Publication BDSM
Nouvelle histoire en description de l'image.
C'est la troisième. Je me rapproche vraiment plus de la saga de Gor ici.
RenardΨ a ajouté de nouvelles photos à son propre album "Artworks"
L’Épopée de Wulfric le Dévastateur
Dans les terres sauvages et brumeuses du nord, où les vents hurlent comme des loups affamés, une bataille d’une sauvagerie sans nom s’était déroulée sous un ciel gris et oppressant. Cette terre, jadis dominée par le clan des Ferrocœur, était aujourd’hui un charnier, un testament sanglant à la fureur d’un seul homme : Wulfric, le Dévastateur, un guerrier au corps taillé dans le roc, dont la hache double tranchait l’air avec une précision mortelle. Ses cheveux noirs comme la nuit flottaient sauvagement autour de son visage buriné, et ses yeux bleus glacés brillaient d’une rage primitive. Ce jour-là, il avait juré de réduire en cendres l’orgueil du chef Hagen Ferrocœur, un seigneur brutal dont la cruauté avait fini par attirer la vengeance de Wulfric.
La bataille avait débuté à l’aube, lorsque les premières lueurs perçaient à peine l’horizon. Les guerriers du clan Ferrocœur, armés de lances et d’épées rouillées, avaient chargé avec des cris de guerre gutturaux, confiants dans leur nombre. Mais Wulfric, seul contre une horde de quarante hommes, était une tempête de destruction. Sa hache sifflait dans l’air, découpant les chairs et brisant les os avec une aisance terrifiante. Le premier à tomber fut un colosse barbu, dont la tête roula sur le sol boueux avant que son corps ne s’effondre. Les suivants ne firent pas mieux : Wulfric esquivait les coups avec une agilité surprenante pour sa stature massive, son bouclier de bois renforcé déviant les lances tandis que sa lame s’enfonçait dans les torses et les crânes.
Le sang giclait en arcs rouges sous le ciel pâle, teintant la terre d’une couleur sombre. Les guerriers, pris de panique face à cet homme invincible, tentaient de l’encercler, mais Wulfric tournoyait comme un démon, frappant avec une force brute. Un jeune guerrier tenta de lui planter une dague dans le dos, mais Wulfric pivota, attrapa son bras et le brisa comme une branche sèche avant de lui trancher la gorge d’un revers. Les cris des mourants résonnaient, mêlés au fracas des armes qui s’entrechoquaient. Les derniers résistants, épuisés et terrifiés, furent fauchés en quelques coups, leurs corps s’entassant en un monticule grotesque au centre du champ de bataille.
Au cœur de ce chaos, dans la grande salle de bois et de pierre du clan Ferrocœur, se tenait Freya, la fille du chef Hagen. À vingt ans, elle était une vision de beauté sauvage : ses cheveux blonds cascadaient comme de l’or liquide sur ses épaules délicates, ses yeux verts pétillaient d’une innocence fragile, et sa peau douce contrastait avec les rudes vêtements de lin qu’elle portait. Fille unique de Hagen, elle avait été élevée dans un luxe relatif, protégée des horreurs du monde extérieur. Mais ce jour-là, alors que les cris de la bataille s’infiltraient dans la demeure, son monde s’effondra.
Wulfric, couvert de sang et de sueur, enfonça la porte de la salle principale avec un rugissement bestial. Hagen, un homme massif aux cheveux grisonnants, se dressa devant lui, brandissant une épée massive. « Tu ne toucheras pas à ma fille, chien ! » hurla-t-il, chargeant avec une fureur désespérée. Mais Wulfric para le coup d’un revers de son bouclier et, d’un mouvement fluide, planta sa hache dans la poitrine du chef. Hagen s’effondra, le souffle coupé, son sang se répandant sur le sol de pierre. À côté, la mère de Freya, une femme aux traits encore beaux malgré son âge, tenta de s’interposer, mais Wulfric la repoussa d’un coup de poing, lui brisant la mâchoire. Elle tomba, inerte, tandis que Freya hurlait de terreur.
