Les soumises sont des sadiques !
Prenez une soumise réelle qui vit réellement sa soumission comme un Art de vie et confiez-lui des soumis en lui ordonnant de leur faire du BDSM.
Au départ la soumise refuse et râle en vous disant qu'elle n'est pas Maîtresse. Elle insiste même en vous rappelant qu'elle est soumise dès fois que vous l'auriez oubliée...... !
Insistez en lui rappelant qu'une soumise n'a pas à discuter les ordres de son Maître. Si besoin est, annoncez qu'une protestation ou un refus sera sanctionné d'une punition. (Chez moi les punitions sont redoutées car ce ne sont pas des jeux BDSM)
Regardez-la partir en râlant et observez attentivement. Vous constaterez que si la dite soumise est bien soumise, passé les premières minutes l'ordre de dominer sera exécuté avec une certaine forme de sadisme.
CONCLUSIONS PERSONNELLES et plusieurs fois constatées :
Les réelles soumises ne sont pas domina et ne switchent pas, dominer ne les intéresse pas et les ennuie fortement, elles feront l'effort si elles n'ont pas le choix.
La domination qu'elles mettent en place (puisqu'elles n'ont pas le choix) risque de vous surprendre de part leurs côtés pervers et sadiques.
ET LE PIRE c'est que si ces soumises sont maso, les pauvres soumis risquent de souffrir car elles adaptent la puissance des coups et actions en fonction de leur propre masochisme ! Aie aie aie si le soumis n'est pas maso.....
Personnellement (en grand pervers que je suis) j'adore faire dominer mes soumises parce qu'elles râlent mais exécutent mes ordres et les regarder m'amuse beaucoup. J'aime voir les rictus sur leur visage. Si comme moi vous aimez observer, vous serez surpris.
Les soumis n'apprécient pas toujours (rire) mais ont-ils le choix ?
Après une séance de domination réalisée par une soumise contrainte de dominer, une reprise en main de votre part est aussi salutaire qu'une bonne douche pour Hercule après ses grands travaux. La soumise ne vous en sera que plus reconnaissante......
J'ai fait le test avec deux soumises, si les approches sont différentes, les résultats sont les mêmes, les soumis « dégustent » et je m'amuse.
TSM Maître et psychopathe en chef chez Fessestivites
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Il me fut signifié que la nudité serait désormais ma "tenue" normale en intérieur, agrémentée d'un collier de cuir noir avec anneau, et d'une cage de chasteté en métal, que j'avais jusque là portée épisodiquement et qui m'enserrerait désormais la verge en permanence, y compris au travail. Elle me fit comprendre qu'il ne fallait plus guère compter sur la possibilité de l'utiliser. Dès que je franchissais le seuil de la porte de l'appartement, que ma Maîtresse - puisque c'est ainsi que je devais l'appeler dès que nous étions seuls - soit là ou non, je devais systématiquement me dévêtir. Elle plaçait ensuite mes vêtements dans un dressing qui fermait à clé. Les mois d'hiver, le chauffage était réglé pour son confort et en aucun cas pour le mien. Cependant, si j'ai au début parfois eu à souffrir du froid, je me suis très vite habitué à mon nouvel état. La cage de chasteté était un modèle haut de gamme en métal, qu'elle avait longuement choisi, et qui s'adaptait parfaitement aux proportions de mon sexe. Je devais avoir le sexe intégralement épilé et elle était très attentive à ce point. Elle gardait la clé toujours dans son portefeuille et avait conservé un double en un lieu que j'ignorais. Les premières semaines de port permanent de la cage furent douloureuses, car j'étais pris d'érections violentes, puis elles se firent de plus en plus rares, jusqu'à disparaître. Ma psychologie avait intégré l'état de servitude, et c'était ce qu'elle voulait. La libération venait une fois par mois. Elle m'autorisait alors à me masturber à genoux devant elle. Elle ouvrait le cadenas, et je vidais mon membre mou à même le parquet. Une jouissance de quelques secondes, sous son regard dédaigneux. Je nettoyais et, pour éviter que je retrouve certaines velléités d'indépendance après cette éjaculation, elle saisissait la cravache et me donnait une sévère correction, frappant tout le corps y compris les testicules.
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Nous nous étions trouvés sur un site ou les forums sont rois
Moi je fréquentais plus les forum sexe et toi plus ceux traitant de psychologie.
A cette époque j avais une certaine réputation voir une réputation certaine et rien ne nous prédisposait à nous rencontrer.
Ma présentation sur ce site était on ne peu plus explicite donc personne ne me contactait par hasard ce qui était bien le but recherché.
Pourtant un jour , j ai reçu une demande d ami assez particulière et pour le moins innatendue....
Accompagné de ta demande tu avais mis un mot, me disant que cela faisait presque 30 ans que tu étais en couple avec le même homme , qui avait l esprit aussi fermé qu une huitre et dont les prouesses sexuelles se résumaient à prendre son plaisir et quelques fois par pur miracle de t en procurer un plus mécanique qu autre chose aussi ,mais point d aucune fantaisie particulière , toujours la même position ...le missionnaire qui cela faisait bien longtemps qu elle ne t excitait plus.
Tu me dis aussi qu à ton âge tu avais envie de connaitre autre chose de plus excitant et que mon profil ne t avais pas laissé indifférente, bien au contraire, donc tu me demandais cash d être ton amant au moins le temps d un week-end et plus si affinités car tu en avais marre et voulais absolument tromper ton compagnon.
Cela faisait des mois que tu en avais envie mais certes tu voulais le tromper, mais pas avec n importe qui...
Tout d abord interloqué je finis par répondre par l affirmative à ta demande, car elle avait su éveiller en moi une grande curiosité.
Après avoir discuter presque deux semaines, te découvrant aussi charmante qu intelligente voir même attachante nous avons convenu d un rdv qui se passerait chez moi.
Tu habitais très loin de chez moi, moi près de Genève et toi près d Agen aussi vu mon emploi du temps nous avions convenu que se serait toi qui viendrait me voir.
Tu es arrivée en train et à peine descendue je suis tombé sous ton charme presque immédiatement, tout en allant chez moi en voiture, je m attendais à une certaine timidité de ta part et au contraire tu parraissais déterminée dans le choix que tu avais fait.
Durant ce week-end nous ne sommes pas sortis de chez moi, du plaisir, celui que tu étais venue chercher je t en i donné comme jamais me disais tu tu n en avais eu.
Ta beauté et ton sourire ressortaient encore plus à chaque orgasme que tu as eu.
En plus de faire l amour nous avons beaucoup parlé, de tes motivations bien sur mas aussi de ta vie , de tes choix, de tes désirs et fantasmes...
Toi si terre à terre dans ta vie de tous les jours , si droite dans ton métier d expert comptable tu n en revenais pas d avoir trouvé le courage d être venue chez moi et ne regrettais juste que de ne pas l avoir fait avant, d avoir attendu si longtemps.
Le dimanche soir en te raccompagnant à ton train tu me dis vouloir revenir ,qu actuellement en arrêt maladie tu pouvais te le permettre et qu après avoir découvert tous ces plaisirs tu savais qu avec moi comme guide tu en découvrirais bien d autres inimaginables pour toi jusqu ici.
J acceptais car ta personnalité m impressionnait beaucoup et aussi surtout tu avais si bien su me charmer.
Une semaine plus tard tu es revenue passer 15 jours chez moi.
15 jours de bonheur et de plaisirs.... Là tu m as raconté être en arrêt maladie suite à un cancer et que la partie semblait gagnée, que tu avais beaucoup souffert et que d être passé si près de la mort t avais en quelque sorte ouvert les yeux quand à tes désirs enfouis jusque là, masqués par le paraitre à maintenir coute que coute face à la société . Tu avais pris conscience, d un coup, que la vie passait trop vite, beaucoup trop vite et que tu ne voulais pas arriver à l antre de la mort nourrie, voir pourrie de regrets.
Tu es reparties chez toi et est revenue de nouveau chez moi pour cette fois-ci y rester , tu avais tout préparé en conséquence ne laissant aucun autre choix à ton maintenant ex-compagnon.
Au fil des jours et des semaines, nous sommes devenus hyper complices ,de cette complicité rare qui vous transforme , nous n avions point de secrets l un pour l autre et une totale confiance l un en l autre, l amour avec un grand A était notre quotidien.
Nous étions en totale osmose de celle qui reste comme utopique pour la plupart des gens mais qui pourtant lorsque qu on l atteind enfin ressemble au graal ...
Ensemble mais ne faisant qu un, rien ni personne ne pouvait nous atteindre, nous blesser d une quelconque façon, nous étions comme "intouchables"
Les mois sont passés dans ce bonheur sans nom qui grandissait chaque jour un peu plus, nous étions heureux, totalement heureux..
Et puis un jour une mauvaise nouvelle est tombée, ton cancer refaisait surface, oh rien de bien méchant selon les médecins mais ils te fallait rentrer afin d aller te faire soigner sur Bordeaux.
Je t ai accompagné , tu as dûe refaire plusieurs chimio , les médecins nous disaient qu ils avaient confiance que tu t en sorte , qu il ne fallait pas trop s inquieter...
Après nous sommes rentrés chez moi, je te voyais en chute libre bien que notre amour te donnait la force de lutter, ton courage a toujours été présent et exemplaire et c est toi, toi la malade qui essayais de minimiser tes souffrances qui me perçaient le coeur, toi encore qui te voulait rassurante quand à l évolution de ta maladie, toi encore qui bien que très affaiblie me donnait la force de continuer d avancer.
Et puis un jour, tu es parti ...
Me laissant juste un mot sur la table de la cuisine me disant que tu partais afin que je ne te vois pas perdre le peu de dignité qui te restait , tu voulais que je garde toujours une bonne image de toi et non celle d une femme déconfite par la maladie..
Et puis un jour, j ai appris que tu étais parti pour toujours ......dans l au-delà
Je t ai beaucoup pleuré moi qui ne pleurait jamais et j ai eu du mal à remonter la pente cachant à mon entourage les raisons de ma si grande tristesse.
Je ne pouvais exprimer ma douleur de n avoir pas pu être là quand tu es passée de vie à trépas.
