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AngeouDemon
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Bonjour. Amateurs, amatrices de sissyfication, féminisation, travestissement, ce groupe vous permettra de vous retrouver, vous découvrir, échanger vos pratiques.... Par contre, s'il vous plaît, pas d'annonces de recherche ici. Merci

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Dom carina
Suite Elle reposa l'élastrator et se saisit des ciseaux, commença à le positionner autour des couilles... elle mettait les lames en contact avec sa peau ; effleura ses couilles, son pénis... L'excitation des 2 amis était à son comble! - Alors, que veux-tu? Je coupe et tu deviens la pute castrée que tu veux être?... Dis-le moi. David respirait vivement... il était tellement excité de sentir sa virilité se jouer à rien... il ne le devait pas mais il hocha la tête, ce qui surprit Emilie - Pardon? Tu as dit oui? J'y crois pas! Tu en es là? Bon si c'est ta volonté... Elle se saisit d'une serviette qui trainait négligemment sur le lit : « je vais la placer sous tes couilles car ça risque de saigner un peu... Voilààààà... Devant le regard terrifié de David, Emilie commença à serrer le ciseau telle la mâchoire de métal qui se referme sur sa proie, quand soudain, elle s'interrompit : - Attends, ce n'est pas le deal, petite salope! Allez, j'ai un orgasme à avoir et on coupera peut-être après! David fut soulagé qu'elle se soit ravisée, bien incapable d'évaluer si elle l'aurait fait en d'autres circonstances : c'est pour ça qu'il aimait Emilie, et pour ça qu'il la craignait! Il sentit de nouveau son amie se saisir de l'engin, vit qu'elle appuya sur la gâchette, avant d'encercler les testicules. - Maître, c'est comme ça, puis je relâche? Le Maître, qui avait adoré cette petite séquence avec les ciseaux au point que son érection était redevenue à son maximum, confirma : - Tout à fait! Et vous relâchez! - Très bien, c'est le 1er animal que je vais castrer! Emilie relâcha doucement la gâchette pour ne pas faire mal à son ami, qui, malgré tout, sentit rapidement un inconfort et un début d'engourdissement faute de circulation sanguine. - Parfait Emilie, on dirait que vous avez fait ça toute votre vie! - Oh non, je n'ai aucun mérite, Jenny a de toutes petites couilles de pucelle, c'était facile à faire! Ah ah! Mais au fait... en combien de temps elle sera castrée si on ne retire pas le caoutchouc? - Ah, j'aurais dû commencer par cela, mais j'ai été distrait quand vous avez joué à « feuille papier ciseau coupe couilles » avec la pute! s'amusa-t-il. Pour vous répondre : au bout d'une dizaine de minutes, les dégâts peuvent être provoqués, et seront au moins temporaires avec troubles de l'érection, voire occlusion des canaux... Pas très grave mais handicapant. - Ah oui, quand même! Et après? - Et bien disons que c'est variable selon la virilité de l'animal, et le vôtre est plutôt chétif, donc je dirais qu'après environ 45 minutes, elles seront probablement et irrémédiablement... mortes! - Oh, alors il faudrait peut-être ne pas tarder afin que la chienne nous donne du plaisir et tente de sauver le peu qu'elle a encore entre les jambes? s'amusa Emilie. David commença presqu'à regretter d'avoir succombé à son côté gay, plutôt qu'à essayer de développer son hétérosexualité avec elle! Alors qu'Emilie, au contraire, était exactement là où elle rêvait de l'amener : elle allait prendre son pied comme jamais, sans qu'il puisse jouir, en cage, avec une délicieuse option de castration, tandis qu'il serait juste un vide-couilles! Quant au maître, il retira sous les yeux d'Emilie le gros plug qui laissa le cul béant, mais parfaitement adapté à la gigantesque queue du Maître! - Impressionnant, n'est-ce pas? - Ah oui, il ne va jamais se refermer, aie! J'ai vu des vidéos où vous l'aviez fistée! Quand je pense qu'elle était incapable de se goder à sec, maintenant on pourrait y mettre le bras entier! Dit-elle, regardant, ébahie, la cavité béante qui s'offrait à sa