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Rnbi

homme soumis. 65 ans. est célibataire.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 11/03/21
Je me souviendrais longtemps de ce 16 février où Maîtresse m’a annoncé : «je suis officiellement Ta Maîtresse. Rnby tu es à moi». Je deviens son soumis, son maso, sa propriété. Je l'ai tellement désiré que j'en deviens fébrile, la peur m'envahit. Peut-être ai-je pris conscience de la tâche qui m'attend. Respect et obéissance ne devraient être qu'une formalité pour moi qui la vénère, et bien non, je fais des bêtises ! Elle a beaucoup joui de moi, sa petite salope. Je ne devrais pas le dire car mes sentiments passent au second plan, mais j'ai aussi beaucoup joui de cette intense domination aux pieds de Ma Maîtresse et de toutes ses pénétrations lors de cette fameuse première nuit. Je reviens à ma niche empli de joie. Bien sûr Maîtresse est la seule à posséder la clé de ma cage me privant ainsi de cette jouissance masculine mais je sais que ma chatte m'apportera bien plus de plaisir. J'avoue ma naïveté car Maîtresse n'est pas du genre à laisser son soumis dans son égoïste petit confort. Je reçois très vite, comme une claque, le nouveau défi de Maîtresse : "Je garde la clé et tu gardes chaste ta petite chatte. Tu mets un plug que tu n'enlèveras que pour faire tes besoins"   Aïe aïe aïe abstinence absolue, je palis. Plus aucune jouissance sans la moindre idée de la durée. Je devine bien ses sourires tant pour ce défi que pour la petite surprise qu'Elle me fait. Pas le choix, Ma Maîtresse a tous les droits. Les jours suivants ont été difficiles. L'impression désagréable d'être en manque permanent dès le 1er jour. J'ai vite caché tous les godes qui me faisaient jouir de plus en plus souvent. Éviter à tout prix toute tentation. J'ai bien tenté une esquive dès le lendemain mais tellement maladroite que mes fesses ont pris chères. Maîtresse n’a pas goûté à mon humour quand je lui ai dis que mes godes protestaient. "Qu'ils osent! " M'a t'elle répondu... Première erreur, j’ai fait parler mes godes pour obtenir sa clémence. «On veut notre jouet». Oh la la ! Que n' ai-je pas dit là... Je suis le jouet de Maîtresse et de personne ni rien d'autre. Deuxième erreur... Et en plus, je ne me rends pas compte de suite que l' orage s'est levé sur moi et je continue à faire parler mes godes : «Allez, au moins une fois par semaine Maîtresse». Quand enfin je prends conscience de mon erreur, sa foudre s'abat sur moi. Elle me fera payer cash ce manque de respect par une mémorable fessée au paddle et une humiliation publique, promené en laisse , la tête et les oreilles basses comme le petit toutou que je suis devenu. Ne plus pouvoir jouir et s’asseoir, je pense que Maîtresse doit beaucoup en rire encore maintenant ! Oui, le début a été dur. Mais la situation se normalise. Je bascule toute mon énergie sexuelle vers le plaisir absolu à satisfaire Ma Maîtresse. J'ai de plus en plus besoin de sa présence, de sa mansuétude. J'ai seulement l'envie de tout lui donner pour sa seule jouissance. Et si cela était Sa réussite de ma soumission ? Sa domination se met en place inexorablement lors de nos rencontres mais aussi à distance lorsque je suis à ma niche. Tous les canaux sont bons pour m'éduquer, me mettre à ses pieds, me surprendre... Aujourd’hui dimanche, ce seront les SMS de Maîtresse qui me donneront la leçon : Apprendre à répondre correctement à ses textos. -Tu es seul ma salope ? -Oui Maîtresse, je fais du repassage. -Repasse en regardant du porno de domination féminine bien hard pendant une heure. Je m'affaire avant de répondre correctement le « bien maîtresse» attendu et il est bien trop tardif à son goût. Elle me rajoute du temps... Je lui écris mon contentement à lui obéir mais : « Tu parles trop ! Mets-toi un bâillon». Je vais terminer mon repassage et mon ménage en bavant partout. J'ai fini par recevoir 30 minutes de plus de porno. Vous me direz rien de bien méchant, au contraire... Sauf que, quand vous êtes chaste de tous plaisirs et en cage , elle vous semble bien vite étroite. Je souffre tendu derrière ces barreaux. 11H15, Maîtresse me libère de ses contraintes mais Elle n’en finit pas pour autant avec moi ; un SMS suit dans la foulée. -J’aime quand tu manges dans ta gamelle. Manger dans ma gamelle aux pieds de Maîtresse est la place qui m’est dorénavant dévolue. Je prépare un petit repas adapté que je mange difficilement en lui adressant quelques photos pour lui faire plaisir. Maîtresse me laisse sur une promesse urticante. -Surveille l’arrivée des orties. Grâce au réchauffement climatique, ils arriveront sans doute plus tôt pour satisfaire ma Maîtresse. J’imagine déjà ses grands sourires quand viendra ce petit supplice
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Par : le 05/05/21
Événement pénible que cette pandémie avec ce maudit confinement qui l’accompagne. Le moral n’est pas au beau fixe. Mais Ma Maîtresse me fait quand même venir un après-midi. La joie m’envahit, je vais pouvoir être à ses pieds. Il n’est pas difficile de deviner le plaisir que Ma Maîtresse éprouve à retrouver son soumis car sans tarder Elle prend possession de mon corps. Elle me met à nu au propre comme au figuré. Je n’ai pas oublié mon collier mais Elle le réajuste. Je sais pourtant qu’Elle accorde une grande importance à la présentation. Je mets les bracelets de poignet et c’est encore Ma Maîtresse qui me les lie l’un à l’autre. J’ai peur qu’Elle se braque de devoir me reprendre si souvent mais la perspective de me frustrer la réjouit suffisamment pour échapper à ces foudres. Et pourtant, je n’échappe pas à la punition pour lui avoir proposé une photo perso trafiquée en rajoutant des marques sur mes fesses. Elle est tellement nature que ce genre de retouche ne peut que la contrarier. Quelle idiotie ! Je suis honteux. C’est avec la cravache que Maîtresse vient chercher un pardon que je tarde à lui donner. Ce n’est que par l’humiliation de ses crachats en pleine figure que je comprends enfin. «Ah quand même» soupire-t-Elle après que j’ai bredouillé «Pardon Maîtresse, je ne le referais plus jamais». Déjà mes fesses sont bien rougies ! La cravache est cinglante surtout sur mes cuisses et la punition est bien rentrée en moi. Ma Maîtresse ne me punit pas pour le plaisir. Elle préfère mon abandon par sa domination. Que je sois son jouet la comble bien plus que ces nécessaires punitions. Maîtresse sort ses cordes et m’attache à la rambarde de l’escalier. Un crochet anal lui sert de point de départ. Minutieusement, Elle tresse la corde entre mon corps et les montants en bois. Je sens monter son excitation mais Elle reste concentrée sur son bondage. Je fais de plus en plus corps avec le bois de l’escalier. Les mains au-dessus de la tête, Maîtresse termine par un mors de corde qu’Elle insert entre mes mâchoires. Je suis réduit au silence et totalement à sa merci. Ce n’est pas pour me déplaire. Je ressens parfaitement son plaisir montée par ses sourires, par ses questions auxquelles je ne peux répondre que par des grognements. Ma Maîtresse m’a demandé de lui apporter un objet de mon choix. Je lui proposais un long paddle en bois car, lui ayant présenté en photo, Elle m’avait dit bien l’aimer. Sur ce point pas d’erreur, ses impacts sur mes fesses m’en apportent la confirmation. Maîtresse est heureuse et elle arrive même à me faire rire entre les coups. Elle a pris le relais avec sa cravache qui atteint plus facilement les points sensibles de mon corps. La douleur augmente autant que le plaisir de Ma Maîtresse. Dans son excitation grandissante, elle me gratifie d’un beau sourire à travers les barreaux de la rambarde. Je fond littéralement de plaisir et j’essaye de lui renvoyer ce sourire tel un miroir. L’effet en est largement atténué par le mors de cordes. Je commence à piocher de plus en plus dans mes ressources, il me faut toute ma volonté pour ne pas sombrer et aussi cette envie de satisfaire Maîtresse qui est plus forte que tout. Maîtresse apprécie ma peau durcie par le paddle et la cravache. Elle me griffe le dos, me mord les flancs. Je la sens déjà tellement excitée que je suis presque surpris quand elle commence patiemment à défaire mes liens La pression retombe un peu. Je n’ai même pas le temps d’apprécier ma liberté de mouvement retrouvée que Maîtresse enchaîne par un nouveau bondage Elle m’attache les jambes, les poignets dans le dos et je me retrouve de nouveau à sa merci. C’est à genoux que je me présente difficilement face à Elle. Maîtresse me pose des pinces sur la pointe des tétons. Leur pose est malaisée car je n’ai pas de beaux gros seins féminins. Maîtresse les dominent néanmoins comme tout mon corps. La douleur s’estompe rapidement avec la privation de circulation sanguine. Elle m’arrache des gémissements que je ne peux cacher et son excitation reprend de plus belle. Maîtresse  tire la chaînette qui les relie, claque ses doigts et la cravache sur mes tétons hyper sensibles ; la douleur est vive. J'anticipe bêtement le  claquement suivant  en grimaçant. Maîtresse en rit et se moque : «Rnby, tu me fais quoi là à grimacer avant même que je te touche?  