
Shanghai00
Hello tout le monde 😉
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Remi04Re
Remi04
Coucou😉
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02/09/25

Shanghai00
Ca va ?
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02/09/25
Remi04Re
Remi04
Bien et toi?
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02/09/25

Shanghai00
Ca va merci 😁
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02/09/25

celine
Chouette une nouvelle copine!
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1
05/09/25

Shanghai00
Ça va Céline 😄
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05/09/25
Tigresse tyrannique adepte de la Domination physique, mentale et sexuelle. en quête d'un nouvel esclave alliant classe et dévotion totale .:.
Coucouuuuuuuuu moi c est marylou Lopette et Travestie très soumise prête à servir pour toutes sortes de choses ,tout ce que vous voudrez
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Hello 28 ans qui a toujours adoré mon coté féminin et qui souhaite encore allez un peu plus loin , je viens tout juste d'arriver sur le site.. Je suis a la recherche de nouvelle expérience et de nouvelle copines avec qui discuter et plus si affinité .. Je suis actuellement dans le Maine et Loire.
N'hésiter pas a venir discuter
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Bienvenue ici Alexia. Belle présentation, comme on aime. Tu es au bon endroit. N'hésite pas à nous solliciter si besoin.
Bonjour à toutes et tous 💕
Je m’appelle Huguette(nom de garçon : Hugo), j’ai 22 ans et je découvre tout juste mon univers sissy depuis un petit mois.
Pour l’instant, je vis encore chez un membre de ma famille, donc je m’habille en fille en cachette, le soir ou quand la maison est vide. C’est un moment à moi, très intime, où je me sens vraiment bien et aligné avec ce que je suis.
J’aime beaucoup tout ce qui touche à la féminisation douce : porter de la lingerie, apprendre à être plus délicate, me mettre dans un état d’esprit de soumission tendre.
Je suis ici pour échanger, apprendre, et discuter avec d’autres sissies, personnes soumises ou bienveillantes, sans jugement, avec douceur.
Je reste encore discrète dans ma démarche, mais j’ai envie d’évoluer, d’exprimer ma féminité, et pourquoi pas un jour être guidée dans ce chemin 🩷
Merci à vous de m’accueillir 🌸
— Huguette
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Découvre toi petit à petit.. laisse cette féminité émerger et fleurir comme une rose s’ouvre 🌹
Cultive ton jardin secret en te disant que tu as le droit d’être qui tu le souhaites
si tu as besoin hésite pas.. je sais être disponible pour les coupines hihi on est toutes différentes mais un point commun propre à tout le monde ici et pas que les sissy c’est la bienveillance (bon y a quelques con hein mais bon tu ignore et c’est good
)


Très jolie présentation Huguette, merci beaucoup et bienvenue sur ce groupe. J'espère que vous y trouverez vos réponses. J'en profite aussi pour vous remercier Saly d'apprécier ce lieu. 😉
Ça fait plaisir de voir que cet espace coquin est aussi un espace d'amour, d'entraide et d'échanges. Vous êtes top les copines 🥰
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01/09/25
En complément des photos, Voici un petit récit de mon aprem.
Hier, au sex-shop, j'ai passé une très bonne après midi.
Ce n'a pas été un record en nombre de mâles mais la qualité était au rendez-vous.
J'étais bien propre et j'ai enchaîné les felations après sodomies. À peine arrivée 2 gars m'ont suivie dans la pièce la plus sombre pour que je les régales. Le 1er à été vite expédié après une ejac, suite à ma bouche habille d'après ses dire. Le second beaucoup plus endurant, qui avait un sexe de tres bonne dimensions, apres de bonnes gorges profondes, m'a sodomisé longuement et bien en profondeur. C'était vraiment top.
Après 2 ou 3 autres gars que j'ai satisfait buccalement, un gars menu est venu s'asseoir à côté de moi. Il a commencé à me caresser et moi, caressant son sexe sur son pantalon, je sentais grossir son engin sous ma main experte.
Je lui ai sorti son sexe qui n'était pas spécialement énorme, mais très beau avec le gland assez pointu. En bouche c'était un régal son gland était très bien adapté pour qu'il me pénétre l'œsophage. C'est la première fois que j'arrive à me faire pénétrer la gorge ainsi. Qu'est-ce que c'était bon. Bon pour lui aussi d'ailleurs il n'arrêtait pas de me complimenter sur mes talents de suceuse.
Il m'a ensuite sodomisé à plusieurs reprises, alternant avec les felations. Ses sodomies étaient aussi brutales que ses penetraions buccales. Il s'est régalé et je pense que je vais le revoir (j'espère).
Le second gars du début et lui sont revenus plusieurs fois à la charge pour mon plus grand plaisir et le leur aussi.
Tous les gars qui m'ont sodomisée trouvaient ma chatte anale exquise et se regalaient à la bourrer.
En fin d'après midi un autre gars avec un sexe plus trappu s'est bien amusé avec ma bouche et mes tetons, il savait bien s'y prendre pour me les torturer (pas aussi bien que mon maître) . Il a tenté de me fister mais n'a pas insisté et n'a pas rentré sa main dans ma rondelle qui n'attendait que ça.
Il a fini par une éjaculation fasciale en me traitant de bonne salope (quel compliment).
L'après midi s'est finie vers 17h30. Je suis rentré et à 21h45 il n'y avait plus personne 😴💤.
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je n'ai pas l'habitude de fréquenter les ex chop, et pour ceux que j'ai pu fréquenter il n'y avait d'espace intime pour quelques plaisirs, quel était le sex shop? et la communauté de Syssi avez vous une telle expérience en sex shop en Syssi, cela m'intersserait pour élargir mon cercle...Bises à tous et toutes
@celine Le sex shop où je vais se trouve en PACA. C'est le X center de Plan de Campagne. Il y a les mêmes équipements dans ceux de Marseille et d'Aix en Provence. Normal c'était le même patron. Cependant il y en a un à Toulon qui a le même fonctionnement. Je suis sûr que dans votre région il doit bien y avoir des sex-shop avec cabines de projection
Je pense que dans tous les sex-shop il y a soit une salle de projection soit des alcôves où il est possible de s'y amuser en payant un droit d'entrée.
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29/08/25
Un rêve d oser essayer le genre d établissements !! Un délice pour sissy.
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30/08/25
D'après mes expériences et celle de quelques copines, il est préférable de favoriser les jeudis après midis me semble t-il.
ok merci j'ai déjà identifier deux établissements sur Bordeaux... le Rebecca et Desir X, y aurait il une personne qui pourrait me donner un petit feedback. sur ces deux établissements surtout pour une trans comme moi? merci beaucoup. Petite foto de remerciement. Pour ceux qui m'auraont répondu une photo surprise. Bises
@AngeouDemon 🤣🤣🤣 Je dirais même mieux, les jeudis après midi des semaines impaires 🤣🤣🤣. Plus sérieusement les après midi c'est pas mal car beaucoup de mâles en couple profitent de souplesse dans leurs emplois du temps, pour venir batifoler tranquillou. Le matin je n'ai jamais essayé et le soir à partir de 18h00, en général ça se calme et le peu de fois où j'y suis allé après le dîner c'était très calme.
@celine Je te conseille d'aller faire un repérage en garçon tu discutes avec le vendeur pour savoir si il y a possibilité de faire ça et aussi de pouvoir laisser ton sac à la caisse. Comme ça tu es tranquille pour t'amuser avec un petit sac à main pour ton petit matériel rouge à lèvres, préservatif, Lube etc. Éventuellement le téléphone mais fait gaffe aux vols
Nous avons hâte que tu nous partage tes expériences de tapinnage en sex-shop. Bises
Coucou moi c est Marylou ,j habite le sud de la France 🇫🇷 a Aix-en-Provence, j ai 65 ans ,travestie soumise espérant un jour trouvé où être trouvée par une dame très autoritaire et sévère, bisous
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Mon rêve également,
Une femme ferme, qui saura faire de moi sa Sissy, maquillée, habillée, talons, fourrure, cuir
Soyez la première personne à aimer.
Chère Céline, je suis tout Ouie a vos propositions! Je ne dis absolument pas non
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30/08/25
a vendre cette paire de faux seins en silicone bonnet B 300g pieces en parfait état. Je les vends pour 40e port compris. Je ne négocie pas le prix demandé ni le protocole d envoi via Mondial relay ou le mode de paiement via Paypal. Merci de votre attention.
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sévère mais juste, j'aime éduquer et dresser un novice, mais j'apprécie également d'amener un soumis expérimenté à se dépasser. protocole, usages et hygiène de rigueur .:.
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Bonjour Céline. J'ai beaucoup apprécié votre commentaire sur un post de ce groupe mais l'auteur l'a supprimé. Je trouve que vôtre description était de très bonne augure ici. Merci beaucoup, si toutefois vous voudriez vous présenter j'en serais ravie. Cordialement AngeouDemon
Merci newslave d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
Bonjour
Moi c’est émilien 42 ans de Nantes
Voilà je suis privé de sexe depuis plusieurs années Je porte la cage de chasteté
Du coup vu que mon sexe ne sert plus à rien je me lance
Aujourd'hui je souhaiterais rencontrer une Femme qui accepterais de faire de moi une jolie sissy et qui me prépare elle même
Choix de mon nom,, épilation, habillage, maquillage et plus encore
Je souhaiterais devenir votre poupée à humilié comme bon vous semble
Et pour les amoureuse du pegging je serai en mode freeuse ma bouche et mes fesses seront toujours en libre service pour vous
Et je serai honoré de pouvoir devenir votre servante pouvoir faire votre ménage et pouvoir faire de vous la gardienne de ma clefs de cage de chasteté
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“Relax, Andrew. Ce n’est qu’une fête. Oui, bien sûr qu’il y aura des filles, mais ce n’est pas comme si c’était des tueuses en série ou quelque chose comme ça”, dis-je à mon meilleur ami alors que nous nous dirigeons vers la fête.
Je te jure qu’il est toujours comme ça. Il est tellement inquiet pour tout. Je ne sais pas comment le gamin a survécu aussi longtemps. Probablement parce que je suis toujours là pour le calmer.
C’est assez drôle, peu de gens peuvent nous voir comme des amis, Andrew et moi. Lui, c’est un doux, petit, nerd qui est souvent confondu avec une fille et moi, un sportif musclé qui a toutes les filles. Nous sommes complètement opposés l’un à l’autre.