vue. - Oh, je vous propose qu'on essaye cela si vous voulez? - Merci, peut-être une autre fois car le temps tourne, et on a une autre urgence à régler! - Ah, sa castration, oui, il ne faut pas attendre! - Ah non, Maitre, je m'en fous! J'ai surtout envie de le voir se faire enculer avec votre monstre! Et de toute façon je prendrai mon pied quand je l'aurais décidé, pas quand il en aura besoin pour sauver ses malheureuses petites boules! Le Maître éclata de rire avant de s'empaler directement dans le cul de David qui émit malgré tout un cri car aussi étrange que cela soit, malgré tout ce qui avait défilé dans son cul, il se refermait toujours vite, comme un mauvais sort qui le rendrait pucelle... Emilie se mit encore une fois à filmer, tantôt le visage, tantôt le cul, pour garder et partager ce souvenir incroyable : elle voyait le cul de son ami dilaté par cette queue épaisse, tandis que sa cage ballottait à chaque coup de boutoir, et ses couilles étaient peu à peu violacée par cet enfermement... Quelle folie que de l'avoir mise au défi! Après quelques minutes interminables aux yeux de David qui regardait les minutes passer, Emilie se mit nue et s'allongea contre la tête du lit, face à son esclave, qui était totalement amoureux devant la beauté de son amie, qu'il n'avait jamais vu aussi belle... - Allez, au boulot, suce-moi les seins... Emilie ne voulait pas jouir trop vite et profiter de chaque minute avant l'inévitable... si elle pouvait tenir 10 minutes, ce serait déjà parfait : David aurait eu la peur de sa vie, et elle l'orgasme de la sienne! Et si ça dépasse, à David de faire l'effort qu'il faut... sinon, tant pis! David oubliait son statut de pute, et malgré l'enculade sauvage qu'il recevait, il se concentrait sur les magnifiques seins de son amie, les léchant comme un bébé affamé qui tète sa mère, les malaxant, les mordillant, passant de l'un à autre, obtenant des soupirs de son amie... il oublia même ses couilles engourdies... Déjà 5 minutes... Le maître lui claquait le cul comme pour le réveiller de sa torpeur, et Emilie lui fit signe de s'attaquer à ses lèvres vaginales... il s'attaqua alors rapidement à son clitoris avec vigueur, mais Emilie voulait y aller plus lentement... - Tout doux, petite chienne, on n'est pas pressés... profite un peu! Profiter? Il jouait sa sexualité, sa virilité, alors qu'elle jouait juste l'heure de son orgasme! Mais au fond de lui, il profitait malgré tout de la situation totalement unique... 8 minutes étaient passées, et le Maître ne put se retenir plus longtemps! - Oh mais putain, cette chienne est juste parfaite! Aaaaah! Il éjacula de nouveau d'épais jets de foutre au fin fond des entrailles du soumis, ce qui faillit déclencher un orgasme à Emilie, qui, heureusement, sut se contenter de délicieux micro-orgasmes, afin d'en profiter encore un peu! Le Maître se retira du cul béant qui crachait encore du foutre en quantité, reprit sa respiration, puis se rhabilla avant d'allumer une cigarette. Après quelques bouffées, il leur signifia qu'il partait : - Chère Maîtresse, la suite vous appartient, vous aurez le film en gros plan quand je l'ai baisée, alors soyez sans crainte, prenez votre temps... ou pas! Ah, sachez juste que... Et voilà : 10 minutes atteintes! A partir de là, c'est un contre-la-montre! Bon courage sissy, ta maitresse est une sacrée joueuse, tu prends des risques! Alors que le Maître quittait l'appartement, Emilie se dit qu'elle n'était plus à quelques minutes près et demanda, au grand désarroi de David, de ralentir : - On va un peu profiter ma belle... tu es une telle salope, je te jure! Mais maintenant, mon petit poney, je veux que tu me baises réellement! David était aux anges : il allait la baiser! Enfin! Voyant son excitation, Emilie intervint : - Euh, attends, calme-toi ma belle, je veux sentir quelque chose, tu ne crois pas que tu vas me toucher avec ta micro-bite? Ah ah, la blague! Allez, baise-moi avec le gode! David tomba des nues en se rappelant qu'il portait ce fameux gode