Ce poids je l ai porté des années durant avant de vraiment comprendre ton choix et les raisons qui t on poussé à agir ainsi
Repose en paix
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Je passerai les circonstances dans lesquelles nous nous connûmes. Notre histoire : Elle avait 35 ans, moi 25, et j'ai tout de suite été subjugué par sa beauté hautaine, ses manières de reine et sa féminité exacerbée. Tout de suite nous avons parlé de nos envies. Il s'est trouvé qu'elles concordaient parfaitement. De mon souvenir, je me suis toujours imaginé servir une personne impérieuse et dure, subir des humiliations et châtiments corporels, même ceux que je n'aurais pas d'emblée imaginés. La maturation de ses désirs avait pris plus de temps, mais elle me confiait ses rêves de perversion et de cruauté sur ce qu'elle appelait un "esclave total". C'est ce que je suis devenu. Elle était blonde, grande, élancée, féminine de par ses activités de "working woman" et de par ses coquetteries personnelles. Je ne l'ai jamais vue sans jupe ni talons. Mais l'essentiel n'était pas là. Il était dans sa cérébralité, son raffinement, ses envies particulières qui à mon détriment se sont très vite matérialisées. Moi-même bel homme, j'avais souvent été sollicité par le beau sexe, mais elle avait très vite compris que les tourments qui m'habitaient, qui me faisaient chaque nuit rêver de vivre aux pieds d'un être supérieur, me rendraient d'une absolue fidélité, m'engageraient dans une soumission de plus en plus complète. Nous nous sommes fréquentés épisodiquement, et ces rencontres nous ont permis d'affermir nos désirs, et de déterminer quelle vie serait la nôtre une fois que nous aurions emménagé ensemble. Cela fut fait assez vite, et comme il avait été décidé, un contrat écrit a scellé nos destinées. Elle aurait désormais tous les droits, et moi aucun. Il fallut concilier les vies professionnelles, sociales et privées. Ce ne fut pas toujours chose aisée mais nous y parvînmes. Autoritaire dans tous les domaines, de cette autorité froide qui rayonnait de ses yeux de princesse baltique, c'est bien entendu lorsque nous étions seuls, dans le cadre strictement privé, que sa nature pouvait le mieux s'exprimer. Elle se constituait un corpus doctrinal en lisant des livres ayant trait à la gynarchie, et ces idées rencontraient en elle quelques correspondances secrètes. Sans qu'elle le sache au moment de sa rédaction, le contrat qui me liait à elle comprenait dans sa teneur l'essentiel de la théorie de la suprématie féminine. Le ton d'abord changea, devint plus sec, plus cassant, de ces tons auxquels on obéit, qui ne supportent pas le "non". J'appris assez vite à bannir ce mot de mon vocabulaire. J'y étais disposé, mais il est parfois des inclinations qui se heurtent de front aux contingences de la vie quotidienne. La nécessité de les surmonter explique que le début très dur, de l'ordre de ce que d'aucuns appellent "dressage", que beaucoup fantasment et que j'ai vécu, littéralement, dans ma chair et dans mon esprit.
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A mon réveil, je me suis retourné, et je t'ai vu, dormant à coté de moi. tu était sur le coté, ton dos vers moi. une jambe tendu, et l'autre repliée.
Je soulève un peu la couette, pour admirer tes courbes. Là, un air frai te fais frissonner, sans te réveiller.
Je respire ton délicat parfum, je pose ma main délicatement sur ton épaule, qui se déplace avec légèreté sur ton bras, ta hanche, tes fesses...
Un merveilleux spectacle qui me fait frémir d'envie.
Alors, je me rapproche, me colle tout contre toi, doucement, pour ne pas te réveiller.
Ton corps est chaud, mon sexe durcie déjà de plaisir. Je laisse ce moment magique se poursuivre un moment.
Contre toi, j'entends ton cœur battre, un rythme régulier. Le désir monte de plus en plus, et bientôt je n'y tiens plus, j'ai envie de toi...
Alors je te fais basculer sur le dos, doucement. Tu ne te réveille pas, mais tu bougonne un peu, ton sommeil est léger maintenant.
La encore, j'examine avec attention ton magnifique corps qui s'offre à moi, et je m'extasie devant tant de beauté, et mon sexe durcie toujours un peu plus..
Puis je me glisse entre tes jambes, que j'écarte. Je regarde ton sexe, encore endormi lui aussi.
Je caresse ta cuisse, caresse les lèvres de ton sexe, puis ton clitoris, et finalement je l'embrasse.
Tu commence a remuer au dessus de moi, a demi-réveillé, tu pose les mains sur ma tête.
Je lèche bien ton clitoris et l'entrée de ton vagin, j'enfonce un peu ma langue dedans.
Maintenant tu es complètement réveillé, et tu me dis que c'est bon, et de continuer, tes mains dans mes cheveux accompagne mes coups de langue.
Ton sexe est bien réveillé lui aussi, et m'offre sa mouille que je déguste, avant de faire glisser un doigt, puis un deuxième.
Je fais des va et vient, et avec mon autre main, je prend ton seins entre mes doigts, et pince ton tétons tout dur.
Ton corps ondule sous ma langue, et tu es bientôt au sommet de l'orgasme, alors je ne m’arrête pas, je lèche et je pénètre un peu plus vite, un peu plus fort.
Tu me dis que c'est bon, que tu va jouir, que tu aime ce que je te fais, et maintenant tu t'accroche à mes cheveux, tu te prépare à la chute vertigineuse... l'orgasme est là, explosifs, tu hurle de plaisir, ton corps est prit de spasmes incontrôlés.
Puis la tension retombe, ton corps se repose contre le lit, tes plaintes de plaisirs de muent en gémissements de satisfactions.
Alors je retire mes doigts que je lèche pour avaler ta mouille, et je viens m'allonger à coté de toi, collé à toi.
là, au creux de ton oreille, je te murmure : "bonjour ma douce".
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Week-end fetichisme ou week-end de la tolérance fétichiste ?
Pour clôturer la saison d’été des week-ends offerts aux membres, le dernier pique-nique 2013 de Fessestivites était ouvert à tous les fétichismes. Un pari osé car la tolérance entre les divers fétichistes est souvent assez limité........
Rêve ou réalité ? J'avoue que je me suis réellement posé la question même si j'étais l'organisateur de ce week-end !
Réunis en même temps et un même lieu il y avait :
Une fille totalement vêtue comme un bébé
Une soumise qui passait du statut de soumise au latex puis à l'ABDL
Une soumise avec collier et corset ultra serré et un magnifique bustier en shibari le tout recouvert de cellophane
Quatre soumises en tenue avec leur collier
Un homme totalement vêtu de latex
Un soumis en couche et sous camisole de force et équipé d'un plateau pour le service
Transgenre et trans
Un bébé 100 % plastique et en blouse avec une tétine en bouche
Un DL très discret
Un soumis nu sous ceinture de chasteté
Un soumis en collants sous cage de chasteté
Des libertins échangistes et des femmes bi
Des Maîtres et Maîtresses et nurses dont un en fauteuil roulant qui au lieu de se lamenter sur son cas est devenu un expert en fouet et CBT.
Et tout ce beau monde aux profils et fétichismes totalement différents discutaient à bâton rompu un verre à la main sans que personne ne juge personne.
LES ACTIVITES / PRATIQUES REALISEES pendant ce week-end (chacun a fait ce qu'il désirait avec qui il désirait)
Il y a eu ce week-end et donc pendant 2 jours :
ABDL ou simplement AB et DL / infantilisme
Fétichisme du latex et du plastique
SM pur et dur (fouet / croix de Saint André / cage / carcan......)
DS ou simplement SM
Dog trainning
Fessées simples / canning sévère
Shibari et des suspensions
Aiguilles
Bougie
CBT
Uro
Libertinage / bisexualité entre filles / fist
Et tout cela sans que personne ne fasse de réflexion désobloigeante ! Elle n'est pas belle la vie ???
Un grand bravo aux participants de cette rencontre Fessestivites, ils ont fait très belle démonstration de tolérance fétichisme.
Devant mon étonnement soudain face à autant de diversité, petitgeo m'a fait part d'une de ses questions : Comment on peut critiquer des pratiques un peu spéciales des autres si les siennes sont aussi un peu spéciales ?
Qu'en pensez-vous ?
TSM
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Midi sonne sur l’horloge numérique. Le Smartphone vibre par intermittence, mais n’émet aucun son, l’écran diffuse une pale lumière bleuté.
Il est posé sur la table de nuit, mais il n’y a personne dans la pièce. Il continue de vibrer, comme un message SOS répété sans cesse, sans que personne ne reçoive le signal de détresse.
Midi, c’est également l’heure du dernier repas de Jean. Midi de la veille.
Pourtant il meurt de faim, son ventre cri famine, son estomac se tord dans tous les sens, à l’agonie.
Il mangerait bien, mais il n’en a pas le droit. C’est sa punition.
Sur le coup, il pensait que ça ne le dérangerai pas, trop fière pour admettre qu’il est comme tous les hommes, et qu’un homme a besoin de manger. 4 repas par jours.
Aujourd’hui, alors qu’il n’a rien avalé depuis 24h, il regrette amèrement, et surtout, il ne fait plus le malin.
Il repense avec mélancolie aux événements de la veille
Il était chez sa Maîtresse depuis quelques heures, et tout se passait bien.
Il était heureux de la rencontrer pour la première fois, et de pouvoir passer du temps avec elle, à la servir et à l’honorer.
La rencontre avec sa Maîtresse avait été un moment intense pour lui.
Avant d’arriver chez elle, il angoissait complètement, se demandant comment elle allait le traiter, et ce qu’elle attendrait de lui.
Mais Maîtresse Kiala s’était révélée être douce et aimable, bien que autoritaire et ferme.
Il avait reçu l’ordre de se mettre à quatre pattes, puis de sonner à la porte d’entrée, ce qu’il avait fait sans se poser de question.
Il avait gardé la tête baissée lorsque la porte s’était ouverte devant lui, laissant apparaître les pieds de sa Maîtresse dans de hautes chaussures à talon noirs. Ouverte sur le devant, il voyait une jolie pédicure rouge qui lui donnait déjà l’eau à la bouche.
Elle s’était mise sur le côté et avait annoncé d’une douce voix « entre mon petit chien ».
Il est midi, Jean attends désespérément la levée de sa punition.
Il est nu, sur le carrelage froid de la salle de bain, plongée dans le noir depuis quelques heures déjà, sans aucun repère. La folie s’approche pernicieusement de lui, prête à lui sauter dessus à la moindre faiblesse.
Il a faim, il a soif. Maîtresse Kiala lui a interdit de manger et de boire, à par ses propres déjections.
Alors, pendant que midi sonne, Jean accepte l’humiliation ultime, décision qu’il refusait de prendre, mais au bord de l’aliénation, il se rend à l’évidence, il n’a pas le choix.
Il se relève, doucement, dans cette obscurité totale, et s’accroupie par terre. Là, il se laisse aller, il chie sur le sol froid. Pendant qu’un étron lui dilate l’anus, son urine, chaude, lui coule sur les jambes.
Cette bestialité lui plait, comme un retour aux origines, mais les odeurs lui gâchent le plaisir.
Il doit respire par la bouche, pour ne pas sentir cette puanteur qui le dérange.
Face à face avec son destin, Jean prend un temps, le temps de ravaler sa fierté. Il se penche au-dessus de sa merde, en prend un petite du bout des doigts, et la porte lentement à ses lèvres. Il l’aval instantanément, puis il recommence avec une autre petite crotte moulé par ses fesses.
L’odeur est nauséabonde, mais sa merde n’a pas vraiment un mauvais gout.
Ces deux morceaux ne suffisent pas à le rassasier, alors, mue par un nouvel instinct animal, il attrape son paquet de merde à pleine main, ce contact chaud et cette texture lui plait, l’excite même, et, plutôt que de l’avaler, il se l’étale sur le corps, sur les tétons, sur le ventre, puis sur son sexe qui durcie de plus en plus, et enfin sur ses couilles. Il se recouvre de merde et prend du plaisir à se caresser dans sa crasse la plus totale et à lécher ses doigts pleins de merde.