Tu me fais ta chochotte !». Waouh, je suis déjà ailleurs, manipulé comme une marionnette. Ma Maîtresse réussit malgré tout à m’arracher de nouveaux rires. Comment fait-Elle pour que ses supplices me paraissent si doux ? Elle est heureuse tout simplement. Je lui abandonne la maîtrise de mon corps. C’est à la fois stressant et valorisant. D’un côté ,je ne sais jamais où cela peut aller avec une telle imagination et de l’autre je satisfais ses désirs. Aujourd’hui son imagination est débordante. Maîtresse se détourne finalement de mes tétons et décide de me faire couler  en secouant ma cage qui devient vite étroite. Mes couilles se remplissent, Maîtresse les serre mais je ne pourrais gicler, la faute à tous ces supplices assurément. Finalement, Elle m’arrache les pinces sur mes tétons par des mouvements vifs et saccadés. Mes tétons sont de nouveau hyper douloureux en retrouvant la vie. Ils n’ont pas le temps de souffrir , Maîtresse me presse  les testicules puis donne  58 pichenettes comme le nombre de jours de chasteté du moment. Je chavire complètement, je n’en peux plu tellement la douleur est vive. Arrivé à ce stade, Ma Maîtresse est comblée, Elle vit ces instants passionnément. Je me sens vidé, pas loin de perdre pieds mais trop fier pour lui avouer ou trop envie de la satisfaire, je ne laisse rien paraître et finalement je reviens sur terre. Maîtresse m’amène contre la banquette, pose ses talons sur mon dos, prends la cravache et le paddle. Confortablement installée, Elle me fouette les fesses intensément tout en prenant grand plaisir à me forcer à tenir une conversation sensée. A chaque impact douloureux, ce sont des «Aïe» de plus en plus fréquents qui coupent mes phrases. Ma Maîtresse en sourit de bon cœur, Elle en profite pour accélérer les coups de cravaches avec force maintenant. La cravache claque sèchement sur ma peau rougie. L’excitation de Maîtresse est grandissante et encore plus forte quand j’implore sa pitié. Et pourtant le rythme ne faiblit pas, mes aïe de plus en plus bruyants ne laissent pas de doute sur mon ressenti. Maîtresse prend bien trop de plaisir pour s’arrêter là. Dans son emballement, Elle me retourne sans ménagement et me chevauche avec passion. Je ressens cette incroyable ivresse, comme une véritable transe et je ne veux surtout pas que cela s’arrête. Je suis son objet. Mes fesses deviennent sa planche de jouissance, Elle s’accroche sur mon dos en me griffant profondément. Son excitation est tellement communicative que je commence à gémir. Maîtresse m’intime le silence «tais-toi» car ces moments de passion lui appartiennent, même si Elle m’entraîne dans son sillage. Je serre des dents pour que cet emballement ne s’arrête jamais. Et puis Maîtresse lâche un grand soupir en s’abandonnant de tout son poids sur mon dos. L’émotion retombe et je n’ose pas bouger de peur d’interrompre ces moments de pur bonheur. Maîtresse se relève calmement. Mon cœur bat la chamade. J’ai atteint des sommets émotionnels par le simple fait de participer à l’excitation de Ma Maîtresse. Elle a une nouvelle fois obtenu mon total abandon. J’ai capitulé à ses pieds et je n’ai plus de force. Elle m’a tout pris et je n’ai surtout pas résisté. Ces heures ont été intenses et malheureusement l’horloge humaine va bien trop vite dans ces moments là. Je dois la quitter à contre cœur, tellement je suis comblé d’avoir vécu ces précieux instants et d’avoir servi ma sublime Maîtresse.
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Par : le 03/01/22
Ma Maîtresse m’a fait un grand honneur. Elle me convoque à Ses Pieds pour ce réveillon façon Munch and Play. Elle m’annonce également un cadeau ; la pression monte d’un cran ! La place que m’accorde Ma Maîtresse est déjà un cadeau que j’apprécie à sa juste valeur alors qu’a-t-Elle pu imaginer de plus ? Le timing de Maîtresse est parfait. Elle me fait composer le code de la porte à pile 20 heures. Elle entre parfaitement à l’aise avec nos hôtes et les convives déjà présents. Il faut dire que la plupart sont les habitués des Munchs de l’année et que c’est un plaisir de se retrouver. C’est là que Ma Maîtresse m’annonce mon cadeau avec un grand sourire : "Rnby, pour ce dernier jour de l’année, je t’autorise à manger à table avec tous le monde" Pas de gamelle, de regards baissés, d’interdiction de parler, rien de ma condition de soumis …. Waouh, c’est un vrai cadeau ! Malgré ma petite liberté, je réussis à enchaîner les erreurs qui ont le don d’excéder Ma Maîtresse. J’ai un peu progressé, compris ma place et pourtant, je gaffe toujours beaucoup trop. Ma liberté du jour devrait me rassurer mais je suis complètement déstabilisé. Je met un temps fou à profiter du beau buffet préparé par nos hôtes. Assez parlé de mes états d’âme qui ne sont qu’accessoires. L’ambiance est détendue tout le long de cette première partie et les rires vont bon train. Pas de jugement, que du partage sans arrière pensée. Chaque convive apporte sa pierre à l’édifice de la convivialité. Il faut dire que c’est la première fois que je suis à hauteur des participants. Merci Maîtresse, par Votre bienveillance, de me faire participer à ces moments festifs. Je reste attentif aux besoins de Ma Maîtresse et je suis heureux de pouvoir lui donner satisfaction. La nuit s’avance et V-----, soumise enthousiaste, ne manque pas de chauffer l’ambiance par sa spontanéité. Aucun tabou et son sourire communicatif lance la soirée «jeux». Le temps s’accélère seulement interrompu par les cris, les jouissances… Il y aura des fessées, des cordes, des badines, des fouets, des aiguilles, des marques dans des scènes toutes plus passionnantes les unes que les autres. Ma Maîtresse a une présence toujours aussi impressionnante. Je redeviens son assistant l’espace de quelques jeux avant qu’Elle me rappelle à Ses Pieds pour la satisfaire. Elle prend une badine et me demande d’en choisir une autre ainsi que la zone du corps à fouetter. Elle choisira la sienne. Je dois présenter tour à tour la partie de mon corps qu’Elle me dicte pour recevoir les badines. C’est de plus en plus fort de plus en plus rapide. J’avais déjà repoussé mes limites à ce qui me paraissait être un butoir infranchissable mais Ma Maîtresse me pousse encore plus loin. Son Sadisme assumé la pousse à aller chercher Sa jouissance sur mon corps, au plus profond de mon âme. Rien ne saurait l’arrêter sur ce chemin et surtout pas mes peu convaincants «Pitié Maîtresse» qui se perdent sous les claquements des badines. Ses ordres font passer la douleur au second plan. Priorité au plaisir de Ma Maîtresse. L’environnement m’échappe, je suis exclusivement la chose de Ma Maîtresse. J’aime ressentir Son plaisir, Ses vibrations. Au bout du bout, Elle me console, des larmes ont mouillées mes yeux, Elle me fait rire et je quitte à regret son emprise. Cet épisode m’a fortement marqué aussi bien sur la peau que dans ma tête; Je suis Sa marionnette et je n’ai qu’un but, suivre Ses fils imaginaires qui me dirigent. Je ne suis plus moi, seulement Le prolongement de Ma Maîtresse. Le don de moi est largement dépassé. Elle est venue tout simplement prendre ce qui lui appartient. Il y aura encore beaucoup de moments intenses qui laisseront de beaux souvenirs dans toutes les têtes. La nuit s’est écoulée hors du temps et nous fêtons la nouvelle année au dessert. Je prépare deux assiettes des délicieux gâteaux de S----- que j’apporte à Ma Maîtresse. Nous sommes le premier jour de l’année et Son Sourire me ramène à ma place. C’est à terre, mes mains sous Ses Pieds, que je lape le dessert. Je retrouve cette place avec soulagement, indescriptible bonheur qui s’amplifie quand Ma Maîtresse me gratifie de Ses restes. J’ai apprécié Son cadeau car j’ai pu plus facilement échanger avec tout le monde. Et pourtant je reviens à la place que m’accorde généreusement Ma Maîtresse comme le plongeur en apnée qui viens reprendre sa respiration après une longue plongée. Je revis ! Ma Maîtresse décide de terminer ce beau réveillon. Saluer les invités m’est de nouveau interdit, C’est Ma Maîtresse qui s’en charge. V----- a quand même profité d’un moment d’inattention de Ma Maîtresse pour contourner l’interdiction dans un grand sourire ! Chut, surtout ne le répétez pas, hi, hi. La parenthèse est bien refermée. Je fini la soirée par une belle bêtise en regagnant la voiture. J’ai tellement honte que je vais la garder en moi pour qu’elle soit l’ortie qui viennent me rappeler mes obligations vis à vis de Ma Merveilleuse Maîtresse.
