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.Posté dans Soumission à la sodomie
Les hommes soumis commencent très souvent leur éducation à la sodomie, pour la Maîtresse, il s’agit avant tout de préparer au mieux l’orifice qui va bientôt l’accueillir, pour le soumis de s’habituer à être pris et à sentir physiquement la Maîtresse en lui. Certaines Dominatrices préfèrent conserver le « petit cul » de leur soumis bien serré et n’abusent donc pas des plugs, d’autres au contraire ont pour objectifs d’ entrer alors dans une dimension plus punitive de la sodomie puisque ces pratiques font mal et ne constituent jamais une source de plaisir, sauf pour les soumis les plus masochistes. Dans l’acte d’enculer le soumis, toute la volonté dominatrice de la Maîtresse s’exprime puisqu’elle va lui permettre de renverser complètement les codes hétérosexuels classiques où l’homme pénètre la femme. Ici c’est l’inverse qui se produit, et cela explique que le soumis en train de se faire sodomiser soit souvent traité de « salope » ou de « chienne » par sa Maîtresse, puisqu’il lui offre son cul comme le ferait une femme à un homme, dans un rapport sexuel « classique ». Dans ce cadre, la sodomie pratiqué par les Dominatrices peut avoir plusieurs finalités. elle permet de signifier à l’esclave que dans l’acte de sodomie seule la Maîtresse est autorisée à prendre du plaisir. Lui n’a pas d’autre droit que d’offrir convenablement son cul. Une fois le travail de dressage totalement achevé, la Maîtresse n’aura aucun mal à faire accepter à son esclave de se faire sodomiser par un ou plusieurs autres hommes l’amenant progressivement à une bisexualité forcée.” je pense quand même que la sodomie doit être punitive. Le soumis doit souffrir être humilié, il doit offrir son cul, se faire défoncer par sa Maîtresse ou par un homme si elle souhaite en le traitant de salope d’enculé, de lopette. Et cela plusieurs fois par semaine pour en faire un esclave sexuel.
Carpo
.Posté dans Soumission à la sodomie
Bonjour, Quelques mots pour apporter mon éclairage personnel sur cette question de la soumission par la sodomie. Une précision préalable : il faut à mon sens distinguer l'attrait plus ou moins fort d'un homme pour la sodomie de son caractère homosexuel ou bisexuel : on peut apprécier de se faire pénétrer sans avoir d'attirance physique pour un autre homme. C'est justement cette confusion qui génère la plupart du temps une réticence chez les hommes à aller vers cette pratique, qui est pourtant une vraie facette de la sexualité masculine. Alors je ré-enfonce le clou pour prêcher la bonne parole du plaisir masculin, dans le cadre BDSM ou non, et je vous invite à le faire également : un homme qui aime la sodomie n'est pas homosexuel ni bisexuel. Ces choses ne sont pas de même nature. Cela n'empêche pas de concevoir la sodomie comme un premier pas vers une bisexualité, forcée ou non. Par ailleurs, je ne m'aventurerais pas à dire que "ces pratiques font mal et ne constituent jamais une source de plaisir, sauf pour les soumis les plus masochistes." Au contraire, s'il peut y avoir une part de douleur dans ces pratiques, il y a une part de plaisir, qui peut même être importante selon les affinités personnelles. Pour ma part, j'apprécie énormément la sodomie et j'en tire beaucoup de plaisir, que ce soit seul ou avec ma Maîtresse (que je plains les hommes qui s'en abstiennent par pure réticence psychologique ou morale...). Je ne l'ai pas encore pratiquée avec un homme, mais cela viendra lorsque ma Maîtresse le jugera bon. Dès lors, un écueil menace : chercher à me dominer en me sodomisant ne pourrait finalement aller que dans le sens de mon plaisir. C'est jusqu'à récemment ainsi que nous le vivions, ma Maîtresse et moi, en découvrant la sodomie dans sa forme partagée. Mais cet obstacle peut être contourné en pratiquant la sodomie dans un sens bien différent de celui de la recherche du plaisir masculin, dans l'objectif d'affirmer la primauté de la volonté de la dominatrice. C'est pour cela que j'ai moi-même suggéré la lecture de cet article (mon coté maso, sûrement) : http://jedominemonmari.com/sodomiser-pour-mieux-dominer-mes-13-conseils/ Il s'agit de conseils non pas pour bien sodomiser un homme, mais justement pour le faire dans l'optique de la domination, ce qui est différent. Choix du lieu, du moment, des modalités, de la durée, travail d'anticipation, etc. La première mise en pratique a été significative. J'ai clairement senti le changement de ton, le plaisir s'éloignant au profit de l'expression de sa domination et ma soumission. Cela n'exclut pas de revenir à une pratique plaisir lorsque ma Maîtresse en ressentira l'envie, mais uniquement lorsqu'elle le voudra. Je suis heureux de ce progrès commun, qui me permet de confier pleinement mon plaisir anal entre ses mains, pas uniquement sous l'angle binaire "pas de pratique anale / pratique anale plaisir", mais avec la variété de la palette : "pas de pratique", "pratique sans plaisir, "pratique douloureuse" ou "pratique avec plus ou moins de plaisir". D'autres ont peut être des conseils pour aller dans ce sens également.