Et pourtant, Andrew et moi avons toujours été les meilleurs amis. Nous avons grandi à côté l’un de l’autre, c’est toujours moi qui lui cause des ennuis et c’est lui qui essaie de trouver un moyen de s’en sortir. Bien sûr, il se faisait beaucoup harceler au lycée, mais pas quand je suis là.
Lui et moi sommes comme du beurre de cacahuètes et de la gelée. De l’huile et du vinaigre. Du vin et du fromage. Du lait et des biscuits. Ce que je veux dire, c’est que nous travaillons bien ensemble.
Je ne pouvais pas imaginer aller à l’université sans lui.
Nous arrivons à une fête chez une camarade de classe, elle m’a supplié de venir après les cours. L’endroit est rempli de filles de partout. Définitivement beaucoup plus de filles que de garçons.
Les yeux de Sarah s’illuminent quand elle me voit. Ses cheveux blonds descendent proprement sur ses épaules. “Tu es venue !”
“Je t’avais dit que je viendrais”, je ris. “C’est mon colocataire et meilleur ami, Andrew. Andrew, c’est Sarah, la fille de mon cours de maths.”
“Ravie de vous rencontrer”, dit-elle. “Vous voulez quelque chose à boire ?”
“Oui, bien sûr”, je hausse les épaules.
Nous la suivons dans la maison, dans la cuisine, où se trouve une glacière géante. Elle prend deux tasses et nous les donne. “Normalement, on fait payer 5 $ par tasse aux invités, mais vous pouvez boire sur moi.”
“Aww, merci. Quelle belle hospitalité.” Je lui fais un sourire qui lui donne du coeur et qui rend ses joues roses. Je peux admettre qu’elle a de très beaux yeux. Si verts et verdoyants.
Nous remplissons nos tasses de jus de jungle et suivons Sarah jusqu’au porche arrière.
“Alors, depuis combien de temps êtes-vous amis ?” demande-t-elle.
“Depuis la maternelle”, je ris.
“Wow, c’est trop cool”, dit-elle.
“Ouais, on a grandi à côté l’un de l’autre”, ajoute-t-il.
“C’est tellement rare d’avoir été les meilleurs amis à l’université, plus de pouvoir pour vous”, dit-elle.
“Et vous ? Tu es toujours avec ta meilleure amie ?” Je lui demande.
“Eh bien, pas vraiment. On a en quelque sorte rompu au lycée”, dit-elle.
“Aïe, que s’est-il passé ?” Je lui ai demandé.
“Elle a baisé mon ex-copain dans mon dos”, dit-elle.
“Aïe, quelle salope”, je lui dis.
“Elle m’a vraiment poignardé dans le dos”, dit-elle.
“Définitivement pas une vraie amie”, j’ajoute.
“Ouais, pas comme vous deux, je suis tellement jalouse”, dit-elle. “Mais, j’ai quelques amis plutôt cool dans la sororité.”
“Sympa, on s’est fait des amis aussi. Alors qu’est-ce qui t’a poussé à rejoindre une sororité ?” Je lui ai demandé.
“Ma colocataire m’a convaincu, en parlant d’elle, la voilà !” Une fille aux cheveux châtain foncé et aux yeux assortis s’approche. “Becca, c’est le garçon de mon cours de maths dont je parlais ! Arthur, je te présente ma colocataire, Becca.”
Je lui tends la main et elle la secoue en me regardant dans les yeux. “Ravi de te rencontrer, Becca.”
“Toi aussi ! Sarah n’a cessé de parler de toi”, dit-elle.
“C’est vrai ?” Je lui demande, en levant un sourcil. “Et qu’est-ce qu’elle a dit de méchant sur moi ?”
“Oh, croyez-moi, c’est tout bon. Et vous ajoutez certainement à ses histoires”, dit-elle. “Avec toutes les bonnes choses qu’elle a dites sur vous, je commençais à penser que vous n’étiez pas réel.”
“Eh bien, j’espère ne pas vous décevoir”, lui dis-je en lui donnant mon sourire de tueuse de femmes. “Au fait, tu devrais rencontrer ma colocataire.”
“Vous voulez dire que vous êtes deux ?” demande-t-elle.
“Non, Andrew est bien plus intelligent que moi”, je ris en mettant mon bras autour de lui. Il se crispe alors que ses yeux tombent sur lui. Son expression passe de l’anticipation vertigineuse au regard qu’une fille jetterait à un chiot. Ce n’est pas exactement ce que j’espérais.
“Aww, il est adorable”, dit-elle. “Tu sais, tu serais tellement parfait pour mon expérience sociale.”
“Oh, Bec, non !” dit Sarah.
“Aww, allez Sarah. Tu sais qu’il aurait l’air si bien.”
Je lève un sourcil quand Becca attrape la main d’Andrew et le tire derrière elle. “Viens, tu dois rencontrer mon partenaire, Kenzie.”
Sarah saisit ma main. “On devrait probablement les suivre.”
“Quelle est son expérience sociale ?” Je lui demande.
“Ehh, tu vas voir”, dit-elle.
Je la suis dans la maison et je vois Becca parler à une autre fille aux cheveux roux. Elles regardent toutes les deux Andrew avec excitation avant de le traîner en haut. Sarah et moi les suivons.
Nous entrons dans une de leurs chambres où Becca et la fille aux cheveux roux qui doit être Kenzie tiennent des vêtements de fille contre le cadre d’Andrew. L’expression de son visage en dit long. Choc, gêne, humiliation et, si je ne me trompe pas, un peu d’excitation.
“Allez, tu devrais vraiment les essayer pour nous”, dit Becca.
“J’avais peur que cela arrive”, dit Sarah en me traînant dans la pièce et en fermant la porte. “Allez les gars, ne faites pas ça.”
“Aww, allez Sarah. Ne soyez pas un bourdonnier. Tu sais qu’il serait mignon tout féminé.”
“Attends, tu veux l’habiller en fille ?” Je demande.
Andrew a l’air tout aussi mortifié et étourdi.
“Tu ne penses pas qu’il sera si mignon avec cette jupe ?” demande Kenzie en tenant la jupe contre sa taille. Ses yeux s’élargissent lorsqu’elle frôle son entrejambe. “Oh mon Dieu, tu as la trique ?”
“Non !” bégaie-t-il.
“Si, tu en as une !” dit-elle. “Tu aimes ça autant que nous !”
“JE… JE…” Andrew Studders.
“N’ayez pas honte”, dit Becca. “Je pense qu’il fait si chaud. Tu dois le faire maintenant. Essaie juste quelques tenues. S’il te plaît.”
Les yeux d’Andrew rencontrent les miens. Il a l’air gelé. Je ne sais pas s’il veut que je le sorte de cette situation ou que je lui donne la permission.
“Allez les filles, laissez-le tranquille. Regarde, Andrew. Tu n’as pas à faire ça”, dit Sarah.
“Oh allez, Sarah. Ne fais pas comme si tu n’étais pas dans le coup. Tu étais tellement à fond dedans quand on en a parlé tout à l’heure”, dit Becca.
“Oui, c’est amusant d’en parler, mais forcer quelqu’un à le faire est une autre chose”, dit-elle.
“Nous ne le forçons pas, nous le persuadons, c’est tout”, dit Kenzie.
“Qu’en pensez-vous ? Tu es son meilleur ami ?” Becca répond.
“Ce n’est pas à moi de décider, c’est à lui de décider”, je lui dis.
Kenzie se penche en chuchotant quelque chose à ses oreilles et ses yeux s’illuminent.
“Alors, tu vas le faire ?” demande-t-elle.
“Ok, ok, ok !” dit-il.
“Wow, qu’est-ce que tu lui as dit ?” Je lui demande.
Elle sourit. “Je lui ai juste offert une pipe.”
“Kenzie !” Sarah bégaie.
“Relax, c’est juste une pipe”, dit-elle.
“Pas vraiment”, je ris. Andrew me regarde.
“Qu’est-ce que tu veux dire ?” demande-t-elle.
“Andrew n’a jamais été avec une fille avant. Même pas pour l’oral”, je ris.
“Aww, il est vierge ?” demande Becca.
Andrew a l’air d’avoir reçu un coup de poing dans l’estomac.
“Désolé mon pote, ça a glissé”, je lui dis en prenant une gorgée.
“Maintenant, enlevons ces vêtements”, dit Kenzie.
“Vous… Vous promettez de ne le dire à personne ?” Andrew demande.
“Ça ne quittera pas cette pièce. Nous promettons tous que nous ne le dirons à personne”, dit Becca, le coeur croisé. “Maintenant, enlevons ces vêtements.”
Becca et Kenzie attaquent Andrew et commencent à lui enlever ses vêtements. Une fois qu’ils l’ont mis à nu, ce qu’il essaie d’ailleurs désespérément de faire avec ses mains, ils commencent à récurer les vêtements.
Andrew est rouge comme une tomate. Ce qui est bizarre, c’est que je ne peux pas m’empêcher de le fixer. Son cul est meilleur que celui de la plupart des femmes avec qui j’ai été. Il est si doux.
Les yeux noisette d’Andrew rencontrent les miens avant qu’il ne détourne rapidement le regard.
“Tiens, mets ça”, dit Becca alors qu’elle lui tend une jolie culotte rose.
Les yeux d’Andrew s’élargissent.
Il regarde Becca puis revient à la culotte. À contrecœur, il la lui prend et la met lentement. Elles couvrent à peine son culot à bulles.
Baise-moi. A partir de la taille, je ne pourrais jamais dire que c’était un garçon. Du moins, de dos. Ses jambes sont aussi glabres que celles de n’importe quelle fille que j’ai rencontrée. Est-ce que ça m’excite vraiment ?
Kenzie lui tend une jupe. Encore une fois, il hésite mais finit par s’y soumettre et l’enfiler.
Ensuite, Becca lui fait enfiler un soutien-gorge de sport rose et une blouse blanche.
Ensuite, Kenzie l’emmène au lit et lui met une paire de bas blancs sur les cuisses.
“Ok, il ne reste plus que le maquillage et nous devons faire quelque chose pour tes cheveux”, dit Becca.
Becca attrape sa trousse de maquillage pendant que Kenzie prend une paire de ciseaux, un de ces bandeaux pour les cheveux. Andrew la regarde avec la peur dans les yeux. “Relax, je vais juste les couper un peu. Ce ne sera pas si différent.”
Il ferme les yeux. “Peu importe…”
Elle s’empare d’un vaporisateur et dose ses cheveux, puis se met au travail pour les couper. Lorsqu’elle a terminé, ils ont l’air très différents. Adorable, c’est le moins qu’on puisse dire. Sa frange noire dérive d’un côté et c’est lisse et mignon.