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Par : le 27/02/21
Tout est parti d'un défi  que Maîtresse m' a laissé exprimer.  Je lui parle de sodomie aux légumes de plus en plus gros.  Elle retient l'idée et lance le défi 11:  DILATATION ANAL. "Choisis divers légumes, prépare ton panier et offre-moi ton cul..." Je suis enthousiasmé au plus haut point et très vite  Maîtresse me fait  préparer cette soupe  quelques jours à l' avance si bien que quand j' arrive à ses pieds il ne lui reste plus qu'à touiller...  J’ai eu l’impression de concrétiser un rêve, donner vie à un vagin. Je ressens intensément les envies de Maîtresse. Elle me lubrifie pour faciliter cet accès. Sa main s’enfonce, doigt par doigt. Mon petit trou est déjà  bien dilaté  d'un passage de navet, carottes, courgette et butternut mais Maîtresse doit encore le travailler pour qu’il engloutisse cette main fouineuse. Je me demande si elle n'avait pas ce plaisir en tête depuis le début , n’ayant pas à douter de mon entière dévotion... Si je pouvais, je l’aspirerais tellement j’ai ce besoin qu'elle me possède. Je m’offre, je me détends pour accueillir ma Maîtresse. Mes efforts commencent à porter leurs fruits, ma porte s’entrouvre. Sa main tournoie sur mon anus, repoussant un peu plus les parois de ce passage privé. De fait, sa pénétration, retardée autant pour son plaisir que pour l’esthétisme de la situation, me paraît douce. Je finis par ressentir le passage du poignet, sa main s’excite à l’intérieur. Elle tourne sa clé dans ma serrure. Cette sensation de prendre possession de mon corps l’excite beaucoup. A sa demande, je la guide contre ma prostate, zone très érogène. Je fonds littéralement sous ces subtiles caresses. Sa main s’agite en moi, insiste aux endroits les plus sensibles, fouille mes parois. Et puis elle continue la visite de sa nouvelle demeure avant d’en prendre physiquement possession. Sa main ressort, pénètre à nouveau ce tunnel qui s’ouvre de plus en plus. Maîtresse sait prolonger son plaisir. Et il monte, il monte ! Un frisson naît inexorablement, il m’enveloppe tout entier comme un aura. Je vibre crescendo, s’ensuit une explosion incontrôlable, un tremblement de terre, des aurores boréales me traversent et puis, brutalement, elles s’éteignent, je retombe sur terre. J’ai joui Maîtresse, vous vous rendez compte j’ai joui de votre pénétration !!! Je suis épuisé mais je sens Maîtresse  curieuse d’aller encore plus loin, elle ouvre mon côlon comme elle ouvrirait la porte d’une autre pièce de service. Elle en a découvert le passage secret. Je reprends des forces. Ces nouveaux va-et-viens en moi font monter son excitation, elle s’emballe comme j’aime. Je ne suis qu’un récipient qu’elle remplit avec la liqueur de sa jouissance. J’ai tellement lâcher prise que je me sens vidé, c’est drôle après avoir été rempli. Maîtresse se retire, elle me montre un trait fictif bien au-dessus de son poignet . Je t’ai pénétré jusque là me dit-elle avec un large sourire. Je ne dis mot mais je suis fier de l’avoir accueilli si loin.  Le fist est un moment de partage incroyable, très intime et maintenant je sais à qui j’appartiens.
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Par : le 21/09/21
J’attends patiemment ma pâtée étant sans doute le seul à ne plus sentir la puanteur de ma couche. Après quelques heures Allan m’apporte mon repas qui devient mon réconfort. Pour la boisson, je travaille en autarcie complète ; je pisse, je bois, je pisse, encore et encore. «Je vais te débarrasser de cette couche immonde, allez lève-toi» me dit Allan Il la prends et la jette prestement dehors tant elle pue. «Voilà ce sera mieux, tu seras plus facile à laver demain. Désolé, mais je n’en ai pas d’autre» Je me retrouve donc directement sur la planche. C’est dur mais enroulé dans ma couverture, c’est plus agréable que sur ce matelas immonde. Je m’endors vite. Le réveil sera très matinal. Allan vient me chercher comme d’habitude pour un petit déjeuner toujours exclusivement uro. Après cela, c’est le traditionnel décrassage au jet d’eau bien froide. Il me remplace mon rosebud par un plug avec une grande queue de renard. Il m’attache les mains dans le dos avec une paire de menottes métalliques et m’emmène en laisse jusqu’à un bel appartement. Il me laisse au milieu d’un grand salon plus aménagé pour le SM que pour la détente. C’est avec surprise que je vois entrer Maîtresse Célia. Elle congédie rapidement Allan et s’adresse à moi sur un ton courtois. «Aujourd’hui, j’avais envie de me détendre alors j’ai voulu voir si tu mérites d’être ici. Pour moi, tu n’es rien et tu n’as aucune chance de devenir mon soumis. Tu sera mon objet toute la journée et je te demande respect et soumission» Je suis au milieu de la pièce, tête baissée et je l’écoute sans broncher. Je m’apprête à lui répondre mais je reçois une gifle dans la seconde. «Je ne t’ai pas autorisé à parler alors tu évites de m’interrompre. Je veux que ton seul horizon soient tes pieds. Maintenant tu vas au coin, tête contre le mur» Son ton est posé, ferme et je m’empresse de lui obéir. Elle me fait écarter le jambes pour me fixer un écarteur au chevilles. Penché , la tête contre le mur. Ma position n’est pas des plus confortable. J’entends Maîtresse Célia s’éloigner et me lancer : «Je vais appeler quelques amies, alors SILENCE. Ta punition durera le temps de mes appels et mes amies sont assez bavardes» Je souffre déjà et l’avertissement de Maîtresse Célia ne m’annonce pas une fin prochaine de mon supplice. Elle passe un 1ère appel assez court et mon moral remonte. Elle enchaîne malheureusement un deuxième appel qui dure une éternité. J’ai le front écrasé, les cervicales de plus en plus douloureuses. Le silence qui suit la fin de son appel me rassure et encore plus quand je l’entends dire : «Approche» «Oui Maîtresse» .Avec les menottes et la barre d’écartement, c’est plus facile à dire qu’à faire. J’arrive à me redresser douloureusement et je la rejoins en dandinant. Arrivé à ces pieds, elle me libère les chevilles et les poignets. Son sourire est encourageant et je ressens son envie de prendre du plaisir. «Met-toi ici, écarte les jambes et lève les bras» Ainsi présenté, elle m’attache les chevilles et les poignets à des sangles qu’elle tend très fort pour m’écarteler. Maîtresse Célia a en main une canne anglaise très fine avec laquelle elle me fouette sèchement. Ces coups sont précis et les traces de la canne dessine bientôt un beau motif écossais. Je suis nu mais elle ne tarde pas à m’habiller de cette fresque géométrique qui vire du violet au rouge. Maîtresse Célia jubile et cela transpire sur son visage. Elle m’a gravé un body coloré des pieds aux épaules. Les traces que j’aperçois sont profondes et quelques gouttes de sang en suinte légèrement. Ma peau est chauffée à blanc. Contente de son œuvre, Maîtresse Célia me détache précautionneusement comme pour ne pas casser son objet. D’un geste autoritaire, elle me montre le sol m’intimant de me mettre à genoux, les mains sur la tête, le regard vissé au sol. « tu as bien sali le salon, alors il va falloir faire le ménage Ma Renarde» Elle sort d’un tiroir une jupette et un soutien-gorge de soubrette que j’enfile prestement. Elle me trouve également des escarpins avec talons de bonne hauteur. Maîtresse Célia m’humilie habilement avec ce costume et ma queue de renard. Pour accroître encore ma soumission, elle