ceinture... son amie se redressa et se mit à 4 pattes : - Allez, chevauche-moi bien! Prouve-moi que tu as un bon coup de rein qui mérite de te sauver! David était malgré tout totalement excité : il ne sentait plus trop ses testicules engourdis, se demandait si des dégâts irréversibles avaient déjà eu lieux, mais il voulait croire que son érection, bien que terriblement contenue dans la cage, était un signe qu'il était encore intact, ce qui suffit à le re motiver en vue de rapidement faire jouir sa maîtresse. Il se mit à genoux derrière la superbe croupe de son amie, son cul totalement offert, au point qu'il ne put s'empêcher de céder à son désir : il précipita sa bouche vers la chatte et le cul offerts pour les bouffer avec une l'énergie du désespoir, surprenant agréablement Emilie, qui ne put réprimer un cri de surprise... et de plaisir! - Ooooh! Hmmm et bien ma belle, je ne m'y attendais pas hmmm... quelle langue! Hmmm continue, lèche bien ta maitresse, petit eunuque... voilà, c'est bien ça... aaaah! David savourait cette moule délicieuse, fouraillant entre les lèvres, s'attardant sur le clito, avant de remonter vers le cul pour titiller son anus étroit, la dévorant comme jamais il n'avait dévoré personne auparavant! Il passait aléatoirement de la chatte au cul, sentant son amie trempée comme jamais, et espérant qu'elle jouisse car le temps passait... C'est alors qu'elle intervint, en nage : - Allez, maintenant baise-moi sale chienne, j'en peux plus! David se redressa et enfourcha la belle d'un seul coup de gode, à la fois excité et frustré de ne pouvoir la baiser lui-même, de sentir ses muqueuses brûlantes autour de sa chaire durcie, les couilles pleines et le pénis qui voulaient sortir de sa cage de métal. - Oh putain oui c'est si bon mon petit castra, oh, je sens que je ne vais pas tarder à jouir, vas-y empale-moi! David redoublait d'intensité et se mit même à claquer le cul de sa belle, qui adorait ces petits jeux de domination où, quel que soit son rôle, elle savait qu'elle gardait le contrôle... Alors que plusieurs minutes étaient passées sans obtenir le Saint-Graal, Emilie cria : - Stop! Arrête-toi! David, surpris, cessa progressivement ses coups de boutoir dans la belle, avant de retirer le gode trempé de la chatte béante... Emilie reprit quelques instants son souffle, ne se souciant guère des minutes qui passaient puisque son objectif était son orgasme, et elle le voulait inoubliable, pour elle, et pour lui! - David, j'ai une idée... j'ai envie de te sentir en moi... David eut le cœur qui se mit à battre la chamade : enfin? Il va pouvoir la baiser? - Je veux que tu me baises avec ta petite queue qui doit être au taquet, sentir ta chaire qui n'en peut plus, sentir que tu veux éjaculer dans ta maitresse... - Oh Emilie, ma maitresse, ce serait mon plus grand vœu que de jouir avec vous! - Euh pardon? Attends! Ah non, tu m'as mal compris! Elle explosa de rire, toujours à la recherche de son second souffle : - Tu vas juste me baiser mais tu vas garder ton anneau testiculaire : je veux jouir en te sachant en cours de castration! Du temps est passé et je ne sais même pas si tu pourrais vraiment orgasmer de toute façon! David nota que plus de 20 minutes étaient écoulées déjà... Elle reprit : - De toute façon, je m'en fous, je veux juste te sentir impuissant en moi donc tu vas garder ton élastrator. David était abasourdi... il comprit qu'il n'était qu'un jouet sexuel pour son amie, et que son potentiel sacrifice n'était qu'une péripétie de plus à laquelle elle semblait totalement indifférente, ou incapable de prendre réellement conscience de la chose, trop emprise par son plaisir. - Et sache que si tu jouis, je te jure que je te castre : je ne veux pas une goutte de sperme dans mon vagin! Il ne manquerait plus qu'un eunuque castré me mette en cloque! Tu imagines comment on expliquerait ça à nos amis, à ma famille? L'idée de la mettre enceinte ne gênait pas David, il avait même un jour pensé que s'il avait été en couple avec elle, ils