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Melanie
            
                
                    
            
        
    Suite
Alors que je suis toujours à m'enculer sur sa queue, je jouis rapidement dans sa main. Je ressens de la honte un moment, mais la vue de la lingerie, cette bite qui me fouille le ventre et ces talons dans mes mains me la font vite oublier et continuer à me sodomiser.
Il me caresse les cuisses, le ventre, mes fesses qu'il écarte au maximum. Il reprend son role d'actif en donnant des petits coups avec son bassin. Il veut que je me remette contre lui.
Un peu à contre coeur,je lache les talons et pose mes mains sur le lit de chaque coté de son torse. Maintenant, c'est lui qui me penetre de puissants coups de reins, tout en me regardant, mon visage au dessus du sien.
- Tu aimes etre avec un homme?
- oui
- Montre moi. Embrasse moi.
Je rapproche mon visage du sien. J'ai encore un peu de réticense à embrasser un homme. Je colle mes levres aux siennes. Il attends ma langue.
Il me laisse faire, pas comme pour mes fesses qu'il besogne comme il l'entend. Timidement j'avance la langue, entre dans sa bouche. Je ressens le contact avec la sienne. Il se met à m'embrasser fougueusement pendant de longues minutes. Alors que je vais pour me relever, il me serre contre lui, ma tete est à coté de la sienne. Il me susurre à l'oreille :
- Tu as embrassé un homme, tu n'en seras plus jamais un maintenant.
Il me retourne tendrement et je me retrouve rapidement avec les chevilles sur ses épaules.
- Je vais te défoncer et je veux t entendre dire ce que tu es devenue
Il place son gland sur ma rondelle et me penetre d'un coup. Il me prend fort, vraimenet fort.
- Alors...
- Je... je suis une pédale
- encore
- je suis une pédale
- et tu aimes ça
- oh oui
- c'est meilleur qu'avec ta femme?
- Oui
- tu as envie d'elle?
Il me demande ça alors que je suis en bas, talons aiguille et qu'il me pistonne
- Non
- Et tu crois qu'elle a envie d'une pédale comme toi?
- Non
- Tu veux que je la baise pour toi?
- Oh oui
- Dis le
- Je veux que tu baises ma femme
- Elle ne voudra plus de toi, tu ne feras que te faire prendre par des hommes. C'est ce que tu veux.
- Oui. Oui, je veux des hommes.
Je le sens se contracter alors qu'il décharge en moi, son liquide chaud qui se répend. Je m'y habitude et j'adore ça.
- C'était bon, j'aime quand tu parles comme ça. D'ailleurs, qu est ce que tu dirais si dorénavant, tu t'appelais camille?
- ben.. pourquoi pas...
- et tu parles de toi au féminin.
Alors qu'il est allongé à coté de moi à me caresser
- Il faudra que tu m'invites à diner chez toi, j'aimerais rencontrer ta femme.
- euh... d'accord
Il m'a complimenté un moment, caressé, avant que je parte. J'en ai encore des frissons dans le bas des reins.
Il a fallu attendre plusieurs semaine avant de trouver une date pour qu'il vienne diner. Je l'ai presenté comme un ami de travail.
La soirée s'est bien déroulée, il a été charmant, avec moi et avec ma femme. J'aurais voulu qu'elle ne soit pas là pour enfiler des bas et des talons, et surtout qu'il me prenne, mais tant pis, j'attendrais la prochaine fois.
Mon homme a été occupé par son travail pendant plusieurs semaines, en déplacement à l'étranger. Nous n'avons pas eu de contact pendant tout ce temps. J'avais hate de son retour, et surtout le sentir en moi. Quand il est rentré, nous ne nous sommes pas vus tout de suite, nous avons d'abord beaucoup discuté. De la soirée avec ma femme. Il a dit qu'elle etait agréable à regarder et qu elle avait une belle paire de seins. Il allait falloir que je la dévergonde, que je fasse ressortir des envies peu avouables. Il a aussi voulu savoir comment on baisait, ce qu elle aimait. Je lui ai dit qu elle aimait etre soumise au lit, qu on lui pince les seins, lui griffe les fesses, lui tire les cheveux. Il m a dit que je devais acheter des jouets intimes, des godes. Un premier un peu plus gros que moi et un second... vraiment gros, sans etre démesuré non plus. Il faut bien qu elle le prenne dans sa chatte... Il faut aussi que je parle d'un autre homme qui lui présenterais sa queue alors que je la prends, d'abord avec mes doigts et ensuite avec le gode. L'étape suivante serait qu'il la prenne. La forcer à demander cette grosse bite. Il a terminé en disant qu il serait absent encore un long moment et que cela me laissait le temps pour travailler le sujet. Quelle déception pour moi...
