’ordre.
— Oui, Monsieur.
Nous restons longtemps dans cette position ultra gênante.
Il va même jusqu’à téléphoner à un copain pour prendre des nouvelles ce qui a pour effet de relancer nos battements de cœur : pourvu qu’ il ne parle pas de nous ! Nous ne bougons d’un centimètre, le temps s’étire jusqu’à la douleur. Il se ré intéresse à nous au bout de cinq minutes qui ont paru une éternité.
— Laly, lève-toi, pose tes mains sur la table et cambre les fesses.
Elle obéit sans rien dire.
— Alex, à genoux devant elle.
Puis il s approche et me dit :
— Ouvre la bouche, salope, tu vas me mettre en condition pour que je puisse baiser ta femme.
Un mélange de honte, d’énervement et d’ excitation troublante me traverse à l’écoute de ces mots. J’ouvre la bouche et avale sa queue, c’est la première fois que j’ai un sexe d’homme entre les lèvres et toutes sortes d’émotions me traversent. Je me sens bander. Un coup de cravache me sort de mon trouble.
— Mieux que ça ! Applique-toi.
Dès qu’il est bien dur il me donne un nouvel ordre :
— Lèche Laly pendant que je me soulage.
Elle est crispée mais déjà bien humide. Je la lèche tandis que Xavier se place dans son dos pour la baiser.
— Depuis le temps que j attends ça, ajoute-t-il.
Laly baisser la tête et je n’arrive pas à savoir ce qu’elle pense.
Elle ne tarde pas à jouir. Est-ce ma langue, la bite du Maître ou la scène elle-même qui l’excite à ce point ?
Dès que Xavier a joui il me tend son préservatif pour que j’aille le jeter.
— Si vous souhaitez poursuivre je vous baiserai sans capote, mais avant on fera un test.
— Oui, Monsieur.
À mon retour je vois Laly en position de soumise et le Maître prendre des photos en disant :
— C’est pour mes amis. Je ne les leur montrerai que si je deviens votre Maître.
Puis il se tourne vers moi.
— Esclave, à toi, en position !
J’ai évidemment des questions plein la tête. Nous avons sûrement des connaissances communes. Si je deviens soumis, vais-je l’assumer ? Est ce que Laly pense la même chose ?
Après la séance photo, Xavier repasse derrière moi et je sens qu’il m’introduit quelque chose dans l’anus. Je ne bouge pas.
— Tu porteras ce rosebud souvent pour devenir une bonne chienne.
Une étrange sensation de douleur et d’excitation m’envahit.
— Levez-vous et rhabillez vous. Ce n’est qu’un avant-goût de ce qui vous attend. J’enverrai un texto demain. Si vous répondez « oui, Maître », alors nous pourrons passer aux choses sérieuses.
Durant tout le chemin du retour, nous nous sommes posés des dizaines de questions, incapables de nous arrêter de discuter de cette expérience des plus troublantes.
À peine arrivés à la maison, nous avons fait l’amour trois fois, en repensant à cette aventure et en jouissant très fort.
Le lendemain, pas de texto.
Nous attendions, sans savoir quoi répondre, mais rien.
Cette attente était comme si nous étions des enfants qui espèrent une surprise. Le texto ne venait pas et il nous tardait de le recevoir, même si nous n’étions pas du tout certain de ce que nous allions répondre.
Il arrive enfin deux jours plus tard :
« Ce soir 19 h chez moi en tenue sexy. »
Je regarde Laly :
— Que fait on ?
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Ma vie ne tient qu’à un fil. Une cordelette rouge vif. Selon ses désirs, elle se glisse autour de mes seins, de mon cou, de mes reins. Elle vient fendre mes lèvres les plus charnues, s’humidifier à ma source, écarteler les deux belles pommes qui forment mon cul.
Il aime que je garde cette corde sur moi. Elle me suit partout. Dans les cabines d’essayages où je m’étreins le sein, dans ma voiture pendant que je dévore sa queue, et même quand je marche dans la rue, sentant les fibres se frotter contre mon sexe gonflé d’envie, inondant mes cuisses.