auraient baisé comme des fous et eu des enfants... mais elle venait de balayer ça d'un revers de main! Il ne lui restait plus qu'à lui faire obtenir cet orgasme salvateur pour lui éviter le pire... - Oui maîtresse, bien sûr, je comprends. Emilie sourit, heureuse de cette victoire totale sur son ami. Elle se saisit de la clé de sa cage et la retira : sa queue, bien que petite, fripée et souffrante, se mit à grossir. Pas si mal, se dit-elle, pour 11 cm se dit-elle! Elle nota aussi ses couilles presque bleues, pleines. Dommage pour tout ce bon jus, mais elle préférait rester à son plan initial : - Allez, vas-y, baise-moi, et essaye de me finir, presque 25 minutes sont passées... Qui sait, tu as peut-être encore un espoir... mais seulement si tu ne jouis pas! Espère que ce caoutchouc fait bien son travail et qu'il t'évite le pire... Le pire? Si cet embout fait son travail, c'est qu'il le castre bien! Et c'est bien ça le pire, non? David ignorait si son amie était sérieuse mais il n'était pas question de tergiverser, et il allait enfin la « ressentir », ce qui suffirait déjà à son bonheur! Il se positionna derrière en pénétra la chatte dégoulinante de mouille avec beaucoup d'aisance, même si un râle le réconforta sur ce qui restait de sa virilité : « elle semble apprécier! ». En effet, bien que petit, le sexe de David avait tellement gonflé de frustration qu'Emilie sentait sa cavité tout à fait disposée et adaptée au coït à venir, au point elle-même de reculer d'un coup sec pour bien s'empaler sur son ami. Les 2 amants commencèrent cette baise animale avec la passion dévorante proportionnelle à l'énormité de toute cette journée, et David sentit ses couilles lui faire mal, désireuses de lâcher la purée... il savait que sans ce maudit anneau, il aurait déjà joui, ce qui aurait créé probablement sa perte car il savait Emilie sérieuse quand elle « jouait » avec lui. Il se mit à la baiser de toutes ses forces... et elle se mit à crier de plaisir, à hurler de joie, elle adorait ce sentiment de puissance, de pouvoir s'abandonner à un orgasme qui promettait d'être grandiose, rendus unique par la frustration qu'elle générait à son ami, la peur qu'elle percevait chez lui d'être castré, l'humiliation qu'il avait subie en étant baisé sous ses yeux par un mec 5 fois gaulé comme lui, par le sperme qui remplissait son cul! Avec toutes ces pensées, Emilie sentit l'orgasme venir comme un tsunami, et cria de toute son âme : - ooooh ouiiii putaiiiin!! Son vagin se contracta violemment sur le pénis de David, qui eut à son tour envie de jouir, se résignant presqu'à abandonner sa virilité pour ce douloureux dernier orgasme, mais sa terreur d'être castré lui coupa son élan, le frustrant comme jamais. Il réussit à ne pas jouir! Tous deux s'écroulèrent haletant sur le lit, le pénis restant aussi dur que la pierre dans le vagin de son amie... elle se retourna sur le dos et lui intima de rester en elle, ce qu'il fit, et les 2 amants s'étreignirent, et s'embrassèrent avec fougue un long moment... - Merci David, tu as juste été la parfaite petite pute que j'ai toujours adorée! - Merci Emilie, je crois que... que je suis amoureux... et que je pourrais accepter d'être castré si tu le demandais... Emilie sourit et regarda l'heure : un peu plus de 30 minutes étaient passées... - L'idée n'est pas déplaisante... avoir mon petit soumis châtré obéissant que je baiserais sur demande ou que je ferais baiser pour m'exciter... Pour tout te dire, dans l'excitation du moment, j'avoue l'avoir envisagé à certains instants, et je n'ai pas été très regardante sur l'heure... après tout, c'est toi qui risquais, et tu as accepté ce risque donc, si tu joues, tu assumes, et si tu perds ben... Emilie lui sourit... Puis se releva, et se saisit du ciseau : - Mais je vais te libérer! Elle se saisit des couilles énormes et engourdies de David, disposa délicatement les ciseaux afin de couper l'anneau, au grand soulagement de son ami, même s'il ne sentait plus grand chose. En tenant les testicules