N'ayant pu rencontrer mon homme, j'avais une grande envie de sexe. Nous ne faisons pas souvent l'amour avec ma femme, mais ce matin là, elle a répondu favorablement à mes avances. Apres quelques caresses, baisers et autres mises en bouche, je l'ai prise en missionnaire. Alors que je contemplais son visage en m'enfoncant en elle, elle etait tres excitée, se mordillait la levre. je lui ai présenté mes doigts
- tu te vois avec une autre queue? tu veux la sucer?
Pour toute réponse, elle a leché mes doigts, ouvert la bouche, et commencé à sucer. La voir ainsi m'a fait éjaculer. Dommage, j'aurais voulu aller plus loin. Ce n'est que la premiere fois, il ne vaut mieux pas la brusquer. On n'en a pas parlé mais j'ai commandé les godes. Un transparent de 18cm par 3.5 et un autre de 23cm par 4.5 qui est noir. Je les ai bien lavés et rangés pour qu ils soient à portée de main dès que l'occasion se présentera. J'ai du attendre une semaine avant de pouvoir sortir le premier. Elle a été surprise. j'ai meme cru que ça lui avait coupé ses envies de voir ce jouet et puis elle s'est ravisée. Elle s'est rallongée et elle l'a sucé. Elle l'a sucé longtemps et elle n'a meme rien dit lorsque j'ai appuyé dessus pour le lui mettre dans la gorge. Je ne crois pas qu'elle m'ai sucé de la sorte ni meme laissé lui appuyer sur la tete.
La fois suivante, alors que je voulais juste profiter d'elle, elle m'a dit, alors que j'etais en elle :
- j'ai envie de sucer
j'ai sorti le jouet et elle s'est presque jeté dessus quand je l'ai approché. Elle le sucait rapidement avec envie, me laissait l'enfoncer dans sa bouche par moments. Je l'ai retiré. Elle était presque déçue.
- tu aimes le sucer?
- oui
- tu veux qu il te prenne?
-...
- tu en as envie?
- oui
Je me suis retiré et l'ai presenté contre son sexe. Elle était trempée, il est rentré tout seul. Je l'ai baisée avec le gode et elle a joui rapidement.
Une autre fois ou elle me sucait, je lui ai présenté le gode en meme temps. Elle a immédiatement laché mon sexe pour le sucer.
- Tu aimes le sucer. Mets toi à quatre pattes, il va te prendre.
Elle s'est mise en levrette et a continé à me sucer. J'ai pivoté pour me rapprocher de ses fesses et j'ai placé le gode contre son sexe. Elle a poussé dessus pour le faire entrer puis s'est mise à aller en avant, en arriere comme si elle était en manque. Elle a délaissé mon sexe pour se concentrer sur le jouet. Elle donnait l'impression d'etre en manque et elle a vite joui avant de s'effondrer à coté de moi. J'ai voulu moi aussi finir et jouir en elle mais elle m'a dit etre trop fatiguée.
Depuis, il n y a pas eu une fois ou elle n'a pas réclamé de pouvoir sucer alors que je la prends. J'en ai profité pour remplacer le jouet "normal" par le gros.
- regarde, un noir te présente sa grosse queue, tu veux le sucer?
- mais il est trop gros...
malgré ses paroles, son regard est fixé dessus. Elle sort la langue pour lecher ce gland. D'abord du bout de la langue puis entierement. Elle ouvre la bouche et le fait entrer. C'est vrai qu'il est gros, seul le gland rentre mais ça ne lui déplait pas, au contraire. Je pousse sur le gode mais vu sa taille, il ne rentre guere plus. Néanmoins, elle me laisse faire.
Nous sommes dans la position de la cuillere, mon bras sous sa tete tient le gode. Je lui glisse à l'oreille :
- tu aimes le sucer. Mouille le bien, il va te baiser.