Puis Jean revient à la réalité, et prend conscience de sa déchéance. Dégoûté de lui-même, misérable, lamentable, il s’allonge sur le sol recouvert de sa propre merde, qui le répugne à cet instant.
Il est midi passé. Jean est en proie à d’impensables sentiments, de honte, d’humiliation, de dégoût, et la faim le taraude toujours autant.
Et c’est à cet instant, que la porte s’ouvre. La lumière du couloir l’éblouie, il cligne des yeux, puis distingue dans l’encadrement de la porte, la silhouette de sa Maîtresse. Il essaye de voir ses traits, et remarque qu’elle arbore un léger sourire. Un sourire plein de malice, de satisfaction… et il comprend. Il comprend que sa Maîtresse avait attendu de lui cette débauche. Il comprend que sa réelle punition était non pas la faim, mais l’auto humiliation.
Puis il voit l’objet de cette infâme punition. Elle tenait dans les mains ce jouet, énorme, démesuré.
Il comprit autre chose à ce moment. Il n’y avait pas d’échappatoire. Cette grosse bite en plastique informe, qu’il avait refusé de se prendre dans le cul la veille, il n’aurait pas le loisir de refuser une seconde fois.
Il est midi passé, et, résigné, humilié, il baisse la tête devant sa Maîtresse. Il se soumettait entièrement à elle.
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Tu m'attachesTu me nouesTes gestes déliésMe lientTes liens me serrentM'entraventMe contraignentEt me font un peu mal parfoisMais c'estAussiD'une douceur infinieJe m'y laisse allerTu le saisTu me lis...EtC'estÉtrangeEt beauEt bon...Ton cocon me lieM'unitEt me délie...
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Que de nuits et de jours passés à la faire crier encore et encore....
Mais il arrive un moment ou l on se sent à l étroit même chez soi et surtout le regard à la fois curieux, envieux voir énervé de certains voisins vous incite à aller explorer d autres horizons....
Après avoir parcouru la campagne environnante et ce sous tous les temps possibles afin de rendre la chose encore plus ludique , hum il n y a rien de plus excitant que de le faire , nus comme des vers, sous une pluie fine dans un endroit isolé.
et puis un jour, je lui ai fait une petite surprise.....
Je lui ai demandé de préparer une petite valise, et non nous ne partons pas en voyage lui ai-je dit , en fait ce soir nous n allons pas très très loin.
Son regard interrogateur en disait long sur sa curiosité mais elle n essaya même pas de me poser la question tant elle me connaissait bien , et comme je souriais ,de ce sourire coquin qui en disait déjà bien long sur mes intentions elle laissa échapper un long hummmmm qui me mit en émoi.
À peine monté dans la voiture je couvrais ses yeux d un voile sombre, et surtout de ne pas parler jusqu à que l on soit arrivés à destination.
Silence appréciable qui la faisais cogiter encore plus, je la voyais se tordre les doigts d impatience, cela m amusais beaucoup.
Arrivé sur le parking et une fois le moteur éteint je lui ai enlevé le voile, un grand sourire coquin éclairait son visage.
De voir ou on était je crois qu elle a deviné de suite mes (basses) intentions lol
D ailleurs elle me fît état de sa surprise quand à l endroit choisi, visiblement elle ne comprenait pas bien pourquoi je l avais emmené là
Pourquoi avais-je choisi un hôtel Formule 1 me demandait elle? Comme si elle ne méritait pas mieux ?
Avant que ça parte en cacahuètes je lui ai donc expliqué la raison de mon choix.
Comme chacun sait cet hôtel est dénué de tout confort, les douches et toilettes sont dans le couloir et les murs séparant les chambres sont si fines que lorsque l on éternue c est le voisin de la chambre d à côté qui se mouche...ou presque (vous plaignez pas j aurai pû être moins délicat lol) et généralement se sont des gens qui bossent pas loin qui viennent juste pour se reposer et y dormir.
Et c est là tout l intérêt de cet hotel lui ais-je dit car vu la finesse des murs j avais bien l intention de la faire crier comme jamais afin de pourrir la nuit de tous les occupants de l hôtel...
Et là du coup elle éclata de rire et accepta , enfin, avec une grande joie non dissimulée mon petit délire.....
Après nous être enregistrés et poser notre valise nous sommes allés diner dans un bon petit restaurant pas trés loin.
La nuit était déjà bien installée à minuit et demie lorsque nous sommes rentrés à l hôtel, un grand calme y régnait bien que le parking soit remplit de voitures.
Sourire très prononcés nous sommes rentrés dans la chambre et à peine avais-je refermée la porte que nous sommes partis dans un grand éclat de rire !
Que la fête commence lui ais-je dit !!
Cette situation si peu ordinaire l a excité comme jamais je ne l aurai crû.
Nous avons commencé doucement ,tout doucement, histoire de bien savourer cet instant puis petit à petit, emportés dans notre élan l échange se fît plus intense.
Elle était déchainnée, jamais je ne l avais vu ainsi et ses premiers cris de plaisir ne tardèrent pas.
Bizarrement aucune réaction apparente ne se faisait entendre de la part des occupants de l hôtel qui devaient sûrement dormir profondément, aussi là désapointé que j étais j ai dû sortir le grand jeu .....
Et lorsqu enfin vers les 02:00 les voisins ont commencés à se manifester je crois que tu as un peu exagéré la puissance de tes cris, exprès ou pas ça je l ignore encore, mais quel bonheur de t entendre t exprimer ainsi.
Et surtout quelle rigolade, tout d abord intérieure , puis carrément franche ,lorsque les premières manisfestations de mauvaises humeur de nos "voisins" ont commencé à se manisfester .
Les " vos gueules" "vous avez pas finis" ,"c est quoi ce bordel" ," bande de tarés" , nous on veut dormir" , " c est honteux" , " connards" , " pouvez pas allez faire ça ailleurs" , elle va pas la fermer cette connasse" etc etc etc
Quel bonheur et quel pied !!!
Vous n imaginez même pas......
Et le pompon si je puis dire a été lorsque, prise dans cette tourmente , cette euphorie, tu m as demandé de t enculer et ce le criant de plus en plus fort....
Et là ,plusieurs voix masculines sesont faites entendre en gueulant très fort " ben vas y encule là cette pute qu on puisse dormir" , " va l enculer ailleur" , et même un " si vous continuez c est moi qui vais vous enculer tous les deux"
Et il y en a même qui sont venus frapper à notre porte en nous hurlant d arrêter...
Ah ah ah ah ah ,
Quelle nuit, mais quelle nuit nous avons passé .....
Extraordinaire , Sensationnelle, Géniale, Incroyable !!!!!
Par contre et pour éviter de nous faire foutre sur la gueule surtout, nous sommes partis trés très tôt de l hôtel, avant même que les premiers occupants ne se lèvent...
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Transparent....
je les adore.. Ces imperméables transparents, si beaux sur les peaux nues (ou pas) de mes rares Maitresses...
Je les aime, quand j'en revêt un, ce qui à le don de m'emmener si loin....
Mais à force de les aimer , je pense être devenu comme eux...Transparent.
Soumis, homme, célibataire, âgé ( un peu mais pas encore trop), ayant un corps de top modèle avec ( une) tablette de chocolat, lourd handicap à tirer..
Cette semaine, je voyais sur le site la photo d'une nouvelle arrivante.. Et je me disais que jamais je n'aurais sa force, sa conviction, pour me présenter comme ça devant vous. Mes complexes sont là, présent, incontournables, inébranlables.
J'y ai travaillé, ai accepté par moment, ( étrange, à chaque fois que j'ai une Maitresse... Bon.. enfin , une fois..).
Mais quand je regarde ce mur général, avec ( et je ne VEUX pas être médisant envers personne) ses Ken et Barbies, images d'une vie formatée, ou la personne de tout les jours n'a pas sa place...
On dirais la plage de Malibu, sauf que j'y suis allé à Malaubus, et ce n'est pas comme ça.
Ou êtes vous les vrais BDSMeumers, de la vraie vie, Le BDSM s’arrête a 40 ans? quand le nombril arrive entre les seins? Quand on n'arrive plus à fermer son jean vinyle?...
Désolé, je m'emporte... Cela m'arrive parfois quand la soupape lâche....
Remarquez que j'aurais pu vous la faire avec des trans, ou autre... ( amitiés VRAIES à Raphaëlle...)...
Des gens crèvent... De ne pas vivre leur passion, de l'indifférence des autres... Oh, ils ne demandent pas l’aumône, non... Faut vous dire , Monsieur, que chez ces gents là, on ne demande pas, Monsieur, non... On ne demande pas....
Je vous souhaite à tous une bonne journée....
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Après t avoir laissé dans le coin de la pièce, je me suis dirigé au bout de la table et m adressant aux convives de ce repas je leur dis :
<< Messieurs, pour que la punition que je souhaite infliger à ma soumise soit aussi exemplaire que possible je viens vous demander votre collaboration>>
Là je voyais bien sur leurs visages l intérêt soudain que ma petite phrase venait de susciter . Tous me fixaient attendant la suite.
<< je vous demanderai donc dans un 1 er temps de bien vouloir déplacer cette table et les chaises pour la placer dans un coin , puis m adressant au Maitre de cérémonie je lui demandais de bien vouloir faire apporter un banc, de ceux assez haut qui servent à éduquer certaines soumises insolentes, ainsi que plusieurs "ustensiles" , il me répondit positivement et alors que tout le monde s affairait, moi je suis allé vers toi "petite brune" , tu étais face contre le mur les mains dans le dos, une fois arrivé près de toi , je me suis approché de ton oreille pour te chuchoter à voix basse ce qui allait t arriver. << ton comportement de ce soir mérite une sanction exemplaire, tu comprends bien petite que la honte que tu m as infligé devant mes amis doit être réparée , cette fois-ci il va te falloir te montrer à la hauteur...... de mes espérances , donc je ne veux point entendre de cris de ta part, tu devras supporter ce Châtiment , car c en est bien un , les dents serrées , je veux que tu leurs montre à tous quelle soumise tu es !! Je veux pouvoir repartir de ce dîner la tête haute. Tu as certes fauté gravement , je vais mettre cela sur le compte de ton inexpérience et je sais qu il me faudra dorénavant me montrer beaucoup plus ferme et plus dur avec toi, mais je garde confiance je sais que tu y arrivera n est-ce pas ? >>
Tout en me disant oui, oui mon Maître tu te tournais vers moi, je te stoppais net par un << ne bouge pas !! >>
Je retournais vers les membres de cette soirée et leur dit :
<< Messieurs comme Châtiment pour ma soumise j ai décidé que nous l allongerons sur un banc, puis nous l attacherons , bien serré afin qu elle ne puisse en aucun cas bouger , sa jolie robe sera déchirée afin de mettre à nu la partie charnue de son postérieur , puis chacun de nous 6 la punira à son tour , mais étant son Maître je me réserve le droit de lui infliger cette punition à mains nues, tandis que vous, Messieurs, utiliserez chacun un ustensile différent que j ai demandé au Maître de cérémonie de bien vouloir nous apporter . Êtes vous d accord ??>>
Applaudissement général avec des bravo Maître , nous apprécions à sa juste valeur votre demande signifiant l accord tacite quand à ce Châtiment .