“N’ouvre pas encore les yeux”, dit Becca en commençant à se maquiller. Elle ne tarde pas à le faire. “Ok, c’est bon.”
Kenzie et Becca prennent un peu de recul pour admirer leur travail pratique.
Je dois dire que si je ne connaissais pas mieux, j’aurais totalement cru qu’Andrew était une fille. Et en plus, il est mignon. En fait, j’ai envie de le baiser. Vraiment.
“Wow”, dit Sarah. J’avais presque oublié qu’elle était dans la chambre. “Vous vous êtes surpassés tous les deux. Elle est superbe !”
“Et vous avez essayé de nous en dissuader”, dit Becca.
“J’avais tort. Vous avez fait du bon travail”, dit Sarah.
“Il est si mignon”, dit Kenzie. “Maintenant, voyons comment il se débrouille à la fête. Je parie que tout le monde sera convaincu que c’est une fille.”
“Attends une seconde, tu n’as jamais parlé de sortir comme ça !” dit Andrew.
“Relax. Personne ne pourra dire que tu es un garçon et personne ne saura qui tu es”, dit Becca.
“En plus, chaque fille de cette sororité s’assurera que tu es en sécurité”, dit Sarah. “En tant que présidente de la fraternité. je m’assurerai que personne ne te fasse de mal ou ne se moque de toi.”
“Je ne savais pas que tu étais présidente”, je dis.
Elle me sourit.
“Je ne sais pas…” dit-il, en levant les yeux au ciel.
“Je dis, pourquoi pas ? Vous êtes déjà allé si loin. En plus, tu es très sexy”, j’ajoute.
Il me regarde avec les yeux écarquillés. “Tu trouves ?”
“Oui, c’est sûr.” Je hoche la tête.
“D’accord, d’accord. Je vais le faire”, dit-il.
“Oui !” disent les trois filles à l’unisson.
Les filles attrapent Andrew et le traînent en bas avant même qu’il n’ait le temps de respirer. Je les suis en bas. Je suis toujours étonné de voir comment elles l’ont transformé. Bien qu’elles aient eu une bonne base pour construire. Je n’arrive pas à me sortir son cul de la tête. Un cul de bulle si parfait.
Becca et Kenzie exhibent le pauvre gamin dans la maison, le présentant à presque tout le monde. Il a l’air si perturbé. Son visage est aussi rouge qu’un panneau stop.
“Alors, qu’est-ce que tu en penses ?” demande Sarah.
“Je n’arrive pas à croire que c’est vraiment lui. Il a l’air si différent”, lui dis-je.
“Kenzie et Becca pourraient faire ressembler n’importe qui à un mannequin de Victoria Secrets. Bien qu’ils se soient vraiment surpassés avec votre colocataire”, dit-elle.
“Je n’arrive pas à croire à quel point il est naturel. Bien sûr, il est un peu énervé, mais je pense qu’au fond, il aime vraiment ça. Les vêtements ont fait ressortir la fille intérieure qui était là depuis le début”, dis-je.
“Oui, ça et le fait qu’il est définitivement gay”, dit-elle.
Je la regarde avec un sourcil levé. “Comment tu le sais ?”
“La façon dont il vous regarde et agit autour de vous, ça devrait être évident. Il a de sérieux sentiments profonds pour vous”, dit Sarah.
“Je ne sais pas. Nous sommes amis depuis la maternelle. Tu ne crois pas que je l’aurais su ?” Je lui demande.
“Hmmm, peut-être. Mais regarde-le. Regarde comment ce gars flirte avec lui. Il est tellement agité”, dit-elle.
Je jette un coup d’oeil pour voir un vrai connard qui drague Andrew. On dirait qu’il est le genre de type à avoir deux petites amies différentes. Un vrai outil.
Et pourtant, Andrew est en train de tout manger. Il a l’air d’une fille naturelle. Il ne peut pas être attiré par ce type, n’est-ce pas ?
Putain de merde ! Le type est entré et a commencé à l’embrasser ! Je ne peux pas laisser ça continuer.
“Je te rattraperai plus tard, Sarah.” Je me dirige vers lui pendant qu’ils se séparent. J’ai attrapé le bras d’Andrew. “Tu es prête à partir ?” Je lui ai demandé.
“Aww, tu veux vraiment y aller maintenant ?” me demande-t-il.
“Ouais, partons d’ici”, je dis.
“Huh… Et si je te rejoignais plus tard”, dit-il.
“T’es sérieux ? Tu vas tout risquer pour ce type ?” Je lui ai demandé.
Ses yeux s’élargissent. “Tu m’as vu ?”
“Bien sûr. Maintenant, allons-y avant qu’il ne réalise que tu n’es pas celui que tu prétends être.” Je lui prends la main et elle me suit à contrecœur.
Pendant tout le chemin du retour vers les dortoirs, nous marchons en silence.
Enfin, dans l’ascenseur, il parle plus fort.
“Tu n’es pas en colère contre moi, n’est-ce pas ?”
“Pourquoi serais-je fâché ?” Je lui demande.
“Je ne sais pas, tu avais juste l’air de l’être”, dit-il.
“Non, je ne suis pas du tout fâché.”
“Ok… Cool. Tu ne vas pas en parler à quelqu’un chez toi, n’est-ce pas ?” demande-t-il.
“Bien sûr que non. Tu es mon meilleur ami”, lui dis-je.
“Je pense que je suis gay”, dit-il.
“Ouais, je m’en doutais un peu”, je lui dis.
“Vraiment ?” demande-t-il.
“Tu viens d’embrasser un mec”, je lui dis.
“Tu crois vraiment qu’il m’aurait fait du mal s’il l’avait découvert ?”
Je fais un signe de tête. Elle regarde au loin. Je veux dire, il… C’est tellement confus.
L’ascenseur s’arrête à notre étage et nous retournons dans notre chambre.
Je déverrouille la porte et dès qu’il la ferme, quelque chose me prend. Quelque chose de si primitif. Je l’épingle contre la porte. Ses yeux s’élargissent alors que je presse mes lèvres contre les siennes.
Au début, elle se tient juste là. Puis elle commence à m’embrasser en retour. Je brosse les cheveux de son visage au fur et à mesure que nos lèvres se séparent.
Quand ses yeux rencontrent les miens, je vois qu’elle le veut depuis longtemps.
“Ne t’arrête pas”, respire-t-elle. Une fois de plus, je l’embrasse alors que ma main glisse vers le bas de son visage. Je glisse mes doigts sur sa poitrine plate et je descends lentement vers le sud. Je m’approche pour trouver le chemin de sa jupe. Lentement, mes doigts remontent sous le tissu, touchant les cuisses blanches et soyeuses avant de rencontrer sa peau nue.
Je ne m’arrête pas là. Je me glisse jusqu’à ce que je trouve la culotte qui couvre ses fesses.
Elle brille à mon contact. Je ne peux pas me retenir plus longtemps. Je remonte ses jambes autour de ma taille tandis qu’elle enroule ses bras autour de mes épaules. Je la porte jusqu’à mon lit.
Je monte sur le lit avec elle dans mes bras. Nous nous embrassons tandis que mes doigts creusent sous le tissu de sa chemise, la faisant glisser lentement vers le haut. Nos lèvres se séparent alors que j’arrache sa chemise.
Elle me regarde avec ses yeux noisette. Je pose ma main sur la peau douce de son visage et je m’appuie en touchant mes lèvres contre les siennes. Elle glisse ses mains contre la peau de mon dos, me rapprochant ainsi. Ma langue passe devant ses lèvres tandis que mon autre main passe sur sa poitrine, glissant sous son soutien-gorge de sport et tâtonnant son mamelon. Je glisse de sa main et la fais rouler sur son ventre.
J’arrache mes vêtements avant de chevaucher ses cuisses. Je soulève sa jupe pour révéler son cul en culotte. Si parfait. J’attrape chaque joue. Son cul est tellement coussiné. En le pressant, je le mets à genoux et j’écarte ses joues. J’attrape l’ourlet et je descends lentement sa culotte pour révéler ce cul en peluche.
En descendant, j’écarte ses joues et je fais glisser ma langue de haut en bas, pour la faire fermer. Je rencontre son trou de cul avec le bout de ma langue et je plonge dedans. Elle se tortille et remue ses fesses. Je lui donne une gifle ludique qui la fait haleter.
Je donne à sa petite étoile de mer un bon bain de langue. Putain, elle a tellement bon goût. Et son cul est si bon dans mes mains. J’adore le serrer.
Je ne peux plus le supporter. Je la veux tellement, que je dois la baiser. Elle est à moi après ce soir.
Je lui crache dessus comme et sur ma bite, en devenant à la fois gentil et mouillé.
Je me dépêche et je lui colle mon cul entre les joues. Elle me regarde en retour, tellement elle est nerveuse. Je me penche et j’embrasse ses lèvres.
“Arthur ? Je… Je suis un peu…”
“Ne vous inquiétez pas, je vais y aller doucement au début. Mais Andrew ?”
“Oui ?”
“Après ce soir, tu es à moi”, je commence à presser ma bite entre ses joues. Elle grince des dents et s’agrippe au lit. Son cul est tellement serré.
Je pousse et remue lentement ma bite jusqu’à ce qu’elle lui rentre enfin dans le corps. “Urgh…” Elle gémit. “Ça fait mal !”
“Chut…” J’apporte ma main et je brosse les cheveux de son visage alors que les larmes coulent sur ses joues.
Je les embrasse. “Ne t’inquiète pas, je vais y aller doucement.
Petit à petit, je lui enfonce ma bite dans son petit cul serré. Chaque fois qu’elle gémit et se tortille, je lâche prise et je laisse son cul s’adapter. Elle ramène ses mains en arrière et écarte ces fesses.
Ma bite s’enfonce un peu plus loin en elle. Elle mord dans l’oreiller. Je retire un petit bout de ma bite et je la regarde creuser sur son cul. Lentement, je pousse ma bite plus profondément qu’avant. Elle halète pour respirer. Putain, c’est tellement serré. C’est comme si je mettais ma bite dans un trou de fourmi.
Tout doucement, je commence à faire entrer et sortir ma bite. Putain, c’est tellement chaud de voir ma bite creuser sur ce cul. Elle m’apporte pratiquement ses hanches. Elle gémit à chaque poussée.
Plus je la pousse, plus elle peut supporter ma bite. Finalement, je plonge tous les 8 pouces en elle alors que mes hanches touchent les joues de son cul. Je sens que mes couilles reposent sur les siennes.
