Votre relation est belle et elle construit les bases de vos désirs tout aussi soft soient-ils.
A travers votre témoignage, je revois nos débuts dans le BDSM et je n'en garde que des bons souvenirs. Libre à vous de faire vivre vos envies communes et d'approfondir si ça doit etre le cas.
Profitez et soyez heureux.
Soyez la première personne à aimer.
Ma Maîtresse va répondre à cette belle et vaste question sur mon compte.
"Réponse de la Maîtresse de Morgane"
Je vais poser notre style de relation avant de répondre afin de mieux comprendre ma réponse apportée.
Dans notre relation mise en place, mon mari est devenu mon soumis dans une relation que nous avons voulue gynarchique. Mon soumis avait un besoin fort de me sentir autoritaire et cette optique n'était pas pour me déplaire. En notre demeurre, je commande, je dirige et il n'a plus mot à dire. En dehors de la maison, nous restons un couple banal ou je suis une femme épanouie au caractère fort mais que rien ne vient trahir le secret de notre vie.
La question est maladroite, mais je comprends le sens et l'interrogation posé. Une Maîtresse est avant tout une femme avec ses envies, ses désirs, ses besoins. Le fait qu'elle soit dominante en son couple ne change rien ou presque.
Presque, car elle ne "s'offre" pas ou pour mon cas, elle ne "s'offre" PLUS à son soumis. Quand j'accorde le droit à mon soumis d'avoir un instant de complicité avec moi, je le fait sur plusieurs critères.
1er critère: Sa bonne obéissance sur un laps de temps dont je suis la seule à l'estimer suffisant.
2ème critère: l'accomplissement de ses taches qui vient directement completer le 1er point.
3ème critère: qu'il ne montre pas une impatience ou une volonté de m'amener vers cet instant de complicité offert.
4ème critère et il est de loin le plus import pour répondre à cette question: Je lui accorde un droit au plaisir SI et SEULEMENT SI je le décide. Pouvoir partager un temps intime avec moi n'est pas synonyme de jouissance autorisée. Il est mon soumis et il s'est mit à mon service, sous mes ordres pour mon seul et unique plaisir. Le sien n'est qu'une possibilité que je suis la seule à lui accorder. Qu'il puisse "bander" est une chose. Qu'il puisse jouir en est une autre. Je l'utilise comme bon me semble et si je décide qu'il ne jouira pas, il est remit en cage de chasteté sitôt mon plaisir atteint.
J'espère avoir répondue a ta curiosité.
2 personnes aiment ça.
Zahlith
Femme Dominatrice.
Vit à
VIry chatillon, Île-de-France, France.
Soyez la première personne à aimer.
Nous sommes en Février, le 14 pour être précis. Ce soir la, c'est la sacro-sainte saint-Valentin.
Je suis soumis, féminisé, chaste et cocu. Tout un programme.
Pourtant, depuis 1 semaine, je suis hors cage de chasteté. Mais cette belle période hors cage n'a servi qu'une fois. A une seule reprise, j'ai eu l'immense joie d’honorer Maîtresse, ma femme. Et encore, port du préservatif obligatoire. On ne salit pas sa Maîtresse.
Puis vient cette soirée. Il est 17h et Maîtresse se fait belle, désirable. Quand elle vient vers moi, je suis en feu. Mais, c'est dans ma cage de chasteté que je vais me retrouver pour la soirée. A l'aide d'eau froide et de glaçons, elle va mettre fin a mon érection pour un retour en cage de chasteté. Puis vient mon tour de me faire "belle" selon la tenue prévue par Maîtresse. Une fois prête, Maîtresse m'introduis un plug d'un gros calibre.
Nous sortons. J'ouvre les portes (Maison et voiture) à Maîtresse puis je la conduis a l'adresse qu'elle m'a indiqué. La voiture stationnée, j'ouvre la porte a maîtresse pour qu'elle sorte a son tour. Sur le trottoir, elle m'équipe de mon collier de soumise puis nous marchons, je suis derrière elle a quelques mètres. Nous marchons vers un lieu que j'ignore.
Arrivées devant un restaurant, j'ouvre la porte a Maîtresse puis je rentre après elle. L'établissement est de bonne réputation et de grande qualité. Maîtresse s'annonce auprès d'une femme d’accueil. Nous sommes dans un sas hors salle.
"Je suis Madame .... je suis attendue".
Après la consultation de son registre, la femme d'accueil confirme.
"En effet, mais il me semblait que vous deviez être seule?
- C'est le cas. (Puis s'adressant a moi). Je n'ai plus besoin de toi, tu peux rentrer. Je t'interdis de te changer ou d'enlever ton plug. Tu attends mon retour avant de te coucher."
J'ai compris qu'il me fallait réagir aux paroles de ma Maîtresse et ainsi valider l'ordre quitte a augmenter mon humiliation. Je sentais tout le poids du regard de cette inconnue sur moi. j'avais chaud puis j'ai pris la direction de la porte.
J'ai vaguement compris un début d'échange entre Maîtresse et cette femme sur moi. Maîtresse a répondue que je suis son mari a la question "sans paraitre indiscrète" sur qui j'étais.
De retour a la maison, j'ai mangé....seul. Des restes de repas qui n'attendaient que moi.
Il est plus de 23h30 quand Maîtresse rentre.
"Maîtresse a passée une bonne soirée?
- Je ne suis pas seule, mon amant arrive. Vient avec moi!"
Dans la chambre d'amis, je dois me déshabiller, me démaquiller puis Maîtresse m'attache au lit pour y passer la nuit, munie d'une couche pour adulte, de mon plug toujours en moi et de ma cage de chasteté.
"Je te souhaite une bonne nuit le cocu et surtout, ne me dérange pas !".
La chambre d'amis est juste a coté de la chambre conjugal et Maîtresse, dans sa grande générosité a prit soin de ne surtout pas fermer les portes des chambres.
Durant une très longue partie de la nuit, j'ai été le témoin sonore de mon cocufiage.
J'ai vite compris pourquoi je devais être en vacances sur cette semaine.
Je n'ai été libéré par Maîtresse que le lendemain en début d'après-midi. Maîtresse avait cette belle odeur du plaisir. Direction la douche pour enlever mes odeurs, moins attrayantes, moins sexy.
Ce n'est pas toujours facile d’être a ce point soumis, mais que c'est excitant.
2 personnes aiment ça.
godeuse pour mâle soumis qui assume son côté salope ; si tu es a moi ton cul est a moi ta bouche est a moi , tout est a moi !! .:.


