Mon maître veut des photos, que je m’empresse de lui donner, car je veux plaire à mon maître. Ce fil est notre lien, la distance notre fardeau. Quand je verrai mon maître, il jouera avec mon corps, il serrera le lien pour me garder tout contre sa peau, il tirera sur la corde pour me prendre au plus profond. Il attachera mes poignets et mes chevilles pour jouer avec mon con, y introduire toutes sortes d’objets oblongs car mon maître sait qu’il s’agit de l’un de mes jeux favoris.
Je retrouve toujours mon maître grâce à ce fil. Qu’il me partage ou me garde à lui, que ses amis me baisent ou qu’il passe la soirée à me regarder me caresser seule, mon maître n’a pas besoin de me mettre un collier, sa cordelette rouge vif va toujours me ramener.
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Avis : "Une culotte serait parfaitement superflue"
Rien ne cache le plug logé entre mes fesses, si ce n'est le fluide jupon de ma robe. Je le sens à chacun de mes pas. Il me dilate. Me fait mouiller. Chaque foulée me prépare un peu plus à notre rendez-vous. Mes jambes tremblent en prenant le ticket de métro. Destination : salope.
C'est un itinéraire direct. Sitôt la porte refermée derrière moi, je retrouve ma place à genoux devant lui, le nez entre ses jambes. Mon appétit est insatiable quand je le retrouve.
"Tu as faim."
Il corrige : "Tu as très faim..."
Plus il durcit, plus je me fais douce. Ma langue, mes mains, dédiées à le satisfaire.
Je me gave de ses soupirs. Je ne proteste même pas quand il bloque ma tête de ses deux mains pour baiser ma bouche. J'aime être une bonne fille.
Coincée entre sa queue et le mur, toute ma salive étalée sur mon visage, ses couilles sur mes lèvres, je pourrais jouir de mon état de petite souillon.
Il me pare alors de mon collier et de sa jolie chaîne dorée. Debout, face au mur, je suis sa chienne docile qui attend son dressage.
Je sais que je vais être punie. Punie d'avoir joui trop tôt lors des exercices qu'il me donne entre nos rendez-vous.
Je pensais, impudente, vouloir cette punition, mais maintenant que j'ai le cul tendu vers lui, prête à recevoir le martinet, je me sens minuscule.
Il semble prendre son temps. Mate-t-il mes fesses nues ? Le porte-jarretelles qui serre ma taille ? Mes jambes ornées de bas noirs ?
Brutalement, les lanières s'abattent sur ma fesse droite. Je ferme alors mes yeux et attend les salves suivantes, toujours plus cinglantes. Je suis surprise en sentant sa main caresser ma croupe, puis se loger entre mes cuisses.
Ses doigts glissent sur ma fente :
"Tu ne peux pas me dire que tu n'aimes pas ça..."
Il quitte mes lèvres et fait pression sur celles du haut, me fait manger mon plaisir dans sa main.
"Qu'est-ce-qu'on dit ?"
"Encore", je m'entends lui réclamer.
Alors les coups pleuvent. Sur mes fesses et leur pli. Les cuisses et le dos. J'ai le corps en feu.
Au premier coup de badine. La douleur me surprend.
J'en perds le compte.
"Où en est-on ?"
Incapable de lui répondre. Il recommence à zéro.
La pédagogie, dit-on, c'est l'art de la répétition.
La douleur qu'il m'inflige m'excite.
Je me tortille. Me recroqueville. Tente même de me soustraire.
Je n'en mène pas large.
Et pourtant, je ne peux me résoudre à lui demander d'arrêter.
Il prend ma main et la pose sur son sexe bien raide. Sans réfléchir, je le branle. Par réflexe. Je sais qu'il aime ça. Me voir comme ça. M'avoir à sa merci.
Il ne reste qu'un ultime coup à venir.
Il fait durer.
Je le déteste et je l'adore de me torturer comme il le fait.
Il m'abandonne un instant, me laisse à plat ventre sur le lit, les bras le long du corps. Poignets et chevilles rendus solidaires par des bracelets de cuir munis de mousquetons. Entravée, les cuisses écartées : la position est obscène.
Un autre jouet remplace le plug. Celui-là est plus long. M. actionne le sexe de silicone de plus en plus vite, de plus en plus fort.
