Trav et Sissy

Fin humm... tu es toute excitée ma chérie. Il venait clairement de lui mettre un doigt et il l'exhibait fierement, mouillé de cyprine. - on va lui montrer quelque chose à ton mari. Mets toi à genoux, les coudes sur la petite table, face à ton mari. Apres s'etre roulés une pelle tous les deux, elle s'est levé et s'est installé comme il le lui avait demandé. Elle était face à moi mais gardait la tete baissée. A quoi allais je assister? je n'ai pas eu à attendre longtemps pour le savoir. Amédée s'est levé. Il s'est mis derriere ma femme, entre ses jambes puis à baissé son pantalon et son slip. Son sexe deja bandé est sortit comme un diable de sa boite. Il la saisi d'une main et s'est masturbé, pour la forme avant de lui aussi s'agenouiller derriere ma femme qui attendait sans bouger. Il a relever la robe pour la rouler sur sa taille puis a dirigé son sexe vers elle. Elle a émit un couinement lorsqu il l a pénetrée. Il a avancé, avancé, avancé jusqu à etre presque entierement en elle malgré le specimen dont il etait doté. L'entrainement avec le jouet à bien fonctionné on dirait... Il a commencé à lui labourer la chatte avec son engin. Elle haletait comme jamais. Emettait des oui... oui... han... c'est bon... Il a baissé la robe pour liberer ses seins et a pincé ses tétons. Le pubis claquait contre les fesses. Les seins balottaient face à moi. C'est là ou il lui a attrappé les cheveux et a tiré vers lui. Le visage de ma femme etait devant moi, completement déformé par le plaisir et l'envie. - tu aimes ce que je te fais? - huh.. oui - regarde bien ton mari. Est ce que tu veux sa queue? Elle ouvrit plus grand ses yeux et bien que un peu ailleurs : - non Il tira plus fort sur ses cheveux. - mieux que ça - je ne veux pas de ta queue - est ce que tu veux qu'il te touche? Alors qu'il lui tenait les cheveux, je voyais distinctement ses seins s'entrechoquer alors qu'elle essayait de repeter ses mots. - non Un autre coup sur les cheveux. - je ne veux pas que tu me touches. - tu ne veux que des grosses queues - oh oui, j'en veux des grosses Il a continué a lui tirer les cheveux, lui claquer les fesses ou lui pincer les seins jusqu à ce qu il vienne en elle. Elle, elle etait ailleurs, perdue dans son plaisir depuis un moment. Elle s'écroula sur la table quand il lui relacha les cheveux. Il se releva, remonta slip et pantalon et rangea son "materiel". Ma femme reprenait doucement ses esprits. Il l'aida à se relever. Elle était encore un peu hébétée. - ça coule sur mes jambes - Tourne toi, que ton mari le voie. Effectivement, du sperme commencait à lui descendre le long de la cuisse, comme moi plus tot dans la journée. - tu peux rester comme ça, ça me plait que tout le monde voie que tu viens de baiser. Il s'approcha d'elle et ils s'embrasserent langoureusement. - Viens, on va chez moi - il faut que je prenne de quoi me changer... - non, j'aime quand tu sens le sexe. Elle réajusta sa robe, Amédée nous salua et la porte se referma sur ma femme. - je t'avais dit que tu ne baiserais plus ta femme. Ils se voient depuis quelques temps et apparement, tu as vraiment bien fait avec le gode. - oui, apparement... - Tu m'excuseras mais je vais devoir y aller aussi. Il est plus que tard et j'ai des rendez vous dans quelques heures, et puis un peu de sommeil ne te feras pas de mal non plus apres cette soirée sympathique. Un baiser sur la bouche et il partit. Je me retrouvais seul, avec un certain mal etre apres avoir completement perdu ma femme et sans mon homme pour me consoler, ou me baiser, voir les deux.