Je m’allonge sur elle et j’enroule mes bras autour d’elle. Au début, je bouge lentement mes hanches d’avant en arrière.
L’entendre se mettre à gémir est une musique pour mes oreilles. Je commence à pousser un peu plus fort. Elle crie et grince des dents.
Putain, ça fait tellement de bien d’être en elle. Je suis perdu dans l’instant. C’est difficile de penser et encore plus de se souvenir que c’est Andrew qui est sous moi, qui me prend ma bite. Est-ce que ça me rend gay, de baiser un autre homme ? Non ! Andrew n’est pas un homme, plus maintenant. Pas habillé comme ça. Pas avec un cul comme ça. Andrew est ma copine à partir de maintenant.
Je ne vais pas la laisser partir.
“Tu es ma copine à partir de maintenant”, lui chuchote-je à l’oreille en la frappant. L’entendre gémir me donne seulement envie de la baiser encore plus fort. Et c’est ce que je fais, en lui enfonçant de plus en plus fort. Elle crie, gémit et gémit à chaque poussée. J’enroule mes bras autour de son cou et elle les attrape alors que je me lâche sur son cul, en lui enfonçant ma bite au plus profond d’elle.
Ses gémissements sont une mélodie si douce. Son cul serre ma bite si fort.
Elle serre fort autour de ma bite. “Urgh, j’éjacule !” crie t-elle.
Je ne lâche pas et je lui écrase le sperme. Mais je ne peux pas tenir plus longtemps.
Je lui enfonce ma bite jusqu’au bout, car la tension dans mes couilles devient trop forte.
“Urgh, putain !” Je crie alors que j’éclate dans son petit cul serré. Elle gémit quand je la remplis, mais avec une grosse quantité de sperme.
Lentement, je continue à la pénétrer alors que ma bite gicle, charge après charge, à l’intérieur d’elle.
Je m’effondre sur elle alors que ma bite devient flasque dans son petit cul serré.
Nous essayons tous les deux désespérément de reprendre notre souffle.
J’embrasse l’arrière de son cou avant de sortir de son cul. Une corde de sperme épais nous maintient en contact avant qu’elle ne se détache et atterrisse sur son cul. Une boule de ma graine épaisse jaillit de son trou de cul béant.
Je lui donne une petite gifle avant de me rouler sur le dos.
Elle prend quelques minutes pour récupérer avant de me regarder d’un air glacé.
“Tu pensais vraiment ce que tu disais ?” demande-t-elle.
“Quelle partie ?”
“Que je suis à toi ?”
Je me penche et la prends dans mes bras. “Andrew, te voir en poupée m’a fait réaliser à quel point je t’aime bien. Je veux dire, c’est déroutant. Je ne suis pas gay ou quoi que ce soit. Mais pour moi, à l’instant même, tu n’étais pas un garçon, tu étais la plus belle fille que j’ai jamais vue.”
“Alors tu ne pensais pas vraiment tout ça ?” demande-t-il.
“Je ne sais pas, tout cela est déroutant. N’es-tu pas aussi confus que moi ?” Je lui demande.
“Ouais. Au moins quand il s’agit de se déguiser en fille. J’ai toujours cru que j’étais un homme, mais maintenant… je ne suis pas sûr. J’aimais bien être habillé en fille. J’aimais me faire draguer par des mecs. Je savais en quelque sorte que j’étais gay. Je ne l’ai jamais dit à personne parce que je me souviens de la façon dont les gens traitaient les quelques enfants qui faisaient leur coming out à notre école. Et si je suis honnête, j’ai toujours eu le béguin pour toi.
“Wow… Vraiment ?”
“Ouais, je pense que tu es le mec le plus sexy de tous les temps. Et tu as toujours été si gentil avec moi. J’avais l’impression qu’on avait cette connexion,” dit-il.
“Nous l’avons. Mais je ne pensais pas que c’était ce genre de connexion.”
“Et maintenant ?” demande-t-il.
“Comme si je savais…”
“Tu me veux toujours ?” demande-t-il, les yeux tristes comme s’il s’attendait à ce que je lui dise non.
“Je veux dire, je ne suis pas gay ou quoi que ce soit, mais si je suis honnête, je le suis. Mais je te veux en tant que fille”, je l’admets.
J’espère que vous avez apprécié l’histoire, n’hésitez pas à laisser vos commentaires dans la section “Commentaires” ci-dessous. Donnez-lui une note honnête.
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Fin
David devint rouge de honte, décontenancé par les propos qui s'enchaînaient, au plus grand plaisir de Karim et Emilie :
- Heureusement que je n'ai rien tenté... à propos de rien, je n'ai pas de regret vu la taille de ton truc...
Elle regarda de plus près : euh... et c'est quoi ça?
Amusée, Emilie regarda son ami ainsi humilié, avant d'observer plus précisément les couilles que désignaient Julie, et ne put réprimer sa surprise en portant les mains à sa bouche de stupeur :
- Oh putain...
En état de sidération, David ne réagit pas lorsque Karim souleva les couilles et révéla l'improbable : le caoutchouc était toujours en place!
Karim regarda sa montre : cela faisait plus d'une heure que l'embout avait été positionné, mais David était si engourdi qu'il n'avait pas remarqué qu'il était encore là... Emilie reprit, penaude :
- Merde, j'ai commencé à couper mais quand l'alarme a sonné, je n'ai pas dû aller au bout! Oups!
« Oups »? David, la bouche bée, a bien entendu « Oups »? Il était plus que certainement castré!
Karim expliqua :
- Mademoiselle, il semble que votre voisin est dorénavant castré... plus d'une heure à porter ça, c'est inévitable! Aucun animal mieux monté n'aurait survécu, alors lui...
Emilie se pinça les lèvres avant de serrer les dents en regardant son ami, d'un air de dire « oups, euh désolé, boulette! ».
La voisine était en état de choc :
- Ah ouais mais merde, faut peut-être faire quelque chose là, non?
- Oui ma chère, on peut!... Si vous pouvez m'aider à ouvrir la porte de mon van...
La voisine ne comprit pas de suite, ouvrit la porte et le van était vide... à ceci près qu'il y avait une lourde chaine au sol.
- Chère Emilie, vous vous rappelez du deal?
- Euh, oui...
- Si votre soumis finissait castré, si vous le laissiez se faire castrer, il devenait ma putain et elle ferait le trottoir?
Emilie, prise de court, évalua tout le sens de ces propos. Elle se tourna vers David, qui restait toujours bouche bée, mais la queue bien tendue, bien incapable de réagir...
- En effet, c'était le deal... un deal est un deal mais...
- Mais quoi? Répondit Karim, fronçant les sourcils.
David la fixa, espérant quelque chose. Mais elle reprit :
- ...mais vous me promettez de me tenir de temps en temps informée de ce qu'elle deviendra? Sourit-elle, perfidement, avec une excitation non dissimulée.
David était de nouveau en état de choc tandis que Karim explosa de rire et que la voisine faisait de grands yeux ronds, d'incompréhension.
- Bien sûr Emilie, de toute façon je compte la faire travailler dans le coin... Et vous mademoiselle, si vous pouvez m'aider à la faire grimper et me passer les chaines.
La voisine, totalement dépassée par les évènements, ne sachant pas vraiment quoi penser de tout ça, bien incapable de dire non, accompagna David à monter dans le van avant de passer les chaines à cet homme incroyablement charismatique. Après tout, si David ne disait pas non...
- Euh, voilà...
- Merci! Si vous pouviez avec Emilie fermer les menottes sur ses pieds et mains pendant que je resserre la chaine afin que ma pute soit bien en place et ne s'échappe pas, vous seriez adorables!
Les filles obéirent, machinalement pour la jeune voisine, mais non sans plaisir pour Emilie, qui se pencha vers l'oreille de son ami :
- N'oublie pas qu'au fond de toi, à chaque passe que tu feras, à chaque queue qui te baisera, à chaque jet de sperme que tu avaleras, tu es et resteras MA pute...
Karim referma le van et glissa à Emilie :
- Merci pour tout! Ah, et je crois que je devrais arrêter de fumer... je pense que j'ai dû jeter par inadvertance le mégot dans le local de poubelle en vous quittant...
- Par inadvertance? répondit Emilie
- Ou pas... ajouta-t-il, en faisant un clin d'œil à Emilie, qui comprit, presque admirative, le plan machiavélique de Karim, qui aura su gratter les minutes manquantes pour forcer David à finir castré, et devenir Jenny la pute...
Epilogue
Quelques semaines plus tard, Emilie se gara sur le parking en face de la résidence de David. Elle devait récupérer, avec l'aide de Julie, les affaires de son ancien ami, qui n'en avait plus besoin : Karim lui avait annoncé que sa nouvelle gagneuse, qui avait fini par accepter sa nouvelle vie, rapportait pas mal de fric, et qu'elles pouvaient s'indemniser en vendant ses biens.
Si Emilie regrettait un peu l'absence de David dans sa vie, elle savait que la « pute » n'était jamais très loin, à tapiner le soir quand elle rentrait du travail. Jenny louait un hôtel miteux pas loin où ses clients la baisaient régulièrement.
Karim lui avait expliquer avoir beaucoup de projets pour elle, peut-être la faire tourner dans des films pornos crades quasi illégaux en France, ou elle serait soumise à toutes sortes de mâles, au fond de caves bien glauques dans des cités...
Emilie était devenue très proche de Julie, qui la tenait informée aussi de ce qu'elle observait ou de ce qu'elle entendait, la réputation de la nouvelle pute castrée chaude et soumise avait fait le tour du quartier. Et justement, alors qu'elles chargeaient la voiture, ce qu'elle vit au loin l'excita tout particulièrement : une salope en mini-jupe de cuir orange, avec un top échancré qui mettait en avant... d'énormes nichons! David avait subi une opération : adieu son ersatz de pénis, adieu ses couilles devenues inutiles, bonjour 2 grosses mamelles de pute, et du collagène pour que sa bouche pulpeuse fasse les meilleures fellations du monde!
Emilie savait qu'elle allait passer une excellente soirée au pieu avec son nouvel esclave sexuel, un Appolon gaulé comme un Dieu, en pensant à jenny qui faisait la pute de cité, avant sans doute un jour, comme évoqué par Karim, de la voir vendue Dieu sait où, et probablement dans un bordel à l'étranger!
