Messages
L'amour est indispensable pour moi aussi. J'ai besoin d'être amoureuse pour bien dominer. C'est hyper excitant.  Je comprend la domination par la cage, mais je ne pratique pas. Je pratique la castration mentale, c'est radical après dressage. Pas besoin de cage. La bandaison de mon maso est passée sous mon contrôle total.  Les gynarchistes savent faire cela  c'est même la base. Contraindre les hommes à ne plus bander sans permission. Et le fouet est la pour un bon dressage des bites récalcitrantes. Et sans la moindre pitié. Les mâles comprennent très vite ....    
j'ai en horreur les règles. Je fais tout au feeling. Ni règles, ni limites, ni pitié....c'est ce qui fait peur à mon maso et avoir la trouille fait partie de son plaisir.  Et j'adore flanquer la trouille à mon lion et lui faire le plus mal possible sans le blesser.  Une domina ne pactise pas avec un lion maso. 
Bonjour. De mon côté j'ai besoin d'aimer pour me donner à la personne qui souhaite me dominer. Plus facile pour moi de lacher prise et de me donner à elle en toute confiance. Le rapport sexuel n'est pas obligatoire pour moi, j'ai remarqué que quand madame me fait porter la cage, le fait de ne pas avoir de rappport, fait que je deviens de plus en plus soumis, serviable, le manque de sex fait aussi que j'ai envie de devenir encore plus feminine. Par contre, donner du plaisir à madame est un devoir pour moi, limite très excitant de la savoir satisfaite de mon travail, et de rester en cage bien trop petite à ce moment là...! Madame me tappote sur la tête pour me faire signe que c'est bien. Le sex pour un soumis ne doit pas être pour le garder en mode soumission. Dès lors qu'il y a jouissance, la soumission et dépendance par de son esprit, 
M81
.Posté dans Le poids de l'amour dans une relation bdsm
Bonsoir. L'absence ou le manque d'expérience ne justifie pas l'ignorance. Avant de débuter une telle relation, rien n'empêche de se renseigner sur les pratiques les plus courantes, d'estimer quelles limites on ne veut pas dépasser. Poser des limites ne veut pas dire qu'elles sont bétonnées une fois pour toutes. Au contraire, elle peuvent évoluer dans un sens ou dans un autre, selon ce qu'on s'estime capable de supporter, au fur et à mesure qu'on découvre son partenaire et qu'on se découvre soi-même. En outre, quand un dominant est en présence d'un ou une novice, il doit expliquer ses pratiques, ses habitudes, autant qu'il le faut pour que le futur soumis ou la future soumise ait un bon aperçu de la future relation et puisse donner son accord de manière libre et éclairée. Personne n'est obligé de coucher une liste sur le papier. C'est juste plus sûr, il est plus facile de s'assurer des limites de tous les participants s'il y a un litige. Un guide, ce n'est pas quelqu'un qui fait ce qu'il veut comme il veut. C'est quelqu'un qui respecte les personnes qu'il guide. Si un dominant ou une dominante doit s'arrêter tous les dix pas pour s'assurer que le soumis ou la soumise est capable de suivre, il s'arrête. Si le soumis ou la soumise ne veut pas aller plus loin, le dominant ou la dominante ne va pas plus loin. Ca peut être provisoire, et dans ce cas la progression reprend quand la personne s'en sent capable. Ca peut aussi être définitif, la personne pouvant le soumis ou la soumise pouvant décider de ne pas aller plus loin. C'est fondamental, dans une relation BDSM. Ca peut paraitre paradoxal, mais c'est toujours le soumis ou la soumise qui a un contrôle total des limites, et le dominant ou la dominante doit les respecter, même s'il ou elle espérait aller plus loin. Si le dominant ou la dominante oblige le soumis ou la soumise à dépasser ses limites sans son consentement, ce n'est plus du BDSM. C'est une agrssion. Ou, dans le cas d'une pratique sexuelle, un abus. Personne ne doit être forcé de faire ce qu'il ne veut pas faire, par quelque moyen que ce soit. Jamais ! A moins que ça ne fasse partie du jeu, auquel cas, il y a bien un consentement préalable. D'ailleurs, nous le pratiquons, mon dominant et moi. Il peut m'imposer des actes que je n'aime pas, parce que j'ai donné mon consentement pour qu'il me les impose. A vrai dire, c'est moi qui le lui ai demandé, au départ. Non, la douleur n'est jamais un but en soi. Si les maso veulent qu'on leur en inflige, c'est parce que ça leur procure du plaisir. Et les mécanismes du plaisir sont maintenant bien connus. Ce sont les hormones libérées par le cerveau qui provoquent le plaisir. Ca s'obtient par le sexe, mais aussi le sport ou le BDSM, par exemple. Personne ne se cogne volontairement contre les meubles juste pour le plaisir de la douleur. Ce serait pourtant bien plus facile que de devoir chercher un ou une partenaire BDSM, mais ça ne fonctionne pas, à moins d'avoir un problème psychiatrique. Pour que la douleur mène au plaisir, il faut qu'elle arrive dans certaines conditions mentales et physiques. Le BDSM est un jeu de rôles. Pas un jeu de société sur plateau où il faut lancer des dés, évidemment. C'est plus proche des jeux d'enfants, en fait, par exemple quand ils jouent au gendarme et au voleur, aux cowboys et aux indiens... Le BDSM, c'est la même chose, mais dans un autre contexte. On joue à maître et exclave, à la soubrette qui sert son employeur, au docteur qui fait passer une visite médicale, au professeur qui éduque sévèrement un élève, ou, comme dans mon cas, au soldat aux ordres d'un Chef inflexible. Ce sont des films qu'on se fait pour pimenter une relation sexuelle, parfois amoureuse, parfois pas. Le dominant ou la dominante met le jeu en scène et joue son rôle, et le soumis ou la soumise joue aussi son rôle. Il faut en avoir conscience, parce qu'il peut très bien arriver qu'il soit nécessaire de sortir du jeu et reprendre pied dans la réalité rapidement. En 50 ans de BDSM, ça m'est arrivé plusieurs fois.