me demande d’aller chercher une balayette, une pelle, un seau plein d’eau chaude, une brosse et une serpillière. «Aller, à quatre pattes et frotte» C’est avec ces outils dérisoires que je dépoussière et que je lave le salon sous le regard de Maîtresse Célia qui me tangue régulièrement, «plus vite, c’est pas propre, frotte plus fort et puis regarde tout ce qui reste» après avoir donné un petit coup de pied dans ma pelle que je venais juste de remplir… Elle me chevauche, me cravache toujours plus sèchement. Elle rit de bon cœur en précipitant ma maladresse naturelle. Son rire est communicatif mais un coup sec de la canne anglaise me remet vite à ma place. Ouf ! malgré tous les efforts de Maîtresse pour que je n’arrive pas à laisser le sol nickel, je termine tant bien que mal mon épreuve de Sissi. «Bien, tu vas préparer le repas» Après avoir chauffé son déjeuner, je lui sers son repas sur la table de la salle à manger. Maîtresse exige que je me déplace exclusivement à quatre pattes. Entre les plats, je suis à genoux à côté d’elle. Je suis attentif à ce qu’elle ne manque de rien. C’est seulement par mon service impeccable que Maîtresse me fait l’honneur de ses restes dans une gamelle de chien. Je lape avec difficulté cette gamelle qu’elle a posé à ces pieds, la poussant subrepticement pour me rendre la tâche encore un peu plus ardue. A la moindre faute, Maîtresse me retire la gamelle tant que je ne lui ai pas donné satisfaction. Maîtresse est juste. Elle me caresse les cheveux pour me montrer sa satisfaction. «Bon toutou, tu peux débarrasser maintenant et faire la vaisselle» Je ne perds pas de temps pour lui obéir car à quatre pattes, c’est nettement plus lent ce qui exaspère vite Maîtresse Célia. La canne anglaise me le fait bien comprendre et j’accélère autant que possible. «Bien, dès que tu as fini, aux pieds dans le salon, je suis sur le divan» Je ne tarde pas à me prosterner à ces pieds. «Ôte moi mon escarpin et tend ta main» Elle me déverse une noisette de crème de massage au creux de la paume. Je commence à lui masser les pieds puis les mollets avant de prolonger avec l’autre pied de Maîtresse. «Tu es plus doué pour les massages que pour enlever les chaussures» Je baisse la tête à la fois flatté et honteux. Ma journée aux pieds de Maîtresse Célia continue, je vous la raconterais bientôt A suivre ….
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Par : le 13/11/21
Invariablement, ma gamelle est remplie de la même bouillie fade depuis le début de la sélection. J’en absorbe une petite quantité puis je m’écroule de fatigue sur ma couche. Toujours aussi tôt, Allan vient me chercher. J’ai intérêt d’être éveillé sinon le seau d’eau froide me sort brutalement de mes rêves. Allan m’annonce qu’aujourd’hui une présélection va être faite et qu’il fallait mieux que je sois présentable. Le petit déjeuner fût vite expédié et Allan me rinça vigoureusement avec son jet. Il m’insère un nouveau plug bien volumineux dans l’anus et accroche la laisse à l’anneau qui le termine. Enfin, mes mains sont menottées dans le dos et mes bracelets de cheville sont reliés par une chaîne qui me laissent suffisamment de liberté pour me mouvoir facilement. Prenant la chaîne, Allan me tire jusqu’à une grande pièce avec un large mur où quelques soumis sont déjà alignés, à genoux, la lanière de la laisse entre les dents. Chacun a un panneau où est inscrit un numéro et tenu par une cordelette passant derrière leur cou. Je les rejoins bien vite dans la même position et je porterais le numéro 4. De nouveaux soumis sont alignés contre le mur. Cela fait vente aux esclaves. Nous sommes bientôt une douzaine quand entrent dans la pièce Maîtresse Célia et les trois Maîtresses qui nous ont testé. C’est Maîtresse Célia qui prend la parole. -«Chers soumis, vous avez enduré de doux supplices et vos Maîtresses ont eu tout loisir de se faire plaisir. Comme vous êtes plus nombreux que nécessaire, nous avons fait un premier tri et les soumis éliminés disposeront de 30 mn pour reprendre leurs affaires et disparaître de notre vue. Pour les autres, Vos Maîtresses vous accorderons le bouquet final. Voyez, il y a 6 cages. Ceux qui seront retenus seront enfermés là. Pour les autres, c’est la porte au fond où vous serez conduit vers la sortie.» -«Que la sélection commence» C’est la Maîtresse aux cheveux rouges qui lance les hostilités. -«N°…. 8 ….éliminé, N°…. 11…... éliminé». Les pauvres soumis sont vite éconduits et les coups de cravache pleuvent pour accélérer le mouvement. A chaque annonce, mon cœur s’emballe C’est au tour de ma première Maîtresse de continuer. -«N°….2 ….dehors, N° ….7 …...dehors» Aïe, ne reste plus que 2 pestiférés. Je commence à croire en mes chances. Et maintenant, au tour de Maîtresse «Furie», de couper les têtes. -«N°…. 4…...», je suis au bord des larmes d’être éliminé si près du but et puis après un long silence, Maîtresse lance : -«Retenu, vite dans la cage» en m’accompagnant de son fouet que soudain je trouve bien doux. Très fier de son effet, Maîtresse Furie continue avec un grand sourire. -«N° ….1» un silence pesant s’installe.... «Éliminé». Ah le pauvre, j’ai bien cru qu’il allait s’évanouir, persuadé qu’elle allait l’envoyer dans une cage. -«N°…..10» Ambiance lourde, le 10 ne sait plus à quoi s’attendre -«Dans la cage et vite» Il ne se fait pas prier et s’effondre en pleurs après être passé par tous les états de stress. Les Maîtresses sont hilares. Maîtresse Furie passe le flambeau à Maîtresse Célia qui aura le plaisir d’annoncer le dernier éliminé. Recroquevillé dans ma cage et soulagé d’avoir été rapidement fixé, je plains les derniers candidats. Que va-t-elle inventer pour les maintenir sous pression ? -«N°….. 3». Il est prêt à s’élancer vers la sortie quand Maîtresse Célia lui lance «Joker» Elle le place sur le coté et lui dit -«Tu as encore une chance, je vais appeler les derniers soumis pour les envoyer vers leur cage. Si une des Maîtresses juge que tu vaux mieux que lui, elle criera «Joker» et tu prendras sa place» Terrible, Maîtresse Célia a trouvé la pire des situations pour ce pauvre soumis suspendu à un secours improbable et elle enchaîne : -«N°….5» Pas de joker des autres Maîtresses alors N° 5 s’empresse de gagner sa cage. -«N° ….6» Toujours pas de joker et il s’engouffre dans la cage sans demander son reste. -«N°…..12» Il atteint si vite la cage que je me demande si une Maîtresse aurait eu le temps de crier «Joker» avant qu’il n’arrive dans la cage ! -«N° ….9» et immédiatement un «joker» retendit comme un coup de poignard pour le 9 qui quitte la pièce complètement abasourdi. C’est Maîtresse Furie qui a choisi, plus sans doute pour les détruire moralement que pour un choix de raison. Toujours est-il que N° 3 se retrouve dans une cage alors qu’il avait pratiquement perdu tout espoir. Nos Maîtresses ont fait fort pour anéantir notre volonté. Maîtresse Célia reprend vite la parole. -«C’est vous les derniers élus. La finale sera dure. Pour aujourd’hui, vous allez subir l’épreuve de la canne anglaise. Le classement sera fait en fonction de votre degré de résistance avant que vous demandiez pitié.» -«Vous ne vous verrez pas et donc vous n’aurez aucune idée de votre place. Mais nous sommes gentilles, vous vous entendrez crier de douleur» Un premier soumis est emmené dans une pièce voisine et commence une interminable litanie de coups et de gémissements. Aucune