Je ne vois pas ce qu'elle fait étant derriere elle mais elle s'active dessus. Je le retire de sa bouche, m'en saisit de ma main libre et le colle à sa chatte après m'etre retiré. Je pousse pour le faire entrer mais il est vraiement gros. Le gland passe l'entrée de son sexe. Je le fais coulisser d'une toute petite longueur. Ca a l'air de lui plaire mais elle pose sa main sur la mienne en disant que ça lui fait mal. Je le retire, reprend ma place et éjacule en elle. J'étais un peu déçu qu'elle ait eu si vite mal mais ce n'était que la premiere fois qu'elle avait un si gros objet dans le sexe. Apres en avoir discuté avoir mon homme, qui se trouvait toujours loin, trop loin à l'étranger, il m'a rassuré et félicité quant à l'avancement de notre projet. Il fallait que je persevere, en faisant bien attention à elle pour ne pas la braquer ou la dégouter.
Une autre fois, toujours en cuillère, j'ai pris ses cheveux dans une main et je les ai tirés en arrière alors que je lui pistonnais le vagin. De l'autre main j'ai pris le jouet et l'ai inséré dans sa bouche. Je suis allé progressivement jusqu'à lui baiser la bouche. Quand je l'ai retiré, elle était éssoufflée mais pas de réprimande. Alors que j'étais toujours en elle :
- Tu aimes sa grosse queue. Tu veux qu'il te prenne?
- ouiiii
- il veut que tu le dise
- je veux sa grosse queue
- il faut que tu enleves la mienne
Elle s'empresse de mettre une main sur ma hanche et à me repousser.
- Il veut que tu sois plus vulgaire
- sors de ma chatte
Sa main descend encore, entour ma tige et fait sortir mon sexe.
Je présente le jouet à l'endroit ou je me trouvais juste avant et pousse. Elle releve une jambe. Il entre facilement en elle. Elle remue son bassin. Je le fait coulisser doucement en elle, jusqu a ce qu il bute. Elle ondule de tout son corps. Je commence les allers retours en elle.
- tu aimes?
- oui
- tu sens comme deviens chienne?
- oui
- tu aimes qu il te baise? tu veux etre à lui?
- oh oui, je veux etre sa chienne
Le jouet va et vient de plus en plus vite en elle. Elle crie. Elle jouit. Totalement anéantie elle s'allonge tout en expulsant le jouet. Elle s'endort.
Mon homme m'a contacté pour prendre de mes nouvelles et savoir dans quel etat d'esprit ma femme se trouvait. Ce que je lui ai raconté lui a plu et il m'a demander d'organiser un nouveau diner, tout en continuant de presenter le jouet à ma femme des que l'occasion se presentait. Ce que je fit. Meme si c'est moi qui ai sortit le sexe en plastique pour le lui présenter alors qu'elle ne demandait rien, c'est elle qui s'est jetée dessus pour le sucer puis alors que j'étais toujours en elle, elle a dit qu'elle voulait une grosse queue noire, elle voulait un vrai homme et elle a saisi ma bite pour la sortir de son sexe. Puis elle a pris ma main qui tenait le jouer pour la guider plus bas que sa bouche. Une fois qu'elle a senti le gland du jouet sur ses fesses, elle m'a laissé faire. Je lui ai inséré cette grosse bite entre les fesses, elle etait aux anges.
- Oui, vas y défonce moi avec ta grosse queue bien dure.
j'ai accentué la pression sur le gode et augmenté la cadence.
- oui, je veux qu'il me fasse jouir...
Son corps commencait à se contracter et il n'a pas fallu lontemps avant que son orgasme vienne. Je l'ai laissé reprendre son souffle et ses esprits avant de recommencer les vas et viens.
- tu veux que je te prenne?
- NON!
Mes sentiments étaient partagés, entre l'excitation et la déception de ne plus etre son male. Un reste de fierté.
- Encore... encore... oui, je suis une chienne... ah.. ahh...
Un autre orgasme, mais cette fois elle etait vraiment trop épuisée pour recommencer, meme si elle en avait une petite envie.
Il y eu ensuite une periode de calme sexuel entre nous et le jour du diner arriva.
Mon homme ne nous avait pas prévenu mais il était accompagné. Un ami à lui qui était de passage dans la région et qui se retrouvait seul pour la soirée et sans hotel suite à un probleme de communication et de mouvement social. Bref, ne voulant pas annuler le diner, il était venu avec Amédée. Un noir plutot séduisant, de la meme taille que mon homme et à peine plus musclé.