Elle se mit à rire devant cet ami qui était si faible, incapable de résister à sa vraie nature, qu'il n'en était plus un homme... et poursuivit la récupération des objets tandis qu'une grosse cylindrée de laquelle sortait fumée et rap américain s'arrêtait devant Jenny, qui, après quelques instants de négociation, monta au mieux de 5 blacks massifs.
Emilie trempait de nouveau sa culotte : tout ça en avait totalement valu la peine!
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Suite
Elle reposa l'élastrator et se saisit des ciseaux, commença à le positionner autour des couilles... elle mettait les lames en contact avec sa peau ; effleura ses couilles, son pénis... L'excitation des 2 amis était à son comble!
- Alors, que veux-tu? Je coupe et tu deviens la pute castrée que tu veux être?... Dis-le moi.
David respirait vivement... il était tellement excité de sentir sa virilité se jouer à rien... il ne le devait pas mais il hocha la tête, ce qui surprit Emilie
- Pardon? Tu as dit oui? J'y crois pas! Tu en es là? Bon si c'est ta volonté...
Elle se saisit d'une serviette qui trainait négligemment sur le lit : « je vais la placer sous tes couilles car ça risque de saigner un peu... Voilààààà...
Devant le regard terrifié de David, Emilie commença à serrer le ciseau telle la mâchoire de métal qui se referme sur sa proie, quand soudain, elle s'interrompit :
- Attends, ce n'est pas le deal, petite salope! Allez, j'ai un orgasme à avoir et on coupera peut-être après!
David fut soulagé qu'elle se soit ravisée, bien incapable d'évaluer si elle l'aurait fait en d'autres circonstances : c'est pour ça qu'il aimait Emilie, et pour ça qu'il la craignait!
Il sentit de nouveau son amie se saisir de l'engin, vit qu'elle appuya sur la gâchette, avant d'encercler les testicules.
- Maître, c'est comme ça, puis je relâche?
Le Maître, qui avait adoré cette petite séquence avec les ciseaux au point que son érection était redevenue à son maximum, confirma :
- Tout à fait! Et vous relâchez!
- Très bien, c'est le 1er animal que je vais castrer!
Emilie relâcha doucement la gâchette pour ne pas faire mal à son ami, qui, malgré tout, sentit rapidement un inconfort et un début d'engourdissement faute de circulation sanguine.
- Parfait Emilie, on dirait que vous avez fait ça toute votre vie!
- Oh non, je n'ai aucun mérite, Jenny a de toutes petites couilles de pucelle, c'était facile à faire! Ah ah! Mais au fait... en combien de temps elle sera castrée si on ne retire pas le caoutchouc?
- Ah, j'aurais dû commencer par cela, mais j'ai été distrait quand vous avez joué à « feuille papier ciseau coupe couilles » avec la pute! s'amusa-t-il. Pour vous répondre : au bout d'une dizaine de minutes, les dégâts peuvent être provoqués, et seront au moins temporaires avec troubles de l'érection, voire occlusion des canaux... Pas très grave mais handicapant.
- Ah oui, quand même! Et après?
- Et bien disons que c'est variable selon la virilité de l'animal, et le vôtre est plutôt chétif, donc je dirais qu'après environ 45 minutes, elles seront probablement et irrémédiablement... mortes!
- Oh, alors il faudrait peut-être ne pas tarder afin que la chienne nous donne du plaisir et tente de sauver le peu qu'elle a encore entre les jambes? s'amusa Emilie.
David commença presqu'à regretter d'avoir succombé à son côté gay, plutôt qu'à essayer de développer son hétérosexualité avec elle! Alors qu'Emilie, au contraire, était exactement là où elle rêvait de l'amener : elle allait prendre son pied comme jamais, sans qu'il puisse jouir, en cage, avec une délicieuse option de castration, tandis qu'il serait juste un vide-couilles!
Quant au maître, il retira sous les yeux d'Emilie le gros plug qui laissa le cul béant, mais parfaitement adapté à la gigantesque queue du Maître!
- Impressionnant, n'est-ce pas?
- Ah oui, il ne va jamais se refermer, aie! J'ai vu des vidéos où vous l'aviez fistée! Quand je pense qu'elle était incapable de se goder à sec, maintenant on pourrait y mettre le bras entier! Dit-elle, regardant, ébahie, la cavité béante qui s'offrait à sa vue.
- Oh, je vous propose qu'on essaye cela si vous voulez?
- Merci, peut-être une autre fois car le temps tourne, et on a une autre urgence à régler!
- Ah, sa castration, oui, il ne faut pas attendre!
- Ah non, Maitre, je m'en fous! J'ai surtout envie de le voir se faire enculer avec votre monstre! Et de toute façon je prendrai mon pied quand je l'aurais décidé, pas quand il en aura besoin pour sauver ses malheureuses petites boules!
Le Maître éclata de rire avant de s'empaler directement dans le cul de David qui émit malgré tout un cri car aussi étrange que cela soit, malgré tout ce qui avait défilé dans son cul, il se refermait toujours vite, comme un mauvais sort qui le rendrait pucelle...
Emilie se mit encore une fois à filmer, tantôt le visage, tantôt le cul, pour garder et partager ce souvenir incroyable : elle voyait le cul de son ami dilaté par cette queue épaisse, tandis que sa cage ballottait à chaque coup de boutoir, et ses couilles étaient peu à peu violacée par cet enfermement... Quelle folie que de l'avoir mise au défi!
Après quelques minutes interminables aux yeux de David qui regardait les minutes passer, Emilie se mit nue et s'allongea contre la tête du lit, face à son esclave, qui était totalement amoureux devant la beauté de son amie, qu'il n'avait jamais vu aussi belle...
- Allez, au boulot, suce-moi les seins...
Emilie ne voulait pas jouir trop vite et profiter de chaque minute avant l'inévitable... si elle pouvait tenir 10 minutes, ce serait déjà parfait : David aurait eu la peur de sa vie, et elle l'orgasme de la sienne! Et si ça dépasse, à David de faire l'effort qu'il faut... sinon, tant pis!
David oubliait son statut de pute, et malgré l'enculade sauvage qu'il recevait, il se concentrait sur les magnifiques seins de son amie, les léchant comme un bébé affamé qui tète sa mère, les malaxant, les mordillant, passant de l'un à autre, obtenant des soupirs de son amie... il oublia même ses couilles engourdies...
Déjà 5 minutes...
Le maître lui claquait le cul comme pour le réveiller de sa torpeur, et Emilie lui fit signe de s'attaquer à ses lèvres vaginales... il s'attaqua alors rapidement à son clitoris avec vigueur, mais Emilie voulait y aller plus lentement...
- Tout doux, petite chienne, on n'est pas pressés... profite un peu!
Profiter? Il jouait sa sexualité, sa virilité, alors qu'elle jouait juste l'heure de son orgasme! Mais au fond de lui, il profitait malgré tout de la situation totalement unique...
8 minutes étaient passées, et le Maître ne put se retenir plus longtemps!
- Oh mais putain, cette chienne est juste parfaite! Aaaaah!
Il éjacula de nouveau d'épais jets de foutre au fin fond des entrailles du soumis, ce qui faillit déclencher un orgasme à Emilie, qui, heureusement, sut se contenter de délicieux micro-orgasmes, afin d'en profiter encore un peu!
Le Maître se retira du cul béant qui crachait encore du foutre en quantité, reprit sa respiration, puis se rhabilla avant d'allumer une cigarette. Après quelques bouffées, il leur signifia qu'il partait :
- Chère Maîtresse, la suite vous appartient, vous aurez le film en gros plan quand je l'ai baisée, alors soyez sans crainte, prenez votre temps... ou pas! Ah, sachez juste que... Et voilà : 10 minutes atteintes! A partir de là, c'est un contre-la-montre! Bon courage sissy, ta maitresse est une sacrée joueuse, tu prends des risques!
Alors que le Maître quittait l'appartement, Emilie se dit qu'elle n'était plus à quelques minutes près et demanda, au grand désarroi de David, de ralentir :
- On va un peu profiter ma belle... tu es une telle salope, je te jure! Mais maintenant, mon petit poney, je veux que tu me baises réellement!
David était aux anges : il allait la baiser! Enfin!
Voyant son excitation, Emilie intervint :
- Euh, attends, calme-toi ma belle, je veux sentir quelque chose, tu ne crois pas que tu vas me toucher avec ta micro-bite? Ah ah, la blague! Allez, baise-moi avec le gode!
David tomba des nues en se rappelant qu'il portait ce fameux gode ceinture... son amie se redressa et se mit à 4 pattes :
- Allez, chevauche-moi bien! Prouve-moi que tu as un bon coup de rein qui mérite de te sauver!
David était malgré tout totalement excité : il ne sentait plus trop ses testicules engourdis, se demandait si des dégâts irréversibles avaient déjà eu lieux, mais il voulait croire que son érection, bien que terriblement contenue dans la cage, était un signe qu'il était encore intact, ce qui suffit à le re motiver en vue de rapidement faire jouir sa maîtresse.
Il se mit à genoux derrière la superbe croupe de son amie, son cul totalement offert, au point qu'il ne put s'empêcher de céder à son désir : il précipita sa bouche vers la chatte et le cul offerts pour les bouffer avec une l'énergie du désespoir, surprenant agréablement Emilie, qui ne put réprimer un cri de surprise... et de plaisir!
- Ooooh! Hmmm et bien ma belle, je ne m'y attendais pas hmmm... quelle langue! Hmmm continue, lèche bien ta maitresse, petit eunuque... voilà, c'est bien ça... aaaah!
David savourait cette moule délicieuse, fouraillant entre les lèvres, s'attardant sur le clito, avant de remonter vers le cul pour titiller son anus étroit, la dévorant comme jamais il n'avait dévoré personne auparavant! Il passait aléatoirement de la chatte au cul, sentant son amie trempée comme jamais, et espérant qu'elle jouisse car le temps passait...
C'est alors qu'elle intervint, en nage :
- Allez, maintenant baise-moi sale chienne, j'en peux plus!
David se redressa et enfourcha la belle d'un seul coup de gode, à la fois excité et frustré de ne pouvoir la baiser lui-même, de sentir ses muqueuses brûlantes autour de sa chaire durcie, les couilles pleines et le pénis qui voulaient sortir de sa cage de métal.
- Oh putain oui c'est si bon mon petit castra, oh, je sens que je ne vais pas tarder à jouir, vas-y empale-moi!
David redoublait d'intensité et se mit même à claquer le cul de sa belle, qui adorait ces petits jeux de domination où, quel que soit son rôle, elle savait qu'elle gardait le contrôle...
