AndréasDomRude

Pluralité masculine. C'est grâce a ce moment que nous avons décidé de s'engager il y a 2 mois. On se taquinais par sms, et il m'a mise au défi de prendre en main lui et 3 autres hommes. Je lui ai dit non dans un premier temps, il a joué les déçus ça m'a piqué au vif et j'ai dit oui. À 4 pattes sur le lit, le cul a demi dévoilé par ma robe en jean trop court je secoue mon popotin, je les aguiches pour qu'ils viennent me faire péter la ficelle de mon string. 3 blacks, pantalon aux chevilles se gigotent la nouille. Ce sont de grosses nouilles bien Al dente. Le Maître est sur mon flanc gauche. L'un d'eux fini par s'avancer vers moi et je me fais entourer par 4 hommes bien durs. En ronde ils prennent un instant pour continuer à se palucher un peu mais en tentant la marchandise en m'empoignant la hanche, la fesse, le cuissot... J'ai les cheveux en bataille, sur la moitié de la face, je vois des bites de tout les côtés, je finis par m'avancer d'un pas pour en faire entrer une 1ere dans ma gueule, pendant que les autres me tâtent toujours de tout les côtés. Mon maître, placé du côté de mon cul, commence à masser mes fentes avec ses deux mots et écarte ma moule régulièrement pour pouvoir observer son taux de gonflement et son taux d'humidité. Je sens un courant d'air qui s'engouffre dans mon canyon et je sens les premiers crachats de mouille en sortir. Le sucé m'attrape le crâne pour pouvoir guider et bien maintenir ma bouche enfoncé sur sa pine, Le Maître masse et ce mets à glisser de deux doigts dans ma chatte, pendant que je sens qu'un 3e me tapote les fesses doucement puis de plus sec et fort. Les petits coups répété, alors que je suis déjà excitée, font rougir et picoter mes fesses plus vite. Une fois repus de la première queue, je me relève sur ses genoux et bascule de quelques cm sur la gauche et je me retrouvé face à un, encore, plus gros chibre. Voir cette matraque couleur ébène pointée vers moi me font aussi peur qu'excite et je suis parcouru d'un frisson. Je ne réfléchit pas et plante mes lèvres dessus, les plaques contre la peau toute douce d'une verge et descend petit à petit en ne partant pas gagnante. Une de mes mains s'encercle autour, mes lèvres franchissent à peine la fin du gland que je n'ai plus beaucoup de place. Arrivé à mi-parcours je n'y arrive plus, j'essaie de reprendre de l'élan, des fois c'est juste le temps que la gorge réagisse. J'enfonce à nouveau, je gagne quelques mm mais ce n'est pas glorieux. Je pense pouvoir abandonner mais pas du tout. Le mec voulait la même prestation que son pote, une bouche qui se pose sur la garde. Il attrape mes cheveux en bonne poignée, je suis maintenue, il a le contrôle de ma tête... Je vais me faire violer! Le gars m'empale dessus, on arrive au point d'échecs. Ça continu de glisser, je sens son gland contre le fond de mon palais. L'énorme chibre, essaie de se faire une voie d'axé, mais sa appui sur la glotte. Ma respiration siffle, Ma cage thoracique fait des mouvements rapide, je suis un vide foutre, je suis une bouche à pipe... Finalement la deuxième pine se pose sur ma rustine à son tour et au côté de sa copine essaie de se faire un chemin qui me déchire d'une force. Ma bouche jongle entre les deux chibres, mon cul en est rempli je suis au bord de l'implosion. Ma vue se brouille et mes yeux partent en arrière. Je suis transpercée par une énorme onde de choc qui part de mon nombril pour ressortir par ma bouche et mes yeux, touts s'assombrit autour de moi, les bruits deviennent de plus en plus lointain. Mon corps est secoué comme une crise d'épilepsie, le noir total, le silence total, plus que les secousses de mon corps qui ne parvient pas à se remettre les idées en place. J'abandonne et sombre. Quand je me réveille, je suis dans un lit, seule. Je me relève, prend deux secondes pour me remettre les idées en place et remet le cours des choses ou il faut. Je suis chez le maître et mon dernier orgasme a fait mouche. Je me suis levée et Mon Maître et venu à moi en me disant qu'il avait aimé, me contrôler, me voir perdre toute dignité et souffrir pour finalement jouir comme une truie qu'on égorge. Il voulait devenir mon maître... Et ce n'était pas une requête... Je n'avais pas le choix.