Wulfric se tourna vers la jeune femme, ses yeux brillant d’une lueur possessive. Il s’avança, saisissant ses poignets frêles avec une poigne de fer. « Tu es à moi maintenant, chienne, » gronda-t-il, la tirant brutalement hors de la salle. Freya se débattait, ses cris étouffés par la poigne de son ravisseur, ses pieds nus glissant sur le sol ensanglanté. Il la traîna à l’extérieur, sous le ciel gris, jusqu’au monticule de cadavres où il avait triomphé. Là, au milieu des corps brisés et des armes abandonnées, il la força à s’agenouiller, son regard dominant fixé sur elle.
Avec une sauvagerie délibérée, Wulfric arracha les vêtements de Freya. Les tissus de lin cédèrent sous ses mains puissantes, dévoilant sa peau laiteuse et ses courbes sensuelles. Il ne lui laissa que quelques lambeaux de tissu, à peine suffisants pour couvrir sa poitrine et son bas-ventre, exposant sa jeunesse et sa vulnérabilité au froid mordant. Freya, tremblante, s’accrocha à sa jambe musclée, terrifiée par la prise de conscience des cadavres de son peuple qui l’entouraient.
Déjà souilllon, son calvaire ne s'arrêta pas là. Il commença une scène de domination brutale. Wulfric la releva d’un geste sec, la plaquant contre un rocher voisin. Ses mains rudes explorèrent son corps, la rugosité des mains de l'assaillant contre sa peau douce. Les minces tissus n'étaient pas un obstacle. Freya gémit puis hurla, entre la peur, le chagrin, la douleur et une résignation forcée, ses yeux masqués de larmes. Wulfric, animé par une sauvagerie primitive, la pénétra avec une force écrasante, ses mouvements violents rythmés par des grognements profonds. Chaque coup était une affirmation de sa victoire, chaque cri de Freya un écho de sa déchéance. Ses cheveux blonds se répandirent comme une auréole souillée sur la pierre, son corps jeune et sensuel marqué par les griffures et les bleus laissés par son maître.
L’acte dura peu. Cette fugacité était une danse macabre sous l’ombre de têtes livides qui semblait les observer depuis les brumes. Lorsque Wulfric se retira enfin, Freya s’effondra, à bout de forces, son souffle saccadé résonnant dans l’air silencieux.
Mais sa soumission ne s’arrêtait pas là. Dans les jours qui suivirent, il la lia avec des cordes rugueuses, la forçant à marcher derrière lui comme une esclave. Chaque pas était une humiliation, chaque regard de Wulfric une promesse de domination renouvelée. Il la battait avec une lanière de cuir lorsqu’elle ralentissait, laissant des marques rouges sur sa peau parfaite, mais jamais assez pour la briser complètement. Elle apprit à obéir, ses yeux verts marqués par une résignation presque acquise.
Sa chûte et la fin de son once de fierté arrivèrent un soir, sous un ciel étoilé. Wulfric, assis près d’un feu, ordonna à Freya de s’agenouiller devant lui. Elle obéit, ses mains tremblantes posées sur ses cuisses nues, son corps marqué par les jours de servitude et de voyage. Il attacha une chaîne à son cou, symbole de son esclavage éternel, et lui murmura d’une voix rauque : « Tu vivras pour me servir. Tu n'as plus de nom a partir de ce jour. ». La jeune femme, brisée, fut marquée d'une infâme douleur, du sceau de celui qui fut, jadis, l'ennemi de son peuple. Elle baissa les yeux, sa beauté altérée par la marque, sa sensualité devenue une arme tournée contre elle-même. Elle allait subir mille souillure et voir bien plus loin que sa terre natale.
À la fin des temps, les derniers peuples racontèrent encore leur histoire. Wulfric le dévastateur et sa bête. Leur histoire fut éternelle.
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Syldom
Elle a été possédées bousculéela petite chérie
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19/07/25

RenardΨ
Son tourment a été indicible et a continué à travers les histoires racontées jusqu'à la fin des temps.
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19/07/25
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