Je repris la parole << je demande deux volontaires pour aller la chercher puis l installer sur le banc et l attacher, je me réserve le droit de lui déchirer sa robe >>
De volontaire ils l étaient tous , aussi je dû en choisir deux au hasard.....
Une fois installée et attachée je suis venu m accroupir tout près de ton visage et d une voux douce, très douce je t ai dit : << Prépare toi "petite brune" et n oublies surtout pas, que cette fois-ci je veux pouvoir être fier de toi >>
Je me levais puis saisissait le bas de ta robe avec les deux mains qui en les écartant fortement la déchirèrent et ce jusqu à l encolure.
Me retournant vers le groupe de Dominants je leur dit << Commençons Messieurs et surtout je vous demanderai de n avoir aucune pitié ni aucune faiblesse pour cette soumise qui n a eu aucun respect à votre égard >>
Devant l approbation générale , je remerciais chacun des membres de cette soirée et m approchais de toi main levée.......
............. Suite ......
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Tiens quelqu un sonne à la porte ?
La porte à peine ouverte je vois ton sourire malicieux et tes yeux rieurs.
<<France, quelle surprise !! Que me vaut le plaisir de te voir de si bon matin lui dis-je >>
<<Assis toi et dis moi tout, je suis vraiment curieux de savoir ce qui t amène>>
Un grand sourire illuminait son visage , mais elle esquivait mon regard me taquinant sans rien me dévoiler de sa venue , intrigué et plus que curieux cette fois-ci je l étais bien et ne manquait pas de lui en faire part.
Nous nous connaissions depuis longtemps, 10 ou 12 ans , elle avait été la compagne d un copain de qui elle s était séparé il n y a pas si longtemps, je l ai toujours connue rieuse, taquine, belle femme qui aimait la vie mais qui selon ses dires n en avait pas vraiment profité et regrettais souvent d être passé à coté de tant de choses. Depuis sa séparation d avec Jean je l avais revu plusieurs fois , nous croisant à plusieurs soirées et ou sorties entre copains , toujours avec le même plaisir, depuis le tout début nous avons toujours eu un super feeling et comme nous sommes aussi taquin l un que l autre à chaque fois cela se termine dans de franches rigolades. Elle appréciait beaucoup ma-nos conversations car elle savait qu avec moi elle pouvait parler sans crainte d être (mal) jugée et que moi question discussion je n avais aucun tabous.
Elle connaissait mon "coté obscur" , nous en avions discuté à maintes reprises et bien que cela l intriguait , voir même éveillait sa curiosité elle ne se disait pas intéressée , elle elle voulait autre chose, plus romantique même si parfois les sensations extrèmes auxquelles elle aspirait tant en était le plus souvent absentes, voir aussi le plaisir , obligée de "se finir" elle même une fois rentrée chez elle.
Jolie contradiction , d un coté le romantisme voulu et de l autre la frustration souvent présente.....
Donc ce jour, après un début de conversation rempli de non-dit , de taquineries devenant de plus en plus légères elle se fît soudain très sérieuse et me dit :
<< tu sais oh combien je t apprécie , nous nous connaissons depuis si longtemps, tu es pour moi un ami et même plus qu un ami >>
Elle s arrêta pour me regarder , bu un peu d eau et repris
<< je sais que demain c est ton Anniversaire mais hélas je ne pourrais être là>>
Elle s arrêta de nouveau me fixant droit dans les yeux comme si elle voulait que je devine la suite... Mais là non, j étais dans le flou total, ou voulait-elle en venir?
Elle repris la parole tout en baissant les yeux, sa voix se faisant presque discrète, je m attendais au pire
<< donc comme d anniversaire je t offre ma volonté d être à toi juste une journée, je veux aujourd hui que tu me fasse découvrir quelque peu ton côté obscur ...... Oui je sais j ai toujours dit que j étais contre etc etc mais que ceux tu il n y a que les imbéciles qui ne changent pas d avis >>
Là je suis resté bouche bée , sans voix, la dévisageant ouvertement comme pour y déceler une trace de plaisanterie....
Mais non, tu étais on ne peut plus sérieuse, attendant le sourire aux lèvres et le regard pétillant ma réponse.
Tout d abord surpris , on ne saurait l être à moins et après ne longue réfflexion je finis par accepter, à condition que l on joue ce jeu avec mes règles et uniquement celles-ci. Elle accepta me disant avoir la volonté de se soumettre totalement à un homme au moins une fois dans sa vie et que j étais pour elle celui en qui elle avait le plus confiance.
De suite comme ne voulant ne pas perdre un instant elle me dit << stp emmène moi dans ta chambre>>
Là de suite je levais la main en signe de sto tout en lui disant << non France, ce jeux ne se jouera pas dans la chambre !! >>
Stoppée dans son élan elle me regardait fixement l air plus interrogateur que jamais et avant qu elle puisse formuler une quelconque question je luis pris la main et lui dit : << Viens, n aies pas peur>>
Suite...............
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A peine rentrée de shopping et ton baiser sur mes lèvres donné je te dis etite brune, ce soir pour fêter notre 1er mois ensemble je t emmène à une soirée hum, spéciale , inutile de me poser des questions car je ne te répondrais pas.
Ta curiosité maladive se lisait sur ton visage et avant même que tu aies ouvert la bouche je te dis :
Dépêche toi car nous devrons partir au maximum à 20:00 et il est déjà 18:20 donc ne traine pas stp
Vingt heures tapantes, tu es là , resplandissante, que dis-je , sublime en robe noire mi longue ,les épaules dégagées parée d un joli collier assorti à tes boucles d oreilles, maquillée juste ce qu il faut..... Très très classe , je suis sous le charme et pour te remercier te donne un long baiser.
Avant de partir et comme le veut la tradition, celle qui régit nos rapports si spéciaux, tu me laisses t examiner , je soulève ta robe afin de vérifier que tu es bien nue dessous et te passe mes mains sur ton corps plus que de raison, humm tu es si craquante que je ne m en lasse pas...
Un petit: Maître ne m avez vous pas dit que nous devions partir? me rappelle à l ordre.
Chemin faisant dans la voiture tu essayas bien de savoir ou nous allions et ce n est qu une fois arrivés à destination ,après avoir couper le moteur que je me suis tourner vers toi et d une vois calme, douce mais ferme je te dis : écoute moi bien petite brune, ce soir et ce pour la 1 ère fois depuis que nous sommes ensemble tu vas être confrontée à d autres soumises, aussi j espère que tu sauras te montrer à la hauteur, voir même leur être bien supérieure , tu en es capable je le sais, mais surtout ne me déçois pas, allez c est parti allons y.
Nous étions invité chez un couple de connaissance qui avait eu la bonne idée de faire une petite fête en comité restreint, juste 6 couples pour une soirée BDSM ou chaque homme devait présenter sa nouvelle soumise afin d en juger ses capacités.
Après avoir sonné le Maitre de cette maison m accueillit chaleureusement avec juste un regard souriant pour petite brune....
L ambiance était donnée !
Nous étions les derniers arrivés et après les salutations d usage, entre hommes uniquement, nos soumises se trouvant réunies ensembles dans une petite pièce , nous avons pris un petit apéro spécialement préparé par la maitresse de maison.
Une fois l apéro fini et après avoir fait sortir nos soumises devla pièce nous nous sommes dirigés tous ensemble vers la salle à manger.
Grande pièce dont les murs ressemblent à ceux d un château , poutres apparentes et quelques objets de torture comme seule décoration sur les murs donnait à cet endroit un côté quelque peu lugubre.
Une grande table prônait au milieu de la pièce avec et cela me sauta immédiatement aux yeux, seulement 6 couverts de préparés, trois de chaque côté de la table, bien espacé entre chaque..... surprenant !!
Avant que l on puisse formuler la moindre question le Maître de cérémonie nous dit : Messieurs prenez place ou vos noms sont indiqués , quand à vos soumises elles mangeront sur de petites tables basses d enfant , juste à vos côtés car comme vous l aurez remarqué nous sommes suffisement espacés les uns des autres . on les leur apportera lorsque vous serez bien installés.
Le Maître de cérémonie se permis de rappeller à nos soumises leur condition et aussi les devoirs qu elles avaient en tant que telles.
Elles devraient manger en silence, tête baissée , ne pas parler et surtout sans se mêler de notre conversation !!
Le repas était délicieux , les mets tous plus fins les uns que les autres défilaient sans aucun temps mort et la conversation plutôt réservée du début faisait doucement place à celle de franche camaraderie, alliant légèreté et hard sans retenue.
Et soudain, alors que Maître Jacques me charriait allègrement sur mon manque de fermeté tu éclata de rire.....
Toi, petite brune tu te permis de transgresser les règles établies en te moquant de moi , moi qui suis ton Maitre !!!
D un coup tout le monse se tût me fixant et attendant ma réaction.
Elle ne se fît pas attendre, je reculai ma chaise et d une voix grave les fixant tous tour à tour , je leur présentais mes excuses pour le manque d éducation de ma soumise tout en leur demandant de bien vouloir me permettre de la punir immédiatement pour le manque de respect à mon égard mais aussi du leur.
Après acceptation de leur part je me suis tourné vers toi petite brune et d une voux dure mais posée je t ai demander de te levet, puis de venir dans un coin de la pièce et de ne pas bouger.
Suite ?
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J étais dans mon bureau classant des papiers lorsque tu es rentrée.
Après t être débarrasée de tes affaires tu es venue me voir, et tu es restée devant la porte du bureau pourtant grande ouverte.
Tu me regardais fixement , sans bouger, je levais donc la tête vers toi et te dis un bonjour petite, ton voyage s est bien passé, tu n as pas eu de soucis sur la route, tu as bien fais "tes devoirs" ?
Elle venait de rentrer d un séminaire de trois jours.
Toujours immobile elle ne répondait rien, aussi devant son mutisme je l invitais a entrer et a venir s assoir près de moi, mais rien, pas un geste, pas une parole.
Du coup je me suis levé de mon fauteuil et suis allé vers elle et droit dans les yeux je lui ai demandé ce qu il se passait ?
Elle me fixait elle aussi du regard, nous sommes restés ainsi face à face plusieurs minutes avant qu elle se décide enfin à prendre la parole.
D une voix légèrement tremblante elle me dit: maître je vous ai désobéî , je n ai pas fait ce que vous m aviez demandé.
Je la regardais sans mot dire, ses yeux fixant les miens comme par défi, comme par provocation !
Je ne disais toujours rien , nouveau silence, cette fois-ci il se faisait pesant, et dura bien trop longtemps à mon goút.
Elle prit de nouveau la parole et me redit les mêmes propos, mot pour moi que précédement s attendant , je le voyais bien à une réaction de ma part .
Mais non je ne disais rien , mon regard se faisant plus sévère elle fini par baisser les yeux et d une petite voix presque enfantine me dit : Maître de vous avoir désobéî je mérite une punition je le sais.
Nouveau silence de ma part tout en continuant de la fixer du regard et là je commençais à la voir perdre l assurance qu elle avait eu en arrivant.
