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par le 20/09/14
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Cela faisait déjà an qu'il l'avait quittée. Caroline, depuis ce temps, était restée prostrée, abattue. Cinq ans de vie commune pour qu'un matin on vous dise "regarde toi comme tu es grosse tu me dégoute!"... C'était une des raisons de son enfermement. Alors qu'elle était belle femme. Mais psychologiquement son ex l'avait détruite au point que la masturbation ne lui étai même pas venue à l'esprit. Le pire c'est qu'elle avait prit du poids, 30 kilos de plus, ce qui la portait autour des 120 kilos aujourd'hui. Caroline a allait au travail point. Pas de sorties, on la regardait trop mal. Biensur quelques mecs la draguaient, elle avait un visage doux et pervers, et des seins imposants ; mais ils l'agressaient, elle se sentait traitée comme une viande lorsqu'ils l'abordaient.

Chaque sortie était un périple, mais il fallait bien faire des courses par exemple, ou comme ce soir, acheter des cigarettes. Elle sortait du tabac quand elle croisa le regard d'un homme qui lui rentrait. Plutôt costaud, c'était un ouvrier du batiment à en juger à son bleu plein d'eclaboussures et de poussière. Il la laissa passer en la reluquant de haut en bas, cherchait explicitement à regarder dans son soutien gorge. Caroline en tressailllit interieurement et accélèra jusqu'à son immeuble à deux coins de rue. Mais la présence derrière elle se rapprochait. Elle tourna la tête oui, il la suivait ce malade! Ca la décida à courir, mais lui se rapprochait quand même.

En refermant la porte d'entrée elle entendit qu'on l'appelait effectivement "Madame, mademoiselle, vous avez fait tomber votre paquet!" Un rapide coup d'oeil dans son sac, oui, dans son trouble elle ne l'avait pas vu. L'ouvrier s'infiltra dans le hall, et lui remit avec un grand sourire. Caroline ne savait pas quoi penser, elle avait fait tomber son paquet mais le désir de cet homme, si lisible, l'inquiétait :

Merci monsieur. Je vous souhaite une bonne soirée.
Mais attendez, il la reteint par le bras.

Ce contact, cette force virile la tétanisa. Elle babilla deux trois incohérences et lui du lire une faiblesse dans ses yeux. Il en profita pour la raprocher de ses lèvres ; elle se laissa faire. Très vite il la pelotait, les seins, les fesses, les hanches, les cuisses, les bourrelets ; semblait prendre un plaisir inoui a la pétrir. Et Caroline, elle s'abandonnait à toutes ces mains, chaque caresse imprimée sur son corps devenu sensible comme une vierge. "T'es bonne", "tes gros seins seins", "ton cul, oui ma grosse tu es bonne". Tous ces mots qui d'habitude l'exaspéraient faisaient monter son ardeur... A cette heure là n'importe qui aurait pu descendre. Lorsqu'il entreprit de passer sa main dans sa culotte elle eu un sursaut, comme une décharge électrique. Elle était trempée et avait joui au premier touché.

En saisissant son avant bras elle l'invita à s'enfoncer plus profondément, lui fit faire des allers et venues. Caroline perdait son esprit à se masturber avec les doigts d'un inconnu, dans son hall d'entrée...

A suivre...
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