Alors que plusieurs minutes étaient passées sans obtenir le Saint-Graal, Emilie cria :
- Stop! Arrête-toi!
David, surpris, cessa progressivement ses coups de boutoir dans la belle, avant de retirer le gode trempé de la chatte béante...
Emilie reprit quelques instants son souffle, ne se souciant guère des minutes qui passaient puisque son objectif était son orgasme, et elle le voulait inoubliable, pour elle, et pour lui!
- David, j'ai une idée... j'ai envie de te sentir en moi...
David eut le cœur qui se mit à battre la chamade : enfin? Il va pouvoir la baiser?
- Je veux que tu me baises avec ta petite queue qui doit être au taquet, sentir ta chaire qui n'en peut plus, sentir que tu veux éjaculer dans ta maitresse...
- Oh Emilie, ma maitresse, ce serait mon plus grand vœu que de jouir avec vous!
- Euh pardon? Attends! Ah non, tu m'as mal compris!
Elle explosa de rire, toujours à la recherche de son second souffle :
- Tu vas juste me baiser mais tu vas garder ton anneau testiculaire : je veux jouir en te sachant en cours de castration! Du temps est passé et je ne sais même pas si tu pourrais vraiment orgasmer de toute façon!
David nota que plus de 20 minutes étaient écoulées déjà... Elle reprit :
- De toute façon, je m'en fous, je veux juste te sentir impuissant en moi donc tu vas garder ton élastrator.
David était abasourdi... il comprit qu'il n'était qu'un jouet sexuel pour son amie, et que son potentiel sacrifice n'était qu'une péripétie de plus à laquelle elle semblait totalement indifférente, ou incapable de prendre réellement conscience de la chose, trop emprise par son plaisir.
- Et sache que si tu jouis, je te jure que je te castre : je ne veux pas une goutte de sperme dans mon vagin! Il ne manquerait plus qu'un eunuque castré me mette en cloque! Tu imagines comment on expliquerait ça à nos amis, à ma famille?
L'idée de la mettre enceinte ne gênait pas David, il avait même un jour pensé que s'il avait été en couple avec elle, ils auraient baisé comme des fous et eu des enfants... mais elle venait de balayer ça d'un revers de main! Il ne lui restait plus qu'à lui faire obtenir cet orgasme salvateur pour lui éviter le pire...
- Oui maîtresse, bien sûr, je comprends.
Emilie sourit, heureuse de cette victoire totale sur son ami. Elle se saisit de la clé de sa cage et la retira : sa queue, bien que petite, fripée et souffrante, se mit à grossir. Pas si mal, se dit-elle, pour 11 cm se dit-elle! Elle nota aussi ses couilles presque bleues, pleines. Dommage pour tout ce bon jus, mais elle préférait rester à son plan initial :
- Allez, vas-y, baise-moi, et essaye de me finir, presque 25 minutes sont passées... Qui sait, tu as peut-être encore un espoir... mais seulement si tu ne jouis pas! Espère que ce caoutchouc fait bien son travail et qu'il t'évite le pire...
Le pire? Si cet embout fait son travail, c'est qu'il le castre bien! Et c'est bien ça le pire, non?
David ignorait si son amie était sérieuse mais il n'était pas question de tergiverser, et il allait enfin la « ressentir », ce qui suffirait déjà à son bonheur!
Il se positionna derrière en pénétra la chatte dégoulinante de mouille avec beaucoup d'aisance, même si un râle le réconforta sur ce qui restait de sa virilité : « elle semble apprécier! ».
En effet, bien que petit, le sexe de David avait tellement gonflé de frustration qu'Emilie sentait sa cavité tout à fait disposée et adaptée au coït à venir, au point elle-même de reculer d'un coup sec pour bien s'empaler sur son ami.
Les 2 amants commencèrent cette baise animale avec la passion dévorante proportionnelle à l'énormité de toute cette journée, et David sentit ses couilles lui faire mal, désireuses de lâcher la purée... il savait que sans ce maudit anneau, il aurait déjà joui, ce qui aurait créé probablement sa perte car il savait Emilie sérieuse quand elle « jouait » avec lui.
Il se mit à la baiser de toutes ses forces... et elle se mit à crier de plaisir, à hurler de joie, elle adorait ce sentiment de puissance, de pouvoir s'abandonner à un orgasme qui promettait d'être grandiose, rendus unique par la frustration qu'elle générait à son ami, la peur qu'elle percevait chez lui d'être castré, l'humiliation qu'il avait subie en étant baisé sous ses yeux par un mec 5 fois gaulé comme lui, par le sperme qui remplissait son cul!
Avec toutes ces pensées, Emilie sentit l'orgasme venir comme un tsunami, et cria de toute son âme :
- ooooh ouiiii putaiiiin!!
Son vagin se contracta violemment sur le pénis de David, qui eut à son tour envie de jouir, se résignant presqu'à abandonner sa virilité pour ce douloureux dernier orgasme, mais sa terreur d'être castré lui coupa son élan, le frustrant comme jamais. Il réussit à ne pas jouir!
Tous deux s'écroulèrent haletant sur le lit, le pénis restant aussi dur que la pierre dans le vagin de son amie... elle se retourna sur le dos et lui intima de rester en elle, ce qu'il fit, et les 2 amants s'étreignirent, et s'embrassèrent avec fougue un long moment...
- Merci David, tu as juste été la parfaite petite pute que j'ai toujours adorée!
- Merci Emilie, je crois que... que je suis amoureux... et que je pourrais accepter d'être castré si tu le demandais...
Emilie sourit et regarda l'heure : un peu plus de 30 minutes étaient passées...
- L'idée n'est pas déplaisante... avoir mon petit soumis châtré obéissant que je baiserais sur demande ou que je ferais baiser pour m'exciter... Pour tout te dire, dans l'excitation du moment, j'avoue l'avoir envisagé à certains instants, et je n'ai pas été très regardante sur l'heure... après tout, c'est toi qui risquais, et tu as accepté ce risque donc, si tu joues, tu assumes, et si tu perds ben...
Emilie lui sourit... Puis se releva, et se saisit du ciseau :
- Mais je vais te libérer!
Elle se saisit des couilles énormes et engourdies de David, disposa délicatement les ciseaux afin de couper l'anneau, au grand soulagement de son ami, même s'il ne sentait plus grand chose.
En tenant les testicules gonflés, elle lui dit :
- Ça donne presqu'envie de les couper sec, ces beaux abricots juteux!
David la savait très perverse et l'adorait pour ça : il savait qu'elle détestait la souffrance animale, donc elle ne l'aurait pas fait, du moins, pas sans la garantie qu'il ne ressentirait aucune douleur.
Plongés dans leurs pensées, ils se crispèrent lorsque retentit la bruyante alarme incendie de l'immeuble :
- Putain, c'est quoi ça? S'écria Emilie.
- Je ne sais pas mais... attends, tu sens l'odeur de fumée?
Plusieurs alarmes retentirent dans le voisinage, avec des cris, et la panique les prit!
Emilie se releva aussi sec et enfila sa robe en quelques secondes, tandis que David, uniquement vêtu de son porte-jarretelles, était perdu à défaut d'habits accessibles : elle lui tendit rapidement un peignoir, et les 2 amants quittèrent rapidement l'appartement, passant devant un local duquel sortait de la fumée, avant de se mettre à l'abri dehors : la sirène des pompiers retentissait devant une foule grossissante.
Julie, la jeune et jolie voisine de David sur laquelle il avait parfois fantasmé, s'approcha d'eux :
- Il se passe quoi? J'ai vu de la fumée!
- Je ne sais pas, on dirait un feu mais les pompiers nous en diront plus, répondit Emilie.
La voisine remarqua le look de David :
- Ah oui, toi tu n'as pas trop eu le temps de t'habiller...
Elle remarqua également le porte-jarretelles un peu déchiré :
- Mais c'est quoi ça? Tu me caches des trucs?
Devant le regard amusé d'Emilie, David réalisa que le peignoir n'était pas assez long pour dissimuler ses sous-vêtements de pute, et balbutia...
- Euh, non, c'est pas ce que tu crois, je...
A ce moment, Maître Karim arriva vers le trio :
- Bonjour Mademoiselle. Ce n'est pas ce que vous croyez, en effet! Mais je vais y venir. Se tournant vers Emilie et David :
- Alors, que se passe-t-il?
Avant d'ajouter plus discrètement :
- Vous avez mis le feu au lit? s'amusa-t-il.
Emilie se mit à rire de bon cœur et raconta avec détails comment s'était passée la suite, jusqu'à l'alarme.
Julie, quelque peu restée en retrait, s'en alla quérir des nouvelles de l'incendie, craignant pour son appartement.
David écoutait la description passionnée de son amie, tout en étant totalement humilié de sa condition, même s'ils étaient en retrait de la foule, cachés derrière un van.
Karim s'amusa beaucoup du récit, posa moult questions sur ce qu'elle avait ressenti, les sentiments de puissance et de contrôle, l'humiliation du soumis, et son envie de recommencer : David réalisa que ses 2 « tortionnaires » présentaient une affinité troublante, peut-être même dangereuse pour la suite, surtout lorsqu'Emilie expliqua que ça la tenterait bien de poursuivre cette exploration : la boîte de Pandore avait été ouverte!
La jeune voisine revint :
- Bonne nouvelle, simple incendie de poubelle dans le local, l'incendie est sous contrôle!
Karim rebondit sur ces paroles :
- Ah, parlant de contrôle... vous voulez savoir pourquoi sa tenue?
A la surprise d'Emilie et de David, il ouvrit sans vergogne le peignoir et exposa l'indécence du soumis en le forçant à pivoter sur lui-même :
- Voici Jenny, l'alter ego de David, encagée, avec un gros plug anal pour garder tout le sperme que j'y ai déposé, et qui devait devenir une putain qui travaille pour moi si elle avait été castrée au cours d'un petit défi!
La voisine porta les mains à sa bouche de stupeur avant de finir par s'esclaffer devant l'indécence exposée, ce petit sexe bien dur, ces couilles gonflées et cette tenue improbable!
- Mais mais...
Elle fixa l'engin en état de sidération, après avoir regardé une nouvelle fois le cul rempli par le plug, duquel un peu de sperme avait malgré tout réellement coulé sur ses cuisses tellement il avait été défoncé, avant de focaliser sur les couilles pleines, toujours dans une forme de choc :
- Purée, je ne savais pas que tu étais gay! Tu as pris cher dis-donc! Si j'avais su qui tu étais vraiment, je t'aurais présenté des potes au lieu de croire bêtement que je te plaisais!