De nouveau elle me redit mériter une punition sévère et qu à on avis une féssée digne de ce nom suivi de nombreux coups de fouet devrait lui être infligé sans plus tarder.
Mais toujours aucune réaction de ma part , je venais de repenser aux deux jours précedant son départ ou elle me faisait remarquer qu il y avait déjà un certain temps que je ne l avais pas féssée et fouéttée et que cela lui manquait, voilà la vraie raison de sa déobéissance....
Mon silence si prolongé la troublait de plus en plus et elle en perdait non seulement son assurance mais aussi ses moyens je le voyais bien.
Elle me dit : Allez y Maître punissez moi et surtout ne soyez pas tendre avec moi je mérite amplement que vous passiez votre colère ainsi contre moi , je le mérite tant !!
Je pris une grande inspiration et je suis retourné m assoir dans mon fauteuil lui tournant ainsi le dos tout en continuant à faire comme si j étais seul dans la pièce.
Du coup elle avança dans la pièce pour se poster debout juste à mes cotés et d une voix cette fois-ci suppliante me dit: Maître je sais que vous êtes très en colère contre moi, je le sais , désolée de vous avoir décue , punissez moi oh mon Maître et surtout qu aucune indulgenge ne votre part vienne troubler cette punition que je mérite tant, elle continuait de nouveau ses suppliques cette fois-ci à genoux les mains tendues en avant comme faisant une prière tout en me demandant d être totalement intraitable avec elle de que je fasse de cette féssée celle dont elle se souviendra toute sa vie !!
Je me suis touné vers elle ce qui a eu le mérite de faire stopper le débit intenable de ses paroles. Elle sanglottait et tremblait en même temps.
Toujours sans un mot je la dévisageait lentement faisant durer le , mon plaisir plus que de raison .
De ses yeux larmoyant elle m implorait , me demandant pardon et qu il fallait vraiment que je la punisse, que c était mon devoir de Maître et qu il n y avait pas un seul Maître au monde qui ne punirait pas sévèrement de tels agissements.
Je lui fît un signe du regard et aussitôt elle se mît en position de proternation devant moi tout en me disant qu elle savait qu elle la méritait sa pinition suivi d un merci, merci Maître...
D un tiroir du bureau je sortais des menottes et des cordes ,puis lui demandais de se lever et de me suivre jusqu au jardin sans mot dire.
Une fois dans le jardin je m arrêtais devant le beau marronnier qui l ornait, là je lui ordonnais de se mettre complêtement nue et apres je lui dit :
Approche toi lui dis-je et colle toi face en avant contre le tronc d arbre , je vais t attacher à celui-ci
Je lui ordonnais d une voix sévère, dure ,de ne surtout pas bouger , elle me répondît par un oui spontanné qui eut comme réponse : tais toi je ne veux pas t entendre .
Je l attachait donc au marronnier puis d une voux douce mais trés ferme lui dit : La seule punition que tu aimerais tant avoir n est pas celle que tu auras, tu vas rester ainsi aussi longtemps que je le déciderai et cela peut prendre des heures, voir plus d une journée si tel est mon désir et plus tard, oui tu recevras une féssée digne de ce nom et je te fais la promesse que ce jour là tu ne pourras plus t assoir pendant plusieurs jours.
Sans même me retourner je suis rentré dans la maison directement dans le salon d où l on voyait si bien le marronnier qui n était au plus qu à 10 mètres de la baie vitrée que j ai ouverte en grand et après m être servi une petite Chartreuse et avoir mis de la musique je me suis installé dans un fauteuil que j ai tourné face à la baie vitrée pour t avoir en ligne de mire collée à ce si beau marronnier .......
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Au départ une simple conversation, qui de fil en aiguille au fur et a mesure du récit-témoignage de votre vie se révèle être intéressante, surprenante !
Je vous lis patiemment ne vous interrompant que pour vous signifier mon interêt ou mon opinion concernant certains sujets me risquant même parfois à plaisanter lorsque le sujet devenait grave comme pour en atténuer ses effets.
Votre vie, peu ordinaire au demeurant évoque en moi certains souvenirs que je préfère garder pour moi seul.
Vous la racontez avec beaucoup de brio, mots simples presque dénués d émotion comme pour masquer les souffrances que vous avez enduré, vous êtes maitre-sse de votre plume, cela se ressent.
Votre parcours parsemé de tant d embûches ne vous a nullement freiné dans la voie que vous avez, au détours d une rencontre, finie par trouver.
Je ressent votre détermination quand a vivre pleinement votre nouvelle vie dans laquelle, enfin vous vous épanouissez.
Votre voie trouvée, elle semble dessinée à votre mesure, maintenant plus aucun doute ne viendra troubler la quiétude de votre choix.
Vous me dites avec trouver l amour celui avec un grand A , vous êtes si sure de vous qu il ressort de vos écrits et une sereinité certaine. Je prends beaucoup de plaisir à vous lire et à échanger avec vous.
Les heures défilent sans même sans rendre compte.
A la fin de votre récit vous voulez savoir également le mien mais avec une pointe d humour je botte en touche vous disant que plus tard je vous en ferai part.
Et puis je ne puis vous dire qu étant votre ainé j en ai forcément, vu mon vécu, beaucoup plus a raconter que vous ce qui nous prendrait au moins toute la nuit.
Je ne me souviens plus si je vous ai remercié de vous étre ouverte et ainsi livrée à moi, mais juste après la fin de votre histoire, ne voulant surtout pas que la conversation s arrête là je vous ai formuler une requête, celle de mettre la cam , juste un court instant, histoire de mettre un vidage sur l interlocutrice généreuse que vous aviez été , ce qui vous a semble t-il surprise et de fait vous avez bien essayer d esquiver ma demande par un je suis dans mon lit et j ai les cheveux tout ébouriffés ...... Humm réponse typiquement féminine qui me fît sourire et a laquelle je répondit par , si cela vous dérange tant vous n avez qu à mettre un chapeau ou une casquette et je crois que voyant que je ne lacherai pas le morceau aussi facilement vous avez fini par acceder à ma requête me demandant juste un peu de temps pour vous arranger. J en profitais pour une petite pause clope bienvenue.
Une fois revenu et après vous l avoir annoncé vous avez lancé la cam
Et là, vous m êtes apparue.....
De suite j ai remarqué que vous ne correspondiez pas à l image que je m étais fait de vous et je vous en fait part , jolie petite brune, vous ne faisiez pas du tout votre àge mais bien 10-15 ans de moins, ça je ne vous l ai pas dit, joli visage presque angélique, presque d adolescente mais beaucoup d plomb et surtout très sure de vos convictions, prêtes à épiloguer en douceur sans jamais vous dévier de vos certitudes.
Physiquement et je m en suis fait la refflexion vous faisiez " gamine" dans le bon sens du terme mais vraiment femme lorsque vous preniez la parole et défendiez avec verve vos différents points de vue.
Vous sachant prise et même éprise la conversation ne tenait plus lieu d être aussi rigide et elle devenait de fait plus légère et le tutoiement s installa tout naturellement.
Du coup je me suis trouvé charmé autant par votre visage d ange que par votre personnalité si attachante.
Vous étiez allongée sur votre lit face à moi, vêtue d un simple tee-shirt couleur orangée qui ne couvrait que le haut de votre corps, ce qui au gré de vos mouvements me laissait tout à loisir de découvrir le reste de votre anatomie si plaisante à regarder.
A un moment vous vous êtes même levée me laissant de fait admirer votre plastique si avantageuse.
Humm....jolies petites fesses qui auraient bien méritées quelques petits sévices bien appuyés que de vous même finissez par m avouer n avoir plus reçu depuis plus de 6 mois ( quel gachis !!) et que le manque se faisait bien présent.
Intérieurement je souriais , de charmé je passais a excité mais, vous sachant si éprise, si amoureuse et surtout trop loin en distance de moi je n essayais même pas d aller plus loin, non pas par manque d envie.... Elle se faisait déjà bien présente...
Dans la conversation vous m avez dit faire peur aux hommes, le répétant même plusieurs fous comme pour me tester, ce à quoi, avec un grand sourire et droit dans les yeux je vous ai répondu ... pas à tous, pas à tous , deux fois pour bien vous signifier que je ne faisait pas partie de ceux là.
Et comme si vous lisiez dans mes pensées, de suite vous m avez dit qu il était inutile que je nourisse quelconques illusions à votre égard et que j arrivais trop tard.... ou trop tôt joli sourire à l appui.
Sourire franc, sincère, craquant !
Le court instant cam demandé s était transformé gentiment, au gré de nos discussion et petits délires en un long moment bien agréable.... 1:35 que nous étions là à discuter, il était bien tard ou très tôt, c est selon et la fatigue commençait à vous submerger , vous m en fîtes part, votre tête déjà couchée sur l oreiller tandis que vos paupières trop lourdes se refermaient sur vos yeux.
Après une dernière petite boutade nous nous sommes souhaiter une bonne nuit.
Merci beaucoup Petite Brune pour ce petit moment de plaisir en votre compagnie
Charmé de vous je resterai......
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Elle s appellait A...., plutôt grande,un petit peu plus que moi, brune, un corps d ancienne gymnaste à rendre un eunuque fertile, un vrai avion de chasse comme disent les adolescents.
En très peu de temps nous sommes devenus hyper complices, tant de points communs nous unissaient, cela en était même inquiétant, à ce point là je n avait jamais connu ça et puis aussi l humour , nos conversations tantôt softs , tantôt hard, tantôt sérieuses étaient presque toujours teintées d humour.
Entre les mails, sms puis au téléphonne, que d heure passées ne dormant presque plus dans nos discussions et découverte commune.
Elle habitait à près de 250 km de chez moi et entre mon travail et le sien il nous a fallu un certain temps afin de pouvoir fixer une date pour notre rencontre... La First One . Pourtant l envie était bien plus que présente et je crois même que si nous avions pu on l aurait fait dès les 1 ers jours.
Le grand jour arriva enfin, ne tenant plus elle decida de venir en voiture me retrouver.
Elle avait à peine retirer son doigt de la sonnette que déjà je lui ouvrais la porte et je suis resté planté là quelques instants, sourire idiot rivé aux lèvres tant sa beauté m a subjugué, elle me souriais également puis je l invitais à entrer tout en la débarrassant de ses affaires.
Puis je lui pris la main l attirant vers moi , nos corps se touchaient déjà , et je déposais un petit baiser sur ses lèvres suivi d un long, tres long baiser passionné puis fougueux, nous sommes restés ainsi debout à nous embrasser pendant de longues minutes.
Quel plaisir !! Elle embrassait divinement.
Puis je lui ai propser une petite accolade qu elle s est empressée d accepter .
Tout en continuant de discuter et nous embrasser, nous sommes passés à table.
A la fin du diner, les deux assis sur le canapé l un à côté de l autre je commençai a me faire plus entreprenant la couvrant de caresses et de baisers tout en la déshabillant doucement.