idée de sa résistance mais nous avons aussi mal que lui. Les râles cessent et nous comprenons qu’il est arrivé au bout de sa résistance. Un deuxième, puis un troisième soumis est littéralement traîné vers la pièce à supplice car la douleur des uns use la résistance des autres comme s’ils recevaient eux mêmes les coups. Nous ne pouvons même pas nous boucher les oreilles avec nos mains menottées. Enfin vient mon tour. A peine dans la pièce, mes bras sont tirées vers le haut et je suis tout offert à mes fouetteuses. La canne est terrible car la douleur s’irradie dans le corps comme une balle de fusil. Les trois maîtresses sont là avec chacune une canne alors les coups pleuvent à une vitesse vertigineuse sans que la douleur ne se soit estompée avant le coup suivant. Je résiste autant que je peux sans même pouvoir compter le nombre de coups et c’est pratiquement désarticulé, les larmes dégoulinantes de mes yeux que je finie par crier «pitié» L’on me détache, j’en suis à peine conscient et c’est entre deux bras costauds que je serais traîné vers ma cellule et jeté sur ma couche. Malgré la douleur, je ne tarde pas à m’endormir tant la séance m’a vidé. A suivre
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Par : le 05/10/21
La journée avance et Maîtresse Célia profite longuement de mes massages. J’en ai les mains douloureuses et je verrais d’un bon œil un changement d’activité. Maîtresse Célia m’a sans doute entendu car elle me demande de la rechausser. Je le fais avec délicatesse même si ce n’est pas mon fort. Maîtresse Célia se lève et me demande de déplacer le banc d’auscultation jusqu’au centre de la pièce. Pendant ce temps, elle sort quelques cordes d’un grand buffet. Appuyé contre le banc, elle m’enserre complètement le torse jusqu’au bas des reins puis m’intime de m’allonger à plat ventre sur le banc. Avec une nouvelle corde. Elle prends mon ceinturage en plusieurs points, passe la corde sur une poulie au-dessus du banc puis la relit à une boucle que je n’avais pas remarqué dans le mur. En tirant fortement, je me sans décoller légèrement du banc. Me tirant les bras vers l’arrière, elle me bonde les avants bras l’un contre l’autre et les relis également à la corde centrale Utilisant une corde comme un mord Elle me tire la tête en arrière . Il ne lui reste plus qu’à faire une petite mise en scène pour garder un souvenir de son bondage. Elle allume quelques grosses bougies qu’elle glisse sous mon corps. Je commence à ressentir une grosse chaleur. Maîtresse me fait tourner pour m’immobiliser dans la pose qui lui convient le mieux. Éteignant les spots principaux, je ne distingue plus que des lueurs chancelantes venant des flammes des bougies. Cette ambiance convient sans doute à Maîtresse car elle a pris son téléphone et prends un tas de clichés. Je peux également admirer son œuvre à travers un grand miroir presque devant mon champs de vision. C’est jolie mais je commence sérieusement à souffrir car les cordes m’entrent dans les chairs Pour sa part, Maîtresse ne semble pas pressée de me libérer. Après le shooting photo, elle me fait tournée plus ou moins vite au bout de cette corde. Les bougies ont bien fondues, Maîtresse les prends et les vident sur mon corps. Je sens couler la cire sur mes côtes, mon sexe, ma raie ce qui lui donne une nouvelle idée. Elle va chercher un gros plug avec un cœur rose bien brillant comme base. Après l’avoir lubrifié, elle me l’enfile d’un coup sec, si l’on peut dire, dans l’anus. Je n’ai même pas eu le temps de crier ce qui ne m’était pas vraiment permis avec le mord que j’avais entre les mâchoires. Elle veut sans doute le sceller, car elle me verse une belle coulée de cire dans ma raie, me brûlant encore un peu plus. Maîtresse me fait virevolter et capte encore quelques images avec son téléphone. Je suis complètement à sa merci sans possibilité de bouger un cils, ni d’émettre le moindre son. Maîtresse replace les bougies sous mon corps. Un petit sourire sadique me fait bien comprendre qu’elle n’en a pas fini. Glissant ses mains sous mon torse, elle me pince les tétons m’arrachant quand même des gémissements. Elle se munie de pinces japonaise avec des poids reliés à une chaînette qu’elle me fixe sur les tétons. La douleur est vive bien qu’elle s’estompe assez rapidement. Maintenant Maîtresse décide de me débarrasser de la cire avec son martinet en cuir. Les parties de peau que les cordes ne protègent pas subissent un fouettage en règle avec à la clé de belle traces rouges Nouveau shooting photo qui me semble durer une éternité. Enfin, Maîtresse me libère les tétons pour une nouvelle vive douleur qui se dissipe quand le sang a repris sa place. Elle rapproche le banc sous mon corps et je sens que le supplice va bientôt prendre fin. Enfin presque, car mon poids a serré fortement les nœuds. Après m’avoir redescendu sur le banc, Maîtresse commence à défaire avec difficulté tous les nœuds de son bondage. Aïe, je n’avais pas imaginé qu’elle en avait fait autant. Enfin, mes membres retrouvent une relative liberté car ils sont tellement endoloris qu’ils mettent quelques temps à retrouver une douce mobilité. Maîtresse me libère les bras puis je torse me permettant de m’asseoir sur le bord du banc puis de retrouver le sol avec mes pieds. L’équilibre suivra avec un petit temps de retard. A sa mine réjouis, je vois que Maîtresse a appréciée. Elle a sans doute une bonne connaissance de ma souffrance car Maîtresse me demande de ramper et d’embrasser ses pieds profitant de ma position pour me gratter les cheveux. Je le prends pour un compliment et je récupère un peu d’énergie Me remettant ma laisse et l’attachant au banc, Maîtresse Célia s’éloigne tranquillement d’une élégante démarche. «Allan viendra te chercher pour te remettre en cellule, peut-être à bientôt. Passe une bonne nuit» «Merci Maîtresse» A suivre ... En marge de cette fiction, je dédie ce texte à Ma Maîtresse qui a su me faire aimer les cordes
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Par : le 10/09/21
Mon repas m’attendais dans ma gamelle et je ne fais pas le difficile. Je lèche jusqu’à la dernière goutte. Toujours enchaîné au mur, je peux quand même m’étendre sur ma couche. Je m’endort rapidement même si ce n’est pas le grand confort. Au matin, c’est un seau d’eau qui me réveille. Enfin, j’ai cru à l’eau mais l’odeur m’a vite convaincu de mon erreur et c’est un seau de pisse qui m’a été jeté à la figure. Quelle n’est pas ma surprise de voir ma Maîtresse de la veille tenant encore le seau. Elle est toujours aussi splendide tout de rouge vêtue. «Bonjour la lope, tu es prête ? -Allez debout , la journée va être chargée. -Bonjour Maîtresse» Je m’empresse de me lever malgré une vue bien embrumée par la fatigue. C’est Allan qui comme d’habitude me lessive au jet d’eau froide. Je grelotte et ma Maîtresse semble prendre plaisir à me voir trembler comme une feuille. Elle me passe la laisse sur mon collier et me tire prestement vers le couloir. Nous parcourons quelques dizaines de mètres et je me retrouve dans une grande pièce avec une sorte de porte de garage au fond. Au centre, trône un chevalet noir avec un carcan à sa tête. Maîtresse m’ordonne de m’allonger sur le ventre et de poser la tête et les poignets dans le carcan. Elle en referme la partie supérieure et la bloque avec un cadenas. Mes genoux sont posés sur deux plateaux le long du chevalet. Je