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Emilie était amusée : elle avait reçu l'invitation de son ami David à une « session de dressage » spéciale qu'il subirait de son maître, et pour la 1ère fois sous ses yeux.
Elle repensait à toutes ces années passées à flirter et même plus avec son collègue, ce jeune manager plein d'assurance, serviable et attentionné, devenu son ami, mais aussi avec un soupçon de perversion et de soumission qu'elle avait détectée assez vite. Et il avait simplement fallu un échange pour faire basculer leur vie dans une tout autre dimension!
David prétendait qu'il ne serait jamais soumis à une femme! Et pourtant, il était là à se faire sodomiser par une queue immense, celle de son maître, tout en étant habillé en sissy, tout ça parce qu'elle l'avait simplement désiré et évidemment parfaitement orchestré...
Pour Emilie, les hommes étaient tous les mêmes, et David ne faisait pas exception : il avait suffi de jouer avec sa « petite antenne » et garder son ami excité pendant des mois, sous contrôle, en donnant assez, mais jamais trop, afin de le frustrer et de l'amener à explorer ses fantasmes, même les plus inavouables!
Et que de belles découvertes pour Emilie : derrière ce petit gars prétendument hétéro sans histoire se cachait une belle pute soumise qui ne rêvait que de devenir femelle! Et Emilie avait décidé qu'il le serait. Mais ce qu'elle se préparait à vivre allait dépasser bien ses espérances...
Emilie prenait un vrai plaisir à le voir se faire défoncer le cul sous ses yeux comme la dernière des putes! Pendant des mois, Emilie s'était amusée à décrire des fantasmes avec David, tous les deux, puis avec d'autres, des femmes, mais aussi des hommes... David s'était prêté au jeu, découvrant des fantasmes qu'il n'aurait jamais imaginées, comme sucer une bite ou se faire prendre par un mec! Il voyait que son amie était émoustillée par ses descriptifs aussi crus que réalistes, même si parfois leurs fantasmes allaient bien plus loin que ce qui était possible ou légal : finir baisé par un chien ou bouffé en mode barbecue, l'idée n'était pas totalement « déplaisante » mais guère probable, s'amusaient-ils ensemble.
- Ah non, en effet, la société n'est pas trop prête! Alors que toi, un pieu dans le cul à tourner sur le feu pendant que le chien bouffe tes couilles, tu es chaud et prêt au sacrifice!
- Ah ah ouais! De toute façon, comme tu me cuirais facile 3 ou 4 heures, en effet, je serais plus que chaud!
David savait qu'Emilie était bien capable de tout, et s'il la redoutait secrètement pour ça, il en était aussi très excité, espérant qu'elle repousse encore et toujours plus ses limites comme elle le faisait depuis des années... faire une photo à poil, porter une cage de chasteté, se laisser masturber au ciné, porter un plug, avoir quelques photos diffusées sur internet... les étapes étaient progressives.
Emilie voyait que David en voulait toujours plus, aussi, elle l'amena vers un énième challenge, véritable point clé pour la suite des évènements : le soumettre à un homme sur internet, un maître, qui accepte de « dresser » David lors de sessions hebdomadaires...
Une fois trouvé, et après quelques négociations sur les conditions de soumission, ce Maître sauvegardait photos et vidéos qu'il postait sur un site privé à destination de son soumis et de son amie qui se régalait de la déchéance à laquelle elle assistait :
- Les hommes, ces êtres si faibles et si manipulables! se disait-elle, avec une pointe d'excitation, d'amour sincère pour son ami, mais aussi de sadisme car, au fond d'elle, elle se savait véritable Maîtresse dominatrice sans concession, dès lors qu'elle y trouvait son intérêt. Et son intérêt était son plaisir. Et son amusement!
Une fois la confiance donnée et le rythme trouvé entre David et son Maître, une nouvelle étape fut franchie lorsqu'ils se rencontrèrent : Emilie lui avait conseillé de passer ce cap pour y découvrir un autre plaisir, pour bien ressentir les choses, bien mieux qu'avec un gode et un homme à distance! Et David, une nouvelle fois, se laissa dominer par ses sens et accepta.
La 1ère fois fut aussi stressante que rassurante : le maître le guida comme à son habitude lors de leur session internet, l'obligeant à prendre des positions, d'abord sexy, suggestives, avant de progressivement basculer dans la pornographie la plus animale, fesses écartées, parties exposées... et tout bascula quand David se retrouva avec la bite du Maître dans la bouche, avant qu'elle aille fourailler son anus sans aucun ménagement!
La 1ère session live fut enregistrée pour la mémoire du monde, qui augurait de plusieurs autres sessions où, petit à petit, David était chosifié, utilisé comme table, repose-pieds, suçant son maître quand il regardait la TV... son cul finit même par servir de repose bouteille grâce à un travail de fisting progressif.
Emilie était abasourdie de voir que son ami, qui n'avait eu que des relations hétérosexuelles, avait aussi facilement embrassé le monde de la soumission bi hardcore!
David fut naturellement sissifié, prêté à des amis de son maître lors de séances privées, parfois pour quelques euros, juste histoire de lui offrir une condition officielle de « pute », rémunérée...
- J'en ai fait une lope totale! A croire qu'il ne cherche plus que ça! se dit Emilie, esquissant un sourire de satisfaction.
Quand ils se voyaient, David et Emilie abordaient rarement directement tout ce volet de vie, se concentrant sur leur vie de famille, les ennuis au boulot, les vacances à venir, les sorties avec les potes... car malgré tout, cette vie alternative restait limitée (les sessions ou rencontres restaient marginales, espacées), secrète, sans impact sur leur vie normale, certainement car elle s'était développée assez naturellement, voire même normalisée dans une routine et un équilibre qui leur étaient propres.
Jusqu'à ce jour fatal où David voulut pousser Emilie dans ses derniers retranchements en lui offrant pour son anniversaire une emprise totale sur lui! David adorait donner le contrôle à son amie : elle pouvait détruire sa vie d'un battement de cil, ne serait-ce qu'en diffusant ses films et vidéos!
Mais il avait pensé à mieux : depuis un moment, et en échangeant sur ses fantasmes avec elle et son maître, il s'était amusé à parler de castration... il voulait savoir jusqu'où elle serait prête à aller!
La force d'Emilie était de ne pas révéler tout ce qu'elle avait en tête, de garder le contrôle... et David voulait savoir et prendre ce risque... car cela l'excitait, et il le désirait ardemment!
- On va voir de quoi elle est vraiment capable ma sexy bitch d'amour!
David avait décidé d'inviter Emilie à assister à une session avec son Maître... c'était la 1ère fois qu'il serait aussi humilié devant son amie! Se soumettre à un homme, obéir, ne pas avoir son mot à dire... c'était une chose de le faire à distance, sans présence d'Emilie, parfois même elle ne regardait pas ou au mieux en partie et en différé... mais en live, et avec elle, c'était autrement plus impressionnant! Et Malgré son expérience qui grandissait, il se sentait comme un petit garçon tout penaud devant sa maitresse : jamais être à poil devant elle l'avait mis aussi mal à l'aise, il sentait son sexe se recroqueviller, tout petit, et le regard que posait Emilie dessus avec son sourire moqueur le confortait totalement dans le partage de cette appréciation!
Ce jour-là, elle avait sonné à la porte : pour la 1ère fois de sa vie, David l'avait reçue habillé en soubrette, version Sissy Jenny. Emilie avait gloussé devant ce spectacle inattendu, se retenant de ne pas rire.
Après cette surprise, elle lui porta un autre regard, et se rendit compte qu'elle aimait bien son look avec sa petite robe blanche moulante, son porte-jarretelles noir de pute, et son maquillage qui lui donnait un air faussement innocent. « Mais quelle salope! » se dit-elle, réalisant à quel point David l'était.
Elle fut interrompue dans ses songes par une voix très virile :
- Ah vous êtes là ; chère Emilie! Prenez place, Jenny va s'occuper de vos affaires.
Le Maître l'avait reçu comme s'il s'agissait de son appartement, humiliant un peu plus David devenu Jenny, qui alla ranger docilement le manteau de son amie.
- Bonjour, Maître Karim.
- Très heureux de vous rencontrer enfin pour vous remercier d'avoir amenée cette petite trainée dans ma vie, une vraie vide couilles de compétition!
- Très heureuse également, j'ai rapidement deviné que vous formeriez un beau couple avec votre femelle!
Emilie jouait le jeu avec un naturel désarmant pour David, comme si tout n'était qu'évidence pour elle!
- Désolé mais cette femelle ne sera jamais en couple avec moi, rabroua Maître Karim. Vous comprenez que j'ai un standing et que malheureusement, une pute doit simplement servir à satisfaire, pas à s'installer avec quelqu'un, si ce n'est dans sa cave avec ses chiens!
David était presque blessé de cette remarque car malgré toute sa relation BDSM avec son maître, l'entendre le rejeter de la sorte était comme un cinglant coup de fouet sur son cul!
- Pardonnez-moi cher Maître, évidemment la pute n'aura que ce statut, et si elle est célibataire et vous sert, c'est bien parce que je ne vois pas d'autres utilité à sa pathétique vie.
Cette remarque de nouveau blessante pour David, amusa au contraire beaucoup le Maitre qui rit de bon cœur et sentit que leur complicité était parfaite pour la suite!
- Trêve de plaisanterie, vous êtes là pour assister au sacrifice de votre brebis qui souhaite être baisée sous vos yeux, mais aussi parce qu'elle m'a fait une demande originale... je vous en laisserai prendre connaissance au bon moment!
Emilie était très intriguée, ce qui augmentait son excitation : son petit minou était déjà bien humide!
Le Maître la convia avec Sissy Jenny dans sa chambre.
- Ce lit Queen size est parfaitement adaptée... pour ma reine!
Il claqua le cul de Jenny pour qu'elle se mette en position, à 4 pattes sur le lit.
Emilie s'installa sur un fauteuil confortable donnant une parfaite vue sur son ami.
- Emilie, comme vous le savez, c'est un cadeau pour vous alors profitez du spectacle, celui-ci est librement interactif donc si vous avez envie de participer... faites-le!
Le maître ajusta la lumière afin que l'ambiance soit tamisée, et lança une musique cool-jazz du meilleur effet, donnant le sentiment d'être dans un de ces cabarets de luxe pour touristes.