Son soutien-gorge retiré laissait à mon regard admiratif une paire de seins bien fermes que l on aurait pu croire ceux d une jeune femme, pourtant elle avait 50 ans mais personne ne les lui aurait donné. Mes mains et ma bouche attirées comme des aimants entreprirent de s en occupper illico, elle très sensible à ce genre de caresses gémissait déja bruyamment.
Je parcourais son corps méthodiquement tel un explorateur ne voulant surtout pas laisser m échapper un quelconque trésor en cours de route.
Arriver au niveau de son pubis je glissais mes doigts à l intérieur de la couture de son string et les ai fait coulisser de tout son long tout doucement, elle frémissait, gémissait et quand, enfin je lui retirai ce minuscule rempart et posais doucement mes lèvres sur son intimité naissante elle sursauta tout en laissant échapper un petit cri de plaisir.
Je l aidai à se relever afin de passer à la chambre pour y continuer nos ébats .une fois sur le lit, les deux nus, elle entrepris une fellation dont elle se disais experte.... et bien croyez moi ou pas mais experte oui elle l étais bien, jamais je n avais été sucer ainsi , elle avait une façon très particulière, bien à elle de le faire mais c était bougrement efficace, puis de nouveau enlacés tout en s embrassant partout.... partout partout même et surtout là, elle gémissant de plus en plus fort, cette situation m excitait terriblement , puis profitant d un léger relachement de notre étreinte je descendis doucement jusqu à son sexe alternant baisers et caresse afin de lui prodiguer un cunni dont j ai le secret.
Et là , à peine avais-je commencé que déjà elle criait très fort de plaisir, quand je dis fort c est....fort !!
Au début j étais un petit peu décontenancé par l ampleur de ses cris si bruyants , pensant, je ne sais pourquoi aux futures plaintes que j allais avoir de mes voisins au petit matin, je me repris vite et continuais avec ma bouche et ma langue à lui procurer tout le plaisir qu elle en espérait.
Et d un coup elle se cambra et dans un cri profond, d une puissance inconnue de moi jusqu à présent, très prolongé elle eut son 1 er orgasme.
La puissance et la longueur de ce cri restera gravé à jamais dans ma mémoire.
Motivé comme jamais je ne baissais pas la garde et continuait de la lecher ainsi jusqu à son 3ème orgasme.
Cette fois-ci j ai fait exprès de " donner le maximum" afin que mes voisins tout comme moi gardent un souvenir mémorable de cette nuit si bruyante.
Après une courte pause , nous avons repris nos ébats , la faisant crier encore et encore et encore jusque tard dans la nuit.
Puis nous nous sommes endormis enlacés et fatigués.
Le lendemain matin au petit déjeuné, sourire radieux collé à ses lèvres elle me fit une révélation dont je ne peux que m enorgueuillir ....
Je savais qu elle était Bi elle me l avais dit lors de nos précédentes conversation et là elle me félicita pour mes cunni qui selon ses dires étaient du même niveau , voir mieux que ceux prodigués par ses copines lesbiennes.
En une phrase, une seule je me suis senti comme un dieu du stade , médaille d or accrochée autour du cou , j étais prêt à courir jusqu à Paris en la montrant à tout va !!!
Comme quoi Mesdames, un homme peut faire aussi bien , voir mieux que vous lol
........................................................................................................................................................................................................................... Suite ........
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Je suis toujours surpris quand je lis un Dom se plaindre de son soumis qui "ne se comporte pas comme il faut"...
De mon point de vue, c'est le soumis qui conduit une relation D/s, pas le Dom. Un Dom n'a que le pouvoir de le soumis lui donne (voir mes autres articles).
Sans un soumis, un Dom n'est rien : un Dom n'existe que grâce à un soumis. Le but d'un Dom est de répondre aux besoins de son soumis, pour aider ce soumis à explorer ses désirs intérieurs (parfois ignorés, refoulés), à se développer, à expérimenter de nouvelles sensations en toute sécurité. Bien entendu, le Dom doit aussi y trouver son avance en réalisant ses désirs, mais pas au détriment du soumis !
Abuser n'est pas dominer (si un soumis demande à être abuser, ce n'est plus de l'abus, puisque volontaire).
Manipuler n'est pas dominer (si un Dom arrive à ses fins en manipulant son soumis, c'est de l'abus pas de la domination).
Concernant la modification comportementale, ce n'est pas à mon sens de la domination. Il s'agirait plutôt pour moi de «coaching». Bien entendu, cela sous entend une demande de la part du soumis. Si les modifications comportementales, sont imposées par le Dom, ou obtenues par manipulation, il s'agit là d'abus de la part du Dom.
Une fois de plus, la communicaion est fondamentalle pour identifier la limite entre abus et domination. Il est du devoir d'un soumis de toujours s'interroger si les demandes du dominant correspondent à ses attentes ou si c'est le dominant qui tente d'abuser de la situation.
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Après une belle soirée riche en échanges de toutes sortes, préalable impératif de tous N/nos moments physiques en commun, ceci autour d’une bonne table que j’ai méticuleusement préparée en l’honneur de Sa venue dans mon humble demeure, mon Maître me donne l'Ordre de me préparer en vue de N/notre séance...
Je m'exécute, et prends un bain, me rase soigneusement... Je sais que mon Maître va procéder à une inspection minutieuse, et gare aux poils qui pourraient être restés... Je sors de mon bain, me sèche, passe du lait parfumé sur mon corps... Mes idées vagabondent... Bien que je connaisse parfaitement tous « les Amis » dont mon Maître se sert, je ne sais jamais comment se déroulera la séance... Il a le Don de toujours me surprendre... Je me coiffe soigneusement, me maquille telle qu'Il l'aime, refais mon vernis, qui se doit d'être toujours rouge et parfait sur les ongles des pieds et des mains... Je lisse ensuite une paire de bas résilles sur mes jambes, et enfile mes escarpins noirs... J'avais Ordre de me présenter ainsi devant Lui... mais j’ai aussi besoin de Le représenter du mieux possible, j’aime cela…
Je reviens aux pieds de mon Maître, m'y prosterne humblement comme j’aime à le faire pour N/notre plaisir et N/notre façon d’être... Il me demande de me relever, et me dit de Sa voix grave et autoritaire :
« Préparation pour Présentation et Inspection, Ma chienne... ! »
Des frissons me parcourent l'échine... Je recule de quelques pas, me positionne jambes écartées, regardant droit devant moi, mains derrière la tête, immobile... J'aperçois furtivement « tous les accessoires » de mon Maître méticuleusement placés sur la table du salon, parfaitement alignés...peut être dans l’ordre dans lequel ils seront utilisés… mes pensées foisonnent en cascade…
Confortablement installé dans le canapé, mon Maître allume une cigarette, en finissant de déguster Son Malt, tout en admirant de son oeil inquisiteur Sa propriété...
« Tournes-toi.. »
Je m'empresse de m'exécuter avec élégance et féminité comme Il lui plait à l’exiger, mains toujours derrière la tête...
« Penches-toi en avant, et ouvres-moi ton beau cul... »
L'Ordre est exécuté, mes mains sur chaque lobe de mes fesses ouvrant largement mes orifices... Il peut s'apercevoir que mon entrecuisse est déjà dégoulinante... J'aime me retrouver ainsi devant Lui, sans pudeur aucune, offerte, ouverte...
Il se lève, je Le sens et Le respire, Il tourne autour de moi, tout en palpant, caressant tantôt doucement, tantôt fermement, soit mon cul ouvert, soit mes mamelles pendantes dans cette position, soit ma chatte coulante, soit mon ventre... Il se saisit de mon rosebud, et me le place en bouche pour l’humidifier baveusement afin qu’il puisse, me dit-Il, se glisser aisément quand Il l’enfournera dans mon fondement... C’est chose faite… avec délicatesse et attentions constantes et je sens qu’Il prend plaisir à me l’introduire ainsi prouvant que tout de moi est à Lui…
Il me relève doucement, retourne s'asseoir, m'ordonne de me positionner à Ses pieds, tête respectueusement posée sur Ses genoux afin de mettre et refermer le cadenas de mon Collier autour de mon cou, gardant la clé, Tel le Gardien du Temple... Il y accroche la laisse, et me promène, remuant de la croupe ainsi dans le salon... Puis Il me fait sortir, toujours à quatre pattes, dans le jardin, et m’ordonne de me déverser là tout de suite, telle une bonne chienne...
Passées les premières secondes d'humiliation que je ressens au plus profond de mon être, Il me donne Son accord pour commencer à couler, car Il avait refusé toutes demandes préalables dans la soirée pour uriner, me forçant ainsi à en avoir vraiment envie le moment venu… Et c’est à quatre pattes que je me vide en quantité, sous l'œil satisfait de mon Maître, telle une chienne, Sa chienne... Mon ventre bouillonne...
Dans la douceur de la nuit, Il me fait me relever, s'approche de moi, me bande les yeux, et me pare d'un magnifique corset noir, qu’Il serre de toutes Ses forces… du coup, j’ai le souffle court, mais je crois surtout qu’une certaine appréhension m’envahit… Il positionne ensuite mes bracelets de cheville, qu'Il fixe sur la barre d'écartement que j'ai fabriquée sur Ses ordres, puis attache mes poignets à la monture de la tonnelle... Je sens Ses mains sur ma croupe et sur mes mamelles dont Il raffole comme Il aime à le rappeler, qui se tendent à la rencontre de Ses mains... et là, à ma grande surprise, Il me dit que la séance ne commencera qu’après une petite punition, en suspend depuis le début de la matinée...
Et d’un coup, je ressens une première morsure sur ma fesse gauche, dont la douleur m'est inconnue... Qu'utilise-t-Il ? Je compte les coups, sans omettre de L'en remercier... Dix coups me seront ainsi assénés, tout autant sur ma croupe que sur mes cuisses, la douleur est vive et brûlante... Je n'aime pas les punitions... Non pas par rapport à la douleur engendrée, mais du fait de ce qu'elles représentent : un manquement de ma part... Une insatisfaction de mon Maître... Depuis le 7ème coup, je ne retiens plus mes larmes qui coulent en silence le long de mes joues... Il se place derrière moi, et je sens la fraicheur apaisante de Sa main sur ma croupe... Il me félicite d'avoir fièrement reçu cette punition, utile pour mon Education, et je baise respectueusement Sa main qu'Il me tend... Je lui demande humblement ce qui a été utilisé pour cette punition, et, avec un sourire pervers, il me fait voir Sa ceinture qu'Il remet dans les passants de son pantalon noir... Il me détache, et N/nous rentrons à l'intérieur, prenant le temps de N/nous poser un peu avant de procéder à la séance proprement dite...
Il me veut nue, et veut voir mes yeux... Pour la première fois depuis que je suis à Ses pieds, je ne serai pas privée de la vue pendant une séance... Il ôte le corset, puis place un masque noir et blanc sur mon visage... Il me demande de me positionner au centre du salon, jambes écartées, mains derrière la tête... Il s'approche de moi, et positionne une chaine à pinces sur mes tétons érigés qu'Il avait préalablement fortement pincés et étirés auparavant, Son regard sévère et froid, mais rempli d’attention, que j’aime tant dans le mien... Assis dans le canapé, Il m’écarte encore plus les jambes et positionne des pinces d'un cintre à pantalon tordu, afin que mon sexe reste bien ouvert, et une pince en bois, avec un peu de difficulté sur mon clito gonflé et honteusement mouillé... Il se recule dans le fond du canapé en fumant une cigarette, tout en admirant Son oeuvre...