me retrouve le cul bien offert à qui veut le visiter. Cela ne tarde pas. Maîtresse me le remplit de gel et c’est avec un gode monstrueux qu’elle force ma rondelle. Elle me dilate presque en douceur avant d’enfoncer le gode bien profond. Les allers et retours de plus en plus rapides me démontent complètement l’anus et je crie de douleur. Mes cris la motivent de plus en plus et je suis à la limite de lancer le safe-word. Elle a de l’expérience et ressens ma douleur qui la réjouis. C’est assez étonnant mais cette Maîtresse me pousse dans mes limites et ce n’est pas fini. Elle finira par me déstabiliser en me demandant l’heure qu’il est. «Je pense que nous sommes en milieu de matinée Maîtresse» Elle rit, je ne sais où me mettre. «Et bien nous sommes plutôt en fin d’après-midi. On t’a bien emmené à l’Ouest» rit-elle encore Elle enchaîne et me plante un crochet boule dans l’anus. Elle l’accroche au plafond et tir fort pour me relever le cul. «Ça va être bientôt le moment de nous prouver ta motivation.» J’entends un rideau métallique se lever et au fur et à mesure un brouhaha qui laisse bientôt place à des cris de surprise. En fait , je me retrouve sur une scène à la vue d’une petite foule. J’apprendrais plus tard qu’il s’agit d’un bar SM qui organise des soirées animées. La surprise laisse place à la curiosité et les clients ne bousculent pas leur conversation pour mon cul. Maîtresse s’adresse à eux en les invitant à venir tester les fouets, cravaches, roulettes et autres ustensiles. Le premier client à se présenter est une femme qui prends un long fouet pour me marquer les fesses. Je suis dans un état second sans vraiment réagir à la douleur. Ma passivité apparente a tendance à exciter les clients. Maîtresse veillent à mon intégrité en réfrénant les acteurs les plus virulents. Elle me retire le crochet et sélectionne un mâle qui ne tarde pas à me défoncer. Je n’est plus de douleur tant Maîtresse m’a dilaté et je fini même par avoir une sorte de jouissance. Le mâle laisse bientôt la place au strap-on de la cliente qui m’a bien fouetté. Il fait le tour du chevalet et me présente sa queue qu’il enfonce jusqu’au fond de ma gorge. Je ne peux pas refuser et c’est des hauts le cœur qui me remontent depuis l’estomac. Il se retire un peu et je dois lécher, sucer. Il lâche un grand jet de sperme chaud dans ma bouche, s’essuyant le gland sur mon visage. Un autre lui succède qui se branle pour m’envoyer un nouveau jet en pleine figure. Je ne sais pas combien de bites j’ai du engloutir, mais je dégoulinais de spermes. Pendant ce temps mon cul n’était pas épargné et je me suis fait baiser comme jamais je n’aurais pu imaginer. Je ne ressentais plus vraiment de sentiments tant j’étais lessivé. Maîtresse calma un peu l’ardeur des clients pour me laisser reprendre mon souffle. Elle savait parfaitement me gérer pour jje puisse durer selon son envie Certains en profitèrent pour me passer la roulette sur le dos, me griffer de la nuque au bas du dos. Plusieurs martinets ont été testés et je ne pouvait m’empêcher de gémir de plus en plus fort. Trois jeunes qui devaient enterrer une vie de garçon vinrent se branler devant moi. Chacun leur tour il venait se faire sucer puis repartait se branler un peu plus loin. Ils se firent gicler dans ma bouche avec un grand râle. j’ai du avaler tout leur sperme. La soirée doit arriver à son terme car Maîtresse prépare son bouquet final. Elle demande à 6 garçons de se mettre de chaque côté du chevalet. Elle leur demande à se branler et de gicler sur mon dos. Pendant cela, elle me gode l’anus pour profiter de l’explosion de sperme. Elle va être au première loge. Un dernier client vient à nouveau devant moi et se fait sucer. Ma bouche est devenue un masturbateur mécanique. Je sens les garçons se secouer sur mon dos puis d’un seul coup tout explose. Les garçons éjaculent sur mon dos mettant Ma Maîtresse aux anges pendant que je reçois une nouvelle giclée en pleine gorge. Je dois encore essuyer avec ma langue toutes ces bites avant que Maîtresse renvoie tout le monde au bar. J’entends la porte se refermer en même temps que les clients sifflent bruyamment. La porte s’est fermée et le calme est revenue. Maîtresse me libère et je reprends difficilement pied. Je suis gluant de partout et Maîtresse m’impose au final de me lécher tout le corps accessible par ma langue. Je n’ai jamais été autant humilié. Même un objet aurait pleuré. Maîtresse me ramène à la douche et elle me lave personnellement à la lance. Je suis plaqué au mur et j’ai du mal à supporter l’eau froide. Sans un mot, c’est Maîtresse qui me ramène à ma cellule. Ma gamelle est pleine mais aucun appétit après avoir absorbé autant de sperme. Maîtresse me rattache au mur et me pousse sur ma couche qui pue la pisse. «J’ai un dernier plaisir à prendre avant de te laisser» Et immédiatement elle me chevauche et me pisse dessus. Je dois en boire le plus possible mais ma couche en recevra sa dose. Après tout ce sperme, c’est un bain de bouche salvateur. Malgré l’humidité et la puanteur, je m’endormirais rapidement après que Maîtresse soit sortie de la cellule. A suivre ... J'ai bien déliré sur cette épisode et merci à Maîtresse de m'avoir redonner goût à l'écriture
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Par : le 10/01/22
La sélection touche à sa fin et déjà six soumis ont été renvoyés manu militari lors d’une présélection stressante. Nous restons six soumis à choisir par ces dames. Nous sommes amenés en laisse le long d’un mur gris, agenouillés,mains sur la tête. C’est Maîtresse Célia qui supervise la présentation de ses objets. Elle en profite pour faire claquer un long fouet près de nos oreilles, s’égarant quelquefois adroitement sur nos peaux nues. «Vos Maîtresses vont bientôt arrivées, baissez les yeux car il vous est interdit de les regarder. Je veillerais personnellement à ce que Toute erreur soit sévèrement punie» Nous n’en menons pas large et je surprends même mon voisin à trembler comme une feuille. Il faut dire que le fouet de Maîtresse Célia ne l’a pas épargné pour avoir eu justement l’imprudence de lever les yeux vers Elle. Nos trois Maîtresses arrivent rapidement . Elles sont très belles et en imposent par leur démarche élégante. Maîtresse Célia nous les présente car il nous faudra les appeler par leur nom sous peine de punition. La première est Maîtresse Félina, vous savez Maîtresse Furie, mais à ma grande surprise, elle est magnifique de prestance. Suit Maîtresse Zara, la rousse et Maîtresse Galia qui semble être la moins expérimenté. Maîtresse Félina ne perd pas de temps pour prendre le leadership de cette séance un peu spéciale. Elle souffle quelques mots à l’oreille de Allan qui court immédiatement hors de la pièce. En attendant , Maîtresse Félina nous passe en revue. Elle nous fait lever la tête avec sa cravache en nous intimant de garder les yeux fermés. Chaque tête est manipulée avec la cravache comme pour apprécier notre chair. Mon voisin qui tremble encore un peu plus se voit gratifier d’un crachat orageux. La foudre ne semble plus très loin ! Allan revient rapidement et lui tend une sorte de badine métallique équipée d’un encreur avec un grand «F» à son extrémité. Maîtresse Félina s’en saisit et marque au front trois d’entre nous. A ma grande surprise, j’en fait partie. C’est clair, Maîtresse Zara et Maîtresse Galia devront se contenter du reste du