Maitre Karim claque de nouveau le cul de David qui se retourna vers lui... il dégrafa le pantalon de son Maître, avec une maladresse qui amusa Emilie, révélatrice d'un stress presque virginal. Elle se régalait!
David sortit le sexe de son maître, qui ordonna : « fais-le sale pute! »
Il croisa le regard de son amie qui avait placé sa main sous sa robe, se caressant très lentement, avec ce sourire qui voulait dire « ça y est, tu es vraiment devenue ma pute! ». Elle ne put d'ailleurs se retenir :
- Allez suce ton maître, putain, et n'oublie pas les couilles!
Obéissant, David se mit à lécher le sexe de Maître Karim, lentement, de haut en bas, puis les couilles, tentant bon gré mal gré d'en gober une, obtenant un râle de satisfaction de son maître... puis il s'attaqua au gland, le titillant de la langue... «
Bon Dieu quelle pute, on dirait qu'il a fait ça toute sa vie! », songea Emilie, se caressant toujours lentement, profitant de chaque instant...
Puis David goba le gland et fit coulisser le pénis jusqu'au fond de sa gorge... Il suça ainsi son maître quelques minutes, avant de demander :
- Montre-lui tes capacités qu'on a travaillées
David comprit et fit ce qu'il n'aimait pas vraiment, mais qu'il avait appris à réaliser avec le temps : une gorge profonde! Le pénis de 20 cm s'enfonça lentement et non sans mal dans sa gorge, son cou devenant distendu, sous les yeux ébahis d'Emilie... puis il ressortit avec un léger hoquet de David.
- Tu peux mieux faire, ma pute... Allez!
Et David recommença mais plus rapidement... et fit quelques va et viens... toutefois son Maître en voulait plus, et se saisit de la tête du soumis, pour lui enfoncer violemment les 20 cm dans sa gorge, surprenant l'esclave!
Puis, Maître Karim décida de s'activer plus violemment et baisa la bouche de la pute sans aucune pitié, faisant presque craindre à Emilie de l'étouffer! « Il ne manquerait plus que ça qu'il meurt baisé comme une pute!... Ce serait atroce... ce serait si humiliant... hmmm... comme une pute... tant d'humiliation... hmmm ». Emilie était au bord d'un 1er orgasme lorsqu'après quelques va et viens violents, Maître Karim se figea et s'enfonça d'un coup sec pour jouir!
Emilie vit que David était au bord de l'étouffement, d'autant qu'il commençait à avaler péniblement de très épais jets de foutre... elle ne put réprimer son 1er orgasme!
- Ah putain, elle est si bonne cette chienne, chère Emilie! Ah putain, je me vide en elle! Je n'ai eu aucun orgasme depuis des semaines! Je suis rempli de bon sperme chaud pour cette chienne! Aaah!
Alors que David avait du mal à respirer, son Maître se retira d'un coup, au point que du sperme fut régurgité par effet d'aspiration! David cracha sur le sol une partie du sperme que son Maître lui enjoint de lécher et avaler, avec le soutien d'Emilie :
- Voilà ma pute, ne me fais pas honte, ne gâche rien de la bonne nourriture de ton Maître!
David se mit à 4 pattes pour lécher et avaler : le dos cambré, la croupe relevée, en demande...
- Bonne chienne! N'oublie pas le pénis de ton maître : il en reste encore!
David était totalement humilié devant son amie, bandait dur dans sa cage et se mit à lécher le pénis, à aspirer, pour avaler la moindre goutte...
- Oui, c'est une bonne chienne, elle ne laisse jamais une goutte, vous n'imaginez pas les litres de sperme qu'elle a déjà avalé! Elle pourrait tapiner dans la rue qu'elle ne serait jamais satisfaite!
- Oh, c'est amusant que vous parliez de ça, c'est un fantasme qu'on a partagé!
Mais c'est compliqué à mettre en place, d'autant que je n'ai pas le temps et que j'ai une vie!
- Justement, c'est une excellente transition...
Le Maître gifla Jenny qui reprit position à 4 pattes sur le lit, conformément à un scénario bien huilé entre eux, base de la surprise qui serait offerte à Emilie.
- Chère Emilie, votre pute a partagé beaucoup de fantasmes et j'ai cru comprendre que vous n'en étiez pas étrangère... alors si vous m'autorisez, voici ce que cette sissy a imaginé!
Emilie était très intriguée... tant de fantasmes avaient été partagés, lequel David avait choisi d'initier? Le Maître apporta la réponse :
- Votre pute a donc décidé de se faire baiser sous vos yeux, ce qui est un énorme pas selon moi. Mais la suite est plus délicieuse encore... à propos de délice, remets-toi à me sucer pendant que j'explique à ta Maîtresse.
Sissy Jenny se mit à genoux et lécha de nouveau son maître afin qu'il retrouve de l'énergie sexuelle : Emilie décida d'immortaliser cela avec son téléphone portable :
- Je devrais en faire un live facebook ou tiktok!
- Ne vous inquiétez pas, tout est filmé dans la pièce depuis le début : elle a déjà des fans à travers le monde!
Emilie était ravie mais zooma quand même pour garder ce souvenir pour elle... et éventuellement des amies!
- Jenny souhaite que je la baise mais aussi qu'elle vous donne du plaisir... mais pas d'inquiétude, elle a bien compris que son minuscule engin ne servirait à rien, il est d'ailleurs dans la micro-cage que vous lui avez offerte, et ce depuis 2 mois!
Emilie était particulièrement excitée à cette idée : David était frustré depuis 2 mois, alors qu'elle le chauffait à blanc et que son maître le baisait régulièrement! Il devait être plein à craquer!
- Pendant que je la baiserai, vous aurez l'opportunité qu'elle vous lèche le clito, ou ce que vous voulez, jusqu'à ce que je jouisse en elle.
- Oh, c'est gentil! Et sans capote je présume?
- Evidemment! On ne met pas de capote quand on baise une pute, dit-il, en levant les yeux au ciel. Mais voici la partie croustillante : Jenny souhaite que vous lui posiez un élastrator, c'est-à-dire cet élastique dure comme un caoutchouc hyper résistant, extrêmement serré, qui permet de castrer les animaux en coupant simplement l'arrivée du sang!
Emilie était stupéfaite :
- Pardon? Jenny veut être castrée?
- Ah, je ne sais pas si elle le souhaite réellement, j'en doute même, mais elle a émis ce désir de vous donner un contrôle entier sur ses organes génitaux!
- Et bien... je suis étonnée... mais agréablement surprise de ce sacrifice!
Elle fixa David afin de le jauger, et il lui renvoya un regard qui en disait long sur ce défi : « tu voulais jouer, on joue! ». Emilie lui adressa en retour un sourire que David comprit immédiatement : elle actait le jeu : que la parte commence!
- Evidemment, vous décidez de la suite car pour ma part, je vais juste la baiser, et après, vous disposez d'un ciseau sur la table à côté du lit pour couper le caoutchouc si vous souhaitez préserver votre esclave.
- Et bien, c'est assez amusant, risqué, mais l'idée me plaît beaucoup, en effet! En revanche, qu'elle est le lien avec le fait qu'elle fasse la pute?
- Ah oui, j'allais oublier l'essentiel! Jenny a demandé que si elle se retrouve castrée, sa vie n'aura plus trop de sens, elle vous sera inutile, donc elle accepte de devenir ma pute... enfin, elle l'est déjà! Je veux plutôt dire, ma gagneuse, ma prostituée, qu'elle fasse le tapin quoi, vous avez l'idée!
Emilie était une nouvelle fois prise de court : était-ce sérieux?
Alors que David suçait l'énorme queue qui redurcissait lentement, elle le vit esquisser un sourire de défi qui lui apportait la réponse qu'elle attendait : « tu t'y attendais pas à celle-là, ma cocotte! ».
Emilie jaugea la chose, et après quelques instants d'intense réflexion ; elle prit finalement sa décision.
- Et bien on va laisser le hasard décider! Si la pute me fait jouir, j'aurais peut-être pitié d'elle... Sinon, je vous la laisse : qui a besoin d'un eunuque?
Le défi était donc scellé et l'excitation était à son comble!
- Parfait chère maîtresse! Pour vous aider, sachez que la sissy porte les éléments qu'il faut.
Il gifla de nouveau David qui se remit en position à 4 pattes sur le lit. Maitre Karim releva sa robe pour faire apparaitre les parties génitales parfaitement épilées, son sexe tenait bien dans la micro-cage, son anus était bouché par un plug qui semblait très large. Emilie remarqua qu'il était également vêtu d'un gode-ceinture ultra réaliste et de fort belle taille, montrant encore un peu plus la différence colossale entre le sexe de son ami et une belle queue!
- Vous voyez, si vous avez envie qu'elle vous pénètre avec un véritable engin, tout est prêt!
Tandis qu'Emilie se délectait de la situation, Maître Karim se saisit de l'élastrator :
- Voici l'engin qui peut changer une vie, et vous seriez mon obligée si...
Emilie ne laissa pas le Maître terminer et, avec toute la conviction qui l'habitait, se saisit de l'engin : tout cela lui donna un sentiment de puissance incroyable! Avec ça, elle pouvait changer le destin de son ami, son soumis, sa pute...
Elle comprit rapidement le mécanisme de l'appareil, proche de celui d'un pistolet : il suffisait d'appuyer sur la gâchette et le caoutchouc était élargi, puis le relâcher afin qu'il enserre les testicules. C'était rapide, net, et sans bavure!
Sans attendre, elle se positionna derrière David, appuya sa main sur ses fesses pour se tenir en équilibre puis saisit les couilles de sa main gauche avant de les tirer vers elle sans ménagement. David fut surpris par tant d'engagement, d'autant qu'elle s'amusa à malaxer comme de la pâte, lui soutirant de petits cris de douleurs :
- Et bien ma pute, tu ne vas pas faire la chochotte! Si ça te fait mal, je devrais plutôt te les couper de suite avec les ciseaux, non? Ca n'irait pas plus vite? C'est ce que tu veux?... dis-le moi et je le fais...
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Derrière mon visage d'ange se cache une Maîtresse intransigeante.
Si vous voulez connaître le frisson et l'extase de subir le joug d'une sublime dominatrice sans demi-mesure, il vous faudra faire une candidature digne de ce nom.
Expérimentée, je saurai vous transporter dans un univers où la douleur exacerbera votre plaisir. L'esclave qui est en vous n'aura de cesse, l'instant d'une parenthèse intemporelle, que de me vénérer et de vibrer dans l'attente de mes désirs et de ma volonté de vous posséder. .:.