"Tu t'ouvres toute seule, mon coeur."
Je mesure toute sa satisfaction.
Plaisir et progression, aime-t-il dire en parlant de mon éducation.
Il illustre ce diptyque par de profonds va-et-viens.
"Tu peux prendre encore."
Méthodiquement, il me façonne pour devenir sa poupée-putain, articulée pour accueillir sa queue.
"Enfin !"
Son gland n'a pas besoin de forcer le passage tant je suis dilatée. Il se couche presque sur moi quand il me prend. Il m'écrase de tout son poids. J'entends sa respiration saccadée. Elle est rejointe par mes cris : ses mouvements sont rapides. Il me défonce en règle.
Je sens son sexe gonfler dans mes entrailles, se vider en moi en me clouant davantage au lit. C'est à peine si je respire.
"Vas-y, jouis."
Qu'on ne s'y trompe pas : malgré la panoplie d'accessoires à notre disposition, le jouet, c'est moi. Le sien.
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Alors je commencerai par prendre votre main, je la caresserai doucement et la masser ai délicatement. Je l'envelopperai avec les paumes de mes 2 mains, puis je m'occuperai de vos doigts, en les entourant l'un après l'autre avec ma main, et en descendant jusqu'à leur extrémité, prodiguant ce massage à plusieurs reprises. Je vous aurais au préalable mis un bandeau sur les yeux afin de vous concentrez uniquement sur ces caresses... Après les mains, je m'attarderai sur vos pieds pour y prodiguer le même massage. Voyant que cette zone n'est pas très hérogène pour vous, je ne m'y attarde pas. Je me glisse alors assis derrière et pose mes 2 mains sur vos épaules, afin de remonter le long de votre cou. Ce massage de plusieurs minutes de vos cervicales vous provoque des soupirs de plénitude... Je décide alors de remonter plus haut encore pour vous caresser délicatement les oreilles, puis masser de mes 10 doigts votre cuir chevelu... Vous voyant toute détendue, je décide de reprendre vos mains, vous avez toujours les yeux bandés mais vous devinez rapidement que je fais cela pour enfiler des bracelets autour de vos poignets. Je vous enfile de jolis bijoux autour de vos poignets afin de vous rendre encore plus attachante que vous l'êtes déjà... Vous avez un petit moment d'hésitation mais vous êtes une femme joueuse et ne souhaitez pas rompre le charme de ce moment, et à vrai dire l'idée d'offrir votre corps à ma volonté vous excite plus qu'il ne vous fait peur, en tout cas c'est ce que vous voulez croire à l'instant présent. De toute façon il est trop tard maintenant, vous voilà les 2 mains solidement attachées aux barreaux du lit, allongée sur le dos au milieu du matelas douillet, et les yeux toujours bandés, complètement concentrée aux bruits environnants qui pourraient trahir mes agissements. Vous ressentez alors quelque chose se poser sur votre joue, comme un textile rigide de quelques centimètres carré, mais maintenu par une tige car il se déplace sur votre visage. A un moment il passe sur vos lèvres et vous pouvez goûter furtivement le goût du cuir...vous vous dites que c'est une cravache assurément. Elle s'écarte quelques secondes de votre joue avant de retomber subitement et sèchement dessus, vous laissant échapper un petit cri de surprise... Le bout de cuir se balade ensuite sur votre corps, en passant par le cou, la poitrine, les seins, le ventre, les hanches, le pubis, et remontant et redescendant à plusieurs reprises. Parfois il s'écarte pour mieux s'écraser ensuite sur votre peau, cette fois sans surprise, hormis l'endroit où il va s'écraser. Ce ballet dure plusieurs minutes et je devine qu'il vous plaît en regardant vos tétons se durcirent de plus en plus. Puis il descend, enfin, sur l'intérieur de vos cuisses, les petites tapes dessus vous indiquant de les écarter, jusqu'à son maximum, pour un meilleur accès à votre intimité... La lanière de cuir de la cravache se frotte maintenant sur votre intimité, à travers le tissu de votre petite culotte déjà trempées, et vous faisant ondulé le bassin comme pour augmenter la pression du morceau de cuir autour de votre clitoris. Des tapes viennent frapper vos lèvres, la douleur étant atténuée