Puis, Il se saisit de son flogger, et commence à jouer Sa symphonie qui s'enchaine, sur mon dos, mes épaules, ma croupe, mes reins, mes cuisses... Je dois avouer que la douloureuse caresse du flogger est ma préférée (je suis toujours accueilli par une vingtaine de coups de flogger, à chacune de N/nos rencontres.) Sa mise en action fait naître un souffle profond et chaud, un peu lourd, qui atteint le corps avant les lanières. Puis leurs extrémités viennent frapper la peau, produisant une sensation de picotements rapides et léger qui se ressent en un dixième de seconde... Ces picotements et caresses réveillent chaque centimètre carré de mon corps.
Mon Maître a décidé de varier les plaisirs... Après une quinzaine de coups de flogger, (Je ne compte jamais le nombre de coups lors de séance), il prend Sa cravache et caresse cette fois, uniquement ma croupe qui se tend malgré moi, à la recherche de cette caresse... Petits coups rapides qui rougissent et chauffent mes fesses... L'humidité de mon entrecuisse s'intensifie... Il la vérifie constamment en introduisant Ses doigts dans ma partie qui ne demande que ça, d’ailleurs…
Il dépose Sa cravache, puis, se place devant moi en allumant deux bougies blanches, dont il laisse couler la cire d'une hauteur de 5/6 cm environ sur mes mamelles et mes tétons toujours pincés... Extase parmi les extases, plaisir des plus voluptueux, surpassant pour moi de très loin absolument tout le reste... Les premières gouttes sont un peu difficiles, j'ai l'impression que de petites épines, très fines, viennent titiller ma poitrine, aussitôt fondantes, formant de petites plaques chaudes. Gouttelettes brûlantes, dès qu'elles se posent sur moi, rafraîchies par l'air ambiant, elles se changent en un doux cataplasme apaisant. Je me cambre, tout en laissant échapper des râles de plaisir, Lui offrant mes seins en toute confiance... Une fois mes mamelles et tétons recouverts, Il approche les bougies de mes lèvres, afin que je les éteigne en soufflant délicatement dessus...
Il se recule, admire encore Son oeuvre, avec un sourire pervers et satisfait, et de Sa voix calme et posée, Il m’apaise… puis Il se saisit de Son long fouet en cuir...
C'est un serpent au venin puissant… j’ai encore beaucoup de mal à l’apprécier, car je le trouve beaucoup plus cinglant et mordant que les autres... j’ai besoin de faire plus d’effort pour appréhender, accepter et transformer les multiples douleurs qu’il procure. J’adore cependant son claquement et son souffle... ce son très chaud, sec et grave, comme chargé d’électricité qui me grise en quelques secondes alors que mon Maître ne m’a pas encore effleurée. Son souffle est magistral : c’est un serpent qui s’élance sur sa proie et qui siffle autour d’elle pour mieux l’hypnotiser, et l’enlace, jouant avec elle afin de mieux la happer, au moment où elle s’y attend le moins, s'enroulant autour de mon corps...
Les multiples sensations proviennent à la fois de la force que mon Maître emploie à appliquer ses touches, et de la façon dont il fait se coucher son fouet sur moi. Suivant la force des coups, et la manière de le faire claquer, cela peut être une morsure franche qui me transperce jusqu’à l’intérieur de mes os, j’ai le sentiment d’être percutée par des billes brûlantes...
Je ne peux, pendant la flagellation au fouet, m'empêcher de crier lors de l'impact, ni ne peut retenir mes larmes, malgré l'excitation montante qui est la mienne...
Pendant ces flagellations au fouet ou au flogger, mon Maître est venu plusieurs fois apaiser mon corps brulant avec la fraicheur de la caresse de Ses mains, déposant un baiser sur mes lèvres, et s'assurant de Ses doigts de mon excitation grandissante de part l'écoulement entre mes cuisses, m'ordonnant en même temps de respirer plus doucement...
Il a ensuite décidé de retirer la cire de mes seins à l'aide d'une petite brosse à ongles... Nouvelle perversité de mon Maître, qui la retire normalement à la cravache ou au flogger... Autre sensation découverte... mes mamelles étaient joliment rosées après ce traitement... Il a retiré d'un coup les pinces de mes tétons, et s'en ai saisi entre les doigts... Quelques cris se sont échappés de mes lèvres tant la douleur est fulgurante lorsque le sang afflue à nouveau...
Désirant en Maître Absolu prendre possession de Sa chienne, mon Maître a ensuite exigé que je me positionne à quatre pattes, et après avoir retiré le rosebud qu'Il avait introduit en début de séance, Il a investit sauvagement mon anus, m'ordonnant de réciter la table de multiplication de 2... Waow... exercice tout nouveau pour moi... Qu'il me fut difficile de me concentrer... A la fin de la table de deux, Il s'est retiré, puis a ré-investit mon anus en exigeant cette fois la table de 3... puis celle de 4, et enfin de 5... moi qui trouvait ces tables faciles, et qui ai eu un petit sourire lorsqu'Il a eu cette exigence... je me suis trompée 5 fois en tout... Bien entendu, je dus recommencer du début... Mon excitation et mon plaisir montant, cet exercice, à l'apparence simple fut plus difficile que je ne crus, et mes erreurs allaient être comptabilisés pour une nouvelle punition...
Il se retira, et ma bouche Lui servit d'écrin, honorant Son Noble Membre avec un plaisir non dissimulé, de la manière dont Il m'a enseigné, afin de Le satisfaire au mieux...
Il m'installa ensuite sur le tabouret du bar, et les yeux dans les yeux, me prit la chatte que j'avais littéralement dégoulinante, avec l'interdiction de jouir... Je dus lui demander plusieurs fois humblement avant que l'autorisation me soit accordée... N/nous avons partagé un orgasme intense et libérateur, les yeux dans les yeux, avant que me soit assénée ma punition des tables de multiplication pour clôturer cette séance : 5 coups de canne anglaise : un sur chaque sein, et 3 sur ma croupe, debout, mains derrière la tête...
A la fin de cette punition, j'ai humblement remercié mon Maître, en lui baisant la main, et me positionnant à quatre pattes, je Lui ai humblement demandé un dernier coup de canne anglaise sur ma croupe... très fort... J'ai aujourd'hui encore la marque de ce dernier coup...
Mon Maître m'a relevée, remerciée, et à déposer deux baisers dont je connais la signification : l'un sur mon front, l'autre sur mes lèvres...
Je Vous remercie humblement mon Maître, de ce merveilleux moment partagé avec Vous, dans la confiance et le respect les plus Absolus..
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Je me souviens de vous Madame.
C était il y a bien longtemps et pourtant, je ne sais pourquoi vous êtes restée bien présente dans ma mémoire.
Vous qui m avez surpris et ce à plus d un titre.
De notre rencontre éphémère qui ne devait pas l être.
Après plusieurs journées et nuits à discuter de manière intense sur le net, nous avions convenu d un rdv dans une brasserie.
Là nous avons beaucoup discuté et déliré , l ambiance était très plaisante , vous étiez aussi charmante qu agréable.
Après plusieurs heures vous m avez dit vouloir passer la nuit avec moi, et moi fatigué que j étais je vous ai répondu que pas ce soir car cela faisait plus de 24 heures que je n avais pas dormis après avoir enchainé 5 nuits d affilées.
Vous avez (plus) qu insisté et devant mon refus poli vous promettant de remettre cela nous nous sommes levés et vous m avez demandé de vous raccompagner avec ma voiture à la votre qui était garée bien loin. Naturellement j ai accepté et chemin faisant vous avez de nouveau essayé de me convaincre sans résultat.
Après m être garé près de votre voiture, j ai coupé le moteur et là vous m avez embrassé fougueusement en insistant de plus belle pour que l on passe la nuit ensemble.
Nouveau refus poli de ma part qui au lieu de vous freiner décupla votre motivation.
Là vous avez pris ma main pour la poser sur votre opulente poitrine qui ainsi offerte je ne pu m empêcher de caresser allègrement.
Nouvelle demande de votre part et nouveau refus insistant bien sur mon état de fatigue.
Et là vous avez repris ma main pour la glisser dans votre string sous votre jupe......
Vous étiez trempée... grave !!!!
Mon sang n a fait qu un tour et là je vous ai dit de suite : ok vous gagnez (lol)
Je me rappelle vous avoir caressé ainsi pendant tout le trajet, l excitation de votre humidité abondante provoquait en moi un état d excitation extrème .
Arrivé chez moi, la porte à peine refermée , nous étions déjà enlacés, nous embrassant et caressant sans retenue aucune.
Sans plus attendre je vous deshabillais tout en vous caressant et en vous embrassant.
Une fois nue,alors que nous étions toujours de pied, mes mains au plus près de votre intimité je commençai à la fouiller vigoureusement ce qui vous arracha un 1 er orgasme bien trempé.
Alors que j allais attaquer les choses sérieuses, ainsi, au beau milieu de la pièce, vous m avez demandez avec un grand sourire de passer à la chambre car vous vouliez un pti peu plus de confort.
Sans nous lacher et toujours collés l un à l autre nous y sommes allés et de suite vous vous êtes allongée à même sur le lit sans le défaire.
Ma fatigue avait disparue comme par enchantement , nous étions là nous caressant et nous embrassant passionnément , la situation était brûlante de notre excitation commune.
Sans même nous concerter nous avons entrepris un 69 endiablé .
Quelle excellente suceuse vous étiez et il m a fallu vraiment me contrôler afin de ne pas exploser dans votre bouche.
Vous vous étiez aux anges et gémissiez de plus en plus fort jusqu au moment ou après un début de contorsion vous avez de nouveau crié et explosé.
Explosé c est bien le bon mot , un long cri suivi de spasmes et là j ai découvert en pleine figure que vous étiez femme fontaine.
J en avais partout sur mon visage , le bonheur total.
Cette situation a décuplé mon envie et de suite je suis retourné vous faire un cunni qui a eu pour effet d avoir les mêmes heureuses conséquences.
Je suis passé de grand fatigué à fougueux passionné en un éclair , nous avons fait l amour plusieurs fois avec à chaque fois le même bonheur.
Au petit matin ,alors que le soleil se levait nous étions là, repus, assis dans le canapé du salon à discuter et délirer au sujet de cette folle nuit que nous venions de passer.
Je vous faisais remarquer qu il aurait été sympa de me prévenir avant qu elle était femme fontaine ce à quoi elle me répondit n avoir pas osé de peur que ça me gène.
Un comble !!!
Et là , contre toute attente , vous m avez dit que j avais été l un de vos deux meilleurs amants et que vous me téléphonnerez de temps en temps lorsque l envie de bon sexe se fera pressante.
Je suis resté tout d abord bouche bée , puis je me suis permis de vous remettre en mémoire l objet de cette rencontre, qui selon ma recherche devait être de longue durée et non éphémère.
Vous m avez répondu que vous disiez toujours cela mais qu en fait vous ne vouliez pas de vraie relation.