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.Posté dans Soumission à la sodomie
@Carpo, vous dites : « Il s'agit de conseils non pas pour bien sodomiser un homme, mais justement pour le faire dans l'optique de la domination, ce qui est différent. » Je suis d’accord, il s’agit de soumettre et je retiens parmi les 13 conseils ceux ci que je commente. Conseil N°2 : immobilisez le ! Le mien, c’est souvent sur le ventre en croix avec menottes et sangles aux 4 pieds du lit, tendues ! Pour qu’il ne se sauve pas, et surtout pour qu’il perçoive bien la sensation de mise à disposition, à ma merci. Surtout quand je vais abuser. Ce point ne fait pas l’unanimité, et je reconnais que ça n’est pas systématique, mais j’aime bien l’immobiliser. C’est le signe pour lui que je vais aller un peu trop loin et qu’il ne pourra pas s’y soustraire … Cela peut être aussi un moyen de le faire sodomiser par un homme, d’autant plus humiliant qu’étant attaché, il sera obligé d’accepter. Conseil N°4 : Bien choisir le Gode ! Ou les 2 en succession. Il faut que ce soit juste un peu plus gros, ou long, que l’habitude. Pas douloureux, mais pénible, difficilement supportable. Imposer régulièrement un peu plus. Surtout avec le conseil 6 … Conseil N°6 : faites durer trop longtemps En principe on sent quand il n’en peut plus, surtout si le 4 est respecté. C’est le moment de continuer malgré les plaintes ou suppliques. C’est là que s’imprime le fait que VOUS décidez, imposez, infligez. Il s’agit là de le laisser anéanti après lui avoir longuement pris l’anus, malgré ses supplications : « Arrêtez Maîtresse, ça fait mal. » « Je vais continuer, car je veux faire de toi un véritable enculé, je veux que tu ai mal au cul, jusqu’à demain, où je t’enculerai avec un gode encore plus gros. » Effectivement, ce n’est pas uniquement une sodomie, mais de la domination par des sodomies.
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.Posté dans Soumission à la sodomie
j’aime bien l’immobiliser. C’est le signe pour lui que je vais aller un peu trop loin et qu’il ne pourra pas s’y soustraire …Cela peut être aussi un moyen de le faire sodomiser par un homme, ou un trans, d’autant plus humiliant qu’étant attaché, il sera obligé d’accepter.
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.Posté dans Soumission à la sodomie
Vous dites : "mais avec la variété de la palette : "pas de pratique", "pratique sans plaisir, "pratique douloureuse" ou "pratique avec plus ou moins de plaisir". La sodomie passive pour un homme est a mon avis une pratique masochiste donc cela doit être une pratique douloureuse physiquement et ou psyshologiquement que cela soit par la dominatrice avec un gode ceinture, ou pire qu'elle impose au soumis de se faire enculer par un homme.