par le morceau de tissu. L'extrémité de la cravache vient maintenant se glisser sous votre culotte afin de constater l'état d'humidité ambiante. Je la retire pour la poser sur les lèvres de votre bouche, en vous demandant de goûter à votre cyprine. Puis plus rien pendant plusieurs secondes, vous vous demandez ce que je prépare. Ce n'est plus de l'appréhension mais de l'envie qui vous traverse l'esprit... Quelque chose se pose à l'intérieur de vos oreilles ... vous reconnaissez des oreillettes de téléphone, qui bientôt diffusent les premières notes d'une musique : des pas de bottines sur un trottoir, vous ne reconnaissez pas ? "Ouahahah, Ouahahahahah, Ouahahah, Ouahahahahah... " chanté par une voix de femme, assurément c'est la première fois que vous entendez cette chanson. "Si je dis oui je suis une petit ... frigide Si je décide je suis une bruti non psychorigide" (Julia Palombe, Si je dis oui) Vous vous laissez bercer par cette musique à la voix douce et aux paroles suggestives de la chanteuse, pendant que je reprends mon travail entre vos jambes, de nouveau des tapes sur votre intimité à travers le tissu de votre culotte, sous laquelle je glisse un doigt de chaque côté de vos hanches pour la faire glisser jusqu'à vos chevilles, me laissant ainsi admirer votre chatte poisseuse de désir... Toujours les jambes généreusement ouvertes, je pose un objet rond, doux et soyeux à l'entrée de votre vagin pour l'humidifier. Pas besoin de forcer beaucoup dessus pour que votre ventre engloutisse l'objet en entier, malgré sa grosseur. Cela vous semble comme une balle de ping-pong, prolongée d'une queue. Cette sensation est délicieuse et l'objet est parfaitement calé sous votre point G ... Vous êtes surprise quand je remonte et vous renfile votre petite culotte sur les fesses, mais cela a pour effet de bien plaquer la "queue" de l'objet entre vos lèvres intimes, et l'extrémité est collée à votre pubis. Pendant plusieurs secondes il ne se passe rien, cette attente est intriguante et excitante à la fois. La première chanson est terminée, c'est maintenant un nouveau titre qui commence dans vos oreilles (Julia Palombe - Les nuits d'une demoiselle). Soudain une vibration dans votre ventre vous fait sursauter, vous n'êtes pas surprise de découvrir que c'est un œuf vibrant que j'ai placé dans votre vagin, mais vous vous apercevez rapidement qu'il est particulièrement efficace et bien positionné en vous. Les vibrations sont d'abords douces et lentes, en même temps vous sentez la cravache parcourir le reste de votre corps, et s'occuper précisément de vos tétons déjà très durs. Ces sensations sont exquises et nouvelles pour vous, et tous vos sens sont en éveil : vos oreilles écoutent la chanson aux paroles très équivoques d'un patois ancien votre peau reçoit les caresses de la cravache et les vibrations de l'œuf votre nez perçoit l'odeur du cuir des accessoires qui vous entourent parfois vos lèvres gouttent au cuir de la cravache et aux sécrétions intimes déposées dessus précédemment seuls vos yeux sont obstrués mais cela ne vous empêche pas d'imaginer la position dans laquelle vous êtes Vous tentez de refermer les cuisses comme pour plaquer encore mieux l'objet sur votre clitoris, mais des coups de cravache sur vos cuisses vous intiment de les rouvrir à nouveau. Votre culotte s'humidifie au fur et à mesure que les vibrations augmentent, je vous entends gémir de plus en plus vite, de plus en plus fort... Nouvelle musique dans vos oreilles : Ma Benz, chanté par Brigitte, avec sa voix suave et envoûtante... ne fait qu'augmenter l'excitation qui vous parcoure le corps ! Cette profusion de sensations différentes vous rend folle de plaisir, vous vous laissez aller sans retenue, n'hésitant pas à me dire à quel point c'est bon ! Cela vient de partout : maintenant c'est une main qui se balade sur votre corps, d'abord sur l'intérieur de vos cuisses, montant près de l'entrejambe, puis redescendant sur l'autre cuisse, et ainsi de suite en effleurant vos lèvres à chaque passage. Cela ne fait qu'accentuer votre frustration, vous n'avez qu'une