Pour ma part, j'ai toujours été dominant, mais étant anal aussi et n'étant pas attiré par les hommes, j'ai commencé à m'intéresser aux dominas. Le problème avec mes premières expériences avec elles, c'est qu'il me fallait jouer au "vrai soumis", avec tout le côté humiliation, contraintes, service, sévices, etc (et aussi leur façon de se prendre au sérieux) qui ne m'attirent pas plus que ça, n'étant intéressé que par le côté sexuel. Mais du coup ces pratiques ont éveillé mon intérêt (sur un univers que je découvrais alors enfin concrètement), mais en tant que dominant, ce qui m'a rendu quasiment "dominateur" sur quelques femmes, certaines de façon sporadique, d'autres plus régulières, comme ma soumise actuelle.
À celles-ci, il m'est arrivé justement de leur proposer en fin de séance de "se venger" en renversant les rôles.
Il est clair que mon côté insoumis rend difficile ma position assumée de sodomite & urophile, et ma solution pour la contenter est ou bien de rencontrer des femmes dans le même esprit que moi, c'est à dire switch, pas dans une logique univoque de "maîtresse-soumis" mais plutôt de jeu ludique et sexuel, ou bien de "renverser" des dominatrices, bref les switcher, ce qui dépasse le concept de souminateur.
Il y a beaucoup de domina qui ont commencé par être soumises, et j'aime les inciter à y revenir. C'est d'ailleurs un jeu, voire un défi assez grisant de dominer une domina, surtout celles qui pensent qu'elles ne se laisseront pas renverser.
Il est intéressant également de remarquer que j'en trouve autant dans le milieu BDSM que dans le milieu libertin, et de plus en plus.
Dernière modification le 04/06/2015 15:40:47 par Abyme.