gonflés, elle lui dit : - Ça donne presqu'envie de les couper sec, ces beaux abricots juteux! David la savait très perverse et l'adorait pour ça : il savait qu'elle détestait la souffrance animale, donc elle ne l'aurait pas fait, du moins, pas sans la garantie qu'il ne ressentirait aucune douleur. Plongés dans leurs pensées, ils se crispèrent lorsque retentit la bruyante alarme incendie de l'immeuble : - Putain, c'est quoi ça? S'écria Emilie. - Je ne sais pas mais... attends, tu sens l'odeur de fumée? Plusieurs alarmes retentirent dans le voisinage, avec des cris, et la panique les prit! Emilie se releva aussi sec et enfila sa robe en quelques secondes, tandis que David, uniquement vêtu de son porte-jarretelles, était perdu à défaut d'habits accessibles : elle lui tendit rapidement un peignoir, et les 2 amants quittèrent rapidement l'appartement, passant devant un local duquel sortait de la fumée, avant de se mettre à l'abri dehors : la sirène des pompiers retentissait devant une foule grossissante. Julie, la jeune et jolie voisine de David sur laquelle il avait parfois fantasmé, s'approcha d'eux : - Il se passe quoi? J'ai vu de la fumée! - Je ne sais pas, on dirait un feu mais les pompiers nous en diront plus, répondit Emilie. La voisine remarqua le look de David : - Ah oui, toi tu n'as pas trop eu le temps de t'habiller... Elle remarqua également le porte-jarretelles un peu déchiré : - Mais c'est quoi ça? Tu me caches des trucs? Devant le regard amusé d'Emilie, David réalisa que le peignoir n'était pas assez long pour dissimuler ses sous-vêtements de pute, et balbutia... - Euh, non, c'est pas ce que tu crois, je... A ce moment, Maître Karim arriva vers le trio : - Bonjour Mademoiselle. Ce n'est pas ce que vous croyez, en effet! Mais je vais y venir. Se tournant vers Emilie et David : - Alors, que se passe-t-il? Avant d'ajouter plus discrètement : - Vous avez mis le feu au lit? s'amusa-t-il. Emilie se mit à rire de bon cœur et raconta avec détails comment s'était passée la suite, jusqu'à l'alarme. Julie, quelque peu restée en retrait, s'en alla quérir des nouvelles de l'incendie, craignant pour son appartement. David écoutait la description passionnée de son amie, tout en étant totalement humilié de sa condition, même s'ils étaient en retrait de la foule, cachés derrière un van. Karim s'amusa beaucoup du récit, posa moult questions sur ce qu'elle avait ressenti, les sentiments de puissance et de contrôle, l'humiliation du soumis, et son envie de recommencer : David réalisa que ses 2 « tortionnaires » présentaient une affinité troublante, peut-être même dangereuse pour la suite, surtout lorsqu'Emilie expliqua que ça la tenterait bien de poursuivre cette exploration : la boîte de Pandore avait été ouverte! La jeune voisine revint : - Bonne nouvelle, simple incendie de poubelle dans le local, l'incendie est sous contrôle! Karim rebondit sur ces paroles : - Ah, parlant de contrôle... vous voulez savoir pourquoi sa tenue? A la surprise d'Emilie et de David, il ouvrit sans vergogne le peignoir et exposa l'indécence du soumis en le forçant à pivoter sur lui-même : - Voici Jenny, l'alter ego de David, encagée, avec un gros plug anal pour garder tout le sperme que j'y ai déposé, et qui devait devenir une putain qui travaille pour moi si elle avait été castrée au cours d'un petit défi! La voisine porta les mains à sa bouche de stupeur avant de finir par s'esclaffer devant l'indécence exposée, ce petit sexe bien dur, ces couilles gonflées et cette tenue improbable! - Mais mais... Elle fixa l'engin en état de sidération, après avoir regardé une nouvelle fois le cul rempli par le plug, duquel un peu de sperme avait malgré tout réellement coulé sur ses cuisses tellement il avait été défoncé, avant de focaliser sur les couilles pleines, toujours dans une forme de choc : - Purée, je ne savais pas que tu étais gay! Tu as pris cher dis-donc! Si j'avais su qui tu étais vraiment, je t'aurais présenté des potes au lieu de croire bêtement que je te plaisais!