envie : que j'arrache votre petite culotte et que je remplace l'œuf vibrant par mon sexe en vous pénétrant sauvagement. Mais finalement vous vous ravisez et vous vous dites que c'est mieux ainsi, que vous devez être patiente, cela viendra bien plus tard. Et la cravache qui se promène toujours sur vos seins et votre visage, alternant caresses et petites tapes. Vous vous concentrez pour ne pas jouir trop vite et faire durer ce plaisir aussi longtemps que possible, mais c'est de plus en plus difficile, surtout que l'objet vibre de plus en plus intensément dans votre ventre, au même rythme que vos gémissements et votre respiration. La chanson suivante qui s'invite dans vos oreilles ne fait que vous achever (Donna Summer - Love to love you baby), les cris de jouissance de la chanteuse est comme un signe pour vous, le moment est venu, inutile de résister ... c'est alors que vous vous cambrez en avant, votre souffle s'arrête 2 secondes, puis vient la délivrance accompagnée de cris, de torsions du corps, vous vous lâchez sans retenue, et soudain c'est la panique ! Quelque chose que vous ne maitrisez jaillit de votre ventre et vient éclabousser votre culotte, vous semblez surprise et pensez un instant que vous venez d'uriner sur les draps...
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Les paroles s’en vont, les écrits restent, mais ce sont nos actions qui les concrétisent réellement. Trop de bruit, de promesses en l’air. Je parlais trop et je devais apprendre à me taire. Le silence, cela peut vous mettre mal à l’aise, surtout lorsque l’on est impulsif. J’ai dû apprendre cela par une voie très éloignée du BDSM mais qui m’a appris à m’en rapprocher. C’est une autre forme d’initiation qui m’a beaucoup enseigné et qui m’a permis de canaliser ce feu intérieur. Le silence au début était difficile, et puis peu à peu, je m’y suis habitué et je le trouvais de plus en plus confortable.
J’apprenais à communiquer autrement. Non pas par l’écrit, mais vraiment différemment. Le regard, la posture, le geste… J’ai beaucoup appris par le silence. Tout d’abord, cela m’a permis de comprendre la différence entre ce que l’on écoute et ce que l’on entend. Lorsque l’on parle trop, on entend, quand on se tait, on écoute. L’attention que l’on porte à la personne qui est à la portée de notre oreille est différente. Si les deux personnes parlent en même temps, ce n’est pas de l’attention, mais de la tension qui se crée.
Oui, c’est dans le silence que le secret se crée. Le regard des autres vis-à-vis de moi changeait au fil de mon apprentissage silencieux. Je devenais de plus en plus mystérieux, puisque je ne participais pas au brouhaha ambiant, ce silence m’entourait d’une aura mystérieuse qui me convenait. Ce n’était plus moi qui allais vers les autres, c’était les autres qui venaient vers moi. Je levais le voile qu’aux personnes avec qui j’avais un certain feeling. Peu à peu, par cette nouvelle allure que me donnait cette allure, j’attirais les regards. Je le voyais très bien. J’écoutais attentivement chacune des paroles qui étaient prononcées et surtout les retenaient afin de les utiliser à mon avantage. C’est ce que m’a également appris le silence. Dans chacune de mes actions, jamais je ne pouvais perdre désormais. Soit je gagnais, soit j’apprenais !
Ce vœu de silence, je devais le respecter. Il était devenu un atout primordial pour moi. Je ne pouvais pas dire tout à tout le monde, surtout lorsque des curieux qui s’emmerdent dans leurs vies voudraient tout savoir. Je ne pouvais pas dire à mon responsable que j’avais rencontré dans une soirée l’une de nos responsables des ressources humaines et que je l’avais baisé comme une chienne. Je ne pouvais pas dire non plus à un de mes collègues ou a un de mes voisins que leurs femmes n’étaient pas à leurs cours de gym ou quelconque réunion. Je ne pouvais pas leur dire, afin de protéger leurs couples et surtout leurs fiertés, que leurs épouses aimaient s’agenouiller devant ma queue. Le silence enseigne la discrétion et cela sont des qualités requises lorsque l’on est l’amant de femmes mariées.