troupeaux. Maîtresse Félina se tourne vers ses deux consœurs qui l’écoutent sans broncher. Elle leur chuchote quelques mots puis les trois reines viennent devant mon voisin trembleur qui est presque en décomposition. Maîtresse Félina le traite de lopette et l’amène brutalement au sol. Ces deux collègues se régalent de le piétiner avec leur talon bien pointue. Il gémie comme un animal qu’on égorge. Maîtresse Félina n’y tenant plus, Elle le tire par les cheveux et le jette sans ménagement contre la porte. Elle lui crie d’aller gémir ailleurs et le pousse dehors à grands coups de cravache. La porte devient son seul bouclier et il ne lui faut que quelques secondes pour disparaître, humilié comme pas possible par les trois Maîtresses. Maîtresse Félina est bien consciente de l’effet de sa colère sur les autres soumis. Aucun de nous n’a levé les yeux. Retenant notre souffle en attendant que Maîtresse Félina retrouve son calme. Il ne lui faut que quelques instants pour cela. Après quelques minutes de discussion entre elles, Maîtresse Zara et Maîtresse Galia viennent prendre chacun un des soumis restant avec leur laisse pour les tirer vers la sortie. Tout était prévu par Maîtresse Félina et probablement arrangé entre elles pour s’approprier le soumis qui leur convenait. Nous ne les reverrons plus. Maîtresse Félina a fait le vide et reste seule avec ses trois soumis. Elle arpente majestueusement la pièce en se demandant sans doute à quelle sauce nous accommoder. Avec sa cravache, Elle nous amène au centre de la pièce. Toujours à genoux, dos à dos, Elle nous fait un savant bondage qui nous bloque ensemble, bras à bras, dos à dos. Allan approche un appareil que j’identifie comme un poste d’électro-simulation avec de nombreux branchements. Maîtresse Félina demande à Allan de nous installer une électrode sur nos bites et sur nos tétons. Elle s’installe au pupitre et lance la 5ème symphonie de Beethoven sur la sono de la pièce. Dès les premières notes, Elle envoie les décharges sur nos pauvres organes dans un mouvement de rotation qui nous fait sursauter à tour de rôle. L’intensité augmente proportionnellement à l’emballement de Maîtresse Félina porté par la musique. Son plaisir est palpable à la vue de nos tremblements et de nos cris. La sueur aidant, les décharges se propagent d’électrode en électrode, passant même d’un corps à l’autre. Nos cris écrivent les paroles sur la musiques et Seule Sa jouissance semble pouvoir arrêter Notre Maîtresse du jour. Nos bites, nos peaux se tendent et frémissent sous les impulsions de plus en plus continues dont l’intensité ne cesse de croitre. Maîtresse Félina nous arrache des gémissements de plus en plus aigus pour son plus grand plaisir. Elle finit par lâcher un cri de jouissance au bout d’une décharge intense qui s’arrête d’un coup au bord de la dernière note de la symphonie. A bout de résistance, nous sommes liquéfiés. Seul le bondage des cordes nous tient encore droit pendant que Maîtresse Félina exulte. Sur son ordre, Allan nous libère de nos cordes et des électrodes qui nous laissent une trace rougie sur la peau. Nous sommes complètement affalés au sol et Maîtresse Félina nous ordonne de ramper jusqu’à Ses Pieds pour La remercier et L’honorer. Elle joue encore un peu en se reculant dès que nous arrivons à Sa portée ; Elle en rit de bon cœur. Je ne suis pas le dernier et j’arrive à déposer quelques baisers sur Ses hauts talons. Elle apprécie mon empressement et me gratifie de quelques coups de cravache sur mes fesses qui les accueillent comme une friandise lancée à son chien pour avoir bien travaillé. J’articule un «Merci Maîtresse Félina» qui semble la satisfaire car je reçois de grands coups de cravache sur la plante de mes pieds qu’Elle a amenée à portée de mains. C’est douloureux. Je m’abstiens de crier car elle me l’a interdit par un ordre sec. Nous aurons tous droit à un traitement particulier qui nous arrachera quelques rictus supplémentaires de douleur. Cette séance a eu l’air de la satisfaire pleinement car Elle nous affuble chacun d’une queue de renard et d’un masque de chien. Marque de propriété, Elle nous met en laisse et nous attire vers la sortie. Nous sommes à quatre pattes légèrement en retrait, tenue en respect par sa cravache. Elle nous emmène à son rythme, sans précipitation. Sa sortie est si classe que Maîtresse Célia et Allan l’applaudissent avant qu’Elle ne disparaisse avec son équipage de toutous. PS. Il fallait une fin à cette fiction. Merci à Ma Maîtresse de m'avoir habilement suggéré de belles idées. J'ai cherché à les décrire au mieux pour La faire sourire ; Ai-je réussi ? :pray:
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Par : le 06/09/21
Maîtresse me fait venir à Ses pieds. C’est très reconnaissant que je me présente à Elle. Maîtresse m’attends avec ce petit sourire malicieux qui fait monter la pression dès le premier regard. Elle est belle, mystique dans Sa tenue noire. Déesse est la première pensée qui me vient à l’esprit. Vous accueillez Votre chose avec beaucoup de tendresse. Cet accueil l’a déjà bien déstabilisé quand vous la glissez sous Vos talons ! Votre emprise est immédiate et Vos tourments s’enchaînent, fluides et intenses. Vous l'avez piétiné, caressé, griffé...et tant d'autres choses. Pour ces tétons martyrisés, vous lui avez demandé : "C'est à qui cela ? A Vous Maîtresse" Et puis, pendue par les couilles, vous l'avez tiré par la Iaisse pour lécher Vos bottes. Avec empressement Votre chose a tenté de lécher. Mais vous l’avez frustré en reculant toujours plus pour que la tension des cordes lui brûle les testicules. Sa langue a fait reluire le cuir, enfin l'infime partie que vous lui avez accordée, l’humiliant à chaque petit pas en retrait. Vous l'avez fouetté avec sa propre ceinture pendant 60 secondes que vous lui avez demandé de décompter. Ce fût dur, l'envie d'abréger la souffrance en allant vite au risque de se tromper et de devoir recommencer. Les larmes ont coulées une première fois. Le cœur serré, vous avez relégué Votre chose dans un état primitif. Vous avez obtenu son abandon qui l’a précipité dans un état de soumission si profond qu’elle ne voyait, n’entendait que Vous Maîtresse Puis vous vous êtes emballé en la godant profond, humiliée car elle n'était pas aussi propre qu'elle aurait due être. Les larmes de Votre chose ont embuées de nouveau ses yeux. Vous êtes passé à ce fouet que vous aviez tressé. Quelques essais en variant le nombre de brins pour n’en retenir que 2 qui cinglaient vivement ses fesses. Une telle intensité a mis Votre chose à vos pieds. Elle ne pouvait que lâcher prise devant tant de force, tant de passion. A ce moment, Votre jouissance l’a récompensé de sa souffrance et à aucun moment, elle n'a cherché à se dérober. La douleur est devenue plaisir sous Votre joug. Elle s'est abandonnée, nourrie de Votre énergie. Vos crachats l'ont humiliés comme quand vous lui avez enfilé Votre gode jusqu'au fond de sa gorge. Elle a encore sucé, léché à se déchirer la bouche pour engloutir cette verge humide. Vous l'avez traité de salope, de chienne ; elle a acquiescé même si la honte l'a fait pleurer. Vous avez soufflé le chaud et le froid pour ne jamais lui laisser reprendre pied. Votre chose a souffert mais Votre sourire taquin l'a plongé dans un état second. Des moments inoubliables, des moments où vous avez extrait la quintessence de Votre chose Maîtresse.
