Rnbi
par le 10/09/21
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Mon repas m’attendais dans ma gamelle et je ne fais pas le difficile. Je lèche jusqu’à la dernière goutte. Toujours enchaîné au mur, je peux quand même m’étendre sur ma couche. Je m’endort rapidement même si ce n’est pas le grand confort.
Au matin, c’est un seau d’eau qui me réveille. Enfin, j’ai cru à l’eau mais l’odeur m’a vite convaincu de mon erreur et c’est un seau de pisse qui m’a été jeté à la figure.
Quelle n’est pas ma surprise de voir ma Maîtresse de la veille tenant encore le seau.
Elle est toujours aussi splendide tout de rouge vêtue.
«Bonjour la lope, tu es prête ?
-Allez debout , la journée va être chargée.
-Bonjour Maîtresse»
Je m’empresse de me lever malgré une vue bien embrumée par la fatigue.
C’est Allan qui comme d’habitude me lessive au jet d’eau froide. Je grelotte et ma Maîtresse semble prendre plaisir à me voir trembler comme une feuille.
Elle me passe la laisse sur mon collier et me tire prestement vers le couloir. Nous parcourons quelques dizaines de mètres et je me retrouve dans une grande pièce avec une sorte de porte de garage au fond. Au centre, trône un chevalet noir avec un carcan à sa tête. Maîtresse m’ordonne de m’allonger sur le ventre et de poser la tête et les poignets dans le carcan. Elle en referme la partie supérieure et la bloque avec un cadenas.
Mes genoux sont posés sur deux plateaux le long du chevalet. Je me retrouve le cul bien offert à qui veut le visiter.
Cela ne tarde pas. Maîtresse me le remplit de gel et c’est avec un gode monstrueux qu’elle force ma rondelle. Elle me dilate presque en douceur avant d’enfoncer le gode bien profond. Les allers et retours de plus en plus rapides me démontent complètement l’anus et je crie de douleur.
Mes cris la motivent de plus en plus et je suis à la limite de lancer le safe-word. Elle a de l’expérience et ressens ma douleur qui la réjouis.
C’est assez étonnant mais cette Maîtresse me pousse dans mes limites et ce n’est pas fini.
Elle finira par me déstabiliser en me demandant l’heure qu’il est.
«Je pense que nous sommes en milieu de matinée Maîtresse»
Elle rit, je ne sais où me mettre.
«Et bien nous sommes plutôt en fin d’après-midi.
On t’a bien emmené à l’Ouest» rit-elle encore
Elle enchaîne et me plante un crochet boule dans l’anus. Elle l’accroche au plafond et tir fort pour me relever le cul.
«Ça va être bientôt le moment de nous prouver ta motivation.»
J’entends un rideau métallique se lever et au fur et à mesure un brouhaha qui laisse bientôt place à des cris de surprise.
En fait , je me retrouve sur une scène à la vue d’une petite foule. J’apprendrais plus tard qu’il s’agit d’un bar SM qui organise des soirées animées.
La surprise laisse place à la curiosité et les clients ne bousculent pas leur conversation pour mon cul.
Maîtresse s’adresse à eux en les invitant à venir tester les fouets, cravaches, roulettes et autres ustensiles.
Le premier client à se présenter est une femme qui prends un long fouet pour me marquer les fesses. Je suis dans un état second sans vraiment réagir à la douleur.
Ma passivité apparente a tendance à exciter les clients. Maîtresse veillent à mon intégrité en réfrénant les acteurs les plus virulents. Elle me retire le crochet et sélectionne un mâle qui ne tarde pas à me défoncer. Je n’est plus de douleur tant Maîtresse m’a dilaté et je fini même par avoir une sorte de jouissance. Le mâle laisse bientôt la place au strap-on de la cliente qui m’a bien fouetté.
Il fait le tour du chevalet et me présente sa queue qu’il enfonce jusqu’au fond de ma gorge. Je ne peux pas refuser et c’est des hauts le cœur qui me remontent depuis l’estomac.
Il se retire un peu et je dois lécher, sucer. Il lâche un grand jet de sperme chaud dans ma bouche, s’essuyant le gland sur mon visage.
Un autre lui succède qui se branle pour m’envoyer un nouveau jet en pleine figure.
Je ne sais pas combien de bites j’ai du engloutir, mais je dégoulinais de spermes. Pendant ce temps mon cul n’était pas épargné et je me suis fait baiser comme jamais je n’aurais pu imaginer. Je ne ressentais plus vraiment de sentiments tant j’étais lessivé.
Maîtresse calma un peu l’ardeur des clients pour me laisser reprendre mon souffle. Elle savait parfaitement me gérer pour jje puisse durer selon son envie
Certains en profitèrent pour me passer la roulette sur le dos, me griffer de la nuque au bas du dos.
Plusieurs martinets ont été testés et je ne pouvait m’empêcher de gémir de plus en plus fort.
Trois jeunes qui devaient enterrer une vie de garçon vinrent se branler devant moi. Chacun leur tour il venait se faire sucer puis repartait se branler un peu plus loin. Ils se firent gicler dans ma bouche avec un grand râle. j’ai du avaler tout leur sperme.
La soirée doit arriver à son terme car Maîtresse prépare son bouquet final. Elle demande à 6 garçons de se mettre de chaque côté du chevalet. Elle leur demande à se branler et de gicler sur mon dos. Pendant cela, elle me gode l’anus pour profiter de l’explosion de sperme. Elle va être au première loge.
Un dernier client vient à nouveau devant moi et se fait sucer. Ma bouche est devenue un masturbateur mécanique.
Je sens les garçons se secouer sur mon dos puis d’un seul coup tout explose. Les garçons éjaculent sur mon dos mettant Ma Maîtresse aux anges pendant que je reçois une nouvelle giclée en pleine gorge.
Je dois encore essuyer avec ma langue toutes ces bites avant que Maîtresse renvoie tout le monde au bar. J’entends la porte se refermer en même temps que les clients sifflent bruyamment.
La porte s’est fermée et le calme est revenue.
Maîtresse me libère et je reprends difficilement pied.
Je suis gluant de partout et Maîtresse m’impose au final de me lécher tout le corps accessible par ma langue.
Je n’ai jamais été autant humilié. Même un objet aurait pleuré.
Maîtresse me ramène à la douche et elle me lave personnellement à la lance. Je suis plaqué au mur et j’ai du mal à supporter l’eau froide.
Sans un mot, c’est Maîtresse qui me ramène à ma cellule. Ma gamelle est pleine mais aucun appétit après avoir absorbé autant de sperme.
Maîtresse me rattache au mur et me pousse sur ma couche qui pue la pisse.
«J’ai un dernier plaisir à prendre avant de te laisser»
Et immédiatement elle me chevauche et me pisse dessus.
Je dois en boire le plus possible mais ma couche en recevra sa dose. Après tout ce sperme, c’est un bain de bouche salvateur.
Malgré l’humidité et la puanteur, je m’endormirais rapidement après que Maîtresse soit sortie de la cellule.
A suivre ...
J'ai bien déliré sur cette épisode et merci à Maîtresse de m'avoir redonner goût à l'écriture
6 personnes aiment ça.
Lazarus
Bravo à toi pour ce texte magnifiquement écrit.Tu as réussi à me faire bander comme une chienne et je me suis mis dans la peau du du personnage.Que ferais -je sans toi.🐷😜👍👍
J'aime 10/09/21
Chastityslave83
Très bien écrit. Voici une situation qui donne envie! Merci du partage
J'aime 11/09/21