Et puis, cela laisse place aux gémissements de s’exprimer librement. Quel doux son ! Quelle agréable mélopée. C’était une véritable symphonie d’extase qui me donnait l’inspiration. Me donnait de nouvelles idées que je suggérais en murmurant à l’oreille de ma complice du soir qui me répondait par un regard pétillant de lumière. Ah ! La femme… Si belle, si forte et si fragile à la fois. À chaque fois, je voulais lui apporter plus afin qu’elle dépasse ses limites, mais je me rendais compte que j’avais mes propres limites. Je n’étais qu’un homme et je désirais en savoir plus sur cette créature délicate. Je voulais la comprendre afin d’anticiper ses demandes. Mais ces préoccupations m’empêchaient de me laisser aller complètement. Il y avait ce frein mental qui me retenait. Alors… Je devais poursuivre mon apprentissage et explorer le féminin qui était en moi…
©Tantrika - 2/12/2020
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Si je pouvais définir ce qu’est la Maîtrise, je ne pourrais donner que ce conseil : « Sois ferme sans méchanceté, sois doux sans faiblesse » Le terme de Maître peut souvent faire rêver, il semble gratifiant. Derrière tout cela se cache un cheminement qui est loin d’être facile. On ne peut s’improviser Maître, c’est un apprentissage qui se fait par l’expérience. Plus difficile est l’expérience et plus grande sera la Maîtrise, à condition de s’être affranchi de toutes les étapes que l’on a traversés.
La première étape, c’est celle que l’on voudrait oublier à cause de nos maladresses. Et pourtant, c’est la plus importante, car c’est le premier pas. C’est l’étape où l’on ose. Quand on commence dans le BDSM (ou dans toute autre discipline), on se documente, on fait des recherches. On dispose d’un savoir, mais l’on ne possède pas la connaissance. La différence entre le savoir et la connaissance est très subtile, sur le premier, on acquiert une science, sur la seconde, c’est une expérimentation. Il fallait me voir à mes débuts avec mes foulards et mes cravates lorsque j’attachais mes partenaires. Quand j’y repense, j’étais si maladroit. Il n’y avait aucune créativité et je ne pensais qu’a mon propre plaisir. Et puis, il y avait cette excitation que je ressentais qui me consumait de l’intérieur. L’envie était là, bien présente. Je désirais contrôler cette envie afin de faire jouir ces femmes qui s’offraient à moi jusqu’a leur en faire perdre la tête. Mais, il manquait ce petit truc… Cette chose que je recherchai durant près de 40 ans. Je ne savais pas ce que c’était à l’époque. Aujourd’hui, je le sais… Ce qu’il me manquait, c’était moi. Je ne savais pas qui j’étais réellement. Quand je passais à l’acte, les souvenirs du futur me remémoraient ce que je voulais devenir. Mais j’avais peur…
Oui, j’avais peur de ce que j’étais lorsque je prenais conscience de ce feu intérieur et sacré qui brûlait en moi. Cette bonne braise m’hypnotisait littéralement mais me terrifiait en même temps. A chaque fois qu’une occasion se présentait afin que j’aille plus loin, je faisais marche arrière. Car oui, j’avais la peur au ventre. Le regard des autres, tous ces vieux schémas qui nous enferment et puis la crainte de ne pas être à la hauteur. C’est con lorsque j’y pense aujourd’hui. Oui, je n’étais qu’un jeune con qui avait l’envie et qui ne faisait que ses premiers pas. J’avais à l’intérieur cette lutte incessante entre ma passion et ma raison.
Ne pouvant faire de choix, ce conflit de programme me bloquait et m’empêchait d’avancer malgré mon audace qui grandissait au fil des ans. Pour cela, je devais prendre du recul, apprendre à me taire afin d’écouter l’autre et surtout celui que j’oubliais le plus… Moi-même !
©Tantrika – 1/12/2020
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Ira
A genoux devant toi,
Soumets-moi
A ton ire.
Déjà mis au supplice de ton manque,
Tu as accepté la charge de bourreau.
De tes hautes œuvres
Je suis le condamné heureux.
De ta main j’expi(r)e,
Tandis que dans ma chair
Tu me ressens.
