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Jidé

Jidé

Homme Dominateur. 56 ans. est célibataire.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 09/03/17
"Tu vois, un bon Dom... c'est un Dom qui, quand il voit une soumise, ben... il veut l'attirer. Et un mauvais Dom... c'est un Dom qui, quand il voit une soumise, ben... il veut la tirer" (c) Jidé, inspiration libre des Inconnus (sketche des chasseurs) XD
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Par : le 24/04/15
Je fais une différence entre ageplay et DD/lg. Je n'aime pas le terme "ageplay" car il y a "acting" et donc jeu (au sens jeu d'acteur) : c'est plutot une dimension de jeux de la comédie, de jeux de rôles. Je préfére parler de dynamique DaddyDom/lilgirl (ou tout autre combinaison MommyDom, lilboy, etc.) afin de faire la différence entre jeux de rôle et expression d'une réelle facette de la personnalité. Une relation DaddyDom/lilgirl (idem pour les MommyDom et les lilboy ou tout autre combinaison) est plus une relation où le Dom incarne une figure rassurante, protectrice de la soumise. La soumise recherchant un cadre où elle se sentira protéger, et où le Dom s'occupera d'elle et de son bien être. La lilgirl pouvant très bien n'avoir que très peu de traits "enfantin". De mon point de vue, la différence de cette dynamique de domination par rapport à d'autres, c'est d'utiliser la douceur comme vecteur de domination et non la douleur, ou l'humiliation. Cela rend cette dynamique plus douce, et génére (à mon sens) une emprise plus profonde. Les lilgirls que j'ai pu connaitre, cotoyer, accompagner ou dont j'ai été le Daddy, ne jouaient pas un acte, elles étaient elles-même. J'ai eu l'occasion de connaitre une soumise qui a voulu me faire plaisir en jouant la lilgirl mais cela n'a pas fonctionné. La dynamique n'était pas sur le bon niveau. Je pense que le manque de DaddyDom en France est lié à une culture BDSM très orientée controle par la douleur, la punition, ou l'humiliation alors que la dynamique DaddyDom/lilgirl nécessite un controle par la douceur et la tendresse. Mais bien entendu, cela n'est que mon point de vue (néanmoins partagé avec celles qui furent/sont mes lilgirls )
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Par : le 04/09/13
Je suis toujours surpris quand je lis un Dom se plaindre de son soumis qui "ne se comporte pas comme il faut"... De mon point de vue, c'est le soumis qui conduit une relation D/s, pas le Dom. Un Dom n'a que le pouvoir de le soumis lui donne (voir mes autres articles). Sans un soumis, un Dom n'est rien : un Dom n'existe que grâce à un soumis. Le but d'un Dom est de répondre aux besoins de son soumis, pour aider ce soumis à explorer ses désirs intérieurs (parfois ignorés, refoulés), à se développer, à expérimenter de nouvelles sensations en toute sécurité. Bien entendu, le Dom doit aussi y trouver son avance en réalisant ses désirs, mais pas au détriment du soumis ! Abuser n'est pas dominer (si un soumis demande à être abuser, ce n'est plus de l'abus, puisque volontaire). Manipuler n'est pas dominer (si un Dom arrive à ses fins en manipulant son soumis, c'est de l'abus pas de la domination). Concernant la modification comportementale, ce n'est pas à mon sens de la domination. Il s'agirait plutôt pour moi de «coaching». Bien entendu, cela sous entend une demande de la part du soumis. Si les modifications comportementales, sont imposées par le Dom, ou obtenues par manipulation, il s'agit là d'abus de la part du Dom. Une fois de plus, la communicaion est fondamentalle pour identifier la limite entre abus et domination. Il est du devoir d'un soumis de toujours s'interroger si les demandes du dominant correspondent à ses attentes ou si c'est le dominant qui tente d'abuser de la situation.
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Par : le 19/08/13
Je suis une personne faisant aisément confiance, donnant ma confiance presque inconditionnellement. Si ma confiance est trahie, alors je la retire et pour toujours. Dans le monde vanille, je fais pleinement confiance dans les autres et je m'attends à la même chose een retour. À titre d'illustration, je suis membre de la communauté CouchSurfing, où les membres proposent de s'héberger gracieusement les uns les autres. J'ai ainsi accueilli des dizaines de personnes de tout pays, ce qui conduit à de riches échanges d'expériences. Dans le monde BDSM, je fais confiance de la même façon, mais je ne m'attends à recevoir la même confiance en retour. Celle-ci doit être méritée, elle n'est pas acquise. De mon point de vue, c'est parce que la confiance est très précieuse dans une relation BDSM, encore plus que dans une relation vanielle. Se sentir trahi peut avoir un impact profond pour une soumise. Gagner la confiance d'une soumise peut être un processus long et difficile. Si je me sens trahi dans une relation BDSM, je ne vais pas immédiatement retirer ma confiance comme dans une relation vanille. Tout d'abord, je vais essayer de comprendre ce qui s'était passé et tenter de reconstruire la confiance entre ma soumise et moi. Donc, étant dominant, je donne ma confiance à mes soumises, les respecte, comprends qu'elles peuvent avoir des doutes, des moments d'incertitude et des problèmes de confiance. C'est à moi de gagner leur confiance et de la mériter. Rien n'est gagné d'avance, rien n'est dû.
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Par : le 18/08/13
Dans une relation BDSM, celui qui détient le contrôle est le dominant mais celui qui détient le réel pouvoir est le soumis. Le contrôle est accordée par le soumis au dominant. C'est une délégation de pouvoir. C'est pourquoi il existe une relation de soumission : parce que les soumis laissent le dominant prendre le contrôle. Mais si le dominant va trop loin, le soumis peut révoquer cette délégation. C'est pourquoi celui qui a le pouvoir et bel et bien le soumis. Et non l'inverse comme j'ai souvent vu des "dominants" le penser. Cette délégation nécessite une mise en confiance. Cette confiance doit être méritée par le dominant. Elle n'est pas dûe.
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