Comme on dit, quand il y en a pour 3... et puis ils avaent amené du champagne et un gateau pour le dessert au cas ou on aurait manqué. La soirée fut vite passé, on a bien discuté, bien ri et rien ne pouvait laisser penser qu'il put y avoir un but caché. Quoique, après le dessert, nous étions dans le salon à terminer le champagne et commencer à parler de départ au vu de l'heure qui etait deja bien avancée. Amédée a demandé à aller au toilettes et quand il s'est levé, on a vu distinctement le gourdin dissimulé dans son pantalon en toile. J'ai regardé ma femme et je l'ai vue le regard fixé dessus. Amédée est sortit de la piece et mon homme à dit
- Il est un peu timide mais je crois que vous lui plaisez beaucoup madame. Si votre mari n'avait pas été là, il aurait surement abusé de vous.
Il partit ensuite dans un grand rire mais je vis sur le visage de ma femme qu'elle ne savit pas vraiment si c'était une blague ou pas.
Amédée revint. Nous finimes nos verres rapidement et ils s'éclipserent, arguant d'une journée chargée dans quelques heures seulement.
Amédée ne laissa pas passer la bise et en profita pour lacher quelques compliments à ma femme. Je la vois encore rougir.
Apres avoir rangé la salle, mis à tourner le lave vaisselle, nous sommes allés au lit nous coucher mais j'étais émoustillé par l'incident avec Amédée. Je me suis rapproché de ma femme, je l'ai caressée, elle était trempée. Je lui ai écarté les cuisses et me suis placé entre pour la pénetrer. J'ai enfoncé mon sexe en elle et après quelques mouvements de bassin :
- on dirait que Amédée t'a excitée...
- t'es bete...
- tu le vois avec sa grosse queue... tu as envie qu il te prenne?
-...
j'ai repris mes mouvements et apres quelques uns
- oui...
Cela m'avait aussi excité et du coup, j'ai vite joui en elle. Nous étions fatigués, nous nous sommes vite endormis, enfin je crois.
Il n'y eu plus rien pendant plusieurs semaines. Entre ma femme qui n'avait pas envie, mon homme qui était absent et puis, deux mois plus tard, je vois un bouquet de roses sur la table en rentrant du boulot. Je demande à ma femme d'où elles viennent. Elle me répond que ça vient d'Amédée, le diner lui avait beaucoup plu, il est passé lui offrir ces fleurs en remerciment.
N'étant pls spécialement jaloux, je n'en demande pas plus et passe à autre chose. Trois semaines et mon homme me fixe enfin rendez vous chez lui. Je me libere et m'y rend avec plaisir et entrain.
Comme d'habitude, je m'habille une fois chez lui, petit verre de champagne et enfin, je peux me mettre à genou entre ses jambes et profiter de son sexe. Son odeur, son gout m'avait manqué. Je le suce doucement, rapidement, j'essaie une gorge profonde. Lui aussi ça a l'air de lui plaire. Il me fait me relever et m'emmene dans sa chambre. Il me place face à une armoire avec un miroir, me fait me cambrer et prendre appui avec les mains sur le miroir. Je peux le voir derriere moi, son visage, sa bouche derriere mon oreille
- comme ça tu peux bien te contempler, camille.
Il fait tomber ma robe. Je n'ai que le porte jaretelles, les bas et les talons aiguilles de 12cm. Oui, je me vois tres bien dans la glace.
Il frotte son sexe contre mes fesses, me lubrifie avec ses doigts et présente son gland à l'entrée de ma grotte. Il donne ensuite un grand coup de reins et m'embroche littéralement. J'en ai le souffle coupé.
- Je t'ai fait mal mais tu m'as tellement manqué, j'avais tres envie de toi et puis, tu te ****lleras de la premiere fois ou je t'ai prise en sachant que tu ne baiseras plus jamais ta femme.
Il a saisi fortement mes hanches et s'est mis à me pistonner. J'avais du mal à garder l'équilibre avec les talons, heureusement que j'avais les mais sur le miroir. Et en meme temps, ce déséquilibre me faisait bien sentir que je portais des talons aiguilles et ça m'excitait encore plus.
- Regarde toi, profite.
Je voyais ses mains sur mes hanches, ses jambes entre les miennes, mon sexe mou qui se balancait fréntiquement, un porte jaretelle autour de ma taille, mes jambes gainées de nylon et mes pieds prisonniers de ces escarpins.
- c'est fini pour toi etre un homme, je vais te défoncer ton cul de pédale.
il m'a besognée un long moment, sans s'arreter. J'avais l'anus en feu, je voulais qu'il arrete et... qu'il continue.