Et c'est les cœurs gonflés d’émotions,
Qu'enfin nous respirons.
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Oh le cruel,
Le pernicieux,
Vicieux, sournois,
Il frappe quand on ne l'attend pas,
Un orage dans un ciel d'azur
Qui serre le coeur et confond l'âme
Il prend à la gorge
Et serre
Prenez garde il vous surprendra
Scélérat tapis dans l'ombre
Seule brille sa lame
Que vous sentirez douloureusement sous votre gosier glisser
Apnée étouffée
Prenez garde il vous surprendra
Toujours de dos quand vous ne vous y attendrez pas
Déclenchant le Blitz en vos profondeurs
Vous privant de toute ardeur
Sans même qu'on ne lui ait demandé l'heure
Il s'invite à la table d'honneur
Guettez le
Éloignez le de vos coeurs
Maîtrisons ce que nous ne pouvons contrôler
Accroche toi bien toi là qui bat
Ôte tout sentiment de manque à ma poitrine
Poids oppressant
Dyspnée infâme
Pitié quitte mon âme
Criminelle nostalgie
Toi mon coeur
Congédie ce parasite impoli
Empêche le de dans mon être y faire son nid
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Assise en tailleur, les yeux bandés, vêtue d'un corset en cuir, j'attends bien sagement le Dominateur qui réussira à faire de moi sa soumise.
Les candidats sont nombreux, mais celui qui arrivera à trouver mes points faibles pourra assouvir ses moindres désirs dans le respect de la soumise que je suis.
Le jeu est lancé....
Un 1er candidat vient vers vous d'un seul regard je savais d'avance qu'il ne trouverait pas, il essaya mais aucune réaction de mon corps...un 2ème se présenta devant, je mis à genou, commença à me caresser les bras et les jambes...rien y fait....puis un 3ème..jusqu'à ce qu'un candidat réussissa à me faire frissonner de plaisir, à me faire gémir doucement...il avait enfin trouvé ce qui me faisait craquer.
J'ai donc choisi ce Dominateur et lui offrir mon corps. En bonne soumise, je commença à l'appeler Monsieur, et que je mettais à disposition mes attributs...chose qu'il apprécia énormément.
Il me demanda de me remettre dans la position dans laquelle j'étais, me demanda de lui tendre les mains afin qu'il puisse me les attacher, de fermer les yeux... Et de lui faire confiance.
Il commença à me caresser la chatte avec un plumeau puis parcouru tout mon corps avec..je frissonnais de plaisir.. Il me mit très vite à l'aise. Je sentis son souffle sur ma peau, puis sa langue, et ses mains prendre mes mamelles, me les titiller et faire durcir mes tétons afin de pouvoir utiliser le pince téton.. La douleur est intense mais je me contrôle afin de ne pas subir de punition, puis sa langue descendit sur mon clitoris, la jouissance fut intense car mon corps se cambra sous l'effet de sa langue, il me pénétra avec 2 de ses doigts et vit qu'il pouvait insérer plus... Mon corps n'arrêta pas de bouger tellement le désir est intense et jouissif à souhait.. Il m'ordonna de me mettre sur le dos et d'écarter encore plus les jambes afin qu'il puisse avoir accès plus facile à ma chatte...
Ces doigts font des va et vient de plus en plus rapide..je me contracte pour ne pas lui montrer que j'étais une femme fontaine, mais il décida de continuer et me présenta sa bite en bouche afin que je me laisse faire et que je lui donne aussi du plaisir, le désir monta autant chez lui que chez moi
Plus j'accelerai la mise en bouche plus ses doigts s'enfonçait en moi, il sentit que je me laissais de plus en plus faire et réussissa à ses fins, à ce que je me libére mais il se libéra en même temps tellement l'excitation fut intense pour lui, la semence était une partie en bouche et l'autre sur mon visage.
Notre regard se croisa et nous avions deviné sans se dire un mot que l'un comme l'autre nous avions apprécié ce qu'il venait de se passer.. Comme quoi même sans penetration la jouissance est là et peut être différente et les sensations plus forte.
La mise sous collier se fera certainement au fur et à mesure de nos échanges et rencontres....ou pas....
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