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Par : le 21/12/20
La soirée était bien avancée mais Maîtresse Adèle ne semblait pas vouloir s’arrêter à ces préliminaires. Profitant que ses amies étaient bien occupées avec mes collègues soumis, elle nous entraîna à l’étage. C’est Maîtresse Adeline qui tenait la laisse et me tirait sans ménagement tandis que Maîtresse Adèle lui caressait délicatement les fesses. J’étais un peu jaloux de temps de délicatesse mais je me tut pour ne pas risquer les foudres de ma Maîtresse. Je fut jeté sur le lit, sur le dos, et pendant que Maîtresse Adèle m’attachait les poignets à la tête de lit, Son élève Adeline me noua les chevilles aux pieds. J’étais à leur merci bandeau et bâillon vinrent compléter la contrainte. A ma grande surprise, je n’avais pas peur et j’étais très excité d’être à leur merci ainsi. Les tortures arrivaient toute en surprise et ceci me fit bien bander. Je devinais que mes Maîtresses se délectaient de cette érection car je recevait des coups de badines sur ce sexe tendu. Des pinces ne tardèrent pas à garnir mes tétons. Je senti la douleur quand elles tirèrent dessus. Une chaîne devait les relier ensemble car la tension semblait égale. Elle relâchaient la tension puis reprenait un peu plus fort. Cela dura, mais je ne sentais presque plus la douleur jusqu’au moment où mes Maîtresses libérèrent les tétons. C’était un éclair de douleur mais je ne pouvais même pas crier ce qui rendit le supplice des plus jouissif. La badine continuait à torturer ma bite et mes couilles maintenant toujours cette érection un peu contre nature. Rapidement, je senti Maîtresse Adeline s’empaler dessus et faire les va-et-vient qui firent monter mon désir et surtout mon envie de jouir. Maîtresse Adèle ne perdait pas son temps et était venu se placer à califourchon sur mon visage. En glissant d’avant en arrière, la boule de mon bâillon devait bien l’exciter car je sentais son liquide royale me couler sur la bouche. J’essayais désespérément d’en capter la moindre goutte. Maîtresse Adeline finit par me faire jouir et j’éprouvais une grande fierté à avoir éjaculer en elle. Presque au même instant, je sentis l’orgasme de Maîtresse Adèle déjà par un soupir de satisfaction et par une éjaculation abondante. Moi qui avait toujours rêvé de faire l’amour à une femme fontaine, j’étais servi. Mes Maîtresses se détournèrent de moi, me détachèrent et m’entraînèrent dans un sorte de panier, probablement plus destiné à un chien qu’à un humain. Abandonner dans ce panier sans avoir pu me débarbouiller et sans qu’elles m’aient libéré de mes baillons, je me recroquevillais pour trouver un peu de sommeil. Malgré la fatigue, je devinais bien que Maîtresse Adèle continuait l’éducation de Maîtresse Adeline en la soumettant à ces caprices. Finalement la fatigue fut plus forte et je m’endormis comme le chien que j’étais devenu. Mes rêves m’avaient abandonnés et je devais encore dormir profondément quand je sentis le jet chaud d’un liquide que je ne mis pas longtemps à identifier comme l’urine de ma Maîtresse. Lestement, elle avait retiré mes baillons et m’intima l’ordre de tout avaler. Un fois soulagé, c’est maîtresse Adeline qui est venu se soulager dans ma gorge. Pas de doute, j’avais eu droit à mon petit déjeuner ; Champagne royal. Mes Maîtresses étaient ravies. Elles me traînèrent dans la douche, toujours avec ma laisse attachée où vous savez et je déchantais vite en comprenant qu’elle n’avait aucune intention de me laver à l’eau chaude. Je grelottais mais j’avais quand même la satisfaction de ne pas sentir trop mauvais. Le chien que j’étais devenu ne bénéficia pas de la serviette et bien entendu il m’était interdit de m’ébrouer. Je fus emmené sur une petite terrasse et ce sont les premiers rayons de soleil de la journée qui me séchèrent. J’avais froid mais j’avais une telle fierté d’avoir découvert ce monde sans aucune concession que mon cœur réchauffait mon corps. Depuis notre arrivée Maîtresse Adèle ne m’avais que peu parlé et je ne savais pas trop si j’avais été à la hauteur. Alors quelle surprise quand je la vis venir me chercher sur la terrasse et me féliciter pour ma prestation d’ensemble. « Je suis fière de toi me dit-elle, tu as été digne de ta Maîtresse » Vous n’avez jamais été envahi par un sentiment d’importance ? Et bien j’étais subjugué. Mais je retombais vite sur terre, à ma condition d’esclave. « Aujourd’hui, nous allons organiser un jeu de cache-cache dans le parc alors tu reste comme cela, tout nu comme Adam et Eve » me lança Maîtresse Adèle. A suivre
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Par : le 02/06/21
De retour de congés, je suis impatient d’être aux pieds de Ma Maîtresse qui a décidé  de me soumettre en extérieur.  Direction les bois où Elle a ses habitudes près de sa table de pierre. Elle avait tout prévu et m'a fait cueillir de très beaux orties bien piquantes. Maîtresse me fait préparer un  lit de feuilles d’orties où je dois m’allonger sur le ventre pendant qu'elle prépare ses cordes. Elle me ligote sur la pierre avec. Je ne peux plus bouger et Maîtresse prend possession de mon corps. Elle n’oubliera pas un centimètre carré de peau avec les orties. Les premiers instants sont piquants et je me donne pour que Maîtresse puisse extraire tous les plaisirs qu’Elle veut. Aux caresses urticantes des orties succèdent le sifflement du grand fouet que j’ai apporté à sa demande. Maîtresse le guide parfaitement et les coups s’abattent cinglant mes fesses, mon dos, mes cuisses. Je gémis rapidement de douleur et je sens que Maîtresse apprécie, Elle me transporte dans un lâcher prise rassurant et s’emballe de plus en plus. Maîtresse me débarrasse des orties avec le fouet.   Entre fouet, orties, sourire de Maîtresse et le  soleil, je ne sais plus bien qui me réchauffe le plus, mais j’ai chaud, très très chaud. La cuisson doit être égale de chaque côté alors Maîtresse me retourne en me libérant des cordes. Mon dos retrouve le lit d’orties et Ma Maîtresse me libère des orties du ventre avec le fouet. Entre temps, Elle m’a introduit un vibro dans mon anus. Je retrouve un grand plaisir car après 92 jours de chasteté, le vibro est mon premier plaisir anal. Maîtresse me traite de salope car je mouille comme une jeunette. J’ai encore droit a des belles séries de fouet et une fessée avec autant de claques que de jours de chasteté. Maîtresse se lâche de bon cœur et j’ai un peu de mal à suivre le décompte qu’Elle m’impose. Le fouet a bien souffert à tournoyer au dessus de mon corps  et Maîtresse l’achève en me fouettant avec ardeur ; il cède ! Un peu comme moi et je capitule car dans cet emballement final, la douleur m’irradie de plus en plus. Maîtresse termine en  venant chercher ce qu’elle  aime  obtenir de moi, des «Pitié, PITIÉ», le mot sacré qui me fait dépasser mes limites de plus en plus loin. Ma Maîtresse m’extrait ces «pitiés» du fond de mes entrailles car elles lui appartiennent. Le temps est encore passé trop vite. Vu son sourire, aucun doute, Maîtresse a apprécié. Je ressens ce plaisir qui m’imprègne également. Sur le chemin du retour, Maîtresse me dit que les orties me tiendraient compagnie cette nuit plus  quelques jours. Je confirme,  cette première nuit a été un enfer. Pas moyen de m’endormir sans des démangeaisons épuisantes. J’imagine le grand sourire de Maîtresse dans ces instants pénibles. Qu’est-ce que je ne supporterais pas pour Elle ?
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