- ça faisait longtemps que je ne m'étais pas occupé de toi, je ne vais plus tenir longtemps. Tu le sens bien que tu es incapable de baiser ta femme? Regarde ce que tu es devenu. Tu aimes?
- Oh ouiii... j'aime etre une pédale... je ne veux plus de ma femme...
Il a enfin déchargé en moi. De longs jets. Beaucoup. Il s'est reculé, m'a retournée face à lui et m'a embrassée.
- Ce soir, on dine chez toi avec amédée, ça devrait te plaire.
Il m'a encore embrassée et tout en passant sa main sur mes fesses
- Tu es pleine de foutre, tu dégoulines... ça te plait?
Je sentais un liquide descendre contre mes jambes, sur les bas.
- oui, j'aime quand tu me remplis.
Il a sourit.
- Va te nettoyer et à ce soir.
Sur le trajet du retour, je me suis demandé ce qu'il allait faire ce soir. Parler de Camille? Ce qu on faisait ensemble?
Meme si j'en avais envie, cela me paraissait encore un peu tot vis à vis de ma femme.
Je suis rentré, elle était en train de se préparer, terminait avec une touche de parfum. Chose qui est vraiment tres rare de sa part.
- Ton ami et Amédée viennet diner ce soir. Vous en avez parlé au travail? Il m'a dit qu'ils amenait un repas traiteur, qu on avait juste à faire l'apéritif.
- non.. euh oui...
Completement pris au dépourvu. Je m'affaire donc à préparer quelques biscuits salé, petits fours surgelés et les boissons. Une bouteille de champagne au frais, mon homme en est tres friand.
J'étais un peu nerveux vu que apparement, j'étais le seul à n'etre au courant de rien.
Ils sont arrivés peu avant 20h. Amédée est entré le premier avec un paquet dans les mains. Il est passé devant moi, m'a salué puis est allé vers ma femme. Je regardais mon homme entrer mais du coin de l'oeil il m'a semblé qu'amédée et ma femme se faisait un baiser sur le bouche. C'est allé vite, j'en surement mal vu. Il lui a donné le paquet qu'elle est allée déposer dans notre chambre.
Mon homme est entré les mains chargées de paquets d'un traiteur. Je lui ai pris les paquets, il a fait la bise à ma femme puis Nous nous sommes installés au salon. Alors que je m'attendais à tout et n'importe quoi, il n'y eu rien de spécial, comprométent qui fut dit. Juste ma femme qui regardait un peu trop souvent et intensément Amédée mais rien de plus.
Le diner se déroula sans histoire et enfin nous retournames au salon pour le café. Ma femme était à coté d'Amédée et il avait maintenant la main sur sa cuisse.
- Si tu allais te changer chérie
J'étais interloqué de ce que je venais d'entendre mais elle ne dit rien, posa sa tasse qu'elle venait de finr et se leva pour aller vers notre chambre. Je me souvins alors du paquet.
Mon homme dit alors :
- viens t'assoir à coté de moi Camille et ne t'inquiete pas, Amédée sait que tu es une pédale.
Ils me regardaient tous les 2. Je ne savais pas quoi dire. Rien en fait. Je suis allé m'assoir à coté de lui comme il me l'avait demandé. L'attente fut longue, surtout pour moi. Mon homme avait décrit quelques scenes que nous avions joué ensemble à son ami et je n'osait plus lever les yeux. Ma femme finit par ouvrir la porte du couloir. La premiere chose que j'ai vue est qu'elle portait des escarpins d'une dizaine de centimetres. J'ai souri interieurement en me disant que j'en portais des plus hauts qu'elle. Elle avait des bas et une jupe assez courte pour voir le haut de ses bas. de plus, sa robe avait une bande de vingt centimetres environ, quasi transparente au niveau de la poitrine qui fait que ses seins étaient exposés à la vue de tout le monde. Oui, elle n'avait pas de soutien gorge. Je me suis demandé si plus bas... Non, je ne voyais pas trace de culotte alors que la jupe était assez moulante. J'avais les yeux écarquillés, étonné de la voir ainsi. Je ne me souviens pas qu'elle ai osé s'habiller ainsi avec moi ou pour moi. Amédée lui a tendu le bras et elle est allé s'assoir à cote de lui contre lui. Sa main a repris sa place sur sa cuisse et est tout de suite montée plus haut.            
        
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                    09/10/25
                
            
 
                    
                 
                             
                