Touché dans mon orgueil avec ce sentiment désagréable d avoir été trompé je vous ai répondu qu il vous faudrait vous passer de mes services car je n étais pas de ceux que l on siffle lorsqu on en a envie et que bien que cette nuit fût à plusieurs titres super méga excitante je préfèrai arrêter là et vous congédiais sans plus attendre.
Une fois partie, j allais dans ma chambre et là oh desastre !!!
La couette était trempée , je la retirai donc , les draps l étaient également ainsi que le matelas qui du coup était lui aussi tout taché de votre abondante mouille.
Moi qui n aspirait qu à me coucher pour dormir j ai dû me résigner à aller sur mon canapé en priant que ça sèche très vite.
Oui je me souviens de vous Madame ,
De votre prénom je l ai oublié
Vous n étiez pas la 1 ère femme fontaine que je rencontrai ni la dernière d ailleurs mais bien celle qui m a le plus marqué !!
Cette histoire est authentique de A à Z
Je vous la devais bien Madame, vous que je n ai jamais oublié
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Voici mon humble avis du jour...Qui sommes nous pour juger!
Critiques, reproches... Cela fut pendant bien longtemps les signes de réprimande...
L'enfant que nous étions dispose de son environnement propre et qui sera l'origine de l'Homme (ou la Femme).
Aux travers des Erreurs commises... Volontairement... Ou pas! Tout le monde apprend et se forme...
La perfection n'étant en rien humaine, on prend initialement des remarques pour nous faire évoluer sans pour autant toujours les accepter.
L'acceptation ne peut se faire qu'au biais de deux choses!
- d'une confiance en la personne qui vous donnera son "conseils"
- ou aux travers d'un recul sur nos erreurs et son analyse.
Chacun se pourvoit alors de son propre avis sur la chose...
Complexité de l'Age avançant et alors de l'étude environnemental... L'enfant ouvre les yeux et de par son vécu va comparer son monde...
Rien de tout Blanc ou Noir mais la nuance des gris qui nous entoure.
L'opposition esprit/réalité déclenche des lors un conflit. La notion de morale se forme et le libre arbitre s'ensuit...
La logique n'a parfois plus de sens car nos raisons varient en fonction de chacun.
Les actes de chacun ne sont alors pas toujours compris, Parfois même subit comme un choc malgré la logique initiale de l'auteur.
Quid du Jugement! Qui sommes nous pour dés lors intervenir. Juger.
Nul n'a ce pouvoir sur autrui! Nul n'a le droit! Nul ne peut avoir la prérogative de pouvoir Juger!
Viendront les commentaires sur les désaccords (car nous sommes tous bel et bien différent... ) d'une mère sur son fils... D'une victime sur son agresseur... Tous les sentiments d'injustices et de vengeances.
Et je vous l'accorde, lecteurs que vous êtes... Une sanction se doit d'avoir lieu après chaque dommage.
Œil pour Œil... Dent pour dent...
Mais ou cela mène?
Cela ne permet en rien d'évoluer. Je me détourne du sujet mais c'est pour pourtant la meilleure manière de répondre au préjudice et donner le jugement le plus impartiale...
Sans attention, signification, sans jugement... Comment évaluer l'importance d'un évènement?
A vous de juger!
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Il faisait encore bon en vendredi de fin août. Une petite brise accompagnait l'été crépusculaire. Cela arrangeait bien mon cas, je n'avais ni trop chaud ni trop froid sur ma motocyclette anglaise. Je me dirigeais vers les appartements de Dame Saphire, mon sac en bandouilère, situés quelque part dans un quartier tranquille de la ville de S.
La résidence de Madame n'était pas difficile à trouver, en face de l'immeuble se trouvait une forêt qui annonçait la fin de la zone urbaine. Je garais donc ma moto en face de l'immeuble beige de trois étages . Après avoir retiré mon casque intégral je me dirigeais vers la porte d'entrée en métal et m'apprêtais à appuyer sur la sonnette qui répondait au nom de Madame S. J'eu la surprise d'entendre une voix féminine et un peu lasse:
-C'est ouvert, et vous avez trois minutes de retard.... C'est au troisième étage, la porte est ouverte.
Je me hâtais de prendre l'escalier et de trouver la dite porte, et y toquais enfin. Dame S. me dit d'entrer, de bien refermer la porte, d'enlever mes chaussures et mes chaussettes et enfin de la suivre au salon. Ce que je fis, tout en gardant mon sac. Le couloir était fait d'un parquet en chêne gris, et les murs étaient également gris, mais de ce gris clair qu'on peut étrangement trouver chaleureux et agréable à l'œil. Cela semblait être un leitmotiv que l'on retrouvait dans le salon, dont le mobilier était moderne, mais classieux. Rien à voir avec les promotions d'une enseigne scandinave reconnu, le design contemporain à l'italienne primait.
Dame S. m'ordonna de poser mon sac et pris ses aises sur une méridienne ovale en cuir capitonné beige, et dont l'assise et le dossier formaient un bloc qui s'arrêtait au tiers de de l'ensemble, et croisa les jambes. Je pouvais enfin contempler mon hôtesse, elle était gironde, dans le genre qui était encensé au dix-neuvième siècle ainsi que dans les représentations réalistes de la Renaissance, son visage, me rappelait celui de Tarja Turunen, avec la mâchoire moins agressive et des yeux vert-de-gris. Ses cheveux foncés mi-longs et relâchés parachevait le tableau. Elle portait une robe que je devinais être en cuir ou en simili qui laissait apparaître ses jambes mises en valeur par une paire de bas tenues par des jarretelles, alors que ses pieds étaient protégés par des escarpins noirs dont les extrémités de l'avant et les rebords étaient blancs comme le petit nœud papillon qui les ornait au niveau des orteils. Son ventre et sa poitrine étaient maintenus par un corset noir avec des motifs représentant des roses et des crânes. Elle était très désirable et imposait l'obéissance absolue par son aura.
-Déshabille-toi, et mets tes frusques dans le couloirs, m'ordonna-t-elle d'un ton autoritaire.
Complètement soumis à sa volonté, j'obéis et retirait plus ou moins adroitement mes vêtements et les posais dans le dit couloir.
J'eu ensuite la bêtise de vouloir ouvrir la bouche et d'arborer un sourire. Je n'eu pas le temps de dire un premier mot, qu'elle me fit signe de me taire, d'un doigt sur sa bouche et dit:
-Tu n'as pas à m'adresser la parole si je ne te le demande pas. Tu es sensé savoir comment te comporter, alors cesse de faire l'idiot, tu es là parce que je suis bien bonne de te laisser ta chance de me prouver que tu es mesure au minimum de me distraire. C'est clair?
-Oui, répondis-je les yeux baissé et dénudé.
Elle se leva et vint prestement vers moi, approcha son visage du mien et me tira les cheveux, en demandant, visiblement irritée:
-Oui qui? Tu crois que je suis ta copine? Ou un clown peut-être?
Elle me relâcha les cheveux et regagna sa méridienne.
-Oui Madame, je ne voulais pas disconvenir aux règles de base, baragouinais-je, confus.
-Maintenant tu vas te mettre à genoux et me jurer obéissance absolue. Je vais faire de toi un esclave à mon service. Tu seras ma propriété. Mais si tu ne fais d'effort je te jetterai comme on jette une ordure dans les poubelles, tu n'es pour l'instant rien de plus pour moi, mais je crois que je pourrai tirer quelques plaisirs à te mettre à mon service. Alors pour la première et dernière fois, es-tu sûr de vouloir devenir mon soumis et ma petite putain, de m'appartenir corps et âme, et de faire au mieux?
-Oui Madame, je le désire ardemment, répondis-je à genoux et ému aux pieds de Dame S.
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Tu te trouvais là au beau milieu de ce chemin,
Qui tu t en doutais n étais pas sans fin
Allongée, nue , ventre à terre
De mes chaussures tu en sentais le fer
A tes cotés debout je me tenais
La laisse qui nous unissaient pendait
De ramper à même le sol je t ordonnais
Quelques dizaines de mètres suffisaient
Dans la douleur et dans la boue
Ta volonté ne se joue
Au détour d un virage apparut
Mon choix voulu
De sa verte couleur
On n en voyait pas la douceur
Un coin remplit de hautes orties
Qui allaient , je le savais te redonner vie
Ton regard effrayé touné vers moi
N en fût pas récompensé comme il se doit
De tirer sur la laisse en cette direction
Plaisir je me fît d attirer ton attention
Et d une voix autoritaire et sans appel
T ordonnais d y aller sans querelle
Afin de te faciliter la tâche
Je t enlevais ton attache
Et dans un élan d extrème bonté
Tu te plias à ma volonté
Ne voulant pas l exercice trop facile
Te bander les yeux je donnais dans le mille
A 4 pattres te fît mettre
Afin que les morsures enfin pénètrent
Chaque centimètre de ton corps rétif
Pour que tu le sentes plus actif
De douleur tu poussas un cri
Lorsque le premier mètre tu fîs
De te protéger ,les mains en avant tu essayas
De te passer les menottes me motiva
Tes larmes ,à flots coulaient
Mais fermé à tes suppliques, je te retenais
Ton corps se couvrait de piqures
Qui ressemblaient presque à des morsures
Plus que cinq mètres te dis-je
Juste encore quelques tiges
Au sortir de ce douloureux parcours
Tu me dis dis que tu m aimeras toujours
Après tant de souffrances
Tu voulais ta récompense
De te prendre dans mes bras ne me fîs prier
Telle était ta volonté
Fier de toi
Je te le dois
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Il était une fois une fille sans joie,
Qui bien que gardant la foi
De ses rêves jamais enfouis
S en allait sous la pluie
D un pas rapide elle avançait
Sans se retourner jamais
Vers son destin
Qui était au bout de ce chemin
Son choix étant fait
Point elle ne doutait
De que sa vie devait changer
Afin de ne pas sombrer
De retour en arrière il n y en aurait point
Elle se voyait déjà très loin
Sa libido de s exprimer voulait
A son maximum elle s exprimerait
De limites ,d en avoir elle s en voudrait
Que de ne pas en avoir ,de plaisirs elle en attendait
Ce n est pas donné a tout le monde
Même en y regardant des kilomètres à la ronde
Que de vouloir passer
sans plus douter
De fille sans joie
A fille de joie
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Enchainée vous l étiez depuis la veille
Ainsi vous êtes restée sans sommeil
Attachée tout contre cet arbre
Vous en avez versé des larmes
Si dure était l écorce
Qu elle vous laissait sans forces
Ainsi laissée profitant de votre punition
Votre retour sera bien dans la soumission
Votre dos lacéré
Par tant de coups de fouet
De par ses douleurs vous relançait
Presque sans arrêt
De vos lointaines pensées
La punition faisait effet
Un souvenir sans cesse vous revenait
Votre désobéissance jamais se renouvellerait
De m implorer vous le voulez
Pour ne pas devenir mon boulet
Entre deux larmes mon pardon vous le demandiez
Tout en me promettant ne jamais recommencer
Ma clémence vous l accordait
Contre promesse que vous ne recommenceriez jamais
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